Le gouvernement a présenté mercredi sont paquet de mesures destinées à soutenir l'économie et les entreprises en cette période de crise du coronavirus. Voici la liste des 21 mesures mises en place.
Webinaire Bpifrance Création COVID-19 : entrepreneurs, comment faire face à l...Bpifrance
Ce webinaire, qui s'est tenu vendredi 27 mars 2020, avait pour objectif de faire le point sur toutes les aides aux entreprises mises en place pour faire face à la crise du coronavirus Covid-19 et qui concernent plus particulièrement les créateurs et dirigeants de petites entreprises.
Animé par Audrey Dugué et Laurence Piganeau, juristes Bpifrance Création ainsi que par Isabelle Racaud, chargée de mission Bpifrance, ce webinaire a permis de vous :
- présenter les différentes mesures économiques et financières qui ont été prises dans le cadre de ce plan d'urgence,
- permettre d'identifier celles qui vous concernent et que vous pouvez mobiliser rapidement, orienter vers les bons interlocuteurs.
- orienter vers les bons interlocuteurs.
Mr Mohammed Boussaïd, ministre de l'Economie du Maroc a détaillé à la presse le vendredi 24 octobre les grands axes et principales mesures du projet de loi de finance 2015 du royaume présenté au Parlement.
Alors que débute le débat parlementaire, retrouvez en les grandes lignes avec le support écrit de son intervention.
Covid-19 : Entrepreneurs, comment faire face à la crise du coronavirus ?Bpifrance
Créateurs, entrepreneurs, vous souhaitez faire le point sur toutes les aides aux entreprises mises en place pour faire face à la crise du coronavirus COVID-19 ?
L'objectif de ce webinaire est de :
- vous présenter les différentes mesures économiques et financières qui ont été prises dans le cadre de ce plan d'urgence,
- vous permettre d'identifier celles qui vous concernent et que - vous pouvez mobiliser rapidement,
- vous orienter vers les bons interlocuteurs.
La société nationale de crédit et d’investissement affiche une perte historique pour l’année 2020, qui s’élève à 22,76 millions contre un bénéfice de 28,25 millions pour l’exercice précédent, en grande partie due aux conséquences du Covid-19 sur ses activités.
Le gouvernement a présenté mercredi sont paquet de mesures destinées à soutenir l'économie et les entreprises en cette période de crise du coronavirus. Voici la liste des 21 mesures mises en place.
Webinaire Bpifrance Création COVID-19 : entrepreneurs, comment faire face à l...Bpifrance
Ce webinaire, qui s'est tenu vendredi 27 mars 2020, avait pour objectif de faire le point sur toutes les aides aux entreprises mises en place pour faire face à la crise du coronavirus Covid-19 et qui concernent plus particulièrement les créateurs et dirigeants de petites entreprises.
Animé par Audrey Dugué et Laurence Piganeau, juristes Bpifrance Création ainsi que par Isabelle Racaud, chargée de mission Bpifrance, ce webinaire a permis de vous :
- présenter les différentes mesures économiques et financières qui ont été prises dans le cadre de ce plan d'urgence,
- permettre d'identifier celles qui vous concernent et que vous pouvez mobiliser rapidement, orienter vers les bons interlocuteurs.
- orienter vers les bons interlocuteurs.
Mr Mohammed Boussaïd, ministre de l'Economie du Maroc a détaillé à la presse le vendredi 24 octobre les grands axes et principales mesures du projet de loi de finance 2015 du royaume présenté au Parlement.
Alors que débute le débat parlementaire, retrouvez en les grandes lignes avec le support écrit de son intervention.
Covid-19 : Entrepreneurs, comment faire face à la crise du coronavirus ?Bpifrance
Créateurs, entrepreneurs, vous souhaitez faire le point sur toutes les aides aux entreprises mises en place pour faire face à la crise du coronavirus COVID-19 ?
L'objectif de ce webinaire est de :
- vous présenter les différentes mesures économiques et financières qui ont été prises dans le cadre de ce plan d'urgence,
- vous permettre d'identifier celles qui vous concernent et que - vous pouvez mobiliser rapidement,
- vous orienter vers les bons interlocuteurs.
La société nationale de crédit et d’investissement affiche une perte historique pour l’année 2020, qui s’élève à 22,76 millions contre un bénéfice de 28,25 millions pour l’exercice précédent, en grande partie due aux conséquences du Covid-19 sur ses activités.
