Dotée de 5 millions d’euros pour la période 2012-2020, la Fondation participe au financement de projets de proximité qui sont proposés par des associations, entreprises ou établissements publics de recherche implantés dans l’un des six départements concernés par le tracé de la ligne à grande vitesse : Indre-et-Loire, Vienne, Deux-Sèvres, Charente, Charente-Maritime et Gironde.
Depuis 2013 et ce sont près de 50 journées de formation qui ont été organisées par les structures engagées. Les actions aidées par la Fondation sont complémentaires des engagements réglementaires déjà pris par LISEA, COSEA et SNCF Réseau, et viennent en sus des mesures compensatoires du projet. La fondation s'est tourné vers 3 axes : améliorer les connaissances naturalistes, protéger les espèces et leurs habitats, sensibiliser et former les acteurs du territoire.
Rapport d'activité et liste des projets 2015-2016 - Fondation LISEA BiodiversitéLISEA
Dotée de 5 millions d’euros pour la période 2012-2020, la Fondation participe au financement de projets de proximité qui sont proposés par des associations, entreprises ou établissements publics de recherche implantés dans l’un des six départements concernés par le tracé de la ligne à grande vitesse : Indre-et-Loire, Vienne, Deux-Sèvres, Charente, Charente-Maritime et Gironde.
Depuis 2013 et ce sont près de 50 journées de formation qui ont été organisées par les structures engagées. Les actions aidées par la Fondation sont complémentaires des engagements réglementaires déjà pris par LISEA, COSEA et SNCF Réseau, et viennent en sus des mesures compensatoires du projet. La fondation s'est tourné vers 3 axes : améliorer les connaissances naturalistes, protéger les espèces et leurs habitats, sensibiliser et former les acteurs du territoire.
Rapport d'activité et liste des projets 2013-2014 - Fondation LISEA BiodiversitéLISEA
Dotée de 5 millions d’euros pour la période 2012-2020, la Fondation participe au financement de projets de proximité qui sont proposés par des associations, entreprises ou établissements publics de recherche implantés dans l’un des six départements concernés par le tracé de la ligne à grande vitesse : Indre-et-Loire, Vienne, Deux-Sèvres, Charente, Charente-Maritime et Gironde.
Depuis 2013 et ce sont près de 50 journées de formation qui ont été organisées par les structures engagées. Les actions aidées par la Fondation sont complémentaires des engagements réglementaires déjà pris par LISEA, COSEA et SNCF Réseau, et viennent en sus des mesures compensatoires du projet. La fondation s'est tourné vers 3 axes : améliorer les connaissances naturalistes, protéger les espèces et leurs habitats, sensibiliser et former les acteurs du territoire.
Rapport d'activité 2016-2017 des fondations LISEALISEA
Depuis 2013, LISEA a souhaité s’inscrire en tant que réel partenaire des territoires que la LGV SEA traverse. Les deux fondations d’entreprise LISEA Carbone et LISEA Biodiversité sont une composante majeure de cette volonté d’accompagner les territoires et leurs acteurs. Depuis 4 ans, ce sont 184 projets qui ont fait l’objet d’un financement des Fondations.
En 2016, LISEA et MESEA se sont associés pour compléter leurs actions par un volet social et solidaire, en prenant en charge la gestion du Fonds de dotation Sillon Solidaire, piloté jusqu’alors par COSEA. Ce fonds finance et accompagne par un système de parrainage des projets luttant contre l’exclusion sociale sur les
départements traversés.
Rapport d'activité et liste des projets 2015-2016 - Fondation LISEA CarboneLISEA
La Fondation LISEA Carbone a pour objet de financer des projets liés à la réduction des émissions de gaz à effet de serre au sein des départements traversés par la LGV SEA. La fondation s'est tourné vers 3 axes : la performance énergétique des bâtiments, l'écomobilité, et la transition énergétique du monde agricole.
La dotation de la Fondation est de 5 millions d’euros pour la période 2012-2017.
Rapport d'activité et liste des projets 2014-2015 - Fondation LISEA CarboneLISEA
La Fondation LISEA Carbone a pour objet de financer des projets liés à la réduction des émissions de gaz à effet de serre au sein des départements traversés par la LGV SEA. La fondation s'est tourné vers 3 axes : la performance énergétique des bâtiments, l'écomobilité, et la transition énergétique du monde agricole.
La dotation de la Fondation est de 5 millions d’euros pour la période 2012-2017.
Projet Od'spot soutenu par la Fondation Lisea BiodiversitéLISEA
En Indre-et-Loire, l’Institut de Recherche sur la Biologie de l’Insecte (CNRS) et l’association Caudalis étudient la façon dont le paysage et ses évolutions structurent les communautés de libellules (dispersion, reproduction, activités). Ces espèces sont de véritables indicateurs du bon état des milieux humides. Le projet est cofinancé par la DREAL Centre, le Conseil Général d’Indre-et-Loire et l'Agence de l'eau Loire-Bretagne. La Fondation LISEA Biodiversité a également apporté un soutien financier et d'accompagnement
Rapport d'activité et liste des projets 2015-2016 - Fondation LISEA BiodiversitéLISEA
Dotée de 5 millions d’euros pour la période 2012-2020, la Fondation participe au financement de projets de proximité qui sont proposés par des associations, entreprises ou établissements publics de recherche implantés dans l’un des six départements concernés par le tracé de la ligne à grande vitesse : Indre-et-Loire, Vienne, Deux-Sèvres, Charente, Charente-Maritime et Gironde.
Depuis 2013 et ce sont près de 50 journées de formation qui ont été organisées par les structures engagées. Les actions aidées par la Fondation sont complémentaires des engagements réglementaires déjà pris par LISEA, COSEA et SNCF Réseau, et viennent en sus des mesures compensatoires du projet. La fondation s'est tourné vers 3 axes : améliorer les connaissances naturalistes, protéger les espèces et leurs habitats, sensibiliser et former les acteurs du territoire.
