Les parents écrivent à l'ordre des sages-femmesactionaad
(Futurs) parents, pas satisfaits de l'offre de soins disponible dans votre région pour le suivi des grossesses et les accouchements normaux? Faites-le savoir au Conseil national de l'ordre des sages-femmes
A l’occasion de la semaine européenne de la fertilité, trois associations Asso’ SOPK, Collectif BAMP! et EndoFrance ont réalisé, avec le support institutionnel du laboratoire Merck, une enquête Ipsos auprès de femmes actuellement ou récemment en parcours de Procréation Médicalement Assistée (PMA).
En savoir + : https://www.ipsos.com/fr-fr/pma-un-parcours-long-et-stressant-pour-les-patientes
Dans cette présentation de Power Point , nous allons vous parler de la procréation médicalement assistée (PMA). Beaucoup de personnes ignorent tout sur ce sujet.
Vous vous posez sûrement beaucoup de questions :
•Quelles sont les différentes techniques de la procréation médicalement assistée ?
•Quelle PMA adopter ?
•Ces techniques sont-elles réversibles ?
•Quelles sont les positions de la loi et de la religion vis-à-vis de ces techniques ?
La plupart des gens croient que la planification familiale est importante. C'est la raison pour laquelle, dans certains pays, l'avortement est considéré comme légal. Lors de l’avortement du fœtus au cours du premier trimestre de la grossesse, certaines personnes prennent leur temps avant d’avorter leur bébé. Davantage de complications peuvent survenir lorsque l’avortement est pratiqué au troisième trimestre de la grossesse.
LES SOINS KANGOUROU POUR LES BEBES PREMATURES : CE QU’IL FAUT SAVOIR EN 10 P...Dr. Adidja AMANI, MD MPH
Cet article discute de la prématurité, de l’ampleur de la prematurite au Cameroun, des défis de la prématurité au Cameroun, des problèmes des bébés nés prématurés. La seconde partie discute des solutions cout efficaces pour inverser la tendance des deces des nouveaux nes prematures notamment la methode Kangourou. Ces avantages ,la bonne position pour le Kangourou et conclut avec des perspectives pour la méthode Kangourou au Cameroun.
Revue " Le Cordon Rouge " AGOF n°13 - Janvier 2017
Avec la vague bobo-bio très à la mode en ce moment, de plus en plus de mamans se tournent vers des accouchements physiologiques, « naturels ». Vous avez peut-être eu l’occasion de vous en rendre compte lors de votre exercice, notamment à travers des projets de naissance rédigés par les patientes et leur conjoints, qui même s’ils partent d’un projet réfléchi, nous paraissent parfois loufoques voire dangereux.
Des maisons de naissance ont vu le jour, encourageant ces accouchements physiologiques, mais de manière encadrée. En tant qu’internes, nous connaissons très peu le fonctionnement de ces maisons de naissance, mais en tant que professionnels, nous nous devons de savoir expliquer aux patientes ce qu’elles proposent, de les informer, ainsi que d’avoir une vision critique sur ce nouveau phénomène.
Qu’est-ce qu’une maison de naissance ?
Une maison de naissance est un lieu d’accueil, de suivi de grossesse et d’accouchement destinée aux femmes enceintes et à leur famille, dès lors que la grossesse, l’accouchement et le post-partum restent dans le cadre de la physiologie.
Les sages-femmes y sont autonomes, et le couple est suivi du début de la grossesse jusqu’à l’accouchement par une même sage-femme. Il s’agit donc d’une prise en charge personnalisée, qui tient compte de l’histoire du couple, des liens familiaux, sociaux, créant une relation de confiance.
Le couple a la volonté de vivre la grossesse et l’accouchement dans un environnement non médicalisé, entourés de professionnels de santé qui respecteront leurs choix et leurs envies.
(...)
http://www.reseauprosante.fr/
www.anemf.org
Après s’être offert un lifting au début de l’année 2012, le site ANEMF.org s’est très vite imposé comme une référence pour tous les étudiants en médecine de France !
