Note de synthese - Impact de la crise du Covid19 sur l'économie tunisienneMourad Mnif, CFA
Le club Think Finance de l’ATUGE(Association des TUnisiens des Grandes Ecoles) a organisé le mercredi 6 mai 2020 un webinar sur l’impact de la crise du Covid-19 sur l’économie tunisienne. Cet événement avait comme objectifs de :
- Faire un état des lieux des mesures prises par le gouvernement tunisien et par la Banque Centrale de Tunisie,
- Etablir un diagnostic des principaux traits de l’économie tunisienne impactée par la crise,
- Recueillir et discuter des recommandations de sortie de crise à court, moyen et long terme.
Nous avons adressé ces problématiques au travers d’un débat avec un panel d’experts composé d’anciens ministres, d’économistes et de hauts fonctionnaires. En dehors des regards critiques et complémentaires sur la situation économique, nos intervenants nous ont fait part de leurs lectures de la situation et de leurs préconisations. Nous tenons à remercier vivement nos intervenants d’avoir participé à ce webinar.
A travers cette publication, le club Think Finance présente une note de synthèse qui restitue les propos de nos invités recueillis pendant le webinar. Le travail d’introduction et de mise en contexte a été réalisé par les membres du club.
Lien de l'enregistrement : https://youtu.be/L7z6Rcd_3yk
Politique du logement : faire sauter les verrous - RapportHortense Billot
Avec 41 Mds€ d’aides de l’État– soit près de 2% du PIB de la France – et une ponction fiscale de 63 Mds€ en 2013 , le secteur du logement est au croisement des enjeux de croissance, d’emploi et de pouvoir d’achat et au cœur de l’agenda politique des gouvernements successifs. Même s’ils ne sont pas inexistants, les résultats n’apparaissent pas à la mesure des moyens mis en œuvre. État des lieux d’une politique publique qu’il est urgent de réformer.
Avis présenté par M. Alain Delmas au nom de la section des affaires européennes et internationales.
Le CESE entend souligner l’importance de ce projet pour l’UE plus que jamais nécessaire à l’heure où le scepticisme des citoyens grandit sur les finalités de la construction européenne.
MEREF organized a round table on the opportunities of the Senegalese market from Lebanon
Within the framework of promoting Lebanese investments in #Senegal, the MEREF (Movement of French Enterprises and Economic Representations in Lebanon), in cooperation with Front Page Communication, organized a round table on Friday, March 16, at ESA Business School on the theme "The opportunities of the Senegalese market from Lebanon ". The session opened with a statement by H.E. Mr. Abdou Lahad Mbacke, Ambassador of Senegal to Lebanon, in which he conveyed the greetings of H.E. Mr. Macky Sall, President of Senegal, to the speakers and his wishes to see further strengthening of relations between #Beirut and #Dakar.
#business
Présentation de l'intervention de Philippe Crevel prononcée le 13 octobre 2016 au Domaine de Murtoli
Thèmes : les atouts de la Corse et ses moyens d'être maître de son destin économique
Propositions de politiques pour le rélévement et la relance de l'économie cen...Gildas Nzingoula
Après plus d'une décennie d'instabilité, la Centrafrique peine à relancer son économie. Conscient des potentialités et des atouts dont regorge la Centratrique, les autorité de ce pays veulent mettre en place des politiques économiques pour répondre aux attentes de ses concitoyens et relancer ainsi l'économie Centrafricaine. La présente présentation répond aux préoccupations de la centrafrique et d'autres pays "post-conflit". Elle vise à fournir les éléments de réponses, nécessaires et susceptibles de faire face aux défis de relance de la croissance écononomique et le développement de la Centrafrique.
Note de synthese - Impact de la crise du Covid19 sur l'économie tunisienneMourad Mnif, CFA
Le club Think Finance de l’ATUGE(Association des TUnisiens des Grandes Ecoles) a organisé le mercredi 6 mai 2020 un webinar sur l’impact de la crise du Covid-19 sur l’économie tunisienne. Cet événement avait comme objectifs de :
- Faire un état des lieux des mesures prises par le gouvernement tunisien et par la Banque Centrale de Tunisie,
- Etablir un diagnostic des principaux traits de l’économie tunisienne impactée par la crise,
- Recueillir et discuter des recommandations de sortie de crise à court, moyen et long terme.
