Diaporama utilisé par Pierre Wunsch, gouverneneur de la Banque nationale, lors de la présentation du Rapport annuel de la BNB à Liège, le 25 février 2019.
Olivier Garnier à la commission finances sur les prévisions économiques Franc...Soledad Zignago
Présentation d'Olivier Garnier, Banque de France, à la Commission finances de l'Assemblée nationale sur les prévisions économiques France 24/01/18 #BdFeco
Tableau de bord économique de la Fondation Idea de juillet2021Paperjam_redaction
Le cycle expansionniste semble bel et bien entamé au
2
ème trimestre, notamment grâce à la levée des
restrictions sanitaires, aux spécialisations économiques
du pays et aux divers mécanismes de soutien qui ont
rapidement compensé les pertes de revenus. Le scénario
d’une reprise « en V » se confirme, bien que l’alphabet
grec des variants laisse entrevoir une sortie longue et
complexe de la pandémie.
FRANCE
1. Prévisions de l’INSEE pour le 2nd semestre 2014 : toujours pas de reprise, nouvelle dégradation du marché du travail
2. Immatriculations de voitures neuves en septembre 2014 : +0,2% sur un mois, -1,2% au 3ème trimestre
3. Commerce extérieur en août 2014 : nouvelle contraction des échanges, creusement du déficit industriel en glissement sur douze mois
INTERNATIONAL
4. Perspectives économiques mondiales du FMI pour 2014 et 2015 : une situation incertaine dans la zone euro
5. Climat des affaires aux Etats-Unis en septembre 2014 : repli de l’indice, à un niveau qui témoigne d’une activité toujours en expansion
6. Marché de l’emploi aux Etats-Unis en septembre 2014 : 248 000 créations d’emploi, un taux de chômage de 5,9%, proche de son niveau de plein emploi
Depuis les années 60, la croissance économique wallonne était constamment inférieure à celle
de la Flandre. Mais ce retard de croissance a pris fin au cours de la dernière décennie. Cette
évolution reflète une dynamique de croissance industrielle un peu plus soutenue en Wallonie,
et est également liée au ralentissement de la croissance de l’économie flamande. Le tout est
de savoir si la Wallonie a amorcé un mouvement de réajustement par rapport à la Flandre. Un
signe encourageant est le changement de cap de la politique industrielle wallonne, surtout via
le plan Marshall qui soutient le développement de nouveaux pôles de croissance industrielle.
Les statistiques des investissements et des exportations donnent également à penser que cette
réorientation porte progressivement ses fruits. Mais malgré cette embellie, la Wallonie est toujours
plus faible dans divers domaines par rapport à la Flandre. Ainsi, les exportations (surtout
à l’extérieur de l’UE) et l’esprit d’entreprise y sont moins développés, la productivité dans
les secteurs des services y est plus faible, l’enseignement est moins performant et le chômage
structurel reste obstinément élevé. Si la Wallonie parvient à corriger ces relatives faiblesses, le
rythme de croissance restera légèrement supérieur à celui de la Flandre, notamment grâce à
une démographie moins défavorable. Cela suppose toutefois que la Wallonie, outre la réorientation
de sa politique industrielle, s’attelle à mettre en oeuvre des réformes du marché du travail
qui seront d’ailleurs nécessaires dans toutes les régions pour élever le taux d’emploi.
La statistique du chômage au sens du BIT en Suisseericstephani
L’Office de statistique du Canton du Tessin (USTAT), dans le cadre d’un projet systémique sur le thème du chômage, souhaite utiliser et valoriser la statistique du chômage au sens du BIT à travers la comparaison des données entre pays et région voisines.
Slides utilisés par Julien Manceaux, senior economist chez ING Belgique lors de sa conférence du 24/11/16, au Forum financier de Charleroi.
Titre complet de la conférence : "Taux d’intérêt et tendances démographiques : Perspectives du marché immobilier"
Diaporama utilisé par Philippe Ledent, senior economist chez ING Belgium, lors de sa conférence au Forum financier de Verviers-Eupen, le 11 février 2020
Diaporama utilisé par Pierre Wunsch, vice-gouverneurr de la Banque nationale, lors de la présentation du Rapport de la BNB à Charleroi, le 22 mars 2018.
Diaporama utilisé par Pierre Wunsch, vice-gouverneurr de la Banque nationale, lors de la présentation du Rapport de la BNB à Verviers, le 12 mars 2018.
