La présentation se penche sur les performances de l'OCDE en matière de prévisions pour la période 2007-12. Elle s’intéresse aux enseignements qui peuvent être tirés des différentes erreurs de prévision de croissance d’un pays à l’autre et aux changements que l’expérience de la crise a provoqués en termes de modèles et de méthodes de prévision.
La présentation se penche sur les performances de l'OCDE en matière de prévisions pour la période 2007-12. Elle s’intéresse aux enseignements qui peuvent être tirés des différentes erreurs de prévision de croissance d’un pays à l’autre et aux changements que l’expérience de la crise a provoqués en termes de modèles et de méthodes de prévision.
Le Luxembourg est une économie avancée qui a le revenu par habitant le plus élevé de l’OCDE, grâce au dynamisme du secteur des services, notamment bancaires et financiers. L’investissement étranger est motivé par une réglementation favorable aux entreprises, la stabilité du système fiscal et une politique macroéconomique saine.
Principales conclusions de l'étude économique de l'Inde de L'OCDE : Maîtriser l'inflation et améliorer l'efficacité des programmes budgétaires constituent des enjeux essentiels de la politique macroéconomique en Inde. La complexité de la réglementation du travail et les goulets d'étranglement au niveau des infrastructures entravent la croissance dans le secteur manufacturier. Rehausser la participation des femmes à l'activité économique, qui est faible aujourd'hui, et accroître les dépenses de santé permettraient de renforcer la croissance et de la rendre plus inclusive.
Étude économique de la France par l'OCDE, 2017, montrant le poids excessif des dépenses publiques et des dépenses de protection sociale. L'étude préconise des réformes structurelles de fond.
Ce livret propose un panorama de l'édition 2015 des Perspectives de l'OCDE sur l'entreprise et la finance.
Pour plus d'informations sur le rapport :
http://www.oecd.org/daf/oecd-business-finance-outlook.htm
Les entreprises en Occitanie : bilan 2019 - perspectives 2020MagdaMojica1
Enquête réalisée de mi-décembre 2019 à fin janvier 2020 par les unités de la Banque de France de la région Occitanie, auprès d’un échantillon d’entreprises et d’établissements des secteurs de l’industrie, de la construction et des services aux entreprises.
Diaporama utilisé par Philippe Ledent, senior economist chez ING Belgium, lors de sa conférence au Forum financier du Luxembourg belge, le 22 octobre 2018
La croissance du commerce mondial est à son plus bas niveau depuis 2009Société Tripalio
La croissance du commerce mondial n'est pas à sa meilleure forme en 2016. Il ressort d'une étude de l'Insee, que la croissance du commerce mondial enregistré en 2016 est la plus faible depuis 2009.
Global growth is expected to modestly pick up due to increasing confidence and investment, but productivity and wage growth remain subdued and financial stability risks persist. While headline employment is improving, labour markets have not fully recovered. Structural changes in technology, trade, and consumer preferences have resulted in manufacturing and mid-level job losses concentrated in specific regions. An integrated policy approach is needed, including reforms to boost competition, skills, and innovation; targeted policies to help displaced workers; and efforts to make the international system more equitable to ensure globalization benefits all.
Las perspectivas son mejores, pero no suficientemente buenas Perspectivas eco...OECD, Economics Department
El documento resume las perspectivas económicas globales de la OCDE, señalando que se espera un modesto repunte del crecimiento a nivel mundial, aunque por debajo de las tendencias históricas. El crecimiento de la productividad y los salarios sigue siendo lento, y existen riesgos financieros. Se necesitan reformas para compartir mejor los beneficios de la globalización y asegurar que sea inclusiva, mediante un sistema internacional más equitativo y políticas domésticas de apoyo al empleo y la educación.
Le Luxembourg est une économie avancée qui a le revenu par habitant le plus élevé de l’OCDE, grâce au dynamisme du secteur des services, notamment bancaires et financiers. L’investissement étranger est motivé par une réglementation favorable aux entreprises, la stabilité du système fiscal et une politique macroéconomique saine.
Principales conclusions de l'étude économique de l'Inde de L'OCDE : Maîtriser l'inflation et améliorer l'efficacité des programmes budgétaires constituent des enjeux essentiels de la politique macroéconomique en Inde. La complexité de la réglementation du travail et les goulets d'étranglement au niveau des infrastructures entravent la croissance dans le secteur manufacturier. Rehausser la participation des femmes à l'activité économique, qui est faible aujourd'hui, et accroître les dépenses de santé permettraient de renforcer la croissance et de la rendre plus inclusive.
Étude économique de la France par l'OCDE, 2017, montrant le poids excessif des dépenses publiques et des dépenses de protection sociale. L'étude préconise des réformes structurelles de fond.
Ce livret propose un panorama de l'édition 2015 des Perspectives de l'OCDE sur l'entreprise et la finance.
Pour plus d'informations sur le rapport :
http://www.oecd.org/daf/oecd-business-finance-outlook.htm
Les entreprises en Occitanie : bilan 2019 - perspectives 2020MagdaMojica1
Enquête réalisée de mi-décembre 2019 à fin janvier 2020 par les unités de la Banque de France de la région Occitanie, auprès d’un échantillon d’entreprises et d’établissements des secteurs de l’industrie, de la construction et des services aux entreprises.
