evaluation des risque chimiques sur les lieux de travail.pptbrinsisami
la formation présente l'utilité de l'évaluation de risque chimique dans la prévention professionnelle du risque chimique, le lecteur doit être connaisseur de la domaine de santé et de sécurité
l'évaluation de risque chimique passe par 3 étapes identification de danger et hiérarchisation de risque cad scoring
Les règlements de sécurité pour utilisation des produits chimiques dans le cadre domestique ou industriel pour le bien être de l'homme et son environnement .
Matinée sécurité et bien être sur le lieu du travail (3/5) - CLP/Reach - Enje...CCI du Luxembourg belge
Le 27 avril dernier, le CPT-Lux et la CCI du Luxembourg belge ont organisé une journée de recyclage à l’attention des conseillers en prévention. Protection des mains (révision de la norme EN388), locaux sociaux sur les chantiers, REACH/CLP (obligations 2018), premiers pas avec la check-list incendie ou encore ADR électriques étaient au rdv. Voici les présentations de nos orateurs du jour, MM. ROCCHI (Lebon Protection), NIVAILLE (Coordinateur santé/sécurité), VANMOL (Expert chimiste), LAGARMITTE (Jindal Films Europe) et CARMONA (SGS).
evaluation des risque chimiques sur les lieux de travail.pptbrinsisami
la formation présente l'utilité de l'évaluation de risque chimique dans la prévention professionnelle du risque chimique, le lecteur doit être connaisseur de la domaine de santé et de sécurité
l'évaluation de risque chimique passe par 3 étapes identification de danger et hiérarchisation de risque cad scoring
Les règlements de sécurité pour utilisation des produits chimiques dans le cadre domestique ou industriel pour le bien être de l'homme et son environnement .
Matinée sécurité et bien être sur le lieu du travail (3/5) - CLP/Reach - Enje...CCI du Luxembourg belge
Le 27 avril dernier, le CPT-Lux et la CCI du Luxembourg belge ont organisé une journée de recyclage à l’attention des conseillers en prévention. Protection des mains (révision de la norme EN388), locaux sociaux sur les chantiers, REACH/CLP (obligations 2018), premiers pas avec la check-list incendie ou encore ADR électriques étaient au rdv. Voici les présentations de nos orateurs du jour, MM. ROCCHI (Lebon Protection), NIVAILLE (Coordinateur santé/sécurité), VANMOL (Expert chimiste), LAGARMITTE (Jindal Films Europe) et CARMONA (SGS).
Clinical Improvement after ESSURE® devices removal, a systematic reviewFrançois PARANT
Removal of Essure® in symptomatic patients improve symptoms and quality-of-life in majority of cases. The physiological mechanisms underlying Essure®-attributed-symptoms remains unknown, but are probably related to release of metallic elements. Managing the few proportion of patients with no improvement remain a challenge.
Pharmacocinétique des antirétroviraux au cours de la grossesse : bilan d’un l...François PARANT
Les recommandations sur l'utilisation des antirétroviraux (ARVs) chez la femme enceinte ont évolué ces dernières années en raisons de la disponibilité de nouveaux ARVs et de l’accumulation de données d’efficacité et de sécurité pour le fœtus. La pharmacocinétique (PK) des ARVs est modifiée au cours de la grossesse. Dans ce travail, l’impact de la grossesse sur les niveaux d’expositions sériques aux antiprotéases (IP), aux anti-intégrases (INSTI) et aux inhibiteurs non nucléosidiques de la transcriptase inverse (INNTI) a été évalué.
Relargage de métaux du dispositif contraceptif ESSURE® : une étude de cohorteFrançois PARANT
Le dispositif de stérilisation définitif Essure® a été implanté en France à près de 200 000 femmes entre 2002 et 2017, date de l’arrêt de sa commercialisation. Des effets indésirables gynécologiques et extra-gynécologiques ont été décrits chez de nombreuses femmes, conduisant à des explantations. Dès 2018, un protocole a été mis en place par le CNGOF (Collège de Gynécologie-Obstétrique français) et le ministère des Solidarités et de la Santé pour encadrer le retrait de ces implants. Après explantation des Essure® chez les patientes symptomatiques, l’observation d’une amélioration voire d’une disparition complète des symptômes semble confirmer un lien de causalité entre le dispositif et les effets indésirables. Le ou les mécanismes physiopathologiques restent inconnus mais sont probablement en lien avec la corrosion in situ de ces implants. En effet, une corrosion associée à un relargage de métaux constitutifs de ces implants a été démontrée (Catinon et al., J Trace Elem Med Biol. 2022 ; Eur J Obstet Gynecol Reprod Biol. 2020, Parant et al., Eur J Obstet Gynecol Reprod Biol. 2020).
