Depuis les années 2000, l’émergence du concept d’éco-quartier illustre bien la volonté des acteurs de l’aménagement à favoriser de nouvelles façons de concevoir, de construire et de gérer la ville durablement. La Démarche HQE -Aménagement comme la Démarche EcoQuartier, fondée sur la Loi Grenelle II dans la cadre du Plan Ville durable, ont contribué à conforter le principe d’un développement de nouveaux modes de faire et à identifier l’urbanisme comme un véritable levier pour tendre vers des modes de vie plus « soutenables ».
La réalisation de quartiers durables requiert l’émergence d’une culture commune et la mobilisation de tous les acteurs de l’aménagement : élus, décideurs, techniciens, concepteurs ou habitants.
Paru en 2010, le guide de la Démarche HQE Aménagement proposait déjà de les y aider avec une approche opérationnelle reposant sur un système qualité dont le couple « aménageur + collectivité » est au cœur. Méthode générique pouvant s’adapter à tout type d’opération et être appropriée par tout type d’acteur, elle propose un langage commun, une structure de conduite d’opération, et une évaluation permanente.
Cette nouvelle édition du cadre de référence propose de(re)découvrir une approche structurante pour accompagner les porteurs de projet dans leur volonté de conduire des opérations d’aménagement durable.
L'Agenda pour le Futur de Transitions² / 3 juillet 2018, Paris, Le SquareFing
L'agenda pour le Futur de Transitions² propose des feuilles de routes alternatives (d'innovation, de recherche, d'action publique...) pour mettre le numérique au service de la transition écologique.
www.transitions2.net / Un projet porté par la Fing, l'Iddri, Inria, l'ADEME et bien d'autres !
Nombreuses sont les communes, actives et dynamiques, porteuses de projets pour préparer leur avenir. De multiples approches permettent aux élus de faire leur choix en matière d'aménagement, d'urbanisme ou de développement.
Dans tous les cas, il s'agit de démarches transversales qui doivent être conduites de façon cohérente afin d'assurer la pertinence des projets qui seront retenus. La procédure passe par des étapes indispensables menant progressivement de problématiques vers des projets. Plusieurs acteurs sont associés à la démarche à travers des consultations ou des réunions de concertation pour une bonne "gouvernance" de ces projets.
Depuis les années 2000, l’émergence du concept d’éco-quartier illustre bien la volonté des acteurs de l’aménagement à favoriser de nouvelles façons de concevoir, de construire et de gérer la ville durablement. La Démarche HQE -Aménagement comme la Démarche EcoQuartier, fondée sur la Loi Grenelle II dans la cadre du Plan Ville durable, ont contribué à conforter le principe d’un développement de nouveaux modes de faire et à identifier l’urbanisme comme un véritable levier pour tendre vers des modes de vie plus « soutenables ».
La réalisation de quartiers durables requiert l’émergence d’une culture commune et la mobilisation de tous les acteurs de l’aménagement : élus, décideurs, techniciens, concepteurs ou habitants.
Paru en 2010, le guide de la Démarche HQE Aménagement proposait déjà de les y aider avec une approche opérationnelle reposant sur un système qualité dont le couple « aménageur + collectivité » est au cœur. Méthode générique pouvant s’adapter à tout type d’opération et être appropriée par tout type d’acteur, elle propose un langage commun, une structure de conduite d’opération, et une évaluation permanente.
Cette nouvelle édition du cadre de référence propose de(re)découvrir une approche structurante pour accompagner les porteurs de projet dans leur volonté de conduire des opérations d’aménagement durable.
L'Agenda pour le Futur de Transitions² / 3 juillet 2018, Paris, Le SquareFing
L'agenda pour le Futur de Transitions² propose des feuilles de routes alternatives (d'innovation, de recherche, d'action publique...) pour mettre le numérique au service de la transition écologique.
www.transitions2.net / Un projet porté par la Fing, l'Iddri, Inria, l'ADEME et bien d'autres !
