Diaporama utilisé par Philippe Ledent, senior economist chez ING Belgium, lors de sa conférence au Forum financier de Verviers-Eupen, le 11 février 2020
Diaporama utilisé par Geoffrey Minne, économiste à la Banque nationale de Belgique, lors du webinaire qu'il a animé pour le Forum financier, le 6 mai 2020.
Diaporama utilisé par Xavier Debrun, Conseiller au Département des Etudes de la Banque nationale, lors du webinaire du Forum financier, le 28 avril 2020
Evaluation de l'impact économique de la pandémie de COVID-19 et des mesures d...Jean-michel Neugate
Les mesures de réaction à l'épidémie de COVID-19 sur le territoire français vont avoir un impact économique considérable du fait des mesures sanitaires absolument
nécessaires. L'OFCE estime que l'impact du confinement pourrait être d'un peu plus de 30 points de PIB mensuel par mois de confinement, soit une perte de 2,6 points de
PIB annuel, soit 60 milliards d'euros par mois de confinement.
Diaporama utilisé par Geoffrey Minne, économiste à la Banque nationale de Belgique, lors du webinaire qu'il a animé pour le Forum financier, le 6 mai 2020.
Diaporama utilisé par Xavier Debrun, Conseiller au Département des Etudes de la Banque nationale, lors du webinaire du Forum financier, le 28 avril 2020
Evaluation de l'impact économique de la pandémie de COVID-19 et des mesures d...Jean-michel Neugate
Les mesures de réaction à l'épidémie de COVID-19 sur le territoire français vont avoir un impact économique considérable du fait des mesures sanitaires absolument
nécessaires. L'OFCE estime que l'impact du confinement pourrait être d'un peu plus de 30 points de PIB mensuel par mois de confinement, soit une perte de 2,6 points de
PIB annuel, soit 60 milliards d'euros par mois de confinement.
La présentation se penche sur les performances de l'OCDE en matière de prévisions pour la période 2007-12. Elle s’intéresse aux enseignements qui peuvent être tirés des différentes erreurs de prévision de croissance d’un pays à l’autre et aux changements que l’expérience de la crise a provoqués en termes de modèles et de méthodes de prévision.
Diaporama utilisé par Philippe Ledent, senior economist chez ING Belgium, lors de sa conférence au Forum financier du Luxembourg belge, le 22 octobre 2018
La croissance du commerce mondial est à son plus bas niveau depuis 2009Société Tripalio
La croissance du commerce mondial n'est pas à sa meilleure forme en 2016. Il ressort d'une étude de l'Insee, que la croissance du commerce mondial enregistré en 2016 est la plus faible depuis 2009.
Observatoire de la FPI - 2ème trimestre 2019Sophie Mazoyer
La FPI regroupant les promoteurs immobiliers de France en logement et en immobilier d'entreprise publie les chiffres du 2ème trimestre 2019 de son Observatoire statistique national, baromètre des indicateurs avancés en logement dans toutes les régions de France, lancé en 2010.
Note de l'OFCE sur le coût de la crise du coronavirusSociété Tripalio
Note de l'OFCE tentant d'évaluer le coût de la crise du coronavirus au 20 avril 2020. La note estime en particulier que le coût de 5,6 chômeurs partiels confinés pendant 8 semaines est de 44 milliards pour les finances publiques.
L'Insee a publié une analyse sur les raisons d'une croissance plus forte au Royaume-Uni qu'en France de mi-2013 à mi-2016.
Entre mi-2013 et mi-2016, le produit intérieur brut (PIB) a crû nettement plus au Royaume Uni (+7,7%) qu'en France (+2,8%), soit 0,4 point d'écart en moyenne par trimestre.
L'Insee retient plusieurs raisons face à cette différence de croissance. tout d'abord, il ressort de son analyse que les dépenses de ménages et les dépenses publiques sont plus dynamiques au Royaume-Uni. La consommation des britanniques a fortement réagi à une politique qui privilégie l'emploi plutôt que les salaires. Selon l'Insee, ce facteur aurait contribué pour +1,9 point au différentiel de croissance.
En outre, la politique monétaire au Royaume Uni s'est répercuté sur la consommation et l’investissement des ménages par des "effets de richesse" puissants, sans équivalent en France.
