Le tableau de bord de l'économie françaiseCCI Loiret
Sondage réalisé par Viavoice pour l’ACFCI (Assemblée des Chambres Françaises de Commerce et d’Industrie) et Les Echos ;
Dates de réalisation des interviews : du 7 au 18 septembre 2009 ;
Interviews réalisées par téléphone auprès de deux échantillons : Un échantillon de 1003 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.
Représentativité assurée par la méthode des quotas appliquée aux critères suivants : sexe, âge, profession du chef de famille, catégorie d’agglomération et région de résidence.
Un échantillon de 511 dirigeants d’entreprise, représentatif des entreprises de cinq salariés et plus.
Représentativité assurée par la méthode des quotas appliquée aux critères suivants : secteur d’activité de l’entreprise, taille de l’entreprise, région.
Altares et AlphaValue ont associé leurs savoir-faire pour créer AltaValue, un socle de connaissance unique sur les PME et les ETI françaises. Les perspectives, valorisations et notations sont construites de sorte à produire une information neutre, offrant ainsi un nouveau repère aux professionnels du financement des PME-ETI.
La croissance du commerce mondial est à son plus bas niveau depuis 2009Société Tripalio
La croissance du commerce mondial n'est pas à sa meilleure forme en 2016. Il ressort d'une étude de l'Insee, que la croissance du commerce mondial enregistré en 2016 est la plus faible depuis 2009.
Le tableau de bord de l'économie françaiseCCI Loiret
Sondage réalisé par Viavoice pour l’ACFCI (Assemblée des Chambres Françaises de Commerce et d’Industrie) et Les Echos ;
Dates de réalisation des interviews : du 7 au 18 septembre 2009 ;
Interviews réalisées par téléphone auprès de deux échantillons : Un échantillon de 1003 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.
Représentativité assurée par la méthode des quotas appliquée aux critères suivants : sexe, âge, profession du chef de famille, catégorie d’agglomération et région de résidence.
Un échantillon de 511 dirigeants d’entreprise, représentatif des entreprises de cinq salariés et plus.
Représentativité assurée par la méthode des quotas appliquée aux critères suivants : secteur d’activité de l’entreprise, taille de l’entreprise, région.
Altares et AlphaValue ont associé leurs savoir-faire pour créer AltaValue, un socle de connaissance unique sur les PME et les ETI françaises. Les perspectives, valorisations et notations sont construites de sorte à produire une information neutre, offrant ainsi un nouveau repère aux professionnels du financement des PME-ETI.
La croissance du commerce mondial est à son plus bas niveau depuis 2009Société Tripalio
La croissance du commerce mondial n'est pas à sa meilleure forme en 2016. Il ressort d'une étude de l'Insee, que la croissance du commerce mondial enregistré en 2016 est la plus faible depuis 2009.
Obervatoire de l'e-pub - Projections 2013 - SRIAd6 Media
Pour donner un nouvel éclairage au marché français de la publicité digitale, nous avons apporté deux évolutions majeures au cadre d’analyse :
Le découpage du marché est désormais structuré autour de trois logiques
Par modes de vente
Par devices
Par formats
Des éléments de mise en perspective internationale sont apportés pour éclairer les tendances identifiées, sur la base des études que PwC mène au sein des autres pays de référence
Les tendances clés
Le marché digital maintient sa croissance dans un contexte média général tendu. Le digital est impacté par la tendance déflationniste observée sur les autres médias
La part du digital dans les dépenses média sur le marché français reste significativement moins élevée que dans les autres pays de référence
Les ad exchanges explosent. Ce mouvement reconfigure le marché. Ils s’ouvrent rapidement à la vidéo et aux inventaires premium
Le dynamisme de la vidéo et l’innovation dans les opérations spéciales permettent aux sites de marques de dynamiser leurs inventaires. Les CPM se revalorisent pour les inventaires premium
La recherche de performance reste importante chez les annonceurs. Le search consolide sa place dans le mix digital
Le mobile connaît une forte croissance au premier semestre mais reste largement sous-investi en comparaison aux marchés étrangers
Section 1 – Quelle évolution du marché digital ?
L’Observatoire de l’e-Pub, mené depuis 2009 à l’initiative du SRI et en partenariat avec l’UDECAM, est devenu l’étude de référence pour mesurer le marché français de la communication publicitaire online. Cet observatoire suit l’évolution des différentes composantes de son chiffre d’affaires net (search, display, affiliation, e-mailing, comparateurs de prix et mobile).
Ainsi en janvier 2013, le chiffre d’affaires de ce marché atteint 2,7 milliards d’euros nets en 2012. L’étude démontrait le ralentissement de la croissance des investissements digitaux en 2012 en France (+5%) et cela de manière plus marquée que sur les marchés américain, britannique et allemand.
Observatoire de l'epub - 10eme edition - 2013Romain Fonnier
10ème édition de l’Observatoire de l’e-Pub du SRI, réalisé par PwC, en partenariat avec l’UDECAM
Le marché français de la publicité digitale atteint 1,398 milliard d’euros de chiffre d’affaires net sur le 1er
semestre 2013, soit une progression de 4% par rapport au 1er semestre 2012.
Paris, le 9 juillet 2013 - Le SRI (Syndicat des Régies Internet), l’UDECAM (Union des Entreprises de Conseil et d’Achat Medias) et PwC présentent aujourd’hui les résultats de la 10ème édition de l’Observatoire de l’e-pub. Cette étude initiée par le SRI et réalisée pour la 1ère fois par PwC donne un nouvel éclairage sur le marché français de la publicité digitale en analysant l’évolution de son chiffre d’affaires net par leviers, par formats, par modes d’achat et par devices.
Pour Eric Aderdor, Président du SRI, « Avec une croissance, certes modérée, de 4%, le digital envoie un premier signal positif dans un marché publicitaire et un contexte économique complexes. Alors que notre marché connaît une réelle transformation structurelle et conjoncturelle, nous avons besoin plus que jamais de décryptage, de simplification et de lisibilité. Cet Observatoire nous donne toutes les clés pour comprendre les leviers de croissance et les grands enjeux de notre secteur en France, qui par ailleurs, accuse encore un certain retard en termes d’investissements publicitaires digitaux. »
La France encore en retard au regard de l’international
Quand en France, le digital représente, 20% des investissements publicitaires, dans les autres pays de référence, la part des dépenses publicitaires consacrée au digital est significativement plus élevée : avec 24% pour les USA, 30% pour l’Allemagne et 35% pour le Royaume-Uni.
Cela est particulièrement paradoxal compte tenu du fort taux d’équipement des foyers français sur les nouveaux devices. Avec 36% de taux de pénétration des nouveaux supports en 2012, la France est le 2ème marché en termes d’équipement et seulement au 16ème rang en termes d’investissements publicitaires digitaux.
Sur le 1er semestre 2013, progression de l’ensemble des leviers digitaux
Le « Search » (liens sponsorisés) poursuit sa croissance (5%) et consolide sa place dans le mix digital, malgré une forte concurrence des autres leviers à la performance. Il représente un chiffre d’affaires de 826 millions d’euros net sur le premier semestre 2013, soit 57% du marché de la publicité online en France
Le « Display » deuxième segment en valeur, maintient sa croissance au premier semestre 2013 (+3%), portant le chiffre d’affaires à 379 millions d’euros nets. Ce segment est tiré par le dynamisme de la vidéo (+34%), la place croissante du RTB dans les dépenses publicitaires digitales et le déploiement du display sur mobile et tablettes (+36%).
Les « autres leviers » : Affiliation, Comparateurs et E-mailing connaissent une stabil
France Digitale x EY French Tech Barometer 2023sjcobrien
France Digitale, Europe's largest association of startups and investors, and EY have published their 2023 edition of the barometer on the economic and social performance of startups, carried out by interviewing over 500 French startups in the summer of 2023. In a period of economic uncertainty, these figures are all the more important for objectifying and making visible the performance and resilience of French startups.