Olivier Garnier à la commission finances sur les prévisions économiques Franc...Soledad Zignago
Présentation d'Olivier Garnier, Banque de France, à la Commission finances de l'Assemblée nationale sur les prévisions économiques France 24/01/18 #BdFeco
Tableau de bord économique de la Fondation Idea de juillet2021Paperjam_redaction
Le cycle expansionniste semble bel et bien entamé au
2
ème trimestre, notamment grâce à la levée des
restrictions sanitaires, aux spécialisations économiques
du pays et aux divers mécanismes de soutien qui ont
rapidement compensé les pertes de revenus. Le scénario
d’une reprise « en V » se confirme, bien que l’alphabet
grec des variants laisse entrevoir une sortie longue et
complexe de la pandémie.
FRANCE
1. Prévisions de l’INSEE pour le 2nd semestre 2014 : toujours pas de reprise, nouvelle dégradation du marché du travail
2. Immatriculations de voitures neuves en septembre 2014 : +0,2% sur un mois, -1,2% au 3ème trimestre
3. Commerce extérieur en août 2014 : nouvelle contraction des échanges, creusement du déficit industriel en glissement sur douze mois
INTERNATIONAL
4. Perspectives économiques mondiales du FMI pour 2014 et 2015 : une situation incertaine dans la zone euro
5. Climat des affaires aux Etats-Unis en septembre 2014 : repli de l’indice, à un niveau qui témoigne d’une activité toujours en expansion
6. Marché de l’emploi aux Etats-Unis en septembre 2014 : 248 000 créations d’emploi, un taux de chômage de 5,9%, proche de son niveau de plein emploi
Depuis les années 60, la croissance économique wallonne était constamment inférieure à celle
de la Flandre. Mais ce retard de croissance a pris fin au cours de la dernière décennie. Cette
évolution reflète une dynamique de croissance industrielle un peu plus soutenue en Wallonie,
et est également liée au ralentissement de la croissance de l’économie flamande. Le tout est
de savoir si la Wallonie a amorcé un mouvement de réajustement par rapport à la Flandre. Un
signe encourageant est le changement de cap de la politique industrielle wallonne, surtout via
le plan Marshall qui soutient le développement de nouveaux pôles de croissance industrielle.
Les statistiques des investissements et des exportations donnent également à penser que cette
réorientation porte progressivement ses fruits. Mais malgré cette embellie, la Wallonie est toujours
plus faible dans divers domaines par rapport à la Flandre. Ainsi, les exportations (surtout
à l’extérieur de l’UE) et l’esprit d’entreprise y sont moins développés, la productivité dans
les secteurs des services y est plus faible, l’enseignement est moins performant et le chômage
structurel reste obstinément élevé. Si la Wallonie parvient à corriger ces relatives faiblesses, le
rythme de croissance restera légèrement supérieur à celui de la Flandre, notamment grâce à
une démographie moins défavorable. Cela suppose toutefois que la Wallonie, outre la réorientation
de sa politique industrielle, s’attelle à mettre en oeuvre des réformes du marché du travail
qui seront d’ailleurs nécessaires dans toutes les régions pour élever le taux d’emploi.
La statistique du chômage au sens du BIT en Suisseericstephani
L’Office de statistique du Canton du Tessin (USTAT), dans le cadre d’un projet systémique sur le thème du chômage, souhaite utiliser et valoriser la statistique du chômage au sens du BIT à travers la comparaison des données entre pays et région voisines.
Slides utilisés par Julien Manceaux, senior economist chez ING Belgique lors de sa conférence du 24/11/16, au Forum financier de Charleroi.
Titre complet de la conférence : "Taux d’intérêt et tendances démographiques : Perspectives du marché immobilier"
Diaporama utilisé par Philippe Ledent, senior economist chez ING Belgium, lors de sa conférence au Forum financier de Verviers-Eupen, le 11 février 2020
Diaporama utilisé par Pierre Wunsch, vice-gouverneurr de la Banque nationale, lors de la présentation du Rapport de la BNB à Charleroi, le 22 mars 2018.
Diaporama utilisé par Pierre Wunsch, vice-gouverneurr de la Banque nationale, lors de la présentation du Rapport de la BNB à Verviers, le 12 mars 2018.
