une épidémie toute nouvelle frappe en ce moment Haiti, la maladie du chikungunya. fièvre, forte douleur articulaire et rash cutané caractérisent cette dernière.
une épidémie toute nouvelle frappe en ce moment Haiti, la maladie du chikungunya. fièvre, forte douleur articulaire et rash cutané caractérisent cette dernière.
Action Polio+ / Rotary International / Andikadoandikado
Il faut continuer de vacciner massivement les populations de ces pays concernés, au risque de voir réapparaitre la maladie dans tous les autres pays car le virus mute et la mondialisation est un facteur de transport du virus évident.
Cela coute cher. Pour que le traitement soit efficace sur les populations des pays concernés il faut en moyenne 5 vaccinations !!
Comment agir ?
Fiche essentielle - CCMO Mutuelle - La grippeCCMO Mutuelle
Toujours soucieuse de votre santé et de votre bien-être, la CCMO édite des fiches santé. Elles traitent d’un thème de santé comme : les allergies, les premiers secours, l’ostéoporose, le sport et la santé, le mal de dos, etc
Brochure "Infections virales et bactériennes, mieux les connaître pour les p...soshepatites
Depuis de nombreuses années, les autorités de santé,
notamment le Haut Conseil de la Santé Publique, constatent
et s’inquiètent du recul de la vaccination en France.
Certes, la confiance dans la vaccination s’est affaiblie mais ce
n’est pas le seul critère en jeu. Qui sait aujourd’hui ce qu’est
réellement la rougeole, l’infection invasive à méningocoque,
la rubéole ou bien encore le tétanos ?
Grâce aux campagnes de santé publique et à la vaccination,
certaines de ces maladies bactériennes ou virales ont
quasiment disparu de l’hexagone, de nos esprits ou semblent
n’être que des maladies infantiles bénignes.
Pourtant, régulièrement, trop régulièrement, elles reviennent
sur le devant de la scène lorsqu’une personne décède.
Aujourd’hui plus que jamais, il est donc nécessaire de
renforcer la communication, non seulement sur la vaccination
pour lutter contre les idées reçues et la désinformation, mais
aussi sur les différentes maladies dont elle nous protège.
À travers ce livret, porté par Méningites France - Association
Audrey, et avec le soutien de nombreux acteurs, nous
souhaitons apporter notre contribution à la santé publique et,
d’abord et avant tout, remettre en avant l’apport de la
vaccination, souvent le seul moyen de prévenir des maladies
au combien mortelles.
Action Polio+ / Rotary International / Andikadoandikado
Il faut continuer de vacciner massivement les populations de ces pays concernés, au risque de voir réapparaitre la maladie dans tous les autres pays car le virus mute et la mondialisation est un facteur de transport du virus évident.
Cela coute cher. Pour que le traitement soit efficace sur les populations des pays concernés il faut en moyenne 5 vaccinations !!
Comment agir ?
Fiche essentielle - CCMO Mutuelle - La grippeCCMO Mutuelle
Toujours soucieuse de votre santé et de votre bien-être, la CCMO édite des fiches santé. Elles traitent d’un thème de santé comme : les allergies, les premiers secours, l’ostéoporose, le sport et la santé, le mal de dos, etc
Brochure "Infections virales et bactériennes, mieux les connaître pour les p...soshepatites
Depuis de nombreuses années, les autorités de santé,
notamment le Haut Conseil de la Santé Publique, constatent
et s’inquiètent du recul de la vaccination en France.
Certes, la confiance dans la vaccination s’est affaiblie mais ce
n’est pas le seul critère en jeu. Qui sait aujourd’hui ce qu’est
réellement la rougeole, l’infection invasive à méningocoque,
la rubéole ou bien encore le tétanos ?
Grâce aux campagnes de santé publique et à la vaccination,
certaines de ces maladies bactériennes ou virales ont
quasiment disparu de l’hexagone, de nos esprits ou semblent
n’être que des maladies infantiles bénignes.
Pourtant, régulièrement, trop régulièrement, elles reviennent
sur le devant de la scène lorsqu’une personne décède.
Aujourd’hui plus que jamais, il est donc nécessaire de
renforcer la communication, non seulement sur la vaccination
pour lutter contre les idées reçues et la désinformation, mais
aussi sur les différentes maladies dont elle nous protège.
