Slides de la présentation de Jean Deboutte, Director Strategy, Risk Management & Investor Relations à l'Agence de la dette (Tournai, 18 octobre 2016, organisation du Forum financier de la Wallonie picarde)
La crise n’est pas finie. Elle s’aggrave. S’y mêlent désormais le poids de la dette publique (résultant du transfert des dettes privées aux États) et l’impact mortifère des politiques d’austérité, notamment en Europe. La zone euro a fini l’année 2012 en récession et 2013 ne fera pas mieux.
Crise, dette et purge : comprendre tout cela pour aider les salariés à agir dans cette situation difficile, tel est l’objectif de ce nouveau diaporama d’Apex.
Ce document constitue la base d’une présentation donnée au CESRBC pour alimenter un débat sur la manière de limiter les faillites et leurs conséquences en Region de Bruxelles-Capitale.
C’est un document informel compilant des idées et des réflexions brutes émanant des équipes de l’ABE. Ce document ne représente pas un document officiel mais une contribution visant à stimuler le débat.
Merci à Kris, Azèle, Annelore, Rodolphe, Françoise, Marie-Caroline, … et d’autres collaborateurs motivés de l’ABE.
Slides de la présentation de Jean Deboutte, Director Strategy, Risk Management & Investor Relations à l'Agence de la dette (Tournai, 18 octobre 2016, organisation du Forum financier de la Wallonie picarde)
La crise n’est pas finie. Elle s’aggrave. S’y mêlent désormais le poids de la dette publique (résultant du transfert des dettes privées aux États) et l’impact mortifère des politiques d’austérité, notamment en Europe. La zone euro a fini l’année 2012 en récession et 2013 ne fera pas mieux.
Crise, dette et purge : comprendre tout cela pour aider les salariés à agir dans cette situation difficile, tel est l’objectif de ce nouveau diaporama d’Apex.
Ce document constitue la base d’une présentation donnée au CESRBC pour alimenter un débat sur la manière de limiter les faillites et leurs conséquences en Region de Bruxelles-Capitale.
C’est un document informel compilant des idées et des réflexions brutes émanant des équipes de l’ABE. Ce document ne représente pas un document officiel mais une contribution visant à stimuler le débat.
Merci à Kris, Azèle, Annelore, Rodolphe, Françoise, Marie-Caroline, … et d’autres collaborateurs motivés de l’ABE.
La présentation à la presse des résultats du Fonds Bruxellois de Garantie, un outil de soutien au financement des Pme en Région de Bruxelles-Capitale. 30 millions de garanties données en 2009 pour un effet de levier de 40 millions de financement.
Réponse des Pays à la Crise Financière Kosovoicgfmconference
Behxhet Brajshori, Ministre Adjoint, Ministère de l’Économie et des Finances,
République du Kosovo
Lulzim Ismajli, Directeur de la Trésorerie, Ministère de l’Économie et des Finances,
République du Kosovo
Naomi Ngwira, Directrice, Département de la Dette et de l’Aide, Ministère des Finances, Malawi
Obadiah Mailafia, Président, Centre de Recherche Politique et Économique, Nigéria
Durant ce panel, les participants échangeront leurs observations sur les effets de la crise
sur leurs économies et leurs futurs projets. Ils discuteront également des instruments qu’ils
utilisent actuellement pour protéger leurs investissements. Cette séance inclut une discussion
sur la manière dont ils réduisent les impacts et comment ils espèrent couvrir les coûts. Il
sera demandé aux panélistes et à l’assistance d’aborder les questions suivantes:
Inscriptions
Lieu: Entrée Grand Ballroom
Actions Immédiates En Cours pour Gérer l’Impact
• La situation est-elle différente pour les pays à revenus moyens vs. les pays à faibles revenus?
• Comment la crise financière économique actuelle affecte-t-elle la capacité de prêt d’un pays?
• La situation est-elle différente pour les pays riches en ressources?
• Pouvons-nous apprendre quelque chose des crises financières précédentes (e.g. en Asie
et en Amérique Latine)?
• Comment les pays destinataires peuvent-ils gérer de manière plus efficace l’aide des
donateurs?
• Quel est le rôle du gouvernement dans la résolution des problèmes du secteur financier?
Point de Mire was established in 1995 in Geneva as an independent financial print media targeted at the decision makers within the Swiss and international financial sector. Under my leadership as the editor in chief it expanded into new fields such as Blockchain, Crowdfunding, Fintech, and Smart Contracts.
Finances publiques : Le plan AAA pour sauver la FranceFondation iFRAP
Car ce n'est malheureusement pas le gel des dépenses de l'État et des dotations aux collectivités annoncé qui résoudra l'équation. Sur le long terme, il faudra aller beaucoup plus loin en s'inspirant de l'exemple britannique pour plafonner les aides sociales, de l'exemple allemand pour réduire le nombre d'agents publics, de l'exemple italien pour fusionner les communes et réduire le nombre d'élus, de l'exemple britannique encore pour baisser les salaires des hauts fonctionnaires. En clair : un vrai plan de rigueur.
Tout le monde est d'accord sur le constat mais personne ne va plus loin. Où couper, que faire ? Ces questions semblent sans réponse. Ce dossier vise à montrer que, sur le court terme, on peut mettre au point un vrai plan d'économies pour garder notre AAA sans pour autant casser la croissance. Cela demande de jouer en partie sur les dépenses sociales (prestations sociales, assurance-maladie, retraites), les dépenses des collectivités locales, celles de l'État, mais aussi de vendre des participations de l'État dans les entreprises. En faisant cela sur les trois volets (État, collectivités et Sécurité sociale), on peut aisément économiser 8,8 milliards d'euros par an sur les dépenses et obtenir 1,8 milliard de recettes fiscales nouvelles. Et la France peut aussi réaliser 20 milliards d'euros deux ans de suite grâce à la cession de ses participations. C'est ce que nous détaillons dans ce dossier. Voilà pour le court terme. Pour le long terme, il faut, pour que notre pays renoue avec la croissance, relancer la création d'entreprises et d'emplois, remettre l'entreprise au cœur de notre système et consolider le contrôle de l'efficience de nos dépenses publiques par la Cour des comptes et le Parlement, pour qu'enfin nos parlementaires puissent faire de vraies propositions d'économies.
Op basis van een brede consultatie van de bevolking
wordt een beheersorgaan van Belfius ingesteld. Dit orgaan is een weerspiegeling van het middenveld waarin onder meer vertegenwoordigers van vakbonden, milieuorganisaties en consumentenorganisaties een bepalende stem krijgen.
