L'influence de l'alimentation sur notre santé - Santé & AlimentationFondation April
Fondation April - Santé : Démêler le Vrai du Faux. L'influence de l'alimentation sur notre santé - Santé & Alimentation. Les dessous de nos tables pour une alimentation saine et responsable. Une publication de la Fondation April, dans la collection "Santé : démêler le vrai du faux".
Les cas d’obésité augmentent dans le monde. Préoccupés par la menace à long terme de l’obésité sur la santé, les médecins et les chercheurs tentent de comprendre ce qui rend obèse afin de créer un traitement plus efficace, ainsi que des stratégies de prévention.
Influence de l'Alimentation sur la Santé - Santé & Alimentationfondationapril
Fondation April - Santé : Démêler le Vrai du Faux. L'influence de l'alimentation sur notre santé - Santé & Alimentation. Les dessous de nos tables pour une alimentation saine et responsable. Une publication de la Fondation April, dans la collection "Santé : démêler le vrai du faux".
L'influence de l'Alimentation sur notre Santé - Fondation Aprilfondation-april
L'influence de l'alimentation sur notre santé - Santé & Alimentation. Les dessous de nos tables pour une alimentation saine et responsable. Une publication de la Fondation April, dans la collection "Santé : démêler le vrai du faux".
Le « CEPLA EP » est une institution de mursing privée, régie par les lois du pays et le Ministère de la Santé Publique. Il a été fondé en 1988 par l’Infirmière Marie Lourdes CAIDOR et le docteur Pierre Richard CAIDOR. Son siège social est à la rue Rivière #15, Port-au-Prince.
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Les cas d’obésité augmentent dans le monde. Préoccupés par la menace à long terme de l’obésité sur la santé, les médecins et les chercheurs tentent de comprendre ce qui rend obèse afin de créer un traitement plus efficace, ainsi que des stratégies de prévention.
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L'influence de l'alimentation sur notre santé - Santé & Alimentation. Les dessous de nos tables pour une alimentation saine et responsable. Une publication de la Fondation April, dans la collection "Santé : démêler le vrai du faux".
Le « CEPLA EP » est une institution de mursing privée, régie par les lois du pays et le Ministère de la Santé Publique. Il a été fondé en 1988 par l’Infirmière Marie Lourdes CAIDOR et le docteur Pierre Richard CAIDOR. Son siège social est à la rue Rivière #15, Port-au-Prince.
✅ Un dossier sur le poids de l'alimentation dans notre quotidien.
⏩ Un quasi 360 sur les supposées cours des Miracles, qui rappelle les bases essentielles pour trouver son propre bon équilibre.
Ancel Keys : graisses saturées, cholestérol et 60 ans de mensongespouk
Aujourd'hui beaucoup de gens pensent encore que le gras fait grossir et qu'il est la cause des maladies cardio-vasculaires avec le cholestérol.
Il faut remonter aux années 50 pour retrouver l'origine de ce mythe et l'arrivée d'Ancel Keys au premier plan. C'est une histoire surprenante qui mêle études scientifiques biaisées, droit au dialogue bafoué et bien sûr argent, pouvoir et politique.
Alimentation et Nutrition - Prévention des maladies chroniquesGreenFacts
En raison de changements dans notre alimentation et notre mode de vie, certaines maladies chroniques touchent de plus en plus de personnes, tant dans les pays développés que dans les pays en voie de développement. En effet, les maladies chroniques liées à l’alimentation – telles que l’obésité, le diabète, les maladies cardiovasculaires, le cancer, les maladies dentaires, et l’ostéoporose- sont la première cause de mortalité dans le monde et représentent un coût important pour la société.
Comment une meilleure alimentation et l’activité physique peuvent-elles nous aider à réduire le risque de développer ces maladies chroniques ?
Le gras dans la viande, le poisson ou les végétaux est bon pour la santé.
Les acides gras saturés sont neutres du point de vue du risque cardiovasculaire, certains polyinsaturés sont indispensables et les mono-insaturés sont goûteux comme les avocats, les olives ...
Le gras du lait est excellent.
Les seuls produits à supprimer sont ceux qui contiennent des acides gras trans résultant d'un process industriel d'hydrogénation. Ceci est important.
