Depuis 2007, avec des petits hauts et beaucoup de bas, c’est la grande récession. La reprise souvent annoncée n’est pas en vue, elle est plus que problématique comme le montrent les derniers développements en Europe. Dans ce cadre, les politiques d’austérité mortifères qui y sont administrées comme un remède de cheval n’ont pas la croissance pour objectif, mais bien la révision sociale tous azimuts des grandes conquêtes de la période précédente.
Retrouvez les chiffres et les explications dans le dernier diaporama d’Apex.
La crise n’est pas finie. Elle s’aggrave. S’y mêlent désormais le poids de la dette publique (résultant du transfert des dettes privées aux États) et l’impact mortifère des politiques d’austérité, notamment en Europe. La zone euro a fini l’année 2012 en récession et 2013 ne fera pas mieux.
Crise, dette et purge : comprendre tout cela pour aider les salariés à agir dans cette situation difficile, tel est l’objectif de ce nouveau diaporama d’Apex.
Nouveau powerpoint sur la taxe des millionnaires, les pensions et le budget (...ptbbelgique
Après le budget, les pensions sont dans le collimateur du gouvernement Van Rompuy. Dans une présentation powerpoint actualisé, le PTB présente son alternative de gauche globale. Avec en vedette, la taxe des millionnaires.
Pour une fiscalité plus équitable et plus efficace : la micro-taxe.
Le concept de micro-taxe, que veut promotionner le présent groupe Harmonia, consiste à remplacer toute ou partie de notre fiscalité actuelle par un micro prélèvement automatique sur toutes les transactions financières dématérialisées, c'est-à-dire sur toutes les opérations de débit/crédit des comptes bancaires.
Deux des effets les plus immédiats et les plus spectaculaires de la suppression de la fiscalité actuelle seraient :
1) pour les travailleurs : perception non plus d'un salaire net mais bien de leur salaire brut sur leur compte.
2) pour les entreprises : suppression des charges sociales sur le personnel et suppression de l'isoc.
Nous évaluons le taux de la micro-taxe entre 0,50% et 0,70% sur la transaction globale. Pour un taux de 0,50% par exemple, il s'agirait donc de prélever 0,25% sur l'opération de débit et 0,25% sur l'opération de crédit des comptes mouvementés. Le taux de la micro-taxe devra être affiné en fonction de l'assiette fiscale à disposition. Cette dernière n'est pas encore connue avec exactitude, mais elle est estimée à plus de 100 fois notre PIB qui constitue notre assiette fiscale actuelle (450 milliards en 2018). L'assiette minimum serait donc de € 45.000 milliards.
Si vous avez des questions, n'hésitez pas à nous les poser. Nous y répondrons sur la page "Questions et réponses" de notre site web (voir ci-dessous).
Pour plus d'informations sur la micro-taxe et pour prendre connaissance de ses nombreux avantages :
La micro-taxe en détail : https://www.micro-tax.org/la-micro-taxe
Notre site web : https://www.micro-tax.org
Foire aux questions : https://www.micro-tax.org/q-a
Notre page Facebook : https://www.facebook.com/La-micro-taxe-1631259393686007
Notre groupe Facebook "Harmonia" : https://www.facebook.com/groups/1660029664132661
Notre article dans La Libre : https://www.lalibre.be/…/comment-la-micro-taxe-pourrait-tou…
Une petite capsule vidéo très bien faite : https://www.youtube.com/watch?v=7uY5YTNtLWU
Que faire de la dette ? Un audit de la dette publique de la FranceAuditoriaVLC
Cette étude a été réalisée par un groupe de travail du Collectif pour un Audit citoyen de la dette publique. Elle se veut une contribution au nécessaire débat public sur des questions cruciales : d’où vient la dette ? A-t-elle été contractée dans l’intérêt général, ou bien au bénéfice de minorités déjà privilégiées ? Qui détient ses titres ? Peut-on alléger son fardeau autrement qu’en appauvrissant les populations ? Les réponses apportées à ces questions détermineront notre avenir.
https://france.attac.org/nos-publications/notes-et-rapports-37/article/que-faire-de-la-dette-un-audit-de
Largent Public C'est le vôtre Présentation de Lionnel Tardy 1340195821Jean-Claude MORAND
La crise financière impose à tous les état de prendre des actions qui contribuent à creuser encore un peu plus la dette et les déficits. Cette présentation fournis des chiffres objectifs quant à la situation des comptes de l'Etat français.
La crise n’est pas finie. Elle s’aggrave. S’y mêlent désormais le poids de la dette publique (résultant du transfert des dettes privées aux États) et l’impact mortifère des politiques d’austérité, notamment en Europe. La zone euro a fini l’année 2012 en récession et 2013 ne fera pas mieux.
Crise, dette et purge : comprendre tout cela pour aider les salariés à agir dans cette situation difficile, tel est l’objectif de ce nouveau diaporama d’Apex.
Nouveau powerpoint sur la taxe des millionnaires, les pensions et le budget (...ptbbelgique
Après le budget, les pensions sont dans le collimateur du gouvernement Van Rompuy. Dans une présentation powerpoint actualisé, le PTB présente son alternative de gauche globale. Avec en vedette, la taxe des millionnaires.
Pour une fiscalité plus équitable et plus efficace : la micro-taxe.