J.M Truong – Reprendre. Ni sang ni dette – Conférence Quimper 141204Jean-Michel Truong
Conférence de Jean-Michel Truong à Quimper, le 4 décembre 2014, organisée par FUTURouest et La Liberté de l'Esprit. A propos de son ouvrage "Reprendre – Ni sang ni dette", Le No Man's Land, Paris, 2013
Depuis 2007, avec des petits hauts et beaucoup de bas, c’est la grande récession. La reprise souvent annoncée n’est pas en vue, elle est plus que problématique comme le montrent les derniers développements en Europe. Dans ce cadre, les politiques d’austérité mortifères qui y sont administrées comme un remède de cheval n’ont pas la croissance pour objectif, mais bien la révision sociale tous azimuts des grandes conquêtes de la période précédente.
Retrouvez les chiffres et les explications dans le dernier diaporama d’Apex.
Les marchés europeens du crédit immobilier résidentiel en 2014Monimmeuble.com
Le Crédit Foncier vient de réaliser une étude sur le crédit immobilier souscrit par les ménages des vingt-huit pays de l’Union européenne. Les encours de crédits immobiliers représentaient fin 2014 un montant de près de 6.000 milliards d’euros soit l’essentiel (88%) des crédits souscrits par les ménages en Europe.
www.creditfoncier.com
El documento habla sobre la creación de sociedades del conocimiento con la ayuda de las tecnologías de la información y la comunicación. Propone compartir este tipo de sociedades con aquellas aún no desarrolladas para que sigan creciendo. También sugiere reorganizar los presupuestos para destinar más fondos a educación y menos a gastos militares, reconocer y ampliar los conocimientos de cada sociedad, y asegurar que la mayoría de individuos sean productores en lugar de solo consumidores de conocimiento.
La présentation à la presse des résultats du Fonds Bruxellois de Garantie, un outil de soutien au financement des Pme en Région de Bruxelles-Capitale. 30 millions de garanties données en 2009 pour un effet de levier de 40 millions de financement.
Réponse des Pays à la Crise Financière Kosovoicgfmconference
Behxhet Brajshori, Ministre Adjoint, Ministère de l’Économie et des Finances,
République du Kosovo
Lulzim Ismajli, Directeur de la Trésorerie, Ministère de l’Économie et des Finances,
République du Kosovo
Naomi Ngwira, Directrice, Département de la Dette et de l’Aide, Ministère des Finances, Malawi
Obadiah Mailafia, Président, Centre de Recherche Politique et Économique, Nigéria
Durant ce panel, les participants échangeront leurs observations sur les effets de la crise
sur leurs économies et leurs futurs projets. Ils discuteront également des instruments qu’ils
utilisent actuellement pour protéger leurs investissements. Cette séance inclut une discussion
sur la manière dont ils réduisent les impacts et comment ils espèrent couvrir les coûts. Il
sera demandé aux panélistes et à l’assistance d’aborder les questions suivantes:
Inscriptions
Lieu: Entrée Grand Ballroom
Actions Immédiates En Cours pour Gérer l’Impact
• La situation est-elle différente pour les pays à revenus moyens vs. les pays à faibles revenus?
• Comment la crise financière économique actuelle affecte-t-elle la capacité de prêt d’un pays?
• La situation est-elle différente pour les pays riches en ressources?
• Pouvons-nous apprendre quelque chose des crises financières précédentes (e.g. en Asie
et en Amérique Latine)?
• Comment les pays destinataires peuvent-ils gérer de manière plus efficace l’aide des
donateurs?
• Quel est le rôle du gouvernement dans la résolution des problèmes du secteur financier?
Point de Mire was established in 1995 in Geneva as an independent financial print media targeted at the decision makers within the Swiss and international financial sector. Under my leadership as the editor in chief it expanded into new fields such as Blockchain, Crowdfunding, Fintech, and Smart Contracts.
Finances publiques : Le plan AAA pour sauver la FranceFondation iFRAP
Car ce n'est malheureusement pas le gel des dépenses de l'État et des dotations aux collectivités annoncé qui résoudra l'équation. Sur le long terme, il faudra aller beaucoup plus loin en s'inspirant de l'exemple britannique pour plafonner les aides sociales, de l'exemple allemand pour réduire le nombre d'agents publics, de l'exemple italien pour fusionner les communes et réduire le nombre d'élus, de l'exemple britannique encore pour baisser les salaires des hauts fonctionnaires. En clair : un vrai plan de rigueur.
Tout le monde est d'accord sur le constat mais personne ne va plus loin. Où couper, que faire ? Ces questions semblent sans réponse. Ce dossier vise à montrer que, sur le court terme, on peut mettre au point un vrai plan d'économies pour garder notre AAA sans pour autant casser la croissance. Cela demande de jouer en partie sur les dépenses sociales (prestations sociales, assurance-maladie, retraites), les dépenses des collectivités locales, celles de l'État, mais aussi de vendre des participations de l'État dans les entreprises. En faisant cela sur les trois volets (État, collectivités et Sécurité sociale), on peut aisément économiser 8,8 milliards d'euros par an sur les dépenses et obtenir 1,8 milliard de recettes fiscales nouvelles. Et la France peut aussi réaliser 20 milliards d'euros deux ans de suite grâce à la cession de ses participations. C'est ce que nous détaillons dans ce dossier. Voilà pour le court terme. Pour le long terme, il faut, pour que notre pays renoue avec la croissance, relancer la création d'entreprises et d'emplois, remettre l'entreprise au cœur de notre système et consolider le contrôle de l'efficience de nos dépenses publiques par la Cour des comptes et le Parlement, pour qu'enfin nos parlementaires puissent faire de vraies propositions d'économies.
Op basis van een brede consultatie van de bevolking
wordt een beheersorgaan van Belfius ingesteld. Dit orgaan is een weerspiegeling van het middenveld waarin onder meer vertegenwoordigers van vakbonden, milieuorganisaties en consumentenorganisaties een bepalende stem krijgen.
J.M Truong – Reprendre. Ni sang ni dette – Conférence Quimper 141204Jean-Michel Truong
Conférence de Jean-Michel Truong à Quimper, le 4 décembre 2014, organisée par FUTURouest et La Liberté de l'Esprit. A propos de son ouvrage "Reprendre – Ni sang ni dette", Le No Man's Land, Paris, 2013
Depuis 2007, avec des petits hauts et beaucoup de bas, c’est la grande récession. La reprise souvent annoncée n’est pas en vue, elle est plus que problématique comme le montrent les derniers développements en Europe. Dans ce cadre, les politiques d’austérité mortifères qui y sont administrées comme un remède de cheval n’ont pas la croissance pour objectif, mais bien la révision sociale tous azimuts des grandes conquêtes de la période précédente.
Retrouvez les chiffres et les explications dans le dernier diaporama d’Apex.