Notre dernière publication sur le pilotage de la performance:
- Jean Claude Capuono: Comment manier les indicateurs de la performance
- Matthieu Capuono: Quelques clés pour une application efficiente de consolidation et de reporting
Du 17 juin au 1er juillet derniers, la Chambre de commerce a recueilli le sentiment de 371 entreprises de 10 salariés et plus, représentatives de l’économie luxembourgeoise. Compilant leurs réponses sur des sujets comme l’emploi, la rentabilité, les investissements, et la confiance dans l’avenir de l’entreprise et de l’économie, la Chambre de commerce a publié, ce jeudi 11 juillet, la première édition de son baromètre de l’économie, qui prendra le pouls de l’économie et captera les principales préoccupations des entreprises tous les six mois.
Tableau de bord agefiph n°2016 4 france entièreAVIE
La croissance des insertions et des maintiens dans l'emploi se poursuit. Les résultats en termes de recrutements, de créations d'activité et de maintiens dans l'emploi sont en progression : De janvier à septembre 2016, les Cap emploi ont contribué à 56 500 recrutements de travailleurs handicapés (dont 61% de CDI ou de CDD de 6 mois et plus), soit une hausse de 5% en un an du fait notamment de la forte mobilisation des contrats aidés. La croissance des maintiens dans l'emploi s'est également poursuivie (+5% en un an), les Sameth ayant réalisé près de 15 000 maintiens au cours des neuf premiers mois de l'année 2016 avec, comme pour les recrutements, un pourcentage de femmes égal à 50%
Source : https://www.agefiph.fr/Actus-Publications/Publications-et-etudes
L'APACOM vient de révéler les résultats 2015 de son Observatoire des métiers de la Communication en Aquitaine intégrant pour la première fois les départements du Limousin et de Poitou-Charentes. Plus de 400 chefs d’entreprise et communicants en agence ou chez l’annonceur interrogés dessinent la tendance de ces métiers dans la nouvelle Grande Région.
L'APACOM vient de révéler les résultats 2015 de son Observatoire des métiers de la Communication en Aquitaine intégrant pour la première fois les départements du Limousin et de Poitou-Charentes. Plus de 400 chefs d’entreprise et communicants en agence ou chez l’annonceur interrogés dessinent la tendance de ces métiers dans la nouvelle Grande Région.
Etude PwC Enseignements de l’exercice de Collecte du 6/09 (jan. 2014)PwC France
http://pwc.to/1gDRsGb
D'ici la mise en application effective de Solvabilité 2 au 1er janvier 2016, les acteurs de l’assurance doivent mettre en œuvre un véritable programme de transformation qui impacte leur stratégie, leurs organisations, les processus internes, mais aussi les données et systèmes d’information.
Si les données sont au cœur même de l’activité des assureurs, le chemin est encore long pour s’assurer de leur qualité, leur provenance et leur traçabilité.
Rapport annuel du Reporting Extra-Financier au Maroc - 2015Groupe Managem
Le Groupe Managem fait figure de pionnier au Maroc en étant l'une des seules organisations à produire un reporting extra-financier "GRI Referenced" comprenant un index GRI (Global Reporting Initiative) depuis 2011.
Les Annonceurs et l’Affiliation en France - Enquête CPA 2012Pierre Labousset
Les budgets alloués à l’affiliation sur les 2 ans passés ont augmenté pour 60% des répondants. Les secteurs Mode et Finance/Assurance sont ceux dont les budgets ont le plus augmenté. Ceux qui dépensent aujourd’hui le plus en affiliation, vont continuer à investir sur ce canal : 59% des répondants déclarent vouloir dépenser un budget plus important sur les 2 ans à venir.
First european pulse survey on events - 2016 - Slide deck in EnglishPhilippe Greco
Concomitance Consulting carried out a survey among more than 600 meeting planners in the top three European markets: France, Germany and the United Kingdom. These interviews have been conducted end of 2015 and mid-2016.
This study laid the foundations for the white paper that we are offering to share with you.
You will find a slide deck of the study's main findings, the salient points of the French, German and UK markets.
Premier observatoire Européen de l'événementiel - Edition 2016 - white paperPhilippe Greco
Concomitance Consulting a mené une étude auprès de plus de 600 meeting planners dans les 3 principaux marchés européens que sont la France, l’Allemagne et le Royaume-Uni. Ces interviews ont été menées en 2 vagues à 6 mois d’écart.
De cette étude est né ce livre blanc que nous vous proposons de partager. Il se décline aussi dans une version powerpoint et une synthèse plus large, intégrant notamment des éléments de segmentation Client, est disponible par ailleurs.
Ce document est un « executive summary » des données recueillies. Nous restons à la disposition du lecteur pour prendre en compte les remarques et commentaires ainsi que répondre aux demandes.
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Par modes de vente
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Les tendances clés
Le marché digital maintient sa croissance dans un contexte média général tendu. Le digital est impacté par la tendance déflationniste observée sur les autres médias
La part du digital dans les dépenses média sur le marché français reste significativement moins élevée que dans les autres pays de référence
Les ad exchanges explosent. Ce mouvement reconfigure le marché. Ils s’ouvrent rapidement à la vidéo et aux inventaires premium
Le dynamisme de la vidéo et l’innovation dans les opérations spéciales permettent aux sites de marques de dynamiser leurs inventaires. Les CPM se revalorisent pour les inventaires premium
La recherche de performance reste importante chez les annonceurs. Le search consolide sa place dans le mix digital
Le mobile connaît une forte croissance au premier semestre mais reste largement sous-investi en comparaison aux marchés étrangers
Section 1 – Quelle évolution du marché digital ?
L’Observatoire de l’e-Pub, mené depuis 2009 à l’initiative du SRI et en partenariat avec l’UDECAM, est devenu l’étude de référence pour mesurer le marché français de la communication publicitaire online. Cet observatoire suit l’évolution des différentes composantes de son chiffre d’affaires net (search, display, affiliation, e-mailing, comparateurs de prix et mobile).
Ainsi en janvier 2013, le chiffre d’affaires de ce marché atteint 2,7 milliards d’euros nets en 2012. L’étude démontrait le ralentissement de la croissance des investissements digitaux en 2012 en France (+5%) et cela de manière plus marquée que sur les marchés américain, britannique et allemand.
Observatoire de l'epub - 10eme edition - 2013Romain Fonnier
10ème édition de l’Observatoire de l’e-Pub du SRI, réalisé par PwC, en partenariat avec l’UDECAM
Le marché français de la publicité digitale atteint 1,398 milliard d’euros de chiffre d’affaires net sur le 1er
semestre 2013, soit une progression de 4% par rapport au 1er semestre 2012.
Paris, le 9 juillet 2013 - Le SRI (Syndicat des Régies Internet), l’UDECAM (Union des Entreprises de Conseil et d’Achat Medias) et PwC présentent aujourd’hui les résultats de la 10ème édition de l’Observatoire de l’e-pub. Cette étude initiée par le SRI et réalisée pour la 1ère fois par PwC donne un nouvel éclairage sur le marché français de la publicité digitale en analysant l’évolution de son chiffre d’affaires net par leviers, par formats, par modes d’achat et par devices.
Pour Eric Aderdor, Président du SRI, « Avec une croissance, certes modérée, de 4%, le digital envoie un premier signal positif dans un marché publicitaire et un contexte économique complexes. Alors que notre marché connaît une réelle transformation structurelle et conjoncturelle, nous avons besoin plus que jamais de décryptage, de simplification et de lisibilité. Cet Observatoire nous donne toutes les clés pour comprendre les leviers de croissance et les grands enjeux de notre secteur en France, qui par ailleurs, accuse encore un certain retard en termes d’investissements publicitaires digitaux. »
La France encore en retard au regard de l’international
Quand en France, le digital représente, 20% des investissements publicitaires, dans les autres pays de référence, la part des dépenses publicitaires consacrée au digital est significativement plus élevée : avec 24% pour les USA, 30% pour l’Allemagne et 35% pour le Royaume-Uni.
Cela est particulièrement paradoxal compte tenu du fort taux d’équipement des foyers français sur les nouveaux devices. Avec 36% de taux de pénétration des nouveaux supports en 2012, la France est le 2ème marché en termes d’équipement et seulement au 16ème rang en termes d’investissements publicitaires digitaux.