Enfin, la politique budgétaire britannique a, d'après l'Insee, contribué pour 2,2 points de plus mais avec comme conséquence un déficit public plus important qu'en France.
Le Medef présente 4 recommandations pour refonder la politique du logement en...Adm Medef
A l’occasion d’une matinale consacrée à ce thème, le Medef a dévoilé aujourd’hui quatre recommandations pour refonder la politique du logement en France :
1. Redonner du sens à la politique du logement
2. Relancer l’offre immobilière sans solvabilisation par la subvention
3. Réduire la dépense publique du logement
4. Fluidifier et décloisonner les marchés du logement
Alors que la France ne maîtrise plus ses finances publiques et peine à respecter ses engagements budgétaires européens, elle a consacré 41 milliards d’euros à sa politique du logement en 2013 pour une efficacité contestable. Il est vrai que celle-ci repose sur un système contreproductif où différentes aides viennent corriger les effets néfastes de prélèvements très élevés sur l’économie du secteur (au moins 63 milliards d’euros en 2013), entraînant inévitablement une dégradation de la compétitivité des entreprises et un frein à la consommation et à l’investissement.
Pourtant, le constat est partagé : les politiques du logement des 20 dernières années ont été un échec social (pauvreté, précarité et mal-logement, engorgement du parc locatif social et peu de mobilité entre parcs locatifs public-privé) mais aussi économique (blocage du marché du logement dans les principaux bassins d’emploi du territoire France : offre insuffisante au regard d’une demande en très forte croissance, inadéquation entre offre et demande, prix déconnectés du budget des ménages et qui stérilisent l’économie du secteur).
La Commission européenne a publié son Rapport 2016 pour la France. Il s’agit d’un document de travail des services de la commission fournissant un bilan approfondi sur la prévention et la correction des déséquilibres macroéconomiques
La présentation se penche sur les performances de l'OCDE en matière de prévisions pour la période 2007-12. Elle s’intéresse aux enseignements qui peuvent être tirés des différentes erreurs de prévision de croissance d’un pays à l’autre et aux changements que l’expérience de la crise a provoqués en termes de modèles et de méthodes de prévision.
Diaporama utilisé par Philippe Ledent, senior economist chez ING Belgium, lors de sa conférence au Forum financier du Luxembourg belge, le 22 octobre 2018
La croissance du commerce mondial est à son plus bas niveau depuis 2009Société Tripalio
La croissance du commerce mondial n'est pas à sa meilleure forme en 2016. Il ressort d'une étude de l'Insee, que la croissance du commerce mondial enregistré en 2016 est la plus faible depuis 2009.
Observatoire de la FPI - 2ème trimestre 2019Sophie Mazoyer
La FPI regroupant les promoteurs immobiliers de France en logement et en immobilier d'entreprise publie les chiffres du 2ème trimestre 2019 de son Observatoire statistique national, baromètre des indicateurs avancés en logement dans toutes les régions de France, lancé en 2010.
Note de l'OFCE sur le coût de la crise du coronavirusSociété Tripalio
Note de l'OFCE tentant d'évaluer le coût de la crise du coronavirus au 20 avril 2020. La note estime en particulier que le coût de 5,6 chômeurs partiels confinés pendant 8 semaines est de 44 milliards pour les finances publiques.
L'Insee a publié une analyse sur les raisons d'une croissance plus forte au Royaume-Uni qu'en France de mi-2013 à mi-2016.
Entre mi-2013 et mi-2016, le produit intérieur brut (PIB) a crû nettement plus au Royaume Uni (+7,7%) qu'en France (+2,8%), soit 0,4 point d'écart en moyenne par trimestre.
L'Insee retient plusieurs raisons face à cette différence de croissance. tout d'abord, il ressort de son analyse que les dépenses de ménages et les dépenses publiques sont plus dynamiques au Royaume-Uni. La consommation des britanniques a fortement réagi à une politique qui privilégie l'emploi plutôt que les salaires. Selon l'Insee, ce facteur aurait contribué pour +1,9 point au différentiel de croissance.
En outre, la politique monétaire au Royaume Uni s'est répercuté sur la consommation et l’investissement des ménages par des "effets de richesse" puissants, sans équivalent en France.
