1. UNIVERSITÉ DE MONTRÉAL
Essai personnel
L’utilisation de Facebook selon trois générations
par
Catherine Caisse
Certificat de relations publiques
Faculté de l’éducation permanente
Travail présenté à Monsieur Patrice Leroux
Dans le cadre du cours REP2400
Internet et relations publiques
Octobre 2011
2. Introduction : une découverte bouleversante.
Je me souviens à quel moment j’ai découvert le réseau social Facebook. C’était lorsque
j’étudiais au Collège de Rosemont en arts et lettres, profil cinéma et communication.
C’était en février 2008, j’avais alors 19 ans. Je peux facilement retracer le mois exact de
mon inscription, puisque j’ai retrouvé la date à laquelle j’ai apposé ma première photo
de profil sur Facebook. C’était donc au mois de février. Assise dans la salle d’ordinateur
du Cégep, j’ai exploré pour la première fois l’outil qui allait bientôt changer du tout au
tout ma façon de communiquer et de m’informer. Je me rappelle encore que j’étais
tombée sur la page d’une de mes bonnes amies du secondaire, Anaïs. J’ai alors été
surprise de voir la Tour Eifflel en arrière plan de sa photo de profil. Était-elle en
vacance? Avait-elle déménagé? Des questions auxquelles j’allais avoir des réponses
rapidement, puisqu’une fois arrivée chez moi, j’ai complété mon inscription officielle sur
le média social Facebook.
J’ai également le souvenir que j’étais une des dernières de mon groupe d’amis à avoir
ma page sur ce réseau social. J’étais, en quelques sortes, décalée du reste du monde.
Un jour après avoir ouvert mon compte, j’avais des dizaines de demandes d’amis. De
part et d’autres, mes connaissances, mes amis proches et les membres de ma famille
avaient dès lors un réseau bien établi sur ce site. Moi qui croyais être une jeune femme
branchée de Montréal, je m’étais complètement trompée. Le fait de ne pas avoir de
page Facebook m’avait fait comprendre que, dans le fond, je n’étais plus dans le coup.
J’ai donc pris une décision : j’allais reprendre le temps perdu coûte que coûte.
3. Mon choix de sujet : l’utilisation de Facebook selon 3 générations.
Je voulais absolument faire cet essai sur le réseau social Facebook. Premièrement, car
j’en suis une fervente utilisatrice. Deuxièmement, parce que je maîtrise maintenant très
bien son fonctionnement. Le sujet était, cependant, trop général, je devais donc adopter
un angle particulier. Après avoir exploré de fond en comble mon réseau Facebook, j’ai
constaté que mes contacts n’utilisaient tous pas ce site web de la même manière. En
effet, j’ai remarqué les énormes différences entre les utilisations de mon petit cousin, de
ma mère et finalement de mes amis. Mon essai allait décidément avoir une perspective
sociologique. Mon idée était alors née : l’utilisation de Facebook selon trois générations.
J’ai décidé de me concentrer sur ces trois générations : la génération Z (13 et 14 ans),
la mienne, la génération Y (15 à 29 ans) et la génération des baby-boomers (44 à 65
ans). Oui, j’ai délaissé la génération X (30 - 44 ans)1 pour la simple raison que je ne
détiens pas beaucoup d’amis Facebook dans cette tranche d’âge. À mon avis, je trouve
également plus intéressant de comparer ces trois générations, (Z, Y et Baby boomers)
entre elles, car au niveau de l’utilisation de Facebook, leurs différences sont plus
marquantes.
Enfin, dans cet essai, je me permets de présenter mes propres observations puisque
j’utilise quotidiennement Facebook. De plus, ces dernières serviront toujours de liens
vers les recherches que j’ai menées sur le sujet.