L'Assurance chômage en 2013 : rapport d'activitéUnédic
Bilan de l’année 2013, faits marquants , temps forts des activités… Retrouvez toutes les informations majeures de l’Unédic dans son rapport d’activité. Plus d'info sur www.unedic.fr
Le gouvernement a de son côté prévu de mettre au point avec les partenaires sociaux un ensemble de cinq réformes qui ont fait
l’objet d’une lettre de cadrage. Instituer une indemnisation pour les démissionnaires et pour les travailleurs indépendants est à
la fois non souhaitable et contre-indiqué financièrement. La troisième réforme concernant la limitation par pénalisation des CDD
courts n’a qu'un enjeu limité, et lorsque nécessaire, devrait plutôt conduire à diminuer l'indemnisation qu'à pénaliser l'employeur.
Le contrôle accru des chômeurs est en revanche souhaitable. Enfin, le remplacement de certaines cotisations par la CSG ne saurait
justifier la participation de l’État à la gouvernance de l’Unedic.
Mais le gouvernement se garde bien d’évoquer certains autres sujets de fond qui fâchent, à savoir que de moins en moins
l’assurance chômage conserve son caractère assurantiel, dans la mesure où l’État exige de l’Unedic, dont les ressources pèsent
directement sur le coût du travail marchand, qu’elle finance des politiques publiques de solidarité qui devraient reposer sur l’impôt.
Ce faisant, l’État est responsable des déficits de l’Unedic, et ne craint pas de les augmenter encore avec l’indemnisation annoncée
des démissionnaires et des travailleurs indépendants. Nos préconisations prioritaires sont les suivantes :
❙ équilibrer le financement par l’Unedic des points de retraite acquis pendant les périodes de chômage (déséquilibre de 2 milliards) ;
❙ annuler ou réduire fortement le financement par l’Unedic de Pôle emploi (3,3 milliards) ;
❙ faire participer les entreprises publiques à l’assurance chômage (plusieurs milliards) ;
❙ mettre à la charge de l’État les indemnisations qui ressortissent à un objectif de solidarité nationale : intermittents du spectacle,
exonérations spéciales et éviter les subventions croisées (1 milliard pour les intermittents, 1 milliard pour les autres subventions).
Enfin des réformes paramétriques devraient aussi être menées :
❙ augmenter le ratio d’éligibilité en passant la durée minimum d’affiliation de 4 à 6 mois, et ultérieurement à 8 mois, sur une période
de 18 mois (1,8 milliard) ;
❙ baisser, au minimum, à 0,9 de jour indemnisé pour un jour cotisé le taux de transformation (1,2 milliard) ;
❙ supprimer les revenus de remplacement proches des revenus du travail ou supérieurs ;
❙ et en fonction de la mise en oeuvre des réformes ci-dessus, baisser le taux des cotisations patronales et salariales.
Finances publiques : Le plan AAA pour sauver la FranceFondation iFRAP
Car ce n'est malheureusement pas le gel des dépenses de l'État et des dotations aux collectivités annoncé qui résoudra l'équation. Sur le long terme, il faudra aller beaucoup plus loin en s'inspirant de l'exemple britannique pour plafonner les aides sociales, de l'exemple allemand pour réduire le nombre d'agents publics, de l'exemple italien pour fusionner les communes et réduire le nombre d'élus, de l'exemple britannique encore pour baisser les salaires des hauts fonctionnaires. En clair : un vrai plan de rigueur.
Tout le monde est d'accord sur le constat mais personne ne va plus loin. Où couper, que faire ? Ces questions semblent sans réponse. Ce dossier vise à montrer que, sur le court terme, on peut mettre au point un vrai plan d'économies pour garder notre AAA sans pour autant casser la croissance. Cela demande de jouer en partie sur les dépenses sociales (prestations sociales, assurance-maladie, retraites), les dépenses des collectivités locales, celles de l'État, mais aussi de vendre des participations de l'État dans les entreprises. En faisant cela sur les trois volets (État, collectivités et Sécurité sociale), on peut aisément économiser 8,8 milliards d'euros par an sur les dépenses et obtenir 1,8 milliard de recettes fiscales nouvelles. Et la France peut aussi réaliser 20 milliards d'euros deux ans de suite grâce à la cession de ses participations. C'est ce que nous détaillons dans ce dossier. Voilà pour le court terme. Pour le long terme, il faut, pour que notre pays renoue avec la croissance, relancer la création d'entreprises et d'emplois, remettre l'entreprise au cœur de notre système et consolider le contrôle de l'efficience de nos dépenses publiques par la Cour des comptes et le Parlement, pour qu'enfin nos parlementaires puissent faire de vraies propositions d'économies.
