>>6ème Baromètre e-donateurs LIMITE-IFOP : les « généreux Y » prennent le relai
[agence-limite.fr 24.03.16]
La 6e vague du baromètre e-donateurs LIMITE-IFOP, en partenariat avec l’IDAF et l’AFF, révèle que le réflexe de donner en ligne continue de s’installer : 26% des Français sont aujourd’hui des e-donateurs (+ 2 points par rapport à 2015).
http://agence-limite.fr/blog/2016/03/6eme-barometre-e-donateurs-limite-ifop-genereux-y-prennent-relai/
Télécharger l’étude :
http://agence-limite.fr/wp-content/uploads/2016/03/Barometre_edonateurs_2016_version-comple%CC%80te.pdf
2. Depuis 6 ans, le baromètre e-donateurs permet de mettre en perspective les
stratégies et la présence digitale des associations et fondations avec
l'évolution des pratiques et des attentes des e-donateurs.
Il est basé sur un benchmark analysant la présence digitale des 115
principales associations françaises et un sondage barométrique IFOP réalisé
auprès de 525 « e-donateurs » français (personnes faisant régulièrement ou
de temps en temps des dons sur internet extrait d un échantillon de 2003
personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus).
2
3. L’enquête 2016 met en évidence à la fois les différences générationnelles,
des « natifs » du e-don aux « migrants », mais également le gap qui se crée
entre les attentes des donateurs et ce que les associations sont en mesure
de leur offrir.
Le baromètre rend également compte de l’évolution des grandes tendances
digitales, notamment au niveau de l’utilisation de réseaux sociaux, et révèle
les écarts entre les associations de tête et les plus petites associations qui ne
bénéficient pas des mêmes moyens.
3
5. § Périmètre : 115 associations passées au prisme de 34 items
§ 7 familles :
§ Référencement
§ Transparence
§ Transaction financière
§ Réseaux sociaux
§ Storytelling
§ Accessibilité
§ Une mention bonus : la réalisation d’une campagne digitale innovante
dans l’année écoulée
§ Période : du 1er au 30 janvier 2015.
Méthodologie
5
6. § Réseaux sociaux : une augmentation
significative des communautés, à la fois
sur Facebook et sur Twitter
§ Accessibilité : une hausse non négligeable
du nombre de sites adapté à la navigation
mobile
6
Progressions
VS. 2014
§ Référencement naturel : un meilleur référencement qui traduit une prise de
conscience des associations de la nécessité d’être bien visible sur les moteurs de
recherche
§ Transparence : des comptes plus facilement accessibles lorsque les associations
les publient sur leur site.
7. § Storytelling : alors qu’il existe des outils
simples (vidéo, webdocumentaire…) pour
créer du lien avec les donateurs, ceux-ci sont
de moins en moins utilisés.
§ Transparence : un net recul du nombre
d’associations publiant leurs comptes sur leur
site et les présentant de manière
pédagogique.
§ Transactions financières : les e-reçus fiscaux
sont de moins en moins proposés tandis que
les boutiques en ligne sont devenues presque
anecdotiques.
7
Reculs
VS. 2014
8. • CFRT Le jour du Seigneur
• Fondation ATD Quart Monde
• Les Amis de la Terre
• Aide et action
• CIMADE
• Institut du Cerveau et de la Moelle
Epinière
• Laurette Fugain
• Solidarité Laïque
• Oxfam France
• Petits Princes
• Action Enfance
Principales évolutions des oNG/associations
8
• Fondation Jérôme Lejeune
• Ordre de Malte
• Médecins du monde
• Frères des Hommes
• Fonds Adie
• ACAT France
• Fondation pour la Recherche
Médicale
• Partage
• 30 Millions d’Amis
• APF
• Un Enfant par la main
9. Si la totalité des associations sont bien référencées quand on tape leur nom, on remarque
qu’elles sont seulement 45% à apparaître lorsqu’on réalise une recherche thématique. Même si
ce chiffre est en hausse de 4 points par rapport à 2014, cet élément fait encore défaut à la
majorité d’entre elles.
Référencement / naturel
9
45%
55%
Oui
Non
10. Alors que Google met à disposition des associations le programme Grants, qui leur permet de
faire de la publicité gratuitement, elles sont uniquement 49% à l’utiliser.
Le fossé se creuse entre les associations inexistantes sur les réseaux de recherche et celles qui
allient adwords et grants pour maximiser leur visibilité.
Référencement / payant
10
49%
51%
OUI
NON
26%
52%
49%
2013
2014
2015
12. Référencement / TOP & FLOP 2015
12
Emmaüs International
Fondation Gustave Roussy
Médecins du Monde
Ordre de Malte
SOS Villages d’Enfants
FLOPTop
Action contre la Faim
Apprentis d’Auteuil
Le Rire Médecin
Solidarités international
WWF France
13. Le pourcentage des associations présentant leur compte est en baisse par rapport à 2014.
Transparence / comptes en ligne
13
82%
18%
Oui
Non
Moins 4 points
entre 2014 et
2015.
14. S’il est primordial que les comptes des associations soient publiés sur leur site, il est aussi
important que ceux-ci soient facilement accessibles. Un élément que les associations ont bien
compris puisque ce chiffre est en hausse au cours des dernières années.
Transparence / accessibilité aux comptes
14
80%
20%
Oui
Non
23%
55%
73%
80%
2012
2013
2014
2015
15. Derniers critères dans la transparence financière des associations, la pédagogie utilisée pour
rendre les chiffres compréhensibles. Un chiffre en hausse constante au cours des dernières
années mais qui pour la première fois chute.
Transparence / pédagogie des comptes
15
59%
41%
Oui
Non
Moins 25%
entre 2014 et
2015.
16. Transparence / pédagogie des comptes
16
Extrait de L’essentiel 2014
de CCFD-Terre Solidaire
Extrait de L’essentiel 2014
de Vaincre la Mucoviscidose
17. Si le nombre d’associations faisant appel à des labels reste stable, on observe cette année une
baisse du nombre d’associations labellisées « Comité de la Charte » au profit du label « Ideas ».
Transparence / LABELS
17
Comité de la Charte
Aucun
Ideas
Veritas
10%
54%
10%
1%
Versus 2014 :
• Comité de la
Charte – 6 points
• Ideas + 6 points
18. transparence / TOP & FLOP 2015
18
Amnesty International
Fondation HEC
Fondation pour la Recherche
Médicale
Mécénat Chirurgie Cardiaque
Nos Petits Frères et Sœurs
FLOPTop
Action Enfance
Fondation de France
La Mie de Pain
Reporters sans frontières
Secours Catholique –
Caritas France
19. Le paiement par carte bancaire et par Paypal ne connaît pas d’évolution, on observe même une
petite baisse de l’utilisation de ce dernier (- 3 points par rapport à 2014).
Interactions financières / CB & paypal
19
96%
4%
Carte bancaire
Oui
Non
25%
75%
Paypal
Oui
Non
20. Même si la solution du don mensuel est aujourd’hui proposée par la majorité des associations,
on observe une légère baisse de la mise à disposition de cette forme de don par rapport à 2014
(-2pts).
Interactions financières / prélèvement automatique
20
78%
22%
Oui
Non
21. Si en 2014 presqu’1/3 des associations proposaient l’envoi du reçu fiscal par email, ce chiffre est
en très net recul cette année. Les espaces de don sont quant à eux plus nombreux (+ 3 points
entre 2014 et 2015). Ils sont généralement utilisés pour permettre aux donateurs d’accéder à
l’historique de leurs dons (dont les e-reçus fiscaux).