Objectifs Mesurer les concentrations des métaux constitutifs des implants Essure® dans les tissus des trompes de Fallope et le liquide péritonéal chez des patientes ayant bénéficiées d’une explantation du dispositif Essure® (groupe A) en comparaison à un groupe témoin (groupe B).
Matériel et méthode Cette étude de cohorte a inclus 131 patientes dans le groupe A et 92 dans le groupe control B. Les dosages de nickel (Ni), chrome (Cr) et étain (Sn) ont été réalisés par spectrométrie de masse avec ionisation par plasma induit (ICP-MS).
Résultats Les concentrations de Ni, Cr et Sn sont significativement plus élevées dans les tissus des trompes des patientes du groupe A vs patientes témoins (groupe B) (p<0.001). Un gradient de concentration est observé entre les tissus au contact du dispositif (zone la plus enrichies en métaux) et la partie distale des trompes. Les concentrations en Ni et Cr dans le liquide péritonéal des patientes du groupe A sont également significativement plus élevées (p<0.001) vs groupe témoin B, mais restent assez faibles avec un chevauchement entre les deux groupes. Enfin, les concentrations en métaux semblent être maximales dans les 1ères années suivant la pose du dispositif puis tendent à diminuer progressivement.
Conclusions Ces résultats confirment une corrosion in situ du dispositif Essure® associée à un relargage de métaux dans les tissus environnant et confortent l’hypothèse du rôle de ces métaux potentiellement toxiques dans la survenue des effets indésirables attribués au dispositif Essure®.
Parant F, et al. Release of metal elements from the Essure implant: A prospective cohort study. Eur J Obstet Gynecol Reprod Biol. 2022 Apr 16;273:20-25. doi: 10.1016/j.ejogrb.2022.04.014.
Poussières et particules fines - Protéger les salariés du secteur du BTPFrançois PARANT
Poussières et particules fines - protéger les salariés du secteur du BTP
- définitions, voies de pénétration dans l’organisme, toxicologie
- les différents risques poussières/particules fines/fibres
Focus
- sur les silices cristallines alvéolaires
- sur les matériaux d’isolation : laine de verre, laine de roche, ouate de cellulose soufflée. Quelle dangerosité à court et long terme ?
- sur l‘amiante
- sur les poussières de bois
Moyens de prévention sur le terrain, réglementation, VLEP et moyens de mesurage, suivi individuel professionnel (examens complémentaires)
Le contexte
- Intoxications : statistiques d’un Centre Antipoison
- Suicides - Tentatives de suicide
Place des analyses toxicologiques
- Intérêt pour le diagnostic
- Intérêt pour le pronostic
- Intérêt pour le traitement
Techniques analytiques en toxicologie clinique
Clinical Improvement after ESSURE® devices removal, a systematic reviewFrançois PARANT
Removal of Essure® in symptomatic patients improve symptoms and quality-of-life in majority of cases. The physiological mechanisms underlying Essure®-attributed-symptoms remains unknown, but are probably related to release of metallic elements. Managing the few proportion of patients with no improvement remain a challenge.
Pharmacocinétique des antirétroviraux au cours de la grossesse : bilan d’un l...François PARANT
Les recommandations sur l'utilisation des antirétroviraux (ARVs) chez la femme enceinte ont évolué ces dernières années en raisons de la disponibilité de nouveaux ARVs et de l’accumulation de données d’efficacité et de sécurité pour le fœtus. La pharmacocinétique (PK) des ARVs est modifiée au cours de la grossesse. Dans ce travail, l’impact de la grossesse sur les niveaux d’expositions sériques aux antiprotéases (IP), aux anti-intégrases (INSTI) et aux inhibiteurs non nucléosidiques de la transcriptase inverse (INNTI) a été évalué.
