1-♠ 2-♣ What's the final evaluation of this series? It is interesting as a social description of American society with the judicial system in the middle. As such it is worth watching but it will not bring you a lot of enlightenment on what is the next phase in American history. Just entertaining. Quel est le bilan final de cette série ? C’est une description sociale intéressante de la société américaine avec le système judiciaire au centre. Pour cette raison, la série vaut la peine d’être regardée, mais cela ne vous apportera pas beaucoup de lumière sur la prochaine phase de l’histoire américaine. Juste divertissant. 3-♥ But interesting to show how politics, business, and everyday life are absolutely crooked and twisted and torsaded by the greed of those who have money, the appetite of politicians to get money from them, and the total neglect of individuals who suffer because of that. Dying becomes a supernatural hazard leading you to paradise. Mais il est intéressant de montrer à quel point la politique, les affaires et la vie quotidienne sont absolument tordues, tortueuses et même toquées-zinzin par l’avidité de ceux qui ont de l’argent, l’appétit des politiciens pour en obtenir et la négligence totale, voire l’abandon, des individus qui en souffrent. Mourir devient un danger surnaturel qui vous mène au paradis. 4-♦ Requiem AEternam Deo† The only humane side of US justice is to be found on the side of the victims and their defenders, but death and depravation are the general transfusions they get from courts. La seule dimension humaine de la justice américaine se trouve du côté des victimes et de leurs défenseurs, mais la mort et la dépravation sont les seules transfusions qu'ils reçoivent des tribunaux, et encore une fois, pas deux.

2. AMAZON PRIME – GOLIATH – SEASON
ONE AND TWO- 2016-2018
You may say "One more justice series." In fact, it is not really a film about justice but a film
about the judicial system, rotten to the core in the USA. The extreme authority of a judge, the only
master of the whole procedure of a criminal case from before the trial to the verdict itself. The only
interest of a criminal case is the presence of a jury. The jury is in many ways the counterbalancing
actor in the trial, the actor who can keep some equilibrium between the judge, the lawyers of both
sides, and the witnesses. They are silent but they make the basic decisions: guilt, damages, etc.
Yet this justice system is absolutely unpredictable. Each side can call for a witness at any time
provided the judge accepts to summon the said witness. Any side can bring up any piece of
evidence they want provided the judge agrees. Any side can ask any question from any witness
provided there is no objection from the other side and the judge does not sustain the objection.
That brings up now and then a witness or a piece of evidence that the judge considers
unacceptable after it has been presented in court. The demand from the judge for the jury to forget
about it and not consider it in their own deliberations is just vain and absurd. The witness or the
piece of evidence has had an impact on the jury members, and it cannot be erased from their
memories even if they do not mention it in their deliberations that take place behind closed doors.
But all that is not about justice. It is about the judicial system.
The worst element is that both sides have to do their own research and their own
investigations if they want to go to trial. It is true if the accusation comes from the District Attorney
and his prosecuting service. But it is also true in the case of a plain citizen suing another plain
citizen that may be a company. The suing side does not sign a complaint which is then dealt with
by the police and other investigating services and then eventually the prosecuting services of the
DA. In other words, a citizen who is the victim of any act that is discriminating in any way from
anyone, this citizen has to sue and assume with a lawyer the full procedure of investigating and
collecting evidence. This is wrong.

3. In this series, we are dealing with armament companies that have contracts with the
Department of Defense, the Pentagon. They produce lethal weapons that have to be tested. Their
normal way of testing some new weapon is to use it in a war here or there. These companies also
work on forbidden substances or equipment. They have to test them, but they can't legally do so.
They may use these substances or equipment in a war episode somewhere, but it may bring up
some backlash. So, they are doing it clandestinely offshore and at night particularly. They also use
lawyers who become their cover since these lawyers can invoke various clauses or rules to refuse
to unveil something due to the highly classified nature of the concerned equipment. Lawyers are
then opaque, if not plain obscure.