Les marchés europeens du crédit immobilier résidentiel en 2014Monimmeuble.com
Le Crédit Foncier vient de réaliser une étude sur le crédit immobilier souscrit par les ménages des vingt-huit pays de l’Union européenne. Les encours de crédits immobiliers représentaient fin 2014 un montant de près de 6.000 milliards d’euros soit l’essentiel (88%) des crédits souscrits par les ménages en Europe.
www.creditfoncier.com
El documento habla sobre la creación de sociedades del conocimiento con la ayuda de las tecnologías de la información y la comunicación. Propone compartir este tipo de sociedades con aquellas aún no desarrolladas para que sigan creciendo. También sugiere reorganizar los presupuestos para destinar más fondos a educación y menos a gastos militares, reconocer y ampliar los conocimientos de cada sociedad, y asegurar que la mayoría de individuos sean productores en lugar de solo consumidores de conocimiento.
El documento describe siete ventajas del aprendizaje significativo: 1) permite que los estudiantes estructuren su aprendizaje de manera autónoma, 2) depende de la motivación e interés personal del estudiante, 3) da sentido al aprendizaje basándose en las experiencias individuales, 4) produce una retención más duradera al modificar la estructura cognitiva, 5) la retención es duradera al relacionar conocimientos previos con nuevos, 6) hace al estudiante responsable de su propio aprendizaje de manera interpersonal,
Este documento explica cómo elaborar un texto expositivo. Para hacerlo, se necesita elegir un tema, documentarse sobre él, organizar la información y redactar borradores. Un texto expositivo debe tener un título, tres párrafos (introducción, desarrollo y conclusión) y usar un lenguaje objetivo con oraciones afirmativas y presente de indicativo para informar de forma clara sobre el tema.
El documento define el conflicto como una situación en la que dos o más partes no están de acuerdo y discuten por sus diferentes puntos de vista. Explica que el conflicto en los equipos de trabajo puede tener efectos positivos o negativos dependiendo de las circunstancias. También describe dos tipos de conflicto comunes (tareas y relaciones) y cinco actitudes para enfrentar los conflictos (competitiva, evasiva, acomodada, colaborativa y de compromiso). Finalmente, resume un proceso de cinco pasos para resolver conflictos.
Mitos y realidades de las sustancias psicoactivasAngiie Vanegas
Este documento resume varios mitos comunes sobre sustancias psicoactivas como la marihuana, el tabaco y el alcohol. El autor evalúa si cada mito es verdadero o falso y proporciona una breve justificación. La mayoría de los mitos sobre la marihuana y el alcohol son falsos, mientras que algunos mitos sobre el tabaco son verdaderos y otros falsos. En general, el documento concluye que el consumo de estas sustancias puede tener consecuencias negativas para la salud y no deberían usarse como una forma de lidiar
Le processus de racialisation du discours - Patrick Cloos - 2015CentrERE
Par Patrick Cloos, UQAM 2015
Des membres de la communauté étudiante du Centr’ERE organisent une rencontre de discussion sur l’usage de la notion de « race » en recherche. Un tel questionnement ouvre des perspectives de discussion pertinentes dans le domaine des recherches en environnement, notamment en éducation relative à l’environnement et à la justice environnementale.
El documento discute la importancia de aprender y enseñar en colaboración en la educación virtual. Señala que las tareas deben estar bien diseñadas para que tengan sentido para los estudiantes y requieren una distribución cuidadosa del trabajo. También destaca que el enfoque colaborativo requiere una preparación avanzada del docente y que los objetivos y estrategias deben definirse claramente para que la colaboración tenga un propósito común y sentido para el aprendizaje de los estudiantes. Finalmente, propone que la competencia digital
Portafolio digital grupo 4 subgrupo 4 e vianciViancirosa
El documento describe una actividad realizada con estudiantes para discutir problemas en sus vidas y hogares. Los estudiantes se organizaron en grupos y debatieron sobre factores económicos, desintegración familiar, violencia y maltrato. Luego compartieron que la falta de valores como respeto y afecto en sus hogares afecta negativamente el ambiente escolar. Los docentes visitaron a los padres para conocer su perspectiva sobre la problemática y cómo la ausencia de los padres impacta la formación de valores en los estudiantes.
PROBLEMAS FRECUENTES DEL DESAROLLO APEGO Y ANSIEDADMony Lozado
Este documento trata sobre los problemas frecuentes del desarrollo como el apego y la ansiedad. Explica que el apego es la conexión emocional con otra persona y es fundamental para el desarrollo infantil. Detalla los estudios de investigadores como Gross, Carver, Scheier, Erikson, Spitz y Ainsworth sobre cómo el trato y la atención de los cuidadores afectan el desarrollo del apego y la confianza en los niños. También habla sobre la dependencia, la teoría de la simbiosis y la separación-individ
El documento habla sobre los navegadores web y el mundo de internet. Pide investigar los navegadores más utilizados e incluirlos en un mapa conceptual, y realizar un cuadro comparativo de los buscadores. Concluye que el curso permite conocer conceptos básicos sobre el World Wide Web y navegadores, y que estos temas aportan conocimiento al aprendizaje.
El documento contiene 25 reportes de notas de diferentes estudiantes en cuatro áreas básicas (matemáticas, español, naturales y sociales) emitidos por Brandon Avila Peralta, coordinador de una institución. Cada reporte incluye las notas individuales de cada área, el promedio total y está dirigido a cada estudiante.
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Accueil des élèves nouveaux arrivants à la DSFMDSFM049
Au Canada, l’éducation est une responsabilité́ relevant du gouvernement provincial. Dans la province du Manitoba, le ministère de l’Éducation et de l’Enseignement supérieur est responsable de la livraison des programmes d’études.
La Division scolaire franco-manitobaine (DSFM) est responsable de l’enseignement du programme français dans toute la province du Manitoba. Pour tout savoir sur l’enseignement du programme français au Manitoba, visitez DSFM.mb.ca
Cossi 2014 - Article sur l'Intelligence Collectivei_colab
Article paru dans les actes du COSSI 2014, il est consacré aux outils qui prétendent faire de l'intelligence collective, plus particulièrement à Quora et Jelly.
Comprendre simplement l'économie:
Voici un powerpoint pour tous ceux qui voudraient comprendre simplement comment l'économie marche, et pourquoi on est dans cette situation.
Y a juste l'essentiel...
Audit de la dette publique en France : 59% est illégitime !François Bigarnet
Cette étude a été réalisée par un groupe de travail du Collectif pour un Audit citoyen de la dette publique.
Elle se veut une contribution au nécessaire débat public sur des questions cruciales :
- d’où vient la dette ?
- A-t-elle été contractée dans l’intérêt général, ou bien au bénéfice de minorités déjà privilégiées ?