Rapport d'activité et liste des projets 2013-2014 - Fondation LISEA BiodiversitéLISEA
Dotée de 5 millions d’euros pour la période 2012-2020, la Fondation participe au financement de projets de proximité qui sont proposés par des associations, entreprises ou établissements publics de recherche implantés dans l’un des six départements concernés par le tracé de la ligne à grande vitesse : Indre-et-Loire, Vienne, Deux-Sèvres, Charente, Charente-Maritime et Gironde.
Depuis 2013 et ce sont près de 50 journées de formation qui ont été organisées par les structures engagées. Les actions aidées par la Fondation sont complémentaires des engagements réglementaires déjà pris par LISEA, COSEA et SNCF Réseau, et viennent en sus des mesures compensatoires du projet. La fondation s'est tourné vers 3 axes : améliorer les connaissances naturalistes, protéger les espèces et leurs habitats, sensibiliser et former les acteurs du territoire.
Rapport d'activité 2016-2017 des fondations LISEALISEA
Depuis 2013, LISEA a souhaité s’inscrire en tant que réel partenaire des territoires que la LGV SEA traverse. Les deux fondations d’entreprise LISEA Carbone et LISEA Biodiversité sont une composante majeure de cette volonté d’accompagner les territoires et leurs acteurs. Depuis 4 ans, ce sont 184 projets qui ont fait l’objet d’un financement des Fondations.
En 2016, LISEA et MESEA se sont associés pour compléter leurs actions par un volet social et solidaire, en prenant en charge la gestion du Fonds de dotation Sillon Solidaire, piloté jusqu’alors par COSEA. Ce fonds finance et accompagne par un système de parrainage des projets luttant contre l’exclusion sociale sur les
départements traversés.
Rapport d'activité et liste des projets 2015-2016 - Fondation LISEA CarboneLISEA
La Fondation LISEA Carbone a pour objet de financer des projets liés à la réduction des émissions de gaz à effet de serre au sein des départements traversés par la LGV SEA. La fondation s'est tourné vers 3 axes : la performance énergétique des bâtiments, l'écomobilité, et la transition énergétique du monde agricole.
La dotation de la Fondation est de 5 millions d’euros pour la période 2012-2017.
Rapport d'activité et liste des projets 2014-2015 - Fondation LISEA CarboneLISEA
La Fondation LISEA Carbone a pour objet de financer des projets liés à la réduction des émissions de gaz à effet de serre au sein des départements traversés par la LGV SEA. La fondation s'est tourné vers 3 axes : la performance énergétique des bâtiments, l'écomobilité, et la transition énergétique du monde agricole.
La dotation de la Fondation est de 5 millions d’euros pour la période 2012-2017.
Projet Od'spot soutenu par la Fondation Lisea BiodiversitéLISEA
En Indre-et-Loire, l’Institut de Recherche sur la Biologie de l’Insecte (CNRS) et l’association Caudalis étudient la façon dont le paysage et ses évolutions structurent les communautés de libellules (dispersion, reproduction, activités). Ces espèces sont de véritables indicateurs du bon état des milieux humides. Le projet est cofinancé par la DREAL Centre, le Conseil Général d’Indre-et-Loire et l'Agence de l'eau Loire-Bretagne. La Fondation LISEA Biodiversité a également apporté un soutien financier et d'accompagnement
Diaporama diffusé lors de la réunion publique de présentation du projet de création d'une recyclerie associative en Golfe du Morbihan (Bretagne-France)
#NADOT19 - Atelier 7 : Accompagner les professionnelsMONA
Mon office de tourisme s'engage avec les professionnels : sensibiliser, relayer et accompagner les initiatives des privés.
Réalisé dans le cadre du #NADOT19 par Jérôme Lay, Lionel Pacaud et Emrick Herbaut.
Observatoire Unep-Hortis des villes vertes - Janvier 2015 mcarcreff
L’Unep – les entreprises du paysage – et Hortis, organisation rassemblant les responsables d’espaces nature en ville, ont décidé de s’associer pour créer l’Observatoire des villes vertes. A l’heure de la « ville sensible », nouveau paradigme urbain au sein duquel le végétal est appelé à jouer un rôle croissant, l’Unep – les entreprises du paysage – et Hortis souhaitent, avec cet Observatoire, développer la réflexion sur les perspectives de la ville verte en France et promouvoir le foisonnement d’initiatives végétales en milieu urbain. Ainsi, un panel d’experts, composé d’une vingtaine de cadres territoriaux, a été mis en place pour nourrir la réflexion sur ces sujets-clés.
Comment mieux appréhender les enjeux de la ville verte en France ? A quelles problématiques actuelles les villes Françaises sont-elles confrontées en matière de gestion des espaces verts ? Quels sont les projets-phares en cours et à venir ? Quelles sont les tendances en matière d’aménagements paysagers ? Y a-t-il des expérimentations ou innovations prometteuses ? Quelles sont les initiatives végétales emblématiques en milieu urbain ?
Observatoire des villes vertes / Des jardins pour le Climatmcarcreff
2ème vague de l'Observatoire des villes vertes de l'Unep. Découvrez la place du végétal dans les politiques "développement durable" des villes de France. En bonus, focus sur la végétalisation éphémère.
Actes du Séminaire du Parc des Coteaux Rive Droite (31 mai 2011)Jaime Larivedroite
Actes du 1er Séminaire du Parc des Coteaux, le 31 mai 2011 à Bassens, Gironde.
