Comprendre la représentation de l'information numérique (texte, image, son, vidéo...) avec la numération binaire, octale, l'hexadécimale... Comprendre les enjeux (charset,unicode, utf-8, adresses IP...), loi de Moore... - Semestre 1 DUT MMI Bordeaux -
objectif général :
Acquérir les bases méthodologiques de la résolution d'un problème devant conduire à la réalisation d'un programme informatique.
objectifs opérationnels :
Connaître les étapes de résolution d’un problème.
Stocker et traiter des données simples
Communiquer avec l’algorithme.
Contrôler le flux d’exécution des instructions.
Traiter des données composites.
Définir et utiliser des procédures et des fonctions.
QCM basique sur les réseaux informatiquesFrust Rados
1. Autres Annales et QCM sur : http://quizmyself.blogspot.com/
2. Autres Annales et QCM sur : http://quizmyself.blogspot.com/
3. Autres Annales et QCM sur : http://quizmyself.blogspot.com/
4. Autres Annales et QCM sur : http://quizmyself.blogspot.com/
objectif général :
Acquérir les bases méthodologiques de la résolution d'un problème devant conduire à la réalisation d'un programme informatique.
objectifs opérationnels :
Connaître les étapes de résolution d’un problème.
Stocker et traiter des données simples
Communiquer avec l’algorithme.
Contrôler le flux d’exécution des instructions.
Traiter des données composites.
Définir et utiliser des procédures et des fonctions.
QCM basique sur les réseaux informatiquesFrust Rados
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Ce cours concerne les arbres, structure de données organisant les données de manière hiérarchique dans de nœuds reliés entre eux par une relation parent-enfant. Le cours présente les arbres généraux et ensuite les arbres binaires, où chaque nœud possède 0 ou 2 enfants. Enfin, le cours termine en présentant des algorithmes de recherche et en particulier l'arbre binaire de recherche.
Conversion d'un nombre du système décimal (base 10) vers un système de numéra...ATPENSC-Group
Tutoriel qui présente à l'apprenant les différentes techniques mathématiques pour convertir un nombre du système décimal (base 10) vers un système de numération quelconque.
Un réseau de neurones récurrent (RNN, recurrent neural network) est un type de réseau de neurones artificiels principalement utilisé dans la reconnaissance automatique de la parole, dans l'écriture manuscrite et dans le traitement automatique du langage naturel, en particulier dans la traduction automatique.
Les RNN sont conçus de manière à reconnaître les caractéristiques séquentielles et pour prédire le scénario suivant le plus probable.
Les réseaux LSTM (Long Short Term Memory ou mémoire à long terme et à court terme ) sont un type spécial de RNN, capable d'apprendre les dépendances à long terme. Ils ont été introduits par Hochreiter et Schmidhuber en 1997, et ont été par la suite affinés et popularisés à travers plusieurs travaux. Ils fonctionnent extrêmement bien sur une grande variété de problèmes et sont maintenant largement utilisés.
Lien pour la version vidéo :
https://youtube.com/playlist?list=PLzjg2z2kYUrjcL_UhvQawGGB85UA9rtNO
Travaux Dirigés : Algorithmique et Structure de DonnéesAnass41
Introduction....................................................................................
Les variables...................................................................................
1. Objectif ....................................................................................
2. Déclaration ...............................................................................
3. Type des variables ....................................................................
4. L’instruction d’affectation .......................................................
Les variables ....................................................................................
Correction TD 1 ...............................................................................
Les structures de contrôle ................................................................
1. Objectif ....................................................................................
2. Les structures de contrôle: .......................................................
3. Les structures itératives ............................................................
Les structures de contrôle ................................................................
Correction TD 2 ...............................................................................
Les tableaux à une dimension ..........................................................
1. Objectif ....................................................................................
2. Définition .................................................................................
3. Exemple ...................................................................................
4. Algorithmes de tri ....................................................................
Les tableaux à une dimension.......................................................
Les tableaux à deux dimensions ......................................................
1. Objectif ....................................................................................
2. Définition .................................................................................
3. Exemple ...................................................................................
Les tableaux à deux dimensions ......................................................
Les fonctions ....................................................................................
Objectif ............................................................................................
Les enregistrements .........................................................................
Les fichiers séquentiels ....................................................................
Ce cours concerne les arbres, structure de données organisant les données de manière hiérarchique dans de nœuds reliés entre eux par une relation parent-enfant. Le cours présente les arbres généraux et ensuite les arbres binaires, où chaque nœud possède 0 ou 2 enfants. Enfin, le cours termine en présentant des algorithmes de recherche et en particulier l'arbre binaire de recherche.