Nous avons adressé ces problématiques au travers d’un débat avec un panel d’experts composé d’anciens ministres, d’économistes et de hauts fonctionnaires. En dehors des regards critiques et complémentaires sur la situation économique, nos intervenants nous ont fait part de leurs lectures de la situation et de leurs préconisations. Nous tenons à remercier vivement nos intervenants d’avoir participé à ce webinar.
A travers cette publication, le club Think Finance présente une note de synthèse qui restitue les propos de nos invités recueillis pendant le webinar. Le travail d’introduction et de mise en contexte a été réalisé par les membres du club.
Lien de l'enregistrement : https://youtu.be/L7z6Rcd_3yk
Politique du logement : faire sauter les verrous - RapportHortense Billot
Avec 41 Mds€ d’aides de l’État– soit près de 2% du PIB de la France – et une ponction fiscale de 63 Mds€ en 2013 , le secteur du logement est au croisement des enjeux de croissance, d’emploi et de pouvoir d’achat et au cœur de l’agenda politique des gouvernements successifs. Même s’ils ne sont pas inexistants, les résultats n’apparaissent pas à la mesure des moyens mis en œuvre. État des lieux d’une politique publique qu’il est urgent de réformer.
Avis présenté par M. Alain Delmas au nom de la section des affaires européennes et internationales.
Le CESE entend souligner l’importance de ce projet pour l’UE plus que jamais nécessaire à l’heure où le scepticisme des citoyens grandit sur les finalités de la construction européenne.
MEREF organized a round table on the opportunities of the Senegalese market from Lebanon
Within the framework of promoting Lebanese investments in #Senegal, the MEREF (Movement of French Enterprises and Economic Representations in Lebanon), in cooperation with Front Page Communication, organized a round table on Friday, March 16, at ESA Business School on the theme "The opportunities of the Senegalese market from Lebanon ". The session opened with a statement by H.E. Mr. Abdou Lahad Mbacke, Ambassador of Senegal to Lebanon, in which he conveyed the greetings of H.E. Mr. Macky Sall, President of Senegal, to the speakers and his wishes to see further strengthening of relations between #Beirut and #Dakar.
#business
Présentation de l'intervention de Philippe Crevel prononcée le 13 octobre 2016 au Domaine de Murtoli
Thèmes : les atouts de la Corse et ses moyens d'être maître de son destin économique
Propositions de politiques pour le rélévement et la relance de l'économie cen...Gildas Nzingoula
Après plus d'une décennie d'instabilité, la Centrafrique peine à relancer son économie. Conscient des potentialités et des atouts dont regorge la Centratrique, les autorité de ce pays veulent mettre en place des politiques économiques pour répondre aux attentes de ses concitoyens et relancer ainsi l'économie Centrafricaine. La présente présentation répond aux préoccupations de la centrafrique et d'autres pays "post-conflit". Elle vise à fournir les éléments de réponses, nécessaires et susceptibles de faire face aux défis de relance de la croissance écononomique et le développement de la Centrafrique.
Les systèmes de retraite et de santé français constituent les postes de dépenses de loin les plus importants de notre protection sociale. Et avec respectivement 14 % et 12 % du PIB, ils se situent parmi les plus chers des pays d’Europe. Compte tenu du vieillissement de la population et des changements dans les risques sanitaires que ce vieillissement entraîne (prédominance des maladies chroniques et liées à la dépendance), mais aussi compte tenu du poids de la dette sociale (135 milliards d’euros restent à amortir par la Cades) ces deux piliers de notre protection sociale doivent être réformés, ce qui implique de ne pas avoir peur de repenser notre modèle social.
Mais les réformes à mener ne sont pas les mêmes : la retraite est un risque au sens de la Sécurité sociale certain. Le gérant doit assurer un travail simple: collecter les cotisations, prévoir le nombre d’actifs et de retraités, verser les retraites en appliquant des règles précises. Il doit surtout assurer l’équilibre en fonction de paramètres limités et, pour certains, sur lesquels il ne peut quasiment pas agir (démographie). Il dispose de peu de latitude : l’âge, le montant de la pension et le taux de cotisation. Le déficit de compétitivité de la France écarte la possibilité d’augmenter les cotisations pour financer le système. Dès lors, il faut :
Reporter l’âge l’égal à 65 ans en 2028 ;
Créer un régime unique et universel par points ;
Aligner les systèmes de retraite public et privé ;
Introduire une part de capitalisation sans augmenter le montant total des cotisations.