Interactions financières / e-reçu fiscal et espace
donateurs
21
11%
89%
E-reçu fiscal
Oui
Non
30%
70%
Espaces donateurs
Oui
Non
22. On constate que le nombre de boutiques en ligne est toujours en baisse (-72% en 4 ans). Cette
source de revenue ne semble être plus très efficace pour les associations qui préfèrent appeler
directement au don.
Interactions financières / boutique en ligne
22
12%
88%
Oui
Non
39%
35%
29%
12%
2012
2013
2014
2015
24. Les offres de microdonations sont utilisées par déjà 1/4 des associations tout comme l’année
dernière (2014 : 26%).
Interactions financières / microdonations
24
26%
74%
Oui
Non
25. Pour la première fois cette année nous avons mesuré le nombre
d’associations utilisant Iraiser pour leur formulaire de don. Résultat,
cette solution est plébiscitée par 1/3 des associations.
Interactions financières / Iraiser
25
33%
67%
Oui
Non
NOUVEL
ITEM 2015
27. Intéractions financières / TOP & FLOP 2015
27
Emmaüs France
Fondation Hôpital Saint Joseph
Fondation Brigitte Bardot
Human Rights Watch
Ordre de Malte
FLOPTop
Sidaction
Unicef
CCFD-Terres Solidaires
Action Contre la Faim
Mécénat Chirurgie
Cardiaque
28. Dans leur lancée depuis 2012, le nombre d’associations présentes sur Facebook ne
cesse d’augmenter.
Réseaux sociaux / facebook
28
89%
11%
Oui
Non
Versus 2014 :
+ 4 points
29. Les associations ont vu une augmentation de leur nombre de fans de 19% entre
2014 et 2015. La moyenne du nombre de fans est de 75 450, un chiffre
principalement dû aux plus grosses associations qui tirent la moyenne vers le haut.
Réseaux sociaux / facebook
29
0
5
10
15
20
25
Moins de
1000
Entre 1000 et
5000
Entre 5000 et
10 000
Entre 10 000
et 50 000
Entre 50 000
et 100 000
Entre 100
000 et 250
000
Plus de 200
000
2014
2015
+ 3 pts
+ 3 pts
+ 3 pts
30. Si les associations sont presque toutes sur actives sur Facebook (85% publient plus
de 2 fois par semaine), elles peinent à entretenir un lien avec leur communauté. En
effet, seules la moitié font preuve d’interaction en répondant aux commentaires des
internautes par exemple.
Réseaux sociaux / facebook
30
51%
49%
Interaction
Oui
Non
85%
15%
Régularité
Oui
Non
32. Twitter connaît également une hausse très significative. Les association sont également plus
nombreuses a avoir désormais un compte.
Réseaux sociaux / twitter
32
86%
14%
Oui
Non
En 2014, 78% des
associations avaient
un compte Twitter.
33. Comme pour Facebook, ce sont les plus grosses qui voient leur nombre d’abonnés augmenter,
puisqu’on observe une hausse de 66% entre 2014 et 2015.
Réseaux sociaux / Twitter
33
0
5
10
15
20
25
30
35
Moins de
1000
Entre 1000 et
5000
Entre 5000 et
10 000
Entre 10 000
et 50 000
Entre 50 000
et 100 000
Plus de 100
000
2014
2015
+ 4 pts
+ 3 pts
+ 5 pts
35. Les associations sont régulières dans leur publication, postant pour la plupart d’entre elles des
tweets plus de 3 fois par semaine, mais elles peinent encore à interagir avec leurs abonnés.
Réseaux sociaux / twitter
35
51%
49%
Interactions
Oui
Non
80%
20%
Régularité
Oui
Non
37. La majorité des associations semblent avoir compris l’intérêt de posséder une chaine vidéo, une
tendance déjà observée au cours des dernières années.
Réseaux sociaux / Chaines vidéos ( Y o u t u b e , V i m e o & d a i l y m o t i o n )
37
90%
10%
Oui
Non
Versus 2014 :
88% de oui
38. Afin de diversifier leur présence digitale, les associations se mettent
petit à petit à utiliser Instagram, un outil qui leur permet de toucher
principalement les jeunes mais aussi d’explorer un nouveau type de
storytelling basé sur la proximité et les images. Ainsi, en 2015, 4%
des associations ont un compte Instagram.
réseaux sociaux / Instagram & snapchat
38
NOUVEL
ITEM 2015
Snaptchat a également été utilisé par deux associations pour des opérations digitales
ponctuelles. L’aspect éphémère du réseau social est généralement utilisé pour sensibiliser à leur
cause (espèces animales en voie de disparition, …).
Si ces deux réseaux sociaux sont encore utilisés de manière marginale, certaines associations
commencent à les exploiter pour aller toucher les donateurs les plus jeunes.
40. Alors que les réseaux professionnels étaient utilisés par plus de deux tiers des associations
(70%) en 2014, on observe une baisse de leur présence sur Linkedin et Viadeo cette année.
Réseaux sociaux / Linkedin & viadeo
40
63%
37%
Oui
Non
41. Réseaux sociaux / TOP & FLOP 2015
41
Delta 7
Fondation des Monastères
Fondation Voir et Entendre
Fonds ADIE
GEFLUC – Entreprises
contre le cancer
FLOPTop
Oxfam
Croix-Rouge Française
Fondation Nicolas Hulot pour la
Nature et l’Homme
Greenpeace
WWF
42. Les vidéos et en particulier les webdocumentaires sont deux formats plébiscités par les
associations pour informer et toucher les internautes. Pour autant, on remarque un net recul du
nombre d’associations qui y ont recours.
Storytelling / Vidéos
42
82%
18%
Oui
Non
Versus 2014 :
- 9 points
43. Les portraits et les témoignages sont également utilisés par les ¾ des associations, un format
pratique pour s’adapter aux différents outils digitaux (site internet, vidéos, réseaux sociaux).
Storytelling / portraits & témoignages
43
75%
25%
Oui
Non
Versus 2014 :
- 14 points
45. Si l’on voit reculer l’usage des vidéos ou des portraits, on remarque en
revanche l’apparition de nouveaux outils de storytelling : carte interactive,
documentaire utilisant le vidéo, le son et l’image, expérience interactive…
Storytelling / autres outils
45
10%
90%
Oui
Non
NOUVEL
ITEM 2015
46. Storytelling / autres outils
46
Extrait d’Amnesty Stories #4
d’Amnesty International
Extrait de Arrêthon de
Greenpeace
47. storytelling / TOP & FLOP 2015
47
Enfance et Partage
Fondation Brigitte Bardot
Fondation Notre Dame
Fondation pour la Recherche
Médicale
Œuvre Falret
FLOPTop
Amnesty International
Fédération Française de
Cardiologie
Fondation Abbé Pierre
Reporters sans frontières
Solidarités International
48. Elément non négligeable pour les internautes étrangers, la possibilité
d’accéder à une version du site dans une autre langue est présente sur
seulement 1/3 des sites.
Alors que les dons ont tendance à s’internationaliser et que les donateurs
n’hésitent plus à donner à une association étrangère, les organismes ne
proposant qu’une langue se privent de donateurs potentiels.