Conversion d'un nombre du système décimal (base 10) vers un système de numéra...ATPENSC-Group
Tutoriel qui présente à l'apprenant les différentes techniques mathématiques pour convertir un nombre du système décimal (base 10) vers un système de numération quelconque.
Un réseau de neurones récurrent (RNN, recurrent neural network) est un type de réseau de neurones artificiels principalement utilisé dans la reconnaissance automatique de la parole, dans l'écriture manuscrite et dans le traitement automatique du langage naturel, en particulier dans la traduction automatique.
Les RNN sont conçus de manière à reconnaître les caractéristiques séquentielles et pour prédire le scénario suivant le plus probable.
Les réseaux LSTM (Long Short Term Memory ou mémoire à long terme et à court terme ) sont un type spécial de RNN, capable d'apprendre les dépendances à long terme. Ils ont été introduits par Hochreiter et Schmidhuber en 1997, et ont été par la suite affinés et popularisés à travers plusieurs travaux. Ils fonctionnent extrêmement bien sur une grande variété de problèmes et sont maintenant largement utilisés.
Lien pour la version vidéo :
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Travaux Dirigés : Algorithmique et Structure de DonnéesAnass41
Introduction....................................................................................
Les variables...................................................................................
1. Objectif ....................................................................................
2. Déclaration ...............................................................................
3. Type des variables ....................................................................
4. L’instruction d’affectation .......................................................
Les variables ....................................................................................
Correction TD 1 ...............................................................................
Les structures de contrôle ................................................................
1. Objectif ....................................................................................
2. Les structures de contrôle: .......................................................
3. Les structures itératives ............................................................
Les structures de contrôle ................................................................
Correction TD 2 ...............................................................................
Les tableaux à une dimension ..........................................................
1. Objectif ....................................................................................
2. Définition .................................................................................
3. Exemple ...................................................................................
4. Algorithmes de tri ....................................................................
Les tableaux à une dimension.......................................................
Les tableaux à deux dimensions ......................................................
1. Objectif ....................................................................................
2. Définition .................................................................................
3. Exemple ...................................................................................
Les tableaux à deux dimensions ......................................................
Les fonctions ....................................................................................
Objectif ............................................................................................
Les enregistrements .........................................................................
Les fichiers séquentiels ....................................................................
Este documento contiene extractos de varias leyes relacionadas con la legislación penal y la protección de niños, niñas y adolescentes en Venezuela. En primer lugar, presenta artículos sobre delitos contra recursos estratégicos, legitimación de capitales, asociación delictiva y terrorismo. Luego, incluye artículos de la ley de protección de niños que garantizan sus derechos a la vida, identidad y desarrollo. Finalmente, expone aspectos del sistema penal de responsabilidad de adolescentes, como su ámbito de aplicación, garant
El documento contiene preguntas sobre competencias laborales generales. Explica que las competencias laborales evalúan el desempeño, producto y conocimiento de una persona para desempeñar una función productiva. Señala que los estudiantes deben desarrollar cada asignatura responsablemente para ver su desempeño. Las competencias laborales generales incluyen conocimiento, habilidades, actitudes y ética que se pueden aplicar en cualquier sector productivo.
El documento contiene preguntas sobre competencias laborales generales. Explica que las competencias laborales evalúan el desempeño, producto y conocimiento de una persona para desempeñar una función productiva. Señala que los estudiantes deben desarrollar cada asignatura responsablemente para evaluar su desempeño. Las competencias incluyen autoconfianza, creatividad, empatía, comunicación, trabajo en equipo e iniciativa. Las competencias se clasifican en intelectuales, personales, interpersonales, organizacionales y tecnológic
La Francia rimane un mercato importante e i paesi di lingua francese sono circa 70 con una popolazione di 220 milioni di persone che parlano francese nel Mondo.
Le boutique e le Federazioni con cui lavoro mi richiedono spesso informazioni sui produttori italiani per “organizzare” i loro acquisti. Inserite la Vostra azienda nell’“Annuaire IncontriModa 2013”, dove una descrizione in francese dei prodotti della Vostra azienda aiuterà i buyer a sceglierVi per i loro acquisti.
Quest’anno la versione scaricabile sarà sostenuta da una versione online completamente personalizzabile!
El documento describe los diferentes sistemas operativos existentes, incluyendo Microsoft Windows, Linux, Apple y sus versiones. Explica brevemente cada sistema operativo, sus versiones principales y propósitos.
10 ans de création d'entreprises innovantes en France, une photographie inéditeauto entrepreneur
http://autoentrepreneurinfo.com/tag/entreprise-innovante
Placée sous l’angle de la cartographie, cette étude présente dix années d’entrepreneuriat innovant dans le contexte économique et politique français
de la période 1998-2007.
