1. Languedoc-Roussillon L’information avant l’information 1
La lettre d'information de l'onisep
Languedoc-Roussillon
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Languedoc-Roussillon
09
29 octobre 2010
Sensibiliserlesjeunesaurisqueroutier:partenariat
La Sécurité routière et l’Association des parents d’élèves de l’enseignement libre (Apel) ont
signé fin septembre une convention de partenariat pour sensibiliser les jeunes au risque
routier.
Le partenariat entre l’Apel et la Sécurité routière se fixe pour principaux objectifs de :
- rendre les trajets scolaires plus sûrs et sécuriser les abords des établissements scolaires,
- favoriser la prise de conscience des jeunes au risque routier au cours de journées d’infor-
mation,
- susciter et accompagner des projets Label Vie ou des actions dans le cadre des Plans
départementaux d’actions de Sécurité routière (PDASR) qui dépendent des préfectures
(http://actionlocale.application.equipement.gouv.fr/lbvAccueilPublic.do),
- instituer une clause d’information et de formation à la sécurité routière pour toutes
sorties et déplacements d’élèves,
- créer des liens Internet entre les sites respectifs de la Sécurité routière et de l’Apel pour
diffuser des messages de sécurité routière principalement en ce qui concerne les dangers
encourus par les jeunes et leurs familles.
La Sécurité routière est l’affaire de tous, à tout âge.
D’où la nécessité d’un continuum éducatif pour enseigner aux jeunes les clés pour com-
prendre, s’imprégner, retenir et surtout faire siennes les règles essentielles de sécurité
routière qui régissent la circulation et les déplacements de chacun sur l’espace public.
http://www.securite-routiere.gouv.fr
Source : site AN09/SJS/Onisep Languedoc-Roussillon/29oct10
Accès progressif à la connaissance des règles de
sécurité routière :
De la
maternelle
à l’école
primaire
Classe
de 5e
ou
classe
équiva-
lente
Classe
de 3e
ou
classe
équiva-
lente
Dès le
lycée
(général et
profes-
sionnel)
Dès 14 ans Dès 16 ans Dès 18 ans Tout au
long de
la vie du
conduc-
teur
Attesta-
tion de
première
éducation
à la route
(APER)
Attes-
tation
scolaire de
sécurité
routière
de premier
niveau
(ASSR 1)
Attes-
tation
scolaire de
sécurité
routière
de second
niveau
(ASSR 2)
Actions de
sensibi-
lisation
pour une
meilleure
prise de
conscien-
ce des
risques
routiers
(CISR du
18 février
2010 -
mesure
n°13)*
Accès à la
motorisa-
tion et la
conduite
d’un cy-
clomoteur
(≤45km/h)
par le BSR
(ASSR1 ou
2 + forma-
tion de 5
heures)*
Apprentis-
sage anti-
cipé de la
conduite
Permis de
conduire -
Conduite
supervisée
Stage de
sensibili-
sation à la
sécurité
routière-
Stage post
permis
Table des matières
page 2
« Jeunesse, Route, Danger ! »•
conférence
page 3
Candidature spontanée : la•
préférée des recruteurs
Changer de métier : rêve ou•
réalité ?
Les associations de services•
aux personnes peuvent recru-
ter des AVS
page 4
Devenir directeur de la protec-•
tion judiciaire de la jeunesse
La famille des diplômes des•
activités aquatiques s’agrandit
Diabétique, quels sont les•
métiers à éviter ?
Les accidents de la route constituent
la première cause de mortalité des jeu-
nes de 0 à 24 ans. Ils représentent 28%
(France métropolitaine) des personnes
tuées en 2009 dont 122 enfants âgés
de 0 à 14 ans.
Un tiers de ces décès résulte d’acci-
dents de deux-roues motorisés. Les
jeunes de cette catégorie d’âge a
donc deux fois plus de risques d’être
tués sur la route que l’ensemble de la
population.
* ou Attestation de sécurité routière (ASR) pour ceux qui n’ont pu passer les ASSR dans le cadre
scolaire (jeunes qui ne sont plus scolarisés, étrangers, etc.)
2. Languedoc-Roussillon L’information avant l’information 2
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09
« Jeunesse, Route, Danger ! »
Les comportements routiers à risques des jeunes
Compte-rendu de la conférence de Mr Assailly, Maison de la sécurité routière, septembre 10.
Une bonne centaine de personnes très concernées, d’âge et de milieux professionnels diffé-
rents, pour une quinzaine venant de départements limitrophes, ont répondu présents aux
idées fortes développées par Jean-Pascal Assailly docteur en psychologie à l’INRETS.