Le Grand Projet des Villes – Rive Droite proposait le 31 mai 2011 une journée d’information et de travail consacrée au parc des Coteaux, à ses aménagements, sa gestion, son animation, sa promotion, son rôle dans le développement et le rayonnement de la Rive Droite et dans la préservation du cadre de vie.
le parc des Coteaux, colonne végétale de la Rive Droite
Représentant 400 hectares d’espace vert en coeur d’agglomération, les coteaux de la Rive Droite, espace naturel protégé, deviennent au fil du temps et des projets, un parc urbain, le lien vert qui relie et irrigue les 4 communes du GPV et un marqueur identitaire fort
Projet de gobelets réutilisables à l’ESAT de TrélissacEko-think
Ce projet a pour objectif de mettre en place en Dordogne un service de stockage, lavage et location de gobelets réutilisables pour les organisateurs d’évènements du département, notamment. La gestion de ce service serait faite par l’ESAT OSEA à Trélissac1.
Les enjeux sont nombreux, à la fois environnementaux (réduction des déchets, de matières premières et d’énergie), économiques (diminution des coûts, développement économique local) et sociaux en favorisant l’activité d’une entreprise d’insertion.
La Fondation LISEA Carbone favorise les initiatives en matière d’éco-mobilitéLISEA
Bien que le train permette de parcourir rapidement de longues distances, le « dernier kilomètre » est souvent un obstacle pour les personnes qui ne savent pas comment se rendre de la gare jusqu’à leur destination finale. La fondation a donc lancé un appel à projet auprès des étudiants, laboratoires et start’up pour soutenir l’émergence d’initiatives innovantes répondant à l’enjeu du dernier kilomètre.
Centre Beautour
la biodiversité en Pays de la Loire
Animateur de réseaux et
catalyseur de projets de
recherche
Centre Beautour
Inauguré en juin 2013, le centre régional pour la
biodiversité Beautour redonne vie à l’héritage du
naturaliste vendéen Georges Durand (1886-1964).
Devenu un site de sensibilisation à
l’environnement et au développement
durable, la demeure de Georges Durand est un
lieu de recherche appliquée et d’innovation
en matière de pratiques agricoles respectueuses
de l’environnement ou d’étude d’écosystèmes,
mobilisant chercheurs, acteurs associatifs collectivités
et entreprises…
« La création d’un lieu de référence sur la
biodiversité à l’échelle régionale et ses enjeux
est pour nous une nécessité. Elle doit nous
permettre d’éclairer l’avenir. »
Afin que la ligne à grande vitesse SEA s’insère au mieux dans les territoires qu’elle traverse, LISEA
et COSEA ont intégré le respect des milieux traversés dès l’élaboration du projet et tout au long
de la construction. Une trentaine de kilomètres de protections acoustiques a ainsi été aménagée
au plus près de l’infrastructure pour protéger les riverains.
Diaporama diffusé lors de la réunion publique de présentation du projet de création d'une recyclerie associative en Golfe du Morbihan (Bretagne-France)
#NADOT19 - Atelier 7 : Accompagner les professionnelsMONA
Mon office de tourisme s'engage avec les professionnels : sensibiliser, relayer et accompagner les initiatives des privés.
Réalisé dans le cadre du #NADOT19 par Jérôme Lay, Lionel Pacaud et Emrick Herbaut.
Observatoire Unep-Hortis des villes vertes - Janvier 2015 mcarcreff
L’Unep – les entreprises du paysage – et Hortis, organisation rassemblant les responsables d’espaces nature en ville, ont décidé de s’associer pour créer l’Observatoire des villes vertes. A l’heure de la « ville sensible », nouveau paradigme urbain au sein duquel le végétal est appelé à jouer un rôle croissant, l’Unep – les entreprises du paysage – et Hortis souhaitent, avec cet Observatoire, développer la réflexion sur les perspectives de la ville verte en France et promouvoir le foisonnement d’initiatives végétales en milieu urbain. Ainsi, un panel d’experts, composé d’une vingtaine de cadres territoriaux, a été mis en place pour nourrir la réflexion sur ces sujets-clés.
Comment mieux appréhender les enjeux de la ville verte en France ? A quelles problématiques actuelles les villes Françaises sont-elles confrontées en matière de gestion des espaces verts ? Quels sont les projets-phares en cours et à venir ? Quelles sont les tendances en matière d’aménagements paysagers ? Y a-t-il des expérimentations ou innovations prometteuses ? Quelles sont les initiatives végétales emblématiques en milieu urbain ?
Observatoire des villes vertes / Des jardins pour le Climatmcarcreff
2ème vague de l'Observatoire des villes vertes de l'Unep. Découvrez la place du végétal dans les politiques "développement durable" des villes de France. En bonus, focus sur la végétalisation éphémère.
Actes du Séminaire du Parc des Coteaux Rive Droite (31 mai 2011)Jaime Larivedroite
Actes du 1er Séminaire du Parc des Coteaux, le 31 mai 2011 à Bassens, Gironde.
Le Grand Projet des Villes – Rive Droite proposait le 31 mai 2011 une journée d’information et de travail consacrée au parc des Coteaux, à ses aménagements, sa gestion, son animation, sa promotion, son rôle dans le développement et le rayonnement de la Rive Droite et dans la préservation du cadre de vie.
le parc des Coteaux, colonne végétale de la Rive Droite
Représentant 400 hectares d’espace vert en coeur d’agglomération, les coteaux de la Rive Droite, espace naturel protégé, deviennent au fil du temps et des projets, un parc urbain, le lien vert qui relie et irrigue les 4 communes du GPV et un marqueur identitaire fort
Projet de gobelets réutilisables à l’ESAT de TrélissacEko-think
Ce projet a pour objectif de mettre en place en Dordogne un service de stockage, lavage et location de gobelets réutilisables pour les organisateurs d’évènements du département, notamment. La gestion de ce service serait faite par l’ESAT OSEA à Trélissac1.