Enfin, la politique budgétaire britannique a, d'après l'Insee, contribué pour 2,2 points de plus mais avec comme conséquence un déficit public plus important qu'en France.
Le Medef présente 4 recommandations pour refonder la politique du logement en...Adm Medef
A l’occasion d’une matinale consacrée à ce thème, le Medef a dévoilé aujourd’hui quatre recommandations pour refonder la politique du logement en France :
1. Redonner du sens à la politique du logement
2. Relancer l’offre immobilière sans solvabilisation par la subvention
3. Réduire la dépense publique du logement
4. Fluidifier et décloisonner les marchés du logement
Alors que la France ne maîtrise plus ses finances publiques et peine à respecter ses engagements budgétaires européens, elle a consacré 41 milliards d’euros à sa politique du logement en 2013 pour une efficacité contestable. Il est vrai que celle-ci repose sur un système contreproductif où différentes aides viennent corriger les effets néfastes de prélèvements très élevés sur l’économie du secteur (au moins 63 milliards d’euros en 2013), entraînant inévitablement une dégradation de la compétitivité des entreprises et un frein à la consommation et à l’investissement.
Pourtant, le constat est partagé : les politiques du logement des 20 dernières années ont été un échec social (pauvreté, précarité et mal-logement, engorgement du parc locatif social et peu de mobilité entre parcs locatifs public-privé) mais aussi économique (blocage du marché du logement dans les principaux bassins d’emploi du territoire France : offre insuffisante au regard d’une demande en très forte croissance, inadéquation entre offre et demande, prix déconnectés du budget des ménages et qui stérilisent l’économie du secteur).
La Commission européenne a publié son Rapport 2016 pour la France. Il s’agit d’un document de travail des services de la commission fournissant un bilan approfondi sur la prévention et la correction des déséquilibres macroéconomiques
Tableau de bord économique et social du Luxembourg.pdfPaperjam_redaction
Depuis le déclenchement de la guerre en Ukraine le 24
février dernier, la principale conséquence dans le
paysage conjoncturel luxembourgeois est l’accélération
de l’inflation. Mais les effets potentiels du prolongement
de la guerre, l’installation de la dynamique inflationniste
et l’environnement de hausse des taux font planer un
doute sur le scénario économique et social pour la
deuxième moitié de 2022.
Depuis 2007, avec des petits hauts et beaucoup de bas, c’est la grande récession. La reprise souvent annoncée n’est pas en vue, elle est plus que problématique comme le montrent les derniers développements en Europe. Dans ce cadre, les politiques d’austérité mortifères qui y sont administrées comme un remède de cheval n’ont pas la croissance pour objectif, mais bien la révision sociale tous azimuts des grandes conquêtes de la période précédente.
Retrouvez les chiffres et les explications dans le dernier diaporama d’Apex.
Tableau de bord économique de la Fondation Idea de juillet2021Paperjam_redaction
Le cycle expansionniste semble bel et bien entamé au
2
ème trimestre, notamment grâce à la levée des
restrictions sanitaires, aux spécialisations économiques
du pays et aux divers mécanismes de soutien qui ont
rapidement compensé les pertes de revenus. Le scénario
d’une reprise « en V » se confirme, bien que l’alphabet
grec des variants laisse entrevoir une sortie longue et
complexe de la pandémie.
Diaporama utilisé par Jean Hilgers, directeur de la Banque nationale de Belgique, lors de sa présentation du Rapport annuel de la BNB à Verviers, le 12 mars 2020.
Diaporama utilisé par Pierre Wunsch, gouverneneur de la Banque nationale, lors de la présentation du Rapport annuel de la BNB à Liège, le 25 février 2019.
Similaire à Quelles perspectives économiques en 2020 ? Quel relais de croissance pour les prochaines années (20)
Les Finances de la Région wallonne : le temps de la responsabilité.
Adrien Dolimont
Ministre Wallon des Finances, du Budget, des Aéroports et des Infrastructures sportives
Prix de l’énergie, inflation et indexation automatique : quelles conséquences pour la compétitivité et le pouvoir d’achat en Belgique?
Gregory de Walque, économiste BNB
Charlotte de Montpellier, économiste ING
IDEA acteur du développement économique et de la réindustrialisation du Cœur du Hainaut - Focus sur les projets phares
Caroline DECAMPS, Directrice Générale
Le Green Deal Européen, une vision climatique, industrielle ou géopolitique ?
