Projet Robotic parking system à CasablancaMeryem Kamal
Casablanca et sa région occupent, depuis plus d’un siècle, une place centrale dans le développement du Maroc, aussi bien sur le plan économique que sur le plan culturel. La ville a acquis le statut de locomotive économique du Maroc, du principal centre d’innovation et de création, de principal lien d’intégration et d’échanges, et de symbole de l’ouverture du pays sur le monde. Toutefois La circulation routière est devenue le cauchemar des Casablancais. On sait en effet que la ville blanche, avec quelque 600 000 véhicules, compte 25% du parc automobile du Maroc. 15 000 taxis, petits et grands, et 600 bus y circulent. Mais Casablanca abrite aussi trois millions d’habitants, tous usagers de la route, que ce soit à titre de piétons, d’automobilistes, de cyclistes ou de motocyclistes...
En tête des problèmes de la circulation à Casablanca, arrive le stationnement, considéré par les commerçants, industriels et particuliers comme une «plaie capitale». Les opérateurs dans le secteur des services (40%), du commerce (46%), de la logistique (36%) et de l’industrie (33%) se déclarent insatisfaits. Ce sont les chiffres d’une étude réalisée par le cabinet Business Realties pour le compte du Centre régional d’investissement(CRI) de Casablanca.. Le stationnement dans la métropole est au cœur de la problématique de la mobilité spatiale. D’ailleurs, l’étude du PDU (plan de déplacement urbain) le place en tête des priorités avant même le tramway. Il faut noter qu’avec un transport en site propre comme le tramway qui viendra prendre la moitié de la voie en plus des stationnements sur les côtés, la problématique de stationnement risque de s’aggraver : Sur l’itinéraire du tramway, soit 30 kilomètres, le stationnement sera interdit. Pourtant en 2005, la ville avait opté pour la gestion déléguée du stationnement. Une société espagnole, Parkigran, a décroché le marché et devait étendre de façon progressive ses horodateurs, après le démarrage dans la zone de Sidi Belyout. Seulement, les usagers ont dénoncé «les abus» de la société: tarifs et amendes trop élevés, sabot etc. Une véritable levée de bouclier. Et le projet n’a pu s’étendre aux quartiers Mâarif et Anfa, les citoyens et élus s’y étant fermement opposés. La solution que préconise le PDU, c’est la construction de parking souterrains et en hauteur.
Projet Robotic parking system à CasablancaMeryem Kamal
Casablanca et sa région occupent, depuis plus d’un siècle, une place centrale dans le développement du Maroc, aussi bien sur le plan économique que sur le plan culturel. La ville a acquis le statut de locomotive économique du Maroc, du principal centre d’innovation et de création, de principal lien d’intégration et d’échanges, et de symbole de l’ouverture du pays sur le monde. Toutefois La circulation routière est devenue le cauchemar des Casablancais. On sait en effet que la ville blanche, avec quelque 600 000 véhicules, compte 25% du parc automobile du Maroc. 15 000 taxis, petits et grands, et 600 bus y circulent. Mais Casablanca abrite aussi trois millions d’habitants, tous usagers de la route, que ce soit à titre de piétons, d’automobilistes, de cyclistes ou de motocyclistes...
En tête des problèmes de la circulation à Casablanca, arrive le stationnement, considéré par les commerçants, industriels et particuliers comme une «plaie capitale». Les opérateurs dans le secteur des services (40%), du commerce (46%), de la logistique (36%) et de l’industrie (33%) se déclarent insatisfaits. Ce sont les chiffres d’une étude réalisée par le cabinet Business Realties pour le compte du Centre régional d’investissement(CRI) de Casablanca.. Le stationnement dans la métropole est au cœur de la problématique de la mobilité spatiale. D’ailleurs, l’étude du PDU (plan de déplacement urbain) le place en tête des priorités avant même le tramway. Il faut noter qu’avec un transport en site propre comme le tramway qui viendra prendre la moitié de la voie en plus des stationnements sur les côtés, la problématique de stationnement risque de s’aggraver : Sur l’itinéraire du tramway, soit 30 kilomètres, le stationnement sera interdit. Pourtant en 2005, la ville avait opté pour la gestion déléguée du stationnement. Une société espagnole, Parkigran, a décroché le marché et devait étendre de façon progressive ses horodateurs, après le démarrage dans la zone de Sidi Belyout. Seulement, les usagers ont dénoncé «les abus» de la société: tarifs et amendes trop élevés, sabot etc. Une véritable levée de bouclier. Et le projet n’a pu s’étendre aux quartiers Mâarif et Anfa, les citoyens et élus s’y étant fermement opposés. La solution que préconise le PDU, c’est la construction de parking souterrains et en hauteur.
