1. Présenté par :
- OuaretYahia
- Moussaoui Anis
- MokraneYacine
Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique
Université Abderrahmane Mira –Bejaia-
Faculté deTechnologie
Département d’Architecture
Encadré par :
Mme Bounouni
Année universitaire
2015/2016
Atelier de construction
Groupe : 08
Les aménagements intérieurs et
de surveillance
Thème
2. Plan de travail
•Introduction
Partie 1 : Les aménagements intérieurs
Définitions
L’importance de l’aménagement intérieur et
son impact
Les différents systèmes d’aménagement
intérieur
Partie 2 : Les aménagements de surveillance
Définition
Les acteurs déterminants
Les différents systèmes de surveillance
•Conclusion
•Bibliographie
Les plafonds
Les cloisons
3. Introduction
La société change de comportement et évolue vers une utilité différente
notamment en milieu urbain où le phénomène est plus visible qu’à la
campagne, apprendre et comprendre l’architecture intérieure est parmi
les soucis pour certains d’entre nous puisque l’aménagement intérieur
constitue un élément clé pour le bien-être et le confort des habitants
malgré les différentes vocations qui peuvent être destinées aux bâtiments
qu’ils occupent, ces derniers restent un lieu à forte capacité humaine,
matérielle ou même intellectuelle, c’est pour cela d’ailleurs qu’ils doivent
être sécurisés mais aussi protégés. Afin d’assurer la sécurité des usagers,
du matériel, des informations ainsi que le patrimoine bâti, différents
dispositifs sont intégrés dans les édifices tout en répondant à des normes
en vigueur.
5. L'aménagement intérieur ou décoration intérieure est une discipline visant à la disposition des
espaces bâtis intérieurs. L'aménagement intérieur est en lien avec la décoration, le design,
l'ergonomie et l'architecture. Il met ainsi l’homme au cœur de son habitation , propose des
solutions et des pistes afin d’optimiser et valoriser l’espace de vie de ce dernier.
Cette discipline concerne aussi bien :
• Les immeubles d'habitation, de bureau, d'ateliers ou industriels.
• Les véhicules ; aéronefs, automobiles, navires.
Un bon aménagement intérieur doit satisfaire:
Le bien-être –> espace, lumière, atmosphère…
Le fonctionnel –>pratique, technique, mode de vie…
L’économie –>budget, durabilité, valeur…
7. Le plafond : paroi horizontale ou inclinée constituant la partie supérieure d’un local.
On distingue trois principaux types de plafonds:
Le plafond plâtré
est un enduit réalisé en sous-face du plancher. Il s’agit le plus souvent d’un enduit au plâtre d’une
épaisseur de 10 à 15 mm.
8. Le plafond fixé (autoportant):
est composé de plaques appliquées directement sous le plancher
par collage, clouage ou vissage.
• Les matériaux utilisés peuvent être : des plaques de plâtre à parement lisse,
des panneaux composites comprenant une plaque de plâtre ou un panneau
de fibres de bois collé sur un isolant
9. Le plafond suspendu ou faux-plafond :
plafond rapporté sous un plancher et accroché à celui-ci par des suspentes. Il existe plusieurs types de
plafonds suspendus.
10. Le plafond en plaques de plâtre :
Ce type de plafond est très employé dans les maisons individuelles où il sépare les combles
perdus de la partie habitable. Il comprend habituellement une ossature constituée de profilés
en acier galvanisé (accrochés au plancher par des suspentes) et des plaques de plâtre jointives
vissées sur l’ossature. Un matelas de laine de verre au-dessus du faux plafond assure l’isolation
thermique
Les plus courants sont :
11. Le plafond en éléments de terre cuite ou plafond en céramique :
Plafond réalisé en briques spéciales creuses appelées briques à plafond ou
plafonnetes .
Les briques suspendues par des crochets s’assemblent les unes aux autres.
Les joints entre briques sont remplis de plâtre. La sous-face du plafond reçoit
généralement un enduit traditionnel au plâtre.
12. La suspente:
Accessoire métallique destiné à soutenir les faux-plafonds. Il existe plusieurs
modèles des suspentes en fonction de la nature du support (plancher en bois,
plancher préfabriqué en béton, plancher métallique…). La suspente articulée
permet la fixation sur des supports inclinés.
13. Le plénum :
Espace libre situé entre le plafond suspendu et la sous-face du plancher.
15. Le plafond en lames :
Plafond réalisé en lames jointives de PVC ou de bois.