L’analyse est réalisée par OSEO en collaboration avec le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche (MESR-SETTAR).
L’entrepreneuriat innovant, vivier des entreprises de croissance de demain, a connu un dynamisme important en France à compter de 1999. Afin de contribuer aux réflexions sur les trajectoires de développement de ces nouvelles entreprises à fort potentiel, 5 500 créations ont été passées au crible pour en repérer les « marqueurs génétiques » à travers une analyse descriptive du contexte de démarrage.
Quel projet d’innovation et quel type d'entreprise créée ? Qui sont les porteurs de projet ? Quelles sont leurs motivations, leurs craintes ? Quelles contraintes ont-ils rencontrées et quels leviers ont-ils actionnés ?
Au final, se dégagent quelques traits singuliers à partir desquels 5 modèles de développement apparaissent…
Seminario de Ventas con énfasis en Redes SocialesYohel Amat
Este documento discute el papel creciente de las redes sociales y el marketing móvil en el mundo moderno de los negocios. Se destaca que más del 60% de la población mundial ahora usa teléfonos inteligentes y se navegará más por dispositivos móviles que por computadoras de escritorio. Las empresas deben estar atentas a las conversaciones en línea y usar canales como Twitter, Facebook y aplicaciones móviles para interactuar con los clientes y generar oportunidades de ventas.
Le Naturiste est un cas concret d’entreprise québécoise issue du secteur du détail en pleine réflexion sur l’optimisation de son expérience client. Comment créer une expérience holistique qui intègre autant les points de contact physiques, numériques et humains? Quelle a été l'approche adoptée pour analyser et comprendre le parcours des utilisateurs dans les boutiques Naturiste versus en ligne? Comment les dirigeants ont-ils procédé pour faire de leur entreprise une entreprise de détail valorisant le eCommerce? Quelles ont été les étapes-clés pour adopter cette nouvelle philosophie d’entreprise et un modèle d’affaires plus innovant? Quelles ont été les prévisions et les prochaines étapes qui accompagneront ce nouveau virage? Matyas Gabor et Mélanie Kau présentent ici l’approche et les règles qui permettent à une entreprise de détail de prendre ce virage numérique pour mieux servir ses clients et développer de nouveaux marchés.
Este documento define el plan de lapso como un método para planificar los contenidos que se desean impartir en un período de tiempo determinado con el fin de diagnosticar las fortalezas y debilidades de los estudiantes y mostrar los contenidos de forma creciente y compleja a lo largo del tiempo. Un plan de lapso típicamente incluye competencias, contenidos, actividades, tiempos de ejecución y evaluación, y debe ser flexible. Debe contener elementos curriculares como el tiempo, la finalidad, los contenidos y las estrategias.
Ecuador es un país situado en el noroeste de América del Sur, con una población de 15.74 millones. Ecuador tiene 4 regiones principales: la Costa, conocida por sus playas, la Sierra con una variedad de paisajes entre volcanes, el Oriente que es el pulmón del mundo, y las Islas Galápagos, donde se originó y evolucionó la vida. La capital y ciudad más grande es Quito, y la moneda es el dólar estadounidense.
El documento habla sobre el maltrato animal y cómo los animales, especialmente los perros, sufren a manos de los humanos a pesar de que los perros son considerados los amigos del hombre. El documento también menciona que los animales sienten dolor igual que los humanos y que deberíamos apreciar más a los animales por el cariño que nos dan. Finalmente, el documento se refiere a los derechos de los animales y los límites en el trato que los seres humanos les dan.
Les mathématiques au service du transport de l’informationDany-Jack Mercier
Les mathématiques participent de façon essentielle au traitement de l’information, par exemple pour :
- Converser avec l’ordinateur
- Coder des sons et des images
- Compresser des fichiers
- Dessiner des polices
- Transmettre des données (codes correcteurs d’erreurs)
Cette présentation, issue d'une conférence donnée le 20 mars 2015 au lycée Baimbridge de Pointe-à-Pitre dans le cadre de la semaine des mathématiques, permet de faire le point et de voir où et quand les mathématiques interviennent pour écouter écrire un texte et le transmettre, écouter de la musique ou regarder une vidéo.
Quelques pages intéressantes sur Python avec des exemples, et en particulier en 1.4 le programme de calcul d'une intégrale par la méthode des rectangles, des trapèzes et de Simpson.
