Le « CEPLA EP » est une institution de mursing privée, régie par les lois du pays et le Ministère de la Santé Publique. Il a été fondé en 1988 par l’Infirmière Marie Lourdes CAIDOR et le docteur Pierre Richard CAIDOR. Son siège social est à la rue Rivière #15, Port-au-Prince.
Alimentation et Nutrition - Prévention des maladies chroniquesGreenFacts
En raison de changements dans notre alimentation et notre mode de vie, certaines maladies chroniques touchent de plus en plus de personnes, tant dans les pays développés que dans les pays en voie de développement. En effet, les maladies chroniques liées à l’alimentation – telles que l’obésité, le diabète, les maladies cardiovasculaires, le cancer, les maladies dentaires, et l’ostéoporose- sont la première cause de mortalité dans le monde et représentent un coût important pour la société.
Comment une meilleure alimentation et l’activité physique peuvent-elles nous aider à réduire le risque de développer ces maladies chroniques ?
Un confinement prolongé. est primordial et nécessaire pour lutter contre la propagation du coronavirus mais il impose à notre mode de vie habituel des contraintes aux conséquences parfois néfaste sur notre santé physique et mentale : activité physique réduite, sommeil perturbé, angoisses de contracter la maladie, peurs irrationnelles, tentation de se réfugier dans la nourriture ou devant les écrans… La sédentarité/inactivité physique constitue un véritable problème de santé publique, en particulier dans des pays intermédiaires comme le Maroc, car, si nous n’y prêtons pas garde, nous risquons qu’une partie de la population ne sorte durablement affaiblie de cette épreuve.
1/ Le confinement un facteur d’affaiblissement potentiel de notre santé
Du fait du stress, on est exposé en premier lieu à l'anxiété source d’irritabilité, de risques de violences et même de dépression en cas de fragilité mentale.
Par ailleurs, notre rythme quotidien habituel est structuré par notre activité professionnelle qui nous impose des horaires de lever et de coucher, qui nous permet une exposition à la lumière de jour, etc. ; cette rupture peut perturber notre horloge biologique et nuire à la qualité de notre sommeil, voire provoquer des insomnies, aggravée de surcroit par une augmentation du temps passé devant les écrans.
Et surtout, le confinement augmente l’inactivité physique et donc la sédentarité, ce qui, selon l'OMS, double déjà, en temps normal, les risques de maladies cardiovasculaires, de diabète, d'obésité et augmente ceux de cancer du colon, d'hypertension artérielle, d'ostéoporose, de troubles lipidiques, de dépression et d'anxiété, renforçant ainsi toutes les causes de mortalité.
L’acide mycophénolique est un médicament utilisé pour que le corps tolère la présence d’un organe étranger (greffe). Il fait partie des traitements dits « antirejet » qui ont pour action de diminuer les défenses immunitaires. L’acide mycophénolique bloque une substance impliquée dans la fabrication de certains lymphocytes (globules blancs). Pour plus d’efficacité, l’acide mycophénolique est souvent prescrit avec d’autres médicaments antirejet, par exemple un corticoïde et/ou la ciclosporine. L’acide mycophénolique est commercialisé depuis le début des
Alimentation et Nutrition - Prévention des maladies chroniquesGreenFacts
En raison de changements dans notre alimentation et notre mode de vie, certaines maladies chroniques touchent de plus en plus de personnes, tant dans les pays développés que dans les pays en voie de développement. En effet, les maladies chroniques liées à l’alimentation – telles que l’obésité, le diabète, les maladies cardiovasculaires, le cancer, les maladies dentaires, et l’ostéoporose- sont la première cause de mortalité dans le monde et représentent un coût important pour la société.
Comment une meilleure alimentation et l’activité physique peuvent-elles nous aider à réduire le risque de développer ces maladies chroniques ?
Un confinement prolongé. est primordial et nécessaire pour lutter contre la propagation du coronavirus mais il impose à notre mode de vie habituel des contraintes aux conséquences parfois néfaste sur notre santé physique et mentale : activité physique réduite, sommeil perturbé, angoisses de contracter la maladie, peurs irrationnelles, tentation de se réfugier dans la nourriture ou devant les écrans… La sédentarité/inactivité physique constitue un véritable problème de santé publique, en particulier dans des pays intermédiaires comme le Maroc, car, si nous n’y prêtons pas garde, nous risquons qu’une partie de la population ne sorte durablement affaiblie de cette épreuve.