Nombreuses sont les communes, actives et dynamiques, porteuses de projets pour préparer leur avenir. De multiples approches permettent aux élus de faire leur choix en matière d'aménagement, d'urbanisme ou de développement.
Dans tous les cas, il s'agit de démarches transversales qui doivent être conduites de façon cohérente afin d'assurer la pertinence des projets qui seront retenus. La procédure passe par des étapes indispensables menant progressivement de problématiques vers des projets. Plusieurs acteurs sont associés à la démarche à travers des consultations ou des réunions de concertation pour une bonne "gouvernance" de ces projets.
Contribution des CCI de France à la Conférence environnementale 2016CCI France
Les CCI de France formulent des propositions pour les trois tables rondes : 1/ Appliquer l’agenda des solutions pour la croissance verte, 2/ Impliquer citoyens, territoires et Etat dans la transition écologique, 3/ Préserver les milieux afin d’améliorer le cadre de vie et la santé de tous.
Ces propositions s’inscrivent dans la suite des travaux menés par le réseau depuis plusieurs années, et plus particulièrement depuis la première conférence environnementale de 2012. Membres du CNTE, les CCI souhaitent contribuer à la réussite de ces tables rondes.
Dans le sillage de la réflexion sur les nouvelles perspectives, nous avons pu identifier 4 grandes tendances majeures pouvant illustrer la notion d’eco design : le design sensé, découlant de l’émergence des nouvelles préoccupations ; le design économique, ou la tendance à vouloir faire mieux avec moins ; le design positif, qui prône une gestion des cycles optimale ; et enfin le design de système, porteur de solutions globales.
La définition initiale du design est celle d’un concept alliant une intention à sa réalisation matérielle. Cette conception première a progressivement laissé place à une discipline qui a délaissé le fond pour ne s’intéresser qu’à la forme, s’inscrivant dans une logique marketing et industrielle, oubliant la théorie du design comme intention première, comme alliance de l’idée et de sa représentation.
En cela, les enjeux actuels liés aux problématiques environnementales et sociétales ont permis la renaissance d’un design approprié, au service du développement humain. Le designer apparaît donc comme un des acteurs majeurs de la mutation en cours, comme un artisan au service du progrès, porteur de solutions globales. D’où une nécessaire extension du domaine du design, ce dernier se préoccupant désormais non plus seulement de conceptions matérielles mais surtout de la fourniture de services centrés sur l’expérience utilisateur, intégrés en une logique systémique dans des « scénarios de vie » à la mesure de l’homme.
L'effacement de l’objet des préoccupations centrales de la démarche eco design laisse donc place à une vision qui privilégie la dimension systémique des affaires humaines.
Appréhender les choses selon cette nouvelle pensée systémique, c’est abandonner la conception traditionnelle par trop linéaire qui fût longtemps l’unique modèle valable de compréhension du monde et œuvrer pour la valorisation des cycles, qu’ils soient naturels, industriels ou humains. L’entreprise, tout d’abord, se doit d’intégrer les différents cycles qui la composent en un cycle global dont l’ambition est de générer non plus du profit mais du développement humain. Du côté de l’industrie, un nouveau modèle émerge dont la vision cyclique tend à faire disparaître les impacts négatifs sur l’écosystème naturel. Se dirige-t-on vers un modèle économique générateur d’externalités positives ?
Enfin, le design de solutions globales nous amène à nous questionner sur l’émergence d’écosystèmes intégrés, au niveau de l’activité économique d’un part, concernant les relations entre collaborateurs dans le milieu professionnel, mais aussi concernant de nouvelles façons de vivre ensembles au sein d’une société viable et durable. Ces nouveaux modes de vie signifient au niveau local une revalorisation des territoires par la mise en place de projets de développement durable et approprié. Au final, il est aujourd’hui urgent de penser l’écosystème global, favorisant la diversité et l’enrichissement réciproque des sphères économique, écologique et sociale en un équilibre indispensable à la préservation et au développement approprié de la vie sous toutes ses formes.