Diaporama utilisé par Philippe Ledent, senior economist chez ING Belgium, lors de sa conférence au Forum financier du Luxembourg belge, le 22 octobre 2018
La croissance du commerce mondial est à son plus bas niveau depuis 2009Société Tripalio
La croissance du commerce mondial n'est pas à sa meilleure forme en 2016. Il ressort d'une étude de l'Insee, que la croissance du commerce mondial enregistré en 2016 est la plus faible depuis 2009.
Global growth is expected to modestly pick up due to increasing confidence and investment, but productivity and wage growth remain subdued and financial stability risks persist. While headline employment is improving, labour markets have not fully recovered. Structural changes in technology, trade, and consumer preferences have resulted in manufacturing and mid-level job losses concentrated in specific regions. An integrated policy approach is needed, including reforms to boost competition, skills, and innovation; targeted policies to help displaced workers; and efforts to make the international system more equitable to ensure globalization benefits all.
Las perspectivas son mejores, pero no suficientemente buenas Perspectivas eco...OECD, Economics Department
El documento resume las perspectivas económicas globales de la OCDE, señalando que se espera un modesto repunte del crecimiento a nivel mundial, aunque por debajo de las tendencias históricas. El crecimiento de la productividad y los salarios sigue siendo lento, y existen riesgos financieros. Se necesitan reformas para compartir mejor los beneficios de la globalización y asegurar que sea inclusiva, mediante un sistema internacional más equitativo y políticas domésticas de apoyo al empleo y la educación.
The OECD document discusses the global economic outlook and key issues. Global trade growth has slowed dramatically recently, driven partly by weaker growth in China. While advanced economies have remained resilient so far, investment growth has been disappointing. Collective action is needed to boost infrastructure spending, including on climate change mitigation, which could support growth in both the short and long term if done through quality projects and accompanied by structural reforms.
- Brexit could reduce UK GDP by between 2.7-7.7% by 2020 and up to 5.1% by 2030 according to OECD estimates, representing an economic cost of between £1500-5000 per household.
- The UK economy benefits substantially from EU membership and trade, with UK exports of goods and services to the EU representing over 10% of GDP. Leaving the EU could disrupt these trade and investment relationships.
- Immigration from the EU has increased in recent years and played an important role in UK employment and GDP growth, while EU immigrants contribute positively to public finances. Brexit could reduce these immigration flows with economic consequences.
Short-term momentum: will it be sustained? OECD Economic Outlook presentation...OECD, Economics Department
The OECD interim economic report provides the following key points:
1) The short-term global economic momentum has become more broad-based across major economies due to improvements in the euro area and synchronised growth across countries.
2) However, strong and sustained medium-term growth is not assured as private investment remains weak and inflation and wage growth are still subdued.
3) Policymakers must pursue fiscal and structural reforms to rebalance support for inclusive growth through better tax and spending policies while managing financial risks.
Etude Apec - Prévisions 2015-2017 des recrutements de cadres en FranceApec
Actualisation des prévisions de recrutements de cadres pour 2015-2017.
Maintes fois annoncée et toujours repoussée, la reprise économique devrait prendre corps en 2015. Après trois années d’espoirs déçus et une faible croissance oscillant entre +0,7 % et +0,2 % entre 2012 et 2014, le PIB progresserait à hauteur de +1,2 % en 2015 selon l’Insee. Cette progression est portée, en partie, par des circonstances extérieures favorables (baisse du prix du pétrole et dépréciation de l’euro) et le rebond de la consommation des ménages au cours du 1er semestre 2015. L’investissement des entreprises devrait prendre le relais au cours du second semestre 2015 et dessiner les contours d’une reprise tangible et pérenne. Cette embellie économique fait consensus parmi les principaux instituts de conjoncture (OCDE, FMI, Eurostat, Insee…) qui tablent sur une croissance économique progressive. Elle constitue l’ossature du scénario privilégié par l’Apec avec une prévision de croissance qui oscille entre +1,5 % en 2016 et +1,7 % en 2017. Dans ce scénario, l’investissement formalisé par la Formation Brute de Capital Fixe retrouverait quant à lui des taux d’évolution positifs (+1 % en 2016 et +1,2 % en 2017). Dans cette configuration, les recrutements de cadres retrouveraient des niveaux élevés et approcheraient le niveau d’avant la crise de 2008/2009, avec 195 000 embauches de cadres en 2016, pour le dépasser en 2017 (avec 214 000 embauches de cadres).
Etude Apec - Prévisions 2017 - 2019 des recrutements de cadres en FranceApec
En 2016, pour la troisième année consécutive, les espoirs d’une croissance économique soutenue ne se sont pas concrétisés. Les aléas conjoncturels défavorables (conflits sociaux, intempéries, attentats) mais également les difficultés chroniques de l’économie française à améliorer son positionnement à l’international expliquent les faibles performances. Pour autant, l’histoire se répète en ce début d’année 2017 avec toutefois des signaux qui incitent à l’optimisme. Le bon positionnement de l’investissement des entreprises, dans un contexte de transformation numérique et énergétique, associé à des dépenses de consommation des ménages de nouveau bien orientées, pourrait permettre au train de la croissance économique d’être sur les bons rails avec une progression du PIB de +1,3 % en 2017. Avec la reprise qui se fait jour dans le secteur de la construction, un climat des affaires et des perspectives d’activités bien orientées, une croissance pérenne, à défaut d’être tonique, se mettrait en place. Puis, la progression du PIB pourrait osciller entre 1,3 % et 1,8 % en 2018 et 2019.