Le MEDEF dresse un état des lieux des prélèvements obligatoires pesant sur les entreprises
Pour la première fois, le MEDEF a réalisé une synthèse sur l’évolution des prélèvements obligatoires pesant sur les entreprises depuis 2011 par rapport à 2010 afin de disposer d’une vue d’ensemble de ces prélèvements et de leur évolution dans le temps. Ce travail est basé sur les chiffres des PLF et PLFSS pendant cette période.
Le MEDEF rappelle qu’en 2010, année sur laquelle il s’est basé pour mesurer l’évolution des prélèvements obligatoires, la France était déjà championne dans ce domaine, notamment face à ses grands voisins européens.
Entre 2011 et 2013 les prélèvements obligatoires par rapport à 2010 ont augmenté de 36 milliards. Cette hausse a été ralentie en 2014 grâce au CICE, passant de 36 milliards à 31 milliards d’euros (soit une moindre hausse de 5 milliards).
Enfin, en 2015, le CICE et les premiers effets du Pacte de responsabilité permettront de ralentir encore de 7 milliards la hausse des prélèvements obligatoires.
S’il est incontestable que le montant des prélèvements obligatoires a entamé un mouvement de baisse grâce au CICE et au Pacte de responsabilité, le MEDEF constate que diverses taxes et charges continuent d’augmenter pour les entreprises, et ce en dépit des annonces : la hausse des prélèvements hors CICE et Pacte se monte à 1,5 milliard en 2014 par rapport à 2013, et devrait représenter 4,5 milliards en 2015 par rapport à 2014. Cette hausse continue quels que soient les gouvernements, occultée par le CICE et le Pacte de responsabilité, contrecarre les effets attendus de la politique en faveur de la compétitivité.
Le MEDEF appelle donc à l’arrêt des prélèvements supplémentaires et de l’augmentation des prélèvements existants qui portent atteinte à la cohérence des discours du gouvernement et de ses efforts sincères en faveur de la compétitivité. Les augmentations de prélèvements depuis 2011 ne seront compensées grâce au CICE et au Pacte de responsabilité qu’en 2017, si la fiscalité cesse définitivement d’augmenter par ailleurs. Il est donc absurde de reprocher aux entreprises de ne pas avoir fait leur part du travail : le CICE produit seulement ses premiers effets et le Pacte ne commencera à être opérationnel qu’en 2015.
Pour Geoffroy Roux de Bézieux, vice-président délégué du MEDEF, « les prélèvements obligatoires retrouveront leur niveau de 2010 au mieux en 2017, il n’y aura donc pas d'effet du Pacte sur l'emploi avant cette date. Il est urgent d’accélérer le Pacte de responsabilité, ce qui demande donc accélérer la baisse des dépenses publiques. »
1. The document presents a roadmap to stimulate cycling in the Benelux countries and North Rhine-Westphalia by exchanging best practices and exploring cooperation opportunities.
2. Cycling levels vary across the regions, from 27% in the Netherlands to 2% in Wallonia, though levels increased during COVID-19 in all places.
3. The roadmap aims to further increase cycling and serve as a blueprint for the EU by showing how to improve conditions for cycling. It outlines current cycling policies and initiatives in each country.
This report analyzes the costs and benefits of cycling in the Benelux region and North Rhine-Westphalia compared to other modes of transportation. It finds that every kilometer cycled on a standard bicycle provides €0.98 in benefits to society, while cycling an e-bike provides €0.22 in benefits. In contrast, traveling one kilometer by car costs society €1.02. The large health benefits of cycling, from preventing disease and improving productivity, are the main factor that make cycling beneficial despite its infrastructure costs. A modal shift from cars to bicycles could provide huge economic and social gains for the region through these health and environmental impacts.
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Le MEDEF rappelle qu’en 2010, année sur laquelle il s’est basé pour mesurer l’évolution des prélèvements obligatoires, la France était déjà championne dans ce domaine, notamment face à ses grands voisins européens.
Entre 2011 et 2013 les prélèvements obligatoires par rapport à 2010 ont augmenté de 36 milliards. Cette hausse a été ralentie en 2014 grâce au CICE, passant de 36 milliards à 31 milliards d’euros (soit une moindre hausse de 5 milliards).
Enfin, en 2015, le CICE et les premiers effets du Pacte de responsabilité permettront de ralentir encore de 7 milliards la hausse des prélèvements obligatoires.