(1) Ce document provient de : https://www.apprendre-en-ligne.net/pymath/support.pdf (au 27 mars 2019)
(2) Il est extrait du site : https://www.apprendre-en-ligne.net/index.php
Réalisation d'un mashup de données avec DSS de Dataiku - Première partieGautier Poupeau
Cf la seconde partie https://www.slideshare.net/lespetitescases/ralisation-dun-mashup-de-donnes-avec-dss-de-dataiku-et-visualisation-avec-palladio-deuxime-partie
Tutoriel pour réaliser un mashup à partir de jeux de données libres téléchargés sur data.gouv.fr et Wikidata entre autres avec le logiciel DSS de Dataiku. Après une introduction sur la notion de mashup et des exemples, cette première partie s'intéresse à la préparation de deux jeux de données issues de data.gouv.fr et provenant du Centre national du cinéma.
Ce tutoriel a servi de support de cours au Master 2 "Technologies numériques appliqués à l'histoire" de l'Ecole nationale des chartes lors de l'année universitaire 2016-2017.
Cours sur les circuits logiques câblés www.cours-online.commorin moli
L'utilisation de systèmes digitaux est en pleine expansion. Pour s'en convaincre, il n'y a qu'à regarder autour de nous l'explosion de la microinformatique, qui s'est même implantée dans les ménages. Un nombre de plus en plus grand de machines (télévision, voiture, machine à laver, etc.) utilisent de l'électronique numérique.
1. REPRESENTATION DE L’INFORMATION
UE12 - Module M1201 - “Culture scientifique et traitement de l’information”
DUT MMI Bordeaux - Semestre 1
Département MMI { Métiers du Multimédia et de l’Internet }
IUT Michel de Montaigne - Université Bordeaux 3
www.iut.u-bordeaux3.fr & www.mmibordeaux.com
Philippe METAYER
philippe.metayer@iut.u-bordeaux3.fr
2. OBJECTIFS du cours
”REPRESENTATION DE L’INFORMATION”
• Fournir les bases mathématiques pour l’informatique.
• Connaître le vocabulaire de la théorie des ensembles.
• Découvrir l’arithmétique dans toutes les bases (notamment bases 2, 8, 10, 16).
• Maitriser les changements de base.
• Connaître la manière dont sont codés les caractères dans les appareils
informatiques grâce aux tables ASCII, UNICODE, UTF-8...
3. PLAN du cours
”REPRESENTATION DE L’INFORMATION”
1. Les 4 types d’informations multimédias.
2. Quels usages en informatique ?
3. Analogique ou numérique ?
4. Historique des chiffres et de la numération.
5. Historique de la numération binaire.
6. Les systèmes de numération.
7. Le codage du texte.
8. Applications web et réseaux.
9. 2- Représenter l’information multimédia... oui, mais
pour quels usages en informatique ?
• L’information est la matière première de l’informatique : les algorithmes, les
machines, les langages sont nés de notre désir de transformer, transmettre et
stocker des informations...
• ACQUISITION (capture, échantillonnage, quantification...)
• STOCKAGE (sur supports optique, magnétique...)
10. 2- Représenter l’information multimédia... oui, mais
pour quels usages en informatique ?
• TRAITEMENT (amplification, filtrage, effets spéciaux...)
• TRANSPORT (réseaux informatiques : réseaux filaires ou sans fil...)
11. 3- Analogique ou numérique ?
• Les phénomènes qui nous entourent sont quasiment tous continus, c'est-à-dire
que lorsque ces phénomènes sont quantifiables, ils passent d'une valeur
à une autre sans discontinuité. (mesure de la température ambiante, de la
distance, de la vitesse...).
• Ainsi, lorsque l'on désire reproduire les valeurs du phénomène, on l'enregistre
sur un support physique, afin de pouvoir l'interpréter pour reproduire le
phénomène original de la façon la plus exacte possible.
• Lorsque le support physique peut prendre des valeurs continues (un nombre
infini de valeurs), on parle d'enregistrement analogique. Par exemple une
cassette vidéo, une cassette audio ou un disque vinyle sont des supports
analogiques.
• Par contre, lorsque le signal ne peut prendre que des valeurs bien définies (un
nombre fini de valeurs), on parle alors de signal numérique.
12. 3- Analogique ou numérique ?
La représentation d'un signal analogique est donc une courbe, tandis qu'un
signal numérique pourra être visualisé par un histogramme.
• Analogique = nombre infini de valeurs /// Numérique = nombre fini de valeurs.
13. Format des fichiers numériques
• Le FORMAT NUMERIQUE est le format utilisé en informatique, que ce soit
pour le stockage, les traitements mais aussi la transmission de données.
(exemple avec les fichiers audio).
• Dans LA REPRESENTATION NUMERIQUE DE L’INFORMATION, il y a souvent
un en-tête (header) qui décrit le type d’informations suivis par les données
(data).