Selon ce scénario privilégié par l’Apec, un peu plus de 212 000 cadres seraient recrutés en 2017 dans le secteur privé en France métropolitaine et près de 233 000 en 2019, horizon de la prévision.
Ces prévisions restent toutefois tributaires d’aléas d’ordre politique. Les changements intervenus sur la scène internationale (Brexit, dernière élection américaine, référendum italien) et ceux à venir en France (élection présidentielle) pourraient rebattre les cartes.
Etude Apec - Prévisions 2018-2020 des recrutements de cadres en France - juil...Apec
Après une année 2017 de très bonne facture formalisée par une croissance économique de +2,3 % s’appuyant sur des moteurs très actifs (investissement, consommation des ménages et commerce extérieur), le soufflé devrait quelque peu retomber en 2018. En effet, la progression du produit intérieur brut pourrait se limiter à +1,9 % selon l’OCDE. Cette légère baisse de tension devrait être imputable à une hausse moins tonique de l’investissement (+3,7 % en 2018 contre +4,7 % en 2017) avec notamment des dépenses des ménages en biens immobiliers moins intenses.
Pour autant, le chemin de croissance qui semble se dessiner pour les trois prochaines années reste bien orienté. Selon les prévisions retenues par l’Apec, la progression du PIB pourrait perdurer aux alentours de +1,8 % en 2019 et +1,6 % en 2020, prenant appui sur des dépenses d’investissement des entreprises toujours robustes. Pour mémoire, la croissance française était en moyenne de +0,8 % entre 2012 et 2016.
Selon ce scénario de « Croissance installée » privilégié par l’Apec, le volume de recrutements de cadres pourrait avoisiner les 251 000 en 2018 et atteindre 260 000 en 2020.
Certains aléas économiques (cours du pétrole, tensions protectionnistes et commerciales, etc.) et politiques (conséquences des dernières élections en Italie, etc.) pourraient perturber ces prévisions.
Diaporama utilisé par Pierre Wunsch, vice-gouverneurr de la Banque nationale, lors de la présentation du Rapport de la BNB à Verviers, le 12 mars 2018.
La croissance a longtemps rassemblé les Français. Aujourd’hui elle risque de les diviser. Certains continuent à voir en elle une condition indispensable à la prospérité de notre société. D’autres considèrent qu’elle est porteuse d’inégalités sociales et territoriales et qu’elle est néfaste pour l’environnement.
http://francestrategie1727.fr/thematiques/modele-de-developpement-et-repartition-du-revenu/
France Strategie - 2017-2017 - TendancesEric LEGER
Une étude prospective mettant en avant quelques pistes pour lesquelles il faudrait agir, repenser leurs modèles : formation et éducation, distribution des revenus, mobilité sociale, discrimination, innovation, capital risque, etc.
Diaporama utilisé par Pierre Wunsch, vice-gouverneurr de la Banque nationale, lors de la présentation du Rapport de la BNB à Charleroi, le 22 mars 2018.
Etude Apec - Prévisions 2017-2019 des recrutements de cadres en FranceApec
Dans un environnement mondial porteur, un cycle de croissance soutenue semble prendre corps en France en 2017. La progression du PIB pourrait atteindre +1,6 % en
2017 et +1,8 % en 2019, un optimisme partagé par la totalité des instituts de conjoncture. Différents facteurs expliquent cette amélioration, au premier rang desquels
le renforcement de l’investissement, avec des entreprises bénéficiant de perspectives d’activité bien orientées et des ménages profitant de conditions favorables pour investir
dans l’immobilier. Au final, la progression de la FBCF oscillerait entre +2,3 % en 2017 et +3,3 % en 2019. Enfin, l’embellie du commerce mondial pourrait permettre aux
entreprises exportatrices françaises de tirer leur épingle du jeu.
Cette accélération de la croissance se répercuterait sur l’emploi et permettrait un recul du chômage. Le volume de recrutements de cadres progresserait de 5 % chaque année
entre 2017 et 2019. Cette hausse pourrait déboucher sur un nombre record d’embauches de cadres dès 2017 (près de 215 000) et au-delà. Toutefois, des aléas (Brexit, menaces terroristes, baisse de la consommation des ménages...) pourraient contrarier cet enchaînement vertueux.
Perspective pour la croissance mondiale - Commentaires de Gilbert CetteFrance Stratégie
Contribution de Gilbert Cette au Projet 2017/2027 de France Stratégie : Perspective pour al croissance mondiale.
http://francestrategie1727.fr/thematiques/la-croissance-mondiale-d-une-decennie-a-l-autre/
Croissance de la productivité en France : le rôle de la réallocation des part...France Stratégie
Les gains de productivité n’ont pas retrouvé, en France, leur rythme de progression d’avant-crise. Une baisse de régime qui pourrait être imputable à un retard d’ajustement de l’échelle de production au recul des ventes, surtout dans les secteurs manufacturier et de la construction.
