Nom du projet : " Ma mémoire de poche "
Il s’agit d’un semainier destiné aux patients d'un service de Soins de Suite et de réadaptation psycho-gériatrique. Il est installé dans la chambre du patient afin de programmer ses activités et ses soins. Chaque jour de la semaine peut être détaché et mis dans la poche.
Chaque activité ou soin est représenté par une image simple et facilement compréhensible par le patient.
En cas de refus et après négociation de soin, une activité ou un soin peut être reprogrammé dans la journée.
L’outil est plastifié afin de faciliter le bio-nettoyage.
"De bonne humour" traite de l'humour et la bonne humeur dans le quotidien des soignants.
Nous avons tout d'abord donner des définitions, puis fait des constats par rapport à l'exercice du métier sur le terrain.
Ensuite, vient le choix du support pour répondre au thème.
Enfin nous avons établi un objectif concernant l'impact de notre travail auprès du public.
Notre projet consiste à mettre en lumière - par le biais d'une affiche - tous "ces petits riens" du quotidien comme le sourire, le rire, l'écoute qui sont accessibles à tous et permettent d'améliorer le prendre soin des patients. L'affiche a pour but d'interpeller les soignants et les futurs soignants sur ces attitudes fondamentales afin de prendre conscience de leur importance, d'encourager à un mieux vivre ensemble et de les valoriser.
Les petites attentions qui ont un rôle bénéfique dans l'accompagnement de la personne mais aussi pour les différents acteurs.
"Les petits riens font les petits plus"
Traitement indispensable sans contre-indication que des effets secondaires bénéfiques.
Nom du projet : " Ma mémoire de poche "
Il s’agit d’un semainier destiné aux patients d'un service de Soins de Suite et de réadaptation psycho-gériatrique. Il est installé dans la chambre du patient afin de programmer ses activités et ses soins. Chaque jour de la semaine peut être détaché et mis dans la poche.
Chaque activité ou soin est représenté par une image simple et facilement compréhensible par le patient.
En cas de refus et après négociation de soin, une activité ou un soin peut être reprogrammé dans la journée.
L’outil est plastifié afin de faciliter le bio-nettoyage.
"De bonne humour" traite de l'humour et la bonne humeur dans le quotidien des soignants.
Nous avons tout d'abord donner des définitions, puis fait des constats par rapport à l'exercice du métier sur le terrain.
Ensuite, vient le choix du support pour répondre au thème.
Enfin nous avons établi un objectif concernant l'impact de notre travail auprès du public.
Notre projet consiste à mettre en lumière - par le biais d'une affiche - tous "ces petits riens" du quotidien comme le sourire, le rire, l'écoute qui sont accessibles à tous et permettent d'améliorer le prendre soin des patients. L'affiche a pour but d'interpeller les soignants et les futurs soignants sur ces attitudes fondamentales afin de prendre conscience de leur importance, d'encourager à un mieux vivre ensemble et de les valoriser.
Les petites attentions qui ont un rôle bénéfique dans l'accompagnement de la personne mais aussi pour les différents acteurs.
"Les petits riens font les petits plus"
Traitement indispensable sans contre-indication que des effets secondaires bénéfiques.
Nous avons choisi de nous pencher sur le réveil brutal des patients conditionné par la réalisation matinale de certains soins et ne tiennent pas compte de l’éveil naturel du malade, mais satisfont l'organisation du service.
Notre projet valorise la place du toucher-détente dans les soins. Nous partageons notre expérience au sein d'un article intitulé "des émotions pleins les mains".
• Un Film Vidéo d’une situation de soin représentant un patient en service de réanimation, privé de ses sens et pris en soin par un binôme IDE/AS.
• L’attention des soignants fait réagir le patient. Celui-ci, les sens en éveil, reprend vie au fur et à mesure des soins dispensés.
• Les soignants, centrés sur le patient, éprouvent un contentement dans leur exercice professionnel. Ils mobilisent eux-mêmes leurs propres sens et leur intuitivité pour une prise en soin individualisée et empreinte d’humanité.
• Les cinq sens sont mis en avant et dévoilent la richesse qu’ils apportent dans les échanges interhumains ; gratuits et non chronophages. La volonté du soignant est la seule condition.