ANEMF.org, c’est d’abord un portail proposant des dizaines d’articles consacrés aux études et à la pratique médicale. L’objectif est simple : offrir à chacun la possibilité de trouver une réponse claire et complète aux questions que posent la vie d’étudiant en médecine. Comment lire sa fiche de paye d’externe ? Comment accéder aux aides au logement ? Qu’est-ce que la sécurité sociale étudiante ? Qu’est-ce que la procédure de choix ? Quelles aides sont proposées pour s’installer ? Comment fonctionne le CESP ? Les sujets sont variés, et nous concerne tous à un moment de notre cursus : prendre quelques minutes pour s’informer, c’est l’assurance de ne pas rater le coche.
Mais ANEMF.org c’est aussi et surtout le portail de l’ANEMF ! Parce que les études médicales évoluent et parce que la démographie médicale est un sujet de débats politiques inépuisable, nous sommes, en tant que carabins, particulièrement concernés par l’actualité. De la réforme des ECN à la mobilisation des internes, en passant par l’évolution des conditions de travail en stage, il ne se passe pas un jour sans que l’ANEMF ne soit sollicitée pour porter la voix des étudiants en médecine de France. Le fruit de cette représentation étudiante active et continue vous est communiqué par le biais d’ANEMF.org, qui regorge d’articles et de communiqués à la pointe de l’actualité. Il vous est même possible d’inscrire votre adresse mail sur la mailing “Général”. Vous pourrez ainsi recevoir, chaque fois que la situation l’exige, des mails détaillant les discussions en cours et l’état des réformes à venir !
reseauprosante.fr
Est parue en Septembre 2012 les résultats de l’étude FECOND, menée par l’INSERM1 et l’INED2. Cette étude s’interroge sur les moyens de contraception des femmes en âge de procréer. Purement statistique, cette étude dresse des constats pour le moins intéressants.
Resituons le contexte : en 1967, la contraception devient légale. En 1975, Simone Veil fait promulguer une loi qui autorise l’avortement sous conditions. En 2001 a été votée la Loi Aubry, qui remanie en profondeur la loi Veil. Elle autorise les médecins généralistes à prescrire l’IVG médicamenteuse (pilule RU 489), facilite l’accès à la contraception, affirme le droit des femmes à avorter et autorise la stérilisation comme moyen de contrôle des naissances. Parallèlement, depuis 2000, on voit fleurir de nouvelles méthodes de contraception révolutionnaires (implant, patch...), permettant à chaque femme de choisir une contraception adaptée à son mode de vie.
Globalement, la pilule contraceptive reste la méthode de contraception plébiscitée par les femmes : elle est utilisée par une femme sur deux entre 15 et 49 ans. En revanche, on constate que son utilisation a diminué depuis les années 2000 (-4,6%), mais cette baisse est compensée par le recours aux nouvelles méthodes hormonales. Plus alarmant, chez les 20-24 ans, cette baisse d’utilisation (-10,4%) n’est pas compensée par le recours aux autres méthodes contraceptives (dont on constate une augmentation d’utilisation de 5,1% seulement)
reseauprosante.fr
Selina Kyle (les Dechainees) écrit à Mme Bachelotpetra pan
Novembre 2008. Plus d'un millier de femmes ont signé: "j'ai accouchée seule, ou j'ai l'intention de le faire, faute de trouver une sage-femme pour un accouchement à domicile"
information d'un jeune public concernant les différents moyens de contraception.
quiz à destination des lycéens concernant les différents moyens de contraception existants afin de participer à la lutte contre la progression constante du nombre d'IVG en France en accord avec les recommandations du Ministère de la Santé, ainsi qu'à l'éducation à la sexualité au programme de l'Education Nationale.