À travers ce livret, porté par Méningites France - Association
Audrey, et avec le soutien de nombreux acteurs, nous
souhaitons apporter notre contribution à la santé publique et,
d’abord et avant tout, remettre en avant l’apport de la
vaccination, souvent le seul moyen de prévenir des maladies
au combien mortelles.
Le paludisme chez le jeune enfant: épidemiologie et prévention - Présentation de la 5e édition du Cours international « Atelier Paludisme » - Marie Clémence RAKOTOARIVONY - Médecin - Service de Lutte contre le Paludisme /MINSANPF - Antananarivo, Madagascar - kamansy2@yahoo,fr
A la recherche du vaccin contre le paludisme - Conférence de la 2e édition du Cours international « Atelier Paludisme » - HOMMEL Marcel - Liverpool School of Tropical Medicine - m.hommel@liverpool.ac.uk
ce document est une communication orale présenté lors des 2èmes journées internationales de pharamcie hospitalière du centre Pierre et Marie curie (Algérie). son objectif principale est de mettre la lumière sur l'état des lieux en matière d'hygiène hospitalière en Algérie
4. L’enfant est un grand trésor.L’enfant est un grand trésor.
Toutes les chancesToutes les chances
devraient lui être donnéesdevraient lui être données
pour vivre et grandir dans depour vivre et grandir dans de
bonnes conditions, doncbonnes conditions, donc
sans maladie. L’un dessans maladie. L’un des
moyens de préventionmoyens de prévention
contre les maladiescontre les maladies
infectieuses graves parfoisinfectieuses graves parfois
mortelles ou invalidantes estmortelles ou invalidantes est
la vaccination.la vaccination.
5. Qu’est ce alors que laQu’est ce alors que la
vaccination?vaccination?
6. La vaccination est un procédéLa vaccination est un procédé
qui consiste à introduire dansqui consiste à introduire dans
un organisme vivant, unun organisme vivant, un
agent extérieur (appeléagent extérieur (appelé
antigène ou vaccin) dont laantigène ou vaccin) dont la
virulence est neutralisée ouvirulence est neutralisée ou
atténuée. Ceci entraine uneatténuée. Ceci entraine une
réaction dite immunitaireréaction dite immunitaire
positive par la fabricationpositive par la fabrication
d’anticorps par l’organismed’anticorps par l’organisme
(gendarmes).(gendarmes).
7. En cas d’infection ultérieureEn cas d’infection ultérieure
par cet antigène,par cet antigène,
l’organisme réagit pour lesl’organisme réagit pour les
neutraliser de façon trèsneutraliser de façon très
rapide. Cet antigène est misrapide. Cet antigène est mis
en mémoire par l’immunitéen mémoire par l’immunité
pour une durée variablepour une durée variable
selon le type de vaccin.selon le type de vaccin.
8. Le vaccin est donc unLe vaccin est donc un
antigène destiné àantigène destiné à
stimuler les défensesstimuler les défenses
naturelles de l’organisme.naturelles de l’organisme.
9. Comment est-on arrivé auComment est-on arrivé au
procédé de la vaccination ?procédé de la vaccination ?
10. L’histoire de la vaccination
remonte au XIe siècle où les
chinois pratiquaient la
variolisation en mettant en
contact la personne à
immuniser avec le contenu de
la substance suppurante des
vésicules d’un malade atteint
de variole et supposée peu
virulente.
11. Les travaux de recherche ont
continué puis en 1796
Edward JENNER fait
reconnaître officiellement les
effets positifs de
l’immunisation. Il inocula à un
enfant, du pus prélevé sur la
main d’une infirmière infectée
par la variole des vaches. Le
mot vaccination vient du mot
latin Vacca qui signifie vache.
12. Un siècle plus tard, Louis
Pasteur et ses
collaborateurs ont expliqué
le principe de la vaccination
et en ont amélioré les
techniques. La première
vaccination humaine fut
celle d’un enfant contre la
rage en Juillet 1885.
13. La vaccination protège contre les
maladies infectieuses qui peuvent
entraîner ou engendrer des séquelles
graves ou la mort. Elle réduit ainsi le taux
des mortalités et de morbidité
contribuant de façon indirecte au
développement d’une nation.
14.