Aussi, ce rapport d'innovation a pour tâche d’explorer les développements en cours, les pistes à suivre, les innovations qui nous indiquent les voies du progrès, qui bouleversent notre époque, tant dans le domaine de la création que dans celui de l’entreprise, de l’économie, et au niveau de la société dans son ensemble.
Un rapport issu du cercle d'innovation Courts-Circuits, à l'initiative de Pourquoi tu cours (l'agence des idées), encadré par les planneurs stratégiques Jérémy Dumont et Nicolas Marronnier.
--
Lettre de mission de Philippe Pelletier au groupe de travail Batiment et bio...mlbarriera
Philippe Pelletier, Président du Plan Bâtiment Durable, a confié le copilotage d’un groupe de travail sur les questions de « Bâtiment et Biodiversité » à Ingrid Nappi-Choulet Professeur à l’ESSEC Business School, titulaire de la Chaire Immobilier et Développement durable, Yves Dieulesaint Directeur RSE de GECINA, et Thibaud Gagneux Responsable Développement Durable de POSTE IMMO, Président de SYNERGIZ. A lire la lettre de mission
Trophées Solutions Climat et actions d’ORÉE pour la COP21The Shift Project
Cécile Couteau, Responsable Communication d’ORÉE, présente le dispositif "Trophées Solutions Climat" et les actions d’ORÉE pour la COP 21 aux Ateliers du Shift du 10 septembre 2015.
Contribution des CCI de France à la Conférence environnementale 2016CCI France
Les CCI de France formulent des propositions pour les trois tables rondes : 1/ Appliquer l’agenda des solutions pour la croissance verte, 2/ Impliquer citoyens, territoires et Etat dans la transition écologique, 3/ Préserver les milieux afin d’améliorer le cadre de vie et la santé de tous.
Ces propositions s’inscrivent dans la suite des travaux menés par le réseau depuis plusieurs années, et plus particulièrement depuis la première conférence environnementale de 2012. Membres du CNTE, les CCI souhaitent contribuer à la réussite de ces tables rondes.
Dans le sillage de la réflexion sur les nouvelles perspectives, nous avons pu identifier 4 grandes tendances majeures pouvant illustrer la notion d’eco design : le design sensé, découlant de l’émergence des nouvelles préoccupations ; le design économique, ou la tendance à vouloir faire mieux avec moins ; le design positif, qui prône une gestion des cycles optimale ; et enfin le design de système, porteur de solutions globales.
La définition initiale du design est celle d’un concept alliant une intention à sa réalisation matérielle. Cette conception première a progressivement laissé place à une discipline qui a délaissé le fond pour ne s’intéresser qu’à la forme, s’inscrivant dans une logique marketing et industrielle, oubliant la théorie du design comme intention première, comme alliance de l’idée et de sa représentation.
En cela, les enjeux actuels liés aux problématiques environnementales et sociétales ont permis la renaissance d’un design approprié, au service du développement humain. Le designer apparaît donc comme un des acteurs majeurs de la mutation en cours, comme un artisan au service du progrès, porteur de solutions globales. D’où une nécessaire extension du domaine du design, ce dernier se préoccupant désormais non plus seulement de conceptions matérielles mais surtout de la fourniture de services centrés sur l’expérience utilisateur, intégrés en une logique systémique dans des « scénarios de vie » à la mesure de l’homme.
L'effacement de l’objet des préoccupations centrales de la démarche eco design laisse donc place à une vision qui privilégie la dimension systémique des affaires humaines.
Appréhender les choses selon cette nouvelle pensée systémique, c’est abandonner la conception traditionnelle par trop linéaire qui fût longtemps l’unique modèle valable de compréhension du monde et œuvrer pour la valorisation des cycles, qu’ils soient naturels, industriels ou humains. L’entreprise, tout d’abord, se doit d’intégrer les différents cycles qui la composent en un cycle global dont l’ambition est de générer non plus du profit mais du développement humain. Du côté de l’industrie, un nouveau modèle émerge dont la vision cyclique tend à faire disparaître les impacts négatifs sur l’écosystème naturel. Se dirige-t-on vers un modèle économique générateur d’externalités positives ?