Les lames peuvent être accrochées à des Suspentes.
ou clouées sur des
tasseaux.
16. Le plafond rampant:
Partie du plafond suspendu inclinée construite parallèlement à un versant de toiture.
17. Le plafond tendu :
Plafond constitué d’une toile tendue entre murs, à distance du plancher supérieur et sans
liaison matérielle avec celui-ci. La toile appelée vélum réalisée en fil de polyester ou en PVC
armé est maintenue sur son pourtour dans des profilés fixés aux murs.
19. La cloison : Paroi verticale, non porteuse, ne soutenant pas les
ouvrages situés au-dessus d’elle à la différence des murs de façade et des
murs de refend.
Selon l’emplacement de la cloison, on distingue:
La cloison de distribution : Qui sert à compartimenter
l’espace intérieur d’une construction. Elle sépare des pièces
occupées par le même usager
20. La cloison de doublage appelée aussi contre-cloison ou doublage:
Cloison intérieure bâtie devant un mur. L’intervalle d’une distance de 10cm
environ, ménagé entre le mur et la cloison est, le plus souvent, occupé par un
isolant thermique (polystyrène, laine de verre…).
21. La cloison séparative
Qui est placée entre des pièces occupées par des usagers différents.
Il existe deux variétés principales de cloisons qui différent par la nature
des matériaux employés et leur mise en œuvre.
Ce sont les cloisons pleines et les cloisons sèches.
22. La cloison pleine appelée aussi cloison hourdée
Constituée d’éléments assemblés entre eux au mortier de ciment,
au mortier-colle ou au plâtre. On distingue plusieurs types de cloisons pleines :
La cloison en briques plâtrières:
Les briques plâtrières (appelées ainsi car souvent assemblées au plâtre) sont des briques creuses
dont l’épaisseur varie de 3,5 à 7,5 cm. Leur format moyen est de 20 cm x 50 cm.
23. La cloison en carreaux de terre cuite:
à la différence des briques plâtrières, le carreau de terre cuite
possède des faces lisses et un grand format (66 cm x 50 cm).Trois
carreaux permettent de réaliser 1 m2 de cloison.
24. La cloison en carreaux de plâtre:
Ces carreaux, de grand format (66 cm x 50 cm), à
parements lisses, s’assemblent les uns aux autres
par languette et rainure avec une colle spéciale
sans nécessiter d’enduit de finition.
Il existe plusieurs types de carreaux :
• Le carreau standard plein, le plus courant.
• Le carreau hydrofuge (qui résiste à l’humidité et au
ruissellement) réservé aux salles d’eau et aux pièces
humides.
• Le carreau isolant dont la partie centrale est en laine
minérale ou en polystyrène.
• Le carreau alvéolé pour alléger la charge au sol.
25. La cloison sèche
Constituée d’éléments assemblés mécaniquement. Sa mise en œuvre ne nécessite pas l’emploi
de liant hormis les enduits utilisés pour le traitement des joints entre panneaux.
Il existe trois principaux types de cloisons sèches :
La cloison en panneaux à âme alvéolaire:
D’une hauteur d’étage, composée de deux plaques de plâtre collées sur un
réseau alvéolaire en carton. Le montage peut s’effectuer sur des lisses en bois ou métalliques.
26. La cloison avec ossature métallique
Constituée de plaques de plâtre vissées sur des rails et des montants en acier
galvanisés. Pour répondre aux besoins d’isolation thermique et phonique, un
isolant peut être incorporé dans la cloison et l’épaisseur des plaques et leur
nombre peuvent être augmentés.
27. La cloison en panneaux de particules :
Moins employée que les deux précédentes, elle est construite avec des
panneaux préfabriqués en particules de bois compressées, de 60 à 90 cm de
large. Les assemblages sont du type languette et rainure et les éléments
sont solidarisés à la colle à bois.
28. La cloisonnette :
Cloison légère qui ne touche pas le plafond, d’une hauteur comprise entre 1 et 2
mètres. Elle est parfois appelée bat-flanc lorsque sa hauteur avoisine un mètre.
29. La semelle :
Pièce de bois ou profilé métallique (ou plastique) vissé au sol et servant d’assise à une cloison
sèche ou pleine. La semelle est dite résiliente lorsqu’elle possède des propriétés élastiques tel
que le liège.
La lisse :
Désigne aussi bien la semelle que la pièce de bois (ou métallique) fixée au
plafond. Lorsque la lisse à la forme d’un U, elle prend le nom de rail.