1 Tranches dʼâge approximatives, puisquʼil existe plusieurs définitions pour ces quatre générations.
4. Génération Z : si j’avais eu Facebook à cet âge...
Quand j’observe la conduite générale de mes petits cousins et de mes petites cousines
sur Facebook, je comprends qu’ils en ont une utilisation totalement différente de la
mienne. Premièrement, il semble que ce soit très tendance, pour ce groupe d’âge, de
créer des montages photos de leurs meilleurs amis et de les identifier par la suite sur
ces derniers. Deuxième tendance pour les Z, prendre une photo de soi, mettre une
inscription sur la photo en question, par exemple : «si tu apparais sur cette photo, c’est
que je t’aime» et encore une fois identifier ses amis dessus. À mon avis, Facebook
démontre bien l’importance du sentiment d’appartenance pour la génération Z. Puisque
que ces jeunes se trouvent en plein développement identitaire ce sentiment, déjà
omniprésent, est accentué par l’utilisation qu’ils font du média social. Cette observation
m’amène à me demander : jusqu’à quel point Facebook aurait pu changer une partie de
mon enfance si j’y avais eu accès vers l’âge de 13 ans? Je trouve déjà difficile de gérer
certaines relations sur ce réseau social du haut de mes 23 ans, alors je n’ose pas
imaginer la complexité de la chose 10 ans plus jeune.
Une des recherches qui m’a permis d’aller plus en profondeur dans mon sujet est celle
faite par le groupe Anderson Analytics. Ce dernier analyse et compare comment les
différentes générations utilisent les réseaux sociaux. Tout d’abord, cette étude parue en
2009 démontre que Facebook demeure dans les médias sociaux les plus fréquentés
par la génération Z à 61%2. Ensuite, les autres aspects pertinents de cette étude sont
les raisons pour lesquelles les gens du même groupe les utilisent. Voici les trois
2«How the Old, the Young and Everyone in Between Uses Social Networks», eMarketer, 30 juillet 2009,
http://www.emarketer.com/Article.aspx?R=1007202 (page consultée le 25 octobre 2011).
5. premières : pour rester en contact avec mes amis à 93%3, pour le plaisir à 91%4 et,
beaucoup plus loin derrière, pour rester en contact avec mes collègues de classe à
39%5. Cette analyse vient, selon moi, appuyer mes propos ci-dessus voulant que le
sentiment d’appartenance occupe une place de choix dans l’utilisation du réseau social
Facebook par la génération Z.
J’ai aussi retrouvé sur le web une publication datant de 2010, NETendances, du groupe
CEFRIO faite en collaboration avec Léger Marketing et Développement économique,
Innovation et Exportation Québec qui se nomme : L’explosion des médias sociaux au
Québec. Ce document s’est avéré être une mine d’or d’information sur mon sujet. Il y a,
cependant, moins de données sur la génération Z, puisqu’il se concentre sur l’utilisation
des réseaux sociaux par les adultes québécois. Il met tout de même de l’avant ceci : «
Une étude de Pew Internet rapporte que certaines activités des 12-17 ans dans les
réseaux sociaux ont légèrement diminué au cours des deux dernières années, comme
l’envoi de messages de groupe ou de messages privés. Assiste-t-on à une sorte de
lassitude ? En 2011, il faudra surveiller l’usage des réseaux sociaux que feront les plus
jeunes, car ceux-ci sont souvent précurseurs des futures tendances. »6.
Bref, il est indéniable que les jeunes de la génération Z utilisent Facebook d’une façon
surtout superficielle pour, entre autres, nourrir leur sentiment d’appartenance. Par
3«How the Old, the Young and Everyone in Between Uses Social Networks», eMarketer, 30 juillet 2009,
http://www.emarketer.com/Article.aspx?R=1007202 (page consultée le 25 octobre 2011).
4 Ibid.
5 Ibid.
6CEFRIO. «L’explosion des médias sociaux au Québec», NETdances, Volume 1, Numéro 1, 2010,
http://www.cefrio.qc.ca/fileadmin/documents/Publication/NETendances-Vol1-1.pdf (page consultée le 24
octobre 2011).
6. contre, je constate qu’il est envisageable que ces derniers trouvent une alternative pour
le cultiver d’ici quelques années.