La santé est un risque aléatoire et la qualité de la prestation de soin (hôpital, médecine de ville, médicaments) est très variable. La responsabilité du gérant d’un système d’assurance maladie est très différente puisqu’il va devoir choisir, parmi un large panel de solutions, la meilleure solution au meilleur coût. La santé est par ailleurs un domaine où – contrairement à la retraite – l’innovation joue un rôle essentiel. Face à cela, le gérant doit se poser plusieurs questions : quel prix accepter de payer ? Quel fournisseur de soins recommander à ses assurés ? Quels progrès thérapeutiques encourager ? C’est ce rôle complexe qui justifie une diversité de gérants de l’assurance maladie et leur mise en concurrence par les assurés. D’où nos propositions :
En 2014, le projet de rapport annuel sur l'état de la France s’appuie notamment sur les indicateurs de développement durable pour analyser les différents enjeux, tant économiques, sociaux qu’environnementaux au regard du ressenti de nos concitoyens et de leurs principales préoccupations.
Les tendances croissantes à l’individualisme poussent à alerter les pouvoirs publics sur les fractures toujours plus importantes de notre société : un essoufflement économique et démographique du monde occidental, une polarisation due à un accroissement des inégalités, un rejet des prélèvements obligatoires ou encore des exclus toujours plus nombreux que ce soit en termes d’accès au logement ou au marché du travail.
Entre la fin des politiques de rigueur et l’acquittement de l’impôt sur le revenu ne serait-ce que de manière symbolique par chaque citoyen, le projet de rapport apporte des réponses pragmatiques à différents points de blocage identifiés.
Bilan 2007-2017 : Fiscalité, dette, dépenses publiques, chômageFondation iFRAP
Au moment crucial de la préparation de la mandature 2017-2022, il est temps pour les candidats de réfléchir aux réformes qu’ils souhaitent mettre en oeuvre au cours du prochain quinquennat pour redresser notre économie et restaurer notre indépendance financière. Nous avons pris le parti de regarder cette décennie passée à l’aune des indicateurs suivants : dépenses publiques et emploi public, prélèvements obligatoires, dette et déficit, chômage et emplois aidés, emploi marchand et création d’entreprises, simplification. Des thèmes sur lesquels, les présidents avaient pris des engagements sur les deux derniers quinquennats.
Avec un décryptage des mesures engagées et de l’évolution de ces indicateurs dans d’autres pays d’Europe, nous voulons montrer que diminuer la part des dépenses publiques dans la richesse nationale, réduire le déficit et la dette par rapport au PIB, baisser les impôts et le taux de prélèvements obligatoires pour relancer la création d’emplois marchands et renouer avec une croissance au-dessus de 2 % par an, tout cela est possible et nécessite une stratégie. Si le prochain gouvernement veut voir le fruit de son travail se réaliser sur le quinquennat, il devra mettre en oeuvre les réformes nécessaires, et ce, dès les premiers jours de son mandat.
L'économie productive du Nouveau pays de Lorient. Communication AudéLor n°106...AudéLor
L'économie du Nouveau pays de Lorient (Lorient Agglomération, CC Blavet-Bellevue Océan et Quimperlé Communauté) est une économie diversifiée.
Elle bénéficie d'une économie présentielle dynamique portée par une croissance démographique et un développement du tourisme mais aussi d'un large panel d'activités productives.
On y retrouve bien entendu les activités maritimes, elles-mêmes diversifiées (CRN, nautisme, produits de la mer…), mais également d’autres industries (agroalimentaire non maritime, équipements, emballages, papier…) et services aux entreprises (nettoyage, gestion, ingénierie…).
Cette diversité du tissu productif est souvent méconnue. Elle constitue pourtant un facteur de résistance de l’économie locale aux crises ou dépressions.
Elle révèle également une grande richesse de compétences sur le territoire.
Elles constituent un levier de développement économique, notamment à travers des croisements de filières.
France Stratégie met à jour le tableau de bord d’emploi public publié en 2017, et compare les niveaux d’administration de 19 pays développés. Si la France se distingue par le niveau record des prestations sociales (y compris retraites), elle ne ressort qu’en 7ème position en matière de dépenses de fonctionnement (en part de PIB). Ces dépenses correspondent plus qu’ailleurs à de la rémunération d’agents publics, la France ayant moins recours à l’externalisation que d’autres pays.