• Une scène qui tente d’exprimer, par un modèle positif plutôt qu'un contre exemple, la démarche soignante. Il s’agit d’illustrer le respect des bonnes pratiques malgré une situation complexe dans un contexte de soin très médicalisé où la technicité pourrait être valorisée au dépend de la relation.
Nous constatons:
• Qu’à l’hôpital le personnel soignant manque de temps pour le recueil de données ainsi que la sensibilisation en matière de santé.
• Qu’un temps d’attente important pour les patients peut majorer leur anxiété.
• Que lors des différents Comités d’éthiques auxquels nous avons participé ont mis en évidence un manque d’information des patients au sujet de démarches sanitaires.
Nous avons imaginé une application contenant des informations sur la santé et pouvant recueillir des données médicales et personnelles, permettant à chacun d’être en
possession de son dossier de soin continuellement.
Nous trouvons que l’hôpital est un milieu dépersonnalisé et
« désenchanté ». Nous souhaitons laisser plus de place à l’imagination et à la fantaisie pour les patients…
Lors de nos différents stages nous avons pu prendre en charge et dispenser des soins aux enfants. Nous constatons que ces derniers présentent quasi systématiquement une appréhension face au monde soignant. La peur de l’inconnu concernant l’environnement soignant, souvent perçu comme hostile, l’effet blouse blanche ou encore la terreur provoquée par la réalisation hypothétique de la «fameuse piqûre»,
sont autant d’éléments qu’il faut dédramatiser afin d’améliorer la prise en charge de nos petits patients.
En voici un terme à la mode, maintes fois entendu mais pourtant, les stages d’internat proposant de l’éducation thérapeutique sont… extrêmement rares ! Pour s’en faire une idée plus précise, immersion à la pharmacie du CH psychiatrique Léon-Jean Grégory, à Thuir (Pyrénées-Orientales).
« Ça, le médecin, il me l’a jamais expliqué !»… premier jour de stage et première séance d’éducation thérapeutique (ETP), le décor est planté et rien de tel pour prendre la mesure que, derrière toute ordonnance, il y a un patient pas toujours à l’aise avec son traitement. Ca ne va pas être simple…
Depuis l’arrêté du 2 août 2010, tout programme d’ETP doit être soumis à autorisation de l’ARS, le dossier devant comporter le détail du contenu pédagogique et justifier des qualifications des personnes porteuses du projet. En effet, médecins, pharmaciens ou autres professionnels paramédicaux porteurs du projet doivent avoir suivi des formations adéquates (souvent un DU). Ici, c’est la pharmacien chef qui est porteur du projet (une chance inouïe pour l’interne). Le programme s’adresse à des patients atteints de schizophrénie ; le psychiatre a préalablement proposé à des patients cet atelier et un groupe de 8 à 10 personnes est constitué. Les patients sont dans une phase stabilisée de leur maladie et nous les rencontrons en hôpital de jour, une fois par semaine sur 7 semaines, pendant plus d’une heure, en présence des infirmières.
reseauprosante.fr
Nous avons choisi de nous pencher sur le réveil brutal des patients conditionné par la réalisation matinale de certains soins et ne tiennent pas compte de l’éveil naturel du malade, mais satisfont l'organisation du service.
Notre projet valorise la place du toucher-détente dans les soins. Nous partageons notre expérience au sein d'un article intitulé "des émotions pleins les mains".
• Un Film Vidéo d’une situation de soin représentant un patient en service de réanimation, privé de ses sens et pris en soin par un binôme IDE/AS.
• L’attention des soignants fait réagir le patient. Celui-ci, les sens en éveil, reprend vie au fur et à mesure des soins dispensés.
• Les soignants, centrés sur le patient, éprouvent un contentement dans leur exercice professionnel. Ils mobilisent eux-mêmes leurs propres sens et leur intuitivité pour une prise en soin individualisée et empreinte d’humanité.
• Les cinq sens sont mis en avant et dévoilent la richesse qu’ils apportent dans les échanges interhumains ; gratuits et non chronophages. La volonté du soignant est la seule condition.
• Une scène qui tente d’exprimer, par un modèle positif plutôt qu'un contre exemple, la démarche soignante. Il s’agit d’illustrer le respect des bonnes pratiques malgré une situation complexe dans un contexte de soin très médicalisé où la technicité pourrait être valorisée au dépend de la relation.