The characteristic of this series is that we know from the very start what we end will be. The
only thing we do not know is how we are going to reach this end, the peripeteias of the plot. And
there are plenty since the lawyer that assumes the representation of the suing minor is off-limits
most of the time, of any rule you may think of. He is an alcoholic. He is hardly trustworthy, and he
gathers around himself people who are hardly decent for a couple of them. But then we are dealing
here with social problems like prostitution and that is at times pathetic, at times shocking, at times
uninteresting (we could do without some of these episodes).
What's the final evaluation of this series? It is interesting as a social description of American
society with the judicial system in the middle. As such it is worth watching but it will not bring you a
lot of enlightenment on what is the next phase in American history. Just entertaining.
Dr. Jacques COULARDEAU
VERSION FRANÇAISE
Vous pouvez dire « Encore une série sur la justice ». En fait, il ne s’agit pas vraiment d’un film
sur la justice mais d’un film sur le système judiciaire, pourri jusqu’à la moelle aux USA par
l'extrême autorité d'un juge, seul maître de toute la procédure d'une affaire pénale depuis l'avant-
procès jusqu'au verdict lui-même. Le seul intérêt d'une affaire pénale est la présence d'un jury. Le
jury est à bien des égards l'acteur contrebalançant le procès, l'acteur qui peut maintenir un certain
équilibre entre le juge, les avocats des deux parties et les témoins. Ils se taisent mais prennent les
décisions fondamentales : culpabilité, dommages, etc.
Pourtant, ce système judiciaire est absolument imprévisible. Chaque partie peut convoquer un
témoin à tout moment à condition que le juge accepte de convoquer ledit témoin. N'importe quelle
partie peut présenter n'importe quel élément de preuve qu'elle souhaite, à condition que le juge
soit d'accord. N'importe quelle partie peut poser n'importe quelle question à n'importe quel témoin
à condition qu'il n'y ait pas d'objection de l'autre partie et que le juge ne soutienne pas l'objection.
Cela fait apparaître de temps en temps un témoin ou un élément de preuve que le juge considère
comme inacceptable après sa présentation au tribunal. Exiger du juge que le jury l'oublie et ne le
prenne pas en compte dans ses propres délibérations est tout simplement vain et absurde. Le
témoin ou l'élément de preuve a eu un impact sur les membres du jury et il ne peut être effacé de
leur mémoire même s'ils n'en parlent pas lors de leurs délibérations qui se déroulent à huis clos.
Mais tout cela n’est pas une question de justice. Il s'agit du système judiciaire.
Le pire, c'est que les deux parties doivent faire leurs propres recherches et leurs propres
enquêtes si elles veulent aller en justice. C'est vrai si l'accusation émane du procureur et de son
parquet. Mais cela est également vrai dans le cas où un simple citoyen poursuit en justice un autre
simple citoyen qui peut être une entreprise. La partie plaignante ne signe pas de plainte qui est
ensuite traitée par la police et d'autres services d'enquête, puis éventuellement par les services de
poursuite du DA. En d'autres termes, un citoyen victime de tout acte discriminatoire de quelque
manière que ce soit de la part de quiconque, ce citoyen doit poursuivre en justice et assumer avec
un avocat toute la procédure d'enquête et de collecte de preuves. C'est risible.

4. Dans cette série, nous traitons d'entreprises d'armement qui ont des contrats avec le ministère
de la Défense, le Pentagone. Ils produisent des armes meurtrières qui doivent être testées. Leur
manière habituelle de tester une nouvelle arme est de l’utiliser dans une guerre ici ou là. Ces
entreprises travaillent également sur des substances ou équipements interdits. Ils doivent les
tester mais ils ne peuvent pas légalement le faire. Ils peuvent utiliser ces substances ou
équipements lors d’un épisode de guerre quelque part, mais cela peut provoquer des réactions
négatives. Ils le font donc clandestinement, loin de tout et de tous, et surtout la nuit. Ils font
également appel à des avocats qui deviennent leur couverture puisque ces avocats peuvent
invoquer diverses clauses ou règles pour refuser de dévoiler quelque chose en raison du caractère
hautement classifié du matériel concerné. Les avocats sont alors opaques, voire carrément
obscurs.