En savoir plus :
https://strategie.gouv.fr/publications/tableau-de-bord-de-lemploi-public-0
Etude Apec - Attractivité et emploi cadre en GuyaneApec
Un dossier de l'Apec sur l'attractivité économique (atouts et faiblesses) et l'emploi cadre en Guyane.
Seul territoire français rattaché à l’Amérique du sud et 2e plus grande région française en termes de surface, la Guyane concentre les activités économiques et humaines le long de sa frange littorale. Son économie, tournée vers les besoins de la population locale, est avant tout tertiaire. La sphère publique y tient une place prépondérante d’autant plus que sa population jeune et sa démographie dynamique génèrent des besoins dans les domaines de la santé, de l’éducation et du social. Le territoire guyanais dispose du centre spatial de Kourou et bénéficie des retombées du succès du programme Ariane. De nombreux organismes de recherche sont également présents pour étudier un écosystème riche et préservé. Enfin, plus 8 000 cadres et professions intellectuelles supérieures sont recensés en Guyane soit 5 % de la population totale de plus de 15 ans. Pour 2016, les entreprises guyanaises envisagent de recruter près de 600 cadres.
La croissance est annoncée pour la France par la Commission européenne à 1,4 % en 2016, ce qui ne suffira pas à relancer la création d'emplois marchands. Et la croissance spontanée des recettes publiques et donc le redressement des comptes sont intimement liés à la croissance et à la création d'emplois. 2016 s'annonce pour nous plutôt autour de 3,8 % de déficit public et 2017 devrait tutoyer les 3,5 %. Bien loin des engagements du gouvernement, qui annonçait un déficit public autour de 1 % en 2017 dans la loi de programmation 2012-2017. Autre motif d'inquiétude: nous allons droit vers les 100 % de dette publique, avec déjà plus de 97 %. La seule manière de redresser les comptes est de baisser les dépenses publiques, mais aucun gouvernement n'a réussi à concrétiser cet objectif. Les dépenses publiques seront passées sur la durée du quinquennat de 1 150 milliards d'euros par an à plus de 1 280 milliards. Tout cela avec une inflation négligeable et une croissance atone. Autant dire que rien n'a été fait pour réellement freiner la dérive. On reste dans l'affichage.
Les étudiants de Kedge Business School Marseille invite Israël pour parler d'...FSJU AUJF
Clepsydre et Kedge Israël invitent le Consul Général d'Israël à Marseille pour parler d'Innovation, de Croissance, et de Start-ups en Israël.
Les raisons de la réussité économique et les fondements de l'écosystème.
Depuis 2007, avec des petits hauts et beaucoup de bas, c’est la grande récession. La reprise souvent annoncée n’est pas en vue, elle est plus que problématique comme le montrent les derniers développements en Europe. Dans ce cadre, les politiques d’austérité mortifères qui y sont administrées comme un remède de cheval n’ont pas la croissance pour objectif, mais bien la révision sociale tous azimuts des grandes conquêtes de la période précédente.
Retrouvez les chiffres et les explications dans le dernier diaporama d’Apex.
Les systèmes de retraite et de santé français constituent les postes de dépenses de loin les plus importants de notre protection sociale. Et avec respectivement 14 % et 12 % du PIB, ils se situent parmi les plus chers des pays d’Europe. Compte tenu du vieillissement de la population et des changements dans les risques sanitaires que ce vieillissement entraîne (prédominance des maladies chroniques et liées à la dépendance), mais aussi compte tenu du poids de la dette sociale (135 milliards d’euros restent à amortir par la Cades) ces deux piliers de notre protection sociale doivent être réformés, ce qui implique de ne pas avoir peur de repenser notre modèle social.
Mais les réformes à mener ne sont pas les mêmes : la retraite est un risque au sens de la Sécurité sociale certain. Le gérant doit assurer un travail simple: collecter les cotisations, prévoir le nombre d’actifs et de retraités, verser les retraites en appliquant des règles précises. Il doit surtout assurer l’équilibre en fonction de paramètres limités et, pour certains, sur lesquels il ne peut quasiment pas agir (démographie). Il dispose de peu de latitude : l’âge, le montant de la pension et le taux de cotisation. Le déficit de compétitivité de la France écarte la possibilité d’augmenter les cotisations pour financer le système. Dès lors, il faut :
Reporter l’âge l’égal à 65 ans en 2028 ;
Créer un régime unique et universel par points ;
Aligner les systèmes de retraite public et privé ;
Introduire une part de capitalisation sans augmenter le montant total des cotisations.