Les enjeux sont nombreux, à la fois environnementaux (réduction des déchets, de matières premières et d’énergie), économiques (diminution des coûts, développement économique local) et sociaux en favorisant l’activité d’une entreprise d’insertion.
La Fondation LISEA Carbone favorise les initiatives en matière d’éco-mobilitéLISEA
Bien que le train permette de parcourir rapidement de longues distances, le « dernier kilomètre » est souvent un obstacle pour les personnes qui ne savent pas comment se rendre de la gare jusqu’à leur destination finale. La fondation a donc lancé un appel à projet auprès des étudiants, laboratoires et start’up pour soutenir l’émergence d’initiatives innovantes répondant à l’enjeu du dernier kilomètre.
Centre Beautour
la biodiversité en Pays de la Loire
Animateur de réseaux et
catalyseur de projets de
recherche
Centre Beautour
Inauguré en juin 2013, le centre régional pour la
biodiversité Beautour redonne vie à l’héritage du
naturaliste vendéen Georges Durand (1886-1964).
Devenu un site de sensibilisation à
l’environnement et au développement
durable, la demeure de Georges Durand est un
lieu de recherche appliquée et d’innovation
en matière de pratiques agricoles respectueuses
de l’environnement ou d’étude d’écosystèmes,
mobilisant chercheurs, acteurs associatifs collectivités
et entreprises…
« La création d’un lieu de référence sur la
biodiversité à l’échelle régionale et ses enjeux
est pour nous une nécessité. Elle doit nous
permettre d’éclairer l’avenir. »
Afin que la ligne à grande vitesse SEA s’insère au mieux dans les territoires qu’elle traverse, LISEA
et COSEA ont intégré le respect des milieux traversés dès l’élaboration du projet et tout au long
de la construction. Une trentaine de kilomètres de protections acoustiques a ainsi été aménagée
au plus près de l’infrastructure pour protéger les riverains.
Dans le cadre de la mise en oeuvre des actions de suivis des mesures de réduction liées à la réalisation de la ligne à grande vitesse Sud Europe Atlantique (LGV SEA), LISEA a missionné le Conservatoire d’espaces naturels d’Aquitaine (CEN Aquitaine) pour mener le suivi de la transplantation des pieds d’ail rose sur la parcelle de transplantation sur la commune de Cubzac-les-Ponts.
La fritillaire pintade (fritillaria meleagris L.) est une espèce protégée au niveau régional (arrêté du 12 mai 1993 relatif à la liste des espèces végétales protégées en région Centre).
En prévention de la destruction de son habitat dans le cadre de la construction de la LGV SEA, un transfert de fritillaire pintade a été effectué. Celui-ci a conduit à la recherche de sites d'accueil, ce dans l'urgence. L'évaluation de la réussite de ces mesures de réduction d'impact demande un suivi de ces sites.
Dans le cas de cette espèce, l'indicateur, qui nous permettra de suivre son implantation sur le site d'accueil, est le nombre de pieds. Le protocole a été établi en concertation avec toutes les associations de protection de la nature à l'échelle de la ligne.
Ce rapport concerne le site de transfert de Saint-Maure de Touraine (37)
Ce document présente une dizaine d'espèces protégées, emblématiques des mesures prises sur le projet de la LGV SEA Tours-Bordeaux : la gesse des marais, la chouette chevêche, l'écureuil roux, la bacchante, la fritillaire pintade, la grande mulette, l'outarde canepetière, la renoncule à feuilles d'ophioglosse, la rainette méridionale, la céphalanthère à longues feuilles, la salamandre tachetée, l'ail rose.
Press kit - South Europe Atlantic high-speed rail lineLISEA
The overarching goal for this new infrastructure is to shorten travel times. It will take 2 hours
and 4 minutes to travel from Paris to Bordeaux (over an hour less than before), trips between
Tours and Bordeaux will take 1 hour 30 minutes (instead of 2 hours 30 minutes), and trips
between Poitiers and Bordeaux 1 hour (instead of 1 hour 49 minutes).
Le CEREMA (antennes de Nantes et de Bordeaux) a réalisé un observatoire paysager de la ligne sur 19 sites emblématiques. Un protocole a permis de relever les stations photographiques et de déterminer les critères d’évolution. Deux campagnes ont déjà été réalisées en phase travaux en 2014 et 2015. Une 3ème campagne est programmée en 2016 alors que les travaux de terrassements seront achevés (avant la mise en service de la Ligne). Ce travail se poursuivra après 2017.
Suivi du jumelage des infrastructures - 2014 - OGE LISEA
Une étude sur les enjeux de jumelage d’infrastructures a été réalisée par le Bureau d’Etudes Office de Génie Ecologique (OGE). Ce travail présente les enjeux identifiés en phase travaux. Une seconde étude est programmée après la mise en service afin de constater si les enjeux se révèlent confirmer et en tirer les retours d’expérience nécessaires.
Plaquette de présentation de l'ARPE Midi-Pyrénées, l'agence régionale du déve...AREC Occitanie
Agence régionale spécialisée dans le développement durable, l’ARPE a été créée à l’initiative de la Région Midi-Pyrénées et d’associations régionales de l’environnement en 1991. Réunissant près de 100 membres (institutions, associations, professionnels), elle a pour ambition d’accompagner les acteurs des territoires dans leur démarche de développement durable, en cohérence avec les politiques régionales.