Sur le 1er semestre 2013, progression de l’ensemble des leviers digitaux
Le « Search » (liens sponsorisés) poursuit sa croissance (5%) et consolide sa place dans le mix digital, malgré une forte concurrence des autres leviers à la performance. Il représente un chiffre d’affaires de 826 millions d’euros net sur le premier semestre 2013, soit 57% du marché de la publicité online en France
Le « Display » deuxième segment en valeur, maintient sa croissance au premier semestre 2013 (+3%), portant le chiffre d’affaires à 379 millions d’euros nets. Ce segment est tiré par le dynamisme de la vidéo (+34%), la place croissante du RTB dans les dépenses publicitaires digitales et le déploiement du display sur mobile et tablettes (+36%).
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France Digitale, Europe's largest association of startups and investors, and EY have published their 2023 edition of the barometer on the economic and social performance of startups, carried out by interviewing over 500 French startups in the summer of 2023. In a period of economic uncertainty, these figures are all the more important for objectifying and making visible the performance and resilience of French startups.
Notre dernière publication sur le pilotage de la performance:
- Jean Claude Capuono: Comment manier les indicateurs de la performance
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Du 17 juin au 1er juillet derniers, la Chambre de commerce a recueilli le sentiment de 371 entreprises de 10 salariés et plus, représentatives de l’économie luxembourgeoise. Compilant leurs réponses sur des sujets comme l’emploi, la rentabilité, les investissements, et la confiance dans l’avenir de l’entreprise et de l’économie, la Chambre de commerce a publié, ce jeudi 11 juillet, la première édition de son baromètre de l’économie, qui prendra le pouls de l’économie et captera les principales préoccupations des entreprises tous les six mois.
Tableau de bord agefiph n°2016 4 france entièreAVIE
La croissance des insertions et des maintiens dans l'emploi se poursuit. Les résultats en termes de recrutements, de créations d'activité et de maintiens dans l'emploi sont en progression : De janvier à septembre 2016, les Cap emploi ont contribué à 56 500 recrutements de travailleurs handicapés (dont 61% de CDI ou de CDD de 6 mois et plus), soit une hausse de 5% en un an du fait notamment de la forte mobilisation des contrats aidés. La croissance des maintiens dans l'emploi s'est également poursuivie (+5% en un an), les Sameth ayant réalisé près de 15 000 maintiens au cours des neuf premiers mois de l'année 2016 avec, comme pour les recrutements, un pourcentage de femmes égal à 50%
Source : https://www.agefiph.fr/Actus-Publications/Publications-et-etudes
L'APACOM vient de révéler les résultats 2015 de son Observatoire des métiers de la Communication en Aquitaine intégrant pour la première fois les départements du Limousin et de Poitou-Charentes. Plus de 400 chefs d’entreprise et communicants en agence ou chez l’annonceur interrogés dessinent la tendance de ces métiers dans la nouvelle Grande Région.
L'APACOM vient de révéler les résultats 2015 de son Observatoire des métiers de la Communication en Aquitaine intégrant pour la première fois les départements du Limousin et de Poitou-Charentes. Plus de 400 chefs d’entreprise et communicants en agence ou chez l’annonceur interrogés dessinent la tendance de ces métiers dans la nouvelle Grande Région.
Etude PwC Enseignements de l’exercice de Collecte du 6/09 (jan. 2014)PwC France
http://pwc.to/1gDRsGb
D'ici la mise en application effective de Solvabilité 2 au 1er janvier 2016, les acteurs de l’assurance doivent mettre en œuvre un véritable programme de transformation qui impacte leur stratégie, leurs organisations, les processus internes, mais aussi les données et systèmes d’information.
Si les données sont au cœur même de l’activité des assureurs, le chemin est encore long pour s’assurer de leur qualité, leur provenance et leur traçabilité.
Rapport annuel du Reporting Extra-Financier au Maroc - 2015Groupe Managem
Le Groupe Managem fait figure de pionnier au Maroc en étant l'une des seules organisations à produire un reporting extra-financier "GRI Referenced" comprenant un index GRI (Global Reporting Initiative) depuis 2011.
Les Annonceurs et l’Affiliation en France - Enquête CPA 2012Pierre Labousset
Les budgets alloués à l’affiliation sur les 2 ans passés ont augmenté pour 60% des répondants. Les secteurs Mode et Finance/Assurance sont ceux dont les budgets ont le plus augmenté. Ceux qui dépensent aujourd’hui le plus en affiliation, vont continuer à investir sur ce canal : 59% des répondants déclarent vouloir dépenser un budget plus important sur les 2 ans à venir.
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First european pulse survey on events - 2016 - Slide deck in EnglishPhilippe Greco
Concomitance Consulting carried out a survey among more than 600 meeting planners in the top three European markets: France, Germany and the United Kingdom. These interviews have been conducted end of 2015 and mid-2016.
This study laid the foundations for the white paper that we are offering to share with you.
You will find a slide deck of the study's main findings, the salient points of the French, German and UK markets.
Premier observatoire Européen de l'événementiel - Edition 2016 - white paperPhilippe Greco
Concomitance Consulting a mené une étude auprès de plus de 600 meeting planners dans les 3 principaux marchés européens que sont la France, l’Allemagne et le Royaume-Uni. Ces interviews ont été menées en 2 vagues à 6 mois d’écart.
De cette étude est né ce livre blanc que nous vous proposons de partager. Il se décline aussi dans une version powerpoint et une synthèse plus large, intégrant notamment des éléments de segmentation Client, est disponible par ailleurs.
Ce document est un « executive summary » des données recueillies. Nous restons à la disposition du lecteur pour prendre en compte les remarques et commentaires ainsi que répondre aux demandes.
Permier observatoire européen sur le marché du MICEPhilippe Greco
Première vague du nouvel observatoire européen du marché du MICE (Meeting, Incentive, Congress, Event).
Sur un marché en panne de chiffres et de tangibles, Concomitance révèle les premières données issues d'une étude de marché et annonce les tendances pour 2017 et au-delà.
2016 business travel barometer amex gbt by concomitancePhilippe Greco
1. American Express Global Business Travel is a joint venture that is not wholly owned by American Express. It published a European Business Travel Barometer report in 2016.
2. The report found that business travel spending grew 1.42% in 2015, driven by companies' business development plans to expand internationally. However, most companies still view travel as a necessary cost rather than an investment.
3. Company priorities for business travel shifted in 2015, with safety becoming the top concern followed by cost control and employee satisfaction. Reducing indirect process costs was a higher priority than direct costs for the second year in a row.
Vous voulez disposer de données factuelles sur le marché du MICE (Meeting, Incentive, Congress, Event) ? Lisez le white paper de Concomitance Consulting
Transformation, Digital Transformation,... beyond using the buzz word, how do you ensure your teams buy-in your transformation project?
Find how Track&Change can help you.
Please to share the new relase of the Business Travel Barometer we are conducting for years at Concomitance.
It highlights the majors trends currently measured by a quantitative survey conducted amongst travel managers
European business travel barometer version anglaise 2013Philippe Greco
The 2013 edition of the European Business Travel conducted by Concomitance for American Express Travel. This research is proven to be a resource wealth for strategic planning, strategic marketing and sales !
Do not hesitate to look for the previous editions and the sister researches conducted by Concomitance in the other geographical areas (AmLat, Japan, China...)
European business travel barometer version anglaise 2012Philippe Greco
Les 18 et 19 novembre prochains à L'Espace Voyages Professionnels sera dévoilé la nouvelle vague du baromètre pan européen du voyage d´affaires d'American Express réalisé par Concomitance. Réservez les dates sur votre agenda. Et pour mémoire, relisez avant les résultats de la vague 2012.
Leviers utilisés par la distribution pour réussir en 2013Philippe Greco
Comme le laissent penser depuis plusieurs mois maintenant les principaux indicateurs économiques, le secteur de la distribution spécialisée et sélective rencontre des difficultés en raison, notamment, de la baisse de la consommation chez les ménages français.
Nous avons souhaité recueillir les perspectives des professionnels afin d’obtenir une vision claire et objective des enjeux du marché et ainsi délivrer une analyse pertinente et constructive de ses tendances pour les mois à venir.
Dans cette optique, nous avons interrogé des enseignes de distribution spécialisée et sélective sur leurs pratiques commerciales et marketing en 2013 et sur leurs perspectives du marché.
En dépit des prévisions pessimistes concernant le secteur, on note une attitude plutôt volontariste de la part des professionnels. D’une part, plus de 50% d’entre eux affichent des prévisions de croissance pour 2013, et d’autre part, ils choisissent d’orienter leur stratégie vers un développement de leurs activités et pas seulement une stabilisation de leur rentabilité.