• Dans certains cas rares, on utilise les DONEES BRUTES (sans en-tête) dans
un fichier (fichier RAW) (exemple en photographie).
14. 4- Historique des chiffres et de la numération
Le système de numération additif de Sumer :
• Ce système est le plus ancien et date d’environ
3200 avant J.-C.
• Il utilise des symboles différents pour les unités
et les dizaines, et des symboles particuliers pour
représenter 60, 600, 3600, 36 000 et 216 000.
• C’est donc un système reposant sur la base 60,
et comportant deux formes, l’une dite archaïque,
et l’autre plus récente dite cunéiforme.
• Pour former des nombres, on dessine autant de
symboles que nécessaire.
15. 4- Historique des chiffres et de la numération
Le système de numération additif égyptien en hiéroglyphes (3000 av. J.C.) :
• Un grand nombre de civilisations ont adopté les systèmes de numération additifs
(Sumer, Egypte, Grèce, Mésopotamie, les Mayas, les Phéniciens) plus de 1000 ans
avant notre ère. Une telle numérotation additive devient cependant vite compliquée avec
de très grands nombres.
16. 4- Historique des chiffres et de la numération
Le système de numération additif grec (1000 av. J.C.) :
17. 4- Historique des chiffres et de la numération
• Le système de numération additif aztèque (1200 - 1520) :
• Un grand nombre de civilisations ont adopté ce schéma dans leur système (Sumer,
Egypte, Grèce, Mésopotamie, les Mayas, les Phéniciens).
• Une telle numérotation additive devient cependant vite compliquée avec de très grands
nombres.
18. 4- Historique des chiffres et de la numération
• Le système positionnel chinois (540 av. J.C.) :
Les chiffres 1 à 5 sont symbolisés par 1 à 5 bâtons, les chiffres 6 à 9 par 1 à 4
bâtons surlignés.
Les Chinois inventent un système ingénieux pour fixer le rang du chiffre. Les
bâtons sont verticaux pour représenter les unités, les centaines, les dizaines de
milliers, etc, et horizontaux pour représenter les dizaines, les milliers et les
centaines de milliers.
19. 4- Historique des chiffres et de la numération
• Le système positionnel chinois (540 av. J.C.) :
Ainsi, si deux groupes de symboles sont verticaux, c’est qu’il y a un espace
symbolisant un «zéro» entre les deux. Mais lorsque l’on doit, par exemple,
représenter 4000, l’ambiguïté subsiste.
Des damiers fixant les positions des chiffres permirent de laisser un espace
vide pour symboliser le «zéro», là encore non opératoire. Celui-ci fut remplacé
par un petit rond vers 800 après J.-C., mais on sait que ce «zéro opératoire» fut
probablement introduit après divers contacts antérieurs avec l’Inde.
20. 5- Historique de la numération binaire
• Fu HSI, considéré comme le premier roi chinois aurait vécu il y a plus de 5000
ans. Il est à l’origine du Yi King (le Livre des Mutations) procédant d’une
lecture du monde en trait plein et trait brisé, les trigrammes, des 0 et 1 en
quelque sorte !
• Le roi WEN (1150-750 av. J.C), aurait proposé une disposition inversée des
trigrammes : les hexagrammes.
!
21. 6- Les systèmes de numération.
6-1 Numération décimale ou BASE 10 :
• Ce système de numération usuel dans la vie quotidienne dispose de 10
symboles : 0, 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9.
• On travaille alors en BASE 10.
• Exemple : 7239 = 7.103 + 2.102 + 3. 101 + 9.100
• Notation : 7239 en base 10 se note (7239)10
22. 6- Les systèmes de numération.
6-2 Numération binaire ou BASE 2 :
• Ce système de numération usuel en électronique et informatique dispose de
2 symboles : 0, 1.
• On travaille alors en BASE 2.
• Exemple 1 : ( 1011 )2 = ( 1.23 + 0.22 + 1. 21 + 1.20 )10 = ( 8 + 0 + 2 + 1 ) = ( 11 )10
• Puissances de 2 : 1, 2, 4, 8, 16, 32, 64, 128, 256, 512, 1024, 2048, 4096...
• Exemple 2 : ( 4 )10 = ( ? )2 Exemple 3 : ( 9 )10 = ( ? )2 Exemple 4 : ( 14 )10 = ( ? )2
23. 6- Les systèmes de numération.