Projections économiques pour la Belgique : entre tensions inflationnistes et contexte international incertain
Par le Directeur Jean Hilgers, Banque nationale de Belgique
OESTV - Matinale inflation - Juillet 2022.pdfOESTV
Diaporama projeté lors de notre Matinale Inflation du 8 juillet 2022. L'inflation dans tous ses états par Isabelle JOB-BAZILLE, Directrice des Études économiques du Groupe Crédit Agricole SA.
Les Finances de la Région wallonne : le temps de la responsabilité.
Adrien Dolimont
Ministre Wallon des Finances, du Budget, des Aéroports et des Infrastructures sportives
Prix de l’énergie, inflation et indexation automatique : quelles conséquences pour la compétitivité et le pouvoir d’achat en Belgique?
Gregory de Walque, économiste BNB
Charlotte de Montpellier, économiste ING
IDEA acteur du développement économique et de la réindustrialisation du Cœur du Hainaut - Focus sur les projets phares
Caroline DECAMPS, Directrice Générale
Le Green Deal Européen, une vision climatique, industrielle ou géopolitique ?
Sébastien PAQUOT
Chef d'Unité Adjoint - Climate Finance - DG CLIMA - Commission Européenne
Forum financier de Liège
De l’opportunité de convergences à la nécessité de collaborer : les réseaux hospitaliers à l’épreuve des crises
Orateurs :
Sylvianne Portugaels Directeur général de l’hôpital de la Citadelle
Marc De Paoli
Administrateur-délégué du CHU Liège
La diversité, un levier de performance pour l’entreprise de demain.
En effet, elle favorise l’innovation, la créativité, la productivité mais aussi l’attractivité des talents. Certes, la diversité ne se limite pas à la question du genre, elle recouvre de nombreuses facettes.
Ainsi, Céline Piton et Maud Nautet aborderont l’effet de la parentalité sur la carrière des hommes et des femmes.
Ensuite Patrick Devis nous expliquera pourquoi l’objectif visé par la Gender/diversity au sein de Belfius est-il si important.
Sarah Ndayirukiye témoignera de l’expérience de la BNB en matière d’inclusion et de diversité.
Enfin Claire Godding conclura notre webinaire en nous expliquant pourquoi il est si important pour le secteur financier d’investir dans la diversité et l’inclusion.
3. 3
L’environnement
économique est demeuré
robuste en 2018…
◆ Poursuite de la phase de croissance économique
◆ Dans le monde, dans la zone euro, en Belgique
... mais la conjoncture s’est
détériorée à la fin de l’année
4. Croissance de l’activité dans les principales zones
économiques
(PIB en volume, pourcentages de variation annuelle)
4Sources: ECB, Eurostat, IMF.
2016 2017 2018 e
Économies avancées 1,7 2,4 2,3
dont:
États-Unis 1,6 2,2 2,9
Japon 1,0 1,9 0,9
Zone euro 2,0 2,4 1,9
Royaume-Uni 1,8 1,8 1,4
Économies émergentes 4,4 4,7 4,6
dont:
Chine 6,7 6,9 6,6
Inde 7,1 6,7 7,3
Monde 3,3 3,8 3,7
p.m. Commerce mondial 2,2 5,3 4,0
5. Dans la zone euro, la phase d’expansion s’est poursuivie
grâce à une demande intérieure robuste
5
-1,0
-0,5
0,0
0,5
1,0
1,5
2,0
2,5
3,0
2013 2014 2015 2016 2017 2018
Consommation privée Consommation publique
Formation brute de capital fixe Variation des stocks
Exportations nettes PIB
Sources: BCE, CE.
Contribution à la croissance du PIB de la zone euro
(points de pourcentage)
6. La conjoncture s’est affaiblie à la fin de l’année
Confiance des chefs d’entreprises
(indicateurs PMI)
PIB trimestriel
(pourcentages de variation annuelle)
-2
0
2
4
6
8
10
40
45
50
55
60
65
6
Sources: BCE, CE, Institute for Supply Management, Markit Economics.
7. En Belgique aussi, la reprise économique s’est poursuivie
en 2018
7
PIB en volume
(pourcentages de variation annuelle)
Sources: Eurostat, ICN, BNB.
-6%
-4%
-2%
0%
2%
4%
6%
2006
2007
2008
2009
2010
2011
2012
2013
2014
2015
2016
2017
2018
Belgique Trois pays voisins Zone euro
1,7 1,41,5Croissance annuelle du PIB en Belgique:
8. 25 000
14 000
-19 000 -26 000 -28 000
-30 000
Chômage
La croissance économique s’est accompagnée de nombreuses
créations d’emplois en Belgique, soutenues par les politiques
de ces dernières années
-15 000
20 000
41 000
59 000 65 000 59 000
Sources: ICN, ONEM, BNB.
