Los estudiantes elaboraron normas para el patio recreo y pintaron una bandera de España para celebrar la Semana de la Constitución. Decoraron un bizcocho con motivo del cumpleaños de la Constitución y lo degustaron después de cantar el cumpleaños feliz. Escucharon el himno nacional mientras izan la bandera que habían pintado.
Los estudiantes elaboraron normas para el patio recreo y pintaron una bandera de España para celebrar la Semana de la Constitución. Decoraron un bizcocho con motivo del cumpleaños de la Constitución y lo degustaron después de cantar el cumpleaños feliz. Escucharon el himno nacional mientras izan la bandera que habían pintado.
El documento discute el volcado de contenidos periodísticos en sitios web de noticias en Argentina, señalando que tanto medios impresos como exclusivamente digitales publican cables de noticias las 24 horas. También explica que la naturaleza multimedial de las plataformas digitales, que permiten combinar texto, imágenes y sonido, representa un desafío interesante para los periodistas.
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Article pour Metro France - festival de Gérardmer (2010)
1. www.metrofrance.com
LUndi 31 jAnvier 2011 culture
A Gérardmer, du
sang dans la neige
Le 18e festival du 6lm fantastique
se tenait ce week-end dans les Vosges
PhOTOS : NOéMIE dEBOT-dUClOyER
Atelier maquillage dans les salons du festival.
Le palmarès
Le Grand Prix du jury Il a
été attribué à Bedevilled,
du Coréen Cheol So Jang.
Le prix du jury ex-aequo Il
a été remis à Ne nous jugez
pas, de Jorge Michel Grau
et The Loved Ones, de Sean
Byrne.
Le prix du public Il a
récompensé J’ai rencontré
le diable, de Kim Jee-Woon,
qui a également reçu le
prix de la critique.
Guillaume Grand sans crier gare
Tout vient à point à qui sait
attendre. Telle pourrait être
la devise de Guillaume
Grand, dont le premier al-bum,
L’Amour est laid, vient
seulement d’être certifié
disque d’or, quatre mois
après sa sortie. Un succès au
long cours qu’il doit surtout
à la popularité croissante
du single “Toi et moi”, qui
n’a jamais quitté les meil-leures
ventes depuis qu’il
passe en boucle à la radio.
“Je pense qu’avec du travail
et de la chance, on peut
réussir à percer, lâche le
chanteur originaire de Cap-breton.
Si j’avais pensé une
seconde à faire un autre mé-tier,
j’aurais perdu la rage
de réussir et la motivation.”
Pour autant, le jeune
homme confesse “avoir tou-jours
aussi peur”. “Ça me
rend malade de faire un
concert. Je me demande
toujours ce qui va gâcher
mon moment de bonheur.
Mais bon, je veux bien avoir
peur trois jours pour obte-nir
dix minutes de sensa-tions
fortes !” De même, le
chanteur ne vit pas toujours
bien cette soudaine recon-naissance.
“Ça me met mal
à l’aise de me confronter à
mon image. Je n’aime pas
passer à la télé, faire des
photos, parfois je préfére-rais
rester seul dans mon
coin. Le plus important, ça
reste vraiment ma musique
et ce que je raconte.” Guil-laume
Grand se contente
donc de ce qu’il sait faire de
mieux. Il jouera à guichets
fermés demain à Paris,
avant de se lancer dans une
grande tournée à travers le
pays. “J’ai déjà repris le pro-cessus
d’écriture pour mon
deuxième album. Plus le
temps passe, plus je me dis
que c’est chouette de faire
ce métier.” On veut bien le
croire. boris tampigNy
Du sang qui gicle, des cou-teaux
tranchants et des
spectateurs qui hurlent…
Pas moins de 30 000 fanas
de fantastique sont venus
de toute la France prendre
leur dose de frissons au
cours de la 18e édition du
Festival de Gérardmer, qui
s’est achevée hier. “On at-tend
que ça, le sang dans les
films. Mais on n’est pas des
psychopathes, hein ?” com-mente
Auriane, festivalière
depuis cinq ans. Pour Gio-vanni,
adepte du festival de-puis
trize ans, “c’est
l’occasion de paniquer de-vant
un grand écran”. Et
pour cause, le fantastique
est peu distribué en salles.
“La plupart des films pré-sentés
sortiront en vidéo
car les cinémas ne prennent
pas souvent le risque
d’avoir un film interdit au
moins de 16 ans”, confirme
Benjamin Gaessler, des pro-ductions
Wild Side. A Gé-rardmer,
le spectacle n’est
pas que sur les écrans
puisque de nombreuses ren-contres
et expos étaient or-ganisées.
