La Fondation LISEA Carbone a pour objet de financer des projets liés à la réduction des émissions de gaz à effet de serre au sein des départements traversés par la LGV SEA. La fondation s'est tourné vers 3 axes : la performance énergétique des bâtiments, l'écomobilité, et la transition énergétique du monde agricole.
La dotation de la Fondation est de 5 millions d’euros pour la période 2012-2017.
Rapport d'activité et liste des projets 2014-2015 - Fondation LISEA CarboneLISEA
La Fondation LISEA Carbone a pour objet de financer des projets liés à la réduction des émissions de gaz à effet de serre au sein des départements traversés par la LGV SEA. La fondation s'est tourné vers 3 axes : la performance énergétique des bâtiments, l'écomobilité, et la transition énergétique du monde agricole.
La dotation de la Fondation est de 5 millions d’euros pour la période 2012-2017.
La Fondation LISEA Carbone favorise les initiatives en matière d’éco-mobilitéLISEA
Bien que le train permette de parcourir rapidement de longues distances, le « dernier kilomètre » est souvent un obstacle pour les personnes qui ne savent pas comment se rendre de la gare jusqu’à leur destination finale. La fondation a donc lancé un appel à projet auprès des étudiants, laboratoires et start’up pour soutenir l’émergence d’initiatives innovantes répondant à l’enjeu du dernier kilomètre.
GERES [fr] Énergie hydroélectrique et environnement: quelle compatibilité?Mathieu Ruillet
Conference about hydropower vs. the environment: impacts, strengths, drawbacks, and ways forward for integrating hydropower development and river / river bodies health.
Rapport d'activité et liste des projets 2014-2015 - Fondation LISEA CarboneLISEA
La Fondation LISEA Carbone a pour objet de financer des projets liés à la réduction des émissions de gaz à effet de serre au sein des départements traversés par la LGV SEA. La fondation s'est tourné vers 3 axes : la performance énergétique des bâtiments, l'écomobilité, et la transition énergétique du monde agricole.
La dotation de la Fondation est de 5 millions d’euros pour la période 2012-2017.
La Fondation LISEA Carbone favorise les initiatives en matière d’éco-mobilitéLISEA
Bien que le train permette de parcourir rapidement de longues distances, le « dernier kilomètre » est souvent un obstacle pour les personnes qui ne savent pas comment se rendre de la gare jusqu’à leur destination finale. La fondation a donc lancé un appel à projet auprès des étudiants, laboratoires et start’up pour soutenir l’émergence d’initiatives innovantes répondant à l’enjeu du dernier kilomètre.
GERES [fr] Énergie hydroélectrique et environnement: quelle compatibilité?Mathieu Ruillet
Conference about hydropower vs. the environment: impacts, strengths, drawbacks, and ways forward for integrating hydropower development and river / river bodies health.
Projet de méthanisation collective de Cluny-JalognyRéseau Tepos
Projets citoyens
Créer une dynamique territoriale par la participation de tous
La participation des acteurs locaux, publics, associatifs ou citoyens, apparaît essentielle pour permettre la nécessaire réappropriation territoriale d’une approche énergétique historiquement centralisée.
Comment susciter la motivation de s’impliquer dans ces démarches participatives ? Quel est le rôle des collectivités locales dans leur mise en œuvre ? Comment ces projets publics et/ou citoyens interagissent sur les dynamiques territoriales en matière énergétique ?
Animé par Jacques QUANTIN, Vice-président d'Énergie Partagée
Interventions :
– Michel CHARLES, Maire de Longecourt-les-Culêtre
– Pierre DANIERE, Maire de Jalogny
– Isabelle GARDERES, Présidente fondatrice de la SCIC Combrailles Durables
Cet atelier s'est déroulé le jeudi 6 juin 2013 à Cluny (Pays Sud Bourgogne), dans le cadre des 3è rencontres nationales "énergie et territoires ruraux, vers des territoires à énergie positive".