9 000
33 000
21 000
33 000 37 000 28 000
2013 2014 2015 2016 2017 2018 e
Emploi
Population active
8
Un élargissement de
l’offre de travail peut
s’accompagner d’une
baisse du chômage
9. Les salaires bruts dans le secteur privé ont davantage
progressé
(pourcentages de variation par rapport à l'année précédente)
9Sources: ICN, ONSS, SPF ETCS, BNB
2014 2015 2016 2017 2018 e
Salaires horaires bruts 1,3 0,3 1,3 1,7 2,3
Adaptations conventionelles réelles 0,0 0,0 0,0 0,2 0,4
Indexations 0,8 0,1 0,5 1,6 1,7
Glissement des salaires 0,5 0,2 0,7 -0,1 0,2
Cotisations patronales -0,1 -0,1 -1,5 -0,4 -0,6
Coûts salariaux horaires 1,1 0,2 -0,2 1,4 1,7
10. Les créations d’emplois et la progression des salaires ont
soutenu le pouvoir d’achat
10Sources: ICN, BNB
(pourcentages de variation par rapport à l’année précédent, données en volume)
0,0
0,5
1,0
1,5
2,0
2014 2015 2016 2017 2018 e
Salaires et traitements bruts Revenu disponible Consommation privée
11. Principaux résultats économiques pour la Belgique
(pourcentages de variation, sauf mention contraire)
11
Sources: ICN, ONSS, SPF ETCS, BNB
1 Hors opérations spécifiques.
2 Pourcentages de la population active.
3 Pourcentages du PIB
2015 2016 2017 2018 e
PIB en volume 1,7 1,5 1,7 1,4
dont:
Consommation privée 0,9 1,7 1,1 0,8
Investissements des entreprises1
3,6 5,4 5,5 2,3
Exportations 3,5 7,6 5,0 3,5
Importations 3,4 8,5 4,3 2,8
Inflation 0,6 1,8 2,2 2,3
Emploi 0,9 1,3 1,4 1,2
Taux de chômage harmonisé2
8,6 7,9 7,1 6,0
Solde des opérations courantes avec le reste du monde3
-1,0 -0,6 0,7 0,1
12. L’assainissement des finances publiques de la Belgique ne
s’est pas poursuivi en 2018
(pourcentages du PIB)
12Sources: ICN, BNB
2015 2016 2017 2018 e
Recettes (a) 51,3 50,6 51,3 51,6
Dépenses, hors charges d’intérêts (b) 50,7 50,2 49,7 50,0
Charges d’intérêts (c) 3,0 2,8 2,5 2,3
Solde de financement (= a – b – c) -2,5 -2,4 -0,9 -0,7
p.m. Solde de financement structurel -2,3 -2,3 -1,3 -1,5
Il convient de poursuivre
sans délai sur la voie de
l’équilibre structurel
13. La dette publique ne reflue que lentement, tandis que son
niveau demeure élevé
(pourcentages du PIB)
13
50
60
70
80
90
100
110
120
2000
2002
2004
2006
2008
2010
2012
2014
2016
2018e
Belgique Zone euro
Sources: CE, BNB.
14. L’économie est confrontée à des freins croissants
◆ Foyers extérieurs d’incertitudes
◆ Freins sur le potentiel de croissance
14
15. Risques dans l'économie
mondiale : politique budgétaire
et commerciale aux États-Unis
Source: Peterson Institute for International Economics.
0
100
200
300
400
500
600
700
800
900
Machines à laver et panneaux solaires
Acier et aluminium
Chine
Automobile - Menace
Chine - Menace
Mesures de rétorsion 15
Tarifs douaniers américains, menaces et mesures de rétorsion
en 2018 (milliards de dollars des États-Unis)
16. Risques en Europe:
Brexit
Source: Bisciari P. (2019), A survey of the long-term impact of Brexit on the UK and on the EU27 economies, NBB, Working Paper 366.
