Vaccins contre le papillomavirus, ce que l’on sait… ou pas…Réseau Pro Santé
Etat des lieux des connaissances
Les infections génitales à papillomavirus sont fréquentes chez les adultes en période d’activité sexuelle. On connait 150 génotypes de papillomavirus différents dont une quarantaine sont connus pour infecter l’appareil génital. Une quinzaine sont considérés à potentiel oncogène élevé.
Les 3 principaux génotypes identifiés dans les cancers du col de l’utérus sont le HPV-16 (73 %), le HPV-18 (1 9%) et le HPV-31 (7 %).
reseauprosante.fr
Vaccins contre le papillomavirus, ce que l’on sait… ou pas… Réseau Pro Santé
Revue " Le Bulletin des Jeunes Médecins Généraliste n°11" mars 2015
Etat des lieux des connaissances
Les infections génitales à papillomavirus sont fréquentes chez les adultes en période d’activité sexuelle. On connait 150 génotypes de papillomavirus différents dont une quarantaine sont connus pour infecter l’appareil génital. Une quinzaine sont considérés à potentiel oncogène élevé.
Les 3 principaux génotypes identifiés dans les cancers du col de l’utérus sont le HPV-16 (73 %), le HPV-18 (1 9%) et le HPV-31 (7 %).
La plupart des infections à papillomavirus sont transitoires. L’évolution vers un cancer est rare et survient dans moins de 0,3 % des cas. En pratique, il se passe environ 20 ans entre l’infection et le diagnostic d’un cancer invasif du col. En 2008, l’âge au moment du diagnostic d’un carcinome invasif dépassait 39 ans chez plus de 64 % des femmes atteintes.
Il existe, à ce jour en France, deux vaccins ayant l’AMM en prévention des lésions précancéreuses du col de l’utérus dues à HPV-16 et HPV-18 : le Cervarix et le Gardasil. Le Gardasil a également l’AMM en prévention des lésions précancéreuses vulvaires et vaginales ; sa composition inclue 2 types d’HPV supplémentaires, les HPV-6 et le HPV-11 responsables de condylomes.
La vaccination contre le papillomavirus est, en 2015, recommandée chez les jeunes filles de 11 à 14 ans avec un rattrapage entre 15 et 19 ans révolus.
Cette vaccination peut être effectuée indifféremment avec l’un ou l’autre des deux vaccins, mais la vaccination de chaque sujet doit se poursuivre avec le même vaccin.
...
reseauprosante.fr
Vaccins contre le papillomavirus, ce que l’on sait… ou pas…Réseau Pro Santé
Revue JEUNE MG N°11 - Mars 2015
État des lieux des connaissances
Les infections génitales à papillomavirus sont fréquentes chez les adultes en période d’activité sexuelle. On connait 150 génotypes de papillomavirus différents dont une quarantaine sont connus pour infecter l’appareil génital. Une quinzaine sont considérés à potentiel oncogène élevé.
Les 3 principaux génotypes identifiés dans les cancers du col de l’utérus sont le HPV-16 (73%), le HPV-18 (19%) et le HPV-31 (7%).
La plupart des infections à papillomavirus sont transitoires. L’évolution vers un cancer est rare et survient dans moins de 0,3% des cas. En pratique, il se passe environ 20 ans entre l’infection et le diagnostic d’un cancer invasif du col. En 2008, l’âge au moment du diagnostic d’un carcinome invasif dépassait 39 ans chez plus de 64% des femmes atteintes.
Enseignement formation - etude en cours recherche sur l'organisation de s...Réseau Pro Santé
Etude PROSPERE : qu’en est-il ?
PROSPERE est une équipe pluridisciplinaire de recherche sur les services de santé dont le thème central est d’accompagner la transformation du système de soins ambulatoires en produisant des connaissances sur la performance des organisations de soins de premier recours.
L’objectif à terme et le pari de l’équipe émergente PROSPERE est de renforcer les infrastructures permettant de développer la recherche en soins primaires et les capacités d’encadrement et de formation à la recherche dans ce domaine. L’équipe est constituée aujourd’hui de 13 chercheurs de disciplines diverses appartenant à trois entités distinctes et complémentaires (IRDES, SFMG et CERMES).