Enfin, le design de solutions globales nous amène à nous questionner sur l’émergence d’écosystèmes intégrés, au niveau de l’activité économique d’un part, concernant les relations entre collaborateurs dans le milieu professionnel, mais aussi concernant de nouvelles façons de vivre ensembles au sein d’une société viable et durable. Ces nouveaux modes de vie signifient au niveau local une revalorisation des territoires par la mise en place de projets de développement durable et approprié. Au final, il est aujourd’hui urgent de penser l’écosystème global, favorisant la diversité et l’enrichissement réciproque des sphères économique, écologique et sociale en un équilibre indispensable à la préservation et au développement approprié de la vie sous toutes ses formes.
Aussi, ce rapport d'innovation a pour tâche d’explorer les développements en cours, les pistes à suivre, les innovations qui nous indiquent les voies du progrès, qui bouleversent notre époque, tant dans le domaine de la création que dans celui de l’entreprise, de l’économie, et au niveau de la société dans son ensemble.
Un rapport issu du cercle d'innovation Courts-Circuits, à l'initiative de Pourquoi tu cours (l'agence des idées), encadré par les planneurs stratégiques Jérémy Dumont et Nicolas Marronnier.
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Lettre de mission de Philippe Pelletier au groupe de travail Batiment et bio...mlbarriera
Philippe Pelletier, Président du Plan Bâtiment Durable, a confié le copilotage d’un groupe de travail sur les questions de « Bâtiment et Biodiversité » à Ingrid Nappi-Choulet Professeur à l’ESSEC Business School, titulaire de la Chaire Immobilier et Développement durable, Yves Dieulesaint Directeur RSE de GECINA, et Thibaud Gagneux Responsable Développement Durable de POSTE IMMO, Président de SYNERGIZ. A lire la lettre de mission
Trophées Solutions Climat et actions d’ORÉE pour la COP21The Shift Project
Cécile Couteau, Responsable Communication d’ORÉE, présente le dispositif "Trophées Solutions Climat" et les actions d’ORÉE pour la COP 21 aux Ateliers du Shift du 10 septembre 2015.
Incubateurs des établissements d'enseignement supérieur et de recherche et dy...Stéphane Damasy Andriambao
Le cabinet iNNOECO a été sollicité par la Conférence des Grandes Ecoles pour réaliser une étude sur les incubateurs des établissements d'enseignement supérieur et de recherche et leur impact sur la dynamique de développement économique des territoires.
This document outlines a plan to start a food delivery service using an industrial kitchen at a school in Saint-Gilles. The service would provide prepared organic and local meals to customers using refillable or biodegradable packaging. Customers could pre-order meals each month and have them delivered to collection points or their homes. The goals are to offer healthy and affordable prepared meals as an alternative to fast food, reduce packaging waste, and support local producers and socialization.
The document outlines a project to rehabilitate a botanical garden in the Saint-Gilles neighborhood. The key points of the project are to: 1) Renovate the house into an organic cafe that sources from the greenhouses and local farms. 2) Use the greenhouses for responsible farming to supply the cafe and sell organic food baskets. 3) Hold specific events like a monthly farmers market and annual food festival to promote sustainable food and bring the neighborhood together.
The document describes a case study of the School of Laveu introducing a kitchen garden into its activities. The school applies Freinet pedagogy and has 450 students. The garden operates like any other school activity, with students and teachers choosing to participate. It provides long-term benefits like teaching students about ecology, food waste, and sustainability through hands-on experiences in the garden and kitchen. Potential opportunities for expanding the project include collaborating with other organizations, adding the garden to more schools, and developing an eco-representative program. Risks include a lack of coordination and potential abandonment of the project or lack of parent support.