Ces intentions se vérifient dans les différentes gammes de produits ainsi que les différents secteurs d’activité.
Par ailleurs, le vecteur de croissance le plus mentionné et qui sera le plus utilisé en 2013 est de loin l’intégration d’une stratégie digitale à la stratégie commerciale globale. Les réseaux sociaux et plus particulièrement le mobile, constituent un réel axe de développement pour les entreprises voulant orienter leur distribution vers une multicanalité, mais aussi une omnicanalité.
En effet, les entreprises doivent être présentes tout au long de la chaine de valeur et supprimer tous les points rupture existant entre elle et son client. Ce dernier a, à sa disposition, divers outils lui permettant de faire des recherches, de se renseigner et de comparer des produits. On assiste donc à une volatilité plus fortes des clients et donc à une nécessité de fidéliser de la part des entreprises.
Ainsi, le digital devient un outil permettant un passage de relais entre la stratégie web (le site internet) et le point de vente physique de la marque. Il devient également une façon de réorienter le client vers la boutique ou la relation client est la plus exploitée et optimisée.
Ces nouvelles méthodes de vente viennent modeler une nouvelle relation client dans laquelle l’utilisateur du produit est acteur et non plus spectateur de la relation. Ce dernier doit se sentir privilégié, au centre des attentions et appartenant à une communauté ayant les mêmes caractéristiques que lui.
En conclusion, les professionnels du marché doivent se montrer innovants et réactifs afin de gagner un maximum de parts de marché. Ceux qui ne sauront pas évoluer, et s’adapter aux modes de consommation et de fonctionnement de leurs clients en 2013, seront très probablement en retard sur la concurrence en 2014.
Principaux résultats du premier observatoire sur "Relation Client et Générati...Philippe Greco
BlueLink a lancé, avec l’aide de Concomitance, le 1er observatoire auprès des acteurs du déplacement loisir et professionnel* pour comprendre comment la relation client leur permet de générer de la valeur, à la fois à court terme (optimisation de l’acte d’achat), et à moyen/long terme (fidélisation).
Les résultats ont été présentés le 19 septembre, lors d’une conférence web, par Tanguy de Laubier, directeur général de BlueLink, et Yann Barbizet, directeur associé du cabinet de conseil Concomitance.
Les 4 principaux enseignements pour cette première vague annuelle qui a analysé la génération de valeur aux travers des pratiques de ventes de produits et de services additionnels :
1. La généralisation du «selfcare» avec la généralisation annoncée des applications mobiles sur l’ensemble de la relation client y compris sur les aspects liés à la vente
2. L’existence de nombreuses opportunités de vente additionnelle par une exploitation plus systématique des différents moments d’interactions situés sur le parcours clients, en particulier pour la clientèle professionnelle (ces ventes additionnelles peuvent ajouter jusqu’à 30% de Chiffre d’Affaires pour les acteurs les plus performants)
3. La nécessité de mettre en place de nouveaux indicateurs permettant d’identifier les meilleurs moments pour améliorer l’efficacité de la vente des services ou des produits additionnels
4. Une application possible à tous les secteurs où il n’y a pas de simultanéité entre l’acte d’achat et la consommation effective d’un bien ou d’un service (l’industrie du déplacement étant un précurseur sur ces pratiques)
*Compagnies aériennes, loueurs de véhicule courte durée, chaines hôtelières, croisiéristes, agences de voyages online et offline, moyens de paiement, assureurs…
Principaux résultats du premier observatoire sur "Relation Client et Générati...
European business travel barometer french version 2013
1. 1
BAROMETRE EUROPEEN DU VOYAGE D’AFFAIRES
23ème édition – Novembre 2013
Groupe Concomitance : Tel : +33 (0)1 78 16 52 30 or infobarometre@concomitance.com
This report is protected by copy right - any full or partial reproduction is subject to prior authorization of
Amex and acknowledgment of Groupe Concomitance in its role in the preparation of this report
BAROMETRE EUROPEEN DU
VOYAGE D’AFFAIRES 2013
Réalisé par Concomitance Group
Novembre 2013
2. 2
BAROMETRE EUROPEEN DU VOYAGE D’AFFAIRES
23ème édition – Novembre 2013
Groupe Concomitance : Tel : +33 (0)1 78 16 52 30 or infobarometre@concomitance.com
This report is protected by copy right - any full or partial reproduction is subject to prior authorization of
Amex and acknowledgment of Groupe Concomitance in its role in the preparation of this report
Contents
Executive summary.................................................................................................... 3
Méthodologie du baromètre....................................................................................... 4
Part 1: Tendances économiques et évolution des budgets voyages .................... 5
La Zone euro toujours en récession en 2013, une lente reprise attendue en 2014........................... 5
Les dépenses voyages augmentent généralement plus vite que le PIB.............................................. 6
Ralentissement de la croissance des dépenses en Europe (+0,5%).................................................... 7
Investissement ou coût ....................................................................................................................... 8
Motifs de voyage d'affaires............................................................................................................... 11
Priorités des voyages d'affaires......................................................................................................... 12
Leviers d’optimisation budgétaire..................................................................................................... 13
L'importance des technologies.......................................................................................................... 14
Partie 2: les quatre profils de gestion des dépenses voyages............................. 18
Introduction aux quatre profils de gestion des dépenses voyages................................................... 18
Contrôle limité : des volumes de déplacements faibles et de courte distance ................................ 19
Contrôle pragmatique : la recherche d’une efficacité à court terme ............................................... 20
Contrôles Ciblés et Globaux : 2 approches pour des déplacements plus complexes....................... 23
La maturité dans la gestion des déplacements n’est pas seulement liée à la taille des budgets..... 27
Évolutions attendues de ces 4 typologies......................................................................................... 28
Partie 3: Perspectives pour 2014............................................................................. 29
Perspectives 2014: des stratégies toujours attentistes, une croissance attendue des budgets de
0,8%................................................................................................................................................... 29
Cette légère reprise des voyages d'affaires devrait venir de différentes régions............................. 30
3. 3
BAROMETRE EUROPEEN DU VOYAGE D’AFFAIRES
23ème édition – Novembre 2013
Groupe Concomitance : Tel : +33 (0)1 78 16 52 30 or infobarometre@concomitance.com
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Executive summary
La conjoncture en 2013 est légèrement moins bonne en Europe que prévu à la fin de 2012.
Le PIB de la zone euro est en baisse de 0.4 pts, en raison notamment de conditions
défavorables dans le sud de l'Europe et aux Pays-Bas.
Les entreprises avaient bien anticipé cette tendance, et leur budget voyage a suivi strictement
leur prévision d'une augmentation de + 0,5%, tendance similaire à celle déjà observée en
2012. Une nouvelle fois, les budgets déplacements font preuve d’une résistance à la baisse
du PIB.
De même que l'an dernier, les Comptes nationaux tirent la croissance, de leur côté les Grands
comptes affichent une baisse de leur budget déplacements.
Un rééquilibrage des principales catégories de dépenses
• Le budget aérien des entreprises est en baisse, et passe sous la barre des 40% du
budget total, ce qui s'inscrit dans une tendance similaire à l'an dernier. La part
croissante des low-costs dans le voyage d'affaires, ainsi qu’une stabilité des prix,
expliquent cette baisse relative. L’aérien reste toutefois le 1er
poste budgétaire ;
• Le budget hôtellerie augmente en 2013 après une hausse en 2012, et représente
aujourd’hui ¼ du budget des entreprises ; l’offre premium reste le cœur du marché ;
parallèlement les tarifs ont été orientés à la hausse ;
• La part de budget rail augmente également.
Le contrôle des coûts est plus que jamais la priorité #1 des entreprises
• Près de 9 entreprises sur 10 le citent comme une priorité pour l'an prochain ; cette part
est en hausse de 8 pts par rapport à 2012, où il était déjà la priorité n°1 ;
• En conséquence, une importance encore plus grande est décernée aux pratiques de
best-buy, qui deviennent les leviers d'optimisation n°1 quel que soit le segment des
entreprises ;
• L’advanced booking et la réservation en ligne, anciennement leviers d’optimisation n°1
et n°3, sont aujourd’hui respectivement classés en position n°4 et n°5.