CR 05-02-2024 groupe de travail de sensibilisation à la Grande Muraille Verte...Kevin Lognoné
Quoi ? projet I2(ED): Interscolaires Éco Délégués pour une Éducation au Développement Durable
Comment ? Bâtir un partenariat de sensibilisation aux enjeux éducatifs de la Grande Muraille Verte
Partenaire ? Agence sénégalaise de la Reforestation et de la Grande Muraille verte (ASERGMV) qui promeut un Sénégal vert. / asergmv
Date : 22 février 2024, Réunion sur Zoom, logiciel de visiophonie
Animation : Abdou DIOME Compte-rendu : Kevin LOGNONÉ
Coordinateurs nationaux présents : Félicia PREIRA et Maxime JANZAC
Ministères représentés : Ministère de l’éducation nationale du Sénégal, Ministère de la jeunesse du Sénégal
Lieux identifiés : Grande muraille verte (Ranérou) et Parc national des oiseaux du Djoudj (Saint-Louis) pour la caravane scolaire de sensibilisation et de découverte de la Grande muraille verte (vendredi, samedi et dimanche pendant les fêtes de la jeunesse de Pâques.
"Od’spot" : un partenariat sur les libellules rares (37)LISEA
En Indre-et-Loire, l’Institut de Recherche sur la Biologie de l’Insecte (CNRS) et l’association Caudalis étudient la façon dont le paysage et ses évolutions structurent les communautés de libellules (dispersion, reproduction, activités). Ces espèces sont de véritables indicateurs du bon état des milieux humides. Le projet est cofinancé par la DREAL Centre, le Conseil Général d’Indre-et-Loire et l'Agence de l'eau Loire-Bretagne. La Fondation LISEA Biodiversité a apporté un soutien financier et d'accompagnement.
Communiqué de presse Réinventer Paris 2 - Accompagnement maîtrise d'ouvrageGhislain Delabie
OuiShare assistera la Ville de Paris et ses partenaires dans l'évaluation et le renforcement des propositions d'innovations des projets soumis dans le cadre de Réinventer Paris 2 - Les dessous de Paris
Livret final de la résidence menée avec le Service Energies, Déchets, Air et Technologies de l'Environnement de la Région Provence Alpes Cote d'Azur, dans le cadre du programme Territoires en résidences.
La proposition d'un projet d'intelligence territoriale : " Un écovillage à l'...Mariem SELLAMI
"L’économie territoriale se présente comme une nouvelle économie spatiale à savoir une économie qui réunit l’ensemble des facteurs qualitatifs qui façonnent la société d’un territoire." -Courlet C, Pecqueur B (L’économie territoriale)
C'est dans cette optique que s'inscrit notre projet qui fait appel à la nécessité de repenser intelligemment le territoire de kerkennah pour Être mieux armé et plus réactif face à cet environnement instable.
« Démarche de mise en place du projet d’IT :Une écovillage à l’archipel de Ke...Seifeddine Dridi
L’intelligence territoriale est le projet scientifique « Poly disciplinaire » dont l’objet est le développement durable des territoires et dont les communautés territoriales sont les sujets.
Elle se fonde sur une vision systémique du territoire, intégrant un espace géographique, une communauté, ses représentations et ses comportements. Elle accorde une importance à l’échelle locale dans une logique interscalaire, du local au global.
C’est une intelligence collective qui se fonde, d’une part sur l’interaction entre chaque être humain et son environnement et, d’autre part, sur les relations entre les personnes.
Compte-rendu du séminaire "Dynamique de l'innovation dans les territoires"Alain KHEMILI
Ce séminaire s’inscrit dans un mouvement de réflexion et d’échanges sur l’implication des villes et agglomérations
en soutien à l’Enseignement Supérieur et la Recherche (ESR) organisé par le Bloc local composé de l’AdCF, l’ACUF, l’AMGVF, la FNAU et l’AVUF en partenariat avec la CPU, la Caisse des Dépôts et CCI France.
Similaire à Rapport d'activité et liste des projets 2014-2015 - Fondation LISEA Biodiversité (20)
Afin d'évaluer l’impact de la ligne sur les populations à l'échelle du projet, l e suivi de la répartition du Castor sera assuré à large échelle sur les bassins versants interceptés dans le contexte jugé le plus contraint qu'est leur recolonisation des cours d'eau jusqu'i ci désertés. Il s'agira d'engager un suivi standardisé sur les réseaux hydrographiques du bassin de la Vienne (Vienne, Clain et affluents) dans le département 86.
Le Castor est en phase de « colonisation » du réseau hydrographique du bassin de la Vienne et notamment du sous bassin du Clain. À large échelle, la ligne peut potentiellement devenir un frein à cette colonisation dans le département de la Vienne si les aménagements réalisés n'assuraient pas correctement (en qualité et en quantité) la circulation de cette espèce à travers l'infrastructure.
Les suivis menés en 2018 sur le site du Bocage de Chaunay ont pour objectif de mettre en évidence les conséquences de la gestion menée sur le site pour la compensation des espèces impactées. Les groupes concernés par ces suivis sont les Oiseaux et le Damier de la succise. Le présent rapport fait état des résultats issus de ces suivis.
Suivi Nichoirs à Bergeronnette des ruisseaux - 2018 - PCNLISEA
En 2016, COSEA a sollicité la LPO en Vienne pour prospecter les ouvrages d’arts dans des secteurs de compensation pour la Bergeronnette des ruisseaux, espèce impactée par la construction de la ligne LGV Tours-Bordeaux.
Suite à ce travail de repérage 17 nichoirs ont pu être installés sur 10 ouvrages disposés en 2017 sur les cours d’eau de la Vonne, de la Longère et du Palais (Figure 1). Depuis 2018, la société LISEA intervient dans le maintien de ce suivi sur le long terme afin de répondre aux objectifs d’ évaluation de la plus value de la pose des nichoirs.