16
Coûts économiques à long terme en
cas de brexit «dur»
(perte médiane sur la base de sept études;
déviation par rapport à un scénario selon lequel le
Royaume-Uni reste dans l’UE)
18. Normaliser la politique monétaire dans la zone euro
de manière très progressive dans un contexte d’incertitudes
croissantes autour de l’économie mondiale
18
19. Les salaires augmentent, mais le soutien de la politique
monétaire reste nécessaire pour atteindre l’objectif d’inflation
19
-1,0
-0,5
0,0
0,5
1,0
1,5
2,0
2,5
3,0
Inflation totale
Inflation sous-jacente (hors énergie et produits alimentaires)
Mars 2018
Décembre 2018
Projections d’inflation
de l’Eurosystème
Source: BCE.
Inflation dans la zone euro
(pourcentages)
21. -60
-40
-20
0
20
40
60
80
100
120
Avant le Conseil de juin 2018
Fin janvier 2019
Taux de la facilité de dépôt
Taux du marché monétaire au jour le jour (Eonia)
Trajectoire
anticipée pour le
taux au jour le jour
Le rythme de la normalisation dépend des perspectives
économiques
Source: BCE. 21
Taux d’intérêt réalisés et anticipés
(points de base)
22. La croissance économique en Belgique peut s’appuyer sur
un secteur financier solide
Solvabilité
(pourcentages)
22
Rentabilité
(pourcentages)
100
120
140
160
180
200
220
10
11
12
13
14
15
16
17
18
19
20
Décembre
2015
Décembre
2016
Décembre
2017
Septembre
2018
CET1 ratio - Secteur bancaire
Solvency capital requirement - Secteur des
assurances (échelle de droite)
-40
-30
-20
-10
0
10
20
30
40
2003
2004
2005
2006
2007
2008
2009
2010
2011
2012
2013
2014
2015
2016
2017
2018¹
Rendement des fonds propres - Secteur bancaire
Rendement des fonds propres - Secteur des
assurances
Source: BNB.
1 Chiffres pour le premier semestre de 2018, annualisés.
24. … et la vigilance
reste de mise
face aux
nouveaux risques
◆ Endettement de secteur privé
◆ FinTech
◆ Cybersécurité
◆ Incidence du changement
climatique et de la transition
énergétique
◆ Blanchiment des capitaux
24
25. En 2018, l’économie belge a été confrontée de manière
croissante à des facteurs de frein
25
Difficultés de
recrutement
pour les
entreprises
Gains de
productivité
limités
Carences des
infrastructures et
transition
énergétique
Vieillissement de la
population
Technologie -
Numérique
Changement
climatique
27. Une appréciation quantitative et qualitative de l’offre de
travail entraînera une capacité de production accrue et
une plus grande cohésion sociale
27
28. Frein sur le marché du travail: tensions dans le recrutement
Importance croissante des emplois vacants par rapport aux emplois disponibles
(Taux de vacance d’emploi, pourcentages)
28
1,0
1,5
2,0
2,5
3,0
3,5
4,0
2010 2011 2012 2013 2014 2015 2016 2017 2018
Belgique Union européenne Flandre Wallonie Bruxelles
Source:s Eurostat, ONEM.
29. Un taux de chômage variable selon les régions et un taux d’inactivité
élevé de manière générale en Belgique
(pourcentages de la population âgée de 15 à 64 ans, sauf mention contraire)
Taux de chômage1
29
Taux d’inactivité
15
20
25
30
35
40
2008
2009
2010
2011
2012
2013
2014
2015
2016
2017
2018
0
5
10
15
20
2008
2009
2010
2011
2012
2013
2014
2015
2016
2017
2018
Belgique Bruxelles Flandre Wallonie UE p.m.: Suède
UE
SE
Source: Eurostat.
1 Pourcentages de la population active.
BXL
BXL
WAL
WAL
UE
SE
BE
BE
VLA
VLA
30. Stimuler l’orientation des études vers les filières porteuses et
la participation à la formation continue
Diplômés du supérieur dans les filières
porteuses1
(pourcentages des diplômés du supérieur âgés
de 30 à 34 ans, 2017)
30
Participation à l’éducation et à la formation
(pourcentages des personnes âgées de 25 à 64 ans, au
cours des quatre dernières semaines)
0
5
10
15
20
25
30
35
DE
FI
SE
FR
DK
BE
NL
BRU
VLA
WAL
Hommes Femmes
0
5
10
15
20
25
30
35
SE
FI
DK
NL
FR
BE
DE
BRU
VLA
WAL
2017 2000
Source: Eurostat (EFT, microdonnées).