S’il est incontestable que le montant des prélèvements obligatoires a entamé un mouvement de baisse grâce au CICE et au Pacte de responsabilité, le MEDEF constate que diverses taxes et charges continuent d’augmenter pour les entreprises, et ce en dépit des annonces : la hausse des prélèvements hors CICE et Pacte se monte à 1,5 milliard en 2014 par rapport à 2013, et devrait représenter 4,5 milliards en 2015 par rapport à 2014. Cette hausse continue quels que soient les gouvernements, occultée par le CICE et le Pacte de responsabilité, contrecarre les effets attendus de la politique en faveur de la compétitivité.
Le MEDEF appelle donc à l’arrêt des prélèvements supplémentaires et de l’augmentation des prélèvements existants qui portent atteinte à la cohérence des discours du gouvernement et de ses efforts sincères en faveur de la compétitivité. Les augmentations de prélèvements depuis 2011 ne seront compensées grâce au CICE et au Pacte de responsabilité qu’en 2017, si la fiscalité cesse définitivement d’augmenter par ailleurs. Il est donc absurde de reprocher aux entreprises de ne pas avoir fait leur part du travail : le CICE produit seulement ses premiers effets et le Pacte ne commencera à être opérationnel qu’en 2015.
Pour Geoffroy Roux de Bézieux, vice-président délégué du MEDEF, « les prélèvements obligatoires retrouveront leur niveau de 2010 au mieux en 2017, il n’y aura donc pas d'effet du Pacte sur l'emploi avant cette date. Il est urgent d’accélérer le Pacte de responsabilité, ce qui demande donc accélérer la baisse des dépenses publiques. »
1. The document presents a roadmap to stimulate cycling in the Benelux countries and North Rhine-Westphalia by exchanging best practices and exploring cooperation opportunities.
2. Cycling levels vary across the regions, from 27% in the Netherlands to 2% in Wallonia, though levels increased during COVID-19 in all places.
3. The roadmap aims to further increase cycling and serve as a blueprint for the EU by showing how to improve conditions for cycling. It outlines current cycling policies and initiatives in each country.
This report analyzes the costs and benefits of cycling in the Benelux region and North Rhine-Westphalia compared to other modes of transportation. It finds that every kilometer cycled on a standard bicycle provides €0.98 in benefits to society, while cycling an e-bike provides €0.22 in benefits. In contrast, traveling one kilometer by car costs society €1.02. The large health benefits of cycling, from preventing disease and improving productivity, are the main factor that make cycling beneficial despite its infrastructure costs. A modal shift from cars to bicycles could provide huge economic and social gains for the region through these health and environmental impacts.
The OECD Digital Government Review of Luxembourg provides recommendations in four key areas:
1) Strengthening governance structures for digital government coordination and collaboration.
2) Developing policy frameworks and building skills/talent to support digital transformation.
3) Establishing data governance and using data to improve public services.
4) Adopting user-centered approaches to make government services more responsive, agile and innovative.
Following an assessment, the OECD recommends Luxembourg consolidate efforts around a national data strategy, improve data sharing and use, and promote service design practices to deliver more inclusive digital public services.
4. Budget
2022 En valeur
En %* du
budget
Budget courant
Recettes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 19 417.2 10 581.0 54.5%
Dépenses . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 18 425.1 8 995.0 48.8%
Solde . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . + 992.1 +1 586.0 ‐
Budget en capital
Recettes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 96.9 78.8 81.3%
Dépenses . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2 583.8 1 455.7 56.3%
Solde . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . ‐2 486.8 ‐1 376.9 ‐
Budget total
Recettes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 19 514.2 10 659.8 54.6%
Dépenses . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 21 008.9 10 450.7 49.7%
Solde . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . ‐1 494.7 + 209.1 ‐
Budget
Budget des opérations financières 2022 En valeur
en % du
budget voté
Recettes des opérations financières 2 369.2 2 507.8 105.9%
Emprunts 2 367.0 2 500.0 105.6%
Autres 2.2 7.8 359.3%
Dépenses des opérations
financières
1 223.0 1 023.6
83.7%
Solde +1 146.2 +1 484.2 ‐
Situation fin juin
Note: Les chiffres de ce tableau sont exprimés en millions d'euros
* par rapport au budget voté 2022
Compte au 30 juin 2022
Situation fin juin
Note: Les chiffres de ce tableau sont exprimés en millions d'euros
* par rapport au budget voté 2022
Le tableau ci‐dessus est exprimé HORS opérations financières
1b.
Budget de l’Etat* pour 2022
(*d’après la législation sur la comptabilité de l’Etat)
4.