Plus d'informations: www.territoires-energie-positive.fr
L’économie verte regroupe l’ensemble des activités économiques qui agissent en faveur de l’environnement (les éco-activités) ou impactés par les enjeux environnementaux (les activités périphériques).
Au total, les secteurs d’activité de l’économie verte emploient, en Île-de-France, 880 600 personnes. Au sein de ces 880 600 emplois, 246 000 exercent leur métier dans l’économie verte (4,5 % de l’économie régionale) : 15 600 sont des professionnels verts et 230 400 sont verdissants.
Démarche AGIR: appel à projets « Pour des exploitations et coopératives agric...Réseau Tepos
Agriculture et énergie
Accompagner le monde agricole en tant qu’acteur des territoires à énergie positive
Le monde agricole est un acteur majeur des territoires ruraux tant au niveau de l’emprise foncière, des ressources que de l’activité économique et sociale qu’il génère. Les agriculteurs consomment de l’énergie, mais en produisent également sous différentes formes.
Comment les agriculteurs participent-ils aux politiques énergétiques de leur territoire ?
Quels sont les freins, les interactions et les synergies entre le monde agricole et les territoires à énergie positive ?
Animé par Bertrand AUCORDONNIER, Chargé de mission Agriculture à l'ADEME Bourgogne
Interventions :
– Maxime MONCAMP, Ingénieur agriculture à l'ADEME Basse-Normandie
– Christophe MONNOT, Agriculteur en Côte-d'or
– Loïc DUQUY NICOUD, Chargé de mission Énergie au Conseil régional PACA
– Régis VECRIN, Conseiller agricole au Parc Naturel Régional Normandie-Maine
Cet atelier s'est déroulé le jeudi 6 juin 2013 à Cluny (Pays Sud Bourgogne), dans le cadre des 3è rencontres nationales "énergie et territoires ruraux, vers des territoires à énergie positive".
Plus d'informations: www.territoires-energie-positive.fr
Rapport d'activité 2016-2017 des fondations LISEALISEA
Depuis 2013, LISEA a souhaité s’inscrire en tant que réel partenaire des territoires que la LGV SEA traverse. Les deux fondations d’entreprise LISEA Carbone et LISEA Biodiversité sont une composante majeure de cette volonté d’accompagner les territoires et leurs acteurs. Depuis 4 ans, ce sont 184 projets qui ont fait l’objet d’un financement des Fondations.
En 2016, LISEA et MESEA se sont associés pour compléter leurs actions par un volet social et solidaire, en prenant en charge la gestion du Fonds de dotation Sillon Solidaire, piloté jusqu’alors par COSEA. Ce fonds finance et accompagne par un système de parrainage des projets luttant contre l’exclusion sociale sur les
départements traversés.
Projet de méthanisation collective de Cluny-JalognyRéseau Tepos
Projets citoyens
Créer une dynamique territoriale par la participation de tous
La participation des acteurs locaux, publics, associatifs ou citoyens, apparaît essentielle pour permettre la nécessaire réappropriation territoriale d’une approche énergétique historiquement centralisée.
Comment susciter la motivation de s’impliquer dans ces démarches participatives ? Quel est le rôle des collectivités locales dans leur mise en œuvre ? Comment ces projets publics et/ou citoyens interagissent sur les dynamiques territoriales en matière énergétique ?
Animé par Jacques QUANTIN, Vice-président d'Énergie Partagée
Interventions :
– Michel CHARLES, Maire de Longecourt-les-Culêtre
– Pierre DANIERE, Maire de Jalogny
– Isabelle GARDERES, Présidente fondatrice de la SCIC Combrailles Durables
Cet atelier s'est déroulé le jeudi 6 juin 2013 à Cluny (Pays Sud Bourgogne), dans le cadre des 3è rencontres nationales "énergie et territoires ruraux, vers des territoires à énergie positive".
Plus d'informations: www.territoires-energie-positive.fr
L’économie verte regroupe l’ensemble des activités économiques qui agissent en faveur de l’environnement (les éco-activités) ou impactés par les enjeux environnementaux (les activités périphériques).