1 Formation en sciences, en mathématiques, en statistiques, en TIC, en ingénierie, en industrie et en construction.
31. Augmenter le taux d'emploi est bon pour l'économie et
pour l'inclusion
Taux d’emploi
(pourcentages de la population âgée de 20 à 64 ans)
31
50
55
60
65
70
75
80
85
90
2008
2009
2010
2011
2012
2013
2014
2015
2016
2017
2018
Belgique Bruxelles Flandre Wallonie UE p.m.: Suède
Source: Eurostat.
32. Technologie numérique, faibles gains de productivité et
fortes créations d’emplois: un paradoxe?
Certains emplois disparaîtront, d’autres se
développeront :
Le solde d’emplois devrait être positif, à condition
d’armer les personnes de compétences leur
permettant de participer à la transition numérique
32
33. Des gains de productivité limités
Croissance de la productivité totale des facteurs
(pourcentages de variation annuelle, données lissées)
33
-1,5
-1,0
-0,5
0,0
0,5
1,0
1,5
1998
2000
2002
2004
2006
2008
2010
2012
2014
2016
Belgique UE États-Unis
Source: Conference Board.
34. Entreprises - augmenter la productivité:
une question d’innovation et de mobilité des ressources
34
35. La recherche et l’innovation sont des atouts, mais leur
diffusion reste trop limitée
Forces Faiblesses
Pénurie de diplômés
techniques/scientifiques
Diffusion limitée à
l’ensemble des
entreprises
Dépôts de brevets
internationaux modestes
Commercialisation
limitée de nouveaux
produits
Dépenses en R&D
Attractivité des pôles de
recherche
Partenariats
public-privé/
PME-Universités
Qualité du système
universitaire
35
36. Les ressources ne se déplacent pas assez facilement des
activités moins productives vers les plus productives
Taux de création d’entreprises1
36
Taux de disparition d’entreprises2
0
2
4
6
8
10
12
Belgique Pays voisins Pays
nordiques
UE
2008 2016
0
2
4
6
8
10
12
Belgique Pays voisins Pays
nordiques
UE
Source: Eurostat.
1 Nombre de créations d’entreprises en t divisé par le nombre d’entreprises actives en t, en pourcentage.
2 Nombre de disparitions d’entreprises en t divisé par le nombre d’entreprises actives en t, en pourcentage.
38. Carences dans les infrastructures
◇ Saturation du transport néfaste à l’activité et à
l’attractivité du pays
◇ Révision et adaptation de l’offre de transport –
intermodalité
◇ Contenir la croissance de la demande de transport
38
◇ Répondre aux défaillances apparues dans
l’approvisionnement électrique
◇ Faire évoluer le système énergétique en adéquation
avec les objectifs de long terme
Nécessite la coordination de dispositions multiples relevant de
différents domaines et compétences
Mobilité Énergie
39. Sur le marché de
l’immobilier également,
des tensions se
manifestent
Prix de s te rrains e t coûts de construction
(indice s 19 73 = 10 0 )
39
0
250
500
750
1 000
1 250
1 500
1 750
2 000
1973
1975
1977
1979
1981
1983
1985
1987
1989
1991
1993
1995
1997
1999
2001
2003
2005
2007
2009
2011
2013
2015
2017
Prix des terrains à bâtir Prix des logements Indicateur des coûts de construction
Prix des terrains et coûts de construction
(indices 1973 = 100)
Sources: ABEX, BNB
40. La promotion des investissements publics doit constituer
une priorité budgétaire
(pourcentages du PIB, 2017)
40
SE FI LU DK NL FR AT UK EA DE BE ES IT PT IE
-1
0
1
2
3
4
5
6
Formation brute de capital fixe Formation nette de capital fixe
p.m. Moyenne 2000-2007
Sources: CE, BNB.
41. Développer une vision
intégrée des questions
de mobilité, d’énergie,
d’occupation de l’espace
◆ Shift dans les dépenses publiques
◆ Mobilisation de l’épargne et de
l’expertise privées
◆ Incitants appropriés
◆ Coordination entre les domaines de
politiques et entre les niveaux de
pouvoir
41
42. Nous sommes en eau turbulente.
Notre vision doit déterminer notre orientation.
WAT E RFOT O T OE VOE GE N
42
43. Vers une économie dynamique et durable, au bénéfice de
tous
Capital humain
Dynamisme des
entreprises
Infrastructures et
transition
énergétique
Coordination à travers
les domaines de
politiques économiques
et entre les niveaux de
pouvoir pour un cadre
cohérent!
43
Finances
publiques