La particularité de cette série est qu’on sait dès le début ce que sera la fin. La seule chose que
nous ne savons pas, c'est comment nous allons arriver à ce but, les péripéties de l'intrigue. Et il y
en a beaucoup puisque l'avocat qui assume la représentation du mineur poursuivant est la plupart
du temps interdit, en dehors de toute règle imaginable. C'est un alcoolique. Il n'est guère digne de
confiance et il rassemble autour de lui des gens qui ne sont guère honnêtes pour certains d'entre
eux. Mais alors nous avons affaire ici à des problèmes sociaux comme la prostitution et c'est
parfois pathétique, parfois choquant, parfois inintéressant (on pourrait se passer de certains de ces
épisodes).
Quel est le bilan final de cette série ? C’est une description sociale intéressante de la société
américaine avec le système judiciaire au centre. Pour cette raison, la série vaut la peine d’être
regardée, mais cela ne vous apportera pas beaucoup de lumière sur la prochaine phase de
l’histoire américaine. Juste divertissant.
Dr Jacques COULARDEAU

5. AMAZON PRIME – GOLIATH – SEASON 3
– 2019
If there is to be another season Goliath, I mean Billy McBride, will find it very difficult to survive
the shotgun bullet he received in full frontal position.
This third season is slightly bizarre. Slow at first and then in the last episode everything
happens in a minute. It concerns some private individual, and his sister, who in central California
during a long draught decides to take over the water board of his country and this PUBLIC water
board decides to cut off individual residents from the water supply to privilege the farmers,
meaning mostly only a handful of them and first of all the private individual who has taken over the
PUBLIC water board and can thus water his almond trees.
Worse even, his sister has a tunnel dug under federal land to be able to capture from
underground the water of a federal reserve. And all that is done under total silence by making all
the crooked corrupted people doing that sign beautiful Non-Disclosure Agreements. No
information, and what's more it cannot even be revealed in any court. The press can, of course,
play dumb and report some information they got from the gutter, meaning from a protected source
that will not be identified.
In the last part of the last episode, the lady-mayor of LA resigns and she will have to answer
some questions from the local DA. Billy McBride is shot down by the sister who has killed the
Indian boss of the local casino too. She is chased by the daughter of that Indian casino boss with a
motorcycle and the daughter, who is a stuntwoman, causes the sister to ram into some hard object
along the way and to die on the steering wheel. And the brother just dies on his porch with what we
will assume is a heart attack. Luckily, he had signed the Non-Disclosure Agreement that gave 100
million dollars to the class action and some more to the lawyer who was doing the job pro bono.

6. But interesting to show how politics, business, and everyday life are absolutely crooked and
twisted and torsaded by the greed of those who have money, the appetite of politicians to get
money from them, and the total neglect of individuals who suffer because of that. Dying becomes a
supernatural hazard leading you to paradise.
Dr. Jacques COULARDEAU
VERSION FRANÇAISE
S'il doit y avoir une autre saison, Goliath, je veux dire Billy McBride, aura beaucoup de mal à
survivre à la balle de fusil de chasse qu'il a reçue en position frontale.
Cette troisième saison est un peu bizarre. Lente au début, puis dans le dernier épisode, tout
se passe en une minute. Il s'agit d'un particulier, et de sa sœur, qui, dans le centre de la Californie,
lors d'un long projet, décide de reprendre l'Office des eaux de son arrondissement et cet Office des
eaux PUBLIC décide de couper l'approvisionnement en eau des résidents individuels pour
privilégier les agriculteurs, c'est-à-dire principalement seulement une poignée d'entre eux et
d'abord le particulier qui a repris la régie PUBLIQUE des eaux et peut ainsi arroser ses amandiers.