En savoir plus :
http://strategie.gouv.fr/note-danalyse/croissance-de-productivite-france-role-de-reallocation-parts-de-marche-entre
Etude Apec - Prévisions 2015 - 2017 des recrutements de cadres en FranceApec
Selon les analyses des principaux instituts (OCDE, FMI, Eurostat), les conditions seraient réunies pour qu’une embellie économique se fasse jour à partir de 2015, à défaut d’une franche reprise.
L’entrée en vigueur de plusieurs mesures gouvernementales contribuerait à enrayer le recul de l’investissement productif, de même que l’amélioration du climat des affaires et de la situation des entreprises anticipée, par l’Insee. De leur côté, les ménages bénéficieraient d’un moindre poids des impôts sur leur pouvoir d’achat et de la baisse des prix des hydrocarbures.
Enfin, la situation de l’emploi s’améliorerait, l’Unedic prévoyant un coup d’arrêt à l’aggravation du chômage, faute d’une décrue significative. Cependant, des incertitudes demeurent quant à l’attitude des entreprises en matière d’investissement et à l’évolution du prix du pétrole.
Sur cette base, l’Apec a établi trois scénarios d’évolution pour la période 2015-2017 : un scénario déflationniste ; un scénario envisageant une économie atone, durablement
affaiblie par les politiques de rigueur et marquée par une très faible propension à investir des entreprises et des ménages ; un scénario tablant sur une croissance économique modérée.
Ce dernier scénario est celui que l’Apec a choisi de privilégier. Pour 2015, il aboutit à une estimation de plus de 176 000 recrutements de cadres, en augmentation de 4 % par rapport à l’an dernier.
Observatoire des Politiques Budgétaires et Fiscales - janvier 2017EY
À partir de l’examen des principaux indicateurs macroéconomiques, EY réalise depuis 14 ans un
Observatoire des Politiques Budgétaires et Fiscales fondé sur les statistiques de l’OCDE et de l’Union
européenne et des études fiscales internes. Centrée sur la fiscalité des entreprises, cette étude vise à la fois à
améliorer la compréhension des différentes politiques fiscales menées au niveau international et à situer la
France par rapport à ses partenaires économiques.
Plus d'informations sur www.ey-avocats.com/OPBF
Similaire à La dynamique-de-croissance-pourra-t-elle-durer-ocde-perspectives-economiques-intermediaires-septembre-2017 (20)
1) The project aims to develop a framework, indicators, and policy toolkit to help governments design coherent housing strategies that balance goals like affordable housing, economic resilience, labor mobility, and environmental sustainability.
2) Key activities will examine how policies can enhance housing outcomes and economic performance, promote labor mobility, incorporate local factors, and reduce inequality and environmental impacts.
3) The project will pull expertise from across the OECD to provide holistic and actionable policy advice to member countries.
This document discusses political norms and their importance for reforms. It begins by explaining what political norms are, using examples from principal-agent models of how beliefs and expectations shape political interactions. It then discusses insights from standard and strategic principal-agent models regarding incentives, selection of leaders, and the roles of non-cooperation, beliefs, and legitimacy. The document analyzes examples from India on electricity subsidies and measures of integrity and public service motivation among local leaders. It concludes by emphasizing the need for deep reforms, the challenges of reforming political institutions globally, and the opportunities for policy experiments and evaluation to strengthen trust in government.
The document discusses how emotions influence perceptions, values, and decisions. Emotions are communicated through facial expressions, voice, body language, and language, and are perceived and interpreted to identify specific emotions like jealousy and happiness. It also discusses how emotions have evolved to enhance survival and each emotion serves a purpose like anger for conflict or fear for danger. Facial expressions are an important way to measure emotional state and send emotional messages. When perceiving emotions in communication, it's important to consider the emotional messages and differentiate between experienced and signaled emotions.
This document summarizes research on how beliefs about fairness affect attitudes toward inequality and demands for redistribution. It finds that people are more opposed to inequality and support more redistribution when they believe inequality is due to luck rather than individual effort. Support for redistribution also depends on target-specific beliefs about the traits of taxpayers and recipients. For example, union members support taxes on the rich more than transfers to the poor, while those with college degrees show the opposite pattern. Overall, attitudes are conditional on beliefs about both the causes of inequality and the perceived worthiness of different social groups.
1. The document discusses the rise of political polarization and anti-establishment voting. It examines two perspectives on the origins: economic factors vs. cultural backlash.
2. It finds that distrust in institutions is common among all anti-establishment voters. This distrust correlates with lower life satisfaction and economic insecurity from factors like the financial crisis, globalization, and inequality.
3. Cultural values around trust in others also explain polarization, with progressive vs. conservative cultures split between radical left and right votes. Loneliness in post-industrial societies may also contribute as the yellow vest movement involved isolated workers.
This document discusses social investment and welfare reforms in Europe. It contains the following key points:
1. It examines employment trends and child poverty rates in European countries since the 1990s, finding mixed results regarding welfare states and social outcomes.
2. It argues for taking a "social investment" approach to welfare policy, using policies like early childhood education to support skills, employment, and gender equality across people's lifetimes.
3. The Great Recession showed the importance of automatic stabilizers and discretionary macroeconomic policies, as well as implementing social investment and reforms through cooperation across party lines.
This document discusses the political economy of reforms. It notes that initial reforms often generate winners and losers, increasing inequality, and this distributional impact can lead to public backlash and the rise of anti-reform populists. It also discusses how the 2008 financial crisis and expansion of the internet further eroded public trust in elites and established parties. To move forward, the document argues for policies promoting fair competition, redistribution, rebuilding trust in institutions, and better communication strategies to counter populist narratives online.