La santé est un risque aléatoire et la qualité de la prestation de soin (hôpital, médecine de ville, médicaments) est très variable. La responsabilité du gérant d’un système d’assurance maladie est très différente puisqu’il va devoir choisir, parmi un large panel de solutions, la meilleure solution au meilleur coût. La santé est par ailleurs un domaine où – contrairement à la retraite – l’innovation joue un rôle essentiel. Face à cela, le gérant doit se poser plusieurs questions : quel prix accepter de payer ? Quel fournisseur de soins recommander à ses assurés ? Quels progrès thérapeutiques encourager ? C’est ce rôle complexe qui justifie une diversité de gérants de l’assurance maladie et leur mise en concurrence par les assurés. D’où nos propositions :
En 2014, le projet de rapport annuel sur l'état de la France s’appuie notamment sur les indicateurs de développement durable pour analyser les différents enjeux, tant économiques, sociaux qu’environnementaux au regard du ressenti de nos concitoyens et de leurs principales préoccupations.
Les tendances croissantes à l’individualisme poussent à alerter les pouvoirs publics sur les fractures toujours plus importantes de notre société : un essoufflement économique et démographique du monde occidental, une polarisation due à un accroissement des inégalités, un rejet des prélèvements obligatoires ou encore des exclus toujours plus nombreux que ce soit en termes d’accès au logement ou au marché du travail.
Entre la fin des politiques de rigueur et l’acquittement de l’impôt sur le revenu ne serait-ce que de manière symbolique par chaque citoyen, le projet de rapport apporte des réponses pragmatiques à différents points de blocage identifiés.
Bilan 2007-2017 : Fiscalité, dette, dépenses publiques, chômageFondation iFRAP
Au moment crucial de la préparation de la mandature 2017-2022, il est temps pour les candidats de réfléchir aux réformes qu’ils souhaitent mettre en oeuvre au cours du prochain quinquennat pour redresser notre économie et restaurer notre indépendance financière. Nous avons pris le parti de regarder cette décennie passée à l’aune des indicateurs suivants : dépenses publiques et emploi public, prélèvements obligatoires, dette et déficit, chômage et emplois aidés, emploi marchand et création d’entreprises, simplification. Des thèmes sur lesquels, les présidents avaient pris des engagements sur les deux derniers quinquennats.
Avec un décryptage des mesures engagées et de l’évolution de ces indicateurs dans d’autres pays d’Europe, nous voulons montrer que diminuer la part des dépenses publiques dans la richesse nationale, réduire le déficit et la dette par rapport au PIB, baisser les impôts et le taux de prélèvements obligatoires pour relancer la création d’emplois marchands et renouer avec une croissance au-dessus de 2 % par an, tout cela est possible et nécessite une stratégie. Si le prochain gouvernement veut voir le fruit de son travail se réaliser sur le quinquennat, il devra mettre en oeuvre les réformes nécessaires, et ce, dès les premiers jours de son mandat.
L'économie productive du Nouveau pays de Lorient. Communication AudéLor n°106...AudéLor
L'économie du Nouveau pays de Lorient (Lorient Agglomération, CC Blavet-Bellevue Océan et Quimperlé Communauté) est une économie diversifiée.
Elle bénéficie d'une économie présentielle dynamique portée par une croissance démographique et un développement du tourisme mais aussi d'un large panel d'activités productives.
On y retrouve bien entendu les activités maritimes, elles-mêmes diversifiées (CRN, nautisme, produits de la mer…), mais également d’autres industries (agroalimentaire non maritime, équipements, emballages, papier…) et services aux entreprises (nettoyage, gestion, ingénierie…).
Cette diversité du tissu productif est souvent méconnue. Elle constitue pourtant un facteur de résistance de l’économie locale aux crises ou dépressions.
Elle révèle également une grande richesse de compétences sur le territoire.
Elles constituent un levier de développement économique, notamment à travers des croisements de filières.