31. Le complexe isolant:
Panneau mis en place contre la face
intérieure d’un mur ou d’une cloison pour
à la fois isoler
thermiquement et former un parement fini
plan. Le complexe isolant comprend
généralement:
● Une plaque de plâtre
● Un pare-vapeur éventuel,
● Un matériau isolant disponible en
plusieurs
épaisseurs (de 3 à 10 cm environ).
32. Le panneau sandwich:
Nom donné aux panneaux préfabriqués composés d’une couche isolante
recouverte des deux côtés par une plaque de plâtre. Ce type de panneau, plus
rigide qu’un complexe isolant, est souvent utilisé comme doublage.
33. Le claustra:
Cloison ajourée en bois ou en éléments préfabriqués de béton ou de
terre-cuite appelés parfois claustres. Le claustra sert à délimiter des zones
tout en laissant passer les sons et la lumière.
34. Quel logiciel d’aménagement d’intérieur utilisé ?
De nombreux logiciels d’aménagement intérieur sont disponibles sur
Internet. La préférence va vers le logiciel français « Sweet Home 3D »
pour sa facilité d’utilisation et ses nombreuses fonctionnalités. Les
principaux logiciels du marché sont :
•Sweet Home 3D
•Architecte 3D Silver
•Appartement 3D
•3D Architecte d’Intérieur
•D&CO Appartement & Aménagement
35. Le choix du type de cloisons ou de
plafonds
Au-delà de leurs fonction primaires - la répartition des volumes -, on attend aussi des
plafonds et cloisons d'aujourd'hui une performance acoustique, thermique, esthétique
ou encore de protection au feu. Or, la réponse à ces exigences dépend de multiples
facteurs : la qualité des composants, la conception de l'ouvrage (notamment son
accrochage) et sa préparation en amont.
On peut du coup résumer les facteurs cités là-dessus par ordre :
- Spatial et fonctionnel( passage des fils, isolant…)
- Economique( le cout )
- Esthétique( qualité de finition)
- Sécuritaire( bonne isolation, protection au feu…)
- De situation( positionnement )
37. Aménagement maison
Ci-dessus, superbe intérieur de maison avec parquet bois
clair et sombre, murs blancs et grandes ouvertures par
baies vitrées. Intérieur très lumineux et contemporain.
38. Aménagement d’intérieur
Plus cocooning et chaleureux, cet intérieur de maison
utilise des couleurs chaudes (blanc cassé, sable, marron)
pour créer une atmosphère apaisante.
39. Aménagement d’un salon
Le top du design avec ce dernier exemple d’aménagement d’intérieur autour d’un
salon aux formes cubiques avec canapés rectangulaires stricts, table basse carré et
très épuré, grandes dalles grises aux murs et longues lattes de parquet au sol.
41. • La surveillance est la fonction
d’observer les activités humaines. Dans
le domaine purement technique, on
parle aussi de supervision ou
de monitoring.
• La surveillance peut être secrète ou
évidente..
• Un appareil de surveillance n’est pas un
moyen de communication, mais un
appareil qui nécessite un canal
communicatif.
42. Plusieurs organismes sont impliqués dans les opérations de surveillance :
• L’État et les services de sécurité : ont toujours les systèmes de surveillance
les plus performants parce qu’ils sont protégés par la loi..
• Les entreprises : qui utilisent des formes variées de surveillance « passive »,
dont le rôle primaire est de surveiller l’activité du personnel qui pourrait
avoir un impact sur leurs opérations, et de contrôler les relations publiques.
• Les fabricants de systèmes de surveillance
• La population : qui elle, est le sujet de la surveillance
43. Les bâtiments regroupent plusieurs types de protection et de sécurité qui répondent à
différents risques à savoir sécurité contre les incendies, l’intrusion, ou les
phénomènes météorologiques comme la foudre et le tonnerre.
Sécurité incendie :
L’objet de la prévention est d’empêcher la naissance de l’incendie et limiter
les conséquences au maximum. Il est nécessaire de prévoir la mise en
place des moyens (humains et / ou matériels) pour le détecter dès l’origine,
l’attaquer et limiter sa propagation en attendant l’arrivée des secours
extérieurs, protéger et évacuer les personnes menacées et pour cela
plusieurs systèmes de surveillance peuvent être mis en place :
Quand on parle de surveillance on parle évidemment de sécurité liée au
bâtiments ou autres :
44. • Les systèmes d’extinction
manuels :
Dans ce système on retrouve les extincteurs et les
tuyaux à incendie sur dévidoir.