Pire encore, sa sœur fait creuser un tunnel sous le territoire fédéral pour pouvoir capter depuis
le sous-sol l'eau d'une réserve fédérale. Et tout cela se fait dans un silence total en obligeant
toutes les personnes corrompues et véreuses à signer un bel accord de non-divulgation. Aucune
information, et qui plus est, elle ne peut même pas être révélée devant aucun tribunal. La presse
peut bien sûr faire l'idiot et rapporter certaines informations qu'elle a obtenues du caniveau, c'est-
à-dire d'une source protégée qui ne sera pas identifiée.
Dans la dernière partie du dernier épisode, la maire de Los Angeles démissionne et elle devra
répondre à quelques questions du procureur local. Billy McBride est abattu par la sœur qui a
également tué le patron indien du casino local. Elle est poursuivie par la fille du patron du casino
indien avec une moto et la fille, qui est une cascadeuse, fait que la sœur s’empale sur un objet dur
en cours de route et meurt au volant. Et le frère meurt sur son porche avec ce que nous
supposerons être une crise cardiaque. Heureusement, il avait signé l'accord de non-divulgation qui

7. donnait 100 millions de dollars au recours collectif et un peu plus à l'avocat qui faisait le travail
bénévolement.
Mais il est intéressant de montrer à quel point la politique, les affaires et la vie quotidienne
sont absolument tordues, tortueuses et même toquées-zinzin par l’avidité de ceux qui ont de
l’argent, l’appétit des politiciens pour en obtenir et la négligence totale, voire l’abandon, des
individus qui en souffrent. Mourir devient un danger surnaturel qui vous mène au paradis.
Dr Jacques COULARDEAU
AMAZON PRIME – GOLIATH – SEASON 4
– 2021
This very special series was short-lived and could not last more than four short seasons.
Goliath, the monstrous opponent to David in the Bible, is not Billy McBride but some greedy,
terroristically greedy, group of people who wrapped themselves under the cover of some company
to commit what the lawyers say is a crime that may cost the lives of many people and, either by
hijacking the water in California that should be used for irrigation or, in the fourth season, some
greedy business-midget who uses the desire of Americans not to suffer any pain, to live without
pain, to exploit them with a drug that is addictive, hence that also has an overdose limit. The
business-midget behind this drug is not interested in the people who die since they won’t buy the
drug anymore. He is interested in those who survive because they avoid the overdose, though it is
difficult to avoid it because the painkilling by this opioid poison, in fact, some substance derived
from opium and nothing else, wanes out with time if the dosage is not increased regularly and one
day, “Do come in Mrs. Overdose!” and the patient is quasi-dead, and if nothing is done within
fifteen minutes or so the patient will be completely dead.
Billy McBride is a lawyer who gets into such cases, one way or the other, and manages to get
the companies down and force them in court, by decision of a jury, to shell out so much money that
they will have to go bankrupt, though the jury’s decision in this last case starts with a first question
and a first answer, and their answer blocks the business-midget from going bankrupt, which means
that they are personally responsible for the bill to pay, even personally if the company cannot pay.

8. Mind you! 14 billion dollars. Amazon thus is using some court cases of that magnitude that have
turned public and even very public, over the last ten years.
But there is another dimension in this series. Nothing new actually, and yet it is done with
great care, and it shows, in detail, how the US justice system works or rather does not work, since
justice is not its regular and objective target. He who has the power of money, generally the
company that is covering the criminal activity, will win because they will have the best lawyers,
meaning the most expensive, and they will buy the witnesses they need or eliminate the witnesses
against them. What can a simple small lawyer and a few small victims or their families against that
Goliath? Call Billy McBride, but he is not available all the time. What’s more this constant war
against Goliath pushes him into alcoholism and he is abandoned by nearly everyone, his wife,
colleagues, and many others. There is no hope because he will be suspended if not debarred, and
he will end up alone, miserable, and poor and he will commit suicide, with an overdose of opioids
for example. The series keeps a door open. At the end of this fourth season, the end of this opioid
case, alone in a bar, his own daughter Denise McBride turns up and recuperates him. He might get
some help that will take him through this difficult period.