- Qui détient ses titres ?
- Peut-on alléger son fardeau autrement qu’en appauvrissant les populations ?
Les réponses apportées à ces questions détermineront notre avenir.
Ont participé à son élaboration :
Michel Husson (Conseil scientifique d’Attac, coordination), Pascal Franchet (CADTM), Robert Joumard (Attac), Evelyne Ngo (Solidaires Finances, Publiques), Henri Sterdyniak (Économistes Atterrés), Patrick Saurin (Sud BPCE).
I. La genèse de la dette publique
II. Les collectivités locales : entre transferts de charges, prêts toxiques et austérité
III. Le « trou » de la Sécurité sociale
IV. À qui la faute ? Éléments pour un audit de la dette de l’État
Conclusion : Que faire de la dette ?
Annexe : Arithmétique de la dette publique
L’Observatoire des Entrepreneurs – PME Finance présente l’édition 2015 de son étude annuelle « Le financement des PME, vers la désintermédiation ? ».
Conçu cette année sur un support allégé, ce document a principalement pour but de rassembler de façon opérationnelle les chiffrages de nombreux autres observatoires ou organisations de PME. En 2015, l’étude annuelle de PME Finance est organisée en trois parties :
- les sources des financements : l’épargne des ménages et les fonds publics nationaux et européens alimentent-ils mieux les PME ?
- les canaux des financements : comment évoluent les financements des PME en fonds propres, en quasi fonds propres, et en dette ?
- les emplois des financements : comment les PME utilisent-elles leurs financements (trésorerie, investissements, etc.) et quelle est leur situation financière ?
Que faire de la dette ? Un audit de la dette publique de la FranceAuditoriaVLC
Cette étude a été réalisée par un groupe de travail du Collectif pour un Audit citoyen de la dette publique. Elle se veut une contribution au nécessaire débat public sur des questions cruciales : d’où vient la dette ? A-t-elle été contractée dans l’intérêt général, ou bien au bénéfice de minorités déjà privilégiées ? Qui détient ses titres ? Peut-on alléger son fardeau autrement qu’en appauvrissant les populations ? Les réponses apportées à ces questions détermineront notre avenir.
https://france.attac.org/nos-publications/notes-et-rapports-37/article/que-faire-de-la-dette-un-audit-de
Ce que les banques vous disent et pourquoi il ne faut presque jamais les croi...Pascal Canfin
« On se fait balader ! » C’est le sentiment de toute la société face aux discours des banques depuis la crise de 2008. À les entendre, elles ne seraient pas responsables de la crise, n’auraient rien coûté aux contribuables, et toute nouvelle réglementation conduirait à aggraver la situation et à détruire des emplois.
Ces arguments martelés à grands coups d’opérations de communication, Pascal Canfin les démonte ici un par un et nous entraîne dans les coulisses de l’Europe, où se négocient les règles supposées encadrer la finance. On y découvre la réalité du lobbying exercé par les banques et le vrai bilan de Nicolas Sarkozy en matière de « moralisation du capitalisme ». Dans la perspective de l’alternance en France en 2012, Pascal Canfin propose des réformes crédibles pour que le politique reprenne enfin la main sur la finance.
“Après un an et demi de mandat européen j’ai ressenti le besoin de raconter les négociations auxquelles je participais qui sont à la fois essentielles et très peu connues du grand public. J’explique ici comment l’Europe fonctionne et le contenu des textes que j’ai eu à négocier, de la rémunération des traders à la lutte contre la spéculation sur les dettes souveraines en passant par la taxe sur les transactions financières.”
Ce livre, publié en Janvier 2012, a rencontré un certain succès. Il a été pendant plusieurs mois dans les essais les plus vendus. Il est disponible dans les librairies et vous pouvez également le consulter intégralement et gratuitement en ligne, ici même, grâce à l’aimable autorisation de la maison d’édition Les Petits Matins.
ISBN 978-2-36383-000-5
Date de parution janvier 2012
128 p.
CAP-ISSEP - Analyse 1-2023 - Le surendettement de la France - une menace pour...EdouardHusson
Au moment où les banques centrales font remonter leurs taux pour combattre l'inflation, la question de la dette de la France revient sur le devant de la scène. La Banque Centrale Européenne vient de confirmer la réduction de ses rachats de dette. Le piège d'un endettement contracté dans une période de taux bas/négatifs va-t-il se refermer sur notre pays?
AEFE2014 - Discours de Josep Sanroma, DG Institut Català de FinancesPME Finance
2ème Assises Européennes du Financement des Entreprises
Lyon, 22 avril 2014
Discours Josep R. Sanromà, DG de l’Institut Catalan de Finances (Barcelone)
2nd EUROPEAN CONVENTION SME FINANCE
Lyon, 22th April 2014
Speech of Joseph R. Sanromà, CEO of Institut Català de Finances (Barcelona)
Similaire à Au service de quel systéme bancaire somme nous ? (20)
This document provides an initial draft chapter on regulatory cooperation for the Transatlantic Trade and Investment Partnership (TTIP) negotiations between the EU and US.
The chapter aims to: reinforce regulatory cooperation to facilitate trade and investment while maintaining high standards of protection; reduce unnecessary regulatory differences; and promote compatible, transparent and predictable regulations. It establishes mechanisms for information exchange between regulators and sets out principles for good regulatory practices, including stakeholder consultations and impact assessments. The chapter also provides a framework for bilateral cooperation to foster compatible regulations where mutual benefits can be achieved.
le 17 décembre 2014.
RAPPORT D’INFORMATION
DÉPOSÉ
PAR LA COMMISSION DU DÉVELOPPEMENT DURABLE ET DE L’AMÉNAGEMENT DU TERRITOIRE
en application de l’article 145 du Règlement
sur
la place des
autoroutes
dans les
infrastructures
de
transport
L’inititive citoyenne européenne uto-organisée contre les projets
actuels d'accords commerciaux avec les États-Unis et le Canada dépasse le
million de signatures en un temps record.
Un avertissement particulier pour Jean-Claude Juncker peu après sa prise de fonction à la tête de la
nouvelle Commission européenne.
This document summarizes Giacomo Corneo's research essay proposing using public capital and ownership to curb increasing income and wealth inequality in Europe. It suggests establishing a sovereign wealth fund to purchase equities and accumulate public capital. The fund would invest in a diversified portfolio and its returns would boost state income. A second stage would create a "Federal Shareholder" public investment agency to control major corporations and banks, exercising ownership rights to contest capitalist control and influence. This strategy could help transition to a mixed public-democratic/private model of ownership over time through open competition between models.
1. €€
€€
€€
€ €
VIAU SER
€
€
€
€
€
€
€
€
€€
€
€€€
€€
BANQUE LLE QUE CE DE
SOMMES-NOUS ?