1/ Le confinement un facteur d’affaiblissement potentiel de notre santé
Du fait du stress, on est exposé en premier lieu à l'anxiété source d’irritabilité, de risques de violences et même de dépression en cas de fragilité mentale.
Par ailleurs, notre rythme quotidien habituel est structuré par notre activité professionnelle qui nous impose des horaires de lever et de coucher, qui nous permet une exposition à la lumière de jour, etc. ; cette rupture peut perturber notre horloge biologique et nuire à la qualité de notre sommeil, voire provoquer des insomnies, aggravée de surcroit par une augmentation du temps passé devant les écrans.
Et surtout, le confinement augmente l’inactivité physique et donc la sédentarité, ce qui, selon l'OMS, double déjà, en temps normal, les risques de maladies cardiovasculaires, de diabète, d'obésité et augmente ceux de cancer du colon, d'hypertension artérielle, d'ostéoporose, de troubles lipidiques, de dépression et d'anxiété, renforçant ainsi toutes les causes de mortalité.
L’acide mycophénolique est un médicament utilisé pour que le corps tolère la présence d’un organe étranger (greffe). Il fait partie des traitements dits « antirejet » qui ont pour action de diminuer les défenses immunitaires. L’acide mycophénolique bloque une substance impliquée dans la fabrication de certains lymphocytes (globules blancs). Pour plus d’efficacité, l’acide mycophénolique est souvent prescrit avec d’autres médicaments antirejet, par exemple un corticoïde et/ou la ciclosporine. L’acide mycophénolique est commercialisé depuis le début des
Recherche en médecine générale surmédicalisation, surdiagnostics, surtraite...Réseau Pro Santé
Revue " Le Bulletin des Jeunes Médecins Généraliste n°9" Juillet 2014
Le risque de surdiagnostics, alias diagnostics par excès est un élément à prendre en compte dans la prise en charge des patients pour leur éviter des surtraitements, alias traitements par excès. Le surdiagnostic peut se définir comme la transformation en pathologie de phénomènes biologiques, ou la découverte d’anomalies d’imagerie qui sont sans implications délétères pour la santé des individus. La conséquence en est la prescription de traitements inadaptés ou inutiles avec des conséquences néfastes pour la santé individuelle et la santé publique.
Ce dysfonctionnement de la médecine constitue la surmédicalisation. Elle consiste à fabriquer des pathologies à partir de phénomènes sociaux, psychologiques, ou d’anomalies issues du champ de la biologie ou de l’imagerie médicale. Elle se manifeste de façon protéiforme et est associée à plusieurs phénomènes qui contribuent à la provoquer et la développer. Elle est intimement liée au développement des dépistages, des notions de facteurs de risque, du façonnage des maladies, de la manipulation des normes biologiques.
La croyance en l’efficacité générale des dépistages des cancers et des maladies chroniques est mise à mal quand on analyse les données issues de la littérature scientifique quand elle n’est pas biaisée par des conflits d’intérêt.
reseauprosante.fr
La ciclosporine est un médicament utilisé pour que le corps tolère la présence d’un organe étranger (greffe). Il fait partie des traitements dits « antirejet » qui ont pour action de diminuer les défenses immunitaires. La ciclosporine bloque une substance appelée interleukine-2 qui joue un rôle important dans l’activation des défenses immunitaires.
Pour plus d’efficacité, la ciclosporine est souvent prescrite avec d’autres médicaments antirejet, par exemple un corticoïde. La ciclosporine est commercialisée depuis le début des années 1980 comme médicament antirejet.
Les cancers sont des maladies multifactorielles dans lesquelles interviennent des facteurs génétiques, hormonaux, biologiques, environnementaux, et dans ceux-ci, l’alimentation est un facteur.
C’est un facteur sur lequel, il est possible d’agir ...
Statines en France: éléments de preuves pour favoriser le bon usagePelouze Guy-André
La polémique sur les statines prend un tour dangereux: il y a les pour et les contre. C'est bien évidemment stupide. d'ailleurs ceux là même qui sont contre évite de parler des patienst athéromateux ayant fait un accident et ceux qui sont contre ne commentent jamais les résultats du régime méditerranéen...