Mais les coûts indirects sont plus considérés que par le passé
• Parmi les 10 principaux leviers d’optimisation budgétaire, 3 sont axées sur les coûts
indirects : l'évaluation de pertinence du voyage en amont (n°2), l'optimisation du flux
d’approbation des dépenses (n°7), et la gestion des dépenses en aval (n°10). L'an
dernier, aucun d'eux ne faisait partie des 10 leviers les plus utilisés ;
• Cette évolution est liée au besoin croissant d'acquérir une vision complète des frais de
déplacement.
Les niveaux de maturité ne sont pas seulement liés à la taille du budget
• La maturité des entreprises dans la gestion des voyages d'affaires est plus une
conséquence de la complexité de leurs déplacements – surtout dans des régions
dynamiques d’un point de vue économique comme l'Asie et l'Afrique – quelle que soit
la taille de leur budget ;
• Les plus grands écarts de maturité entre les entreprises en pointe ou en retard
concernent avant tout l’adoption de certains outils (expense management en
particulier), le degré d'automatisation des processus end-to-end, et l’utilisation de
l'agence de voyage.
• La tendance est à un besoin croissant en outils et en pratiques d’optimisation et de
contrôle.
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Méthodologie du baromètre
Près de 600 entreprises ont été interrogées dans l'édition 2013 du baromètre du voyage
d'affaires. Elles représentent plus de 1 milliard d'euros de dépenses voyages.
Elles se divisent en trois catégories:
• Les PME (avec des budgets déplacements inférieurs à 250K €)
• Les Comptes nationaux (budgets entre 250K et 3M €)
• les Comptes globaux (budget de plus de 3 M €)
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Part 1: Tendances économiques et évolution des budgets voyages
La Zone euro toujours en récession en 2013, une lente reprise attendue en 2014
Malgré une perspective plus optimiste l'année dernière, 2013 a été une nouvelle année de
récession pour la zone euro avec un PIB en baisse de 0,4% par rapport à 2012.
D'autres économies occidentales (USA, UK, Japon) sont déjà sur le chemin de la reprise
avec un PIB en hausse de 1,4% à 2%.
La croissance mondiale est encore tirée par l'Inde et surtout la Chine, avec une hausse de
7,6% par rapport à l'année dernière.
Les perspectives 2014 sont meilleures, même pour la zone euro où la croissance
économique devrait être de retour (+1%). La plupart des grandes économies s’attendent à
une situation meilleure, sauf le Japon où la croissance devrait être réduite à +1,2%.
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Dans la zone euro, les situations sont contrastées. La France et l’Allemagne ont maintenu
une tendance économique positive, mais avec un taux de croissance très faible, tandis que
l'Europe du Sud et les Pays-Bas ont connu une baisse de 1% ou plus.
Les dépenses voyages augmentent généralement plus vite que le PIB
Le volume des dépenses pour les trois principaux pays européens (Allemagne, Royaume-
Uni et France) a augmenté de 2% cette année, soit 1 pt de plus que leur croissance
moyenne de PIB.
A l’inverse, les dépenses déplacements du Japon baissent de 4,2% en dépit d'une
croissance du PIB.
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En ce qui concerne les Etats-Unis, et plus encore la Chine, les dépenses de voyage
d'affaires continuent de croître rapidement, respectivement de +4,5% et +15,2%. Le marché
chinois a augmenté de 30 milliards de dollars cette année, ce qui équivaut à l'ensemble du
marché français. La Chine devrait dépasser les Etats-Unis comme 1er
marché mondial d'ici
2016.
GBTA (Global Business Travel Association) prévoit une augmentation plus forte des
dépenses de voyage d'affaires en 2014, avec des taux de croissance généralement compris
entre +4% et +6% (de +3,7% au Royaume-Uni à +5,9% USA), sauf en Chine, où le marché
devrait continuer de croître de plus de 15%.
Ralentissement de la croissance des dépenses en Europe (+0,5%)
Les entreprises interrogées dans le baromètre 2013 annoncent une augmentation moyenne
de +0,5% de leur budget déplacements. C'est exactement la prévision qu’elles avaient faite
l'année dernière.
Les Comptes nationaux sont le moteur du marché, avec une croissance de +1,6%, tandis
que les Grands comptes voient leur budget baisser de 0,8%. Les PME sont proches de la
moyenne globale.
Les situations sont contrastées d’un pays à l’autre, et aucune tendance géographique réelle
ne se dégage. L’Espagne se remet d'une forte baisse l'année dernière, et les entreprises
de ce pays affichent une croissance de leur budget de 5%. A contrario, quoique dans une
situation comparable l'an passé, l'Italie continue d’afficher une tendance négative de 5%.
D'autres pays sont généralement proches de la stabilité, avec une légère baisse en
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Scandinavie et au Benelux, et une légère croissance en Allemagne, au Royaume-Uni et en
France.
La majorité des entreprises ont en fait stabilisé leur budget. Cette tendance, déjà observée
en 2012, se confirme cette année, avec la même part d'entreprises (2/3) indiquant une
tendance « flat ». Toutefois la part des budgets en augmentation (23%) reste supérieure à
celle des budgets en baisse (14%), ce qui permet au marché de rester positif.
Quand ils augmentent, les budgets le font de 13% en moyenne, ce qui est comparable à
l'année dernière. Cependant, quand ils diminuent, ils le font de plus de 18% au lieu de 16%
en 2012 : la dégradation est supérieure. La baisse moyenne reste toutefois encore
comparable à la hausse moyenne des budgets en augmentation, ce qui permet aussi au
marché de rester positif.
Investissement ou coût
27% des entreprises estiment que le voyage d'affaires est un investissement important pour
leur développement. Ce pourcentage est plus élevé que l'an dernier, où 23% des
répondants partageaient cet avis. Les Grands comptes sont les plus disposés à l’affirmer,
avec 28% d'entre eux contre 27% des PME et 25% des comptes nationaux.
Même si ces entreprises restent minoritaires par rapport à celles qui considèrent le voyage
d'affaires comme un coût, la tendance semble positive à moyen / long terme.
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Fait intéressant, la part des entreprises indécises continue de baisser année après année.
Elles étaient 7% en 2011, puis 4% l'an dernier, elles ne sont plus que 2% cette année.
Quelle que soit la perception, le voyage d'affaires apparait comme une question de
plus en plus centrale.
Les déplacements deviennent un moyen de soutenir ou guider la croissance de toutes les
entreprises. Les comportements d'achat ne sont plus liés uniquement à la taille des
budgets.
Les agences de voyages semblent jouer un rôle dans cette perception. Lorsqu’elles
n’utilisent pas d’agence de voyages, seules 24% des entreprises considèrent leurs
dépenses de déplacement comme un investissement, contre 27% de celles qui utilisent une
agence, et 30% de celles qui en utilisent plusieurs. Quand elles utilisent une TMC plutôt
qu'une agence en ligne, cette part est également supérieure.
Rééquilibrage des catégories de dépenses
Le budget aérien ne représente plus aujourd'hui qu'un gros tiers des budgets totaux (37%).
C'est l'un des principaux constats cette année: alors qu'elles pesaient encore 50% des
budgets il y a 2 ans, les dépenses aériennes ont chuté à moins de 40% en 2013. Bien
qu'elles restent le premier poste de dépenses, le changement est important.
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Dans le même temps, les dépenses d'hôtellerie ont augmenté de 4pts, atteignant presque
¼ des dépenses totales. A noter, cette part est quasiment constante d'une entreprise à
l'autre quelle que soit sa taille, à l'opposé du budget aérien dont le poids varie largement.
D'autres catégories de dépenses sont sur une tendance positive par rapport à 2011. Les
dépenses de Rail ont connu la croissance la plus élevée, avec + 6 pts.
Plusieurs raisons expliquent cette situation:
• La raison principale est liée aux fournisseurs aériens, avec la montée des
compagnies low-cost (dont Transavia, Air Berlin, Iberia Express, Easyjet, etc.). Au
total, pour les répondants cette année, les compagnies aériennes low-cost
représentent 26% des dépenses aériennes, et même 34% au Royaume-Uni. La
tendance va probablement se renforcer à l’avenir, le voyage d'affaires étant l'un des
axes de développement de ces compagnies. Ryanair et Easyjet ont d’ailleurs
récemment pris des mesures en ce sens, que ce soit en renforçant les équipes
corporate ou en adaptant l’offre.