Le concept de micro-taxe, que veut promotionner le présent groupe Harmonia, consiste à remplacer toute ou partie de notre fiscalité actuelle par un micro prélèvement automatique sur toutes les transactions financières dématérialisées, c'est-à-dire sur toutes les opérations de débit/crédit des comptes bancaires.
Deux des effets les plus immédiats et les plus spectaculaires de la suppression de la fiscalité actuelle seraient :
1) pour les travailleurs : perception non plus d'un salaire net mais bien de leur salaire brut sur leur compte.
2) pour les entreprises : suppression des charges sociales sur le personnel et suppression de l'isoc.
Nous évaluons le taux de la micro-taxe entre 0,50% et 0,70% sur la transaction globale. Pour un taux de 0,50% par exemple, il s'agirait donc de prélever 0,25% sur l'opération de débit et 0,25% sur l'opération de crédit des comptes mouvementés. Le taux de la micro-taxe devra être affiné en fonction de l'assiette fiscale à disposition. Cette dernière n'est pas encore connue avec exactitude, mais elle est estimée à plus de 100 fois notre PIB qui constitue notre assiette fiscale actuelle (450 milliards en 2018). L'assiette minimum serait donc de € 45.000 milliards.
Si vous avez des questions, n'hésitez pas à nous les poser. Nous y répondrons sur la page "Questions et réponses" de notre site web (voir ci-dessous).
Pour plus d'informations sur la micro-taxe et pour prendre connaissance de ses nombreux avantages :
La micro-taxe en détail : https://www.micro-tax.org/la-micro-taxe
Notre site web : https://www.micro-tax.org
Foire aux questions : https://www.micro-tax.org/q-a
Notre page Facebook : https://www.facebook.com/La-micro-taxe-1631259393686007
Notre groupe Facebook "Harmonia" : https://www.facebook.com/groups/1660029664132661
Notre article dans La Libre : https://www.lalibre.be/…/comment-la-micro-taxe-pourrait-tou…
Une petite capsule vidéo très bien faite : https://www.youtube.com/watch?v=7uY5YTNtLWU
Que faire de la dette ? Un audit de la dette publique de la FranceAuditoriaVLC
Cette étude a été réalisée par un groupe de travail du Collectif pour un Audit citoyen de la dette publique. Elle se veut une contribution au nécessaire débat public sur des questions cruciales : d’où vient la dette ? A-t-elle été contractée dans l’intérêt général, ou bien au bénéfice de minorités déjà privilégiées ? Qui détient ses titres ? Peut-on alléger son fardeau autrement qu’en appauvrissant les populations ? Les réponses apportées à ces questions détermineront notre avenir.
https://france.attac.org/nos-publications/notes-et-rapports-37/article/que-faire-de-la-dette-un-audit-de
Largent Public C'est le vôtre Présentation de Lionnel Tardy 1340195821Jean-Claude MORAND
La crise financière impose à tous les état de prendre des actions qui contribuent à creuser encore un peu plus la dette et les déficits. Cette présentation fournis des chiffres objectifs quant à la situation des comptes de l'Etat français.
Présentation de l'intervention de Philippe Crevel prononcée le 13 octobre 2016 au Domaine de Murtoli
Thèmes : les atouts de la Corse et ses moyens d'être maître de son destin économique
Le gouvernement a de son côté prévu de mettre au point avec les partenaires sociaux un ensemble de cinq réformes qui ont fait
l’objet d’une lettre de cadrage. Instituer une indemnisation pour les démissionnaires et pour les travailleurs indépendants est à
la fois non souhaitable et contre-indiqué financièrement. La troisième réforme concernant la limitation par pénalisation des CDD
courts n’a qu'un enjeu limité, et lorsque nécessaire, devrait plutôt conduire à diminuer l'indemnisation qu'à pénaliser l'employeur.
Le contrôle accru des chômeurs est en revanche souhaitable. Enfin, le remplacement de certaines cotisations par la CSG ne saurait
justifier la participation de l’État à la gouvernance de l’Unedic.
Mais le gouvernement se garde bien d’évoquer certains autres sujets de fond qui fâchent, à savoir que de moins en moins
l’assurance chômage conserve son caractère assurantiel, dans la mesure où l’État exige de l’Unedic, dont les ressources pèsent
directement sur le coût du travail marchand, qu’elle finance des politiques publiques de solidarité qui devraient reposer sur l’impôt.
Ce faisant, l’État est responsable des déficits de l’Unedic, et ne craint pas de les augmenter encore avec l’indemnisation annoncée
des démissionnaires et des travailleurs indépendants. Nos préconisations prioritaires sont les suivantes :
❙ équilibrer le financement par l’Unedic des points de retraite acquis pendant les périodes de chômage (déséquilibre de 2 milliards) ;
❙ annuler ou réduire fortement le financement par l’Unedic de Pôle emploi (3,3 milliards) ;
❙ faire participer les entreprises publiques à l’assurance chômage (plusieurs milliards) ;
❙ mettre à la charge de l’État les indemnisations qui ressortissent à un objectif de solidarité nationale : intermittents du spectacle,
exonérations spéciales et éviter les subventions croisées (1 milliard pour les intermittents, 1 milliard pour les autres subventions).
Enfin des réformes paramétriques devraient aussi être menées :
❙ augmenter le ratio d’éligibilité en passant la durée minimum d’affiliation de 4 à 6 mois, et ultérieurement à 8 mois, sur une période
de 18 mois (1,8 milliard) ;
❙ baisser, au minimum, à 0,9 de jour indemnisé pour un jour cotisé le taux de transformation (1,2 milliard) ;
❙ supprimer les revenus de remplacement proches des revenus du travail ou supérieurs ;
❙ et en fonction de la mise en oeuvre des réformes ci-dessus, baisser le taux des cotisations patronales et salariales.