L’hôpital public_ une entreprise paralysée 23_11_2019.pptxPelouze Guy-André
French public hospitals are territorial administrations. Consequently they are managed by the state and obey to a huge regulatory system which hampers their adaptability and governance. Changes are proposed in order to improve their efficiency in an environment of continuous and fast innovation.
Pour sortir le système de soins de l'impasse actuellePelouze Guy-André
Le système de soins est bloqué par l'inorganisation, la bureaucratie, les coûts et l'immobilisme du monopole d'assureur de la sécurité sociale. Pourtant les Français paient des impôts et des cotisations obligatoires très élevés; ils doivent pouvoir choisir leur assureur maladie et le contrat qui leur convient. Ce choix permettra de dynamiser l'offre et de réguler la demande. Il faut l'assortir de deux garanties, chaque résident doit avoir au minimum un contrat socle qui garantit les soins pour les maladies essentielles et ceux qui ne peuvent économiquement l'acheter doivent bénéficier d'un chèque santé du montant moyen de ce contrat.
La dynamique du marché (qui fait défaut au système actuel) et les garanties sociales pour éviter les passagers clandestins ou bien le coût du contrat pour les économiquement faibles peuvent améliorer rapidement le système tant pour l'accès aux soins essentiels que pour mieux rémunérer les soignants.
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En raison de changements dans notre alimentation et notre mode de vie, certaines maladies chroniques touchent de plus en plus de personnes, tant dans les pays développés que dans les pays en voie de développement. En effet, les maladies chroniques liées à l’alimentation – telles que l’obésité, le diabète, les maladies cardiovasculaires, le cancer, les maladies dentaires, et l’ostéoporose- sont la première cause de mortalité dans le monde et représentent un coût important pour la société.
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Les acides gras saturés sont neutres du point de vue du risque cardiovasculaire, certains polyinsaturés sont indispensables et les mono-insaturés sont goûteux comme les avocats, les olives ...
Le gras du lait est excellent.
Les seuls produits à supprimer sont ceux qui contiennent des acides gras trans résultant d'un process industriel d'hydrogénation. Ceci est important.
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La dynamique du marché (qui fait défaut au système actuel) et les garanties sociales pour éviter les passagers clandestins ou bien le coût du contrat pour les économiquement faibles peuvent améliorer rapidement le système tant pour l'accès aux soins essentiels que pour mieux rémunérer les soignants.
Covid 19 - petit état des lieux de la pandémie après le variant BA.2.pdfPelouze Guy-André
The future of the pandemic is an epidemic that drags months or years. How to deal with it?
L'avenir de la pandémie est une épidémie qui traîne des mois ou des années. Comment y faire face?
Red meat, ancestral diet and environment are not to be solved with prohibitions. I describe in this opinion the biases of observational studies and the mistakes in environment issues.
How the low fat obsession enabled the obesity epidemicPelouze Guy-André
With the best intention of curbing the obesity epidemic, public policies and agribusiness industry touted low fat. Contrary to their aim, they increased obesity all over the world. Low fat is not the solution and it is part of the problem.
Perspectives de la TM cardiovasculaire. Définition, histoire, modalités et efficacité sont envisagés au regard de la littérature. Puis les questions économiques et les enjeux à la faveur d'un sondage récent de Medscape sont discutés.
Why Numerus clausus failed in France since 40 yearsPelouze Guy-André
Numerus clausus is the law in France since more than 40 years for the state universities which BTW are the only authorized to have a medical school.
This number is decided by the government and the results are now clear: a massive doctor shortage.
However the suppression of NC is not the solution to this shortage, innovation in teaching, complete autonomy of universities and other conditions are mandatory to solve this catastrophic situation.
Statines en France: éléments de preuves pour favoriser le bon usagePelouze Guy-André
La polémique sur les statines prend un tour dangereux: il y a les pour et les contre. C'est bien évidemment stupide. d'ailleurs ceux là même qui sont contre évite de parler des patienst athéromateux ayant fait un accident et ceux qui sont contre ne commentent jamais les résultats du régime méditerranéen...
Quelques questions essentielles sur votre famille qu'il vaut mieux poser avant d'aller consulter un médecin... et qui pourraient améliorer le cas échéant diagnostic et traitement.
"conventional emergency “humanitarian aid” has failed to
improve health on even a medium-term basis in the last
four decades. Common sense indicates that populations
benefit more from improvements in wealth, water supply,
and agriculture than from consuming free goods from
international aid."