Il s’agit ici de la première année de suivi des nichoirs depuis leur pose. En parallèle du suivi des nichoirs, des points d’observations ont été placés le long de ces cours d’eau afin d’estimer le nombre de couples de Bergeronnette des ruisseaux dans la zone d’étude.
Les objectifs du suivi consistent à évaluer le succes de franchissement des ouvrages en évaluant la richesse spécifique (nombre d’espèces) et intra-spécifique (nombre d’individus) au niveau des ouvrages, et de mettre en évidence d’éventuels flux de migration pour les amphibiens.
Les hypothèses de travail sont les suivantes :
- Les passages petites faune prévus tout au long de la ligne permettront la traversée des individus de part et d'autre de la ligne
- Les ouvrages permettront de préserver des axes de migration (potentiels) transversaux à la ligne.
Ce suivi 2018 vient compléter les deux années précédentes de suivi.
En 2017 et en 2018, un suivi des gîtes à chiroptères a été réalisé. L’objectif de ce suivi est de vérifier l'efficacité de la création de gîtes artificiels dans les ouvrages d'art en évaluant le taux de colonisation par les chauves-souris des ouvrages aménagés en leur faveur et de suivre l’évolution de l’occupation des gîtes à différentes périodes de l’année. Ce suivi est basé sur l’identification des espèces présentes et le comptage des individus à intervalles réguliers sur une année complète.
Le suivi et l’analyse qui en découle visent également les objectifs suivants :
- distinguer s’il existe des différences d’utilisation suivant le type d’ouvrages mais également suivant le type de gîte.
- identifier et quantifier les différentes espèces présentes au sein de ces ouvrages et des gîtes ainsi que le type d’occupation (transit, mise bas...).
Les gîtes à chiroptères posés au niveau des ouvrages hydrauliques constituent des zones de haltes artificielles non négligeables pour le transit, voire la parturition (mise bas) des chiroptères. Les hypothèses de travail sont les suivantes :
- La pose de gîtes à chiroptères au niveau des ouvrages hydrauliques renforce leur potentiel d'accueil ;
- Le passage de la LGV sur l'ouvrage n'est pas un frein à l'occupation des gîtes par les chiroptères ;
- La fréquentation des ouvrages et des gîtes varie en fonction des typologies d'ouvrage et de gîte.
Afin de répondre aux objectifs fixés, un protocole spécifique a été élaboré et mis en place à l’échelle de 3 départements impactés par la ligne SEA : La Vienne, la Charente et la Charente maritime. L’année 2017 constitue la première année de ce suivi, qui constitue également l’année de mise en service de la ligne.
L’objectif du suivi paysager est, à l’échelle du projet, de s’assurer de l’efficacité des mesures retenues et d’évaluer les impacts résiduels réels sur l’environnement. D’une manière plus large, il a pour vocation d’améliorer la connaissance et d’assurer un retour d’expérience pour améliorer la prise en compte du paysage dans les projets d’infrastructures à venir.
L’outil mis en place pour le suivi paysager est un observatoire photographique portant sur environ 300 stations réparties sur les 12 sites.
En 2018, un an après la mise en service de la ligne, 5 campagnes photographiques ont déjà été effectuées :
3 en période de végétation et 2 en période hivernale (automne 2013, hiver 2013/2014, hiver 2015 printemps/été 2016, printemps/été 2018). La plupart des prestations environnementales et paysagères sont terminées.
Depuis 2017, la portion ferroviaire entre Tours et Bordeaux compte 340 km de lignes nouvelles. Ce projet a eu un impact sur la faune, la flore ou l’écoulement des eaux de pluie. Après avoir entrepris toutes les évolutions de tracé pour éviter les impacts majeurs, le projet a muté pour atténuer les impacts négatifs du tracé. Les impacts résiduels ont fait l’objet de mesures compensatoires. A ce titre, COSEA/LISEA a entrepris, le long du tracé, le creusement de plusieurs mares à vocation d’attractivité, de substitution ou de compensation. Cette mission a été confiée par COSEA au Conservatoire d’espaces naturels d’Aquitaine (CEN Aquitaine). Ainsi, quatre mares ont été réalisées en 2016, auxquelles s’ajoute la restauration d’une mare, sur la base des prescriptions techniques du CEN, et de deux supplémentaires creusées en 2017 qui sont venues grossir les effectifs.
Les mares font l’objet de suivi durant les trois premières années suivant leur création.
Ainsi cette année, le CEN Aquitaine a été missionné sur 7 mares pour mener les suivis de ces milieux conformément au protocole de suivi rédigé collégialement par l’ensemble des associations de protection de la nature travaillant à la mise en oeuvre des suivis écologiques sur la LGV SEA. Les quatre mares créées puis suivies en 2013 et 2014 ne sont plus intégrées aux suivis respectivement jusqu’en 2021 et 2022.
Le présent document fait le bilan du suivi 2018. Il a pour vocation d’évaluer la fonctionnalité des sites, d’apporter des éléments correctifs à la gestion des mares et à l’amélioration du suivi, ainsi que d’effectuer un retour d’expérience sur les mesures compensatoires.
Ce suivi vise à évaluer la colonisation et la fonctionnalité de ces mares créées. L'objectif principal est d'attester de l'efficience de ces entités pour les espèces à compenser.
Pour effectuer le suivi de la colonisation des mares, trois groupes taxonomiques sont étudiés : les amphibiens, les odonates et la flore, ce conformément au protocole transmis aux services de l'Etat pour validation.
Dans le cadre de la mise en oeuvre des actions de suivis des mesures de réduction liées à la réalisation de la Ligne à Grande Vitesse Sud Europe Atlantique (LGV SEA), LISEA a missionné le Conservatoire d’espaces naturels d’Aquitaine (CEN Aquitaine) pour mener le suivi de la transplantation des pieds d’Ail rose (Allium roseum L.) sur la parcelle de transplantation de la commune de Cubzac-les-Ponts.