Projet de loi de finances 2015 - 01/10/2014FactaMedia
Michel Sapin, ministre des Finances et des Comptes publics, et Christian Eckert, secrétaire d’Etat chargé du Budget, ont présenté le projet de loi de finances pour 2015, le 1er octobre 2014 à Bercy.
Bilan 2007-2017 : Fiscalité, dette, dépenses publiques, chômageFondation iFRAP
Au moment crucial de la préparation de la mandature 2017-2022, il est temps pour les candidats de réfléchir aux réformes qu’ils souhaitent mettre en oeuvre au cours du prochain quinquennat pour redresser notre économie et restaurer notre indépendance financière. Nous avons pris le parti de regarder cette décennie passée à l’aune des indicateurs suivants : dépenses publiques et emploi public, prélèvements obligatoires, dette et déficit, chômage et emplois aidés, emploi marchand et création d’entreprises, simplification. Des thèmes sur lesquels, les présidents avaient pris des engagements sur les deux derniers quinquennats.
Avec un décryptage des mesures engagées et de l’évolution de ces indicateurs dans d’autres pays d’Europe, nous voulons montrer que diminuer la part des dépenses publiques dans la richesse nationale, réduire le déficit et la dette par rapport au PIB, baisser les impôts et le taux de prélèvements obligatoires pour relancer la création d’emplois marchands et renouer avec une croissance au-dessus de 2 % par an, tout cela est possible et nécessite une stratégie. Si le prochain gouvernement veut voir le fruit de son travail se réaliser sur le quinquennat, il devra mettre en oeuvre les réformes nécessaires, et ce, dès les premiers jours de son mandat.
La France a été exposée à un mouvement de désindustrialisation plus marqué que ses principaux partenaires. Sixième puissance industrielle mondiale en 2004, elle est au huitième rang en 2019. Bien que les écarts de compétitivité-coût se soient partiellement résorbés au cours de la dernière décennie, l’économie française souffre de handicaps structurels qui grèvent encore certains aspects de sa compétitivité, notamment hors-coût. La recherche et développement se traduit insuffisamment en innovations industrielles. Cinq leviers d’action sont identifiés, qui permettraient d’adapter la politique industrielle aux nouveaux enjeux, parmi lesquels la nécessité de cibler de manière renforcée les interventions sectorielles et celle de rénover la gouvernance de cette politique.
FIDDAYS - Comment optimiser la gestion de son patrimoine ? Les tendances en 2...FIDAQUITAINE
FIDDAYS - Comment optimiser la gestion de son patrimoine ? Les tendances en 2018.
N°21 - Salle A - 8h00 / 9h00
TRADITIA - Philippe de SAINT-SEINE
Fondateur et Président
TRADITIA - Bertrand de PETIVILLE - Juriste
L'Assurance chômage en 2013 : rapport d'activitéUnédic
Bilan de l’année 2013, faits marquants , temps forts des activités… Retrouvez toutes les informations majeures de l’Unédic dans son rapport d’activité. Plus d'info sur www.unedic.fr
Le gouvernement a de son côté prévu de mettre au point avec les partenaires sociaux un ensemble de cinq réformes qui ont fait
l’objet d’une lettre de cadrage. Instituer une indemnisation pour les démissionnaires et pour les travailleurs indépendants est à
la fois non souhaitable et contre-indiqué financièrement. La troisième réforme concernant la limitation par pénalisation des CDD
courts n’a qu'un enjeu limité, et lorsque nécessaire, devrait plutôt conduire à diminuer l'indemnisation qu'à pénaliser l'employeur.
Le contrôle accru des chômeurs est en revanche souhaitable. Enfin, le remplacement de certaines cotisations par la CSG ne saurait
justifier la participation de l’État à la gouvernance de l’Unedic.
Mais le gouvernement se garde bien d’évoquer certains autres sujets de fond qui fâchent, à savoir que de moins en moins
l’assurance chômage conserve son caractère assurantiel, dans la mesure où l’État exige de l’Unedic, dont les ressources pèsent
directement sur le coût du travail marchand, qu’elle finance des politiques publiques de solidarité qui devraient reposer sur l’impôt.