This document discusses challenges for implementing political and economic reforms. It notes that fragmented political landscapes and weak public finances make reforms difficult due to low returns on compromise and high costs of breaking promises. However, reforms are still needed that increase both efficiency and equality. Examples given include education, healthcare, competitive markets, tax collection, and policies to increase women's labor participation. The rise of populism and radical right parties is also discussed as contributing to political fragmentation by appealing to voters who distrust establishment parties. Evidence from Sweden links increased inequality and job insecurity to greater voter support for radical right parties. Reforms need to address the needs of young people to gain their engagement and support.
Laying the foundations for stronger and more inclusive growth OECD economic s...OECD, Economics Department
The document analyzes Argentina's economy and provides recommendations. It finds that while reforms since 2016 have benefited the economy, challenges remain. Continuing reforms are needed to achieve stronger, more inclusive growth by reducing imbalances, strengthening institutions, integrating globally, and completing structural changes in markets, workforce policies, and fiscal policy. Faster progress on reforms would help Argentina realize further gains from policies already enacted and lay the foundation for robust, shared prosperity.
This document discusses the debate around using the EU budget for economic stabilization. It provides an overview of current proposals, including the European Investment Stabilization Function and a euro area budgetary instrument for competitiveness and convergence. Specific risk sharing schemes are examined, including one based on compensating countries for export shocks. While risk sharing and risk reduction can complement each other, combining them poses challenges around enforcement. There is academic agreement that a central fiscal capacity is needed, but political agreement remains divided due to moral hazard concerns. The current strategy is to establish a small instrument focused on convergence and competitiveness that could expand over time.
This document discusses fiscal stabilization in the euro area. It contains the following key points:
1) Many euro area countries had high debt levels compared to their economic output prior to the global financial crisis, leaving them with little fiscal space to respond to economic downturns.
2) Countries that experienced large negative output gaps during the crisis period tended to have higher public debt levels.
3) A moderately sized central fiscal capacity could help provide meaningful countercyclical stabilization for euro area countries in response to economic shocks.
4) Many euro area countries did not reduce debt levels sufficiently during good economic times, leaving them vulnerable when recessions occurred.
The document summarizes data on economic convergence, resilience, governance, and education outcomes across EU member states from 1995-2017. It shows that while GDP per capita has converged, with many central and eastern European countries catching up to western European levels, resilience to economic shocks and human capital outcomes still vary substantially across the EU. The document also describes European Commission programs that provide support to member states for structural economic reforms.
1) The EU needs a fiscal tool for crisis management as private risk sharing is low compared to other monetary unions and failure to stabilize the economic cycle leaves long lasting scars.
2) More fiscal risk-sharing would improve coordination of monetary and fiscal policy, prevent pro-cyclical tightening, and help achieve a better aggregate fiscal stance.
3) Reforming the EU fiscal rules and designing a common fiscal capacity together could combine risk reduction through better rules with risk sharing through a fiscal capacity to help stabilize economies.
1) The European banking sector remains fragile with low bank capital and high non-performing loans. Financial integration in the euro area is still low.
2) Completing the Banking Union with a European deposit insurance and regulations on sovereign exposures can help address these issues. Introducing "safe assets" may also reduce bank risk.
3) Progress on Capital Markets Union has been slow. Expanding capital-based pension systems and standardizing rules can help foster capital markets.
4) Reforms are needed to stabilize the euro area through more market discipline and risk sharing, but they must be designed to maintain proper incentives.
This document discusses the European Commission's proposal for a European Stabilization Function (EISF) and debates around it. The EISF aims to prevent pro-cyclical fiscal tightening during economic shocks, reduce market overreactions, and contribute to EU cohesion. It would provide loans to Member States facing large unemployment shocks, proportionate to shock severity, to fund public investments with interest subsidies. While some are skeptical due to perceived lack of need, the document argues asymmetric shocks do occur and risk-sharing would be improved with public and private mechanisms. The design aims to target severe shocks and avoid moral hazard through eligibility conditions. Charts show many Member States could benefit from the EISF,
National governments face challenges in implementing structural reforms in the eurozone due to political considerations. There is a conflict between economic theory, which advocates for reforms like flexible prices and wages, and political realities. It is difficult to answer fundamental questions about what reforms to make, how to implement them, and when. While most reforms have positive economic impacts, they often backfire politically. Successful reforms require comprehensive plans to avoid targeting single sectors, income compensation mechanisms, and avoiding strategic political games. Communication and education are also important to build support.
The document summarizes the 2019 OECD Economic Survey of Portugal. It finds that while Portugal's economic recovery is well established, further improvements are needed to raise living standards. It provides several key policy recommendations to strengthen fiscal sustainability, improve financial stability, boost export performance, enhance judicial efficiency, increase labor utilization, and further reduce poverty.
Digital technologies have the potential to boost productivity but gains have been modest, with productivity growth slowing in major economies. The document examines why through three main points: 1) Low rates of digital adoption among firms, especially less productive ones. 2) Strong complementarities between digital investments, skills, and product market regulations that incentivize innovation. 3) Skill gaps negatively impact the productivity benefits of digital adoption, especially for less productive firms. To realize digital's potential, policies should promote broadband access, skills development, and encourage reallocation between firms.