La fiscalité en matière de successions et de donations est appelée à devenir un enjeu majeur pour la société française.
En savoir plus : http://strategie.gouv.fr/publications/eviter-une-societe-dheritiers
Le 29 novembre 2011, Valérie Pécresse, la ministre du Budget, a appelé de ses vœux une RGPP locale :
« Je veux le dire devant vous ce matin : cette réflexion [N.D.L.R. : la RGPP], elle devra aussi concerner
les collectivités locales (…), la réforme du service public ne peut pas s'arrêter aux portes des administrations
locales, qui représentent 230 milliards de dépenses. » La ministre a conclu en annonçant une prochaine
discussion avec les collectivités pour commencer une révision générale des politiques publiques locales.
Cette nécessité a par ailleurs été parfaitement relevée par l'OCDE qui, dans son dernier rapport consacré
à la France, ébauche ce que pourraient être les moyens d'une RGPL : « L'État devrait mettre en place
une partie incitative dans les transferts aux collectivités territoriales pour atteindre des objectifs précis
en termes d'efficacité et assurer un meilleur contrôle de leurs dépenses. »
Note de synthese - Impact de la crise du Covid19 sur l'économie tunisienneMourad Mnif, CFA
Le club Think Finance de l’ATUGE(Association des TUnisiens des Grandes Ecoles) a organisé le mercredi 6 mai 2020 un webinar sur l’impact de la crise du Covid-19 sur l’économie tunisienne. Cet événement avait comme objectifs de :
- Faire un état des lieux des mesures prises par le gouvernement tunisien et par la Banque Centrale de Tunisie,
- Etablir un diagnostic des principaux traits de l’économie tunisienne impactée par la crise,
- Recueillir et discuter des recommandations de sortie de crise à court, moyen et long terme.
Nous avons adressé ces problématiques au travers d’un débat avec un panel d’experts composé d’anciens ministres, d’économistes et de hauts fonctionnaires. En dehors des regards critiques et complémentaires sur la situation économique, nos intervenants nous ont fait part de leurs lectures de la situation et de leurs préconisations. Nous tenons à remercier vivement nos intervenants d’avoir participé à ce webinar.
A travers cette publication, le club Think Finance présente une note de synthèse qui restitue les propos de nos invités recueillis pendant le webinar. Le travail d’introduction et de mise en contexte a été réalisé par les membres du club.
Lien de l'enregistrement : https://youtu.be/L7z6Rcd_3yk
Présentation de l'intervention de Philippe Crevel prononcée le 13 octobre 2016 au Domaine de Murtoli
Thèmes : les atouts de la Corse et ses moyens d'être maître de son destin économique
Le gouvernement a de son côté prévu de mettre au point avec les partenaires sociaux un ensemble de cinq réformes qui ont fait
l’objet d’une lettre de cadrage. Instituer une indemnisation pour les démissionnaires et pour les travailleurs indépendants est à
la fois non souhaitable et contre-indiqué financièrement. La troisième réforme concernant la limitation par pénalisation des CDD
courts n’a qu'un enjeu limité, et lorsque nécessaire, devrait plutôt conduire à diminuer l'indemnisation qu'à pénaliser l'employeur.
Le contrôle accru des chômeurs est en revanche souhaitable. Enfin, le remplacement de certaines cotisations par la CSG ne saurait
justifier la participation de l’État à la gouvernance de l’Unedic.
Mais le gouvernement se garde bien d’évoquer certains autres sujets de fond qui fâchent, à savoir que de moins en moins
l’assurance chômage conserve son caractère assurantiel, dans la mesure où l’État exige de l’Unedic, dont les ressources pèsent
directement sur le coût du travail marchand, qu’elle finance des politiques publiques de solidarité qui devraient reposer sur l’impôt.
Ce faisant, l’État est responsable des déficits de l’Unedic, et ne craint pas de les augmenter encore avec l’indemnisation annoncée
des démissionnaires et des travailleurs indépendants. Nos préconisations prioritaires sont les suivantes :
❙ équilibrer le financement par l’Unedic des points de retraite acquis pendant les périodes de chômage (déséquilibre de 2 milliards) ;
❙ annuler ou réduire fortement le financement par l’Unedic de Pôle emploi (3,3 milliards) ;
❙ faire participer les entreprises publiques à l’assurance chômage (plusieurs milliards) ;
❙ mettre à la charge de l’État les indemnisations qui ressortissent à un objectif de solidarité nationale : intermittents du spectacle,
exonérations spéciales et éviter les subventions croisées (1 milliard pour les intermittents, 1 milliard pour les autres subventions).
Enfin des réformes paramétriques devraient aussi être menées :
❙ augmenter le ratio d’éligibilité en passant la durée minimum d’affiliation de 4 à 6 mois, et ultérieurement à 8 mois, sur une période
de 18 mois (1,8 milliard) ;
❙ baisser, au minimum, à 0,9 de jour indemnisé pour un jour cotisé le taux de transformation (1,2 milliard) ;
❙ supprimer les revenus de remplacement proches des revenus du travail ou supérieurs ;
❙ et en fonction de la mise en oeuvre des réformes ci-dessus, baisser le taux des cotisations patronales et salariales.
