« L’automédication ce n’est pas en première intention » « Des petits rien pour soigner et se soigner autrement »

1. « L’automédication ce
n’est pas en première
intension »
« Des petits rien pour soigner et se soigner autrement »
Concours MNH des étudiants : « Les petits riens du soins qui
changent tout »

2. PROBLEMATIQUE :
Comment mettre en avant des alternatives à
l’automédication ?
Rappeler les gestes simples aux gens de tout âge et de
toute catégorie sociale. Adapter notre outil à tout public.
Les gestes proposés dans notre projet demandent un peu
de volonté à l’inverse de la prise de thérapeutiques qui
reste le geste le plus simple et le plus rapide à l’utilisateur
.

3. CONSTAT :
 Automédication: Elle désigne le comportement par lequel un individu recours de sa propre initiative à un médicament, c’est-à-dire une
substance dont il attend un effet de type pharmacologique bénéfique pour sa santé, que ce soit en vue d’une prévention primaire,
d’une amélioration de sa condition, du soulagement de ses symptômes, et d’amélioration de la maladie.
 Pathologies prévalentes : les français effectuent le plus de recherches dans le but d’une automédication concernant les maux de tête,
les maux de ventre, les maux de gorge, les maux d’estomac, et enfin, les maux de dos. Nous constatons donc que la plupart du temps
les patients s’automédiquent pour des maladie bénignes qu’ils connaissent.
 Raisons: Prix du médecin et des soins malgré la sécurité sociale, facilité d’accès des médicaments sans ordonnance (supermarché,
internet…), population rurale avec isolement géographie (absence de médecin dans les zones rurales), sévérité des symptômes
(douleur tolérable), source d’information à disposition du publique (internet, télévision, livre)
 Bénéfice : le bénéfice est économique, dans le sens où cela évite une consultation médicale. Il est également un gain de temps, du
fait que le patient peu traité de suite la pathologie. Cela permet également au patient d’avoir le sentiment de contrôler sa santé.
 Risque : Une erreur d’administration, les effets secondaire des traitement, la dépendance, l’accoutumance. Dans le cadre des achats
de traitement par internet, le patient ne bénéficie pas de conseil de pharmacien, la qualité du produit et son origine n’est pas certifiée.
Celui-ci peut avoir des interaction médicamenteuses avec d’autre traitement, des allergies, et un manque de surveillance.
 Chiffres : la France reste un pays qui s’automedique peu avec un marché inférieur a celui de l’Europe, avec une régression de 0,7 %
en 2014. Néanmoins, l’’automédication représente 7,6% du marché pharmaceutique en France en 2012. Selon, santé pratique.fr,
40% de la population française s’automédique.
 De plus nous avons remarqué que :
 « Dans notre société ou tout doit se faire rapidement, on ne prend plus le temps de se soigner correctement, et il est vrai qu’il est plus
adéquate (pour des céphalées) de prendre un comprimé orodispersible dans un bus que de s’allonger dans un endroit calme pendant
10 min. »
 Les campagnes de publicités pour les thérapeutiques en libre accès sont en constantes évolution, et le marché tend de plus en plus
vers le marché américain qui laisse un vaste accès aux thérapeutiques à leur population.
 en ce qui concerne les alternatives à l’automédication on trouve des informations sur le net mais pas de campagnes publicitaire (
pub, affiche…) mettant en avant les gestes simples à réaliser ( à l’inverse des campagnes de pub pour des médicaments accessible à
tous )

4. REPRESENTATION DE NOTRE PROJET :
 Malgré un recul de la pratique de l’automédication ces
dernières années en France, il nous semble
néanmoins essentiel de proposer des alternatives à
cette pratique.
 Nous avons décider de trouver des solutions qui
permettent de soigner des maux sans prendre de
médicaments
 Le but de notre projet est donc de construire un outil
accessible à l’ensemble de public.
 Il serait également intéressant que les services
proposent cet outil au patient accueillis et utilisent
davantage ces techniques

5. LES PREUVES DE SON ADEQUATION AVEC NOTRE
PROBLEMATIQUE
Dans le but de remédier au risque de
l’automédication, nous avons fait le choix de
proposer à la population des alternatives de soins
étant connues depuis des années, mais souvent
oubliées.
Ces techniques de soins permettront à l’organisme
de ne pas forcément être confronté à des
substances chimiques ayant la plupart du temps de
nombreux effets indésirables.
Elles ont également un moindre coût pour la société,
celles-ci étant naturelles.

6. LES RÉSULTATS ATTENDUS :
 Prise de conscience du public concernant
l’automédication.
 Existence de solutions alternatives à la prise de
médicament en 1ère intention.
 Une utilisation plus fréquente de ces alternatives dans
les services de soins

7. ANNEXES
 Dépliant jeux de l’oie.