Accessibilité / langues étrangères
48
32%
68%
Oui
Non
NOUVEL
ITEM 2015
49. Si le trafic mobile ne cesse d’augmenter, les associations semblent avoir compris l’intérêt d’avoir
un site adapté à la navigation mobile. Aujourd’hui, 1 association sur 2 est équipée.
Accessibilité / site optimisé mobile
49
50%
50%
Oui
Non
23%
29%
50%
2013
2014
2015
51. Alors que le nombre d’associations ayant une application mobile
stagnait ces dernières années, il connaît une petite baisse en 2015.
Accessibilité / application mobile
51
15%
85%
Oui
Non
NOUVEL
ITEM 2015
52. Référencement / TOP & FLOP 2015
52
Asmae
La Cimade
Fondation ARC
Restos du Cœur
SOS Sahel
FLOPTop
Apprentis d’Auteuil
Unicef France
Institut Pasteur
Le Rire Médecin
Sidaction
53. Une item « bonus » pour mettre en avant les associations ayant réalisée
une campagne digitale au cours de l’année. Ces campagnes permettent
de toucher une cible plus précise, mais aussi de faire preuve de créativité
en s’appuyant sur les réseaux sociaux ou sur les nouveaux outils digitaux.
Campagnes digitales
53
18%
82%
Oui
Non
NOUVEL
ITEM 2015
54. Le jeu « Mine Busters » de Handicap International
Campagnes digitales
54
56. Campagnes digitales / TOP & FLOP 2015
56
Amnesty international
Fondation HEC
Fondation pour la Recherche
Médicale
Mécénat Chirurgie Cardiaque
Nos Petits Frères et Sœurs
FLOPTop
Action Enfance
Fondation de France
La Mie de Pain
Reporters sans frontières
Secours Catholique –
Caritas France
58. 1. Unicef France = 16,9 (+ 2 places)
2. Action contre la faim = 15,6 (- 1)
3. Croix Rouge Française = 15 (+1)
4. Le Rire Médecin = 14,7 (+ 10)
5. Sidaction = 14,2 (+ 2)
6. Fondation Nicolas Hulot pour la Nature et l'Homme = 13,9 (+ 4)
6. Oxfam France = 13,9 (+ 28)
8. Apprentis d'Auteuil = 13,6 (+ 8)
8. Fédération Française de Cardiologie = 13,6 (+ 18)
8. Ligue nationale contre le cancer = 13,6 (– 1)
8. Solidarités International = 13,6 (+ 5)
12. CCFD-Terre solidaire= 13,3 (– 12)
13. AFM-Téléthon =13,1 (+ 1)
13. Amnesty international =13,1 (- 2)
13. Greenpeace France =13,1 (– 6)
13. Restos du Cœur =13,1 (+ 9)
13. Secours Catholique - Caritas France =13,1 (+ 3)
13. Secours populaire français =13,1 (+ 18)
13. WWF France =13,1 (– 4)
13. Fondation Abbé Pierre =13,1 (- 3)
58
Moyenne 2015 :
8,9/20
2014 : 10,3/20
L’écart entre la moyenne de 2015 et celle
de 2014 s’explique par la disparition de
certains items par rapport aux années
précédentes. Certains ont été supprimés
car ils ont été adopté par la plupart des
associations ou ne sont plus probants pour
juger le caractère digital des organismes.
59. 21. AIDES = 12,5 (+5)
22. Fondation de France = 12,2 (-12)
22. La Chaîne de l'Espoir = 12,2 (=)
24. Médecins sans frontières = 11,9 (-19)
24. Vaincre la Mucoviscidose = 11,9 (+ 4)
26. Action Enfance = 11,7 (+ 24)
26. CIMADE = 11,7 (+ 35)
26. Handicap International = 11,7 (+ 5)
29. Institut du Cerveau et de la Moelle épinière = 11,4 (+ 34)
29. Les petits frères des Pauvres = 11,4 (-3)
29. Reporters sans frontières = 11,4 (nouveau)
29. Société Nationale de Sauvetage en Mer = 11,4 (+ 5)
33. Laurette Fugain = 11,1 (+32)
33. Plan France = 11,1 (+6)
35. Fondation ARC = 10,6 (- 10)
35. Institut Pasteur = 10,6 (+ 7)
37. Aide et action =10,3 (+ 38)
37. Association Grégory Lemarchal = 10,3 (+ 7)
37. FIDH = 10,3 (+ 11)
37. France Nature Environnement = 10,3 (+ 11)
59
Moyenne 2015 :
8,9/20
2014 : 10,3/20
60. 60
37. Secours Islamique de France = 10,3 (- 9)
42. 30 Millions d'Amis = 10 (- 26)
42. Agronomes et Vétérinaires Sans Frontières = 10 (+ 2)
42. APF = 10 (- 26)
42. Bureau International Catholique de l'Enfance (BICE) = 10 (+ 8)
42. CFRT le Jour du Seigneur = 10 (+ 48)
42. Fondation ATD Quart Monde = 10 (+ 48)
42. Vision du monde = 10 (– 20)
49. Institut Curie = 9,7 (- 8)
49. Mécénat Chirurgie Cardiaque = 9,7 (- 1)
51. Habitat et Humanisme = 9,4 (- 6)
51. Petits Princes = 9,4 (+ 25)
51. Solidarité Laïque = 9,4 (+ 30)
51. SPA = 9,4 (- 6)
55. Fondation Gustave Roussy = 9,2 (+ 10)
55. SOS Villages d'Enfants = 9,2 (=)
57. Care France = 8,9 (- 23)
57. Médecins du Monde = 8,9 (- 41)
57. Scouts et Guides de France = 8,9 (- 18)
57. Association Française des Diabétiques = 8,9 (+ 8)
Moyenne 2015 :
8,9/20
2014 : 10,3/20
61. 61
61. Elevages sans frontières = 8,3 (+ 15)
61. Fondation ARSEP = 8,3 (+ 16)
61. Fondation Française de l’Ordre de Malte = 8,3 (- 6)
61. Les Amis de la Terre = 8,3 (+ 42)
65. Fédération des Aveugles de France = 8,1 (nouveau)
65. Fondation de l'Armée du Salut = 8,1 (+ 16)
65. Fondation du Souffle = 8,1 (+ 3)
65. Transparency International France = 8,1 (- 3)
69. Association Valentin Haüy = 7,8 (- 1)
69. Un Enfant par la Main = 7,8 (- 26)
71. ARSLA France = 7,5 (nouveau)
71. France Alzheimer = 7,5 (+ 15)
73. Frères des Hommes = 7,2 (- 37)
73. Human Rights Watch = 7,2 (- 11)
73. Œuvre de secours aux enfants France = 7,2 (- 8)
73. Perce-Neige = 7,2 (- 16)
73. SOS Sahel = 7,2 (- 23)
78. Fédération Française des Associations de Chiens guides d'Aveugles = 6,9 (+ 20)
78. France Parrainages = 6,9 (+ 1)
78. Nos Petits frères et sœurs = 6,9 (+ 5)
Moyenne 2015 :
8,9/20
2014 : 10,3/20
62. 62
81. Fondation Brigitte Bardot = 6,7 (+ 12)
81. France libertés = 6,7 (+ 7)
81. L’Adapt = 6,7 (- 22)
81. Ordre de Malte = 6,7 (- 47)
81. Partage = 6,7 (-27)
86. Act Up Paris = 6,4 (7)
86. Asmae – Association Sœur Emmanuelle = 6,4 (- 18)
88. ACAT France = 6,1(- 31)
88. Comité français pour la solidarité internationale = 6,1(- 2)
88. Fondation Jérôme Lejeune = 6,1 (- 57)
88. La Mie de Pain = 6,1(- 15)
92. Emmaüs France = 5,8 (- 16)
92. Fondation de l’Avenir = 5,8 (+ 6)
94. Fondation des Hôpitaux de Paris – Hôpitaux de France = 5,6 (- 11)
94. Fondation Raoul Follereau = 5,6 (- 11)
94. Fonds Adie = 5,6 (- 35)