Richard Feinman et les études observationnelles sur l'alimentation
1. 17 août 2019
Manger avec Atlantico
Richard Feinman : "le fait de continuer à financer ce genre d'études retire des fonds dont
on a tant besoin pour de véritables recherches scientifiques"
« Manger avec Atlantico” : dans cette nouvelle série d’interviews, le Docteur Guy-André Pelouze interview des spécialistes mondiaux de la
nutrition. Ici, il discute avec Richard Feinman de ces questions centrales sur l’alimentation qui sont encore souvent l’objet de vives
controverses.
Avec Guy-André Pelouze
Avec Richard Feinman
Dr Guy-André Pelouze : Quelle est votre opinion actuelle sur l'épidémiologie nutritionnelle et pensez-
vous qu'elle valait la peine d'être financée comme elle l’a (généreusement) été depuis la Seconde Guerre
mondiale ?
Richard Feinman : L'épidémiologie constitue une méthode générale qui permet de prouver que deux événements sont liés.
Malheureusement, elle a été très largement mal appliquée et, dans le domaine de la nutrition, a produit une masse importante de
résultats trompeurs et peu fiables. L'analyse des associations entre les résultats physiologiques ou médicaux et les dossiers
diététiques ou d'autres mesures de la consommation qui comportent des erreurs extrêmement importantes n'a fourni que peu ou pas
d'information utile, malgré les allégations exagérées. Les conclusions sont souvent absurdes : la viande rouge provoque le diabète, les
régimes pauvres en glucides mettent la vie en danger, etc. Je pense que le fait de continuer à financer ce genre d'études retire des
fonds dont on a tant besoin pour de véritables recherches scientifiques. Il y a des critiques détaillées et, anticipant votre prochaine
question, il y a quelques bonnes règles que vous pouvez utiliser, mais il faut se méfier des approches épidémiologiques en nutrition.
Je vais vous demander maintenant de commenter trois points essentiels.Tout d'abord la question de
l'effet des graisses saturées semble persister en nutrition. Ancel Keys est décédé en 2004 : quel est son
héritage sur cette question ? Les graisses saturées augmentent-elles le risque de maladies
cardiovasculaires, en lien avec l'athérome ?
Ancel Keys, bien sûr, est considéré comme le père du mouvement anti-graisses saturées, mais il existe d'autres candidats à cette
paternité et il a de nombreux héritiers. Les preuves des effets des graisses saturées sont en grande partie épidémiologiques et par
conséquent, comme je vous l’ai expliqué dans la question précédente, extrêmement faibles. La logique de ces preuves consiste
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2. d’abord à montrer l’association entre l'apport alimentaire en graisses saturées et le cholestérol total ou une fraction du cholestérol.
Mais pour être probants, ces résultats doivent aussi être associés aux preuves d'une corrélation entre la présence de fractions de
cholestérol et les maladies cardio-vasculaires. Or ces deux corrélations sont faibles et ne sont pas universellement observées. Donc
cette thèse est sous-tendue par une logique qui est de toute façon fallacieuse. On a en réalité deux ensemble de données statistiques
distincts ; or pour que le raisonnement tienne, il faudrait montrer que les personnes dont l'apport en graisses saturées prédisait un
taux élevé de cholestérol sont les mêmes que celles dont le taux élevé de cholestérol prédisait une maladie cardiovasculaire. Cela n'a
jamais été fait. Ce qu'il faut, c'est un test direct de l'effet de la consommation de graisses saturées sur les maladies cardiovasculaires.
De telles études ont été réalisées à de nombreuses reprises et ne montrent presque jamais de corrélation. La littérature est claire. Il n'y
a aucun lien entre les graisses saturées et les MCV. Nous avons beaucoup cherché pour en trouver mais nous n'en trouvons pas.
Cela ne veut pas dire qu'il ne pourrait pas y en avoir un, c'est-à-dire qu'il pourrait y avoir des individus pour lesquels ce lien existe,
mais nous n'avons pas les preuves. De la même manière, lors d’un procès, il est impossible de prouver l’innocence de quelqu’un : ce
qui est possible, c’est de prouver que quelqu’un est non-coupable. Beaucoup de gens ont le sentiment que si un régime alimentaire
est riche en graisses saturées et en glucides, cela peut représenter un risque, mais nous ne pouvons même pas le démontrer.