Sans parler de la
“zombie walk”, qui a ras-semblé
plus de 150 per-sonnes
dans les rues de la
petite cité vosgienne ! Pour
départager les neuf films en
compétition, le jury, présidé
par le maître de l’horreur
Dario Argento, ne s’est pas
entretué. Mais sa décision a
dû être difficile vu le nom-bre
de bonnes productions.
Cette année, pas moins de
cinq jeunes réalisateurs ont
présenté leur premier film,
avec une prime à la produc-tion
asiatique, aussi abon-dante
que de qualité. Le
bémol, c’est l’absence de
films français dans la com-pétition.
Pour Rurik Salle,
journaliste à Mad Movies, le
problème vient de la frilo-sité
de nos producteurs :
“On sait faire du fantastique
en littérature, mais on ne
prend pas de risque avec le
cinéma. Pourtant, il y a un
vrai public pour le genre.”
La preuve à Gérardmer !
“Parfois, j’écris des
chansons qui me
font mal au coeur
parce que j’aborde
des sujets auxquels
je n’ai pas du tout
envie de penser !”
guillaume graNd
Guillaume Grand.
EMI
Henry Cavill.
ZAK BRIAN/SIPA
Le nouveau
Superman,
c’est lui !
Il a 27 ans et vous avez
peut-être déjà vu sa gueule
d’ange dans la série télé Les
Tudors, où il interprétait
Charles Brandon. L’acteur
anglais Henry Cavill vient
de décrocher le rôle très
convoité de Superman
dans le film que prépare le
réalisateur Zack Snyder
(Watchmen). Les noms de
Jon Hamm (Mad Men), Pa-trick
Wilson (Little Children)
ou encore Ben Affleck
avaient tour à tour été évo-qués.
Sortie prévue en dé-cembre
2012.
Polanski
retrouve les
plateaux
Le cinéaste franco-polonais
entame aujourd’hui en ré-gion
parisienne le tournage
de l’adaptation d’une pièce
de Yasmina Reza, Le Dieu
du carnage. Pour Polanski,
77 ans, il s’agit du premier
tournage depuis qu’il a re-trouvé
la liberté après le re-fus
de la Suisse, mi-juillet,
de l’extrader vers les Etats-
Unis pour une affaire de
moeurs remontant à 1977.
007 obéira
encore à
Judi Dench
Judi Dench incarnera pour
la septième fois M, diri-geante
des services de ren-seignements
extérieurs
du Royaume-Uni, dans
le 23e épisode de la saga
James Bond. Elle retrouvera
Daniel Craig, qui prêtera
encore ses traits à l’agent
007. Sam Mendes dirigera
le long métrage pour une
sortie le 9 novembre 2012.
Encore sans titre, le film
sera une suite directe
de Casino Royale (2006) et
Quantum of Solace (2008).
Un participant de la marche des zombies. On a retrouvé Predator !
N. debot-ducloyer
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venDreDi 28 jAnvier 2011 culture
ChiARA sANTARElli/sipA L’horreur n’a pas
de secret pour lui
Dario Argento, 70 ans, a réalisé plus de vingt films.
Bio express
1940 : naissance à Rome.
1957 : devient critique de
cinéma.
1969 : coscénariste avec
Bernardo Bertolucci de
Il était une fois dans
l’Ouest.
1972 : naissance de sa
fille, l’actrice Asia Argento.
1977 : réalise Suspiria,
considéré comme un chef
d’oeuvre du film d’horreur
baroque.
1996 : Le Syndrome de
Stendhal, film dans lequel
il dirige sa fille, Asia.
1998 : il réalise l’adaptation
du Fantôme de l’opéra.
2008 : Il tourne Giallo avec
Adrien Brody et Emma-nuelle
Seigner. La sortie en
DVD a été interdite à la
suite d’un procès avec
Adrien Brody.
Le festival du =lm fantastique de Gérardmer s’o>re
un président de choix : Dario Argento Rencontre
Assis dans un restaurant
face à une piste de ski, Da-rio
Argento se repose entre
deux projections. Difficile
d’imaginer, derrière ce
corps frêle, un maître du
film d’horreur. Dans ses
productions, les maniaques
aux gants de cuir tranchent
des gorges et ouvrent des
poitrails. Un genre, le
“giallo”, que l’Italien cultive
depuis les années 70 : “C’est
comme une fête sanglante
toujours parcourue par une
énigme. Dans mes films,
j’aime la violence et je m’at-tache
beaucoup à la
beauté”, commente-t-il avec
son délicieux accent italien.