Ce suivi fait suite aux dispositions de transplantation de l’espèce située sur les emprises de la ligne.
Les modalités de recueil, de stockage et de réimplantation des bulbes ont fait l’objet d’un protocole soumis pour approbation au Conservatoire Botanique National Sud Atlantique (CBNSA) et à la Direction Régionale de l’Environnement, de l’Aménagement et du Logement d’Aquitaine (DREAL Aquitaine) en septembre 2012. Ce protocole intègre également des éléments de description et de gestion de la zone d’accueil, ainsi qu’une méthode de suivi pour mesurer l’efficacité de l’opération de transplantation des pieds d’Ail rose réalisée en 2012. Des préconisations pour le maintien des populations situées immédiatement en marge de l’emprise travaux ayant fait l’objet d’une mesure d’évitement sont édictées.
Ce document fait suite à un suivi engagé par BIOTOPE en 2013 et par le CEN Aquitaine entre 2014 et 2017.
Suivi Flore : Odontite de Jaubert - 2016-2018 - CBNBPLISEA
Actualisation des stations d’Odontite de Jaubert (Odontites jaubertianus) en Indre-et-Loire. Bilan des prospections et programme d’actions.
Ce document a été réalisé par le Conservatoire botanique national du Bassin parisien, délégation Centre.
Ce projet, proposé dans le cadre du Contrat Territorial Vienne Aval, a pour objectif d’améliorer nos connaissances sur la répartition de l’espèce dans la Vienne (action A1.2 du PNA Grande Mulette) et notamment de rechercher de nouvelles stations abritant des individus vivants de cet invertébré qui est l’un des plus menacés au monde. Les prospections débutées en 2015 ont été menées sur la Vienne, en portant un effort plus important sur les secteurs localisés en aval de Châtellerault (Vienne Nature, 2015, 2016 et 2017). Ce rapport présente les résultats des inventaires menés sur la Vienne en 2018.
Le site d'étude "Prairies de Vouharte" a été acquis par le Conservatoire Régional d'Espaces Naturels du Poitou-Charentes dans le cadre des mesures compensatoires de la construction de la LGV SEA.
A l'heure de la mise ne place des mesures de gestion conservatoire, une série de suivis a été lancée sur les prairies humides et les ripisylves afin d'évaluer l'impact de la gestion proposée.
Le travail de suivi mené en 2017 par Charente Nature a concerné l'évaluation des habitats naturels de prairies humides et des ripisylves ainsi que le suivi de plusieurs taxons :
- suivi de la végétation des habitats naturels humides ouverts,
- suivi des Rhopalocères des prairies humides,
- suivi des communautés d'Orthoptères des prairies humides,
- suivi des oiseaux,
- suivi de la végétation des ripisylves,
- suivi des mammifères semai-aquatiques,
- suivi des odonates.
Ce rapport présente donc l'état des lieux des suivis réalisés en 2017.
Suivi IPR Veude de Poncay - 2018 - Fédération de pêche 37LISEA
Dans le cadre des mesures compensatoires, la Fédération d’Indre et Loire pour la Pêche et la Protection du Milieu Aquatique a diagnostiqué différents linéaires de la Veude de Poncay. Après validation des services de l’Etat, un projet de restauration de la morphologie et de la continuité écologique de ce cours d’eau a été retenu. Les travaux ont eu lieu de septembre à octobre 2017.
C'est dans ce cadre que la fédération de pêche d’Indre-et-Loire a réalisé la pêche électrique du 12 septembre 2018 dont fait état ce rapport. Elle correspond à l'année N+1 après travaux.
Le présent rapport fait état des résultats de l’indice IPR (Indice Poisson Rivière) et de l’évolution par rapport à la pêche « avant travaux » réalisées en août 2017.
Le présent suivi vise à étudier les populations existantes de Busards Saint-Martin, de Fauvettes Pitchou et d'Engoulevents d’Europe, sur plusieurs secteurs le long de la LGV SEA et d’évaluer l’influence potentielle de la Ligne à Grande Vitesse SEA Tours-Bordeaux sur les populations nicheuses de ces espèces (répartition, densité, réussite de reproduction) à court, moyen et long terme.
Ce dossier porte sur le suivi d'une population d'agrion de Mercure impactée par le tracé de la LGV SEA réalisé en 2017. Cette espèce possède des caractéristiques éconologiques qui font d'elle un bon indicateur de la transparence des ouvrages et de la continuité écologique des corridors aquatiques et des habitats humides alluviaux. Cette analyse est basée sur un protocole de capture/marquage/recapture qui permet de modéliser les déplacements des individus et de caractériser le fonctionnement de la population.
La Ligne à Grande Vitesse Sud Europe Atlantique de 340 kilomètres de long traverse 4 bassins versants (l’Indre, la Vienne, la Charente et la Dordogne) incluant chacun de nombreux cours d’eau, des zones humides ou encore des nappes d’eau souterraine.
Les bassins versants sont des entités hydrologiques cohérentes dans lesquels tous les écoulements des eaux convergent vers un même point, exutoire de ce bassin.
Les ressources en eau d’un bassin versant peuvent être soumises à de fortes pressions anthropiques (usages domestiques, agricoles, industriels, etc.) qui peuvent dégrader sa qualité et porter atteinte aux milieux aquatiques.
Potentiellement, la construction d’une infrastructure de transport comme la LGV SEA peut elle aussi avoir de nombreux impacts sur les ressources en eau aussi bien pendant la phase de travaux (2012-2016) que pendant la phase d’exploitation (à partir de 2017).
Afin d’évaluer ces impacts, des suivis des différentes ressources en eau sont nécessaires ; ils portent aussi bien sur des aspects quantitatifs que qualitatifs.