Digitalisation and Productivity - in Search of the Holy Grail
La dynamique-de-croissance-pourra-t-elle-durer-ocde-perspectives-economiques-intermediaires-septembre-2017
1. 20 septembre 2017
Catherine L. Mann
Chef économiste de l'OCDE
PERSPECTIVES ÉCONOMIQUES
INTERMÉDIAIRES DE L'OCDE
La dynamique de croissance à
court terme pourra-t-elle durer?
www.oecd.org/fr/economie/perspectives-economiques.htm
Blog ECOSCOPE : oecdecoscope.wordpress.com
2. Principaux messages
2
La dynamique de croissance à court terme repose désormais sur une plus large assise
• L'amélioration de la croissance a été supérieure aux attentes dans la zone euro
• Le redressement intervient de manière synchronisée dans les grandes économies
• Dans plusieurs économies, l'action publique a été déterminante pour soutenir l'activité au premier semestre de 2017
Mais à moyen terme, une croissance forte et soutenue est loin d'être garantie
• Une reprise plus ferme de l'investissement privé s'impose pour que la croissance se poursuive sur sa lancée
• L'inflation reste en demi-teinte et les salaires ne sont pas repartis à la hausse
• Dans les économies émergentes, une croissance future plus forte dépendra de l'approfondissement des réformes
Les pouvoirs publics ne doivent pas relâcher leurs efforts : il faut actionner les leviers
budgétaires et structurels
• Mettre moins l'accent sur les mesures monétaires au profit de l'action budgétaire et structurelle pour soutenir la
croissance et les salaires
• La politique monétaire doit accompagner l'activité tout en permettant de gérer les risques financiers
• Exploiter la marge de manoeuvre budgétaire, tout en affinant les politiques de prélèvements et de prestations pour
asseoir une croissance inclusive
• Accélérer les efforts de réforme structurelle pour stimuler la productivité, les salaires et les compétences
3. Un redressement mondial à court terme
synchronisé
3
La reprise repose sur une large assise
Hausse du PIB dans une sélection de pays
Hausse du PIB mondial
Contributions par région
Note : Les pays retenus sont les pays de l'OCDE, l'Afrique du Sud, l'Argentine, le Brésil, la Chine, la Colombie, le Costa Rica, l'Inde, l'Indonésie, la Lituanie et la
Russie.
Source : Base de données des Perspectives économiques de l'OCDE.
4. Hausse de la production industrielle et
des échanges
Croissance trimestrielle, en volume
4
Hausse de la production industrielle et des échanges,
accélération du redressement du cycle technologique
Cycle des TIC
Variations en glissement annuel, moyenne mobile sur 3 mois
2017
Notes : La croissance des échanges mondiaux comprend les biens et les services. En pointillés : prévisions de juin 2017. Achats de semi-conducteurs en USD
nominaux.
Source : Base de données des Perspectives économiques de l'OCDE; World Semiconductor Trade Statistics ; et calculs de l'OCDE.
5. Perspectives économiques intermédiaires de
l’OCDE : projections
5
Hausse du PIB réel
En glissement annuel, %
Note : Écart exprimé en points de pourcentage, sur la base de chiffres arrondis.
1. Exercices démarrant en avril
2016
Prévisions
intermédiaires
Différence par
rapport aux
prévisions de
juin
Prévisions
intermédiaires
Différence par
rapport aux
prévisions de
juin
Monde 3.1 3.5 0.0 3.7 0.1
États-Unis 1.5 2.1 0.0 2.4 0.0
Zone euro 1.8 2.1 0.3 1.9 0.1
Allemagne 1.9 2.2 0.2 2.1 0.1
France 1.1 1.7 0.4 1.6 0.1
Italie 1.0 1.4 0.4 1.2 0.4
Japon 1.0 1.6 0.2 1.2 0.2
Canada 1.5 3.2 0.4 2.3 0.0
Royaume-Uni 1.8 1.6 0.0 1.0 0.0
Chine 6.7 6.8 0.2 6.6 0.2
Inde1
7.1 6.7 -0.6 7.2 -0.5
Brésil -3.6 0.6 -0.1 1.6 0.0
Russie -0.2 2.0 0.6 2.1 0.5
G20 3.2 3.7 0.1 3.8 0.0
2017 2018
6. À MOYEN TERME, UNE
CROISSANCE FORTE ET SOUTENUE
EST LOIN D'ÊTRE GARANTIE
6
7. 7
Il y a grand besoin de renforcer
l'investissement pour alimenter la croissance
La reprise de l'investissement est modeste
Pays de l'OCDE
Notes : À gauche : Reprise actuelle en cours depuis 2008T1, prévisions en pointillés. Pic avant récession pour les 3 reprises précédentes : 1973T4, 1980T1 et
1990T3. L'investissement correspond à la FBCF totale réelle. À droite: Les besoins à long terme ont été estimés à l'aide de la méthologie de Lewis et al. (2014).
Source : Base de données des Perspectives économiques de l'OCDE; et calculs de l'OCDE.