The document discusses Amersfoort's local food system and strategies to improve cooperation between suppliers and demanders of regional food. It describes how delivery of local products is currently done by various community and commercial groups. It also outlines a meeting organized by the local action group to bring together suppliers, demanders, and transport companies to discuss solutions and partnerships. The role of the municipality is process guidance and facilitation by organizing meetings and monitoring outcomes, but not imposing predetermined plans.
This document discusses sustainable food strategies for European cities. It begins by explaining why the World Wildlife Fund (WWF) cares about sustainable food, noting that current global food production provides enough calories but much is wasted. It then discusses the environmental and health impacts of the European diet, showing carbon emissions and water footprints by food group. The document introduces the LiveWell for LIFE project which demonstrates healthy and sustainable diets through the "LiveWell Plate" that is healthy, reduces greenhouse gas emissions by 25%, and is affordable and adaptable. It outlines six LiveWell principles for a sustainable diet, including eating more plants, less meat and food waste, and foods with credible sustainability certifications. It concludes by providing information on how
The document discusses Gothenburg's strategy to source 50% of meals and 100% of meat organically and locally for its administrative canteens, schools, elderly homes, cafes, and restaurants by 2014. It notes the city's environmental objectives and climate strategy that guide this sustainable food plan. Examples of the climate impact of different meats are also presented. The strategy aims to reduce emissions while supporting local agriculture and biodiversity.
This document discusses potential sources of funding for sustainable food initiatives in European cities. It begins with an introduction from Brussels Environment on possible EU funding sources. Table discussions then focused on how sustainable food action plans could be funded by EU programs like ERDF and ESF, other potential public funding sources, and schemes for citizen and private business investment without public funds. Examples discussed included rural development funds, crowd funding, community supported agriculture, private foundations, and cooperative models. Concerns were raised about the bureaucratic nature of some funding and the need for dedicated city staff to support applications.
Sustainable food systems are not widely recognized as a priority issue or legitimate area for cities to act on, especially in OECD countries. A survey of French cities found that while some local sustainable food actions exist, there is a gap between rhetoric and action. Strengthening urban and regional food systems requires mainstreaming food security policy across levels of government, improving understanding of rural-urban linkages, and supporting local planning and production through participatory governance. The International Urban Food Network aims to build an online community platform and convene events to advance understanding and governance of sustainable urban food systems.
Sustainable food systems are not widely recognized as a priority issue or challenge for cities in OECD countries. A survey conducted in France found that while some local sustainable food actions exist, like community gardens and short distribution chains, sustainable food governance is not generally a political priority and there is a gap between rhetoric and action. To strengthen urban food systems, the document argues that cities need to mainstream sustainable food policies, engage stakeholders through governance, support local food production and planning, and take a human rights approach to food systems. The International Urban Food Network aims to contribute by sharing knowledge through events and an online platform.
The Bristol Food Policy Council connects people with food through powerful messaging, targets decision makers to influence policy, and uses evidence to inform sound decisions. It helps coordinate action on food strategy in Bristol and reviews progress. The council welcomes participants to learn about its role in reconnecting the community with food and influencing sustainable food policies.
This document summarizes a workshop on developing urban food strategies for European cities. It discusses governance models for urban food systems, including top-down, bottom-up, and hybrid approaches. It provides examples of initiatives from various cities that bring together stakeholders, leverage public procurement, raise awareness, and enable grassroots movements. The document suggests questions for discussion, such as how cities can synergize top-down and bottom-up initiatives and the purpose of forming a food policy council. The overarching topics covered are developing sustainable local food systems and fostering cross-sector collaboration around food.
The City of Vienna has set a goal to source 50% of food from organic farms for public institutions, with a minimum of 30%. Binding criteria require at least 30% of food purchases by value to be organic, and vegetables/fruits to be seasonal and local. Information is provided to consumers on the benefits of organic, seasonal, and regional foods. Measures in Vienna homes for retirees include reorganizing processes, changing from buffets to served meals, sensitizing staff, and offering a "Naturally Good Plate" 3-4 times per week, resulting in 203,260 kg less waste in 2010. Current percentages of organic food purchases range from 30% at retirement homes to 51% at nursery schools.