TOUT CE QUE VOUS AVEZ TOUJOURS
VOULU SAVOIR SUR LES BANQUES
SANS JAMAIS OSER LE DEMANDER !
2. Quelle est la place et quel est le rôle
des banques dans notre société ?
Et nous, salariés de la banque, au service
de qui et de quoi sommes-nous ?
?
PIB ET DETTE : DES INDICATEURS DISCUTABLES
PRODUIT INTÉRIEUR BRUT [chiffres 2012 / en milliards d’euros]
PIB de la France en 2012 2 032,3 Md €
PIB de l’Union Européenne (27 pays) 12 928,4 Md €
PIB de la Zone Euro (17 pays) 9 489,8 Md €
PIB des USA 12 325,7 Md €
PIB mondial 52 430,5 Md €
2] Au service de quelle banque sommes-nous ? – Sud BPCE, 2014
Nous sommes salariés de BPCE, un des quatre grands
groupes bancaires français avec BNP Paribas, le Crédit
Agricole et la Société Générale. Mais savons-nous vraiment
ce qu’il y a derrière ce sigle BPCE, connaissons-nous la
réalité des grandes banques, comprenons-nous vraiment
les enjeux des transactions que celles-ci réalisent ? Savons-nous
en définitive à quoi sert notre travail, à quoi nous
contribuons au quotidien ?
Dans une courte présentation, et avec l’aide de quel-ques
chiffres, nous allons mettre en lumière le poids
des banques dans l’économie, la nature de leurs acti-vités,
l’utilité réelle de ces activités et leurs consé-quences
pour notre vie de tous les jours. Nous poin-terons
également la responsabilité des banques dans la
crise qui a suivi la faillite de Lehman Brothers en 2008.
Enfin, nous présenterons le projet bancaire alternatif
de Sud BPCE qui définit notre conception de la place et du
rôle des banques et de leurs salariés dans notre société.
COMPRENDRE
PIB, dette sont autant de chiffres avec lesquels
les gouvernements justifient les politiques d’aus-térité
qu’ils imposent aujourd’hui aux populations.
Pourtant, ces chiffres sont loin d’être aussi objectifs
et indiscutables qu’il y paraît. Par exemple, du fait
des cadeaux fiscaux et des taux d’intérêt excessifs,
59 % de la dette de la France est illégitime
selon une étude du Collectif d’Audit Citoyen.1
1 www.audit-citoyen.org : http://www.audit-citoyen.org/wp-content/uploads/2014/05/note-dette.pdf
3. LES BANQUES
SONT PLUS PUISSANTES
QUE LES ETATS
À la faveur des différentes lois de libéralisation et de dérégulation qui se sont multipliées
depuis les années 1980, les banques sont devenues des monstres sans contrôle imposant
leur volonté à toute la planète. En cas de difficulté, il leur suffit d’invoquer un risque
menaçant l’ensemble du système bancaire pour obtenir aussitôt le concours financier des
États. Ce soutien inconditionnel incite les banques à prendre des risques inconsidérés,
on parle ici d’aléa moral. Nous l’avons vérifié avec la faillite de Dexia qui a vu les États,
les collectivités et les populations supporter les pertes de cette banque.
Preuve de cette toute puissance de la finance, des anciens banquiers de Goldman Sachs, Mario
Draghi, Mario Monti et Lucas Papadémos sont devenus respectivement président de la Banque
centrale européenne, président du conseil italien et premier ministre de la Grèce… Sans oublier
François Pérol qui a été directeur de cabinet adjoint de Nicolas Sarkozy
ministre des finances en 2004, avant de rejoindre la banque Rothschild
l’année suivante, puis de retrouver Nicolas Sarkozy en 2007 comme
secrétaire général adjoint à la présidence de la République, et enfin
prendre la direction du Groupe BPCE en 2009 !
À BPCE…
Pour dénoncer et s’opposer
à ce pantouflage de François Pérol,
Sud BPCE a déposé à l’époque une
plainte pour prise illégale d’intérêt.
DETTE DE LA FRANCE ET BILAN DE SES BANQUES [chiffres 2012 / en milliards d’euros]
Au service de quelle banque sommes-nous ? – Sud BPCE, 2014 [3
DETTE ET BILAN DES BANQUES EUROPÉENNES
[chiffres 2012 / en milliards d’euros]
8 600,6 Md €
Dette des 17 États
de la Zone Euro
11 010,5 Md €
Dette des 27 États
de l’Union Européenne
33 919,5 Md €2
Total des actifs des
banques de la Zone Euro
2 008,1 Md €
Total Bilan
Crédit Agricole
1 907,2 Md €
Total Bilan
BNP Paribas
1 250,9 Md €
Total Bilan
Société générale
1 147,5 Md €
Total Bilan
BPCE
1 833,8 Md €
Dette de la France1
COMPRENDRE
Les bilans des banques
de la zone euro représentent
quatre fois le total des dettes
publiques de ces États.
1 En 2014, la dette de la France a dépassé les 2 023 Md €
2 Hors Eurosystème, c’est-à-dire hors la BCE et les banques centrales. C’est près de 4 fois le PIB de la Zone euro
4. LA SPECULATION EST
L’ACTIVITE PRINCIPALE
DES BANQUES
BIEN AVANT LE FINANCEMENT
DE L’ÉCONOMIE RÉELLE
Ces quelques chiffres permettent de vérifier que les banques consacrent
de moins en moins d’argent au financement de l’économie réelle (prêts
aux ménages et aux entreprises) et préfèrent utiliser les fonds qu’elles
collectent pour des placements spéculatifs.
€
€€€
€
€€€
€€€
PART DES ACTIFS DE L’ENSEMBLE DES ÉTABLISSEMENTS
BANCAIRES FRANÇAIS CONSACRÉE AUX CRÉDITS
1980
2011
4] Au service de quelle banque sommes-nous ? – Sud BPCE, 2014
84 %
29 %
TRANSACTIONS FINANCIÈRES DANS L’ÉCONOMIE MONDIALE
1990
15,3 fois le pib mondial
2009 73,5 fois le pib mondial
TRANSACTIONS FINANCIÈRES EN EUROPE ET EN AMÉRIQUE DU NORD
2007 100 fois le pib europe
+amérique du nord
TRANSACTIONS DE CHANGE MONDIAL
2007 70 fois le commerce mondial
des biens et services
10 mn
10 minutes : c’est
la durée moyenne
de détention d’un
actif financier par
un fonds spéculatif.