Au total, les secteurs d’activité de l’économie verte emploient, en Île-de-France, 880 600 personnes. Au sein de ces 880 600 emplois, 246 000 exercent leur métier dans l’économie verte (4,5 % de l’économie régionale) : 15 600 sont des professionnels verts et 230 400 sont verdissants.
Démarche AGIR: appel à projets « Pour des exploitations et coopératives agric...Réseau Tepos
Agriculture et énergie
Accompagner le monde agricole en tant qu’acteur des territoires à énergie positive
Le monde agricole est un acteur majeur des territoires ruraux tant au niveau de l’emprise foncière, des ressources que de l’activité économique et sociale qu’il génère. Les agriculteurs consomment de l’énergie, mais en produisent également sous différentes formes.
Comment les agriculteurs participent-ils aux politiques énergétiques de leur territoire ?
Quels sont les freins, les interactions et les synergies entre le monde agricole et les territoires à énergie positive ?
Animé par Bertrand AUCORDONNIER, Chargé de mission Agriculture à l'ADEME Bourgogne
Interventions :
– Maxime MONCAMP, Ingénieur agriculture à l'ADEME Basse-Normandie
– Christophe MONNOT, Agriculteur en Côte-d'or
– Loïc DUQUY NICOUD, Chargé de mission Énergie au Conseil régional PACA
– Régis VECRIN, Conseiller agricole au Parc Naturel Régional Normandie-Maine
Cet atelier s'est déroulé le jeudi 6 juin 2013 à Cluny (Pays Sud Bourgogne), dans le cadre des 3è rencontres nationales "énergie et territoires ruraux, vers des territoires à énergie positive".
Plus d'informations: www.territoires-energie-positive.fr
Rapport d'activité 2016-2017 des fondations LISEALISEA
Depuis 2013, LISEA a souhaité s’inscrire en tant que réel partenaire des territoires que la LGV SEA traverse. Les deux fondations d’entreprise LISEA Carbone et LISEA Biodiversité sont une composante majeure de cette volonté d’accompagner les territoires et leurs acteurs. Depuis 4 ans, ce sont 184 projets qui ont fait l’objet d’un financement des Fondations.
En 2016, LISEA et MESEA se sont associés pour compléter leurs actions par un volet social et solidaire, en prenant en charge la gestion du Fonds de dotation Sillon Solidaire, piloté jusqu’alors par COSEA. Ce fonds finance et accompagne par un système de parrainage des projets luttant contre l’exclusion sociale sur les
départements traversés.
Contribution des CCI de France à la Conférence environnementale 2016CCI France
Les CCI de France formulent des propositions pour les trois tables rondes : 1/ Appliquer l’agenda des solutions pour la croissance verte, 2/ Impliquer citoyens, territoires et Etat dans la transition écologique, 3/ Préserver les milieux afin d’améliorer le cadre de vie et la santé de tous.
Ces propositions s’inscrivent dans la suite des travaux menés par le réseau depuis plusieurs années, et plus particulièrement depuis la première conférence environnementale de 2012. Membres du CNTE, les CCI souhaitent contribuer à la réussite de ces tables rondes.
[FRANCE] Newsletter Innovation décembre 2016LEYTON
Découvrez notre nouvelle newsletter dédiée au financement l'innovation. Au programme : réseaux énergétiques intelligents, microplastiques dans l'environnement, dépôt de brevet...
Vers une mobilité durable en milieu rural : Sébastien BOURCIER de l'ADEME expose les raisons et les leviers pour développer une mobilité durable en milieu rural. Une présentation faite à l'occasion de l'assemblée générale du CAUE de la Vendée (Conseil d'Architecture, d'Urbanisme et de l'Environnement).
Le rapport annuel 2020 de TWEED, détaille les six axes stratégiques du cluster, les sous-objectifs, ainsi que les grandes réalisations et chiffres-clés de l'année écoulée.
Le CompteEpargneCO2.com incite les foyers et les entreprises à réduire leurs émissions de CO2.