Relargage de métaux du dispositif contraceptif ESSURE® : une étude de cohorteFrançois PARANT
Le dispositif de stérilisation définitif Essure® a été implanté en France à près de 200 000 femmes entre 2002 et 2017, date de l’arrêt de sa commercialisation. Des effets indésirables gynécologiques et extra-gynécologiques ont été décrits chez de nombreuses femmes, conduisant à des explantations. Dès 2018, un protocole a été mis en place par le CNGOF (Collège de Gynécologie-Obstétrique français) et le ministère des Solidarités et de la Santé pour encadrer le retrait de ces implants. Après explantation des Essure® chez les patientes symptomatiques, l’observation d’une amélioration voire d’une disparition complète des symptômes semble confirmer un lien de causalité entre le dispositif et les effets indésirables. Le ou les mécanismes physiopathologiques restent inconnus mais sont probablement en lien avec la corrosion in situ de ces implants. En effet, une corrosion associée à un relargage de métaux constitutifs de ces implants a été démontrée (Catinon et al., J Trace Elem Med Biol. 2022 ; Eur J Obstet Gynecol Reprod Biol. 2020, Parant et al., Eur J Obstet Gynecol Reprod Biol. 2020).
Objectifs Mesurer les concentrations des métaux constitutifs des implants Essure® dans les tissus des trompes de Fallope et le liquide péritonéal chez des patientes ayant bénéficiées d’une explantation du dispositif Essure® (groupe A) en comparaison à un groupe témoin (groupe B).
Matériel et méthode Cette étude de cohorte a inclus 131 patientes dans le groupe A et 92 dans le groupe control B. Les dosages de nickel (Ni), chrome (Cr) et étain (Sn) ont été réalisés par spectrométrie de masse avec ionisation par plasma induit (ICP-MS).
Résultats Les concentrations de Ni, Cr et Sn sont significativement plus élevées dans les tissus des trompes des patientes du groupe A vs patientes témoins (groupe B) (p<0.001). Un gradient de concentration est observé entre les tissus au contact du dispositif (zone la plus enrichies en métaux) et la partie distale des trompes. Les concentrations en Ni et Cr dans le liquide péritonéal des patientes du groupe A sont également significativement plus élevées (p<0.001) vs groupe témoin B, mais restent assez faibles avec un chevauchement entre les deux groupes. Enfin, les concentrations en métaux semblent être maximales dans les 1ères années suivant la pose du dispositif puis tendent à diminuer progressivement.
Conclusions Ces résultats confirment une corrosion in situ du dispositif Essure® associée à un relargage de métaux dans les tissus environnant et confortent l’hypothèse du rôle de ces métaux potentiellement toxiques dans la survenue des effets indésirables attribués au dispositif Essure®.
Parant F, et al. Release of metal elements from the Essure implant: A prospective cohort study. Eur J Obstet Gynecol Reprod Biol. 2022 Apr 16;273:20-25. doi: 10.1016/j.ejogrb.2022.04.014.
Poussières et particules fines - Protéger les salariés du secteur du BTPFrançois PARANT
Poussières et particules fines - protéger les salariés du secteur du BTP
- définitions, voies de pénétration dans l’organisme, toxicologie
- les différents risques poussières/particules fines/fibres
Focus
- sur les silices cristallines alvéolaires
- sur les matériaux d’isolation : laine de verre, laine de roche, ouate de cellulose soufflée. Quelle dangerosité à court et long terme ?
- sur l‘amiante
- sur les poussières de bois
Moyens de prévention sur le terrain, réglementation, VLEP et moyens de mesurage, suivi individuel professionnel (examens complémentaires)
Le contexte
- Intoxications : statistiques d’un Centre Antipoison
- Suicides - Tentatives de suicide
Place des analyses toxicologiques
- Intérêt pour le diagnostic
- Intérêt pour le pronostic
- Intérêt pour le traitement
Techniques analytiques en toxicologie clinique
1. Système Général Harmonisé (SGH)
de classification et d'étiquetage des produits chimiques
juin 21
… et son application par l’Union Européenne : règlement CLP
François Parant
Biologiste Médical
Praticien Hospitalier
francois.parant@chu-lyon.fr
5. juin 21
Objectif de cette présentation
Savoir IDENTIFIER/RECONNAITRE les dangers des agents
chimiques que l’on manipule ou stocke
… pour éviter les accidents
6. juin 21
AVANT l’application du Système Général Harmonisé
Il existait, de par le monde, DIFFÉRENTES
RÈGLES de classification et d’étiquetage des
Agents Chimiques Dangereux (ACD).
… avec parfois des incohérences : certaines
substances pouvaient à la fois être classifiées
comme :
• toxiques,
• irritantes
• ou non dangereuses
… suivant le pays dans lequel elles étaient
commercialisées.