Qui sont les seniors d'aujourd'hui ? Quel est l'impact de l'alimentation sur leur santé ?
Pourquoi les légumes sont-ils un atout «nutrition» des plus âgés ? Quels sont les freins à
une alimentation équilibrée ?
Vitamine D et peaux pigmentées. Une vraie question en soins primaires.Didier Cosserat
Nous envisageons le métabolisme de la vitamine D3. L'inutilité du dosage de la 25OHD3. L'intérêt d'une supplémentation en vitamine D3 (Dédrogyl ou ZymaD) plutôt qu'en vitamine D2 (Stérogyl). Les besoins quotidiens sont d'au moins 1000 UI/jour. Sinon ZymaD 200 000 unités X 2 une fois par an, quelque soit l'age.
Il existe six principaux génotypes du VHC : ce sont différentes souches du même virus. Le plus fréquent est le génotype 1 (1A et 1B), suivi du génotype 3, du 4 et du 2. Cet examen, effectué une seule fois lors du bilan initial, ainsi que votre stade de fibrose et vos spécificités (co-infection VIH/VHC, surpoids, diabète, problèmes rénaux, addictions, traitements en cours …), permet à votre spécialiste de déterminer la durée du traitement éventuel et les molécules Antivirales à Action Directe (AAD) adaptées.
Comment vivre avec une maladie rénale par Dr Moussayer Khadija.pdfKhadija Moussayer
Les maladies rénales chroniques ont tout pour faire peur, alors qu’avec une attention minutieuse, on peut ralentir leur progression et même bien les contrôler. Cela passe en particulier par une bonne observance de l’hygiène de vie du patient.
Il faut d’abord savoir que nombre total de malades souffrant d’insuffisance rénale est difficile à évaluer car elle ne se manifeste que lorsqu’elle a atteint un stade très avancé, parfois au bout de plusieurs dizaines d’années d’évolution silencieuse. Ainsi elle se manifeste rarement avant 45 ans, et sa prévalence augmente avec l’âge, notamment après 65 ans. En fait la plupart des gens ignorent l’état réel de leurs reins.
Les personnes déjà atteintes ne sont pas encore au stade de l’insuffisance réelle mais en situation sub-pathologique avant le déclenchement de l’insuffisance. Quel que soit l'état d'un malade ou d'une personne en en bonne santé, le fonctionnement des reins dépend avant tout de notre mode de vie (hygiène alimentaire, tabagie, activités physiques, usage raisonné des médicaments…);
On peut affirmer que les 8 règles pour prendre soin de ses reins se résument en : 1. Bois suffisamment 2. Mange sainement 3. Garde un poids sain 4. Pratique une activité sportive régulière 5. Surveille ta tension artérielle 6. Ne fume pas 7. Surveille ta glycémie 8. Réduis ta consommation de sel et de plats préparés.
À l'occasion de la Journée mondiale du rein, le 14 mars, qui célèbre cette année sa dix-neuvième édition, passons en revue quelques-unes de ces recommandations.
SOMMAIRE : I/ Un régime équilibrée et adaptée cas de maladie rénale chronique, II/ Le tabac en accusation, III/La prise en charge médicale de la maladie, GRANDE GALERIE DE PHOTOS A LA FIN DE L'ARTICLE
I/ Un régime équilibrée et adaptée cas de maladie rénale chronique
La diététique tient une place fondamentale dans le traitement de l'insuffisance rénale et la nutrition adoptée par malade doit tenir compte du stade de la maladie. Toutes les règles à suivre sans exception doivent être discutées et s’établir en concertation avec le médecin traitant et/ou éventuellement un diététicien
Il est d’abord important de manger à un rythme chronologique régulier (3 repas par jour) et d'avoir une alimentation variée, équilibrée et calorique.
Il est conseillé de boire en moyenne 1,5 litre d'eau ou de boissons non sucrées et non alcoolisées. L’alcool est fortement déconseillé. Si le malade est enclin à la formation de calculs rénaux, au moins deux litres d'eau seront nécessaires en moyenne durant la journée (et un verre d'eau quand on se lève la nuit) pour assurer la fonction urinaire.