€
€
T
Montant notionnel
des instruments dérivés de :
BNP Paribas en 2012 47 490 Md €
Deutsche Bank en 2013 54 652 Md €
Natixis en 2013 7 245 Md €
PIB mondial 2012 52 430 Md €
COMPRENDRE
Le montant notionnel,
ce sont les sommes
sur lesquelles portent
les paris spéculatifs des
banques avec les produits
dérivés. La Deutsche Bank
et BNP Paribas spéculent
chaque année sur des
sommes équivalentes
au PIB mondial !
À BPCE…
En 2013, le président
du directoire de Natixis
a touché 1 800 000 €
(+ 14,8 % par rapport
à 2012) !
5. COMPRENDRE
Ces importantes amendes
sont le prix payé par les
banques pour échapper
à des procès.
LES BANQUES EXERCENT
TRES SOUVENT
LEURS ACTIVITES
DANS LA PLUS
GRANDE ILLEGALITE
À L’AIDE D’OUTILS
ET DE DISPOSITIFS
QUI LEUR PERMETTENT
D’OPTIMISER
LEURS PROFITS
Au service de quelle banque sommes-nous ? – Sud BPCE, 2014 [5
1,1 Md €
(1,4 Md de
francs suisses)
Amende
payée par UBS
après un accord
en 2012 avec les
autorités américaines,
britanniques et
suisses pour son
implication dans la
manipulation du Libor.
1,4 Md €
(1,920 Md $)
Amende
payée par HSBC
aux autorités
américaines en 2012
pour mettre fin
à des poursuites de
blanchiment d’argent
avec l’Iran et les
cartels mexicains
de la drogue.
6,5 Md €
(8,97 Md $)
Amende payée
par BNP Paribas
aux autorités des USA
en 2014 pour éviter
des poursuites rela-tives
à des violations
de sanctions.
12,1 Md €
(16,65 Md $)
Amende payée par
Bank of America
aux autorités des USA
en 2014 dans l’affaire
des subprimes.
80,1 Md €
(110 Md $)
Total des
amendes payées
par les banques
américaines
entre 2008 et 2014
pour solder des
procès relatifs aux
subprimes.
AMENDES PAYÉES PAR LES BANQUES [en milliards d’euros]
A
trading
à haute
fréquence
permet d’exécuter
des transactions
financières en quelques
millionièmes de seconde.
67 000
milliards
de dollars
c’est le poids du
shadow banking system
(banque de l’ombre)
en 2011, soit 50 000
milliards d’euros.
argent de la drogue
Selon Antonio Maria Costa1
(ancien directeur général
de l’Organisation des Nations
Unies contre la Drogue et
le Crime), lors de la crise
financière de 2007, des crédits
interbancaires ont été financés
par des fonds issus du trafic
de drogue et d’autres activités
illégales.
1 Interview donnée à l’hebdomadaire
autrichien Profil le 29 janvier 2009
À BPCE…
Des banques
du groupe ont été condamnées
pour la vente de produits
Doubl’ô, Natixis et d’emprunts
spéculatifs.
6. LES BANQUES ET LA
FINANCE SONT A L’ORIGINE
DE LA CRISE DE 2007
DONT ELLES ONT FAIT SUPPORTER LE COÛT
AUX ÉTATS ET AUX POPULATIONS
ÉVOLUTION DU RATIO DETTE PUBLIQUE/PIB SUITE AUX AIDES DES ÉTATS
CONSENTIES AUX BANQUES
100 % du PIB
75 % du PIB
50 % du PIB
25 % du PIB
0 % du PIB
ROYAUME-UNI
2007 2008 2009 2010 2011 2012
crise
financière
22 000 Md €
Montant de l’aide
de la Banque Fédérale
américaine aux banques
à l’occasion de la crise
financière de 2007-2009,
soit 29 614,4 Md $.1
5 058,9 Md €
Montant des aides
autorisées par la
Commission européenne
au secteur financier entre le
1er octobre 2008 et le 1er octobre
2012 : c’est 40,3 % du PIB
de l’Union Européenne.
1 Selon le Pr. James Felkerson
6] Au service de quelle banque sommes-nous ? – Sud BPCE, 2014
IRLANDE ESPAGNE
COMPRENDRE
La crise financière s’est prolongée
dans une crise économique qui a vu
les États et les institutions imposer des
politiques d’austérité aux populations.
A
À BPCE…
8 Md € : c’est
le montant des pertes
de la banque d’affaires
Natixis supportées
par les banques de détail
du Groupe BPCE.
6,6 Md €
Ça coûte cher aux Français !
6, 6 Md € : c’est le coût de la faillite
de Dexia pour l’État français et ses
contribuables (estimé en 2013)
+ une garantie de 38,5 Md €donnée
par la France + 10 Md €de risques
au titre des prêts toxiques de Dexia
repris par la France.
7. LES BANQUES SONT AU SERVICE
D’UN MODE DE DEVELOPPEMENT
MORTIFERE
QUI DÉTRUIT LA PLANÈTE ET JETTE UNE GRANDE
PARTIE DE LA POPULATION DANS LA MISÈRE À BPCE…
Si les médias versent des larmes de crocodile après des crises humanitaires,
telles que celle de Lampedusa en octobre 2013, ou s’étonnent des effets du
réchauffement climatique, ils se gardent bien d’évoquer la passivité coupable
des institutions européennes plus promptes à mettre des sommes considérables à disposition
des banques pour les sauver de leurs errements spéculatifs qu’à secourir les plus démunis
et à engager la nécessaire transition écologique.
1 Rapport ‘‘Don’t Bank on the Bomb’’, octobre 2013, IKV Pax Christi et ICAN
2 Rapport de l’ONG OXFAM
3 Calcul du magazine Forbes
4 Selon une étude collective de 22 chercheurs : ‘‘Approaching a state shift in Earth’s biosphere’’,
Nature, vol. 486, 7 juin 2012
Au service de quelle banque sommes-nous ? – Sud BPCE, 2014 [7
A
Santé
1/3 de la population
mondiale n’a pas
accès aux médica-ments
essentiels.
Nourriture
842 millions
de personnes
souffrent de faim
chronique dans
le monde.
Biodiversité
Les espèces
vivantes s’éteignent
aujourd’hui à un
rythme 10 à 100 fois
supérieur au rythme
naturel observé ces
500 dernières années.
Pollution
Depuis 1800, le
dioxyde de carbone
dans l’athmosphère
mondiale a augmenté
de 35 % du fait
de la combustion
des énergies fossiles.
Inégalités
En 2013 les 85
personnes les plus
riches du monde
possédaient
autant de richesses
que la moitié la plus
pauvre de la popula-tion,
soit 3,5 milliards
de personnes2.
En 2014, le chiffre
est passé de 85 à 67
personnes3.
CO2
Le financement de la transition écologique comportant notamment
la division par 4 des émissions de gaz à effet de serre nécessite un budget
équivalant à 3 % du PIB européen, soit 350 à 400 milliards
d’euros par an pendant 10 ans.