Ce projet, qui a été sélectionné comme équipe émergente dans le cadre de l’appel d’offres de l’IRESP 2008, est nancé pour 4 années par une dotation de la CNAM et chacune des institutions partenaires. Quatre objectifs spéciques guident ce programme de recherche sur 4 années, articulant plusieurs opérations de recherche :
reseauprosante.fr
Papilloma et vaccination : de fausses croyance qui demeurentIpsos France
A l’occasion de la semaine européenne de la vaccination du 22 au 28 avril 2024, Ipsos a réalisé pour MSD un baromètre autour des perceptions et comportements des mères d’adolescents dans la prévention des maladies liées aux HPV. Ces résultats démontrent que les initiatives gouvernementales et la diffusion régulière d’informations ont permis d’améliorer les connaissances générales des mères autour du HPV. Des fausses croyances qui représentent un frein à l’augmentation des couvertures vaccinales, aujourd’hui, bien en deçà des objectifs fixés par l’OMS et l’INCA.
Thérapeutiques rougeole rattrapage de vaccination pour les jeunes adultes.Réseau Pro Santé
Depuis 2008, une épidémie de rougeole sévit en France, amenant à compléter la vaccination de toutes les personnes nées après 1980 et certains professionnels non vaccinés, quel que soit leur âge.
Le calendrier vaccinal publié par le Haut conseil de la santé publique en 2011 comporte une modification notable concernant la vaccination contre la rougeole des adolescents et des jeunes adultes, pour tenir compte de l’évolution de la situation épidémiologique.
La circulation du virus a touché l’ensemble du territoire métropolitain, avec des foyers épidémiques importants en Midi-Pyrénées en 2010, et en Rhône-Alpes en mars 2011. 82 % des personnes atteintes n’avaient jamais été vaccinées contre la rougeole, et 13% avaient reçu une seule dose de vaccin. Selon 2 enquêtes par sondage réalisées en 2009, en l’absence d’antécédents de rougeole, moins de la moitié des étudiants en santé des hôpitaux parisiens avaient reçu 2 doses de vaccins, et moins de la moitié des soignants des établissements de soins de France avaient reçu au moins une dose de vaccin.
Comme auparavant, le Haut comité continue de recommander qu’à l’âge de 24 mois tous les enfants aient reçu 2 doses de vaccin trivalent oreillons-rougeole-rubéole. Depuis 2005, un rattrapage vaccinal était recommandé pour toutes les personnes nées en 1992 ou après, de sorte qu’elles aient toutes reçu au total deux doses de vaccin trivalent.
reseauprosante.fr
GSK - Enquête sur la vaccination, avril 2023MalysErondel
À l’occasion de la semaine de la vaccination, GSK France révèle les résultats de son enquête « Les Français et la vaccination : un état des lieux de leurs opinions, connaissances et comportements ».
Cette enquête montre le besoin de mieux informer les Français tant sur la vaccination que sur les maladies pour lesquelles des vaccins existent, ainsi que le rôle clé des médecins et plus largement des professionnels de santé dans ce travail de pédagogie et de prévention.
Vaccins contre le papillomavirus, ce que l’on sait… ou pas…Réseau Pro Santé
Etat des lieux des connaissances
Les infections génitales à papillomavirus sont fréquentes chez les adultes en période d’activité sexuelle. On connait 150 génotypes de papillomavirus différents dont une quarantaine sont connus pour infecter l’appareil génital. Une quinzaine sont considérés à potentiel oncogène élevé.
Les 3 principaux génotypes identifiés dans les cancers du col de l’utérus sont le HPV-16 (73 %), le HPV-18 (1 9%) et le HPV-31 (7 %).
reseauprosante.fr
Vaccins contre le papillomavirus, ce que l’on sait… ou pas… Réseau Pro Santé
Revue " Le Bulletin des Jeunes Médecins Généraliste n°11" mars 2015
Etat des lieux des connaissances
Les infections génitales à papillomavirus sont fréquentes chez les adultes en période d’activité sexuelle. On connait 150 génotypes de papillomavirus différents dont une quarantaine sont connus pour infecter l’appareil génital. Une quinzaine sont considérés à potentiel oncogène élevé.
Les 3 principaux génotypes identifiés dans les cancers du col de l’utérus sont le HPV-16 (73 %), le HPV-18 (1 9%) et le HPV-31 (7 %).
La plupart des infections à papillomavirus sont transitoires. L’évolution vers un cancer est rare et survient dans moins de 0,3 % des cas. En pratique, il se passe environ 20 ans entre l’infection et le diagnostic d’un cancer invasif du col. En 2008, l’âge au moment du diagnostic d’un carcinome invasif dépassait 39 ans chez plus de 64 % des femmes atteintes.