Argento est un vrai perfec-tionniste,
et ce, depuis ses
débuts. Critique de cinéma
dans les années 60, il a été
repéré par Sergio Leone qui
lui a demandé de coécrire le
scénario de Il était une fois
dans l’Ouest. Après cette
riche expérience, il passe
derrière la caméra en 1970
et réalise L’Oiseau au plumage
de cristal. Le “giallo” est né.
Mais où cet homme si
calme trouve-t-il autant de
violence ? “Je m’immerge
dans le scénario pendant
quelques mois. Aucun fait
divers n’influence mon tra-vail.
Mes films sont toujours
le fruit d’une introspection,
et plus spécialement de mes
rêves.” Son goût de l’esthé-tisme
si présent dans ses
films, il le tient de sa mère,
photographe de mode. Chez
les Argento, le cinéma est
une histoire de famille. Da-rio
a fait jouer sa fille, Asia,
dans ses films. Depuis, elle
est devenue une réalisatrice
admirée de son père. Mal-heureusement
pour Ar-gento,
le “giallo” ne fait
plus recette et les critiques
ne sont pas tendres. “Je ne
les lis pas”, argumente-t-il. Il
préfère réfléchir à son pro-chain
film. Une adaptation
de bande dessinée. Il n’en
dira pas plus. “C’est quand
j’écris que je me fais le plus
peur. Mais, attention, le
rêve et la réalité, ça n’a rien
à voir. Vous comprenez ?”
Pas de problème maestro
Argento.
n.deBot-ducloYeR
www.METROFRANCE.COM
En bref
Baru
à l’honneur
BD. Le
président
du
Festival
d’Angou-lême
2011, qui a commencé
hier, est à l’honneur
dans deux expositions
à la Cité de la BD :
“DLDDLT”, sur les
racines ouvrières qui
nourrissent son oeuvre,
et “Rock’n’Roll antédi-luvien”,
sur sa passion
pour le bon vieux rock
oublié.
son portrait sur
metrofrance.com/baru
Fogiel sur
le départ
Marc-Olivier Fogiel au-rait
annoncé hier en
interne sa décision de
quitter Europe 1. Après
avoir averti Denis Oli-vennes,
le PDG de la
station, il aurait fait
part de l’information
au reste de la rédac-tion.
Le journaliste res-terait
au plus tard
jusqu’à la fin mars.
La chronique
Amis du rail et de la route,
en ce vendredi matin,
nous nous rapprochons
d’un week-end bien mé-rité
qui nous permet de
nous rapprocher de l’oisi-veté
d’un fonctionnaire.
Etant moi-même fonction-naire,
je ne vous cache pas
mon exaltation du mo-ment
lorsque, comme tout
Français qui se respecte, je
zappe et je mate les rebel-lions
et discordes des au-tres
pays. Les Gaulois
n’ont pas changé. Leurs
chefs détestent obéir, mais
ils adorent discuter,
comme disait le général de
Gaulle. Les circonstances
diplomatiques du moment
ne peuvent prétendre le
contraire de la citation du
Général. Faire ce qu’on
dit, pas ce qu’on est. Com-prenez
amis ivoiriens, tu-nisiens,
egyptiens et
autres belges, que nous
avons un avis sur vous...
mais pas sur nous ! On ne
peut pas se poser la ques-tion
de savoir pourquoi le
chômage monte chez
nous. Par contre, nous,
cherchons à comprendre,
nous Français, pourquoi
un pays comme la Bel-gique,
qui n’a pas de gou-vernement
depuis sept
mois, est moins évoqué
qu’un pays comme la Côte
d’Ivoire qui a trop de gou-vernants
? Nous avons
cette exception culturelle
et morale qui nous rend
uniques. Quand quelqu’un
nous est utile à récolter
des titres, on le revendi-quera
nôtre. S’il perd, il
sera vôtre ou on le rendra
vôtre. Quand un pays nous
donne de l’argent, on le
dit en développement.
Quand il nous en donne
moins, on le trouve dicta-torial.
Nous pourrions être
un sujet d’étude au bac
philo, et dans ce cas per-sonne
n’aurait la
moyenne. Arrêtez de rire,
vous allez rater votre cor-respondance.
Faites
ce que
je dis...
Yassine
BelattaR
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du lundi au vendredi sur
l’antenne du Mouv’,
de 7 heures à 10 heures.