•Les extincteurs:
Un extincteur est un appareil qui permet de
projeter sous l’effet d’une pression intérieure, et de
diriger un agent extincteur sur un foyer d’incendie.
Il existe deux catégories d’extincteurs : les
extincteurs mobiles et les extincteurs fixes. On
trouve aussi :
Extincteur à liquide ignifuge,
Extincteur à eau,
Extincteur à poudre,
Extincteur à dioxyde de carbone (neige
carbonique),
Extincteur à hydrocarbures halogénés,
Extincteur à mousse.
45. •Les tuyaux à incendie sur dévidoir :
Accrocher sur un mur et relié à une source d’eau abondante à forte
pression, le bout du tuyau contient des ouvertures (trous) latérales qui
permettent une diffusion de l’eau sur une large surface.
Figure : tuyau à incendie sur dévidoir et composition.
46. • Les systèmes d’extinction automatique :
•Le système Hurricane:
•Système d’extinction automatique à eau (Sprinklers) :
Figure : Le système
Hurricane
47. • Protection coupe-feu :
Pose à sec à fond de coffrage de plaques jointives de vermiculite expansée ou similaire, épaisseur 3
cm, assurant une protection coupe-feu de 2h au moins, renforcement de l’accrochage par attaches
spéciales. Sous face des plaques laissées brutes mais nettoyées des coulages.
• Les portes coupe-feu :
Figure : Les portes coupe-feu.
Figure:protectioncoupe-feu
48. • Système mise en sécurité incendie
(SMSI) :
Les systèmes de mise en sécurité (SMSI) sont des automates qui ont pour
finalité de protéger les personnes et les biens ainsi que de faciliter l'intervention
des secours. Ce système correspond à un ensemble de dispositifs assurant la
mise en sécurité d'un bâtiment, c'est à dire le fonctionnement des sirènes
d'évacuation (la fonction évacuation), la fermeture de portes et clapets coupe-
feu (la fonction compartimentage), l'ouverture des volets de désenfumage et
le démarrage des moteurs de désenfumage (la fonction désenfumage) et par
la suite l'arrêt de ces mêmes moteurs pendant ou après l'intervention des
secours.. De manière à toujours avoir la main sur le système, les commandes
automatiques des différentes fonctions doivent pouvoir être à tout moment
commandées manuellement par les agents de sécurité ou les secours. Pour
vérifier en temps réel l'état de la mise en sécurité, le système doit pouvoir
signaler l'état des différents organes commandés.
Figure:lesSMSI
49. • Eclairage de sécurité :
On retrouve des réglementations qui fixent les règles de conception, de mise en œuvre et de
maintenance de l’éclairage de sécurité sur les lieux de travail. A la suite de ces arrêtés, une
installation d'éclairage de sécurité est désormais obligatoire à l’intérieur de tous les
établissements recevant du public et/ou des travailleurs.
Figure : éclairage de sécurité.
50. • L’alarme intrusion filaire
Crée dans le but de faire fuir les cambrioleurs,
pallier aux risques d’effractions tout en
assurant protection et sécurité, son système
permet une surveillance multi détection,
composé de centrales, commandes,
détecteurs et avertisseurs installés aux points
d’accès des zones à protéger..
Centrale
• Clavier à code :
Le clavier à code permet la gestion de la mise
en et hors service de l'alarme intrusion filaire 6
boucles en un seul geste de façon manuelle. Il
s'installe en intérieur et se raccorde sur bornier
dédié.
IP 40 et IK 07. Il possède 2 types de codes :
- 1 code d'accès à toute la maison
- 1 code d'accès à une partie de la maison.
Clavier à code
Sécurité contre les intrusions :
51. • Les détecteurs de mouvements :
S'installent à une hauteur de 2,30 m et permettent
une détection à la verticale.
Se raccordent sur bornes avec câbles 6 fils 6/10.
Longueur maximale d'une boucle : 300 m. Ils sont
agréés NF et A2P type 1.
Détecteur de mouvement
Détecteur d’ouverture
• Les avertisseurs :
Raccordés sur bornier dédié avec
câble 6 fils 6/10e déclinés en trois
types les avertisseurs sauront
déstabiliser et dissuader un intrus
tout en protégeant les occupants.