97. France Parkinson = 5,3 (- 7)
98. Fondation pour la Recherche Médical = 5 (- 30)
98. Œuvre Falret = 5 (nouveau)
100. Enfance et partage = 4,7 (+ 7)
Moyenne 2015 :
8,9/20
2014 : 10,3/20
63. 63
100. EEUdF Eclaireuses et Eclaireurs Unionistes de France = 4,7 (- 21)
102. Maison d’Accueil d’Ilot = 4,4 (- 9)
103. Fondation HEC = 4,2 (=)
103. Fondation Notre Dame = 4,2 (- 14)
103. Fonds Social Juif Unifié = 4,2 (- 6)
103. Foyer de Cachan = 4,2 (- 3)
107. Emmaüs International = 3,9 (- 2)
107. Œuvre des Pupilles = 3,9 (– 9)
108. La Jeunesse au Plein Air = 3,6 (- 5)
108. Orphéopolis = 3,6 (- 1)
108. Fondation des Monastères = 3,6 (-1)
109. Fondation Hôpital Saint Joseph = 3,1(- 7)
113. Delta 7 = 2,8 (- 2)
114. Fondation Voir et Entendre = 2,5 (- 8)
114. GEFLUC – Entreprises contre le cancer = 2,5 (- 4)
Moyenne 2015 :
8,9/20
2014 : 10,3/20
64. En comparant les associations par domaines d’activité (précarité, recherche médicale, protection
de l’enfance, environnement…), on remarque une certaine constance avec une moyenne autour
de 8-9/20.
Pour autant, le domaine de l’environnement tire son épingle du jeu en atteignant la note de
11,77. L’âge de leurs donateurs, inférieur à l’âge du donateur type, et la COP21 sont deux
facteurs pouvant expliquer pourquoi ces organismes se sont très tôt positionnés sur le digital et
sont aujourd’hui en première position.
Classement par domaines d’action
64
66. Afin de comprendre plus précisément quels leviers sont utilisés par les associations bien
positionnées dans le classement, un focus a été réalisé pour trois d’entre elles :
- Unicef, 1ère association du benchmark 2016
- Le Rire médecin, association passée de la 15ème à la 4ème position en un an
- Oxfam, association passée de la 38ème à la 8ème position entre 2014 et 2015.
L’objectif est de montrer comment il est possible de mettre en place simplement certaines
habitudes pour être au plus proche des attentes des donateurs : interactions sur les réseaux
sociaux, immersion dans la vie de l’association, retour sur l’utilisation des dons…
Focus : unicef, Le rire médecin et OXFAM
66
67. § Présence digitale s’appuyant sur l’ensemble des ressorts du web : site internet responsive,
multiplication des possibilités de don…
§ Exploitation de tous les réseaux sociaux, des plus classiques (Facebook, Twitter) aux plus
novateurs (Instagram, Snapchat)
§ Campagne digitale organisée pour la journée mondiale de l’eau : opération « essorant » les
postes Twitter des internautes pour en extraire les « H », « 2 » et « O » pour les transformer en
don
UniCEF /1er du classement
67
68. § Efforts concentrés sur une seule opération digitale
en 2015 : l’Opération nez rouge g convergence
des canaux et canalisation de l’audience.
§ Forte proximité entre les donateurs et l’association
via l’immersion dans les hôpitaux avec enfants g
stratégie permettant aux donateurs de savoir
comment leur argent est utilisé
§ Diversification de la présence sur les réseaux
sociaux : Facebook, Twitter, chaînes vidéos et
Instagram.
Le Rire médecin / passage de
la 14è m e à la 4è m e position
entre 2014 et 2015
68
69. § Publications axées sur le positionnement de l’ONG
qui trouvent un écho auprès d’une audience en
attente de position tranchée (audience militante)
§ Mobilisation pour la COP21 permettant à une
ONG de taille moyenne d’émerger au côté
d’autres plus importantes via la campagne
#Liketaplanete
OXFAM / passage de la 34è m e à
la 6è m e position entre 2014 et
2015
69
70. 2. Sondage IFOP
Réalisé sur un échantillon de 525 « e-donateurs » français (personnes faisant régulièrement ou
de temps en temps des dons sur internet extrait d un échantillon de 2003 personnes,
représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus).
70
71. § Sixième vague de l étude
§ Échantillon de 525 « e-donateurs » français (personnes faisant
régulièrement ou de temps en temps des dons sur internet
extrait d un échantillon de 2003 personnes, représentatif de la
population française âgée de 18 ans et plus)
§ Les interviews ont eu lieu par questionnaire auto-administré en
ligne du 5 au 14 janvier 2016.
Les précédentes vagues d’enquête ont été réalisées selon le même protocole méthodologique :
Vague 5 : Enquête réalisée online du 9 au 15 janvier 2015 auprès d’un échantillon de 476 e-donateurs.
Vague 4 : Enquête réalisée online du 14 au 17 janvier 2014 auprès d’un échantillon de 464 e-donateurs.
Vague 3 : Enquête réalisée online du 11 au 17 janvier 2013 auprès d’un échantillon de 578 e-donateurs.
Vague 2 : Enquête réalisée online du 21 au 29 septembre 2011 auprès d’un échantillon de 435 e-donateurs.
Vague 1 : Enquête réalisée online du 23 novembre au 2 décembre 2010 auprès d’un échantillon de 472 e-donateurs
méthodologie
71
72. Ques1on
:
Vous
arrive-‐t-‐il
régulièrement,
de
temps
en
temps,
rarement
ou
jamais
de
faire
un
don
via
internet
à
une
ou
des
associa1ons
carita1ves
ou
organisa1on(s)
non
gouvernementale(s)
?
La fréquence des dons sur internet dons sur internet
9%
17%
20%
54%
Régulièrement
De
temps
en
temps
Rarement
Jamais
26%
74%
23%
21%
27%
22%
24%
26%
Décembre
2010
Octobre
2011
Janvier
2013
Janvier
2014
Janvier
2015
Janvier
2016
Evolu&on
«
Régulièrement
–
De
temps
en
temps
»
Décembr
e
2010
Octobre
2011
Janvier
2013
Janvier
2014
Janvier
2015
Janvier
2016
Evolu&ons
2010/201
6
Moins
de
35
ans
15
15
18
16
20
22
+7
35-‐49
ans
21
18
20
21
17
21
=
50-‐64
ans
26
24
26
22
22
23
-‐3
65
ans
et
plus
34
31
47
33
36
39
+5
Une
fréquence
du
don
sur
internet
toujours
marquée
sur
le
critère
de
l’âge
((
-‐5)
(&
+6)
E-‐donateurs
73. § Les donateurs réguliers sont de plus en plus nombreux à recourir au don en ligne,
puisqu’on observe une progression de 3 points entre 2010 et 2016.