Dans ce contexte, l'épidémiologie nutritionnelle est très paradoxale pour le profane. Un jour, les œufs
augmentent le cholestérol et le risque d’avoir une MCV et un autre jour (généralement dans une nouvelle
étude comme celle-ci), manger des œufs est bon pour la santé. Y a-t-il une explication ? Pouvez-vous
expliquer clairement pourquoi l'épidémiologie nutritionnelle n'est pas un domaine suffisamment sûr pour
être utilisé dans les directives alimentaires de la vie quotidienne ?
Il y a des critères pour décider quand une étude épidémiologique est vraiment prédictive. Un d’entre eux est particulièrement
intéressant : ce sont les neuf principes notés par Bradford Hill qui a identifié le lien étroit entre la fumée de cigarette et le cancer du
poumon. Les règles de Hill ne sont pas le fruit du hasard, mais plutôt de l'intuition et de l'expérience des scientifiques ou, plus encore,
du bon sens. Les études d'observation en épidémiologie nutritionnelle déterminent la probabilité de maladies cardiovasculaires (MCV),
par exemple, si vous mangez régulièrement des œufs. La probabilité, bien sûr, comme dans les paris, on la calcule ainsi : le nombre
de personnes qui développent une maladie divisé par le nombre total de personnes dans un groupe particulier (manger des œufs, ne
pas manger d'œufs). En médecine, la probabilité est aussi appelée risque, et le rapport de risque (RR) est simplement le risque pour
le groupe de mangeurs d’œufs d’avoir une MCV divisé par le même risque pour ceux qui n’en mangent pas. Un RR de 1 signifie qu'il
n'y a pas d'effet sur les œufs, c'est-à-dire que les chances sont à 50-50. Moins de 1 signifie moins de risque et plus de 1, plus de
risque. Alors, dans quelle mesure le RR peut-il être suffisant pour être considéré comme prédictif ? Eh bien, l'étude de Hill's sur le
tabagisme est considérée comme une sorte de norme. Il a constaté que le taux de mortalité par cancer du poumon était 10 fois plus
élevé chez les fumeurs de cigarettes que chez les non-fumeurs et que le taux chez les gros fumeurs de cigarettes était même de 20 à
30 fois plus élevé. Dans l'étude que vous avez mentionné, le RR pour les mangeur d’oeufs par rapport à ceux qui n’en mangent pas
du tout était de 0,89 (1,12 dans l'autre sens). 47/53 est en fait si proche de 50:50 que cela ne veut rien dire. C'est pourquoi, comme
vous le dites, l'épidémiologie nutritionnelle ne vous dit rien que vous puissiez utiliser dans la vie quotidienne. Alors pourquoi en parle-
t-on dans les revues scientifiques ? Pourquoi les médias s'en emparent-ils ? Et, comme vous le dites, si la semaine prochaine, les
œufs s'avèrent être un risque dans l'une de ces études, pourquoi personne ne les sortira de son alimentation ?
La réponse est la suivante: l'épidémiologie nutritionnelle, c’est de la mauvaise science, peut-être même de la science du tout.
Comment cette « spécialité » peut-elle persister ? La réponse : dans un domaine qui tolère la mauvaise science, les revues
scientifiques sont susceptibles d'être mauvaises et lorsque des gens comme moi, des gens qui ont des titres et des diplômes qui
montrent leur compétence, des gens d'expérience, soulèvent la question, les revues ne les publient pas. Les consommateurs, les
diététiciens, les gens qui souhaitent traiter une maladie avec des solutions nutritionnelles ? Ils sont laissés pour compte. Il y a
beaucoup de méthodes pourtant, comme celle de Bradford Hill. Mon livre, des livres écrits par d'autres et de nombreux articles
peuvent vous donner des idées sur la façon dont vous pouvez comprendre scientifiquement votre alimentation. Vous pouvez utiliser
votre bon sens et vous pouvez fabriquer avec cela votre propre science. Nous pouvons tous voir les effets de ce que nous mangeons.
Il faut juste être honnête avec soi-même. Je dis souvent que "J'aime le mot français pour « experiments », expériences, parce que
c'est ce que je recommande", En Anglais, "experiment", c'est-à-dire, l’expérience scientifique, porte une connotation sérieuse et
formelle. Par contre, le mot "expérience" implique l’expérience de la vie quotidienne. J'espère d'indiquer que nous pouvons
comprendre des idées scientifiques en prêtant attention à notre expérience vécue. C'est une simple question de bon sens. Si vous
suivez les recommandations d'un régime alimentaire et que votre propre expérience vécue est que vous prenez du poids, vous savez
que c'était une mauvaise recommandation...