Déficit d'investissement par pays
Investissement non résidentiel, en % du PIB potentiel
8. 8
Des faiblesses structurelles pèsent sur
l'investissement
Capital bloqué dans des entreprises zombies
Part du stock de capital total, 2013
Notes : À gauche : Entreprises de 10 ans ou plus dont les bénéfices ne permettent pas de couvrir les frais financiers sur trois années consécutives. L'échantillon ne comprend
aucune entreprise dont la taille est supérieure à 100 fois le 99e percentile de la distribution par taille en termes de stock de capital ou d'effectif.
À droite : Choc de marché de produits : réduction de 16 % sur 5 ans de l'indice OCDE de la réglementation dans l'énergie, les transports et les communications, équivalant au
rythme moyen de réduction parmi les 15 pays de l'OCDE sur la période 1993-2013. Réduction de l'indice de l'incertitude dans le monde : réduction de deux écarts-types (26 %).
Hausse de la demande étrangère ou intérieure : 1 %. Source : Adalet McGowan, Andrews et Millot (2017) , “The Walking Dead? Zombie Firms and Productivity Performance in
OECD countries”, Document de travail du Département des affaires économiques de l'OCDE ; et calculs de l'OCDE.
Impact de chocs sur l'investissement
Variation en % après 5 ans, estimation
9. 9
Une hausse plus forte des échanges s'impose
pour accroître les gains de productivité
Intensité des échanges mondiaux
Rapport hausse des échanges mondiaux sur
croissance du PIB
Note : Scénario dans lequel l'ouverture aux échanges dans l'OCDE (exportations plus importations en pourcentage du PIB aux taux de change du marché) augmente à partir
de 2017 au taux moyen relevé sur la période 1986-2007. Source : Base de données des Perspectives économiques de l'OCDE ; Haugh et al. (2016), “Cardiac Arrest or Dizzy Spell:
Why is World Trade So Weak and What can Policy Do About It? ”, Document de travail du Département des affaires économiques de l'OCDE ; et calculs de l'OCDE.
Gains de productivité réalisés grâce à
l'intensification des échanges
Hausse annuelle de la productivité dans l'OCDE ; estimation des gains réalisés si
l'ouverture aux échanges progresse au même rythme que sur la période 1986-2007
10. 10
Mais les obstacles relevant de l'action publique et
l'insuffisance de la demande mondiale pèsent sur
les échanges et l'IDE
Notes : À gauche : Mesures prises depuis 2008 dans les pays du G20 et toujours en vigueur. À droite : Réponses à la question "Au cours des six derniers mois,
quels ont été les principaux facteurs affectant les décisions d'investissement international dans votre pays ?"
Source : Rapports conjoints OMC-OCDE-CNUCED sur les mesures prises par le G-20 dans le domaine du commerce et de l'investissement ; et BIAC Business
Climate Survey 2017.
Contraintes pesant sur l'investissement
international
% de répondants
Restrictions commerciales dans les pays
du G20
Nombre de mesures restrictives introduites depuis la crise
11. 11
La croissance à moyen terme va dépendre non
seulement des créations d'emplois, mais aussi
de la hausse des salaires
Taux d'emploi
Moyenne de l'OCDE
Note : Les salaires réels s'entendent comme la rémunération par salarié ajustée en fonction du déflateur du PIB. Les salaires réels de l'OCDE correspondent à
une moyenne pondérée de 24 pays.
Source : Base de données des Perspectives économiques de l'OCDE ; données Orbis du Bureau van Dijk ; et base de données de l'OCDE sur l'emploi.
Rémunération réelle par salarié
12. 12
Source : Base de données des Perspectives économiques de l'OCDE; et FMI.
Hausse du PIB réel dans les économies de marché
émergentes, moyennes annuelles par période
Revenu par habitant, en USD constants, à PPA
Une croissance mondiale solide nécessite une
inversion de la tendance dans les économies
émergentes
%
Les marchés émergents doivent
maintenir une croissance soutenue
pour “rattraper” les niveaux de PIB par
habitant des économies avancées
Mais la hausse du PIB dans les
économies en phase de rattrapage a
ralenti depuis les années 2000
La capacité des économies émergentes
à générer une croissance robuste des
investissements et de la productivité
s’est révélée inégale
2002 - 2007
2008 - 2012
2013 - 2016
-2
0
2
4
6
8
10
12
-2
0
2
4
6
8
10
12
0 5,000 10,000 15,000 20,000 25,000
Chine
Brésil
Inde
Turquie
Indonésie
Russie
Afrique
du Sud
Mexique
ArgentineMalaisie
Thaïlande
Vietnam
%
13. LES POUVOIRS PUBLICS DOIVENT
S'EMPLOYER ACTIVEMENT À
METTRE EN PLACE DES INITIATIVES
BUDGÉTAIRES ET STRUCTURELLES
13
14. -1
0
1
2
3
4
0 3 6 9 12 15 18 21 24 27 30
Etats-Unis Zone Euro Japon
%
maturité (années)
Déconnexion entre les taux de change
et les taux d'intérêt
Les taux d'intérêt restent très bas
14Note : Courbes de rendement des emprunts d’État de référence au 12 septembre 2017.
Source : Thomson Reuters ; Bloomberg ; et BCE.