La somme nécessaire pour assurer à la totalité de
la population mondiale les services sociaux essentiels
(éducation primaire, santé, eau, assainissement) est de 80 milliards
de dollars par an pendant 10 ans (soit à peine plus de 0,1%
du PIB mondial). 2100 C’est l’échéance
possible de
l’effondrement
total et irréversible
des écosystèmes
de la planète.4
Et pourtant, si on voulait…
1,9 Md $ :
c’est le montant investi
par le Groupe BPCE
dans le financement
des armes nucléaires.1
8. LES 10 TRAITS
PRINCIPAUX
DU CAPITALISME
FINANCIER
QUI JUSTIFIENT SA NÉCESSAIRE ÉRADICATION
A
l’absence de démocratie et de réel contrôle de ce système,
de ses activités, de ses acteurs, du fait de la collusion de ses dirigeants avec les politiques
(en 2007, Charles Milhaud, président du directoire de la Caisse Nationale des Caisses
d’Épargne, cumulait à lui seul 63 mandats dans différents conseils d’administration !).
l’importance démesurée de quelques banques qui pèsent financièrement
plus lourd que les États et investissent d’énormes sommes pour l’essentiel
dans des activités spéculatives.
l’extrême rapidité avec laquelle ces sommes circulent.
la spéculation comme motivation essentielle des activités mises en oeuvre.
la propension à multiplier de nouveaux dispositifs, supports
et espaces de spéculation : les paradis fiscaux, l’évasion fiscale, la titrisation,
le trading à haute fréquence, les dettes souveraines, les droits à polluer, les ‘‘obligations
catastrophes’’(cat bonds en anglais) qui permettent de spéculer sur les catastrophes
naturelles et les dégâts humains et matériels qu’elles sont susceptibles de générer, etc.
la possibilité d’exercer des activités dans l’illégalité
ou dans le cadre d’un système de l’ombre (shadow banking system) sans faire l’objet
de sanctions dissuasives.
l’absence d’éthique dans l’exercice d’activités qui vont du blanchiment de l’argent
de la drogue au financement des industries de l’armement.
la captation par une minorité d’une part toujours plus grande de la
richesse produite grâce à l’endettement des populations qui doivent rembourser des
dettes privées et des dettes publiques dont une bonne part est illégale ou illégitime.
la privatisation de profits considérables et la socialisation de pertes
tout aussi considérables qui accroissent les inégalités et jettent dans la pauvreté de
larges pans de la population.
la participation à un système économique destructeur de la planète
et générateur de politiques d’austérité pour les populations.
€ €
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8] Au service de quelle banque sommes-nous ? – Sud BPCE, 2014
9. LES PROPOSITIONS DE SUD BPCE
IL FAUT CHANGER
DE SYSTÈME BANCAIRE
Il est temps de substituer à ses fondements que sont la concurrence,
la déréglementation et l’opacité, d’autres principes tels que la solidarité,
la réglementation stricte des activités et la transparence.
)La réforme radicale du système bancaire,
qui doit s’accompagner d’une réforme fiscale
non moins radicale, implique un remodelage
complet des mécanismes financiers : taxations
des transactions, suppression des marchés de gré
à gré, interdiction de la titrisation, suppression
des paradis fiscaux, etc. Autant de mesures qui
soulignent l’indigence et l’inefficacité des dispo-sitions
actuelles prises dans le cadre de Bâle III
et de l’Union économique et monétaire de l’Union
européenne.
)Parce que nous considérons que l’épargne, le
crédit, la sécurité des encaisses monétaires et la
préservation de l’intégrité du système des paie-ments
relèvent de l’intérêt général, nous préco-nisons
la création d’un service public bancaire
par la socialisation de la totalité des entreprises du
secteur bancaire et de l’assurance. Des organisa-tions,
telles ATTAC et le CADTM, des économistes,
tels Jean-Marie Harribey, Michel Husson et Frédéric
Lordon, préconisent également la socialisation du
secteur bancaire.
)La socialisation signifie que les établissements
sont placés sous contrôle citoyen associant les sala-riés,
les clients, les élus locaux, les associations et
les représentants des instances bancaires natio-nales
et régionales. Seule une telle organisation
permettrait au service bancaire de devenir un véri-table
outil au service de l’ensemble de la collecti-vité,
et ne plus être une arme entre les mains de
quelques spéculateurs qui spolient les populations.
Dans ces conditions, les employés de banque, enfin
débarrassés d’une pression incessante pour vendre
toujours plus, pourraient enfin exercer leur métier :
conseiller et servir leurs clients.
) Le projet alternatif de Sud BPCE1 prévoit de
séparer les banques de financement et d’inves-tissement
(BFI) des banques de dépôt et d’obliger
ces banques à respecter un taux obligatoire de
détention des titres publics. Dans le même temps,
il implique de retrouver la maîtrise complète
de la banque centrale afin que la totalité de la
création monétaire et de la politique monétaire
soit contrôlée collectivement.
1 http://www.sudbpce.com/files/2013/01/2012-projet-bancaire-alternatif-definitif.pdf
VERS UNE REFONTE RADICALE
La crise provoquée par les banques en 2007
et les multiples scandales mis au jour ces dernières
années démontrent que le système financier actuel
doit être entièrement remis en cause, non dans
le cadre d’un simple réaménagement, mais au moyen
d’une refonte radicale.
Un tel système bancaire socialisé
devrait être l’outil du financement
du projet essentiel des années qui
viennent : la transition écologique.
Au service de quelle banque sommes-nous ? – Sud BPCE, 2014 [9
10. actif du bilan d’une banque
Il comprend tous les biens et droits que possède une
banque. La banque emploie essentiellement ses fonds
(actifs) pour consentir des crédits et effectuer des place-ments
financiers.
aléa moral
L’aléa moral consiste dans le fait qu’une personne ou une
entreprise assurée contre un risque se comporte de ma-nière
plus aventureuse que si elle était totalement exposée
à ce risque, car si ce dernier survient elle escompte que
ses pertes seront prises en charge par une autre entité
ou institution.
bilan d’une banque
Document de synthèse qui regroupe à une date donnée
l’ensemble des ressources de la banque, les fonds qu’elle
a collectés (au passif) et l’ensemble des emplois qu’elle
en fait (à l’actif).
dérivés
Instruments financiers (contrats à terme, options, swaps)
dont la caractéristique est que leur valeur dérive de celle
d’un actif sous-jacent (d’où leur nom de produits dérivés).