Conformément à ce que nous observons traditionnellement, les personnes âgées
de 65 ans et plus sont davantage représentées (39% contre 22% de moins de 35
ans), de même que celles appartenant aux catégories socioprofessionnelles
supérieures et donc de manière corollaire celles qui bénéficient d’un revenu net
mensuel pour le foyer de 4000€ et plus (40% contre 20% chez ceux qui déclarent
un revenu de moins de 1000€).
§ Il convient de noter que depuis 2010, la proportion de jeunes de moins de 35 ans
déclarant faire des dons sur internet n’a cessé de progresser (passant de 15% à
22% aujourd’hui). Bien que toujours très minoritaire, il n’en demeure pas moins que
cette évolution révèle une pratique qui s’installe petit à petit chez ce segment de
population nettement moins réceptif aux appels aux dons que leurs aînés,
évolution probablement liée en partie au succès et à la diffusion des différents
réseaux sociaux qui participent au déploiement de la visibilité des associations
notamment auprès de cette cible des plus jeunes.
enseignements
73
74. Ques1on
:
Quand
vous
donnez
sur
internet
à
des
associa1ons
carita1ves,
s’agit-‐il...
?
La nature des dons sur internet
Les évolutions (1/2)
Base
:
Ques,on
posée
aux
personnes
déclarant
faire
régulièrement
ou
de
temps
en
temps
des
dons
sur
internet,
soit
26%
de
l’échan,llon
De
dons
classiques
«
HORS
URGENCE
»
pour
soutenir
une
associa1on
ou
une
cause
De
dons
«
URGENCE
»
(à
l’occasion
d’une
catastrophe
naturelle,
d’une
épidémie)
87%
84%
87%
86%
92%
87%
Décembre
2010
Octobre
2011
Janvier
2013
Janvier
2014
Janvier
2015
Janvier
2016
Evolu&ons
sur
le
«
Oui
»
46%
48%
36%
48%
51%
47%
Décembre
2010
Octobre
2011
Janvier
2013
Janvier
2014
Janvier
2015
Janvier
2016
Evolu&ons
sur
le
«
Oui
»
NON
13%
NON
53%
Tremblement
de
terre
Haï,
Janv.
2010
Tsunami
au
Japon
Mars
2011
Typhon
aux
Philippines
Nov.
2013
((
-‐12)
(&
+12)
=>
CATASTROPHES
AYANT
SUSCITE
DES
APPELS
AUX
DONS
D’URGENCE
PAR
LES
GRANDES
ONG
((
-‐5)
Tremblement
de
terre
au
Népal
Avr.
2015
75. Ques1on
:
Quand
vous
donnez
sur
internet
à
des
associa1ons
carita1ves,
s’agit-‐il...
?
La nature des dons sur internet
Focus sur les différents critères les plus clivants : l’âge et le
niveau de revenus (2/2)
Base
:
Ques,on
posée
aux
personnes
déclarant
faire
régulièrement
ou
de
temps
en
temps
des
dons
sur
internet,
soit
26%
de
l’échan,llon
73%
83%
93%
95%
Moins
35
ans
35
à
49
ans
50
à
64
ans
65
ans
et
plus
57%
47%
47%
41%
Moins
de
35
ans
35
à
49
ans
50
à
64
ans
65
ans
et
plus
Ê
De
dons
classiques
«
HORS
URGENCE
»
pour
soutenir
une
associa1on
ou
une
cause
:
OUI
=
87%
Ê
De
dons
«
URGENCE
»
(à
l’occasion
d’une
catastrophe
naturelle,
d’une
épidémie)
:
OUI
=
47%
Selon
l’âge
74%
72%
79%
92%
89%
94%
Moins
de
1000
euros
De
1000
à
moins
de
1500
euros
De
1500
à
moins
de
2000
euros
De
2000
à
moins
de
3000
euros
De
3000
à
moins
de
4000
euros
4000
euros
et
plus
Selon
le
niveau
de
revenus
52%
49%
45%
45%
48%
49%
Moins
de
1000
euros
De
1000
à
moins
de
1500
euros
De
1500
à
moins
de
2000
euros
De
2000
à
moins
de
3000
euros
De
3000
à
moins
de
4000
euros
4000
euros
et
plus
Selon
le
niveau
de
revenus
Selon
l’âge
Ê
Un
critère
neXement
moins
clivant
sur
ce
don
«
URGENCE
»
76. § A l’instar de ce que nous observions lors des précédentes enquêtes, le don en ligne
reste pour l’essentiel un don « hors urgence » déconnecté de toute actualité.
§ Les dons événementiels, liés à une catastrophe, sont principalement plébiscités par les
jeunes puisque 57% d’entre eux expliquent donner dans cette configuration. On
remarque un clivage générationnel important, les plus de 50 ans étant 41% à donner
lors d’urgences.
§ Le don d’urgence (en réponse à une actualité forte) n’est certes pas le plus fréquent
pour ces e-donateurs (47%), mais il apparait complémentaire du don traditionnel, dans
la mesure où celui-ci va davantage être le fait des plus jeunes (57% chez les moins de
35 ans, contre 44% pour leurs aînés), des plus urbains (une proportion qui est de 52%
dans l’agglomération parisienne, contre 37% pour ceux vivant dans les communes
rurales), et concerne assez logiquement des donateurs qui s’inscrivent davantage dans
une logique de dons plus ponctuels (54%) que réguliers (35%).
enseignements
76
77. Ques1on
:
Parmi
les
évènements
marquants
qui
se
sont
déroulés
ceXe
année,
certains
vous
ont-‐
ils
incité
à
faire
un
don
?
AXen1on,
nous
parlons
d’un
don
d’argent.
Les événements 2015 ayant provoqué un don
44%
67%
68%
69%
70%
56%
33%
32%
31%
30%
Le
tremblement
de
terre
au
Népal
Le
conflit
en
Syrie
La
crise
des
réfugiés
Les
aXentats
de
janvier
à
Paris
Les
aXentats
de
novembre
à
Paris
OUI
NON
50%
39%
16%
16%
Moins
de
35
ans
35
à
49
ans
50
à
64
ans
65
ans
et
plus
48%
34%
21%
21%
50%
24%
19%
29%
59%
29%
17%
21%
Base
:
Ques,on
posée
aux
personnes
déclarant
donner
sur
internet
à
des
associa,ons
carita,ves
pour
des
dons
«
d’urgence
»,
soit
22%
de
l’échan,llon
57%
60%
50%
55%
Des
écarts
selon
l’âge
Catastrophe
naturelle
Poli1que
extérieure
et
crise
humanitaire
mondiale
Sécurité
intérieure
78. § La catastrophe naturelle apparaît ici comme une cause particulièrement
mobilisatrice, plus d’une personne sur deux ayant fait un don « d’urgence » l’a fait
à l’occasion du tremblement de terre au Népal en avril 2015 (56%). Les causes
plus politiques qu’elles soient extérieures (conflit en Syrie, crise des réfugiés) ou
intérieures (liées notamment aux attentats de Paris) ont moins suscité de dons
spontanés de la part des e-donateurs.