Nous constatons:
• Qu’à l’hôpital le personnel soignant manque de temps pour le recueil de données ainsi que la sensibilisation en matière de santé.
• Qu’un temps d’attente important pour les patients peut majorer leur anxiété.
• Que lors des différents Comités d’éthiques auxquels nous avons participé ont mis en évidence un manque d’information des patients au sujet de démarches sanitaires.
Nous avons imaginé une application contenant des informations sur la santé et pouvant recueillir des données médicales et personnelles, permettant à chacun d’être en
possession de son dossier de soin continuellement.
Nous trouvons que l’hôpital est un milieu dépersonnalisé et
« désenchanté ». Nous souhaitons laisser plus de place à l’imagination et à la fantaisie pour les patients…
Lors de nos différents stages nous avons pu prendre en charge et dispenser des soins aux enfants. Nous constatons que ces derniers présentent quasi systématiquement une appréhension face au monde soignant. La peur de l’inconnu concernant l’environnement soignant, souvent perçu comme hostile, l’effet blouse blanche ou encore la terreur provoquée par la réalisation hypothétique de la «fameuse piqûre»,
sont autant d’éléments qu’il faut dédramatiser afin d’améliorer la prise en charge de nos petits patients.
En voici un terme à la mode, maintes fois entendu mais pourtant, les stages d’internat proposant de l’éducation thérapeutique sont… extrêmement rares ! Pour s’en faire une idée plus précise, immersion à la pharmacie du CH psychiatrique Léon-Jean Grégory, à Thuir (Pyrénées-Orientales).
« Ça, le médecin, il me l’a jamais expliqué !»… premier jour de stage et première séance d’éducation thérapeutique (ETP), le décor est planté et rien de tel pour prendre la mesure que, derrière toute ordonnance, il y a un patient pas toujours à l’aise avec son traitement. Ca ne va pas être simple…
Depuis l’arrêté du 2 août 2010, tout programme d’ETP doit être soumis à autorisation de l’ARS, le dossier devant comporter le détail du contenu pédagogique et justifier des qualifications des personnes porteuses du projet. En effet, médecins, pharmaciens ou autres professionnels paramédicaux porteurs du projet doivent avoir suivi des formations adéquates (souvent un DU). Ici, c’est la pharmacien chef qui est porteur du projet (une chance inouïe pour l’interne). Le programme s’adresse à des patients atteints de schizophrénie ; le psychiatre a préalablement proposé à des patients cet atelier et un groupe de 8 à 10 personnes est constitué. Les patients sont dans une phase stabilisée de leur maladie et nous les rencontrons en hôpital de jour, une fois par semaine sur 7 semaines, pendant plus d’une heure, en présence des infirmières.
reseauprosante.fr
Horizon n°26 du groupe Vivadour
L’agroécologie, fer de lance de la politique agricole du gouvernement,
s’affiche partout : il n’existe plus un projet de recherche, une action de
communication, un programme scientifique ou technique qui ne se
drape dans l’agroécologie, se vêtant ainsi, pour citer Victor Hugo, « de
probité candide et de lin blanc ».
Cette situation n’est pas sans risque, faute d’une définition claire, validée,
partagée et opérationnelle de l’agroécologie…
Risque d’opposition entre acteurs, voire entre chapelles, les uns expliquant
qu’il s’agit d’une rupture totale et radicale des pratiques quand
d’autres identifient plutôt un continuum de bonnes pratiques agronomiques,
valorisant les performances des agroécosystèmes.
Risque de passer d’une approche scientifique et technique à des postures
politiques et sociétales, voire dogmatiques, sort qui fut réservé
à l’écologie, dont nos concitoyens ont oublié qu’il s’agit, comme
son étymologie grecque l’explicite, de la « science de l’habitat »
qui étudie les relations des êtres vivants entre eux et avec leur
environnement.
1. - Collectif -
1. Favoriser l’échange humain
2. Prolonger l’expérience de la consultation
3. Impliquer l’accompagnant
MODULE 03 RHUMATOLOGIE
2. !
Impliquer l’accompagnant
CONSTAT
“Elle se débrouille sans moi”.
«Il m’inquiète tout les jours …»
«Je ne sais plus quoi faire pour
l’aider».
«Je lui prépare ses médicaments
pour le lendemain».
“Je ne parle pas au médecin”.