• Le poids du rail doit être mentionné aussi. L'expansion des lignes à grande vitesse
intra-européens devrait, à l'avenir, renforcer ce mode de transport.
• En ce qui concerne le budget hôtel, l’offre "entrée de gamme" n'a pas encore
convaincu les entreprises ; le marché des trois étoiles ou plus représente toujours
plus de 80% du budget hôtellerie des entreprises. Le seul segment des quatre
étoiles représente 25% de ces budgets.
• En outre, la stabilité de l'offre exerce une pression à la hausse sur le prix des
chambres. La plupart des projets d’ouverture d’établissement par les grandes
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chaînes hôtelières concernent surtout Asie et l’Amérique du Sud, et relativement
peu l’Europe. De fait, l’étude American Express Global Business Travel Forecast
2014 prévoit une stabilité des tarifs aériens en 2014, et une augmentation de tarifs
hôteliers comprise entre 0 et 5%.
• Enfin, les catégories de dépenses hors aérien bénéficient depuis quelques années
d’un suivi plus précis et exhaustif, ce qui contribue dans une certaine mesure à les
rendre plus visibles.
Motifs de voyage d'affaires
Les clients et prospects restent de loin le principal motif de déplacements.
46% des dépenses sont consacrées au développement de l’actif client. Cette part stable
reste de loin le motif principal.
L'importance croissante des réunions client / prospect se reflète également dans le budget
MICE, avec une ventilation entre les réunions internes et externes de plus en plus au profit
des réunions externes. Ils représentent désormais ¾ des dépenses de MICE, contre moins
de 60% en 2012.
Les voyages intra-organisations restent le deuxième motif de déplacements, et
représentent 27% des dépenses. Cette part est en légère augmentation.
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Priorités des voyages d'affaires
Le contrôle des coûts est la principale priorité des entreprises.
Après le rééquilibrage des budgets, c'est le deuxième enseignement majeur du
baromètre. Le contrôle des coûts est une priorité pour 87% des entreprises interrogées,
contre 79% en 2012. Cette tendance, déjà très forte les années précédentes, se confirme
cette année.
Le contrôle des coûts concerne toutes les catégories de dépenses (y compris l'aérien et
l’hôtel); les entreprises interrogées indiquent également que ces catégories doivent être
gérées avec plus d’acuité. Information clé cette année, elles sont 64% à considérer que
leurs frais de déplacement peuvent encore être optimisés.
La sécurité des voyageurs gagne en importance dans les entreprises, et est maintenant
classé priorité n°2, avec 64% des entreprises interrogées qui la citent. Elle était la priorité
n°3 l'année dernière.
Le contrôle de la chaîne de valeur, et en particulier la vision complète des dépenses, est
maintenant considéré comme une priorité, en particulier pour des raisons liées à la
consolidation des dépenses. Il est classé n°3 cette année, contre n°4 l’an passé. Cette
progression est également liée à la généralisation du best-buy, qui a comme conséquence
de multiplier les sources d’achat et de freiner la consolidation des dépenses.
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Leviers d’optimisation budgétaire
Pour atteindre cet objectif de maîtrise des coûts, les entreprises se tournent résolument
vers le best-buy. En ligne avec sa progression dans les pratiques ces dernières années, le
best-buy est devenu le levier prioritaire d'optimisation des budgets. Trois raisons principales
peuvent expliquer cette situation:
• Beaucoup d'entreprises considèrent que les négociations tarifaires avec les
fournisseurs agissent principalement comme une garantie à la hausse des prix, et
non comme une garantie au prix le plus bas ;
• La flambée des compagnies aériennes low cost joue évidemment un rôle clé dans
cette nouvelle dynamique européenne ;
• Les outils de réservation en ligne de l'entreprise peuvent être configurés pour
afficher les tarifs selon le choix du client, y compris les offres best-buy.
Étonnamment, le deuxième levier en importance est l'évaluation des déplacements en
amont, qui agit sur les coûts indirects. En ajoutant l'amélioration des flux de travail
d'approbation des dépenses, qui se classe levier n°7, c'est la première fois que nous
observons une telle présence de leviers de coûts indirects dans le top 10. C’est un
enseignement majeur cette année, les entreprises se donnent les moyens de mieux
contrôler leurs dépenses en amont et en aval de la chaîne de valeur.
Certaines d'entre elles vont même au-delà et mettent en place des systèmes pour évaluer
la pertinence et le coût total (total cost of ownership, TCO) en amont de leurs déplacements.
Les entreprises ont progressivement évolué d'une pratique de réduction systématique des
coûts à une stratégie plus orientée vers l’efficacité commerciale, où la pertinence d’un
déplacement est évaluée en amont.
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Le suivi des billets non utilisés est classé n°3 par les entreprises interrogées ; ce levier est
souvent sous-utilisé par les entreprises, ce qui pourrait expliquer pourquoi elles considèrent
que c'est un levier dont il faut accroître l'usage.
L’ « advanced booking » et la réservation en ligne, respectivement leviers n°1 et n°3 pour
les entreprises européennes en 2012, ont chuté en 4e
et 5e
positions. Cela pourrait
s'expliquer par le fait que ces pratiques sont maintenant bien établies dans les entreprises,
ce qui les rend moins susceptibles de générer de nouvelles économies substantielles.
L'importance des technologies
La recherche de contrôle conduit les entreprises à acquérir plus de technologies.
Cet équipement concerne toute la chaîne de valeur. Il s'agit d'une tendance de fond: les
acheteurs font clairement le choix de gérer leurs déplacements de façon plus intégrée.
Les outils de réservation et de paiement progressent dans l’ensemble. L'automatisation de
la chaîne de valeur est une tendance forte, et les chiffres sont comparables aux chiffres
enregistrés aux États-Unis. 27% des entreprises disposent aujourd’hui d’une solution end-
to-end complète, avec un outil de réservation en ligne intégré à une solution de gestion des
dépenses. Cela résulte de la nécessité perçue de capturer 100% des dépenses faites par
les voyageurs, et non plus seulement celles réalisées par les outils de réservation en ligne
avant leur déplacement.
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Les entreprises équipées de solutions end-to-end contrôlent mieux leurs dépenses: près
de 85% d'entre elles déclarent que ¾ de leurs dépenses est sous contrôle. Cette part tombe
à moins de 70% dans les autres cas.
Les technologies mobiles participent aussi à cette tendance. Leur utilisation se généralise
pour 60% des entreprises, ce qui représente une augmentation de 5 points par rapport à
2012.
Les trois usages mobiles les plus courants restent majoritairement concentrés dans la
phase dite de latence, entre la réservation et le déplacement :
• La réception d’informations fournisseurs (dans 72% des cas)
• Le check-in (62% des cas)
• La réception d’alertes sécurité (42% des cas)
Ces technologies sont encore marginales dans la gestion des dépenses, notamment en
raison de l’émergence récente des applications.
En outre, pour 86% des entreprises, les technologies mobiles sont toujours considérées
comme un complément plutôt qu'une alternative aux systèmes de réservation standard.
La sécurité plus que jamais au cœur des préoccupations
La sécurité est la priorité n°2 des entreprises pour les années à venir, derrière le contrôle
des coûts. Elle n’était qu’en troisième position en 2012. C'est aussi une tendance majeure
du baromètre 2013.
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Les entreprises prennent davantage de mesures pour assurer la sécurité de leurs employés
en déplacement. La prise de conscience de leur responsabilité juridique joue assurément
un rôle primordial dans cette tendance. Seules 9% des entreprises déclarent n’avoir mis
aucune mesure en place, ce chiffre est en baisse de 2 points par rapport à 2012.
60% des entreprises disent avoir mis en œuvre des solutions pour rapatrier immédiatement
leurs employés. Au-delà des exigences légales, les entreprises veulent aussi rester en
contact avec leurs voyageurs dans 81% des cas (vs 78% en 2012) et savoir où ils sont à
tout moment 65% d'entre eux.
Cependant, et cela reste un axe de progrès, les employés sont encore très peu formés ou
informés sur les questions de sécurité parleur entreprises, même chez les Grands comptes.
Les efforts en matière de communication et de formation sont encore à faire dans les
entreprises.
Les entreprises et leurs agences de voyages ont un rôle clé à jouer ensemble pour prendre
les mesures nécessaires pour la formation des salariés voyageant dans des zones à risque.