La diminution de la consommation de sel est recommandée (en général, pas plus de 6 g par jour). Pour cela, il faut éviter en particulier de trop consommer de plats industriels riches en sel (plats préparés, biscuits apéritifs...).
L'apport en protéines recommandé est en général de 0,8 à 1 g par kg de poids et par jour (cela représente 48 à 60 g de protéines par jour
Lettre d'information de l'ASEPT Gironde
Septembre octobre 2013
Au programme : le PEPS Eurêka, la Prévention des Chutes, Les bienfaits des jus de fruits, Mieux vieillir avec le numérique
Recherche en médecine générale surmédicalisation, surdiagnostics, surtraite...Réseau Pro Santé
Revue " Le Bulletin des Jeunes Médecins Généraliste n°9" Juillet 2014
Le risque de surdiagnostics, alias diagnostics par excès est un élément à prendre en compte dans la prise en charge des patients pour leur éviter des surtraitements, alias traitements par excès. Le surdiagnostic peut se définir comme la transformation en pathologie de phénomènes biologiques, ou la découverte d’anomalies d’imagerie qui sont sans implications délétères pour la santé des individus. La conséquence en est la prescription de traitements inadaptés ou inutiles avec des conséquences néfastes pour la santé individuelle et la santé publique.
Ce dysfonctionnement de la médecine constitue la surmédicalisation. Elle consiste à fabriquer des pathologies à partir de phénomènes sociaux, psychologiques, ou d’anomalies issues du champ de la biologie ou de l’imagerie médicale. Elle se manifeste de façon protéiforme et est associée à plusieurs phénomènes qui contribuent à la provoquer et la développer. Elle est intimement liée au développement des dépistages, des notions de facteurs de risque, du façonnage des maladies, de la manipulation des normes biologiques.
La croyance en l’efficacité générale des dépistages des cancers et des maladies chroniques est mise à mal quand on analyse les données issues de la littérature scientifique quand elle n’est pas biaisée par des conflits d’intérêt.
reseauprosante.fr
La ciclosporine est un médicament utilisé pour que le corps tolère la présence d’un organe étranger (greffe). Il fait partie des traitements dits « antirejet » qui ont pour action de diminuer les défenses immunitaires. La ciclosporine bloque une substance appelée interleukine-2 qui joue un rôle important dans l’activation des défenses immunitaires.
Pour plus d’efficacité, la ciclosporine est souvent prescrite avec d’autres médicaments antirejet, par exemple un corticoïde. La ciclosporine est commercialisée depuis le début des années 1980 comme médicament antirejet.
Les cancers sont des maladies multifactorielles dans lesquelles interviennent des facteurs génétiques, hormonaux, biologiques, environnementaux, et dans ceux-ci, l’alimentation est un facteur.
C’est un facteur sur lequel, il est possible d’agir ...
Statines en France: éléments de preuves pour favoriser le bon usagePelouze Guy-André
La polémique sur les statines prend un tour dangereux: il y a les pour et les contre. C'est bien évidemment stupide. d'ailleurs ceux là même qui sont contre évite de parler des patienst athéromateux ayant fait un accident et ceux qui sont contre ne commentent jamais les résultats du régime méditerranéen...
Qui sont les seniors d'aujourd'hui ? Quel est l'impact de l'alimentation sur leur santé ?
Pourquoi les légumes sont-ils un atout «nutrition» des plus âgés ? Quels sont les freins à
une alimentation équilibrée ?
Vitamine D et peaux pigmentées. Une vraie question en soins primaires.Didier Cosserat
Nous envisageons le métabolisme de la vitamine D3. L'inutilité du dosage de la 25OHD3. L'intérêt d'une supplémentation en vitamine D3 (Dédrogyl ou ZymaD) plutôt qu'en vitamine D2 (Stérogyl). Les besoins quotidiens sont d'au moins 1000 UI/jour. Sinon ZymaD 200 000 unités X 2 une fois par an, quelque soit l'age.
Il existe six principaux génotypes du VHC : ce sont différentes souches du même virus. Le plus fréquent est le génotype 1 (1A et 1B), suivi du génotype 3, du 4 et du 2. Cet examen, effectué une seule fois lors du bilan initial, ainsi que votre stade de fibrose et vos spécificités (co-infection VIH/VHC, surpoids, diabète, problèmes rénaux, addictions, traitements en cours …), permet à votre spécialiste de déterminer la durée du traitement éventuel et les molécules Antivirales à Action Directe (AAD) adaptées.