La fiscalité en matière de successions et de donations est appelée à devenir un enjeu majeur pour la société française.
En savoir plus : http://strategie.gouv.fr/publications/eviter-une-societe-dheritiers
Le 29 novembre 2011, Valérie Pécresse, la ministre du Budget, a appelé de ses vœux une RGPP locale :
« Je veux le dire devant vous ce matin : cette réflexion [N.D.L.R. : la RGPP], elle devra aussi concerner
les collectivités locales (…), la réforme du service public ne peut pas s'arrêter aux portes des administrations
locales, qui représentent 230 milliards de dépenses. » La ministre a conclu en annonçant une prochaine
discussion avec les collectivités pour commencer une révision générale des politiques publiques locales.
Cette nécessité a par ailleurs été parfaitement relevée par l'OCDE qui, dans son dernier rapport consacré
à la France, ébauche ce que pourraient être les moyens d'une RGPL : « L'État devrait mettre en place
une partie incitative dans les transferts aux collectivités territoriales pour atteindre des objectifs précis
en termes d'efficacité et assurer un meilleur contrôle de leurs dépenses. »
Note de synthese - Impact de la crise du Covid19 sur l'économie tunisienneMourad Mnif, CFA
Le club Think Finance de l’ATUGE(Association des TUnisiens des Grandes Ecoles) a organisé le mercredi 6 mai 2020 un webinar sur l’impact de la crise du Covid-19 sur l’économie tunisienne. Cet événement avait comme objectifs de :
- Faire un état des lieux des mesures prises par le gouvernement tunisien et par la Banque Centrale de Tunisie,
- Etablir un diagnostic des principaux traits de l’économie tunisienne impactée par la crise,
- Recueillir et discuter des recommandations de sortie de crise à court, moyen et long terme.
Nous avons adressé ces problématiques au travers d’un débat avec un panel d’experts composé d’anciens ministres, d’économistes et de hauts fonctionnaires. En dehors des regards critiques et complémentaires sur la situation économique, nos intervenants nous ont fait part de leurs lectures de la situation et de leurs préconisations. Nous tenons à remercier vivement nos intervenants d’avoir participé à ce webinar.
A travers cette publication, le club Think Finance présente une note de synthèse qui restitue les propos de nos invités recueillis pendant le webinar. Le travail d’introduction et de mise en contexte a été réalisé par les membres du club.
Lien de l'enregistrement : https://youtu.be/L7z6Rcd_3yk
Este documento enumera 14 ventajas de llegar a los 60 años o más. Algunas ventajas incluyen que ya no te importa tu currículum, la gente ya no te considera hipocondríaco, tus inversiones en seguro médico comienzan a rendir frutos, y ya no te importa si te pusiste medias o zapatos de colores diferentes. El documento también menciona que a esta edad ya no tienes nada más que aprender y que tus secretos ya no importan porque tus amigos tampoco los recuerdan.
L'immobilier 100% entre Particuliers : Journal Novembre-Décembre 2014Partenaire Européen
N° 1 du Service immobilier entre particuliers à domicile depuis 1992, L'immobilier 100% entre particuliers vous fait découvrir la version numérique de son journal en vente 1€95 dans des milliers de points de vente en France et sur abonnement à l'étranger. Pour en savoir plus sur nos services immobiliers entre particuliers contactez-nous au 0.800.14.11.60 l'appel est gratuit depuis un poste fixe. Vous êtes acheteur et vous recherchez un bien immobilier entre particuliers ? Vous avez raison ! Faites l'économie de la commission à la vente et contactez-nous au 04.99.74.74.85 pour plus d'information.
Diaporama utilisé par Philippe Ledent, senior economist chez ING Belgium, lors de sa conférence au Forum financier du Luxembourg belge, le 22 octobre 2018
Audit de la dette publique en France : 59% est illégitime !François Bigarnet
Cette étude a été réalisée par un groupe de travail du Collectif pour un Audit citoyen de la dette publique.
Elle se veut une contribution au nécessaire débat public sur des questions cruciales :
- d’où vient la dette ?
- A-t-elle été contractée dans l’intérêt général, ou bien au bénéfice de minorités déjà privilégiées ?
- Qui détient ses titres ?
- Peut-on alléger son fardeau autrement qu’en appauvrissant les populations ?
Les réponses apportées à ces questions détermineront notre avenir.
Ont participé à son élaboration :
Michel Husson (Conseil scientifique d’Attac, coordination), Pascal Franchet (CADTM), Robert Joumard (Attac), Evelyne Ngo (Solidaires Finances, Publiques), Henri Sterdyniak (Économistes Atterrés), Patrick Saurin (Sud BPCE).
I. La genèse de la dette publique
II. Les collectivités locales : entre transferts de charges, prêts toxiques et austérité
III. Le « trou » de la Sécurité sociale
IV. À qui la faute ? Éléments pour un audit de la dette de l’État
Conclusion : Que faire de la dette ?
Annexe : Arithmétique de la dette publique
Comprendre simplement l'économie:
Voici un powerpoint pour tous ceux qui voudraient comprendre simplement comment l'économie marche, et pourquoi on est dans cette situation.
Y a juste l'essentiel...
Présentation du projet de "triangle de croissance"Adrien Pittore
En juin dernier, la Banque de France a rendu public un rapport sur la nécessité de construire un "triangle de croissance" qui servira l'investissement et l'innovation.