Ce faisant, l’État est responsable des déficits de l’Unedic, et ne craint pas de les augmenter encore avec l’indemnisation annoncée
des démissionnaires et des travailleurs indépendants. Nos préconisations prioritaires sont les suivantes :
❙ équilibrer le financement par l’Unedic des points de retraite acquis pendant les périodes de chômage (déséquilibre de 2 milliards) ;
❙ annuler ou réduire fortement le financement par l’Unedic de Pôle emploi (3,3 milliards) ;
❙ faire participer les entreprises publiques à l’assurance chômage (plusieurs milliards) ;
❙ mettre à la charge de l’État les indemnisations qui ressortissent à un objectif de solidarité nationale : intermittents du spectacle,
exonérations spéciales et éviter les subventions croisées (1 milliard pour les intermittents, 1 milliard pour les autres subventions).
Enfin des réformes paramétriques devraient aussi être menées :
❙ augmenter le ratio d’éligibilité en passant la durée minimum d’affiliation de 4 à 6 mois, et ultérieurement à 8 mois, sur une période
de 18 mois (1,8 milliard) ;
❙ baisser, au minimum, à 0,9 de jour indemnisé pour un jour cotisé le taux de transformation (1,2 milliard) ;
❙ supprimer les revenus de remplacement proches des revenus du travail ou supérieurs ;
❙ et en fonction de la mise en oeuvre des réformes ci-dessus, baisser le taux des cotisations patronales et salariales.
Finances publiques : Le plan AAA pour sauver la FranceFondation iFRAP
Car ce n'est malheureusement pas le gel des dépenses de l'État et des dotations aux collectivités annoncé qui résoudra l'équation. Sur le long terme, il faudra aller beaucoup plus loin en s'inspirant de l'exemple britannique pour plafonner les aides sociales, de l'exemple allemand pour réduire le nombre d'agents publics, de l'exemple italien pour fusionner les communes et réduire le nombre d'élus, de l'exemple britannique encore pour baisser les salaires des hauts fonctionnaires. En clair : un vrai plan de rigueur.
Tout le monde est d'accord sur le constat mais personne ne va plus loin. Où couper, que faire ? Ces questions semblent sans réponse. Ce dossier vise à montrer que, sur le court terme, on peut mettre au point un vrai plan d'économies pour garder notre AAA sans pour autant casser la croissance. Cela demande de jouer en partie sur les dépenses sociales (prestations sociales, assurance-maladie, retraites), les dépenses des collectivités locales, celles de l'État, mais aussi de vendre des participations de l'État dans les entreprises. En faisant cela sur les trois volets (État, collectivités et Sécurité sociale), on peut aisément économiser 8,8 milliards d'euros par an sur les dépenses et obtenir 1,8 milliard de recettes fiscales nouvelles. Et la France peut aussi réaliser 20 milliards d'euros deux ans de suite grâce à la cession de ses participations. C'est ce que nous détaillons dans ce dossier. Voilà pour le court terme. Pour le long terme, il faut, pour que notre pays renoue avec la croissance, relancer la création d'entreprises et d'emplois, remettre l'entreprise au cœur de notre système et consolider le contrôle de l'efficience de nos dépenses publiques par la Cour des comptes et le Parlement, pour qu'enfin nos parlementaires puissent faire de vraies propositions d'économies.
Projet de loi de finances 2015 - 01/10/2014FactaMedia
Michel Sapin, ministre des Finances et des Comptes publics, et Christian Eckert, secrétaire d’Etat chargé du Budget, ont présenté le projet de loi de finances pour 2015, le 1er octobre 2014 à Bercy.
Bilan 2007-2017 : Fiscalité, dette, dépenses publiques, chômageFondation iFRAP
Au moment crucial de la préparation de la mandature 2017-2022, il est temps pour les candidats de réfléchir aux réformes qu’ils souhaitent mettre en oeuvre au cours du prochain quinquennat pour redresser notre économie et restaurer notre indépendance financière. Nous avons pris le parti de regarder cette décennie passée à l’aune des indicateurs suivants : dépenses publiques et emploi public, prélèvements obligatoires, dette et déficit, chômage et emplois aidés, emploi marchand et création d’entreprises, simplification. Des thèmes sur lesquels, les présidents avaient pris des engagements sur les deux derniers quinquennats.