La Ligne à Grande Vitesse Sud Europe Atlantique de 340 kilomètres de long traverse 4 bassins versants (l’Indre, la Vienne, la Charente et la Dordogne) incluant chacun de nombreux cours d’eau, des zones humides ou encore des nappes d’eau souterraine.
Les bassins versants sont des entités hydrologiques cohérentes dans lesquels tous les écoulements des eaux convergent vers un même point, exutoire de ce bassin.
Les ressources en eau d’un bassin versant peuvent être soumises à de fortes pressions anthropiques (usages domestiques, agricoles, industriels, etc.) qui peuvent dégrader sa qualité et porter atteinte aux milieux aquatiques.
Potentiellement, la construction d’une infrastructure de transport comme la LGV SEA peut elle aussi avoir de nombreux impacts sur les ressources en eau aussi bien pendant la phase de travaux (2012-2016) que pendant la phase d’exploitation (à partir de 2017).
Afin d’évaluer ces impacts, des suivis des différentes ressources en eau sont nécessaires ; ils portent aussi bien sur des aspects quantitatifs que qualitatifs.
La Ligne à Grande Vitesse Sud Europe Atlantique de 340 kilomètres de long traverse 4 bassins versants (l’Indre, la Vienne, la Charente et la Dordogne) incluant chacun de nombreux cours d’eau, des zones humides ou encore des nappes d’eau souterraine.
Les bassins versants sont des entités hydrologiques cohérentes dans lesquels tous les écoulements des eaux convergent vers un même point, exutoire de ce bassin.
Les ressources en eau d’un bassin versant peuvent être soumises à de fortes pressions anthropiques (usages domestiques, agricoles, industriels, etc.) qui peuvent dégrader sa qualité et porter atteinte aux milieux aquatiques.
Potentiellement, la construction d’une infrastructure de transport comme la LGV SEA peut elle aussi avoir de nombreux impacts sur les ressources en eau aussi bien pendant la phase de travaux (2012-2016) que pendant la phase d’exploitation (à partir de 2017).
Afin d’évaluer ces impacts, des suivis des différentes ressources en eau sont nécessaires ; ils portent aussi bien sur des aspects quantitatifs que qualitatifs.
7. 7
3 QUESTIONS À BERNARD FROCHOT
Quel bilan faites-vous des deux
premières années d’activité de la
Fondation ?
Je constate une réelle évolution dans les projets
présentés : de nature très diverse, ils portent
sur des sujets ambitieux et très novateurs pour
certains. La restauration et la protection de milieux
naturels sont désormais au centre des actions
proposées.
De plus, les projets sont tous menés en
partenariats, avec des structures parfois très
différentes : laboratoires de recherche et jeunes
entrepreneurs, associations locales et entreprises
internationales… Un point commun unit toutes
ces structures : c’est l’énergie et l’enthousiasme
employés par les porteurs au service du patrimoine
naturel.
Face au nombre de projets de qualité déposé, le
Comité de Sélection Technique a dû mobiliser toute
l’expérience et l’expertise de ses membres pour
effectuer une sélection transparente et rigoureuse.
Comment s’effectue le suivi des
projets et l’évaluation des résultats ?
Les rapports d’avancement des projets soutenus
sont régulièrement présentés au Comité de
Sélection Technique, qui en évalue les résultats
et émet des recommandations, si nécessaire.
La Fondation accompagne les projets tout au
long de leur réalisation, notamment au travers
de la valorisation des résultats, contribuant
ainsi au partage d’expériences, de données et de
connaissances naturalistes.
Il est essentiel de poursuivre ce travail à long terme.
En effet, en écologie, lorsque l’on s’intéresse à
l’évolution des habitats naturels, les résultats ne
sont pas visibles immédiatement.
Pour vous qui avez déjà contribué
à des initiatives comparables, quels
sont les particularités d’une fondation
d’entreprise dans l’accompagnement
de tels projets ?
Dotées d’une structure légère, les fondations
peuvent répondre au cas par cas aux différents
enjeux des porteurs. Elles leur offrent une assez
grande liberté sur la nature des projets soutenus et
les thématiques abordées. Ainsi, elles permettent
de mener des projets d’études appliquées sur le
terrain et de mener des expérimentations sur
des thématiques pour lesquelles les financements
sont souvent plus restreints. La Fondation LISEA
Biodiversité constitue, en cela, un vrai laboratoire
de projets concrets et originaux.
La Fondation LISEA Biodiversité : accompagner les projets sur le long terme
Professeur émérite de l’Université de Bourgogne
Membre du Comité de Sélection Technique de la
Fondation LISEA Biodiversité
18. LANCÉ EN FÉVRIER 2015, LE TROISIÈME APPEL À PROJETS
A RÉUNI 70 CANDIDATURES. LA SÉLECTION FINALE EST PRÉVUE
À LA FIN DE L’ANNÉE 2015.
POURSUIVRE NOTRE ACTION DANS LA DURÉE
Porteurs de projets
sélectionnés en 2013
•Associations Loi 1901
•Établissements publics
Dossiers déposés en 2015
•Associations Loi 1901
•Établissements publics
•Entreprises
25%
75%
18
Porteurs de projets
sélectionnés en 2014
•Associations Loi 1901
•Établissements publics
•Entreprises
21%
22%
57%
23%
23%
54%
Le suivi des projets
La Fondation accompagne les porteurs de projets
tout au long de leur démarche, dès le montage destout au long de leur démarche, dès le montage destout au long de leur démarche,
dossiers. Elle a ainsi suivi plusieurs entreprises dont
l’activité n’est pas liée directement à la préservation
de la biodiversité. En 2015, 16 entreprises ont déposé
un dossier auprès de la Fondation.