7. Pour HARMONISER et SIMPLIFIER tout cela, un ensemble de
recommandations a été élaboré au niveau international et regroupé
dans un nouveau système : the Globally Harmonized System (GHS)
Son développement a été acté au Sommet de la Terre
de Rio en 1992, lorsque
• l'Organisation Internationale du
Travail,
• l'Organisation de Coopération et
de Développement Économiques
• différents gouvernements et
parties prenantes
…. se sont réunis à l'ONU
Système Général Harmonisé
http://www.unece.org/fr/trans/danger/publi/ghs/ghs_welcome_f.html
juin 21
8. Au niveau de l’Union Européenne,
juin 21
le SGH est entré en vigueur le 20 janvier 2009, via un nouveau Règlement dit « Règlement CLP » (CE) N° 1272/2008.
L’acronyme « CLP » signifie en anglais « Classification, Labelling, Packaging », c'est-à-dire « Classification, Étiquetage,
Emballage ».
Le règlement CLP (en anglais : Classification, Labelling,
Packaging) désigne le règlement (CE) n° 1272/2008 du
Parlement européen relatif à la classification, à
l’étiquetage et à l’emballage des substances chimiques
et des mélanges. Texte officiel de référence en Europe,
il permet la mise en application du système général
harmonisé (SGH) dans les secteurs du travail et de la
consommation. Publié au JOUE n° L 3531 le 31
décembre 2008, il est entré en vigueur le 20 janvier
2009.
Le nouveau système a été applicable de façon obligatoire :
• aux substances depuis le 1er décembre 2010,
• aux mélanges depuis le 1er juin 2015.
2009-2017 : période de transition
… soit 25 ans après le
sommet de la Terre de
Rio en 1992
Système Général Harmonisé
9. Produits étiquetés selon
le Règlement CLP
Produits étiquetés selon le
Règlement DPD (Directive
Produits Dangereux) = ancien
règlement
juin 21
Système Général Harmonisé
10. Quels sont les deux éléments majeurs du SGH ?
juin 21
… des dangers des Agents Chimiques Dangereux
CLASSIFICATION
Le GHS donne des directives sur
la classification des dangers des
produits chimiques purs et des
mélanges selon ses critères ou
règles
COMMUNICATION
Supports
Étiquettes :
o Des mentions de dangers
o Des mentions d'avertissement
o Des symboles uniformisés
Fiches de données de sécurité (FDS)
Les FDS du GHS contiennent 16 sections dans
un ordre prédéterminé, et un minimum de
renseignements est requis.
Système Général Harmonisé
12. Classification des dangers
juin 21
GROUPES CLASSES CATÉGORIES SOUS-CATÉGORIES de dangers
CLASSIFICATION
On retrouve trois GROUPES de dangers
• Dangers physiques
• Dangers pour la santé
• Dangers pour l’environnement
13. Le règlement CLP définit 28 classes de
danger :
• 16 classes de danger physique,
• 10 classes de danger pour la santé,
• 2 classes de danger pour
l’environnement
juin 21
GROUPES CLASSES CATÉGORIES SOUS-CATÉGORIES de dangers
Les classes de danger = NATURE du danger
Classification des dangers
CLASSIFICATION
Agents CMR
(cancérigènes, mutagènes,
reprotoxiques)
14. Toxicité aiguë +++
Toxicité aiguë ++
Toxicité aiguë +
Toxicité aiguë +/-
juin 21
GROUPES CLASSES CATÉGORIES SOUS-CATÉGORIES de dangers
Classification des dangers
Les catégories de danger permettent une GRADATION du danger
CLASSIFICATION
15. Liquide inflammable +++
Liquide inflammable ++
Liquide inflammable +
juin 21
Classification des dangers
GROUPES CLASSES CATÉGORIES SOUS-CATÉGORIES de dangers
CLASSIFICATION
17. Critères de classification
des liquides et vapeurs inflammables
juin 21
Le POINT D'ÉCLAIR ou point d'inflammabilité (en anglais : flash
point) correspond à la température la plus basse à laquelle un
corps combustible émet suffisamment de vapeurs pour former,
avec l’air ambiant, un mélange gazeux qui s’enflamme sous
l’effet d’une source d’énergie calorifique telle qu’une flamme
pilote, mais pas suffisamment pour que la combustion
s’entretienne d’elle-même (pour ceci, il faut atteindre le point
d'inflammation).
Le POINT D'INFLAMMATION (=point de flamme) est la
température la plus basse à laquelle un liquide émet
suffisamment de vapeurs pour former avec l’air ambiant un
mélange inflammable dont la combustion une fois débutée
puisse s’entretenir d’elle-même après retrait de la source
d’allumage. Il est supérieur au point d’éclair de quelques degrés.