1. GROUPE DE TRAVAIL
NOTES/SYNTHÈSE DE LA 1ÈRE RÉUNION DU 07 MARS 2014
CHRISTOPHE GOUACHE – STRATEGIC DESIGN SCENARIOS
ÉCONOMIE TERRITORIALE DURABLE
2. ÉLEMENTS DE CONSTATS
UNE MULTITUDES DE CONCEPTS PLUS OU MOINS DÉFINIS, PLUS
OU MOINS COMPRIS
UNE ÉCONOMIE…
- Économie territoriale durable
- Économie circulaire – économie de circuits
courts – économies de boucles - écoliaisons
- Économie de la fonctionnalité
- Économie sociale et solidaire
- Écologie industrielle
- Économie verte
- Économie positive
QUI S’INSCRIT DANS UNE…
- Transition écologique et sociale
- Transformation écologique et sociale
- Transition territoriale durable
- Transition énergétique
CHRISTOPHE GOUACHE – STRATEGIC DESIGN SCENARIOS
3. UN DÉVELOPPEMENT DURABLE QUI APPARAÎT SOUVENT BIEN
COMPLEXE ET QUE PERSONNE NE COMPREND…
UN VÉRITABLE ENJEU DE VULGARISATION POUR LE GRAND PUBLIC
Le développement durable apparaît de par ses multiples concepts et son caractère
systémique comme compliqué, flou, et encore un peu culpabilisant…
UN BESOIN DE FORMATION DES ÉLUS ET DES AGENTS
Le développement durable (dans son approche systémique/globale) n’est pas encore inscrit
dans la culture administrative et politique (et est encore souvent considéré sous son angle
environnemental ou énergie…)
Il porte pourtant :
- Une transformation de la culture interne par le travail en
transversalité/multidisciplinarité
- Une évolution dans les modes de faire les politiques publiques : invitant les parties
prenantes du territoire dans la co-élaboration des politiques publiques et des stratégies
de développement durable du territoire et la mise en œuvre des projets (co-
financement, portage partenarial public-privé-citoyen, etc.)
ÉLEMENTS DE CONSTATS
CHRISTOPHE GOUACHE – STRATEGIC DESIGN SCENARIOS
4. UN ALLER-RETOUR PERMANENT DU LOCAL AU GLOBAL, DU
COURT TERME AU LONG TERME, DU MICRO AU MACRO
DES ENJEUX (ÉCONOMIQUES, ENVIRONNEMENTAUX…) QUI DÉPASSENT LES LIMITES DES
TERRITOIRES
- On ne peut travailler au niveau local sans prendre en compte les échelles économiques
globales – nous sommes dans un contexte d’économie mondialisée (interconnectée, liée,
inter-dépendante)
- On ne peut travailler sur les questions environnementales locales sans prendre en compte
les enjeux environnementaux globaux (climat, air, ressource eau, etc.).
ÉLEMENTS DE CONSTATS
CHRISTOPHE GOUACHE – STRATEGIC DESIGN SCENARIOS
5. UN ALLER-RETOUR PERMANENT DU LOCAL AU GLOBAL, DU
COURT TERME AU LONG TERME, DU MICRO AU MACRO
ÉLEMENTS DE CONSTATS
DES TEMPORALITÉS QUI S’OPPOSENT
- Les collectivités et les projets portés par celles-ci sont étroitement liés au temps
politique (temps d’un mandat) > ont une visibilité à 5-6 ans alors que le développement
d’un territoire devrait s’inscrire dans une stratégie de long terme à 20, 30, 50, 100 ans,
inscrit dans une logique intergénérationnelle
- Les entreprises ont une visibilité à 6 mois, 1 ans, 3 ans (ou plus selon leur taille, activité,
etc.) et sont donc souvent dans une logique de profit à court terme en opposition avec
des logiques long-termistes de développement durable territorial.