Sur CompteEpargneCO2.com, un foyer (ou une entreprise) peut calculer ses émissions de CO2, enregistrer ses actions de réductions (isolation, voiture moins polluante, ...), et ainsi être crédité chaque année jusqu'en 2020 en "kg de CO2" (1000 kg pour l'isolation, 5000 kg pour une Pompe à Chaleur). Ces kg de CO2 peuvent ensuite être échangés, contre des biens et services (billets de train, de spectacles, bons d'achats bas carbone), ou contre de l'argent provenant d
Afin d'évaluer l’impact de la ligne sur les populations à l'échelle du projet, l e suivi de la répartition du Castor sera assuré à large échelle sur les bassins versants interceptés dans le contexte jugé le plus contraint qu'est leur recolonisation des cours d'eau jusqu'i ci désertés. Il s'agira d'engager un suivi standardisé sur les réseaux hydrographiques du bassin de la Vienne (Vienne, Clain et affluents) dans le département 86.
Le Castor est en phase de « colonisation » du réseau hydrographique du bassin de la Vienne et notamment du sous bassin du Clain. À large échelle, la ligne peut potentiellement devenir un frein à cette colonisation dans le département de la Vienne si les aménagements réalisés n'assuraient pas correctement (en qualité et en quantité) la circulation de cette espèce à travers l'infrastructure.
Les suivis menés en 2018 sur le site du Bocage de Chaunay ont pour objectif de mettre en évidence les conséquences de la gestion menée sur le site pour la compensation des espèces impactées. Les groupes concernés par ces suivis sont les Oiseaux et le Damier de la succise. Le présent rapport fait état des résultats issus de ces suivis.
Suivi Nichoirs à Bergeronnette des ruisseaux - 2018 - PCNLISEA
En 2016, COSEA a sollicité la LPO en Vienne pour prospecter les ouvrages d’arts dans des secteurs de compensation pour la Bergeronnette des ruisseaux, espèce impactée par la construction de la ligne LGV Tours-Bordeaux.
Suite à ce travail de repérage 17 nichoirs ont pu être installés sur 10 ouvrages disposés en 2017 sur les cours d’eau de la Vonne, de la Longère et du Palais (Figure 1). Depuis 2018, la société LISEA intervient dans le maintien de ce suivi sur le long terme afin de répondre aux objectifs d’ évaluation de la plus value de la pose des nichoirs.
Il s’agit ici de la première année de suivi des nichoirs depuis leur pose. En parallèle du suivi des nichoirs, des points d’observations ont été placés le long de ces cours d’eau afin d’estimer le nombre de couples de Bergeronnette des ruisseaux dans la zone d’étude.
Les objectifs du suivi consistent à évaluer le succes de franchissement des ouvrages en évaluant la richesse spécifique (nombre d’espèces) et intra-spécifique (nombre d’individus) au niveau des ouvrages, et de mettre en évidence d’éventuels flux de migration pour les amphibiens.
Les hypothèses de travail sont les suivantes :
- Les passages petites faune prévus tout au long de la ligne permettront la traversée des individus de part et d'autre de la ligne
- Les ouvrages permettront de préserver des axes de migration (potentiels) transversaux à la ligne.
Ce suivi 2018 vient compléter les deux années précédentes de suivi.
En 2017 et en 2018, un suivi des gîtes à chiroptères a été réalisé. L’objectif de ce suivi est de vérifier l'efficacité de la création de gîtes artificiels dans les ouvrages d'art en évaluant le taux de colonisation par les chauves-souris des ouvrages aménagés en leur faveur et de suivre l’évolution de l’occupation des gîtes à différentes périodes de l’année. Ce suivi est basé sur l’identification des espèces présentes et le comptage des individus à intervalles réguliers sur une année complète.
Le suivi et l’analyse qui en découle visent également les objectifs suivants :
- distinguer s’il existe des différences d’utilisation suivant le type d’ouvrages mais également suivant le type de gîte.
- identifier et quantifier les différentes espèces présentes au sein de ces ouvrages et des gîtes ainsi que le type d’occupation (transit, mise bas...).