Sébastien PAQUOT
Chef d'Unité Adjoint - Climate Finance - DG CLIMA - Commission Européenne
Forum financier de Liège
De l’opportunité de convergences à la nécessité de collaborer : les réseaux hospitaliers à l’épreuve des crises
Orateurs :
Sylvianne Portugaels Directeur général de l’hôpital de la Citadelle
Marc De Paoli
Administrateur-délégué du CHU Liège
Projections économiques pour la Belgique : entre tensions inflationnistes et contexte international incertain
Par le Directeur Jean Hilgers, Banque nationale de Belgique
4. Récession de l’industrie et du commerce
international en 2019
4
OCDE: Production industrielle
(YoY - %)
Economie mondiale:
Exportations (YoY - %)
5. Tendances du commerce international
5
Total des exportations mondiales:
VOLUME evolution
(index, 2010 = 100)
Exportations de biens:
Variation annuelle (VALUE* - %)
*: 12 months MA
6. Chine: Marché du travail plus faible, ventes au
détail plus faibles
6
PMI (composante emploi)
Ventes au detail (YoY - %)
10. Les indicateurs avancés ne sont pas mal orientés
10
Eurozone: croissance PIB
(yoy - %)
Eurozone Croissance réelle de M1
(16m lead)
11. Les problèmes se “limitent” au secteur industriel
11
Services
Industrie
Evolution de l’indicateur IFO (Allemagne)
12. La consommation continue de supporter
l’économie de la zone euro
12
Production industrielle (YoY - %)
Ventes au detail (YoY - %)
13. Trump calme le jeu en matière de commerce
international…
13
14. …et ne cherche pas (pour l’instant) l’escalade
dans le dossier iranien
14
15. Les mouvements du prix du pétrole restent
contenus
15
Prix du baril de pétrole en $
16. Politique budgétaire dans les pays de l'OCDE
16
Un peu de soutien de la politique budgétaire
Politique budgétaire restrictive
Politique budgétaire expansionniste
20. La Banque centrale européenne maintient une
politique très accommodante
20
Septembre 2019:
• Nouvelle baisse de
taux
• Relance de
l’assouplissement
quantitatif
31. Le dollar a un profil “anti-cyclique"
31
EUR/USD
Production industrielle
(YoY – G7)
32. La croissance économique est inférieure aux
standards du passé
32
Croissance tendancielle
des pays de l’OCDE (MM 5 ans)
Moyenne 1975-2007
33. La croissance…est-ce vraiment important?
33
Si l’indice de toutes les variables
était à 100 en 1995…
• Le PIB serait à l’indice 218…
PIB
100
120
140
160
180
200
220
240
260
280
300
1995 2000 2005 2010 2015
Soins de santé
(12,7% des DP)
Pensions
(20% des DP)
Dépenses
(52,1% du PIB)
Recettes
(51,3% du PIB)
• Les dépenses en soins de
santé sont à l’indice 276…
• … Le total des recettes de
l’Etat serait à l’indice 233…
marquant une pression
fiscale plus importante sur
l’économie…
• Le total des dépenses de
l’Etat serait à l’indice 216…
donc moins que le total des
recettes (assainissement
quasi permanent des
finances publiques)
• …et les dépenses de pension
à l’indice 269!
37. Certain of the statements contained in this release are statements of
future expectations and other forward-looking statements. These
expectations are based on management’s current views and assumptions
and involve known and unknown risks and uncertainties. Actual results,
performance or events may differ materially from those in such statements
due to, among other things, (i) general economic conditions, in particular
economic conditions in ING’s core markets, (ii) changes in the availability
of, and costs associated with, sources of liquidity such as interbank
funding, as well as conditions in the credit markets generally, including
changes in borrower and counterparty creditworthiness, (iii) the frequency
and severity of insured loss events, (iv) mortality and morbidity levels and
trends, (v) persistency levels, (vi) interest rate levels, (vii) currency
exchange rates, (viii) general competitive factors, (ix) changes in laws and
regulations, and (x) changes in the policies of governments and/or
regulatory authorities. ING assumes no obligation to update any forward-
looking information contained in this document.
www.ing.com
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