§ La mobilisation des plus jeunes (moins de 35 ans) se confirment quelque soit les
causes d’urgence même si le soutien a la guerre en Syrie est un peu plus marqué.
enseignements
78
79. Ques1on
:
Et
diriez-‐vous
que
vos
dons
sur
internet
sont
plutôt
des
dons
ponctuels
ou
plutôt
des
dons
réguliers
?
La fréquence des dons en ligne
Base
:
Ques,on
posée
aux
personnes
déclarant
faire
régulièrement
ou
de
temps
en
temps
des
dons
sur
internet,
soit
26%
de
l’échan,llon
60%
57%
47%
57%
58%
53%
Décembr
e
2010
Octobre
2011
Janvier
2016
26%
27%
34%
26%
30%
31%
14%
16%
19%
17%
12%
16%
53%
31%
16%
Des
dons
ponctuels
Des
dons
réguliers
Autant
de
dons
ponctuels
que
de
dons
réguliers
Janvier
2013
Evolu&ons
((
-‐10)
(&
+10)
((
-‐7)
(&
+7)
Janvier
2014
Janvier
2015
((
-‐5)
Décembr
e
2010
Octobre
2011
Janvier
2016
Janvier
2013
Janvier
2014
Janvier
2015
Décembr
e
2010
Octobre
2011
Janvier
2016
Janvier
2013
Janvier
2014
Janvier
2015
80. Ques1on
:
Le
fait
que
vous
donniez
de
l’argent
via
internet
à
des
associa1ons,
vous
a-‐t-‐il
conduit
à
diminuer
les
dons
que
vous
pouvez
faire
par
ailleurs
:
chèque,
prélèvement
automa1que,
don
en
espèce
lors
d’une
collecte
?
L’impact des dons en ligne sur la fréquence des
autres formes de dons
Base
:
Ques,on
posée
aux
personnes
déclarant
faire
régulièrement
ou
de
temps
en
temps
des
dons
sur
internet,
soit
26%
de
l’échan,llon
16%
40%
44%
Oui,
significa1vement
Oui,
un
peu
Non
56%
52%
51%
50%
55%
57%
56%
Décembre
2010
Octobre
2011
Janvier
2013
Janvier
2014
Janvier
2015
Janvier
2016
Evolu&ons
63%
59%
52%
53%
Moins
de
35
ans
35
à
49
ans
50
à
64
ans
65
ans
et
plus
Des
écarts
selon
l’âge
66%
60%
60%
66%
48%
50%
Moins
de
1000
euros
De
1000
à
moins
de
1500
euros
De
1500
à
moins
de
2000
euros
De
2000
à
moins
de
3000
euros
De
3000
à
moins
de
4000
euros
4000
euros
et
plus
Et
le
niveau
de
revenus
81. § Pour le moment, internet est encore utilisé de manière ponctuelle même si on peut
observer une hausse du don régulier de 5 points entre 2010 et 2015. Ce canal est
donc de plus en plus utilisé par les donateurs.
§ La différence générationnelle se ressent dans la manière que les donateurs ont de
répartir leur don. Chez les plus de 50 ans, le fait de donner en ligne a moins
d’impact sur le don classique, alors que chez les moins de 50 ans, le fait de
donner en ligne a impacté le don classique.
§ Les foyers les plus aisés ont également été les moins nombreux à modifier leurs
habitudes de don hors-internet. En effet, leur aisance financière leur permet de ne
pas choisir un mode de don au détriment d’un autre.
enseignements
81
82. Ques1on
:
Etes-‐vous
très
sa1sfait,
assez
sa1sfait,
peu
sa1sfait
ou
pas
sa1sfait
du
tout
des
informa1ons
fournies
par
les
associa1ons
sur
l’u1lisa1on
de
votre
don
sur
internet
?
La satisfaction vis-à-vis des informations reçues
en retour des dons faits en ligne
Base
:
:
Ques,on
posée
aux
personnes
déclarant
faire
régulièrement
ou
de
temps
en
temps
des
dons
sur
internet,
soit
26%
de
l’échan,llon
15%
63%
19%
3%
Très
sa1sfait
Assez
sa1sfait
Peu
sa1sfait
Pas
sa1sfait
du
tout
78%
22%
84%
84%
84%
84%
88%
78%
Décembre
2010
Octobre
2011
Janvier
2013
Janvier
2014
Janvier
2015
Janvier
2016
Evolu&ons
73%
90%
73%
des
dons
ponctuels
des
dons
réguliers
Autant
ponctuels
que
réguliers
Avant
Janvier
2016,
l’in,tulé
de
la
ques,on
était
:
«
Etes-‐vous
très
sa,sfait,
assez
sa,sfait,
peu
sa,sfait
ou
pas
sa,sfait
du
tout
des
informa,ons
qu’on
vous
envoie
en
retour
de
votre
don
sur
internet
à
une
ou
des
associa,ons
?
»
((
-‐10)
Des
écarts
selon
le
type
de
dons
faits
en
ligne
83. Ques1on
:
Et
aXendez-‐vous
des
retours
d’informa1ons
suite
à
votre
don
?
Le souhait d’information à l’issue d’un don en ligne
Base
:
Ques,on
posée
aux
personnes
déclarant
faire
régulièrement
ou
de
temps
en
temps
des
dons
sur
internet,
soit
26%
de
l’échan,llon
Oui,
mais
uniquement
de
l’informaSon
par
voie
électronique
55%
TOTAL
Oui
74%
NON,
vous
n’aWendez
pas
d’informaSons
suite
à
votre
don
par
internet
72%
65%
68%
74%
74%
74%
Décembre
2010
Octobre
2011
Janvier
2013
Janvier
2014
Janvier
2015
Janvier
2016
Evolu&ons
(&
+9
sur
2
ans)
22%
23%
30%
28%
Moins
de
35
ans
35
à
49
ans
50
à
64
ans
65
ans
et
plus
Des
écarts
selon
l’âge
84. § Si presque 4 donateurs sur 5 sont satisfaits des informations reçues après leur
don, on observe une baisse de dix points entre 2015 et 2016. La satisfaction des
donateurs est donc fortement en diminution.
§ Cette baisse est d’ailleurs à corréler avec la hausse constante du nombre de
donateurs souhaitant avoir des informations après leur don.
§ En définitive, les ONG n’arrivent pas à répondre à cette attente des donateurs qui
sont de plus en plus exigeants vis à vis de l’information sur l’utilisation de leur don.
enseignements
84
85. Ques1on
:
Pensez-‐vous
que
votre
argent
donné
par
internet
à
une
ou
des
associa1ons
est
bien
dépensé
?
Le jugement à l’égard de l’utilisation des dons
faits en ligne
Base
:
Ques,on
posée
aux
personnes
déclarant
faire
régulièrement
ou
de
temps
en
temps
des
dons
sur
internet,
soit
26%
de
l’échan,llon
Oui,
tout
à
fait
Oui,
plutôt
Non,
plutôt
pas
Non,
pas
du
tout
87%
13%
61%
71%
71%
80%
Moins
de
35
ans
35
à
49
ans
50
à
64
ans
65
ans
et
plus
89%
85%
89%
92%
93%
87%
Décembre
2010
Octobre
2011
Janvier
2013
Janvier
2014
Janvier
2015
Janvier
2016
Evolu&ons
(&
+8
sur
4
ans)
((
-‐6)
Des
écarts
selon
l’âge
«
Oui,
plutôt
»
53%
52%
66%
80%
80%
83%
Moins
de
1000
€
De
1000
à
moins
de
1500
€
De
1500
à
moins
de
2000
€
De
2000
à
moins
de
3000
€
De
3000
à
moins
de
4000
€
4000
€
et
plus
Et
le
niveau
de
revenus
2%
11%
72%
15%
86. § La plupart des donateurs estiment que leur don est bien utilisé par les
associations. Néanmoins, leur satisfaction baisse de 6 points entre 2015 et 2016.