Les parents écrivent à l'ordre des sages-femmesactionaad
(Futurs) parents, pas satisfaits de l'offre de soins disponible dans votre région pour le suivi des grossesses et les accouchements normaux? Faites-le savoir au Conseil national de l'ordre des sages-femmes
A l’occasion de la semaine européenne de la fertilité, trois associations Asso’ SOPK, Collectif BAMP! et EndoFrance ont réalisé, avec le support institutionnel du laboratoire Merck, une enquête Ipsos auprès de femmes actuellement ou récemment en parcours de Procréation Médicalement Assistée (PMA).
En savoir + : https://www.ipsos.com/fr-fr/pma-un-parcours-long-et-stressant-pour-les-patientes
Dans cette présentation de Power Point , nous allons vous parler de la procréation médicalement assistée (PMA). Beaucoup de personnes ignorent tout sur ce sujet.
Vous vous posez sûrement beaucoup de questions :
•Quelles sont les différentes techniques de la procréation médicalement assistée ?
•Quelle PMA adopter ?
•Ces techniques sont-elles réversibles ?
•Quelles sont les positions de la loi et de la religion vis-à-vis de ces techniques ?
La plupart des gens croient que la planification familiale est importante. C'est la raison pour laquelle, dans certains pays, l'avortement est considéré comme légal. Lors de l’avortement du fœtus au cours du premier trimestre de la grossesse, certaines personnes prennent leur temps avant d’avorter leur bébé. Davantage de complications peuvent survenir lorsque l’avortement est pratiqué au troisième trimestre de la grossesse.
LES SOINS KANGOUROU POUR LES BEBES PREMATURES : CE QU’IL FAUT SAVOIR EN 10 P...Dr. Adidja AMANI, MD MPH
Cet article discute de la prématurité, de l’ampleur de la prematurite au Cameroun, des défis de la prématurité au Cameroun, des problèmes des bébés nés prématurés. La seconde partie discute des solutions cout efficaces pour inverser la tendance des deces des nouveaux nes prematures notamment la methode Kangourou. Ces avantages ,la bonne position pour le Kangourou et conclut avec des perspectives pour la méthode Kangourou au Cameroun.
Revue " Le Cordon Rouge " AGOF n°13 - Janvier 2017
Avec la vague bobo-bio très à la mode en ce moment, de plus en plus de mamans se tournent vers des accouchements physiologiques, « naturels ». Vous avez peut-être eu l’occasion de vous en rendre compte lors de votre exercice, notamment à travers des projets de naissance rédigés par les patientes et leur conjoints, qui même s’ils partent d’un projet réfléchi, nous paraissent parfois loufoques voire dangereux.
Des maisons de naissance ont vu le jour, encourageant ces accouchements physiologiques, mais de manière encadrée. En tant qu’internes, nous connaissons très peu le fonctionnement de ces maisons de naissance, mais en tant que professionnels, nous nous devons de savoir expliquer aux patientes ce qu’elles proposent, de les informer, ainsi que d’avoir une vision critique sur ce nouveau phénomène.
Qu’est-ce qu’une maison de naissance ?
Une maison de naissance est un lieu d’accueil, de suivi de grossesse et d’accouchement destinée aux femmes enceintes et à leur famille, dès lors que la grossesse, l’accouchement et le post-partum restent dans le cadre de la physiologie.
Les sages-femmes y sont autonomes, et le couple est suivi du début de la grossesse jusqu’à l’accouchement par une même sage-femme. Il s’agit donc d’une prise en charge personnalisée, qui tient compte de l’histoire du couple, des liens familiaux, sociaux, créant une relation de confiance.
Le couple a la volonté de vivre la grossesse et l’accouchement dans un environnement non médicalisé, entourés de professionnels de santé qui respecteront leurs choix et leurs envies.
(...)
http://www.reseauprosante.fr/
www.anemf.org
Après s’être offert un lifting au début de l’année 2012, le site ANEMF.org s’est très vite imposé comme une référence pour tous les étudiants en médecine de France !