Les gîtes à chiroptères posés au niveau des ouvrages hydrauliques constituent des zones de haltes artificielles non négligeables pour le transit, voire la parturition (mise bas) des chiroptères. Les hypothèses de travail sont les suivantes :
- La pose de gîtes à chiroptères au niveau des ouvrages hydrauliques renforce leur potentiel d'accueil ;
- Le passage de la LGV sur l'ouvrage n'est pas un frein à l'occupation des gîtes par les chiroptères ;
- La fréquentation des ouvrages et des gîtes varie en fonction des typologies d'ouvrage et de gîte.
Afin de répondre aux objectifs fixés, un protocole spécifique a été élaboré et mis en place à l’échelle de 3 départements impactés par la ligne SEA : La Vienne, la Charente et la Charente maritime. L’année 2017 constitue la première année de ce suivi, qui constitue également l’année de mise en service de la ligne.
L’objectif du suivi paysager est, à l’échelle du projet, de s’assurer de l’efficacité des mesures retenues et d’évaluer les impacts résiduels réels sur l’environnement. D’une manière plus large, il a pour vocation d’améliorer la connaissance et d’assurer un retour d’expérience pour améliorer la prise en compte du paysage dans les projets d’infrastructures à venir.
L’outil mis en place pour le suivi paysager est un observatoire photographique portant sur environ 300 stations réparties sur les 12 sites.
En 2018, un an après la mise en service de la ligne, 5 campagnes photographiques ont déjà été effectuées :
3 en période de végétation et 2 en période hivernale (automne 2013, hiver 2013/2014, hiver 2015 printemps/été 2016, printemps/été 2018). La plupart des prestations environnementales et paysagères sont terminées.
Depuis 2017, la portion ferroviaire entre Tours et Bordeaux compte 340 km de lignes nouvelles. Ce projet a eu un impact sur la faune, la flore ou l’écoulement des eaux de pluie. Après avoir entrepris toutes les évolutions de tracé pour éviter les impacts majeurs, le projet a muté pour atténuer les impacts négatifs du tracé. Les impacts résiduels ont fait l’objet de mesures compensatoires. A ce titre, COSEA/LISEA a entrepris, le long du tracé, le creusement de plusieurs mares à vocation d’attractivité, de substitution ou de compensation. Cette mission a été confiée par COSEA au Conservatoire d’espaces naturels d’Aquitaine (CEN Aquitaine). Ainsi, quatre mares ont été réalisées en 2016, auxquelles s’ajoute la restauration d’une mare, sur la base des prescriptions techniques du CEN, et de deux supplémentaires creusées en 2017 qui sont venues grossir les effectifs.
Les mares font l’objet de suivi durant les trois premières années suivant leur création.
Ainsi cette année, le CEN Aquitaine a été missionné sur 7 mares pour mener les suivis de ces milieux conformément au protocole de suivi rédigé collégialement par l’ensemble des associations de protection de la nature travaillant à la mise en oeuvre des suivis écologiques sur la LGV SEA. Les quatre mares créées puis suivies en 2013 et 2014 ne sont plus intégrées aux suivis respectivement jusqu’en 2021 et 2022.
Le présent document fait le bilan du suivi 2018. Il a pour vocation d’évaluer la fonctionnalité des sites, d’apporter des éléments correctifs à la gestion des mares et à l’amélioration du suivi, ainsi que d’effectuer un retour d’expérience sur les mesures compensatoires.
Ce suivi vise à évaluer la colonisation et la fonctionnalité de ces mares créées. L'objectif principal est d'attester de l'efficience de ces entités pour les espèces à compenser.
Pour effectuer le suivi de la colonisation des mares, trois groupes taxonomiques sont étudiés : les amphibiens, les odonates et la flore, ce conformément au protocole transmis aux services de l'Etat pour validation.
Dans le cadre de la mise en oeuvre des actions de suivis des mesures de réduction liées à la réalisation de la Ligne à Grande Vitesse Sud Europe Atlantique (LGV SEA), LISEA a missionné le Conservatoire d’espaces naturels d’Aquitaine (CEN Aquitaine) pour mener le suivi de la transplantation des pieds d’Ail rose (Allium roseum L.) sur la parcelle de transplantation de la commune de Cubzac-les-Ponts.