5. 5
en millions
d'euros
en % du
PIB
en millions
d'euros
en %
en millions
d'euros
en %
en millions
d'euros
en % du
PIB
Mesures sanitaires et liées à la gestion de
la crise
Dépenses en matière de gestion de crise sanitaire 247 0.4% 206 0.3% 29 0.0%
HCPN 1
118 0.2% 109 0.1% 9 <0,1%
Frais d'acquisition pour la gestion de crises 7 <0,1% 1 <0,1%
Service Information et Presse / Rapatriement 1 <0,1%
Contribution et actions de partenariat en matière
de capacités militaires dans le cadre de l'UE et de
l'OTAN
2 <0,1%
Frais d'expert / Achats de médicaments/ Frais de
fonctionnement de centres d'hébergement
d'urgence
71 0.1% 96 0.1% 20 <0,1%
Monitoring de la population luxembourgeoise
pendant la sortie de crise COVID‐19
31 <0,1%
Réserve sanitaire 17 <0,1%
Avances remboursables en faveur des
entreprises
Avances remboursables d'un montant maximal
de 1.800.000 EUR 2 152 0.2% 28 <0,1%
Aides directes en faveur des entreprises
Différentes aides directes en faveur des
microentreprises et indépendants
105 0.2% 0.2 <0,1%
Aide forfaitaire aux microentreprises de 5 000 EUR
(Stabilisation)
32 <0,1%
Aide forfaitaire complémentaire aux
microentreprises de
5 000 EUR (Stabilisation)
37 0.1% 0 <0,1%
Aide forfaitaire aux entreprises (10 à 20 pers.) de
12 500 EUR (Stabilisation)
8 <0,1%
Aide forfaitaire de 2 500 EUR pour les
indépendants (Stabilisation)
6 <0,1% 0 <0,1%
Aide forfaitaire supplémentaire de 3 000 ‐ 4 000
EUR pour indépendants (Stabilisation)
13 <0,1% 0 <0,1%
Aide de redémarrage pour le commerce de détail
en magasin (Neistart)
9 <0,1% 0 <0,1%
Fonds de relance et de solidarité
Aide directe mensuelle de 1.250 euros par salarié
en poste et de 250 euros par salarié au chômage
partiel pour soutenir les secteurs les plus touchés
par la crise COVID‐19 (Neistart) et autres aides
52 0.1% 234 0.3% 29 0.0%
dont: Aide FRS 49 0.1% 61 0.1% 13 <0,1%
dont: Aide coûts non‐couverts 3 <0,1% 158 0.2% 16 <0,1%
dont: Aide indépendants 2021 15 <0,1%
Mesures pour soutenir les
investissements
Aide incitant les entreprises, moyennant des
niveaux de subvention particulièrement
favorables, à réaliser des investissements
2 <0,1% 24 <0,1% 10 <0,1%
Différentes aides sectorielles
Soutien financier pour la culture, le sport, le
tourisme, et l'agriculture
21 <0,1% 1 <0,1%
Fonds de Relance Tourisme 2 <0,1%
Bons d'achat pour une nuitée dans une structure
d'hébergement au Luxembourg
5 <0,1%
Mesures spécifiques pour la culture 9 <0,1%
Restart Sport 2 <0,1%
Paquet de relance Agriculture 3 <0,1% 1 <0,1%
Relance économique verte et durable
Aide financière et primes d'achat pour la
rénovation énergétique, la promotion des
systèmes de chauffage basés sur les énergies
renouvelables et l'électromobilité
1 <0,1%
Mesures pour maintenir l'emploi
Chômage partiel en faveur de tous les secteurs
affectés par la crise
1010 1.6% 199 0.3% 19 <0,1% ‐386 ‐0.6%
Chômage partiel pour cas de force majeure
(Stabilisation)
859 1.3%
Prolongation de l'indemnisation de chômage pour
3 mois (Stabilisation)
22 <0,1% 18 <0,1% 0 <0,1%
Chômage partiel structurel (Neistart) 129 0.2% 180 0.2% 19 <0,1%
Mesures en faveur de l'éducation
Aides pour assurer le fonctionnement en
alternance des écoles et des services d'éducation
et d'accueil
47 0.1% 12 <0,1%
Recrutement de personnel 11 <0,1% 5 <0,1%
Fonctionnement en alternance des écoles et des
services d'éducation et d'accueil
36 0.1% 4 <0,1%
Relance formation professionelle 3 <0,1%
Aides sociales
Allocation de vie chère doublée pour l'année
2020 et aide financière pour études supérieures
étendue
41 0.1% 3.4 <0,1%
Aide Salaires social minimum (Compensation) 3.1 <0,1%
Allocation de vie chère doublée pour l'année 2020
et reconduction de l’allocation de vie chère pour
2021
40 0.1%
AC