15. Au Bénin et dans la plupart
des pays en développement, le
calendrier vaccinal se réduit au
Programme Elargi de
Vaccination (PEV). L’état
assure gratuitement la
vaccination des enfants jusqu’à
l'âge de 11 mois, contre
certaines maladies infectieuses
graves.
16. Le PEV comprend alors :
- à la naissance : BCG + Polio o
+Hépatite B
- à 6 semaines, 10 et 14 semaines :
le vaccin contre la diphtérie, la
coqueluche, lé tétanos, l’hépatite B,
l’haemophilus influenzae (vaccin
pentavalent) , la polio orale et le
pneunomocoque (prévenar) .
- à 9 mois : le vaccin anti-rougeoleux
et antiamarile.
17. Le programme élargi de vaccination ne
comporte donc pas les rappels qui sont
quand même indispensables. Il revient alors
au pédiatre ou médecin d’informer les
parents qu’en dehors de ces vaccins que leur
offre gratuitement l’état, il en existe
beaucoup d’autres qui sont à leurs frais.
18. Ce sont :
- Le rotarix ou rota Teq : vaccins contre le
rota virus qui est responsable d’une diarrhée
sévère. Selon le type de vaccin, on fait 2
doses entre 6 semaines et 6 mois.
- le ROR à 15 mois et un rappel entre 2 et
3 ans
- Le rappel du pentavalent 1an après la
dose de 14 semaines puis tous les 5 ans avec
le DTCP ou le DTP jusqu’à l’âge de 11-13 ans.
19. - Le vaccin contre la méningite A+C à
2 ans et un rappel tous les 3 ans
- Le vaccin contre le pneumocoque
(Pneuno 23) très recommandé chez les
drépanocytaires
- Le vaccin contre la fièvre typhoïde
- La rage J0-J2, J21 ou J28.
20. - De plus en plus le vaccin contre le
papillomavirus (HPV) qui est recommandé
chez les adolescentes de 10 à 13 ans et
même jusqu’à 20ans. Ce vaccin doit se faire
avant le début des activités sexuelles ou au
plus tard au cours de la 1ère année débutant
ces activités sexuelles. le cervarix (2 doses
M0-M6) ou le Gardasil.
21. Depuis 2013, la France que nous imitons a
allégé son calendrier vaccinal qui comprend :
- à 2 mois : Pentavalent + Prévenar+
Hépatite + Rotarix
- à 4 mois : 2ème dose
-à 11 mois : 1er rappel du pentavalent
- DTP à 6 ans, 11-13 ans, 25ans, 45ans,
65ans ... etc
- à 12 mois ROR rappel à 16-18 mois
- à 11- 14ans papillomavirus (HPV) .
23. Si la vaccination est un principe qui a
révolutionné le monde en faisant baisser
de façon extraordinaire le taux de mortalité
et de morbidité, elle n’est pas toujours
anodine.
Elle ne doit pas être faite en cas de :
- Maladies infectieuses évolutives
- Maladies chroniques évolutives.
- Il existe des contres indications spécifiques
à chaque type de vaccin
25. Elles peuvent être locales ou
générales
Comme réactions locales, nous
pouvons citer :
- La douleur immédiate au point
d’injection qui peut durer jusqu’au lendemain.
- Nodule au point d’injection souvent
indolore et peut persister quelques semaines.
- Abcès au point d’injection (faute
d’aseptie)
26. Comme réactions généralisées on peut
citer :
- Choc anaphylactique avec altération
profonde de l’état générale collapsus,
œdèmes de la glotte
- Convulsions souvent dues à la fièvre
surtout après la vaccination de la coqueluche
- Malaises
- Accidents paralytiques après la
vaccination de la polio chez les enfants
porteurs de déficit immunitaire.
27. Vacciner les enfants : OUI
Mais il faut aussi protéger
les parents.
L’adulte doit donc être
vacciné contre:
- Tétanos
- Diphtérie, Poliomyélite
- Fièvre jaune
- Méningite
- Fièvre typhoïde
- Hépatite B ...pourquoi
pas contre le HPV
29. Tout enfant qui nait doit vivre et être en bonne
santé, être instruit, s’instruire, apprendre un
métier et l’exercer plus tard comme aime
bien le dit mon maître le Professeur Vincent
DAN. Et pour cela il doit être protégé contre
les maladies infectieuses par la vaccination,