Une étude récente d’American Express montre que 55% des voyageurs ne sont pas encore
pleinement conscients des règles et procédures qui doivent être observées dans des
situations d’urgence. Il y a assurément un écart important entre la volonté des entreprises
et la perception de leurs salariés.
Les services souscrits aux agences de voyages
Pour répondre à leurs trois principales priorités en matière de gestion des déplacements
(contrôle des coûts, sécurité, vision complète des dépenses), les entreprises utilisent de
plus en plus les services à valeur ajoutée proposés parleur agence, y compris pendant le
voyage lui-même.
Les agences jouent de plus en plus un rôle de fournisseur et d’intégrateur de solutions.
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Les services les plus fréquemment souscrits concernent les solutions de réservation en
ligne (y compris la gestion du changement lié à leur mise en œuvre). Seulement n°2 en
2012, ils ont progressé de 9pts pour atteindre 56% des entreprises qui utilisent une agence
de voyages. Fait intéressant, 20% des Grands comptes achètent également des solutions
de gestion des dépenses. Ce taux est nettement inférieur dans les entreprises de taille plus
modeste.
La montée du online est bien entendu à rapprocher de celle de l’équipement des entreprises
en SBT.
Les aspects sécuritaires sont le deuxième motif pour les achats de services à valeur
ajoutée. L'assistance 24/24 et les solutions rapatriement / rerouting sont aujourd'hui les plus
demandés, et sont de plus en plus attachés à des solutions mobiles. Les solutions de
rapatriement / rerouting en particulier sont en hausse de 5pts.
Enfin, une attention doit être portée sur les services de sourcing, dont l'objectif est d’assister
les services d'achat des entreprises dans toutes les étapes de leurs négociations avec les
fournisseurs : jusqu'à 50% des Grands comptes les utilisent aujourd’hui.
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Partie 2: les quatre profils de gestion des dépenses voyages
Introduction aux quatre profils de gestion des dépenses voyages
10 variables ont été définies pour évaluer le degré de contrôle d'une entreprise sur ses
déplacements professionnels. Parmi elles : la présence d'une politique de voyages,
l'évaluation du retour sur investissement des déplacements, la présence d'une solution de
réservation ou de gestion des dépenses, le nombre de l'agence de voyages utilisée, etc.
Les résultats de ces 10 questions ont été extraits pour les 600 entreprises interrogées, et 4
profils ont été définis. Chaque entreprise se comporte de manière similaire à l'intérieur de
chaque groupe, mais différente de celle des autres groupes. Les quatre groupes ont été
nommés en fonction de leur comportement de voyage d'affaires.
1er
constat : la notion de contrôle n’est pas directement liée à la taille des budgets voyages.
Comme nous le verrons tout au long de cette partie, les entreprises qui exercent un
« contrôle global » sur leurs déplacements ont parfois des budgets restreints, et pour
certaines d’entre elles des budgets inférieurs à 250K EUR. Inversement, certains grands
comptes n’ont pas aujourd’hui de volonté d’exercer un contrôle important sur leurs
dépenses de déplacement.
La lecture des 4 profils doit donc être déconnectée de la notion de taille d’entreprises ou de
budget déplacements.
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Contrôle limité : des volumes de déplacements faibles et de courte distance
Les entreprises ayant un contrôle limité représentent plus d'un quart (27%) des typologies
analysées. Cette catégorie est caractérisée par un poids du rail bien au-dessus de la
moyenne, et un poids de l'aérien inférieur. Ces entreprises se déplacent principalement
dans leur propre pays, et très peu en dehors de l'Europe.
Elles sont faibles utilisatrices d'outils et d’assistance pour gérer leurs déplacements.
Elles utilisent moins d'outils sur la chaîne de valeur, principalement en raison de volumes
de déplacement faibles. C’est particulièrement vrai pour les outils de paiement centralisé,
où elles sont loin derrière la moyenne. L’avance de trésorerie est largement préférée à
l’usage de cartes de crédit corporate.
Les outils de réservation en ligne et les solutions de gestion des dépenses sont peu
répandus également, même si l'écart par rapport à la moyenne est plus réduit.
Leur besoin ressenti d'une vision globale des dépenses est faible : seules 41% des
entreprises la citent comme une priorité, contre 70% en moyenne pour les autres groupes.
En conséquence dans 60% des cas leurs processus sont complètement manuels.
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Fort logiquement, elles n’ont pas ou peu de politique voyages. Seules 22% d'entre elles en
ont défini une, contre 80% en moyenne pour les autres groupes.
Plus de la moitié d’entre elles (52%) n’utilisent aucune agence de voyages ; de plus,
lorsqu’elles en utilisent une, elles lui achètent moins de services.
Paradoxalement 56% estiment que leurs coûts pourraient être optimisés; il est probable
qu’une agence de voyages pourrait apporter une telle valeur ajoutée, notamment par
l'installation d'outils de réservation en ligne ou des technologies mobiles.
Contrôle pragmatique : la recherche d’une efficacité à court terme
Ces entreprises ont un profil assez proche de la moyenne de l'échantillon, mais elles se
déplacent très peu dans leur propre pays, et même en Europe. Leur zone de
développement est un peu dans les Amériques, mais essentiellement dans la région Asie-
Pacifique, où se trouve aujourd'hui la croissance.
Elles cherchent avant tout l'optimisation des coûts directs et consacrent plus de 60% de
leur budget au développement de l’actif client.
Contrairement à la première catégorie, le contrôle des coûts est leur priorité - avant la
sécurité des passagers ou l’acquisition d’une vision complète des dépenses, qui reste très
en retrait chez elles.
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23ème édition – Novembre 2013
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Leurs politiques voyages sont très orientées vers les coûts directs, et ces directives sont
présentes dans la politique voyages d'au moins 65% de ces entreprises - même 70%
concernant les dépenses aériennes.
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Logiquement, le best-buy et l’advanced booking sont les leviers les plus utilisés. Ces
entreprises ont tendance à sous-utiliser volontairement des leviers à plus long terme, pour
tirer davantage parti des leviers agissant à court terme.
Dans cette logique, elles sont équipées dans plus de 95% des cas de technologies mobiles
dédiées, dans cette recherche d’efficacité et de réactivité. Au contraire, elles utilisent très
peu d'outils de gestion des dépenses : 18% seulement d’entre elles, contre 41% en
moyenne pour les autres groupes.
Autre aspect intéressant : ces entreprises utilisent plusieurs agences dans 30% des cas,
contre 15% en moyenne dans les autres groupes. C’est une tendance observée également
sur d’autres marchés comme la Chine, ces entreprises cherchent à tirer les frais d’agences
à la baisse en mettant plusieurs partenaires en concurrence.
Leur agence de voyages principale est souvent un acteur local ou une agence en ligne. La
valeur ajoutée d'une TMC semble moins attrayant pour elles.
Elles sont 29% à indiquer avoir des plans d'expansion à l’international dans les trois ans,
ce qui pourrait avoir pour effet de modifier leur approche. En outre, 53% d'entre elles
estiment que leurs coûts pourraient être optimisés.
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Contrôles Ciblés et Globaux : 2 approches pour des déplacements plus complexes
Les deux dernières typologies – entreprises ayant un contrôle global ou ciblé de leur budget
déplacements – ont un profil assez proche en termes de dépenses, avec un poids beaucoup
plus fort de l’aérien par rapport à la moyenne de l'échantillon.
Le contrôle ciblé concerne avant tout des entreprises qui démontrent une volonté de
maitriser la chaine du déplacement, sans pour autant y dédier des ressources trop
importantes de par une complexité moins forte.
Le contrôle global concerne des entreprises mettant tout en œuvre pour contrôle une chaine
du déplacement par nature plus complexe.
Chez ces 2 profils la zone privilégiée de déplacements est large, mais différente :
• Celles qui ont un contrôle ciblé se déplacent principalement sur leur marché
domestique et en Europe ;
• Celles qui ont un contrôle global se déplacent aussi dans des zones plus complexes
comme l’Asie, l’Afrique ou le Moyen-Orient.