Il existe, à ce jour en France, deux vaccins ayant l’AMM en prévention des lésions précancéreuses du col de l’utérus dues à HPV-16 et HPV-18 : le Cervarix et le Gardasil. Le Gardasil a également l’AMM en prévention des lésions précancéreuses vulvaires et vaginales ; sa composition inclue 2 types d’HPV supplémentaires, les HPV-6 et le HPV-11 responsables de condylomes.
La vaccination contre le papillomavirus est, en 2015, recommandée chez les jeunes filles de 11 à 14 ans avec un rattrapage entre 15 et 19 ans révolus.
Cette vaccination peut être effectuée indifféremment avec l’un ou l’autre des deux vaccins, mais la vaccination de chaque sujet doit se poursuivre avec le même vaccin.
...
reseauprosante.fr
Vaccins contre le papillomavirus, ce que l’on sait… ou pas…Réseau Pro Santé
Revue JEUNE MG N°11 - Mars 2015
État des lieux des connaissances
Les infections génitales à papillomavirus sont fréquentes chez les adultes en période d’activité sexuelle. On connait 150 génotypes de papillomavirus différents dont une quarantaine sont connus pour infecter l’appareil génital. Une quinzaine sont considérés à potentiel oncogène élevé.
Les 3 principaux génotypes identifiés dans les cancers du col de l’utérus sont le HPV-16 (73%), le HPV-18 (19%) et le HPV-31 (7%).
La plupart des infections à papillomavirus sont transitoires. L’évolution vers un cancer est rare et survient dans moins de 0,3% des cas. En pratique, il se passe environ 20 ans entre l’infection et le diagnostic d’un cancer invasif du col. En 2008, l’âge au moment du diagnostic d’un carcinome invasif dépassait 39 ans chez plus de 64% des femmes atteintes.
Enseignement formation - etude en cours recherche sur l'organisation de s...Réseau Pro Santé
Etude PROSPERE : qu’en est-il ?
PROSPERE est une équipe pluridisciplinaire de recherche sur les services de santé dont le thème central est d’accompagner la transformation du système de soins ambulatoires en produisant des connaissances sur la performance des organisations de soins de premier recours.
L’objectif à terme et le pari de l’équipe émergente PROSPERE est de renforcer les infrastructures permettant de développer la recherche en soins primaires et les capacités d’encadrement et de formation à la recherche dans ce domaine. L’équipe est constituée aujourd’hui de 13 chercheurs de disciplines diverses appartenant à trois entités distinctes et complémentaires (IRDES, SFMG et CERMES).
Ce projet, qui a été sélectionné comme équipe émergente dans le cadre de l’appel d’offres de l’IRESP 2008, est nancé pour 4 années par une dotation de la CNAM et chacune des institutions partenaires. Quatre objectifs spéciques guident ce programme de recherche sur 4 années, articulant plusieurs opérations de recherche :
reseauprosante.fr
Papilloma et vaccination : de fausses croyance qui demeurentIpsos France
A l’occasion de la semaine européenne de la vaccination du 22 au 28 avril 2024, Ipsos a réalisé pour MSD un baromètre autour des perceptions et comportements des mères d’adolescents dans la prévention des maladies liées aux HPV. Ces résultats démontrent que les initiatives gouvernementales et la diffusion régulière d’informations ont permis d’améliorer les connaissances générales des mères autour du HPV. Des fausses croyances qui représentent un frein à l’augmentation des couvertures vaccinales, aujourd’hui, bien en deçà des objectifs fixés par l’OMS et l’INCA.
Thérapeutiques rougeole rattrapage de vaccination pour les jeunes adultes.Réseau Pro Santé
Depuis 2008, une épidémie de rougeole sévit en France, amenant à compléter la vaccination de toutes les personnes nées après 1980 et certains professionnels non vaccinés, quel que soit leur âge.
Le calendrier vaccinal publié par le Haut conseil de la santé publique en 2011 comporte une modification notable concernant la vaccination contre la rougeole des adolescents et des jeunes adultes, pour tenir compte de l’évolution de la situation épidémiologique.