ANEMF.org, c’est d’abord un portail proposant des dizaines d’articles consacrés aux études et à la pratique médicale. L’objectif est simple : offrir à chacun la possibilité de trouver une réponse claire et complète aux questions que posent la vie d’étudiant en médecine. Comment lire sa fiche de paye d’externe ? Comment accéder aux aides au logement ? Qu’est-ce que la sécurité sociale étudiante ? Qu’est-ce que la procédure de choix ? Quelles aides sont proposées pour s’installer ? Comment fonctionne le CESP ? Les sujets sont variés, et nous concerne tous à un moment de notre cursus : prendre quelques minutes pour s’informer, c’est l’assurance de ne pas rater le coche.
Mais ANEMF.org c’est aussi et surtout le portail de l’ANEMF ! Parce que les études médicales évoluent et parce que la démographie médicale est un sujet de débats politiques inépuisable, nous sommes, en tant que carabins, particulièrement concernés par l’actualité. De la réforme des ECN à la mobilisation des internes, en passant par l’évolution des conditions de travail en stage, il ne se passe pas un jour sans que l’ANEMF ne soit sollicitée pour porter la voix des étudiants en médecine de France. Le fruit de cette représentation étudiante active et continue vous est communiqué par le biais d’ANEMF.org, qui regorge d’articles et de communiqués à la pointe de l’actualité. Il vous est même possible d’inscrire votre adresse mail sur la mailing “Général”. Vous pourrez ainsi recevoir, chaque fois que la situation l’exige, des mails détaillant les discussions en cours et l’état des réformes à venir !
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Est parue en Septembre 2012 les résultats de l’étude FECOND, menée par l’INSERM1 et l’INED2. Cette étude s’interroge sur les moyens de contraception des femmes en âge de procréer. Purement statistique, cette étude dresse des constats pour le moins intéressants.
Resituons le contexte : en 1967, la contraception devient légale. En 1975, Simone Veil fait promulguer une loi qui autorise l’avortement sous conditions. En 2001 a été votée la Loi Aubry, qui remanie en profondeur la loi Veil. Elle autorise les médecins généralistes à prescrire l’IVG médicamenteuse (pilule RU 489), facilite l’accès à la contraception, affirme le droit des femmes à avorter et autorise la stérilisation comme moyen de contrôle des naissances. Parallèlement, depuis 2000, on voit fleurir de nouvelles méthodes de contraception révolutionnaires (implant, patch...), permettant à chaque femme de choisir une contraception adaptée à son mode de vie.
Globalement, la pilule contraceptive reste la méthode de contraception plébiscitée par les femmes : elle est utilisée par une femme sur deux entre 15 et 49 ans. En revanche, on constate que son utilisation a diminué depuis les années 2000 (-4,6%), mais cette baisse est compensée par le recours aux nouvelles méthodes hormonales. Plus alarmant, chez les 20-24 ans, cette baisse d’utilisation (-10,4%) n’est pas compensée par le recours aux autres méthodes contraceptives (dont on constate une augmentation d’utilisation de 5,1% seulement)
reseauprosante.fr
Selina Kyle (les Dechainees) écrit à Mme Bachelotpetra pan
Novembre 2008. Plus d'un millier de femmes ont signé: "j'ai accouchée seule, ou j'ai l'intention de le faire, faute de trouver une sage-femme pour un accouchement à domicile"
information d'un jeune public concernant les différents moyens de contraception.
quiz à destination des lycéens concernant les différents moyens de contraception existants afin de participer à la lutte contre la progression constante du nombre d'IVG en France en accord avec les recommandations du Ministère de la Santé, ainsi qu'à l'éducation à la sexualité au programme de l'Education Nationale.
31. 1) Quelles sont les nouveaux technologies qui peuvent donner d’information aux femmes qui les aider à décider d’avorter un bébé? (par exemple : dans quelques pays qui ont l’inégalité des sexes, femmes ont des avortements si elles apprennent qu’elles auront une fille) 1) À votre avis, quand est-il moral d’avorter un fœtus ? dans tous les cas seulement si c’est dangereux pour la femme de rester enceinte jamais