Olivier Garnier à la commission finances sur les prévisions économiques Franc...Soledad Zignago
Présentation d'Olivier Garnier, Banque de France, à la Commission finances de l'Assemblée nationale sur les prévisions économiques France 24/01/18 #BdFeco
Résultats de l' enquête sur les risques psychosociaux des élus du personnel Groupe Apex Isast
Lorsque nous avions lancé notre enquête sur les risques psychosociaux spécifiques aux fonctions de représentants du personnel, nous étions loin d’imaginer des résultats aussi marquants. En résumé : Près d’un élu sur deux a déjà été confronté au moins une fois au suicide ou à la tentative de suicide d’un salarié de son entreprise. La quasi-totalité des élus ayant répondu à l’enquête ont eu à gérer une ou plusieurs réorganisations ou mobilité géographique des salariés, ainsi que des situations de harcèlement dans l’entreprise. Enfin, les trois quart ont eu à affronter des plans de licenciements collectifs. Préparés ? Habitués ? Pas tant que ça. Les deux tiers des élus estiment ne pas l’être suffisamment alors que pour 60% ils exercent leurs mandats depuis plus de 5 ans.
Résultat de l’enquête sur les risques Psychosociaux des représentants du pers...Groupe Apex Isast
Plaintes pour harcèlement, restructurations avec leur cortège de licenciements, suicides de salariés, valeurs bousculées, réorganisations sans fin… les membres des CHSCT, CE et DP sont en première ligne de ces situations humainement difficiles. Or, la question des risques psychosociaux (RPS) dont peuvent être sujets les Représentants du Personnel dans leur rôle est rarement abordée. Leurs connaissances du sujet les protègent-ils? A contrario subissent-ils plus les risques psychosociaux?
Conférence APEX-ISAST/JDS sur les Risques Psychosociaux du 23 Mai.
Après une première initiative commune le 18 Octobre dernier sur les Négociations Annuelles Obligatoires (NAO), le groupe Apex-Isast (expertise et assistance aux CE et CHSCT) et JDS (Juristes en droit social) se sont de nouveau associés pour organiser une conférence sur le thème : « Prévenir les Risques Psychosociaux ».
Cela a été l’occasion de faire le point tant sur les questions juridiques que sur les questions sociales et de conditions de travail sur ce sujet d’actualité. Près de 200 élus et mandatés ont assisté à notre conférence et y ont aussi apporté leurs témoignages de leur action en ce domaine dans leurs entreprises respectives.
Comme chaque année, le Ministère du travail procède à l’examen des demandes d’agrément ou de renouvellement qui lui sont soumises par les cabinets de conseil auprès des CHSCT.
Par arrêté du 31 décembre 2012, et parmi la trentaine de cabinets ayant obtenu l’agrément ou son renouvellement, ISAST est un des cinq cabinets qui ont obtenu un renouvellement pour une période de 4 ans, soit jusqu’au 31 décembre 2016.
Rappelons que le cabinet ISAST est agréé depuis 2003.
Préparer la NAO sur les salaires
Après plusieurs années de stagnation des rémunérations, la question de la revalorisation des salaires revient avec force dans les entreprises. Au sentiment d’injustice ressenti par les salariés s’ajoute un sentiment d’impuissance des représentants du personnel qui estiment que les négociations ne sont pas “réelles”.
Quels sont les véritables enjeux de la négociation salariale ? Quelles stratégies mettre en œuvre pour que l’intérêt des salariés soit pris en compte ?
Magasins physiques et magasins virtuels: quels enjeux pour les salariés du co...Groupe Apex Isast
Au nom d’une soi-disant disponibilité illimitée et permanente, qu’il est difficile d’imposer aux salariés, les enseignes du commerce surfent sur un « besoin du consommateur » pour se développer sur Internet (en fait des magasins virtuels)...
1. 32, rue de Chabrol. 75010 ParisTél. 01 53 72 00 00
Site : www.apex-isast.fr
Mel : info@apex-isast.fr
Crise durable et enjeux cruciaux
Grande récession, reprise problématiqueet révision sociale tous azimuts
2. 1.«La douloureuse» : une boule de neige en forme de facture
2.Crise, déficit et dette : «la politique des caisses vides»
3.La facture à payer : considérablement alourdie par les inégalités
4.Mondialisation, crise et purge : les enjeux de la crise
►Conclusions provisoires : comprendre pour agir
Crise durable et enjeux cruciaux 1
Crise durable et enjeux cruciauxGrande récession, reprise problématique et révisions sociales tous azimuts
3. «Le cercle vicieux entre les États, les banqueset l'économie réelle est plus solide que jamais»
Bulletin du FMI (18 juillet 2012)
Crise durable et enjeux cruciaux 2
1.De la crise à la dette : la «douloureuse»
4. Perte de croissance due à la crise : 15points en Europeet 6 points aux USA, qui ne seront pas comblés
Tendance
PIB
95
100
105
110
115
120
2005
2006
2007
2008
2009
2010
2011
2012
2013
Zone €(indice 100 en 2005)