Ce suivi fait suite aux dispositions de transplantation de l’espèce située sur les emprises de la ligne.
Les modalités de recueil, de stockage et de réimplantation des bulbes ont fait l’objet d’un protocole soumis pour approbation au Conservatoire Botanique National Sud Atlantique (CBNSA) et à la Direction Régionale de l’Environnement, de l’Aménagement et du Logement d’Aquitaine (DREAL Aquitaine) en septembre 2012. Ce protocole intègre également des éléments de description et de gestion de la zone d’accueil, ainsi qu’une méthode de suivi pour mesurer l’efficacité de l’opération de transplantation des pieds d’Ail rose réalisée en 2012. Des préconisations pour le maintien des populations situées immédiatement en marge de l’emprise travaux ayant fait l’objet d’une mesure d’évitement sont édictées.
Ce document fait suite à un suivi engagé par BIOTOPE en 2013 et par le CEN Aquitaine entre 2014 et 2017.
Suivi Flore : Odontite de Jaubert - 2016-2018 - CBNBPLISEA
Actualisation des stations d’Odontite de Jaubert (Odontites jaubertianus) en Indre-et-Loire. Bilan des prospections et programme d’actions.
Ce document a été réalisé par le Conservatoire botanique national du Bassin parisien, délégation Centre.
Ce projet, proposé dans le cadre du Contrat Territorial Vienne Aval, a pour objectif d’améliorer nos connaissances sur la répartition de l’espèce dans la Vienne (action A1.2 du PNA Grande Mulette) et notamment de rechercher de nouvelles stations abritant des individus vivants de cet invertébré qui est l’un des plus menacés au monde. Les prospections débutées en 2015 ont été menées sur la Vienne, en portant un effort plus important sur les secteurs localisés en aval de Châtellerault (Vienne Nature, 2015, 2016 et 2017). Ce rapport présente les résultats des inventaires menés sur la Vienne en 2018.
Le site d'étude "Prairies de Vouharte" a été acquis par le Conservatoire Régional d'Espaces Naturels du Poitou-Charentes dans le cadre des mesures compensatoires de la construction de la LGV SEA.
A l'heure de la mise ne place des mesures de gestion conservatoire, une série de suivis a été lancée sur les prairies humides et les ripisylves afin d'évaluer l'impact de la gestion proposée.
Le travail de suivi mené en 2017 par Charente Nature a concerné l'évaluation des habitats naturels de prairies humides et des ripisylves ainsi que le suivi de plusieurs taxons :
- suivi de la végétation des habitats naturels humides ouverts,
- suivi des Rhopalocères des prairies humides,
- suivi des communautés d'Orthoptères des prairies humides,
- suivi des oiseaux,
- suivi de la végétation des ripisylves,
- suivi des mammifères semai-aquatiques,
- suivi des odonates.
Ce rapport présente donc l'état des lieux des suivis réalisés en 2017.
Suivi IPR Veude de Poncay - 2018 - Fédération de pêche 37LISEA
Dans le cadre des mesures compensatoires, la Fédération d’Indre et Loire pour la Pêche et la Protection du Milieu Aquatique a diagnostiqué différents linéaires de la Veude de Poncay. Après validation des services de l’Etat, un projet de restauration de la morphologie et de la continuité écologique de ce cours d’eau a été retenu. Les travaux ont eu lieu de septembre à octobre 2017.
C'est dans ce cadre que la fédération de pêche d’Indre-et-Loire a réalisé la pêche électrique du 12 septembre 2018 dont fait état ce rapport. Elle correspond à l'année N+1 après travaux.
Le présent rapport fait état des résultats de l’indice IPR (Indice Poisson Rivière) et de l’évolution par rapport à la pêche « avant travaux » réalisées en août 2017.