§ On remarque encore une fois les différences de confiance tant au niveau
générationnel qu’au niveau financier, puisque les personnes les plus âgées et les
plus aisées, estiment que leur dons est utilisé correctement.
enseignements
86
87. Ques1on
:
Vous
arrive-‐t-‐il
de
recommander
des
associa1ons
à
vos
contacts
sur
les
réseaux
sociaux
?
Le bruit autour des ONG sur les réseaux sociaux
Base
:
Ques,on
posée
aux
personnes
déclarant
faire
régulièrement
ou
de
temps
en
temps
des
dons
sur
internet,
soit
26%
de
l’échan,llon
5%
31%
21%
43%
Régulièrement
De
temps
en
temps
Rarement
Jamais
36%
64%
17%
25%
28%
35%
35%
36%
Décembre
2010
Octobre
2011
Janvier
2013
Janvier
2014
Janvier
2015
Janvier
2016
Evolu&ons
Décembr
e
2010
Octobre
2011
Janvier
2013
Janvier
2014
Janvier
2015
Janvier
2016
Evolu&ons
2010/201
6
Moins
de
35
ans
22
37
53
53
59
61
+39
35-‐49
ans
20
38
37
40
45
41
+21
50-‐64
ans
19
19
21
29
26
28
+9
65
ans
et
plus
12
13
17
22
17
22
+10
Focus
sur
l’âge
(&
+19
sur
6
ans)
88. § 36% des donateurs sont également des prescripteurs auprès de leur proche, un
chiffre en hausse de 19 points sur six ans.
§ La hausse est constante parmi toutes les générations.
§ Assez logiquement, les recommandations sont surtout répandues chez les
tranches d’âge plus jeunes. Ainsi 61% des moins de 35 ans utilisent les réseaux
sociaux pour réaliser des recommandations auprès de leurs proches, soit plus de
39 points entre entre 2010 et 2016.
enseignements
88
89. Ques1on
:
Lesquel(s)
?
[quels
réseaux
sociaux
avez-‐vous
u,lisés
pour
recommander
des
ONG]
Les réseaux sociaux utilisés pour recommander des
ONG
Base
:
Ques,on
posée
aux
personnes
déclarant
recommander
des
associa,ons
sur
les
réseaux
sociaux
que
ce
soit
régulièrement,
de
temps
en
temps
ou
rarement,
soit
15%
de
l’échan,llon
67%
28%
11%
11%
9%
Facebook
Google+
TwiXer
Instagram
Autre
30%
3%
0
0
Moins
de
35
ans
35
à
49
ans
50
à
64
ans
65
ans
et
plus
19%
11%
12%
1%
Moins
de
35
ans
35
à
49
ans
50
à
64
ans
65
ans
et
plus
22%
27%
34%
31%
80%
67%
65%
51%
Des
écarts
dans
les
pra&ques
selon
l’âge
90. Ques1on
:
Avez-‐vous
déjà
découvert
une
associa1on
sur
Internet
sur
chacun
des
sites
/
réseaux
suivants
?
La découverte de nouvelles associations sur les
sites et réseaux sociaux
Base
:
Ques,on
posée
aux
personnes
déclarant
faire
régulièrement
ou
de
temps
en
temps
des
dons
sur
internet,
soit
26%
de
l’échan,llon
57%
67%
83%
88%
92%
43%
33%
17%
12%
8%
Moteur
de
recherche
(Google,
Bing,
etc.)
Facebook
Youtube/
Dailymo1on
TwiXer
Instagram
OUI
NON
Des
écarts
dans
les
pra&ques
selon
l’âge
26%
5%
2%
1%
Moins
de
35
ans
35
à
49
ans
50
à
64
ans
65
ans
et
plus
31%
15%
7%
0%
42%
18%
8%
5%
62%
40%
21%
17%
60%
43%
45%
29%
(*)
En
Janvier
2015,
l’in,tulé
de
l’item
était
«
Google
»
(Rappel
2015
:
13%
(
-‐1)
(Rappel
2015
:
35%
&
+8)
(Rappel
2015
:
30%
&+3)
(Rappel
2015
:
17%
/
=)
(nouveau)
91. § Facebook, réseau social le plus répandu et sur lequel on retrouve le plus grand nombre
d’inscrits apparaît clairement comme le vecteur le plus efficace pour être visible pour les
ONG, et ce d’autant plus qu’il apparait comme le plus « inter générationnel » de tous les
réseaux testés. Plus des deux tiers des e-donateurs relayant des informations des ONG
sur les réseaux sociaux déclarant le faire par ce canal (67% de citations, 80% chez les
moins de 35 ans).
§ Les réseaux sociaux créés plus récemment, tels qu’Instagram et Twitter, sont
principalement utilisés par les moins de 35 ans.
§ Pour autant, lorsque les internautes découvrent une association d’eux mêmes, cela se
fait d’abord par les moteurs de recherche. Un élément montrant la nécessité pour les
associations d’être bien référencées, notamment en utilisant Google Grants ou
Adwords.
§ Facebook est le second canal permettant de découvrir des associations, et est
principalement utilisé par les moins de 50 ans.
enseignements
91
92. Ques1on
:
D’une
manière
générale,
sur
internet
vous
sentez-‐vous
trop
sollicité
pour
des
dons
à
des
associa1ons
?
Le jugement à l’égard de l’intensité des
sollicitations des ONG
Base
:
Ques,on
posée
aux
personnes
déclarant
faire
régulièrement
ou
de
temps
en
temps
des
dons
sur
internet,
soit
26%
de
l’échan,llon
9%
40%
42%
9%
Oui,
tout
à
fait
Oui,
plutôt
Non,
plutôt
pas
Non,
pas
du
tout
49%
51%
46%
42%
47%
53%
50%
49%
Décembre
2010
Octobre
2011
Janvier
2013
Janvier
2014
Janvier
2015
Janvier
2016
Evolu&ons
(&
+11
sur
2
ans)
55%
47%
37%
53%
Moins
de
35
ans
35
à
49
ans
50
à
64
ans
65
ans
et
plus
Des
écarts
selon
l’âge
93. § Si 49% des donateurs se trouvent trop sollicités sur internet, on observe une légère
baisse au cours des deux dernières années.