Courbes de rendement des emprunts
d’État
septembre 2017
15. Les tensions inflationnistes restent très
modérées dans les économies avancées
La faiblesse de la hausse des prix des
services a pesé sur l'inflation sous-jacente
Les mesures de l'inflation restent en deçà
des objectifs, en partie du fait de la moindre
hausse des prix des services
15
Note : Les moyennes indiquées pour les économies avancées ont été calculées à l'aide de pondérations du PIB à PPA. Les économies avancées considérées
sont le Canada, les États-Unis, le Japon, le Royaume-Uni, la Suède, la Suisse, et la Zone euro agrégée. L'inflation sous-jacente et l'inflation des biens excluent
l'alimentation et l'énergie. Source : Base de données des Perspectives économiques de l'OCDE ; Eurostat ; Thomson Reuters ; données économiques FRED ;
Bureau of Economic Analysis ; et calculs de l'OCDE.
16. 16
Mais une poursuite de l'assouplissement monétaire
pourrait aggraver la déconnexion sphère financière-
économie réelle et creuser encore la dette
L'endettement est élevé dans les
économies émergentes
Crédits au secteur non financier, en % du total du PIB des EME
Note : Les économies émergentes sont l'Afrique du Sud, l'Arabie saoudite, l'Argentine, le Brésil, le Chili, la Chine, la Colombie, Hong Kong, Chine, l'Inde,
l'Indonésie, la Malaisie, le Mexique, la Russie, Singapour, la Thaïlande et la Turquie.
Source : Thomson Reuters ; et Banque des règlements internationaux (BRI).
Faible volatilité sur les marchés d'actions
Moyenne mobile sur 30 jours, normalisée en écarts-types
17. 17
Mettre en œuvre l'assouplissement de la
politique budgétaire attendu
Les paiements d'intérêts bruts des États
ont diminué
Écart annuel moyen entre 2011-14 et 2017-18
L'orientation de la politique budgétaire
devrait s'assouplir
Variation du solde primaire sous-jacent, % du PIB potentiel
Note : À gauche : paiements d'intérêts bruts des administrations publiques. Les données pour 2017-2018 sont des projections de l'OCDE.
Source : Base de données des Perspectives économiques de l'OCDE; et calculs de l'OCDE.
18. 18
Et améliorer le dosage des politiques budgétaires
au service de la croissance inclusive
Note : Le graphique présente la variation en valeur absolue des coefficients de Gini sur plusieurs années dans tous les pays de l'OCDE pour lesquels on dispose de
données. Une augmentation des coefficients de Gini correspond à une hausse des inégalités.
Source : Base de données de l'OCDE sur la distribution des revenus ; et calculs de l'OCDE.
La politique budgétaire est devenue moins redistributive
Évolution des inégalités avant et après prélèvements et transferts
2007-2010 2010-2014
Moins de
redistribution Moins de
redistribution
Plus de
redistribution
Plus de
redistribution
19. Améliorer le dosage des dépenses publiques
pour stimuler la croissance et réduire les
inégalités
Évolution de l'efficacité des dépenses publiques du point de vue de la croissance et de l'équité depuis 2005
Note : L'indicateur combine des informations relatives à l'effet de l'importance et de l'efficacité de l'administration et du dosage des dépenses publiques sur la croissance
et les inégalités. Les catégories correspondent aux variations observées entre 2005 et 2012. La catégorie " amélioration significative " correspond à une évolution positive
supérieure à 0.3 écart-type (ET) ; la catégorie " légère amélioration " correspond à une évolution positive inférieure à 0.3 ET ; la catégorie " légère dégradation "
correspond à une évolution négative inférieure à 0.3 ET ; et la catégorie " dégradation significative " correspond à une évolution négative supérieure à 0.3 ET.
Source : Bloch, D. et J-M. Fournier (2017), “The Deterioration of Public Spending Quality during the Global Financial Crisis: Insights from New Indicators”, Document de
travail du Département des affaires économiques de l'OCDE, à paraître.
19
20. 20
Les perspectives de croissance dans les EME
pourraient s'affaiblir encore en l'absence de
réformes institutionnelles et structurelles
Le rythme des réformes décroît dans les EME
Taux de réactivité aux priorités de réforme établies dans le
rapport Objectif croissance, économies de marché émergentes
Diminution de la corruption et progrès
du développement vont de pair
Hausse
du
revenu
par
habitant
Diminution de la
corruption
Source : OCDE, Objectif croissance 2017 ; Base de données des Perspectives économiques de l'OCDE ; Egert (2017), “The quantification of structural
reforms: taking stock of the results for OECD and non-OECD countries”, Document de travail du Département des affaires économiques de l'OCDE, à
paraître.
21. 0.0
0.5
1.0
1.5
2.0
2.5
0.0
0.5
1.0
1.5
2.0
2.5
2013-2014 2015-2016 2017-18
% %
La croissance à moyen terme est loin d'être garantie :
les pouvoirs publics ne doivent pas relâcher leurs
efforts
21
Rééquilibrer l'action publique en mettant moins
l'accent sur les mesures monétaires au profit
d'initiatives budgétaires et structurelles propres à
soutenir la croissance, tout en gérant les risques
financiers
Faire un meilleur usage des politiques de
prélèvements et de prestations pour asseoir une
croissance plus inclusive
Accélérer la transformation structurelle pour stimuler
l'investissement, favoriser la dynamique des
entreprises et développer les compétences
Croissance du PIB par habitant
Moyenne de l'OCDE
Source : Base de données des Perspectives économiques de l'OCDE.
Moyenne 1990-2007