Comment vivre avec une maladie rénale par Dr Moussayer Khadija.pdfKhadija Moussayer
Les maladies rénales chroniques ont tout pour faire peur, alors qu’avec une attention minutieuse, on peut ralentir leur progression et même bien les contrôler. Cela passe en particulier par une bonne observance de l’hygiène de vie du patient.
Il faut d’abord savoir que nombre total de malades souffrant d’insuffisance rénale est difficile à évaluer car elle ne se manifeste que lorsqu’elle a atteint un stade très avancé, parfois au bout de plusieurs dizaines d’années d’évolution silencieuse. Ainsi elle se manifeste rarement avant 45 ans, et sa prévalence augmente avec l’âge, notamment après 65 ans. En fait la plupart des gens ignorent l’état réel de leurs reins.
Les personnes déjà atteintes ne sont pas encore au stade de l’insuffisance réelle mais en situation sub-pathologique avant le déclenchement de l’insuffisance. Quel que soit l'état d'un malade ou d'une personne en en bonne santé, le fonctionnement des reins dépend avant tout de notre mode de vie (hygiène alimentaire, tabagie, activités physiques, usage raisonné des médicaments…);
On peut affirmer que les 8 règles pour prendre soin de ses reins se résument en : 1. Bois suffisamment 2. Mange sainement 3. Garde un poids sain 4. Pratique une activité sportive régulière 5. Surveille ta tension artérielle 6. Ne fume pas 7. Surveille ta glycémie 8. Réduis ta consommation de sel et de plats préparés.
À l'occasion de la Journée mondiale du rein, le 14 mars, qui célèbre cette année sa dix-neuvième édition, passons en revue quelques-unes de ces recommandations.
SOMMAIRE : I/ Un régime équilibrée et adaptée cas de maladie rénale chronique, II/ Le tabac en accusation, III/La prise en charge médicale de la maladie, GRANDE GALERIE DE PHOTOS A LA FIN DE L'ARTICLE
I/ Un régime équilibrée et adaptée cas de maladie rénale chronique
La diététique tient une place fondamentale dans le traitement de l'insuffisance rénale et la nutrition adoptée par malade doit tenir compte du stade de la maladie. Toutes les règles à suivre sans exception doivent être discutées et s’établir en concertation avec le médecin traitant et/ou éventuellement un diététicien
Il est d’abord important de manger à un rythme chronologique régulier (3 repas par jour) et d'avoir une alimentation variée, équilibrée et calorique.
Il est conseillé de boire en moyenne 1,5 litre d'eau ou de boissons non sucrées et non alcoolisées. L’alcool est fortement déconseillé. Si le malade est enclin à la formation de calculs rénaux, au moins deux litres d'eau seront nécessaires en moyenne durant la journée (et un verre d'eau quand on se lève la nuit) pour assurer la fonction urinaire.
La diminution de la consommation de sel est recommandée (en général, pas plus de 6 g par jour). Pour cela, il faut éviter en particulier de trop consommer de plats industriels riches en sel (plats préparés, biscuits apéritifs...).
L'apport en protéines recommandé est en général de 0,8 à 1 g par kg de poids et par jour (cela représente 48 à 60 g de protéines par jour
Lettre d'information de l'ASEPT Gironde
Septembre octobre 2013
Au programme : le PEPS Eurêka, la Prévention des Chutes, Les bienfaits des jus de fruits, Mieux vieillir avec le numérique
CAP: Est un groupe d'hommes fortement motivé pour informer les personnes sur l'état de la planète sur le plan environnemental, les phénomènes de pollution, la faim dans le monde ainsi que des solutions et les postures à adopter dans l'objectif d'assainir la santé de la planète.
1. Infos Santé
Mai 2017
15, Rue Rivière - Port-au-Prince, Haïti
Phone : (509) 3112-7253
Email.: ceplaep@gmail.com
Newsletter CEPLA (EP)
CEPLA (EP)
Une vue de la salle de classe
whatstapp@3754-0463
Pourquoi les blouses des chirurgiens
sont-elles vertes ou bleues ?