Génération Y : l’essayer c’est l’adopter. Je suis accro à Facebook!
Comme je l’ai mentionné auparavant, j’ai découvert Facebook plus tard que la plupart
de mes amis. Au début de mon utilisation, j’y allais quelques fois par semaine sans
plus, mais depuis un moment : tout à changé. Premièrement, parce que j’ai agrandi
mon cercle d’amis, il est donc plus facile de rester en contact avec eux via ce réseau
social. Deuxièmement, je me suis achetée un téléphone intelligent et je peux
maintenant me connecter sur Facebook en tous lieux et en tout temps. D’abord une
accoutumance, voilà comment mon addiction à ce site a commencée. Je peux
maintenant l’avouer : je suis accro à Facebook et je consulte mon profil une dizaine de
fois par jour au minimum. Par chance, j’ai remarqué dans mes recherches, que j’étais
loin d’être la seule dans cette situation. J’appartiens plus que je le ne pensais à ma
génération, la Y, enfants du millénaire.
Pour débuter sur l’utilisation de Facebook de la part de ma génération, voici un extrait
de l’étude, L’explosion des médias sociaux au Québec, qui m’a complètement chaviré
et rassuré à la fois : « (...) on ne s’étonnera pas de constater que ce sont les jeunes de
18 à 24 ans qui sont les plus accros à ces sites, puisque près des deux tiers (62 %)
d’entre eux y participent tous les jours. » 7. Quand je disais que je n’étais pas la seule
dans ma situation! Cette même étude avance que les réseaux sociaux ont connu une
7CEFRIO. «L’explosion des médias sociaux au Québec», NETdances, Volume 1, Numéro 1, 2010,
http://www.cefrio.qc.ca/fileadmin/documents/Publication/NETendances-Vol1-1.pdf (page consultée le 24
octobre 2011).
7. croissance de 62% auprès des québécois de 18 à 44 ans et que leur taux
d’engagement sur ce type de sites est maintenant de 99%.8 Quant à l’emploi que ma
génération et moi en faisons, le groupe Anderson Analytics présente des données
intéressantes. Tout comme la génération précédente nous utilisons les réseaux sociaux,
dans un premier temps, pour garder contact avec nos amis à 82% et, dans un
deuxième temps, pour le plaisir à 61%.9 Facebook reste également un des réseaux
sociaux les plus utilisés à 65%.10
De plus, puisque la génération Y est une fervente utilisatrice des téléphones intelligents,
il n’est pas surprenant d’apprendre que l’application Facebook est l’une des plus
populaires sur toutes les plates-formes confondues.11 La tendance de l’heure avec cette
application mobile : les « check-in ». Une façon simple de montrer à tous mes contacts
où je me trouve en temps réel et à quel point je suis branchée d’y être.
J’en viens donc à cette conclusion pour moi et ma génération : nous sommes plus ou
moins tous accros à ce réseau social. Encore une fois, je crois que le sentiment
d’appartenance en est pour quelque chose, mais à une moins grande ampleur que la
génération Z. Il est tout de même important de souligner que nous utilisons les réseaux
8CEFRIO. «L’explosion des médias sociaux au Québec», NETdances, Volume 1, Numéro 1, 2010,
http://www.cefrio.qc.ca/fileadmin/documents/Publication/NETendances-Vol1-1.pdf (page consultée le 24
octobre 2011).
9«How the Old, the Young and Everyone in Between Uses Social Networks», eMarketer, 30 juillet 2009,
http://www.emarketer.com/Article.aspx?R=1007202 (page consultée le 25 octobre 2011).
10 Ibid.
11ZDNet France. «Étude : Facebook et Google Maps champions des applications sur smartphones»,
BusinessMobile, 3 juin 2010, http://www.businessmobile.fr/actualites/etude-facebook-et-google-maps-
champions-des-applications-sur-smartphones-39752126.htm (page consultée le 23 octobre 2011).
8. sociaux de 1% à 3% pour des raisons professionnelles 12.