L’impuissance que nous avons tous face à la surmortalité des jeunes sur la route avait conduit
la Ligue contre la violence routière de l’Hérault vers ce chercheur passionnant qui a développé
très scientifiquement ce sujet : « le comportement routier à risques des jeunes. »
Après avoir posé le constat désolant d’une mortalité aggravée des jeunes de 15-25 ans avec un
pourcentage stagnant de 26 % sur la population française, le conférencier en a rappelé les
six facteurs aggravants que sont l’alcool, la vitesse, les stupéfiants et aussi la fatigue, les voitu-
res surchargées et peu sûres qui font ainsi beaucoup de victimes « passives ».
Mais qui sont ces jeunes ? Essentiellement des garçons (75 % sont impliqués dans les acci-
dents mortels contre 25% chez les filles), qui du fait d’une poussée hormonale de plus en plus
précoce, d’une éducation face aux risques bien différente de celle des filles, et par mimétisme
d’une famille parfois peu respectueuse du Code de la route, ont un comportement bien plus
risqué sur la route.
Cette grande différence entre garçon et fille n’est malheureusement pas prise en considération
dans les formations à la conduite alors même qu’elle est flagrante ; de même, le continuum
éducatif sur l’apprentissage des règles de la route se rompt brutalement à l’arrivée au lycée
alors même que la période des 16, 17 ans est la plus propice aux premières prises de risque
notamment en deux-roues, puis plus tard avec les tout jeunes conducteurs.
Les études démontrent que la perspective de la mort n’ébranle pas les jeunes hommes de
15 à 25 ans : ils se sentent invincibles. Par contre s’ils réalisent qu’ils peuvent mettre en danger
la vie de leurs amis ou les rendre handicapés, alors une prise de conscience naît et améliore leur
comportement. Cela se confirme d’ailleurs après 26 ans lorsqu’ils sont en charge de famille.
L’auteur a encore rappelé l’importance de l’éducation des parents à leur enfant, mais qui se
révèlerait inefficace dans ces âges là si elle était trop autoritaire ou au contraire si elle est trop
laxiste : il faut instaurer une autorité négociée qui devrait prévaloir, et ce, jusqu’à 25 ans :
« avec qui sors-tu, où vas-tu et surtout comment rentres-tu ? »sont des questions qu’il faut au
minimum poser au jeune.
Jean-Pascal Assailly, à partir de ces constats scientifiques, suggère des pistes de réflexion ou d’ac-
tion, permettant de bien mieux adapter ses paroles et actions en direction des jeunes ; il contribue
ainsi à rassurer et motiver encore davantage pour sauvegarder la vie si précieuse des enfants.
Scénario d’accident mortel de jeunes :
- la nuit du samedi au dimanche
- mobilité de retour de loisirs de fin de semaine (discothèques, pubs, concerts, bals, etc.)
- réseau secondaire, hors agglomération
- un seul véhicule impliqué
- perte de contrôle en courbe, collision avec obstacle fixe.
4 facteurs de risque spécifiques :
- l’alcool (présent dans 30% des accidents mortels, comme pour les adultes)
- les drogues illicites, essentiellement le cannabis (présent entre 10 et 20%)
- la fatigue
- la sur-occupation des véhicules, sur-risque quantitatif et qualitatif (distraction du conduc-
teur, désinhibition de la prise de risque).
Sources : communiqué LCVR, diaporama JP Assailly AN09/SJS/Onisep Languedoc-Roussillon/29oct10
Conférence à la LCVR 34
vendredi 24 septembre
Maison de la Sécurité Routière de
l’Hérault,
quartier du Millénaire
Montpellier
lcvr34accueil@orange.fr
www.violenceroutiere.org
INRETS :
Institut national de recherche sur les
transports et leur sécurité
http://www.inrets.fr/
Jean-Pascal ASSAILLY, bibliographie
sur le thème :
Jeunes en Danger, IMAGO, 2007
La psychologie du risque, Lavoisier, collec-
tion SRD (sciences du risque et du danger),
2010.
Destiné aux psychologues, aux chercheurs
et aux professionnels, cet ouvrage pro-
pose une analyse synthétique complète
des connaissances sur le risque, à travers
trois axes : psychologique, biologique et
contextuel. La première partie explique les
comportements face au risque à travers
les théories de psychologie générale et
différentielle. La deuxième étudie l’in-
fluence des mécanismes neurocognitifs et
neuroaffectifs sur les prises de risque. La
dernière s’intéresse à l’impact de l’environ-
nement socioculturel (la famille, les amis,
les médias) sur ces attitudes. Enfin, cette
étude, réalisée dans un contexte occi-
dental, est replacée dans une perspective
anthropologique.
Retrouvez la conférence en vidéo ici :
http://www.kewego.fr/video/iLyROoaf8LUQ.html.