Entre le point d’éclair et le point d’inflammation, les vapeurs
s’enflamment mais ne peuvent continuer à brûler sans apport
extérieur d’énergie
CLASSIFICATION
Le POINT D’AUTO INFLAMMATION
19. Pour certaines catégories de danger, il existe des SOUS-CATÉGORIES
1A Cancérogène avéré
1B Cancérogène présumé
2 Cancérogène suspecté
juin 21
Classification des dangers
GROUPES CLASSES CATÉGORIES SOUS-CATÉGORIES de dangers
CLASSIFICATION
21. juin 21
Exemple : solutions de soude
… donc, en pratique, si [C] de soude inférieure à
0,5 % port de gants non nécessaire
Gradation du degré du danger si DILUTIONS
Application aux ACIDES/BASES
CLASSIFICATION
24. juin 21
Les informations disponibles sur les ÉTIQUETTES
des agent chimique dangereux
COMMUNICATION
25. Étiquetage - PICTOGRAMMES
9 PICTOGRAMMES de dangers
Les pictogrammes de danger prescrits par le règlement CLP sont
issus du SGH et sont au nombre de 9.
Ils comportent « un symbole en noir sur fond blanc dans un cadre
rouge suffisamment épais pour être clairement visible ».
Chaque pictogramme possède un code composé de la façon
suivante : « SGH » + « 0 » + 1 chiffre.
juin 21
Communication sur la
NATURE du danger
COMMUNICATION
26. Étiquetage - PICTOGRAMMES
juin 21
Chaque
pictogramme
regroupe plusieurs
classes de danger
selon le règlement
CLP
COMMUNICATION
27. Pictogramme SGH08
juin 21
Les agents suivants sont associés aux
pictogramme GHS08
Allergisants respiratoires
CMR
STOT (Specific target organ
toxicity)
29. juin 21
COMMUNICATION
Étiquetage - MENTIONS DE DANGER (H…)
Inflammable Très inflammable Extrêmement inflammable
Exemple :
classe de danger
LIQUIDES
INFLAMMABLES
Une MENTION DE DANGER « est une phrase qui, attribuée à une classe de danger ou à une catégorie de danger,
décrit la nature du danger que constitue un produit chimique et, lorsqu’il y a lieu, le degré de ce danger ».
Un code alphanumérique unique constitué de la lettre « H » et de 3 chiffres est affecté à chaque mention de
danger.
Détail la NATURE et le NIVEAU
du danger
30. juin 21
Exemple :
classe de danger
TOXICITÉ AIGUË
Nocif Toxique Mortel
COMMUNICATION
Étiquetage - MENTIONS DE DANGER (H…)
Détail la NATURE et le NIVEAU
du danger
31. classe de danger
CANCÉROGÉNÉCITÉ
N.B. Sous catégories 1A et 1B (cancérogènes avérés ou
présumés) : même mentions d’avertissement et de
danger
juin 21
« Susceptible de … » « Peut … »
COMMUNICATION
Étiquetage - MENTIONS DE DANGER (H…)
classe de danger
MUTAGÉNICITÉ
Détail la NATURE et le NIVEAU
du danger
33. juin 21
LA PRÉVENTION DU RISQUE CMR
Quand un agent CMR est repéré sur le lieu de travail, sa SUPPRESSION
ou sa SUBSTITUTION s’impose, chaque fois qu’elle est techniquement
possible
34. Guide sur l'étiquetage et l'emballage conformément au
règlement (CE) n° 1272/2008
http://www.etiquetage-
legal.eu/dbimages/document/fichier/53/Gui
de_etiquetage_FR.pdf
182 pages !
juin 21
COMMUNICATION
35. LA FICHE DE DONNÉES DE
SÉCURITÉ
juin 21
COMMUNICATION
En anglais : Safety Data Sheet ou SDS
36. La fiche de données de sécurité
juin 21
COMMUNICATION
45. Foire Aux Questions
Le SGH évolue t-il ?
juin 21
Oui, actuellement version 8
GHS (Rev.8) (2019)
46. Foire Aux Questions
Le SGH est-il applicable aux substances/mélanges radioactifs ?
juin 21
Non, le SGH n'est pas applicable aux substances et
aux mélanges radioactifs relevant du champ
d'application de la directive 96/29/Euratom du
Conseil du 13 mai 1996 fixant les normes de base
relatives à la protection sanitaire de la population
et des travailleurs contre les dangers résultant des
rayonnements ionisants
47. Foire Aux Questions
Quelle est la différence entre
• le SGH (règlement CLP)
• … et l’ADR ?
juin 21
ADR : Accord relatif au transport international des
marchandises Dangereuses par Route