Le deuxième point concerne les calories. Avez-vous une explication au débat récurrent qui oppose le
rôle de l'apport calorique total à la répartition des macronutriments dans l'obésité ? Les nutritionnistes
sont paradoxaux et divisés sur le rôle des calories et des macronutriments dans l'obésité et le DT2 : quel
est l'état de l'art des données expérimentales en 2019 ?
Le débat récurrent ressemble un peu à ce que l'on appelle dans les communications "half-duplex" (en français semi-duplex) : il n’y a
en fait pas vraiment de conversations sur ces sujets. Les gens se parlent juste à eux-mêmes. La bioénergétique, la science de la
thermodynamique appliquée aux systèmes vivants, est claire. C'est que personne ne veut vraiment changer d'avis. Il existe de
nombreuses expériences montrant que, tout comme les processus physiques ou industriels, le métabolisme des différents aliments a
une efficacité variable sur le nombre de calories qui sont stockées comme graisse, gaspillées comme chaleur, ou utilisées pour un
travail utile (pour les organismes vivants, le travail chimique de fabrication de nouveau matériel cellulaire). Pour l'obésité, il y a un réel
avantage pratique à limiter les glucides - au-delà du gain en inefficacité (vous voulez gaspiller de l'énergie à combattre l'obésité ?), la
satiété est bien meilleure et vous perdez votre goût pour le sucre (du moins la plupart d'entre nous le font). Pour le DT2, cependant, il
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3. s'agit d'un problème critique car le diabète de type 2 est une maladie (en réalité plusieurs maladies) d'intolérance aux glucides. Ici, il y
a deux sources de confusion. L'American Diabetes Association et d'autres organismes privés et gouvernementaux insinuent
explicitement ou indirectement que la perte de poids est la première approche pour traiter le diabète de type 2, malgré de nombreuses
preuves du contraire. Ils reconnaissent qu'il y a beaucoup de personnes obèses qui n'ont pas le diabète et inversement beaucoup de
personnes atteintes de diabète qui sont minces. En même temps, ils reconnaissent que les glucides alimentaires totaux sont le
facteur le plus important dans la régulation de la glycémie. Plus important encore, ils se donnent le privilège d'ignorer les preuves qui
montrent que la perte de poids n'est pas nécessaire pour améliorer la réponse glycémique et que les régimes à faible teneur en
glucides sont au moins aussi efficaces et généralement plus performants que les autres pour perdre du poids.
Le troisième point concerne le diabète de type 2. Que signifie le fait que l'Association Américaine du
Diabète (ADA) a récemment reconnu que les régimes à faible teneur en glucides peuvent être utiles dans
le DT2 ? En fait, s'agit-il d'une simple reconnaissance ou du début d'un revirement sur le rôle des sucres
et de la charge en glucides dans le traitement de l'obésité et du DT2 ? Quel est le rôle des approches
cliniques alternatives comme Virta Health dans ce contexte ?
Le document de l'ADA est non scientifique, mal rédigé et très biaisé. Il s'agit d'un document politique plutôt que scientifique, et
l'intention semble aider l'ADA plutôt que les fournisseurs de soins de santé ou leurs patients. On ne peut donc pas prédire ce que cela
signifiera. La question connexe pourrait être de savoir ce que cela signifie que l'ADA a ignoré l'idée évidente, historique et bien
documentée que, comme nous le disons, les restrictions alimentaires en matière de glucides devraient être la première approche pour
traiter le diabète de type 2 et comme complément à la pharmacologie du diabète de type 1. Bien que l'ADA ait admis dans ses lignes
directrices de 2013 que " la quantité de glucides est le facteur le plus important influençant la réponse glycémique après le repas et
devrait être pris en considération lors de l'élaboration du plan alimentaire. L'apport en glucides a un effet direct sur la glycémie
postprandiale chez les personnes atteintes de diabète et constitue le principal macronutriment préoccupant dans la gestion de la
glycémie." Comme dans votre question précédente, il insiste sur le fait que la perte de poids est primordiale.
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