Réduire les risques de cancer
Chronique Médicale
2. CEPLA (EP)
Pourquoi les blouses des chirurgiens sont-elles vertes ou bleues ?
es vêtements des chirurgiens en salle d'opération
sont à l'honneur cette semaine sur Sciences etAvenir,
Ldans le cadre de notre "question de la semaine"
poséechaquelundisur notrepageFacebook.
Si malheureusement, vous vous êtes déjà retrouvé dans
une salle d'opération, peut-être vous êtes vous demandé,
comme notre lectrice Audrey Vaudan, pourquoi les
chirurgiens portent des blouses vertes ou bleues, et non
blanches. C'est la question de la semaine de Sciences et
Avenir. Un grand merci pour toutes vos interrogations, vos
discussions etvotrecuriosité.
Vert et rouge, des couleurs complémentaires
La couleur actuelle des blouses des chirurgiens n'a pas
été choisie au hasard. Avant 1914, elle était blanche,
symbole de propreté. Mais un médecin influent a suggéré un
changement de couleur en vert ou bleu, pour un meilleur
confort des yeux des chirurgiens, et surtout, éviter
l'éblouissement en salle d'opération. C'est une anecdote
relatée par le médecin américain Nathan Belkin, spécialiste
de l'étude du matériel de protection médicale, dans
. Selon ce dernier, il est fort probable que ce
changement se soit généralisé par la suite à cause de cette
suggestion,maisilestimpossibled'en êtrecertain.
Mais les teintes vertes ou bleues des blouses ont pu être
expérimentées et adoptées facilement des chirurgiens car
elles présentent un intérêt de taille en salle d'opération : elles
sont complémentaires aux teintes rouges des organes et du
sang humain... Des couleurs complémentaires ? L'idée a été
théorisée il y a longtemps, notamment à travers la fameuse
"roue des couleurs" (voir image ci-dessous), tirée du traité
une étude
publiée en 1998
scientifique écrit par JohannWolfgang von Goethe et publié
au 19e siècle. Sur cette roue, disposant les couleurs selon
l'ordre de celles de l'arc-en-ciel, la propriété suivante
s'applique:
La complémentaire d'une couleur lui est
diamétralement opposée. Cette représentation ordonnée des
couleurs est utilisée dans de nombreux domaines : peinture,
teinturerie, arts graphiques, design industriel... Et
s'appliqueànotresystèmevisuel.
Le blanc, source d'illusions d'optique
déconcertantes
En effet, notre cerveau interprète les couleurs les unes
par rapport aux autres. Saturé par une couleur, il est
davantage réceptif à sa complémentaire. En jetant des coups
d'œil au champ opératoire vert, à la blouse verte de ses
collègues, aux murs verts de la salle d'opération, le
chirurgien devient plus attentif aux nuances du corps
humain, dans des teintes de rouge, durant l'opération. Le
blanc est donc à éviter. Non seulement il peut provoquer un
éblouissement, mais aussi... des illusions d'optique. Forcé
de se concentrer sur des organes et sang humains aux tons
rouges, le chirurgien qui dirige ensuite son regard vers la
blouse de ses collègues ou les murs de la pièce peut voir
apparaître des teintes vertes "fantomatiques", sources de
distraction dans un contexte où il n'y a aucun droit à
l'erreur... Concrètement, imaginez une illusion verte des
entrailles d'un patient apparaissant sur la blouse blanche de
votre voisin... (Vous pouvez tester l'illusion chez vous en
fixant pendant plusieurs dizaines de secondes une image
rouge - à défaut d'avoir un corps sous la main -, puis en
détournant votre regard vers une surface blanche). L'image
distrayante suit le regard pendant plusieurs secondes,
comme les points noirs qui brouillent la vue après un flash
d'appareilphoto.
Pourquoi ces illusions d'optique surviennent-elles
uniquement sur fond blanc ? Comme la lumière blanche
contient toutes les couleurs de l'arc-en-ciel, dont le rouge et
le vert, le cerveau concentré sur les tons rouges fixe
soudainement son attention sur les teintes
complémentaires. Un phénomène qui ne se produit donc pas
sur des blouses vertes ou bleues. Face à toutes ces
constatations, pas sûr que les couleurs dominantes dans les
sallesopératoiresrisquentdechangerdesitôt.