Génération des baby-boomers : un univers plus vrai.
La génération des baby-boomers m’est représentée, sur Facebook, par ma mère, mes
oncles et mes tantes. Je dois me confesser : c’est pour moi un réel divertissement de
les voir explorer ce réseau social. Je n’ai jamais eu autant de recettes et de chaînes de
lettres dans mon fil de nouvelles que depuis que je suis amie avec les membres de ma
famille. Néanmoins, de mon point de vue, j’ai remarqué qu’ils en font une utilisation plus
authentique. Je m’explique, les gens de cette génération n’utilisent pas Facebook pour
montrer aux autres à quel point ils sont «cool», comme les générations Z et Y le font
souvent, mais plutôt pour se divertir et partager en s’attardant peu ou pas aux
jugements des autres.
L’aspect qui m’a le plus marqué dans mes recherches sur l’utilisation des médias
sociaux par cette génération est la dimension familiale. En effet, elle est beaucoup
importante pour elle que pour ses générations précédentes. Cette tranche d’âge utilise
les réseaux sociaux à 47% pour rester en contact avec la famille contrairement à 27%
pour la génération Z et à 40% pour la génération Y. Je remarque aussi que les baby-
boomers les utilisent à 46%, puisqu’une connaissance les a invités à le faire. Par
contre, la grande gagnante des raisons reste la même pour les trois générations soit :
pour rester en contact avec mes amis. Facebook est, encore une fois, le plus populaire
à 73%. Un pourcentage plus élevé que celui des générations Z et Y. Le côté
12 «How the Old, the Young and Everyone in Between Uses Social Networks», eMarketer, 30 juillet 2009,
http://www.emarketer.com/Article.aspx?R=1007202 (page consultée le 25 octobre 2011).
9. professionnel est aussi présent pour les baby-boomers, 12% s’en servent pour garder
contact avec leur réseau professionnel et 10% pour trouver un emploi.13
Les baby-boomers ont eu le plus fort taux de croissance sur les réseaux sociaux au
Québec en 2009 et 2010. Également, ils ont eu la plus forte croissance au niveau de
leur engagement, soit une augmentation de 15%. De plus, 25% d’entre eux ont nommé
en première position le fait de rétablir ou de garder contact avec d’anciens amis dans
les raisons pour lesquelles ils utilisent les médias sociaux en général. Un autre 9% des
gens de cette génération sont motivés à fréquenter des sites comme Facebook pour
faire de nouvelles rencontres 14, possiblement à cause de leur popularité il y a quelques
années.
En somme, l’utilisation de Facebook par la génération des baby-boomers est assez
récente, mais sa croissance est étonnante. Les données ci-dessus concorde bien avec
mes propos voulant qu’elle l’utilise d’une façon moins superficielle et plus authentique
que ces générations précédentes. Pour preuve : l’importance du lien familial et de
l’aspect professionnel.
13 «How the Old, the Young and Everyone in Between Uses Social Networks», eMarketer, 30 juillet 2009,
http://www.emarketer.com/Article.aspx?R=1007202 (page consultée le 25 octobre 2011).
14 CEFRIO. «L’explosion des médias sociaux au Québec», NETdances, Volume 1, Numéro 1, 2010,
http://www.cefrio.qc.ca/fileadmin/documents/Publication/NETendances-Vol1-1.pdf (page consultée le 24
octobre 2011).
10. Quelques tableaux pour synthétiser les informations précédemment données:
15
15 «How the Old, the Young and Everyone in Between Uses Social Networks», eMarketer, 30 juillet 2009,
http://www.emarketer.com/Article.aspx?R=1007202 (page consultée le 25 octobre 2011).
11. 16
17
16IDBOOX. «L’internet mobile et Facebook les vainqueurs 2010», IDBOOX, 15 mars 2011, http://
www.businessmobile.fr/actualites/etude-facebook-et-google-maps-champions-des-applications-sur-
smartphones-39752126.htm (page consultée le 25 octobre 2011).