CHRISTOPHE GOUACHE – STRATEGIC DESIGN SCENARIOS
6. DES ÉCHELLES IMBRIQUÉES, DES NIVEAUX ENCHEVÊTRÉS
DES NIVEAUX D’ORGANISATIONS
MULTIPLES ET DES ÉCHELLES VARIABLES
- Les niveaux d’organisations administratifs
: commune > département > région > état
- La notion de territoire est sans cesse re-
questionnée (notion de bassin de vie, de
territoire administratif, etc.) lorsqu’il s’agit
de mener des projets de transition
écologique et sociale (il n’y a pas, à priori,
d’échelle type qui conviendrait à toutes les
situations mais au contraire une multitude
de cas par cas) : territoire urbain, territoire
rural, inter-territorialités, etc.
ÉLEMENTS DE CONSTATS
CHRISTOPHE GOUACHE – STRATEGIC DESIGN SCENARIOS
7. DES DÉMARCHES DD/PROJETS QUI SONT MENÉS EN PARALLÈLE,
SANS SE CONNAÎTRE, SANS SE CROISER, SANS PARTAGER
Mais toutes ces démarches/ses projets/ses
actions, qui vont « globalement » dans la même
direction ne se croisent pas toujours, ne se
connectent pas toujours… alors que de
nombreuses synergies sont évidemment
possibles, et feraient éminemment sens.
ÉLEMENTS DE CONSTATS
LES ENGAGEMENTS ET LES PROJETS DE DÉVELOPPEMENT DURABLE À TRAVERS LES
TERRITOIRES SONT MULTIPLES ET VARIÉS :
- Les collectivités se sont emparées de différents outils du développement durable :
Agenda 21, SCOT, Plan Climat, etc.
- Alors que les entreprises se sont emparées de la RSE, des ISO 14001 et 26000…
- Et que les citoyens s’organisent/se mobilisent et innovent à travers les mouvements de
Villes en transition, de système local d’échange, de troc, de systèmes de partage
(d’économie collaborative)…
CHRISTOPHE GOUACHE – STRATEGIC DESIGN SCENARIOS
8. UNE « ÉCONOMIE TERRITORIALE DURABLE » SUPPOSE :
ÉLEMENTS DE CONSTATS
- de disposer d’un diagnostic territorial (état des lieux) en matière de ressources naturelles,
agricoles, forestières, renouvelables et non renouvelables, humaines et immatérielles,
- de préciser les flux sortants et entrants (traversants ?) du territoire (par filières, branches
d’activité...)
- viser la modification des modes de production et de consommation et lutter contre la
pauvreté (chapitre 3, 4 & 30 d’Actions 21)
- de renouveler les modes de gouvernance du monde économique (chapitre 29 d’Actions 21)
- d’analyser l’intérêt d’établir une monnaie complémentaire sur le territoire
Économie circulaire comme un modèle de prospérité intégrateur ? A quelle échelle ?
Toutes ? En synergie entre elles ?
CHRISTOPHE GOUACHE – STRATEGIC DESIGN SCENARIOS
9. PISTES D’INNOVATION – ÉCONOMIE
DES SOURCES DE FINANCEMENTS MULTI-PARTENARIALES
- Public
- Privé
- Citoyen/participatif (souvent oublié ou sous-estimé)
DES RESSOURCES RÉALLOUÉES
- Chaque économie réalisée (énergie, eau, gaz, etc.) est réinjecté dans le développement de
nouveaux projets durables
Cf. Plan DD de Montdidier
- Suppression des cotisations patronales pour toutes les entreprises et mise en place d’éco-
impôts (à destination des entreprises polluantes) – taxes sur les biens polluants > fonds
mondial de la durabilité
Cf. Travaux de Léo Dayan
CHRISTOPHE GOUACHE – STRATEGIC DESIGN SCENARIOS
ÉCONOMIES ALTERNATIVES/COMPLÉMENTAIRES :
- Émergence des monnaies locales comme moyen de dynamiser l’activité économique
locale
UNE ÉCONOMIE RE-TERRITORIALISÉE
10. QUESTIONS OUVERTES LORS DE L’ATELIER
QUESTIONS, CHANTIERS OUVERTS LORS DE L’ATELIER
- « Il y’a la nécessité d’inscrire une éthique de la durabilité au niveau national »
- Il faut discuter des outils nationaux et locaux de soutien au développement
durable (ex : fiscalité pour l’état, le foncier et les PLU pour les collectivités,
etc.). Quels moyens d’agir sont à disposition ? Il faut que les collectivités
elles-mêmes aient connaissances des possibilités, des bonnes pratiques, des
retours d’expérience, etc.