Alarme intérieur extérieur
• Les détecteurs d’ouvertures :
Ils se raccordent sur bornier dédié avec un
câble alarme 6 fils 6/10e. La distance maximale
d'une boucle est de 1000 m.
52. • Les détecteurs brise-glace
Il assure une détection sur un
rayon de 1,5 m. Il possède une
détection ultrasonique générée
par la coupure du verre. Se fixe
sur la vitre par collage avec un
adhésif livré avec le détecteur.
Tapis contact
Détecteur brise vitre
• Le tapis contact
Il s'installe sous l'objet à
protéger ou sous la
moquette et le tapis placés
sur le chemin d'accès.
53.
54.
55. Protection contre les phénomènes naturels :
• Les dispositifs de protection contre la foudre
A/Les systèmes de protection intérieure :
La protection intérieure appelée aussi protection secondaire est assurée par des dispositifs visant en
premier lieu la protection des réseaux électriques à courant alternatif contre les surtensions
atmosphériques (foudre). Cette fonction est assurée généralement par les parafoudres.
•Les parafoudres
56. • B/Les systèmes de protection extérieure :
Ce type de protection doit assurer la maitrise de la connexion de la foudre sur les
structures afin d’évacuer une partie de courant de foudre a la terre. Elle peut être
réalisée à partir de différents systèmes de capture selon le type de structure a
protéger.
•Les dispositifs de protection externes sont :
1.la cage maillée :
Une installation de cage maillée comporte :
•Des pointes de capture
•Un ceinturage périmétrique
• Des transversaux (voir tableau ci-dessous).
•Des conducteurs de descente
•Une prise de terre
•Une interconnexion des prises de terre
57. 2.Les fils tendus :
Ce système est composé d’un ou plusieurs fils conducteurs tendus
au-dessus des installations à protéger.
3.Les paratonnerres :
Le paratonnerre est une tige conductrice
reliée au sol qui permet de protéger les
habitations de la foudre. On retrouve
diffèrent types de paratonnerre qui sont :
a. Paratonnerre à dispositif d’amorçage
(PDA) :
Le dispositif d’amorçage du paratonnerre
lui permet de réduire le temps nécessaire à
la formation et à la propagation continue de
la décharge et lui assure ainsi une plus
grande
58. efficacité de capture et un rayon de protection plus important qu’une tige simple. Une installation de
PDA comporte :
•Un paratonnerre à dispositif d’amorçage et son mât rallonge.
•Deux conducteurs de descente à la terre.
•Une barrette de coupure par descente permettant la mesure de la résistance de la prise de terre.
•Un tube de protection protégeant des chocs mécaniques, les deux derniers mètres de chaque
descente.
•Un compteur de coups de foudre sur une des deux descentes (obligatoire pour les ICPE).
•Une prise de terre inférieure à 10 Ω destinée à écouler les courants de foudre au pied de chaque
descente.
•Une liaison équipotentielle entre chaque prise de terre et le circuit de terre général de la structure.
59. •Paratonnerre à tige simple :
Par leur géométrie dominante, ils favorisent le déclenchement des amorçages ascendants et
s’imposent ainsi comme le point d’impact des coups de foudre qui surviendraient dans un voisinage
très proche. Une installation de paratonnerre à tige comporte :
•Un paratonnerre à tige et son mât rallongé.
•Deux conducteurs de descente.
•Une barrette de coupure par descente permettant la vérification de la résistance de la prise de terre.
•Un tube de protection protégeant des chocs mécaniques les deux derniers mètres de chaque
descente.
•Une prise de terre inférieure à 10 Ω destinée à écouler les courants de foudre au pied de chaque
descente.
Une liaison équipotentielle entre chaque prise de
terre et le circuit de terre général de la structure.
60. Dans le but d’assurer la durabilité d’une construction, sa maintenance,
son entretien, et sa protection contre les différents risques courus, la
surveillance joue un rôle primordial lors de la conception d’une
construction jusqu’à sa mise en service et cela va dans le sens du respect
des normes et des règles liées à la sécurité mais cette surveillance doit
être intégrée à un aménagement intérieur établis et conçu au préalable ,
ce dernier doit être réfléchis et bien étudié afin de répondre aux
exigences et aux attentes des usagers.
Conclusion
61. Bibliographie
•Wikipédia
•PDF : -Aménagement intérieur
-Mise en sécurité incendie
•Neufert
•Liens internet : - http://www.amenagement-interieur.info/
- http://www.cotemaison.fr/