Perte PIB -15%
1 500 Md€
Crise durable et enjeux cruciaux 3
Tendance
PIB
95
100
105
110
115
120
2005
2006
2007
2008
2009
2010
2011
2012
2013
USA (indice 100 en 2005)
Perte PIB-6%
900 Md$ (700 Md€)
PIB des USA : environ 15 000 Md$ (11 000 Md€)
Source : OCDE, calculs M. Husson
PIB de la zone €: environ 9 500 Md€ (12 000 Md$)
5. Transfert de dette privée à l’Etat : explosionet bonne affaire pour les banques… qui ne prêtent pas davantage
0
5 000
10 000
15 000
20 000
00
01
02
03
04
05
06
07
08
09
10
11
12
13
Dette publique totale (en Md$ et Md€)
USA
Zone €
Crise durable et enjeux cruciaux 4
USA
Depuis 2008
+ 8 000 Md$
(7 000 Md€)
Zone €(à 17)
Depuis 2008
+ 3 000 Md€
Source : Eurostat, OCDE
Gonflement de la dettede près de 10 000 Md€ pour les pays avancés
Ménages
-4%
-2%
+0%
+2%
+4%
+6%
+8%
+10%
+12%
+14%
2007
2008
2009
2010
2011
2012
2013
Zone euro : prêts octroyés par les banques (variation annuelle en %)
Entreprises
6. Mécanisme global de transformation de la dette privéeen dette publique (socialisation des pertes)
Crise durable et enjeux cruciaux 5
Banquesprivées
Emprunts (dette)
Etats
& Banques centrales
Fonds injectés
(contre actifs toxiques)
Intérêts (déficit)
Dépenses fiscales* Baisse des recettes
–
Fonds renflouésMarges étoffées
+
* Dépenses fiscales = niches fiscales recensées et déclassées + dérogations diverses, tout cela faisant baisser les recettes
Actif du bilan de la BCEet de la Fed = 3 000 Md€
7. Mécanismes d’amplification de la dette
•Recours de l’Etat aux marchés financiers(interdiction de faire appel aux Banques centrales depuis 1973 en France et article 123 du Traité européen): effet à la hausse des taux d’emprunt
•Injection massive de fonds aux banques dans la crise de 2008-2009 sans contrôle public sur l’affectation des ressources allouées
•Baisse des recettes de l’Etat amplifiée par la baisse de l’activité
•Effets de la politique fiscale dégressivedes États:
En faveur des grandes entreprises
En faveur des privilégiés
Niches fiscales (recensées et déclassées*)
Évasion fiscale
►Redistribution de la richesse… … au profit des plus richesRobin des Bois à l’envers !
Crise durable et enjeux cruciaux 6
* Niches fiscales déclassées : considérées depuis 2006 comme une modalité fiscale normale
8. Le déficit engendré par la baisse des impôtsapparaît comme un formidable moyen de pression pour contraindre l’Étatà rétrécir. Il n’y a en vérité aucun autre moyen que cette pression»
Guy Sorman (La solution libérale, 1984)
«Si vous ne connaissez pas une véritable crise, inventez-la !»
Ruth Richardson, ex ministre des Finances de la Nouvelle-Zélande (à Davos en 1997)
«Il n’y a rien de pire que de gâcher une bonne crise»
Thomas Enders, PDG d’Airbus (à Davos en janvier 2012)
Crise durable et enjeux cruciaux 7
2.La crise, le déficit et la dette : «la politique des caisses vides»
9. Monde : 22,96%
OCDE : 25,62%
Europe : 20,12%
18%
20%
22%
24%
26%
28%
30%
32%
34%
36%
38%
95
96
97
98
99
00
01
02
03
04
05
06
07
08
09
10
11
Taux moyen d’impôt sur les sociétés (en %)
Crise durable et enjeux cruciaux 8
Fiscalité allégée sur les profits des entrepriseset les revenus des privilégiés, partout
En 15 ans, le taux d’ISbaisse de 15 pointsdans le monde
Source : KPMG Corporate and Indirect TaxSurvey 2011 ; rapport du Conseil des prélèvements obligatoires(mars 2012)
20%
8%
30%
22%
40%
28%
0%
10%
20%
30%
40%
Particuliers
Sociétés
Taux d’imposition réels moyens comparés(IS et prélèvements obligatoires 2011en % du revenu en France)
PME-ETI
Grands Groupes
90% de la population
1% le plus riche
TPE
0,1% très riche
10. 14%
16%
18%
20%
22%
24%
1980
1982
1984
1986
1988
1990
1992
1994
1996
1998
2000
2002
2004
2006
2008
2010
2012
France : dépenses et recettes de l’État (en % du PIB)
Dépenses
Recettes
Crise 2008-09
Crise durable et enjeux cruciaux 9
Baisse des recettes accentuée depuis les années 2000sans augmentation notable des dépenses de l’État (en % du PIB)
Source : Insee (comptes nationaux de l’Etat)
Récession1992-93
Depuis 25 ans, les dépensesse situent à 23% environ du PIB
Les recetteschutent de 22% à 16% du PIB
11. 170
142,3
130,2
122,3
120
117,8
116,6
115,5
115,4
101,9
101,6
PECO
UK
USA
Japon
Benelux
Espagne
France
Allemagne
UE
Italie
Grèce
Évolution des dépenses publiques par habitant
2000-2014 (en volume, base 100 en 2000)
Crise durable et enjeux cruciaux 10
Explosion des dépenses publiques françaises : une fablepour peser sur un choix social
Source : Commission européenne, Insee, DG Trésor
Sécu. 42%
État33%
Collect. territ. 19%
Divers7%
Total 2012 (dépenses et transferts) : 1 263 Md€
12. Crise durable et enjeux cruciaux 11
Niches fiscales (dont CICE) = 150 Md€; évasion fiscale = 50 Md€
28
11
11
Estimation de l’évasion fiscale 2012 (en Md€)
TVA
IR / ISF
IS
50 Md€
Entreprises de plus de 2 000 salariés :
500 sur 12 000 supportent l’IS(soit 5% !)