Avec un décryptage des mesures engagées et de l’évolution de ces indicateurs dans d’autres pays d’Europe, nous voulons montrer que diminuer la part des dépenses publiques dans la richesse nationale, réduire le déficit et la dette par rapport au PIB, baisser les impôts et le taux de prélèvements obligatoires pour relancer la création d’emplois marchands et renouer avec une croissance au-dessus de 2 % par an, tout cela est possible et nécessite une stratégie. Si le prochain gouvernement veut voir le fruit de son travail se réaliser sur le quinquennat, il devra mettre en oeuvre les réformes nécessaires, et ce, dès les premiers jours de son mandat.
La France a été exposée à un mouvement de désindustrialisation plus marqué que ses principaux partenaires. Sixième puissance industrielle mondiale en 2004, elle est au huitième rang en 2019. Bien que les écarts de compétitivité-coût se soient partiellement résorbés au cours de la dernière décennie, l’économie française souffre de handicaps structurels qui grèvent encore certains aspects de sa compétitivité, notamment hors-coût. La recherche et développement se traduit insuffisamment en innovations industrielles. Cinq leviers d’action sont identifiés, qui permettraient d’adapter la politique industrielle aux nouveaux enjeux, parmi lesquels la nécessité de cibler de manière renforcée les interventions sectorielles et celle de rénover la gouvernance de cette politique.
FIDDAYS - Comment optimiser la gestion de son patrimoine ? Les tendances en 2...FIDAQUITAINE
FIDDAYS - Comment optimiser la gestion de son patrimoine ? Les tendances en 2018.
N°21 - Salle A - 8h00 / 9h00
TRADITIA - Philippe de SAINT-SEINE
Fondateur et Président
TRADITIA - Bertrand de PETIVILLE - Juriste
En Février 2015 des informations sur les SCPI de rendement, les bonnes règles de la retraite progressive et un cas pratique sur la résiliation d'assurance
IFI: il est urgent d'attendre ! Investissement Conseils Mars 2018Fabrice Haehl
Qui dit nouvel impôt, dit nouvelles règles. Si l’IFI reprend les grandes lignes de l’ISF, de nombreux cas d’exceptions viennent complexifier l’investissement immobilier et, parfois même, le pénaliser. Plus que jamais, il est nécessaire de se faire accompagner pour définir les meilleures stratégies d’optimisation de son patrimoine
Accord relatif à l'activité partielle de longue durée APLD dans la convention collective nationale des entreprises de commerce, de location et de réparation de tracteurs, machines et matériels agricoles, de matériels de travaux publics, de bâtiment et de manutention, de matériels de motoculture de plaisance, de jardins et d'espaces verts du 30 octobre 1969. Etendue par arrêté du 11 octobre 1971 (JO du 7 novembre 1971).
Lois de finances 2020 pour le secteur financier : la France post « gilets jau...Deloitte Société d'Avocats
Le 14 janvier 2020, à l’occasion des Lois de finances, les experts Deloitte | Taj, en partenariat avec l’AMAFI (Association Française des Marchés Financiers), animaient une conférence portant sur les impacts des Lois de finances pour le secteur financier.
Eric Vacher, Conseiller pour les affaires fiscales de l’AMAFI sont intervenus auprès des experts Deloitte | Taj afin d’apporter leur éclairage sur les thèmes abordés.
Les interventions de nos experts se sont déclinées autour des axes majeurs suivants :
Fiscalité personnelle : le grand chamboulement, Acte II ?
Fiscalité de l’épargne et financement des entreprises : Baromètre AMAFI 2018
Fiscalité des entreprises : des mouvements en sens contraire
Fiscalité internationale : toujours plus de contraintes
TVA : quelles perspectives pour 2019 ?
Anti-fraude : vers une pénalisation ?
Veille économique. Covid-19 : impacts sur l'économie du nouveau pays de Lorie...AudéLor
Inscrite au programme de travail d’AudéLor, la fonction de veille économique stratégique est menée dans le cadre d’un partenariat entre les directions Veille et études économiques et Appui aux entreprises et Innovation.
Cette veille est basée sur les connaissances d’AudéLor sur le tissu économique du territoire, sur un traitement de données statistiques ainsi que sur une revue de presse (nationale, régionale, spécialisée…).
Accord relatif au dispositif d'activité partielle de longue durée dans les secteurs des industries de carrières et matériaux, des industries de la chaux et des industries des tuiles et briques.