Info Santé
3. CEPLA (EP)
Réduire les risques de cancer
n estime que 40 % des cancers pourraient être évités par
des modifications de nos modes de vie et dans notre
Oenvironnement. Eviter les facteurs de risque connus
apparaît ainsi comme un moyen d'action essentiel pour prévenir
certainscancers.
Il est recommandé de ne pas fumer, de modérer sa
consommation d'alcool, d'avoir une alimentation diversifiée et
équilibrée, de surveiller son poids, de pratiquer une activité
physiquerégulièreetd'éviterl'expositionauxrayonnementsUV.
Les autorités sanitaires et l'État ont par ailleurs mis en place
des mesures de prévention collective sur l'exposition à d'autres
facteursenvironnementaux.
Tabac
Le tabac arrive en tête de toutes les causes de
cancers, loin devant les autres facteurs de risque. Il serait
responsabled'environun quartdes décèsparcancer.
Même si vous fumez depuis plusieurs années et que
votre consommation de tabac est élevée, il n'est jamais
trop tard pour s'arrêter. Des aides efficaces sont
disponibles
Alimentation
De nombreuses études ont mis en évidence
l'influence des facteurs nutritionnels sur le risque de
développer un cancer, même s'il reste des incertitudes sur
le rôle exact de certains d'entre eux. Ainsi, une
alimentation équilibrée et diversifiée, privilégiant les
fibres, les fruits et légumes, peut réduire votre risque de
développerun cancer.
L'alimentation fait partie des comportements sur
lesquels on peut agir pour accroître la prévention des
cancers.Elleagitàlafoiscomme:
·un facteur de protection : nutriments ou aliments
reconnus pour leur rôle protecteur contre
certains cancers, comme les fibres alimentaires
présentes dans les céréales complètes, les fruits,
leslégumes,leslégumessecs.
·· un facteur de risque : aliments qui,
consommés en excès, favorisent le dévelop-
pement d'un cancer comme les boissons
alcoolisées, les viandes rouges, les charcuteries
etlesel.
Une brochure éditée en 2015 fait le point sur la
Info Santé
4. CEPLA (EP)
nutrition et les cancers et délivre des conseils pratiques
pouraméliorerson alimentation.
La prévention du cancer par la nutrition ne peut se
résumer à un aliment miracle. Il s'agit d'équilibrer
globalement ses consommations, en privilégiant ce qui
protège et en réduisant ce qui peut contribuer à
l'apparition d'un cancer. Une alimentation équilibrée
permet également de limiter le risque de surpoids et
d'obésité. N'hésitez pas à parler de vos habitudes
alimentairesavecvotremédecin.
LES FRUITS ET LES LÉGUMES
La consommation de fruits et légumes est associée
à une diminution du risque de développer plusieurs
cancers, notamment les cancers de la bouche, du larynx
et du pharynx, le cancer de l'œsophage, le cancer de
l'estomacetlecancerdu poumon(fruitsseulement).
Ces aliments jouent un rôle protecteur grâce à leur
richesse en fibres, en vitamines et en minéraux. De plus,
leur apport en calories étant peu élevé, ils contribuent à
diminuer le risque de surpoids. Compte tenu de leur
composition variée, tous les fruits et légumes présentent
un intérêt car ils vous permettent de diversifier votre
alimentation tout en apportant l'ensemble des nutriments
dontvotreorganismeabesoin.
Il est conseillé de consommer au moins 5 portions
de fruits et légumes par jour (par exemple, 3 portions de
fruits et 2 légumes ou 4 de légumes et une de fruits), soit
environ 400 g, quelle que soit leur forme (crus, frais, en
conserve ou surgelés). Une portion équivaut à une
pomme, ou une tomate, ou deux abricots, ou une louchée
de soupe, ou un verre de jus de fruits (sans sucres
ajoutés),ouunecompotenon sucrée.
Attention : le riz, le blé, les pâtes, la semoule et les
pommesdeterrenesont pas des légumes.