3. Languedoc-Roussillon L’information avant l’information 3
Candidature spontanée : la préférée des recruteurs
Les candidatures spontanées arrivent en tête des outils préférés des managers français
cherchant à recruter (57 %), selon une enquête du cabinet Robert Half. Elles se placent
devant la promotion interne (53 %), les offres d’emploi en ligne sur des sites spécialisés
(52 %), les offres d’emploi sur le site Internet de leurs entreprises et les recommandations
de leur entourage professionnel (42 %) et les cabinets de recrutement (36 %).
Source : rebondir.fr AN09/SJS/Onisep Languedoc-Roussillon/29oct10
Changer de métier : rêve ou réalité ?
Pour diverses raisons, on a parfois envie de tout envoyer valser et de prendre une nou-
velle direction dans sa carrière professionnelle. Changer de métier, c’est possible, à condi-
tion de respecter certaines étapes. Voici 4 conseils pour se donner toutes les chances de
transformer son rêve en réalité...
Ne pas se décider sur un coup de tête
Changer de métier ne doit pas être une décision prise à la légère, à la suite d’une décep-
tion professionnelle ou d’une prise de bec avec votre supérieur. Il est important de pren-
dre le temps de déterminer avec précision les raisons qui vous poussent à vouloir faire ce
choix, afin de bien analyser vos attentes.
Calculez les risques
Lorsque l’on quitte son emploi, on implique toute sa famille. Il faut donc être sûr de
pouvoir assurer financièrement dans l’attente d’un nouveau travail, et également que
celui-ci vous permettra de continuer à faire vivre correctement votre foyer. N’hésitez-pas à
parler de vos envies de changement à vos proches, car il est primordial d’être soutenu au
moment où vous ferez votre choix.
Faire son bilan de compétences
Il est essentiel de bien s’orienter pour la recherche d’un nouveau travail, surtout si vous
êtes dans le flou par rapport à vos envies. Un bilan de compétences vous permettra de
déterminer dans quels secteurs vous pouvez vous diriger, et vers quels types d’emploi.
Avoir conscience de vos compétences sera également un plus au moment de vous vendre
à un employeur potentiel.
Bien se renseigner sur les formations existantes
Une fois que vous savez quel métier vous souhaitez désormais exercer, penchez-vous
sur les formations existantes. Si vous avez le choix entre plusieurs, étudiez les différents
critères de chacune, comme la durée, la renommée et le coût de la formation, afin de faire
le choix qui correspond le mieux à vos attentes et possibilités.
Source : talents.fr AN09/SJS/Onisep Languedoc-Roussillon/29oct10
Les associations de services aux personnes peu-
vent recruter des AVS
Les associations gérant des services d’aide à domicile peuvent recruter des auxiliaires de
vie scolaires (AVS) pour accompagner les enfants handicapés en milieu scolaire.
Cette possibilité, réservée initialement aux seules associations des secteurs de l’enseigne-
ment et du handicap, est ouverte aux services d’aide à domicile associatifs intervenant
auprès des familles, des personnes âgées et des personnes handicapées (services autori-
sés ou services agréés).
Des conventions cadres ont été signées entre le Ministère de l’éducation nationale et les
différentes fédérations concernées.
Source : pes34.com AN09/SJS/Onisep Languedoc-Roussillon/29oct10
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Deux textes sont parus au cours
de l’été 2010 pour préciser :
- Le calcul des subventions versées
aux associations pour la reprise
des salariés en fin de contrat
éducation nationale : Décret n°
2010-937 du 24 août 2010
- La mise en œuvre du dispositif
et son financement : Circulaire
DGESCO n° 2010-0161 du 31 août
(à paraître au bulletin officiel de
l’éducation nationale).
Un bilan de compétences...
Le bilan de compétences permet à un
salarié de faire le point sur ses compé-
tences, aptitudes et motivations et de
définir un projet professionnel ou de
formation. Réalisé par un prestataire ex-
térieur à l’entreprise, selon des étapes
bien précises, le bilan de compétences
peut être décidé par l’employeur ou mis
en œuvre à l’initiative du salarié, dans le
cadre d’un congé spécifique.
A qui s’adresser ?
À un organisme inscrit sur une liste
établie par un organisme collecteur
(FONGECIF et OPCA agréés au titre
du congé individuel de formation).
Il peut s’agir d’organismes privés, de
centres inter-institutionnels de bilans
de compétences (CIBC : http://cibclr.fr)
ou d’un centre de bilan de l’éducation
nationale :
www.gretalr.com/CBEN/cben_adresses.htm.