Source : rapport de la Commission du Sénat sur l’évasion fiscale 2012, présidée par Philippe Dominati (UMP), 24 juillet 2012
Katia Weidenfeld: À l’ombre des niches fiscales (Economica2011)
IS67
IRPP50
TVA15
TIPP 6
ISF 2
Divers 4
Dépenses fiscales 2011 (niches en Md€)
Total 2011des niches =145 Md€
Estimation 2012150 Md€
13. -1,5%
-3,1%
-4,1%
-3,6%
-2,9%
-2,3%
-2,7%
-3,2%
Déficitconstaté ◄-4,1%
-6,8%
-7,2%
-5,1%
-4,9%
-0,7%
-2,0%
-3,0%
-3,0%
-2,1%
0,2%
0,6%
0,8%
Horscadeauxfiscaux ◄-1,2%
-3,3%
-3%
-2,2%
-1,8%
-8%
-7%
-6%
-5%
-4%
-3%
-2%
-1%
0%
1%
2000
2001
2002
2003
2004
2005
2006
2007
2008
2009
2010
2011
2012
2013
Déficit budgétaire en % du PIB
Crise durable et enjeux cruciaux 12
Déficit budgétaire : 3 points de PIB (environ 60 Md€) induits par les nombreux cadeaux fiscaux
Source : Rapport Carrez à l’Assemblée nationale (juin. 2010) ; M. Husson (hussonet: note 17) ; actualisés
Cadeauxfiscaux
Déficit induitpar les cadeaux fiscaux : 3 points de PIB
14. «Un système favorable aux très richesdonne des résultats décevants pour le travail de tous les autres. Au sommet, en quelques dizaines d’années, on s’en est sorti comme des brigands, et tous les autres doivent maintenant régler l’addition»
The Economist(26 octobre 2011) *
Crise durable et enjeux cruciaux 13
3.La facture à payer : considérablement alourdie par les inégalités
“ A system that works well for the very richest has delivered returns on labour that are disappointingfor everyone else (…) The people at the top have made out like bandits over the past few decades, and now everyone else must pick up the bill ”
15. USA ou France : mieux vaut être dans le Top 1%
Crise durable et enjeux cruciaux 14
Source : CBO (CongressionalBudget Office, Département budgétaire du Congrès des USA) : rapport octobre 2011Étude Insee sur les très hauts revenus (THR : 1% des contribuables), Julie Solard, avril 2010
Top 1% 375
99% restant130
80
120
160
200
240
280
320
360
79
81
83
85
87
89
91
93
95
97
99
01
03
05
07
USA : revenu réel moyen après impôt(indice base 100 en 1979)
+40%
+28%
+18%
+11%
+9%
+9,1%
-0,9%
Les plus riches (0,01%)
Très aisés (0,09%)
Aisés (0,9%)
Hauts revenus (9%)
90% de la population
Part des revenus de 1%
Part des revenus de 90%
France : évolution des revenus moyens
et répartition globale (2004-2007)
16. Cotisations sociales
Investissements
Dividendes
2%
5%
8%
11%
14%
17%
5%
10%
15%
20%
25%
30%
1950
1954
1958
1962
1966
1970
1974
1978
1982
1986
1990
1994
1998
2002
2006
2010
Dividendes
Cotisations& investissement
En % de la VA des sociétés non financières (1950-2012) en France
Crise durable et enjeux cruciaux 15
Moins de cotisations sociales, pas plus d’investissementsmais bien plus de dividendes (en proportion de la VA des SNF)
Source : Insee
17. 60
65
70
75
1960
1970
1980
1990
2000
2010
Part des salaires dans la VA (en %) 1960-2012
1970-2010-8 pt
1975-2010-10 pt
Crise durable et enjeux cruciaux 16
Part des salaires dans le PIB avant la crise : -10 pointsTransfert global de richesse estimé en 20 ans : 20 000 Md €
60
65
70
75
80
1960
1970
1980
1990
2000
2010
Part des salaires dans la VA (en %) 1960-2012
1975-2010-16 pt
1980-2010-10 pt
Source : Base de données Ameco(Commission européenne)
18. Concurrencepar les coûts(«compétitivité-coût»)
Pressionsur les salaireset les prix fournisseurs
Demande intérieure comprimée(baisse de la consommationen biens et équipements)
Reportdes investissements(panne durable)
Crise durable et enjeux cruciaux 17
Cycle infernal de la déflation
19. Longue panne d’investissement dans le monde
13%
8%
19%
18%
8%
-9%
-1%
10%
6%
-1%
0%
-3%
-2%
2004
2005
2006
2007
2008
2009
2010
2011
2012
2013
2014
2015p
2016p
Variation annuelle de l’investissement (Capex)
Crise durable et enjeux cruciaux 18
Source : Standard & Poor’svia Xerfi(sur un échantillon des 2000 plus grosses entreprises mondiales, réalisations et projets) ;
Insee, Banque de France
-2%
-7%
+5%
+12%
+1%
-21%
2014p
2013
2012
20011
2010
2009
France : évolution de l’investissement industriel(variation annuelle en %)
20. «La réforme du marché du travail est nécessaire pour réduireles coûts de la main d’oeuvre, doper la productivité. Pour promouvoir la compétitivité, il faut abaisser les coûts et mettre en oeuvre des réformes afin de faciliter l'accès aux marchés pour les entreprises»
Bulletin du FMI (18 juillet 2012)
Crise durable et enjeux cruciaux 19
4.Mondialisation, crise et purge : Les enjeux de la crise
21. 12 642
21 881
76 349
France
Italie
Allemagne
Achats de robots (2008-2012)
Crise durable et enjeux cruciaux 20