Le présent suivi vise à étudier les populations existantes de Busards Saint-Martin, de Fauvettes Pitchou et d'Engoulevents d’Europe, sur plusieurs secteurs le long de la LGV SEA et d’évaluer l’influence potentielle de la Ligne à Grande Vitesse SEA Tours-Bordeaux sur les populations nicheuses de ces espèces (répartition, densité, réussite de reproduction) à court, moyen et long terme.
Ce dossier porte sur le suivi d'une population d'agrion de Mercure impactée par le tracé de la LGV SEA réalisé en 2017. Cette espèce possède des caractéristiques éconologiques qui font d'elle un bon indicateur de la transparence des ouvrages et de la continuité écologique des corridors aquatiques et des habitats humides alluviaux. Cette analyse est basée sur un protocole de capture/marquage/recapture qui permet de modéliser les déplacements des individus et de caractériser le fonctionnement de la population.
La Ligne à Grande Vitesse Sud Europe Atlantique de 340 kilomètres de long traverse 4 bassins versants (l’Indre, la Vienne, la Charente et la Dordogne) incluant chacun de nombreux cours d’eau, des zones humides ou encore des nappes d’eau souterraine.
Les bassins versants sont des entités hydrologiques cohérentes dans lesquels tous les écoulements des eaux convergent vers un même point, exutoire de ce bassin.
Les ressources en eau d’un bassin versant peuvent être soumises à de fortes pressions anthropiques (usages domestiques, agricoles, industriels, etc.) qui peuvent dégrader sa qualité et porter atteinte aux milieux aquatiques.
Potentiellement, la construction d’une infrastructure de transport comme la LGV SEA peut elle aussi avoir de nombreux impacts sur les ressources en eau aussi bien pendant la phase de travaux (2012-2016) que pendant la phase d’exploitation (à partir de 2017).
Afin d’évaluer ces impacts, des suivis des différentes ressources en eau sont nécessaires ; ils portent aussi bien sur des aspects quantitatifs que qualitatifs.
La Ligne à Grande Vitesse Sud Europe Atlantique de 340 kilomètres de long traverse 4 bassins versants (l’Indre, la Vienne, la Charente et la Dordogne) incluant chacun de nombreux cours d’eau, des zones humides ou encore des nappes d’eau souterraine.
Les bassins versants sont des entités hydrologiques cohérentes dans lesquels tous les écoulements des eaux convergent vers un même point, exutoire de ce bassin.
Les ressources en eau d’un bassin versant peuvent être soumises à de fortes pressions anthropiques (usages domestiques, agricoles, industriels, etc.) qui peuvent dégrader sa qualité et porter atteinte aux milieux aquatiques.
Potentiellement, la construction d’une infrastructure de transport comme la LGV SEA peut elle aussi avoir de nombreux impacts sur les ressources en eau aussi bien pendant la phase de travaux (2012-2016) que pendant la phase d’exploitation (à partir de 2017).
Afin d’évaluer ces impacts, des suivis des différentes ressources en eau sont nécessaires ; ils portent aussi bien sur des aspects quantitatifs que qualitatifs.
La Ligne à Grande Vitesse Sud Europe Atlantique de 340 kilomètres de long traverse 4 bassins versants (l’Indre, la Vienne, la Charente et la Dordogne) incluant chacun de nombreux cours d’eau, des zones humides ou encore des nappes d’eau souterraine.
Les bassins versants sont des entités hydrologiques cohérentes dans lesquels tous les écoulements des eaux convergent vers un même point, exutoire de ce bassin.
Les ressources en eau d’un bassin versant peuvent être soumises à de fortes pressions anthropiques (usages domestiques, agricoles, industriels, etc.) qui peuvent dégrader sa qualité et porter atteinte aux milieux aquatiques.
Potentiellement, la construction d’une infrastructure de transport comme la LGV SEA peut elle aussi avoir de nombreux impacts sur les ressources en eau aussi bien pendant la phase de travaux (2012-2016) que pendant la phase d’exploitation (à partir de 2017).
Afin d’évaluer ces impacts, des suivis des différentes ressources en eau sont nécessaires ; ils portent aussi bien sur des aspects quantitatifs que qualitatifs.