• Exemple 2 : ( 4 )10 = ( 0.23 + 1.22 + 0. 21 + 0.20 )10 = ( 0100 )2
• Exemple 3 : ( 9 )10 = ( 1.23 + 0.22 + 0. 21 + 1.20 )10 = ( 1001 )2
• Exemple 4 : ( 14 )10 = ( 1.23 + 1.22 + 1. 21 + 0.20 )10 = ( 1110 )2
• Exemple 5 : ( 43 )10 = ( 1.25 + 0.24 + 1.23 + 0.22 + 1. 21 + 1.20 )10 = ( 101011 )2
• Un état binaire (0 ou 1) est appelé BIT (abréviation de BInary digiT)
• Les puissances successives (1, 2, 4, 8, 16, 32, 64, 128, 256, 512, 1024,
2048...) sont appelées poids binaire.
• Le bit de poids le plus fort est appelé MSB (Most Significant Bit).
• Le bit de poids le plus faible est appelé LSB (Least Significant Bit).
24. 6- Les systèmes de numération.
6-3 Numération octale ou BASE 8 :
• Ce système de numération est usuel en électronique et informatique dispose
de 8 symboles : 0, 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7.
• On travaille alors en BASE 8. 8 bits = 1 octet !
• Exemple 1 : ( 17 )8 = ( ? )10
• Exemple 2 : ( 27 )8 = ( ? )10
• Exemple 3 : ( 29 )8 = ( ? )10
25. 6- Les systèmes de numération.
• Exemple 1 : ( 17 )8 = ( 1. 81 + 7.80 )10 = ( 8 + 7 ) = ( 15 )10
• Exemple 2 : ( 27 )8 = ( 2. 81 + 7.80 )10 = ( 16 + 7 ) = ( 23 )10
• Exemple 3 : ( 29 )8 = impossible à convertir en base 10 car le symbole 9
n’existe pas en base 8...
26. 6- Les systèmes de numération.
6-4 Numération hexadécimale ou BASE 16
• Ce système de numération est usuel en électronique et informatique dispose
de 16 symboles (10 chiffres+6 lettres): 0, 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, A, B, C, D, E, F.
• Ce codage est largement utilisé aujourd’hui car il permet de manipuler les
octets comme des blocs de chiffres hexadécimaux, ce qui évite des erreurs de
calcul.
• On travaille alors en BASE 16 => puissances de 16 : 1, 16, 256, 4096, 65536...
• (A)16 = (10)10 / (B)16 = (11)10 / (C)16 = (12)10 / (D)16 = (13)10 / (E)16 = (14)10 /
(F)16 = (15)10
27. 6- Les systèmes de numération.
• Exemple 1 : ( 17 )16 = ( ? )10
• Exemple 2 : ( 27 )16 = ( ? )10
• Exemple 3 : ( 1A )16 = ( ? )10
29. 6- Les systèmes de numération.
6-5 Le codage DCB ou BCD
• Le DCB “Décimal Codé Binaire” ou BCD “Binary Coded Decimal” est un code
de représentation des nombres dans les systèmes numériques.
• Dans ce code, chaque chiffre de la représentation décimale est codée sur un
groupe de 4 bits.
• avantage : affichage décimal
grandement facilité.
• inconvénient : des combinaisons
de bits sont inutilisées.
30. 6- Les systèmes de numération.
• Exemple : codage du nombre ( 1048 )10 :
• En binaire ou base 2 :
1048 = 1024 + 16 + 8
1.210 + 0. 29 + 0.28 + 0.27 + 0.26 + 0. 25 + 1.24 + 1.23 + 0.22 + 0. 21 + 0.20
soit ( 1048 )10 = ( 0100 0001 1000) 2
soit 11 bits nécessaires.
• En BCD :
( 1048 )10 = ( 0001 0000 0100 1000) BCD
soit 16 bits nécessaires !
31. 7- Le codage du texte
• 7-1 Le besoin de coder !
L’homme a toujours éprouvé naturellement le besoin de communiquer avec
ses semblables. Pour cela, il se sert le plus souvent de la parole pour
transmettre ses idées en utilisant un vocabulaire commun.
32. 7- Le codage du texte
• 7-2 Bref historique du codage des textes
• Francis BACON (1561-1626) a inventé un code consistant à représenter une
lettre par un ensemble de 5 symboles afin de dissimuler un message secret.
• Il partait d’une phrase comme “Ne partez surtout pas sans moi”
• Lettre en italique = B sinon A puis décodage par le tableau d’alphabet.
FUYEZ !
33. 7- Le codage du texte
• 7-2 Bref historique du codage des textes
• Claude CHAPPE (1763-1805) met au point un système de transmission
rapide des informations qui s’avéra très utile pour transmettre et recevoir des
informations pendant la Révolution.
• Ce système fut baptisé “tachygraphe” (écriture rapide) puis
“télégraphe” (écriture à distance). 96 signaux formaient un alphabet pour
coder les messages par ce système optique.