La circulation du virus a touché l’ensemble du territoire métropolitain, avec des foyers épidémiques importants en Midi-Pyrénées en 2010, et en Rhône-Alpes en mars 2011. 82 % des personnes atteintes n’avaient jamais été vaccinées contre la rougeole, et 13% avaient reçu une seule dose de vaccin. Selon 2 enquêtes par sondage réalisées en 2009, en l’absence d’antécédents de rougeole, moins de la moitié des étudiants en santé des hôpitaux parisiens avaient reçu 2 doses de vaccins, et moins de la moitié des soignants des établissements de soins de France avaient reçu au moins une dose de vaccin.
Comme auparavant, le Haut comité continue de recommander qu’à l’âge de 24 mois tous les enfants aient reçu 2 doses de vaccin trivalent oreillons-rougeole-rubéole. Depuis 2005, un rattrapage vaccinal était recommandé pour toutes les personnes nées en 1992 ou après, de sorte qu’elles aient toutes reçu au total deux doses de vaccin trivalent.
reseauprosante.fr
GSK - Enquête sur la vaccination, avril 2023MalysErondel
À l’occasion de la semaine de la vaccination, GSK France révèle les résultats de son enquête « Les Français et la vaccination : un état des lieux de leurs opinions, connaissances et comportements ».
Cette enquête montre le besoin de mieux informer les Français tant sur la vaccination que sur les maladies pour lesquelles des vaccins existent, ainsi que le rôle clé des médecins et plus largement des professionnels de santé dans ce travail de pédagogie et de prévention.
2. ENFANTS DE MOINS DE 2 ANS
› Une injection en moins du vaccin diphtérie – tétanos – coqueluche –
polio – haemophilus influenzae (DTCPH) :
› Au lieu d'un schéma vaccinal à 2-3-4 et 18 mois on passe à 2-4 et 11 mois.
› Le rappel hépatite B est avancé à l'âge de 11 mois au lieu de 18 mois :
› Le shéma vaccinal devient 2-4 et 11 mois et peut être associé aux vaccins du DTCPH
› Le rappel du vaccin contre les infections invasives à Pneumocoque est
avancé à l'âge de 11 mois au lieu de 12 mois :
› Le shéma vaccinal devient 2-4 et 11 mois
› Il n'y a plus de distinction du mode de garde pour le vaccin contre la
Rougeole – Oreillons – Rubéole (ROR)
› Le shéma vaccinal devient pour tous les enfants : 12 mois et entre 16 et 18 mois
› Concernant la vaccination contre le méningocoque de type C :
› Elle est avancée et recommandée à l'âge de 12 mois et peut être administrée en
même temps que la première dose du ROR.
3. ENFANTS ENTRE 2 ET 18 ANS
› A l'âge de 6 ans, un rappel contre la coqueluche est
désormais ajouté aux vaccins DTP :
› vaccination DTCP (anatoxine entière de diphtérie et coqueluche
donc différent des vaccins de l'adulte)
› Entre 11 et 13 ans :
› vaccination dTcP (anatoxine réduite de diphtérie et coqueluche,
vaccin identique à ceux proposés pour les adultes)
› Pour les jeunes filles, la vaccination contre les infections à
papillomavirus humain (HPV) est avancée et est désormais
proposée entre 11 et 14 ans
› trois doses à 0 - 2 et 6 mois (la première dose peut être
administrée le même jour que le rappel dTcP
› Il n'y a plus de rappel dTP entre 16 et 18 ans
4. ADULTES
› Un rappel dTcP à l'âge de 25 ans
› Des rappels dTP à : 45 – 65 – 75 – 85... ans
› Il est conseillé aux adultes devenant parent ou à
l'entourage des enfants à naitre n'ayant pas reçu
de rappel de coqueluche depuis plus de 5 ans de
faire ce rappel (dTcP).
› En cas de rappel datant de moins de 5 ans, le
rappel ne sera fait qu'à l'échéance d'après
› Pour les non vaccinés depuis plus de 25 ans, le
rappel est effectué immédiatement puis selon les
âges recommandés en respectant un minimum de
5 ans entre 2 rappels (cf ci dessus).
5. UN AVIS MEDICAL, UN CONSEIL :
WWW.MEDECINDIRECT.FR
Conflits d’intérêts : L’auteur n’a pas transmis de
conflits d’intérêts concernant les données diffusées
dans cette interview ou publiées dans la référence
citée. Cet article est issu d’une expérience de terrain,
il existe d’autres produits, et d’autres protocoles de
prise en charge.