Ce type de déplacements a des conséquences pour la sécurité et le contrôle des
voyageurs. Les entreprises ayant un contrôle global voyagent plus dans les régions
sensibles : la sécurité est un enjeu majeur. Cela s’observe directement concernant les
services de rapatriement, qu’elles souscrivent en moyenne 15pts de plus que les
entreprises ayant un contrôle ciblé.
Les entreprises au contrôle global sont aussi plus conscientes de l'importance de former
les voyageurs en amont de leur voyage, bien que ces pratiques ne soient en place que
dans à peine 1/3 d’entre elles.
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Une grande majorité de ces entreprises (76%) utilisent une agence de voyages et une seule
: ce sont de loin les typologies ayant le taux le plus élevé d’agence unique. Ceci reflète leur
besoin de bénéficier d'une gamme complète et surtout intégrée de services qui leur
permettent, non seulement de gérer efficacement chaque partie de la chaîne de valeur,
mais aussi d'apporter une cohérence à l'ensemble du processus. Ces entreprises cherchent
beaucoup plus que les autres à obtenir une vision complète de leurs dépenses (79% d’entre
elles, contre 38% des autres typologies), elles utilisent donc leur agence comme un
véritable partenaire plutôt qu'un simple prestataire.
Dans la même logique, dans 85% des cas, l'agence de voyages est une TMC ; toutefois,
selon que l’entreprise a un contrôle global ou ciblé, elles n’utilisent pas leur TMC de la
même façon. Alors que les contrôles ciblés ont tendance à restreindre l’assistance
demandée à leur agence pour optimiser leur programme de déplacements, les contrôles
globaux au contraire s'appuient au maximum sur leur expertise pour définir, mettre en place
ou mesurer l’efficacité des leviers d’optimisation.
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La complexité des déplacements et le niveau d'équipement technologique expliquent cette
différence. Les entreprises ayant un contrôle global voyagent dans de nombreuses régions
du monde :
• Elles utilisent plus les services de rapatriement et de réacheminement ;
• Elles souscrivent également plus de services de sourcing – avec une différence de
18 points par rapport aux contrôles ciblés – pour s’adresser efficacement à un
nombre plus important de fournisseurs pour couvrir tous leurs besoins de voyage.
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Un écart important concerne le niveau d’équipement technologique, notamment les outils
de réservation en ligne, et plus encore les solutions de gestion de frais : seules 17% des
entreprises ayant un contrôle ciblé utilisent actuellement ces solutions, contre 87% des
contrôles globaux.
Cela engendre une différence fondamentale entre ces deux profils : chez 1/3 des
contrôles ciblés, les procédures sont totalement manuelles ; ce pourcentage est négligeable
chez les contrôles globaux. A l'inverse, 50% des contrôles globaux ont des procédures
complètement automatisées de bout en bout, alors que cette part est négligeable au sein
des contrôles ciblés.
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Logiquement les contrôles globaux, qui combinent outils technologiques sur toute la chaîne
de valeur et automatisation des processus, parviennent à mesurer le retour sur
investissement de leurs déplacements beaucoup plus que les contrôles ciblés: 58% vs
34%.
La maturité dans la gestion des déplacements n’est pas seulement liée à la taille
des budgets
Parmi les contrôles globaux, 32% ont un budget voyages de plus de 3M€. Cette part est
inférieure dans les autres typologies, mais pas inexistante : 10% des entreprises au contrôle
pragmatique ont un budget déplacement de cette taille.
De la même façon, les petits budgets (moins de 250K€) sont présents dans toutes les
typologies, y compris les contrôles globaux où ils représentent près d'un quart des
entreprises.
La taille du budget voyages ne peut pas être utilisée comme unique facteur pour évaluer la
maturité des entreprises dans le contrôle de leurs déplacements. D’autres critères doivent
être considérés, et en premier lieu la typologie des destinations de l’entreprise (nombre de
régions visitées, éloignement et complexité). Celles-ci sont aussi une conséquence des
motifs de déplacement de l’entreprise (visites clients, prospection, MICE, etc.) ; ce critère
doit aussi être pris en compte.
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Évolutions attendues de ces 4 typologies
Les entreprises sont confrontées à deux enjeux qui peuvent impacter leur maturité :
• Leur développement à l’international, qui peut les amener à se rendre dans des
régions économiquement dynamiques, où les questions de sécurité et de
complexité dans les déplacements sont plus élevées que dans les pays occidentaux
;
• Leur besoin d'une vision complète des dépenses, qui peut les conduire à adopter
des solutions IT pour automatiser et mieux gérer leurs processus de bout en bout.
Quelle que soit la taille des entreprises, la tendance générale est au développement de
l'actif client. Pour rappel, les entreprises dépensent 60% de leur budget à cette fin.
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Partie 3: Perspectives pour 2014
Perspectives 2014: des stratégies toujours attentistes, une croissance attendue des
budgets de 0,8%
Les répondants restent prudents pour 2014 : 72% d'entre eux considèrent que leur budget
restera stable (contre 64% cette année). 20% des budgets devraient augmenter, contre
23% en 2013, mais la part des budgets en baisse devrait baisser encore plus pour passer
en-dessous des 10% des entreprises (contre 14% en 2013).
Dans l'ensemble, les budgets 2014 devraient augmentation légèrement, de 0,8%, avec
une dynamique toujours plus élevée pour les comptes nationaux, mais surtout le retour à
une tendance positive pour les Grands comptes.
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Cette légère croissance est conforme aux prévisions de hausses très modérées des tarifs
en Europe. Les tarifs aériens devraient rester stables en moyenne : l’évolution prévue est
comprise entre -1% et +1% pour la classe économique, et entre -1% et +2% pour la classe
affaires.
A nouveau, les tarifs hôteliers sont plus susceptibles de croître en 2014 en Europe, avec
une augmentation de 0 à +6% pour les tarifs des segments économiques, et de 0 à +4%
pour les segments business.
Cette légère reprise des voyages d'affaires devrait venir de différentes régions
Le développement des affaires à l'étranger devrait rester le premier motif de développement
des déplacements professionnels : quand elles anticipent une augmentation de leur budget
déplacements, 52% des entreprises l’expliquent par un développement de leur activité en
dehors de l'Europe.
• Un changement important est à noter ici : le premier pays pour la croissance
économique en dehors de l'Europe a longtemps été les Etats-Unis, mais l'Amérique
du Nord est maintenant classé en 4e
position seulement, avec 20% des entreprises
qui anticipent un développement du commerce là-bas. Cette région est largement
dépassée par l’Asie-Pacifique, avec 35% des entreprises.
Cette part est à comparer aux 49% des entreprises qui prévoient un développement de
leurs échanges au sein de l'Europe - ce taux est similaire à celui de l'an dernier (48%).
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Mais la nouvelle tendance concerne le développement du commerce national : alors que
seulement 34% des entreprises interrogées étaient confiantes quant à ce moteur de
croissance en 2013, ce taux est en hausse 8pts pour atteindre 42%. De plus en plus
d’entreprises européennes anticipent maintenant une reprise économique dans leur propre
pays, ce qui est une tendance positive après des années de conjoncture morose en Europe.
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A propos du Baromètre
Le Baromètre 2013 a été préparé par Concomitance à partir d’une enquête réalisée par
téléphone auprès des personnes en charge des budgets voyages allant de moins de 250K€
à plus de 50 millions d’€ (Directeurs Financiers, Directeurs des Achats et Travel Managers)
- entre le 16 septembre et le 17 octobre 2013, dans 583 entreprises européennes basées
sur 11 pays : l’Allemagne, la Grande Bretagne, la France, la Belgique, le Luxembourg, les
Pays-Bas, l’Espagne, l’Italie, le Danemark, la Suède et la Norvège.
A propos de Concomitance
Depuis 2001, Concomitance est une société de services spécialisée dans les études, le
conseil et le développement de la performance dans les domaines marketing, commercial,
vente et relation client.
Concomitance dispose d’équipes spécialisées sur plusieurs secteurs d’activité tels que les
télécoms, le voyage et le déplacement, la banque, la distribution…
Depuis sa création, Concomitance se distingue par sa capacité à traduire des enjeux
commerciaux et marketing en plan d’actions, efficaces immédiatement et compris par tous
les acteurs. Cette capacité est directement issue de l’ADN de Concomitance : l’expérience
préalable en entreprise de nos consultants permet de créer et de partager avec nos clients
des recommandations en phase avec la maturité de leur entreprise.