34. 7- Le codage du texte
• 7-2 Bref historique du codage des textes
• Les avancées dans le domaine de l’électricité et de l’électromagnétisme ont
permis à Samuel MORSE (1791-1872) de mettre au point le télégraphe
électrique.
• Le code Morse est un code binaire mais le nombre de bits varie selon le
caractère à coder.
35. 7- Le codage du texte
• 7-2 Bref historique du codage des textes
• Emile BAUDOT (1845-1903) cherche un moyen d’augmenter le débit des
communications et met au point un système qui, côté émetteur, multiplexe les
signaux binaires avec un clavier 5 touches et qui, côté récepteur, imprime le
message reçu (1 = trou et 0 = blanc).
36. 7- Le codage du texte
• 7-2 Bref historique du codage des textes
• C’est alors le début des téléscripteurs :
37. 7- Le codage du texte
• 7-2 Bref historique du codage des textes
• Bob BEMER responsable des standards de programmation chez IBM propose
un code qui serait commun à l’ensemble des ordinateurs afin de faciliter la
transmission des informations : le code ASCII.
• La 1ère version du code ASCII code chaque caractère sur 7 bits. On peut
donc coder combien de caractères ? ...
38. 7- Le codage du texte
• 7 bits par caractère donc :
27 possibilités soit 128
caractères possibles.
Un 8e bit a été utilisé par la
suite pour coder chaque
caractère sur un octet, ce qui
a permis d’afficher 256
caractères différents.
Mais ce n’est pas suffisant...
39. 7- Le codage du texte
• 7-2 Bref historique du codage des textes
• La table ASCII a été mise au point aux Etats-Unis et permettait de coder des
caractères de langue anglaise et des symboles spécifiques à ce pays.
• Lorsque les applications sont utilisées dans d’autres pays, certains caractères
doivent être ajoutés comme par exemple les caractères accentués.
• Et ne parlons pas des alphabets russes, arabes, grecs, chinois... mais aussi
des caractères spéciaux utilisés dans le domaine scientifique !
40. 7- Le codage du texte
Bref... une multitude de langues, de symboles et donc de caractères à coder !
41. 7- Le codage du texte
• 7-3 La norme UNICODE et ISO/IEC 10646
• L’ISO (International Standard Organisation) et l’IEC (International
Electrotechnical Commission) mettent en place en 1984 des comités pour
élaborer des normes pour “établir un répertoire de caractères graphiques des
langues écrites du monde et son codage”. C’est la naissance de la norme
ISO/IEC 10646.
• Ce groupe de travail recense tous les caractères, symboles, glyphes, lettres,
idéogrammes, logogrammes du monde pour constituer l’UCS ou Universal
Character Set. Aujourd’hui, on en est à plus de 1 million de caractères
recencés !
42. 7- Le codage du texte
• 7-3 La norme UNICODE et ISO/IEC 10646
• Le gros défi à surmonter est qu’un même symbole peut être vu de différentes
manières d’une culture à l’autre, d’une langue à l’autre...
• Pour contourner ce problème, il a fallu inventer des caractères abstraits qui
sont considérés comme des symboles de base.
43. 7- Le codage du texte
• 7-3 La norme UNICODE et ISO/IEC 10646
• En 1988, plusieurs industriels mondiaux se réunissent pour créer le
consortium UNICODE.
• En 1992, le consortium UNICODE et le comité ISO/IEC 10646 font converger
leurs répertoires de caractères et de codes afin de n’avoir qu’une seule norme
au niveau mondial.
44. 7- Le codage du texte
• 7-4 PMB ou Plan Multilingue de Base.
• L’UCS (Universal Character Set) comprend plus de 1 million de caractères
mais actuellement seuls, les 65536 premiers sont utilisés. Ils constituent le
plan multilingue de base ou PMB.
• Une certaine compatibilité ascendante est assurée entre ce PMB et les tables
historiques :
- les 128 premiers caractères correspondent à la table ASCII 7 bits.
- les 128 caractères suivants correspondent aux caractères de la table
ISO8859-1 ou “latin-1”.
45. 7- Le codage du texte
• 7-5 UTF ou UCS Transformation Format
• Rappel : UCS = Universal Character Set (Plus d’1 million de caractères
recencés!)
• L’UTF est tout simplement un mécanisme de traduction des codes UCS en
des nombres codés sur 8 bits (UTF-8), sur 16 bits (UTF-16) ou 32 bits
(UTF-32).