The only humane side of US justice is to be found on the side of the victims and their
defenders, but death and depravation are the general transfusions they get from courts.
Dr. Jacques COULARDEAU
V ERSION FRANÇAISE
Cette série très particulière fut de courte durée et ne put durer plus de quatre courtes saisons.
Goliath, le monstrueux adversaire de David dans la Bible, n'est pas Billy McBride mais un groupe
de personnes cupides, terroristement avides, qui se sont enveloppés sous le couvert d'une
entreprise pour commettre ce que les avocats considèrent comme un crime qui pourrait coûter la
vie à de nombreuses personnes. Soit en détournant l'eau de la Californie qui devrait être utilisée
pour l'irrigation, soit, dans la quatrième saison, un nain d'affaires avide qui utilise le désir des
Américains de ne pas souffrir, de vivre sans douleur, ces malfrats en profite (c’est le cas de le dire)
pour les exploiter avec une drogue qui crée une dépendance et qui a donc également une limite de
surdose. Le nain des affaires derrière ce médicament ne s’intéresse pas aux personnes qui
meurent puisqu’ils n’achèteront plus le médicament. Il s'intéresse à ceux qui survivent parce qu'ils
évitent l'overdose, bien qu'il soit difficile de l'éviter car l'analgésie causée par ce poison opioïde, en
fait une substance dérivée de l'opium, donc un opiacé, et rien d'autre, diminue avec le temps si la

9. dose n'est pas augmentée. régulièrement et un jour, "Entrez donc Mme Overdose!" et le patient
est quasiment mort, et si rien n'est fait dans un délai d'un quart d'heure environ, le patient sera
complètement mort.
Billy McBride est un avocat qui se lance dans de telles affaires, d'une manière ou d'une autre,
et parvient à faire tomber les entreprises et à les forcer devant les tribunaux, sur décision d'un jury,
à débourser tellement d'argent qu'elles devront faire faillite, bien que la décision du jury dans ce
dernier cas commence par une première question et une première réponse, et leur réponse
empêche le nain des affaires de faire faillite, ce qui signifie qu'il est personnellement responsable
de la facture à payer, même si l'entreprise ne peut pas payer. Et entendez bien ! 14 milliards de
dollars. Amazon s’appuie ainsi sur des procès de cette ampleur qui sont devenus publics, voire
très publics, au cours des dix dernières années.
Mais il y a une autre dimension dans cette série. Rien de nouveau en fait, et pourtant c'est fait
avec beaucoup de soin, et cela montre, en détail, comment fonctionne ou plutôt ne fonctionne pas
la justice américaine, puisque la justice n'est pas sa cible régulière et objective. Celui qui a le
pouvoir de l’argent, généralement l’entreprise qui couvre l’activité criminelle, gagnera parce qu’il
aura les meilleurs avocats, c’est-à-dire les plus chers, et qu’il achètera les témoins dont il a besoin
ou éliminera les témoins à charge. Que peuvent un simple petit avocat et quelques petites victimes
ou leurs familles contre ce Goliath ? Appelez Billy McBride, mais il n'est pas disponible tout le
temps. De plus, cette guerre constante contre Goliath le pousse à l’alcoolisme et il est abandonné
par presque tout le monde, sa femme, ses collègues et bien d’autres. Il n'y a aucun espoir car il
sera suspendu, voire exclu, et il se retrouvera seul, misérable et pauvre et il se suicidera, avec une
overdose d'opioïdes par exemple. La série garde une porte ouverte. A la fin de cette quatrième
saison, la fin de cette affaire d'opioïdes, il se retrouve avec lui-même et personne d’autre, seul
dans un bar, quand sa propre fille Denise McBride débarque et le récupère. Il pourra bénéficier
d’un peu d’aide, ce qui lui permettra de traverser cette période difficile.
La seule dimension humaine de la justice américaine se trouve du côté des victimes et de
leurs défenseurs, mais la mort et la dépravation sont les seules transfusions qu'ils reçoivent des
tribunaux, et encore une fois, pas deux..
Dr Jacques COULARDEAU