Manque patent d’investissement et d’équipement : oui, il y a un problème de compétitivité
•Le niveau des marges (de la profitabilité) n’explique pas la faiblesse de l’investissement
•C’est cette faiblesse qui empêche la montée en gamme et le positionnement des prix français
•S’il y a un problème de compétitivité, c’est là qu’il se trouve (dans la baisse d’efficacité du capital = hausse de sa composition organique)
Il faut une stratégie et une politique publique d’industrialisation moderne
22. Taux de robotisation comparé dans l’industrie
755
178
152
66
39
125
695
78
82
42
12
84
Automobile
Chimie / Plasturgie
Métallurgie
Agroalimentaire
Electricité / électronique
Moyenne industrie
Nombre de robots pour 10 000 employés en Allemagne et en France (en 2012)
129%
85%
55%
216%
49%
Crise durable et enjeux cruciaux 21
9%
162 000 robots en Allemagne en 2012
contre 34 000 en France, soit 5 fois plus
Source : Eurostat, Roland Berger
23. Émergents
Tendance2009-2011
Monde
Developpés
70
80
90
100
110
120
130
140
150
160
170
180
190
Indices de production industrielle(base 100 en 2005)
Crise durable et enjeux cruciaux 22
Crise, acte 2 : nouveau décrochage en 2011
11 sept2002
Crise
-20%
-15%
-10%
-5%
+0%
+5%
+10%
+15%
+20%
Variation annuelle du commerce mondial(en volume)
Croissance moyenne1997-2002
Source : NatixisAM
Fin 2011Nouveau décrochage de l’OCDERalentissement des émergents
24. Crise durable et enjeux cruciaux 23
Reprise : es-tu là ? On aimerait dire oui… Mais
Zone €
USA
0%
2%
4%
6%
8%
10%
12%
07
08
09
10
11
12
13
14p
Taux de chômage (en % de la population active)
Croissanceéventuelle, molleet sans emplois
Source : OCDE, Eurostat, FMI
PIB USA
PIB Z€
Invest. USA
Invest. Z€
75
80
85
90
95
100
105
2008
2009
2010
2011
2012
2013
2014p
USA et zone euro : PIB et investissement total(indice base 100 en fin 2007)
Recul du PIB par habitant
Pas de retour au niveau d’avant crise
27. Crise durable et enjeux cruciaux 26
Bulle financière : toujours là, comme avant la crise ! Alimentée par un torrent de liquidités
373
418
508
586
673
598
595
604
583
601
707
648
639
633
693
710
2006
2007
2008
2009
2010
2011
2012
2013
Marché mondial des produits dérivés (par semestre en milliers de Md$)
Source : BRI
«Il y aura d’autres chocs financiers.
La création monétaire mondiale reste extrêmement importante et se traduit dans l’augmentation du prix de certains actifs.
Cela peut créer des bulles.»
François Pérol(Président du directoire de BPCE)
Les Échos (20/02/14)
14 banquescontrôlent 82% du marché
28. •«La priorité devrait être de rendre les salaires réactifs (flexibles)aux conditions du marché du travail»
•«Une différenciation accrue des salaires entre les différents types de travailleurs et d’emplois est nécessaire»
•«De telles politiques devraient également contribuer à accroître la pression à la baisse exercée par les chômeurs sur les salaires»
«Les marchés du travail et la crise», rapport de la BCE (octobre 2012)
Enjeu de la phase actuelle de la crise : les recommandations (pressantes) de la BCE (et de la Troïka)…
Crise durable et enjeux cruciaux 27
Mario Draghi, Président de la BCE
…Et le bon sens de Standard & Poor’s
«Un processus de réforme basé sur le seul pilier de l’austérité budgétaire risque de s’avérer autodestructeur, l’inquiétude des consommateurs quant à leur emploi et leur revenu réduisant la demande intérieure –et cela conduisant à une baisse des recettes fiscales.»
Note de Standard & Poor’ssur la dégradation de la France et d’autres pays européens (janvier 2012)
29. •La crise n’est pas conjoncturelle mais structurelle. Elle est maintenant globale : économique, financière, sociale, écologique
•Mondialisation, financiarisation, libéralisation et déréglementation en sont l’origine : c’est une crise du système capitaliste du XXIe siècle
•La montée des dettes et des déficits publicscorrespond à la socialisation des pertes et à l’étatisation de la bulle financière privée
•La récessiontraduit l’affaissement du marché solvable et le ralentissement du commerce mondial induit par le tour de vis général
•La crise est aggravée par les politiques d’austérité, qui n’ont pas la croissancepour priorité :
Elles ne sont pas une «erreur» mais une orientation délibérée contre le travail
Car l’enjeu de la phase actuelle est, pour le capital, de créer les conditions d’un nouveau mode d’accumulation et de profit basé sur la régression sociale et l’approfondissement des inégalités
Crise durable et enjeux cruciaux 28
Comprendre globalement la crise et ses enjeux