4. onisep.fr/montpellierOnisep Languedoc-Roussillon : 31 rue de l’Université - CS 39004 - 34064 Montpellier cedex 2
Directeur de la publication : Pascal Charvet et par délégation Olivier Brunel - Responsable de la publication : Jean-Marie Quiesse
Rédactrice : Sophie Salvadori - ssalvadori@onisep.fr - 04 99 63 67 78 - Relecture : Chantal Scibbarrasi
Maquette : Emilie Rousseau - Date du Dépôt légal : en cours - Numéro de la commission paritaire - N° 1 253 AD - N° ISSN : 1148-0432
Devenir directeur de la protection judiciaire de la
jeunesse
Au cœur des politiques publiques
Dans le cadre de la politique définie par le garde des Sceaux, les directeurs des services de
la PJJ assurent :
* la mise en oeuvre des décisions des juridictions pour mineurs ;
* la conduite d’actions de prévention et d’insertion auprès des jeunes ;
* la coordination et le développement des partenariats.
Ils sont principalement chargés de la direction pédagogique et administrative des établis-
sements et services. Les DSPJJ encadrent des équipes pluridisciplinaires et sont garants
de la bonne exécution des décisions des magistrats de la jeunesse. Dans leurs fonctions
de direction régionale ou départementale, ils représentent le ministère de la justice dans
différentes instances décisionnelles ; sont responsables des ressources humaines et des
budgets opérationnels ; évaluent les politiques publiques engagées.
Dans le cadre de la formation, ils peuvent assurer des fonctions de direction, d’enseigne-
ment ou de conseil pédagogique.
Conditions d’accès et formation
Les DSPJJ constituent un corps classé dans la catégorie A de la fonction publique d’État.
Ils sont recrutés par la voie de trois concours :
- Le concours externe est ouvert sans limite d’âge aux candidats titulaires d’une licence ou
d’un titre ou diplôme classé au niveau II (bac+3), ou d’une autre qualification.
- Le concours interne est ouvert aux candidats justifiant de 4 années de service effectif
comme fonctionnaire ou agent public de l’État, des collectivités territoriales ou de la
fonction publique hospitalière.
- Le concours dit « 3e
voie » est ouvert aux candidats justifiant, pendant au moins 5 ans au
cours des 10 années précédant la date de clôture des inscriptions au concours, d’activités
professionnelles d’encadrement ou de responsabilité dans le domaine de l’action éduca-
tive, sociale ou médico-sociale. Les contrats doivent être uniquement de droit privé.
http://www.metiers.justice.gouv.fr
Source : site AN09/SJS/Onisep Languedoc-Roussillon/29oct10
La famille des diplômes des activités aquatiques
s’agrandit
Depuis le printemps dernier, la filière aquatique s’est enrichie de nombreux diplômes
niveau III et II ainsi que de certificats de spécialisation permettant de compléter d’autres
diplômes spécifiques.
- le certificat de spécialisation «sauvetage et sécurité en milieu aquatique»
- le certificat de spécialisation «natation en eau libre»
- DEJEPS perfectionnement sportif mention «Canyonisme»
- DEJEPS perfectionnement sportif mention «Glisses aéréotractées nautiques».
in Le journal de l’animation N°112 (octobre 2010). - pp. 76-78.
Source : revue de presse onisep AN09/SJS/Onisep Languedoc-Roussillon/29oct10
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Calendrier prévisionnel des concours de la DPJJ
2010/2011 :
http://www.metiers.justice.gouv.fr/index.php?rubr
ique=10245&ssrubrique=10253
Pour les directeurs de la PJJ, la date de
retrait des dossiers inscription est le 29
novembre 2010 ; la date limite de dépôt des
dossiers : 07 décembre ; épreuves d’admissi-
bilité le 10 février 2011.
Diabétique, quels sont les métiers à
éviter ?
Alex, élève de 3e
, Dijon : «Bonjour, je suis dia-
bétique insulino-dépendant. Pourriez-vous
me dire quels métiers éviter pour que je les
exclue de mon orientation professionnelle ?»
Les conseillers de monorientationenligne
vous répondent :
Les principales contraintes liées au diabète
tiennent à la nécessité de prévenir les malaises
hypoglycémiques, de s’en tenir à un rythme
de vie régulier qui permettent les injections et
les repas à heure fixe, d’envisager la possibilité
de séquelles oculaires à long terme.
Évitez donc principalement les profes-
sions : du domaine de la sécurité, celles qui
nécessitent de conduire ou d’avoir une très
bonne acuité visuelle, de fournir des efforts
intenses, de travailler en hauteur ou d’utiliser
des machines dangereuses, celles qui entraî-
nent des horaires décalés.
L’avis du médecin de l’éducation nationale
sera important pour déterminer les forma-
tions et métiers compatibles avec votre état
de santé. Prenez rendez-vous avec lui dès
que possible. Le diabétologue traitant pourra
aussi vous donner son avis.
Les associations peuvent également être
de bon conseil :
- Association française des diabétiques
www.afd.asso.fr
- Aide aux jeunes diabétiques
www.ajd-educ.org.