Diaporama Webinaire - Entrepreneurs comment reussir a passer la crise ?FIDAQUITAINE
Document en date du 21 avril 2020
Intervenant : Martin Schnapper Expert-Comptable FIDAQUITAINE
Partenaire : Hauts de Garonne Développement - Agence de développement économique de la rive droite de Bordeaux Métropole.
Altares et AlphaValue ont associé leurs savoir-faire pour créer AltaValue, un socle de connaissance unique sur les PME et les ETI françaises. Les perspectives, valorisations et notations sont construites de sorte à produire une information neutre, offrant ainsi un nouveau repère aux professionnels du financement des PME-ETI.
S41 revue de presse kylia - semaine du 02 au 08 octobre 2017
Note d'information Bilan SCPI T1 2020 - Periance-conseil.fr
1. La situation que nous vivons
actuellement est inédite. Par
définition, la gestion de
patrimoine consiste à gérer et
adapter sa stratégie
patrimoniale en fonction de sa
situation, de ses projets et du
contexte. En dépit de cette
crise, nous restons confiants
sur l’écosystème solide de
l’immobilier et de la pierre
papier, dont l’investissement
s’envisage sur le long terme.
Les SCPI sauront démontrer
leur capacité à résister grâce à
la mutualisation du risque et la
capacité d'adaptation des
sociétés de gestion. En
témoigne les 1er résultats
publiés au T1 2020.
L'ÉDITO
Quel bilan tirer de ce 1 er
trimestre ?
Une mobilisation rapide et efficace des sociétés
de gestion
Nous avons chez Periance plusieurs années d'expérience dans le domaine de
l'immobilier et la pierre papier. Et, il faut le reconnaître, la situation que
nous vivons actuellement est inattendue et inédite. Dans ce contexte, il est
donc intéressant de souligner la réactivité dont ont fait preuve les
gestionnaires des SCPI pour s'adapter au contexte.
Pour rappel des faits :
le Premier ministre Edouard Philippe a annoncé, le samedi 14 mars 2020, la
fermeture, en France et à compter de minuit, des bars, restaurants, cinémas
et lieux publics, en raison de l’épidémie de coronavirus. Le 16 Mars 2020 le
Président Emmanuel Macron annonce à son tour un renforcement des
mesures lors d'une allocution télévisée. Il s'ensuit alors, un confinement total
de la population. Lors de cette même allocution, le chef de l'Etat révèle sa
stratégie pour soutenir l'économie et venir en aide aux entreprises, qui vont
inévitablement faire face à une baisse significative de leur activité : plan
massif de chômage partiel, report des loyers, prêts garantis par l'état,
subvention exceptionnelle de 1500 € pour les TPE etc...
SCPI : un 1er
trimestre positif
face à la crise
PERIA NCE, L'I MMOBILIER S OUS TOUTES SES FOR MES
MAI 2020 |
Note d'information
WWW.PERI ANCE- C ON S EI L. FR
Jérémy Orféo, Président et co-
fondadteur de Periance
2. Les SCPI réajustent leur prévisionnel
pour 2020. L'impact de la crise
sanitaire ne sera pas le même selon
la composition de leur patrimoine
immobilier. En effet, S’agissant des
recettes locatives, les associations et
fédérations représentatives des
bailleurs ont appelé leurs adhérents
à annuler 3 mois de loyers pour les
locataires TPE appartenant à l’un
des secteurs dont l’activité est
interrompue en application des
mesures prises par le Gouvernement
relatives à la lutte contre la
propagation de l’épidémie de Covid
19 (principalement commerces et
restaurants).
Cartographier l'ensemble de leur parc immobilier,
secteur d'activité par secteur d'activité, pour évaluer
les risques d'impayés
Prendre contact avec leur locataires pour évaluer
leurs besoins
Etudier au cas par cas les demandes de report afin
de ne retenir que celles réellement fondées
Proposer des échelonnements de loyers pour les
accompagner dans cette épreuve
Communiquer régulièrement sur l'état de la
situation locative de leur(s) SCPI et sur leurs
projections de distribution, auprès des associés et
partenaires distributeurs.
Une réaction immédiate des sociétés de
gestion
Dans l'instant, les gestionnaires des SCPI ont mesuré la
gravité de la situation qui a touché certains de leurs
locataires. Ils ont alors pris l'initiative de :
1.
2.
3.
4.
5.