17SMITH, Justin. «Fastest Growing demographic on Facebook: Women Over 55», Inside Facebook, 2
février 2009, http://www.insidefacebook.com/2009/02/02/fastest-growing-demographic-on-facebook-
women-over-55/ (page consultée 23 octobre 2011).
12. Conclusion : Facebook nous a tous conquis!
C’était en février 2008 que tout a commencé et je ne peux y apposer une date de fin
puisque je suis loin d’être prête à dire adieu à mon profil sur Facebook. Je me demande
parfois comment je faisais auparavant pour garder contact avec mes amis, car ce
réseau social me facilite énormément la tâche. C’est ma fête, rien de plus facile. Je crée
un événement, j’invite mes amis et j’attends leur réponse. Une fois le jour même arrivé,
je prends des photos de la superbe soirée et je les mets sur mon profil pour montrer à
tous ceux qui ont décliné l’invitation ce qu’ils ont manqué. J’ai besoin d’un livre pour un
cours à l’école, également très simple. Je mets comme profil du jour : « Besoin d’aide
chers amis Facebook, qui aurait le livre X à me prêter? Merci xoxo ». Oui, je perds
beaucoup de temps et d’énergie par moment sur Facebook, mais je trouve que ce
média social est révolutionnaire et qu’il m’est presque indispensable pour plusieurs
aspects de ma vie.
En rédigeant cet essai, j’ai beaucoup appris sur ce réseau social, mais aussi sur les
générations qui m’entourent. Ma vison du sujet est plus vaste. Ma compréhension et
mes opinions, sur les motivations et intérêts des trois groupes que j’ai observés, sont
plus claires. J’ai également pu constater que Facebook a charmé les plus jeunes
comme les plus vieux. J’espère seulement que les générations présentes et futures
resteront et seront au rendez-vous.
Je termine cet essai sur cette statistique bien de chez nous : 51% des québécois
13. utilisent un réseau social.18 Bref, je ne cherche plus, je trouve.
Bibliographie :
• CÉLIER, Claire. «De nouvelles études sur lʼutilisation de Facebook par les différentes
générations», Inside Facebook, 31 juillet 2009, http://fr.insidefacebook.com/
2009/07/31/de-nouvelles-etudes-sur-lutilisation-de-facebook-par-les-differentes-
generations/ (page consultée le 24 octobre 2011).
• CEFRIO. «L’explosion des médias sociaux au Québec», NETdances, Volume 1,
Numéro 1, 2010, http://www.cefrio.qc.ca/fileadmin/documents/Publication/
NETendances-Vol1-1.pdf (page consultée le 24 octobre 2011).
• «How the Old, the Young and Everyone in Between Uses Social Networks»,
eMarketer, 30 juillet 2009, http://www.emarketer.com/Article.aspx?R=1007202 (page
consultée le 25 octobre 2011).
• IDBOOX. «Lʼinternet mobile et Facebook les vainqueurs 2010», IDBOOX, 15 mars
2011, http://www.businessmobile.fr/actualites/etude-facebook-et-google-maps-
champions-des-applications-sur-smartphones-39752126.htm (page consultée le 25
octobre 2011).
18 CEFRIO. «L’explosion des médias sociaux au Québec», NETdances, Volume 1, Numéro 1, 2010,
http://www.cefrio.qc.ca/fileadmin/documents/Publication/NETendances-Vol1-1.pdf (page consultée le 24
octobre 2011).
14. • SMITH, Justin. «Fastest Growing demographic on Facebook: Women Over 55»,
Inside Facebook, 2 février 2009, http://www.insidefacebook.com/2009/02/02/fastest-
growing-demographic-on-facebook-women-over-55/ (page consultée 23 octobre
2011).
• ZDNet France. «Étude : Facebook et Google Maps champions des applications sur
smartphones», BusinessMobile, 3 juin 2010, http://www.businessmobile.fr/actualites/
etude-facebook-et-google-maps-champions-des-applications-sur-
smartphones-39752126.htm (page consultée le 23 octobre 2011).