§ Une sollicitation trop importante des associations à faire un don, même sur
internet, peut engendrer un phénomène de lassitude ou même de rejet de la part
des e-donateurs. Ils sont aujourd’hui un sur deux à partager ce constat (49%, un
résultat assez stable sur les quatre dernières mesures et qui atteint 53% chez les
65 ans et plus qui constituent encore et pourtant une part importante de cette
population des e-donateurs).
enseignements
93
94. L’intention de refaire un don au cours des 12
prochains mois sur internet
Base
:
Ques,on
posée
aux
personnes
déclarant
faire
régulièrement
ou
de
temps
en
temps
des
dons
sur
internet,
soit
26%
de
l’échan,llon
25%
56%
16%
3%
Oui,
certainement
Oui,
probablement
Non,
probablement
pas
Non,
certainement
pas
81%
19%
84%
78%
77%
85%
87%
81%
Décembre
2010
Octobre
2011
Janvier
2013
Janvier
2014
Janvier
2015
Janvier
2016
Evolu&ons
78%
77%
88%
80%
Moins
de
35
ans
35
à
49
ans
50
à
64
ans
65
ans
et
plus
(&
+10
sur
3
ans)
Des
écarts
selon
l’âge
67%
74%
70%
81%
92%
91%
Moins
de
1000
€
De
1000
à
moins
de
1500
€
De
1500
à
moins
de
2000
€
De
2000
à
moins
de
3000
€
De
3000
à
moins
de
4000
€
4000
€
et
plus
Et
le
niveau
de
revenus
95. § Si on observe une baisse de la satisfaction des donateurs concernant l’information
sur leur don et qu’ils sont moins nombreux à estimer que leur don est bien utilisé,
ils sont 81% à envisager de redonner de l’argent dans les 12 prochains mois, une
baisse de 6 points par rapport à l’année dernière. Les deux premiers indicateurs
(satisfaction sur l’information et sur l’utilisation du don) semblent donc se corréler à
l’intention de refaire un don.
§ On observe des différences générationnelles. Ainsi, les 50-64 ans sont 88% à
envisager de refaire un don. De même, ce sont les ménage ayant les revenus les
plus importants qui ont pour projet de renouveler leurs dons.
enseignements
95
96. Ques1on
:
Avez-‐vous
déjà
…
?
L'expérience de différentes situations par rapport
à Internet
Base
:
Ques,on
posée
aux
personnes
déclarant
faire
régulièrement
ou
de
temps
en
temps
des
dons
sur
internet,
soit
26%
de
l’échan,llon
OUI
NON
64%
73%
78%
83%
86%
87%
87%
36%
27%
22%
17%
14%
13%
13%
Découvert
de
nouvelles
associa1ons
ou
causes
en
naviguant
sur
internet
que
vous
ne
connaissiez
pas
Fait
un
don
à
un
organisme
(hors
associa1on
ou
fonda1on)
comme
par
exemple
un
musée,
un
hôpital,
une
start-‐
up,
etc.
Fait
un
don
à
une
associa1on
basée
à
l’étranger
Fait
un
don
directement
sur
une
plateforme
sociale
(Facebook,
TwiXer,
Google)
Fait
un
don
par
SMS
Ouvert
une
page
personnelle
de
collecte
au
profit
d’une
cause
Fait
un
don
par
Internet
via
votre
smartphone
((
-‐2)
(&
+1)
((
-‐5)
37%
16%
5%
1%
Moins
de
35
ans
35-‐49
ans
50-‐64
ans
65
ans
et
plus
33%
14%
8%
2%
36%
23%
19%
13%
38%
32%
22%
20%
55%
34%
36%
23%
((
-‐3)
((
-‐3)
31%
15%
12%
2%
31%
20%
8%
11%
Des
écarts
selon
l’âge
:
«
OUI
»
97. § L’expérience de différentes situations liées aux dons sur Internet demeure toujours et de
manière attendue principalement le fait des jeunes générations (le « décrochage » s’observant
à partir de 35 ans). Ainsi, 36% des e-donateurs déclarent avoir découvert de nouvelles
associations ou causes en naviguant sur Internet (-2 points par rapport à 2015).
§ La pratique du don que ce soit à un organisme (hors association) de type musée, hôpital ou
autre est le plus répandu (27%) et devance celui fait à une association basée à l’étranger
(22%) ou le don fait directement sur une plateforme sociale (17%), par SMS (14%, en perte
de vitesse , -3 points par rapport à 2015) ou via un smartphone (13%, -5 points). L’ouverture
d’une page personnelle de collecte au profit d’une cause (13%, -5 points) enregistre la plus
forte baisse.
§ Globalement ces pratiques restent donc encore minoritaires et peinent à s’ancrer dans les
habitudes des e-donateurs. En outre, ces pratiques sensiblement plus répandues chez les
moins de 35 ans (notamment pour tout ce qui relève du don réalisé via les plateformes
sociales ou les smartphone), sont assez stables par rapport à l’an passé, alors qu’à contrario,
on relève un fort décrochage sur le segment des 35-49 ans.
enseignements
97
98. Ques1on
:
Sur
Internet,
il
existe
différentes
manières
de
soutenir
financièrement
des
associa1ons
ou
des
ONG.
Parmi
les
formes
de
dons
suivantes,
quelles
sont
celles
que
vous
avez
déjà
faites
?
Les différentes manières de soutenir des
associations sur Internet
Base
:
Ques,on
posée
aux
personnes
déclarant
faire
régulièrement,
de
temps
en
temps
ou
rarement
des
dons
sur
internet,
soit
46%
de
l’échan,llon
70%
28%
17%
14%
7%
Le
don
«
classique
»
réalisé
en
se
connectant
sur
le
site
internet
de
l’associa1on
(via
votre
ordinateur,
tableXe
ou
smartphone)
L’achat
d’objets
en
ligne
au
profit
d’une
associa1on
(e-‐bou1que)
Le
microdon,
c’est-‐à-‐dire
accepter
d’arrondir
à
l’euro
supérieur
(ou
au-‐delà)
le
montant
de
votre
panier
lors
d’achats
sur
internet,
la
différence
étant
reversée
à
une
associa1on
La
finance
par1cipa1ve
(ou
crowdfunding),
sorte
de
collecte
publique,
qui
permet
de
faire
financer
des
projets
par
des
par1culiers
qui
font
le
choix
d’inves1r
(selon
leurs
moyens)
(ex
:
Ulule,
My
Major
Company)
Créer
une
page
de
collecte
pour
le
compte
d’une
associa1on
et
se
faire
sponsoriser
par
des
connaissances
pour
relever
un
défi
(ex
:
par1ciper
à
une
course)
Moins
de
35
ans
35-‐49
ans
50-‐64
ans
65
ans
et
plus
17%
18%
13%
9%
23%
16%
17%
11%
31%
31%
26%
25%
52%
62%
79%
85%
14%
8%
4%
1%
Du
plus
«
tradi&onnel
»
Au
plus
«
connecté
»
(&
+1)
((
-‐2)
(&
+2)
((
-‐5)
((
-‐1)
Des
écarts
dans
les
pra&ques
selon
l’âge
99. § Les autres possibilités offertes par le développement du digital testées, trouvent un
écho encore assez confidentiel au sein des e-donateurs, le clivage générationnel
s’opérant pleinement et s’observant surtout sur le choix des différentes formes de
dons sur Internet .
§ Ainsi, si le don classique reste en tête des formes de don les plus plébiscitées, on
remarque un gap générationnel. En effet, quand près de 80% des plus de 50 ans y
ont recours, les moins de 35 ans ne sont que 52%.
§ Les plus jeunes préfères le micro dons (23% d’entre eux), le financement
participatif (17%) et les pages de collecte au profit de défi (14%).
§ Les e-boutiques sont de moins en moins utilisés puisqu’elles perdent 5 points
entre 2015 et 2016.
enseignements
99
100. 224, rue Saint-Denis 75002 Paris
Tél. : 01 40 28 46 49
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