Dans ce contexte inédit, les sociétés de gestion ont fait
preuve d'une réelle transparence, permettant ainsi aux
professionnels et aux particuliers de mesurer
concrètement les impacts directs de cette crise
sanitaire sur les loyers encaissés par les SCPI.
Des prévisionnels
réajustés
Entre 2,5 % et 6,5 %
Jusqu’à présent même si les prévisionnels ont été
réajustés, globalement ils se situent non loin des
résultats de 2019. Pour mémoire, en 2019 les
performances s'échelonnaient entre 2,88 % et 6,81 %.
Ce qui laisse présager à fin avril 2020, un TDVM moyen
pour 2020 qui pourrait être compris entre 3,5 % et 4 %,
selon l'évolution de la situation au deuxième trimestre
Ces chiffres confirment ce que nous
défendons : il faut choisir les SCPI
en fonction de leur moteur de
performance : patrimoine
immobilier.
3. Les SCPI spécialisées
pourraient se
démarquer en 2020
L'immobilier de santé, la logistique
et le résidentiel.
Pierval Santé (Euryale AM)
Primovie (Primonial Reim)
Deux secteurs immobiliers d'entreprise pourraient
bénéficier de la situation actuelle pour se démarquer
des autres : l'immobilier de santé, et la logistique.
Le secteur immobilier de la santé présente la
caractéristique spécifique et majeure d’être décorrélé de
l’économie marchande. Les autorisations d’exploitation
des activités qui y sont pratiquées ainsi que leur suivi
sont généralement encadrées par les pouvoirs publics.
Par ailleurs, la valorisation d'un actif de santé est moins
exposée à la notion d'emplacement que d'autres classes
d'actif. Elle est fondée principalement sur la rentabilité
immobilière, elle-même très liée à la rentabilité de
l’exploitant.
Nous pensons notamment ici aux SCPI :
Par ailleurs, les premiers signaux montrent que le
confinement aura donné un véritable coup
d'accélérateur à la digitalisation de nos outils de travail,
de notre manière de consommer et de vivre d'une
manière générale. Ce qui pourrait donner un coup
d’accélérateur également au développement du e-
commerce et accroître les besoins en infrastructures
logistiques adaptées. Secteur d'investissement
privilégiée par la SCPI Activimmo (Alderan) qui confirme
son prévisionnel à 6 % de distribution pour 2020 dans
son dernier bulletin trimestriel.
L'investissement en SCPI, comme
pour tout investissement immobilier,
s'évalue sur le long terme et présente
un risque de perte en capital . Les
performances passées ne préjugent
pas des performances futures.
Enfin, l'immobilier résidentiel est, à ce jour, peu impacté
par la crise actuelle. Les reports de loyers ne concernent
que les entreprises. Aussi, l'impact sur les recettes
locatives des SCPI détenant un patrimoine immobilier
essentiellement composé d'immobilier de logement,
devrait être très limité.
C'est la raison pour laquelle nous pensons que la SCPI
Kyaneos Pierre de Kyaneos AM pourrait terminer sur le
devant de la scène en 2020. En témoigne le prévisionnel
réajusté pour 2020, compris en 6 % et 6,5 %.
4. Les SCPI diversifées
opportunistes,
également dans le
TOP 10 en 2020 ?
La diversification comme moteur de
performance
Corum XL (Corum) - Prévi 2020 = 5 %
Corum Origin (Corum) - Prévi 2020 = 6 %
Eurion (Corum) - Prévi 2020 = 4,5 %
Altixia Cadence XII (Altixia) - Prévi 2020 = 4,5 %
Neo (Novaxia AM) - Prévisionnel 2020 = 6 %
Cœur de Régions (Sogenial) - Prévi 2020 = 6,25 %
Vendôme Régions (Norma)- Prévi 2020 = 5,90 %
Epargne Pierre (Voisin)- Prévi 2020 = 5,20% à 5,4%
Que ce soit d'un point de vue sectoriel ou géographique,
les SCPI diversifiées pourraient tirer leur épingle du jeu
cette année. Tout d'abord parce que selon les pays, les
mesures de confinement n'ont pas été aussi strictes qu'en
France. Par ailleurs, dans certains pays, la ré-ouverture de
certains commerces à d'ores et déjà été prononcée au mois
d'avril 2020. Ensuite, parce qu'en se positionnant sur
différents secteurs d'investissement, les SCPI diversifiées
augmentent la mutualisation du risque locatif. Un des
risques principaux dans cette crise sanitaire.