Info Santé
Info Santé
5. CEPLA (EP)
Info Santé
Chronique Médicale
e diabète est un étranger sournois qui s'impose un jour
dans notre vie et vient bousculer nos habitudes sans
Lcrier gare. Cet intrus provoque maintes interrogations
appréhensions et incertitudes quant à notre avenir. Ils nous
plonge dans une réflexion prévisionnelle troublante et
souvent fort éprouvante. Que sera notre vie désormais ? Quel
impact le diabète aura-t-il sur notre santé, notre famille, notre
vie professionnelle ? Est-ce la fin du bonheur et le début d'une
série d'épreuves ? Il n'y a alors qu'une et une seule personne
diabétique au monde : Soi-même. Puis vient la question : Que
vais-jefaire?
La mission de cette chronique sur le diabète se résume
en2 mots:InformeretSensibiliser.
Information : Le diabète est une maladie caractérisée
par une élévation de la glycémie (taux du sucre dans le sang).
Il y a beaucoup de personnes diabétiques à travers le monde
chaque pays présente son pourcentage mais il demeure un fait
que la moitié des personnes diabétiques mondiale n'est pas
encore diagnostiquée et le nombre de diabétiques mondial
ème
sera doublé en 2025 et cette maladie sera la maladie du 21
siècle.
Le diagnostic du diabète est basé sur les résultats des
épreuves de laboratoire suivantes effectuées sur le sang
veineux.
1- GlycémieaJeun
2- Glycémieauhasard
3- Hyperglycémie provoquée orale 2 heures
aprèslaconsommationde75gdeglucose
Chiffrenormalglycémieajeun7mmol/litre
Chiffre normal glycémie au hasard ≥ //, 11,1 /mmol
/litre
Chiffre normal glycémie provoquer orale 11,1mmol
/litre
La glycémie augmente chez la personne diabétique à
cause d'un manque ou d'une carence en une hormone appelée
insuline dont le rôle est de permettre le sucre consommé
glucose d'entrer dans les cellules du corps pour être utilisée
sous forme d'énergie. En conséquence, la glycémie augmente
onparlealorsd'hyperglycémie.
L'insuline est fabriqué par le pancréas glande
endocrine située dans l'abdomen dans le cadre duodénal et
derrière l'estomac on peut dire que l'insuline est la clé qui
ouvre la porte et permet le sucre ( glucose ) d'entrer dans les
Info Santé
6. CEPLA (EP)
Info Santé
Chronique Médicale
ouvre la porte et permet le sucre ( glucose ) d'entrer dans les
cellulesetdefairebaisserlesucredanslesang.
Le glucose ou sucre c'est la source important
d'énergie pour les cellules de l'organisme de la même façon
que l'essence ( carburant ) est la source d'énergie qui fait
fonctionneruneautomobile.
D'où vient le glucose présent en excès dans le sang de la
personne diabétique.
Le glucoseenexcèsdanslesangprovientde2sources :
1- Des aliments contenant des glucides ingérés au
momentdesrepasetdescollations.
2- Du foie qui emmagasine le glucose au moment des
repas et le libère par la suite dans le sang entre les
repas.
Comment se manifestelediabèteou l'hyperglycémie.
Lorsque la glycémie s'élève au-delà d'un certain seuil les
signes suivantspeuventsemanifester.
1- Augmentation de la quantité et de la fréquence des
urines.
2- Soifintense
3- Bouchesèche
4- Faimexagéré
5- Amaigrissementinvolontaire.
L'hyperglycémiepeut égalementprovoquer
6- Visionembrouillée
7- Infectionsurtoutdes organesgénitauxetdelavessie
8- Plaiesquiguérissentmal
9- Fatigue
10- Somnolence
11- Irritabilité
Quellessont lescauses del'hyperglycémie?
Cesont lessuivants:
1- Consommation excessive d'aliments contenant de
glucides.
2- Diminutionsdel'activitéphysique
3- Erreurdedose des médicamentsantidiabétique.
4- Infection
5- Stress malgéré
6- Prisedecertainsmédicamentstelsquelacortisone
7- Hyperglycémie nocturne non corrigée suivie d'une
hyperglycémiematinalederebond.
Que doit faire la personne diabétique lorsqu'elle pense
êtreenhyperglycémie?
Ilestimportantde:
1- Mesurer sa glycémie
2- Boire beaucoup d'H o pour éviter la2
déshydratation250ml/heure
3- Identifierlacausedecettehyperglycémie
4- Continuer de s'alimenter (glucides ) et de
suivreletraitementprescrit.
5- Se rendre à l'urgence après avoir appelé le
médecin.
A suivre …
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