Mesures discrétionnaires en réponse à la pandémie de la COVID‐19 (« Administrations publiques »)
Mise à jour: 30 juin 2022
Mesure Description
Sous‐
Secteur
Montants déboursés
(Exercice 2020)
Montants déboursés
(Exercice 2021)
Montants déboursés
(Exercice 2022)
Montants remboursés /
recouvrés
Dépenses discrétionnaires
AC
6. Extension de la durée maximale de l'aide pour
études supérieures
1 <0,1% 0.3 <0,1%
Indemnités pécuniaires de maladie
Prise en charge CNS dès le 1er jour d'incapacité
de travail et gel de la limite des 78 semaines
d'incapacité de travail
3
145 0.2% 17 <0,1% 20 <0,1%
Prise en charge des indemnités pécuniaires de
maladie jusqu'à la fin de l'état de crise
132 0.2% <0,1%
Prise en charge des indemnités pécuniaires de
maladie à partir du 1er juillet 2020 en cas de mise
en quarantaine ou d'isolement
11 <0,1% 13 <0,1% 20 <0,1%
Gel de la limite des 78 semaines d'incapacité de
travail
2 <0,1% 4 <0,1% 0 <0,1%
Congé pour raisons extraordinaires
Congé pour raisons familiales extraordinaire et
congé pour soutien familial 3 238 0.4% 50 0.1% 15 <0,1%
Congé pour soutien familial 0 <0,1% 0 <0,1% 0 <0,1%
Congé pour raisons familiales (CPRF) 238 0.4% 50 0.1% 15 <0,1%
2061 3.2% 774 1.1% 123 0.2%
Impôts directs
Annulation des avances en matière d'impôt et
report d'échéance de paiement
232 0.4% 4 <0,1%
Demande d'annulation de la 1 ère
et 2 ème
avance
2020
162 0.3% 0 <0,1%
Demande d'annulation HORECA de la 3ème et
4ème avance 2020 ainsi que de la 1ère et 2ème
avance 2021
3 <0,1%
Demande de délai de paiement 70 0.1% 1 <0,1%
Impôts indirects
Tolérance administrative et remboursement de
soldes créditeurs TVA < 10.000 EUR 1 196 0.3%
TVA Perte COVID‐19 (Mesures administratives) 83 0.1%
Remboursement COVID‐19 113 0.2%
Cotisations sociales
Report des cotisations sociales sans intérêts ni
pénalités
100 0.2% ‐50 ‐0.1%
Suspension jusqu’au 31 décembre 2020 des
intérêts moratoires sur les cotisations non‐payés
à l’échéance1
4 <0,1% 4 <0,1%
532 0.8% 8 <0,1%
2593 4.0% 782 1.1% 123 0.2%
Sous‐Total
SS
Sous‐Total (Dépenses discrétionnaires)
Recettes
AC
SS
3
L'Administration centrale assurera le financement du congé pour raisons familiales (soutien familial y inclus) et la prise en charge de l'indemnité pécuniaire de maladie par l'assurance maladie‐maternité. La
prise en charge CNS dès le 1er jour d’incapacité de travail a été intégralement supportée par l’Etat (cf loi Kassensturz). A noter toutefois que cette dépense ne constitue pas un coût supplémentaire pour l’Etat ni
pour les Administrations publiques étant donné que cette mesure a entrainé une diminution des dépenses de la Mutualité des employeurs et, par conséquent, une diminution de la participation de l’Etat dans
son financement, ce dernier supportant le déficit de la Mutualité des employeurs en vertu de l’article 56 du code de la sécurité sociale.
TOTAL
AC = Administration centrale ; SS = Sécurité Sociale
Notes: Le tableau présente un aperçu de l'ensemble des mesures COVID‐19 prises tant au niveau des dépenses et des recettes publiques pour les années 2020 et 2021 suivant la logique du périmètre de
l'Administration publique.
Pour 2020, le Gouvernement enregistre à ce jour des remboursements pour le chômage partiel pour cas de force majeure (+386 millions d'euros) et pour les cotisations sociales (+25 millions d'euros). En ce qui
concerne le chômage partiel pour cas de force majeure, +1 million d'euros devrait être récupéré en 2022.
1
Ces montants sont neutres d’un point de vue comptable pour le calcul du solde SEC 2010. Les recouvrements ont engendré une baisse du report des cotisations sociales.
2
Une partie des dépenses effectuées par le HCPN seront prises en charge par la Sécurité Sociale pour un montant total de 14 millions d'euros.