• Ce système a été mis au point afin de faciliter la prise en charge l’évolution de
l’UCS par les systèmes de façon transparente (pas besoin de modifier les
interfaces de programmation ou API) => interopérabilité
• Ce système permet aussi de transférer des caractères UCS sur le réseau
utilisant du « vieux » matériels (nous transformons les caractères UCS en une
suite d’octets grâce à l’UTF-8) => interopérabilité
46. 8- Applications web et réseaux.
8-1 Ecriture et conception de pages web.
• La notion du jeu de caractères utilisé est une notion essentielle dans le
développement de pages web. Cette notion est pourtant parsemée
d’embûches, surtout en terme d’interopérabilité. N’avez-vous jamais reçu de
mails avec des caractères cabalistiques ?
• Le jeu de caractères désigne la façon dont les caractères d’un alphabet
donné sont convertis en octet dans un fichier informatique.
• Certaines méthodes d’encodage sont spécifiques à un environnement
informatique dans une langue et un alphabet donné, d’autres sont
multiplateformes et multilingues : ASCII, windows-1252, ISO-8859-1, UTF8.
47. 8- Applications web et réseaux.
• ASCII : Jeu de caractères basiques. Interopérabilité maximale mais il faudra
accentuer les caractères spéciaux et accentués par des entités du genre
é pour le é ou &euro pour le symbole euro.
• windows-1252 : jeu de caractères utilisés pour windows et de nombreuses
applications microsoft. C’est la porte ouverte à des problèmes de
compatibilité sur d’autres systèmes.
• L’ISO-8859-1 : c’est l’encodage par défaut sur de nombreux protocoles
réseau, ce qui est le gage d’une excellente interopérabilité.
• UTF-8 : application de l’Unicode qui est présentée comme la solution de
l’avenir. Son adoption à l’heure actuelle est freinée par la prise en charge
problématique dans certains langages de programmation comme le PHP.
48. 8- Applications web et réseaux.
8-2 Encodage (charset) d’une page web et html5.
• Les navigateurs possèdent une fonction de détection automatique du jeu de
caractères. Mais l’encodage retenu provoque parfois des erreurs
d’interprétation.
• Lire excellent article sur le site http://www.alsacreations.com/ “Charset
iso-8859-1, iso-8859-15, utf-8, lequel choisir ?”
• Il est indispensable d’adopter de bonnes pratiques en définissant l’encodage du
document pour la conception de pages web (déclaration du charset).
• La spécification html5 du W3C recommande l’usage de l’UTF-8. Rien n’empêche
cependant d’utiliser le format ISO-8859-1 plus fréquemment utilisé en Europe
occidentale.
49. 8- Applications web et réseaux.
8-2 Encodage (charset) d’une page web.
Comment déclarer le charset ?
1. Avec l'en-tête HTTP Content-type :
1 Via un fichier .htaccess : AddDefaultCharset UTF-8
2 En PHP : header('Content-Type: text/html;charset=UTF-8');
2. En XML et XHTML, avec le prologue : <?xml version="1.0" encoding="UTF-8"?>
5. Grâce à la balise meta dans le code
1 En HTML5 : <meta charset="UTF-8">
2 En HTML4 : <meta http-equiv="Content-Type" content="text/html;
charset=utf-8">
3 En XHTML 1.1 : <meta http-equiv="Content-Type" content="text/html;
charset=utf-8" />
50. 8- Applications web et réseaux.
8-3 Application aux réseaux informatiques.
• Les adresses IP version IPv4 utilisent 32 bits
soit 4 octets.
• C’est donc une suite de 4 octets formant 4
blocs de trois nombres entre 0 et 255.
• Exemples en base 10 : 203.0.113.4
Même adresse en binaire :
11001011.00000000.01110001.00000100
• Le problème est que l’on manque d’@IP => IPv6
51. 8- Applications web et réseaux.
8-3 Application au réseaux informatiques.
• Les adresses IP version IPv6 utilisent 128 bits soit 16 octets.
• C’est donc une suite de 16 octets formant 8 blocs de 4 nombres
hexadécimaux (nombre de 0 à F).
Exemples : 2043:0db8:0000:0004:0240:48ff:feb1:2d65
52. Sources :
• “Du zéro à l’ordinateur - une brève histoire de calcul” Christian Piquet & Heinz
Hügli
• “HTML5 - Les bases du langage” Luc VAN LANCKER
• “Introduction à l’Unicode et à l’ISO 10646” Patrick Andries - Lavoisier
• www.supinfo.com/opencampus
• http://www.alsacreations.com/
• http://x.heurtebise.free.fr
53. Annexe : division euclidienne
Conversion base 10 -> base N
• Appliquer la méthode de la division euclidienne pour toute conversion d’une
base 10 vers n’importe quelle base :
(1632)10 = ( ? )5
(1632)10 = (23012)5