Ils ont pour fonction de couvrir les investisseurs contre
des risques (de marché, de liquidité et de contrepartie
principalement) mais plus de 90 % de ces produits sont
utilisés à des seules fins spéculatives. Du fait des montants
colossaux sur lesquels ils portent (plus de 10 fois le PIB
mondial) ils sont porteurs de risques considérables.
hedge funds
Fonds d’investissement non cotés, peu ou pas réglementés,
à vocation essentiellement spéculative.
hors-bilan bancaire
Il assure le suivi comptable des activités qui n’impliquent
pas un décaissement ou un encaissement de la part de
la banque (par exemple des opérations de crédit-bail, de
garantie ou de swaps de taux d’intérêt), mais qui font courir
à celle-ci un certain nombre de risques susceptibles d’af-fecter
son bilan au travers d’une dépréciation d’actifs.
libor (london interbank offered rate,
taux interbancaire proposé à londres)
Taux moyen établi quotidiennement à partir des transac-tions
réalisées par un panel de 18 grandes banques parmi
les plus représentatives de la Zone Euro. Il existe plusieurs
LIBOR concernant une dizaine de devises différentes et une
quinzaine de durées allant d’un jour à douze mois.
notionnel
Capital théorique sur lequel porte l’engagement pris
par deux parties sur un contrat dérivé, c’est le plafond
garanti de l’assurance ou, dit d’une autre manière, les
sommes sur lesquelles portent les paris spéculatifs des
banques avec les produits dérivés.
obligation catastrophe (ou cat bond)
Obligation à haut rendement généralement émise par
une compagnie d’assurance ou de réassurance. En cas de
survenance d’un sinistre prédéfini (tremblement de terre,
ouragan, raz de marée, etc..), le détenteur de l’obligation
perd tout ou partie des intérêts, voire du nominal de l’obli-gation.
Ce produit permet aux compagnies d’assurance et
surtout de réassurance de faire supporter par des tiers
une partie des risques liés à ces événements exceptionnels
et donc réduire leurs propres risques.
pantouflage
Délit consistant pour un haut fonctionnaire à rejoindre une
entreprise privée moins de trois ans après en avoir eu le
contrôle ou la surveillance lorsqu’il était dans la fonction
publique.
passif du bilan d’une banque
Ensemble des ressources de la banque parmi lesquelles
figurent notamment ses fonds propres.
pib (produit intérieur brut)
Somme des valeurs ajoutées de toutes les entreprises
situées sur le territoire national.
shadow banking system
(système bancaire de l’ombre)
Activités menées par des entités qui ne reçoivent pas de
dépôts et qui échappent à la réglementation bancaire et
souvent à la fiscalité. Parmi ces entités, on trouve les fonds
monétaires, les hedge funds, des ‘‘véhicules spéciaux de
titrisation’’, des fonds de pension et des banques d’affaires
(comme Lehman Brothers et Bear Stearns, deux banques
qui ont fait faillite).
subprimes
Emprunts risqués proposés par les banques américaines à
des emprunteurs peu solvables en contrepartie d’un taux
élevé. Pour se débarrasser du risque, les banques prê-teuses
titrisaient ces prêts pour les revendre à d’autres
banques, des fonds de placement ou des sociétés d’assu-rances.
titrisation
Activité consistant pour une banque à transformer les
crédits qu’elle a consentis en des titres destinés à être
revendus afin de diminuer l’actif de son bilan.
trading à haute fréquence
Activité consistant à exécuter à grande vitesse des tran-sactions
financières grâce à des logiciels informatiques
ayant recours à des algorithmes.
union européenne
Association de 28 États européens qui délèguent par trai-té
l’exercice de certaines compétences (notamment en
matière financière, économique et sociale) à des organes
communs.
zone euro
(union économique et monétaire)
Zone monétaire regroupant 18 pays de l’Union européenne
qui ont adopté l’euro comme monnaie unique et qui ac-ceptent
de se plier aux critères dits de convergence du
traité de Maastricht.
LEXIQUE
10] Au service de quelle banque sommes-nous ? – Sud BPCE, 2014
11. POUR ALLER PLUS LOIN
Note : les chiffres communiqués dans cette plaquette proviennent de documents officiels de la Banque centrale euro-péenne,
de la Réserve fédérale américaine, de la Banque des règlements internationaux, des banques privées, de la FAO
(Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture), d’Oxfam, du Comité pour l’annulation de la dette
du Tiers-Monde, de revues spécialisées (Forbes, Nature, etc.) et de la presse financière.
HEDGEFUNDS
SPECULATION PROFITS
Au service de quelle banque sommes-nous ? – Sud BPCE, 2014 [11
canfin pascal, Ce que les banques vous disent
et pourquoi il ne faut presque jamais les croire,
Paris, Les petits matins, 2012.
chavagneux christian
et philipponnat thierry, La capture.
Où l’on verra comment les intérêts financiers ont pris
le pas sur l’intérêt général et comment mettre fin
à cette situation, Paris, La Découverte, 2014.
couppey-soubeyran jézabel
et nijdam christophe,
Parlons banque en 30 questions,
Paris, La documentation Française, 2014.
gayraud jean-françois, La Grande Fraude.
Crime, subprimes et crises financières,
Paris, Odile Jacob, 2011.
giraud gaël, Illusion financière, Ivry-sur-Seine,
Les Éditions de l’Atelier/Les Éditions Ouvrières, 2013.
harribey jean-marie, La richesse,
la valeur et l’inestimable. Fondements d’une critique
socio-écologique de l’économie capitaliste,
Paris, Les Liens qui Libèrent, 2013.
husson michel, Un pur capitalisme,
Paris, Cahiers libres Éditions Page deux, 2008.
jorion paul, www.pauljorion.com/blog
lordon frédéric, Jusqu’à quand ? Pour en finir
avec les crises financières, Paris, Raisons d’agir, 2008.
mediapart, www.mediapart.fr
montel-dumont olivia (dir.),
Comprendre les marchés financiers, Paris,
La documentation Française, 2011.
scialom laurence, Économie bancaire,
Paris, La Découverte, 2014.
simon claude-collectif roosevelt,
Stop à la dérive des banques et de la finance,
Ivry-sur-Seine, Les Éditions de l’Atelier/Les Éditions
Ouvrières, 2014.
toussaint éric, Bancocratie,
Bruxelles, Aden CADTM, 2014.
zucman gabriel, La richesse cachée des nations.
Enquête sur les paradis fiscaux, Paris, Seuil, 2013.
SUBPRIMES
12. LES CAPITALISTES
NOUS COÛTENT CHER
www.coupspourcouts.solidaires.org
Solidaires, Unitaires, Démocratiques
Sud Banques Populaires Caisses d’Épargne,
membre de l’Union syndicale Solidaires
24, bd. de l’Hôpital 75005 Paris
Tél. : 01 70 23 53 41 ou 01 42 33 41 62
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