Les SCPI à surveiller dans cette catégorie :
Les analyses fournies dans cette note
d'information ne peuvent pas être
considérées comme un conseil en
investissement. Il est important au
préalable q'un conseiller évalue votre
profil d'investisseur afin d'adapter
ses recommandations.
L'impact ne sera pas le même d'une SCPI à l'autre. Mais
à la lumière des informations communiquées par les
sociétés de gestion, ce sont les SCPI de commerces et
d'hôtelerie qui présentent les perspectives les moins
florissantes pour cette année 2020, en comparaison avec
celles de l'année 2019. La thématique "hôtellerie" en
SCPI à capital variable est relativement récente. Elle
prend de l'ampleur avec la SCPI Atream Hôtel en 2016
qui depuis sont lancement affichait un TDVM supérieur à
la moyenne du marché depuis sa création. Pour le
moment, la société de gestion a préféré, par prudence,
revoir ses ambitions à 3 % de TDVM au travers d'une
note adressée au partenaires et aux associés de la SCPI
le 6 avril 2020.
Les SCPI les plus
touchées
Les exploitants hôteliers et les
commerçants ont eu majoritairement
recours aux demandes de report
5. Altixia Commerces (Altixia Reim)
Coeur de Ville (Sogenial)
S'agissant des SCPI de commerces, si l'on compare les
acomptes du T1 2020 à ceux du T1 2019, les baisses
enregistrées s'échelonnent entre 0 % et -32 %. A y
regarder de plus près, nous constatons que certaines
sociétés de gestion ont fait le choix de baisser dès à
présent les revenus versés aux porteurs de part pour
lisser la baisse de loyers sur l'année entière. D'autres
préfèrent eux adapter leur politique de distribution au
fil de l'eau, en fonction des demandes de report et de
l'évolution de la situation. Nous pensons que les
demandes de report ou d'annulation devraient
augmenter au T2 2020 pour les SCPI de commerces.
D'autant que les associations et fédérations
représentatives des bailleurs ont appelé leurs
adhérents à annuler 3 mois de loyers pour les
locataires TPE appartenant à l’un des secteurs dont
l’activité est interrompue en application des mesures
prises par le Gouvernement relatives à la lutte contre
la propagation de l’épidémie (principalement
commerces et restaurants). Recommandation que les
SCPI devraient suivre majoritairement pour sécuriser
leurs loyers futurs et favoriser la reprise d'activité de
leurs locataires.
Il faut souligner néanmoins que certaines sociétés de
gestion, grâce à leur stratégie d'investissement,
conservent un prévisionnel supérieur ou égal à 5 %
pour leur SCPI de commerces. C'est le cas notamment
des SCPI :
Les SCPI de bureaux devraient être moins impactées que les
SCPI de commerces ou d'hôtellerie. Mais la diversité des
locataires (taille) et des secteurs d'activités dans lesquels
évoluent ces locataires est telle, que les performances 2020
pour ces SCPI de bureaux ne suivront probablement pas le
même chemin d'une SCPI à une autre. C'est ce qui ressort
des premiers éléments chiffrés en notre possession. En effet,
en analysant les acomptes du T1 2020 par rapport à ceux au
même trimestre l'année dernière, aucune tendance uniforme
ne se dessine. Certains acomptes sont à la hausse comme
par exemple celui de la SCPI Epargne Foncière (+ 2,02 %);
d'autres sont stables, c'est le cas notamment des SCPI
Primopierre, PF Grand Paris ou Placement Pierre; d'autres
encore affichent une baisse raisonnable comme la SCPI
Efimmo 1 (-4,54 %) ou encore la SCPI PFO2 (-4,55 %); et
enfin certaines présentent des baisses plus significatives
(jusqu'à -32 %).
Encore une fois, ces données confirment à nouveau que le
choix et la sélection des SCPI doit porter également sur la
composition de leurs patrimoines et des locataires en place,
et pas uniquement sur leurs performances passées.
SCPI de bureaux :
des premiers signes
hétérogènes
6. SAS au capital de 21 000 euros inscrite au RCS de Bordeaux.
SIREN 850 568 221. APE 7022Z. TVA FR74850568221.
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Conseiller en Investissements Financiers. Courtier d’assurance.
Membre de la CNCGP. RCP MMA IARD 118.263.166
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