- Il faut pousser/aider les collectivités à réaliser dans leur Agenda 21 un
diagnostic local de leur économie (quels acteurs, quels enjeux, etc.).
- Comment assurer la cohérence des actions mener sur le territoire en terme
de DD ? Comment s’assurer que toutes ces évolutions/actions/projets fassent
systèmes sur le territoire ?
CHRISTOPHE GOUACHE – STRATEGIC DESIGN SCENARIOS
11. QUESTIONS OUVERTES LORS DE L’ATELIER
LIVRE BLANC SUR LE FINANCEMENT DE LA TRANSITION ECOLOGIQUE
- Motivations
- Concrétiser l’interdépendance de l’économie de moyen et long terme avec le
traitement des réalités physiques et biologiques
- Mobiliser le capital privé et l’intervention publique au bénéfice de cette
transition écologique et Énergétique
- Participer au débat sur le financement long de nos économies à l’échelle
européenne et internationale
CHRISTOPHE GOUACHE – STRATEGIC DESIGN SCENARIOS
12. QUESTIONS OUVERTES LORS DE L’ATELIER
4 PRINCIPES
1 - Améliorer les signaux fournis aux acteurs par le cadre réglementaire et les
outils économiques
2 - Compléter les outils existants par d’autres instruments ciblés pour mobiliser
les financements publics et privés vers la transition écologique
3 - Renforcer la prise en compte des enjeux extra-financiers de la transition
écologique (critères ESG) chez les financeurs, investisseurs et émetteurs, publics
et privés
4 - Renouveler le cadre des pratiques des acteurs autour des objectifs et du
financement de la transition écologique
CHRISTOPHE GOUACHE – STRATEGIC DESIGN SCENARIOS
13. ACTEURS À INVITER DANS LA RÉFLEXION
INVITER DES ACTEURS, SOUVENT « ABSENTS » DES PROJETS DE
TERRITOIRE TYPE AGENDA 21
- Le secteur privé (grandes entreprises, PME mais aussi TPE, etc.)
Des témoignages d’expériences :
- Des élus (différentes tailles de collectivités)
- Des agents de collectivités ayant mené des expériences d’économie territoriale
durable (en Agenda 21, etc.)
INVITER DES ACTEURS AU CŒUR DES PROJETS DE TERRITOIRE
CHRISTOPHE GOUACHE – STRATEGIC DESIGN SCENARIOS
14. PISTES POUR L’ANIMATION DU PROCHAIN ATELIER
PISTES DE MÉTHODES D’ANIMATION POUR LE GROUPE DE
TRAVAIL « ÉCONOMIE TERRITORIALE DURABLE »
- Faire faire à différentes personnes des micro-présentations de 5 ou 10
minutes : 2 ou 3 présentations en ouverture de chaque atelier de travail pour
nourrir les réflexions et partager les travaux des uns et des autres
- Enregistrer les synthèses de séances sous la forme de vidéos de 3-4 minutes
pour relancer chaque nouvel atelier (à la manière d’un résumé de l’atelier
précédent) – permet de rappeler la nature des échanges, montrer ce qui a
été fait aux membres absents…
- Réaliser une courte présentation PowerPoint (à la manière de celle-ci) en fin
de chaque atelier pour reprendre les grands points discutés et lancer chaque
nouvel atelier avec cette courte présentation (rafraichit la mémoire de tous
sur ce qui a été fait la dernière fois)
CHRISTOPHE GOUACHE – STRATEGIC DESIGN SCENARIOS