France Stratégie met à jour le tableau de bord d’emploi public publié en 2017, et compare les niveaux d’administration de 19 pays développés. Si la France se distingue par le niveau record des prestations sociales (y compris retraites), elle ne ressort qu’en 7ème position en matière de dépenses de fonctionnement (en part de PIB). Ces dépenses correspondent plus qu’ailleurs à de la rémunération d’agents publics, la France ayant moins recours à l’externalisation que d’autres pays.
En savoir plus :
https://strategie.gouv.fr/publications/tableau-de-bord-de-lemploi-public-0
Etude Apec - Attractivité et emploi cadre en GuyaneApec
Un dossier de l'Apec sur l'attractivité économique (atouts et faiblesses) et l'emploi cadre en Guyane.
Seul territoire français rattaché à l’Amérique du sud et 2e plus grande région française en termes de surface, la Guyane concentre les activités économiques et humaines le long de sa frange littorale. Son économie, tournée vers les besoins de la population locale, est avant tout tertiaire. La sphère publique y tient une place prépondérante d’autant plus que sa population jeune et sa démographie dynamique génèrent des besoins dans les domaines de la santé, de l’éducation et du social. Le territoire guyanais dispose du centre spatial de Kourou et bénéficie des retombées du succès du programme Ariane. De nombreux organismes de recherche sont également présents pour étudier un écosystème riche et préservé. Enfin, plus 8 000 cadres et professions intellectuelles supérieures sont recensés en Guyane soit 5 % de la population totale de plus de 15 ans. Pour 2016, les entreprises guyanaises envisagent de recruter près de 600 cadres.
La croissance est annoncée pour la France par la Commission européenne à 1,4 % en 2016, ce qui ne suffira pas à relancer la création d'emplois marchands. Et la croissance spontanée des recettes publiques et donc le redressement des comptes sont intimement liés à la croissance et à la création d'emplois. 2016 s'annonce pour nous plutôt autour de 3,8 % de déficit public et 2017 devrait tutoyer les 3,5 %. Bien loin des engagements du gouvernement, qui annonçait un déficit public autour de 1 % en 2017 dans la loi de programmation 2012-2017. Autre motif d'inquiétude: nous allons droit vers les 100 % de dette publique, avec déjà plus de 97 %. La seule manière de redresser les comptes est de baisser les dépenses publiques, mais aucun gouvernement n'a réussi à concrétiser cet objectif. Les dépenses publiques seront passées sur la durée du quinquennat de 1 150 milliards d'euros par an à plus de 1 280 milliards. Tout cela avec une inflation négligeable et une croissance atone. Autant dire que rien n'a été fait pour réellement freiner la dérive. On reste dans l'affichage.
Les étudiants de Kedge Business School Marseille invite Israël pour parler d'...FSJU AUJF
Clepsydre et Kedge Israël invitent le Consul Général d'Israël à Marseille pour parler d'Innovation, de Croissance, et de Start-ups en Israël.
Les raisons de la réussité économique et les fondements de l'écosystème.
Depuis 2007, avec des petits hauts et beaucoup de bas, c’est la grande récession. La reprise souvent annoncée n’est pas en vue, elle est plus que problématique comme le montrent les derniers développements en Europe. Dans ce cadre, les politiques d’austérité mortifères qui y sont administrées comme un remède de cheval n’ont pas la croissance pour objectif, mais bien la révision sociale tous azimuts des grandes conquêtes de la période précédente.
Retrouvez les chiffres et les explications dans le dernier diaporama d’Apex.
Largent Public C'est le vôtre Présentation de Lionnel Tardy 1340195821Jean-Claude MORAND
La crise financière impose à tous les état de prendre des actions qui contribuent à creuser encore un peu plus la dette et les déficits. Cette présentation fournis des chiffres objectifs quant à la situation des comptes de l'Etat français.
La trajectoire 2017-2027 des finances publiques pour la croissanceFondation iFRAP
Les objectifs à atteindre ? Diminuer la part des dépenses publiques dans la richesse nationale, réduire le déficit et la dette par rapport au PIB, baisser les impôts et le taux de pré- lèvements obligatoires. Non pas pour faire plaisir à la Commission européenne mais pour relancer la création d’emplois marchands et renouer avec une croissance au-dessus de 2 % par an, ce dont nous sommes loin depuis 2012. Pour cela, il faut une stratégie. Chaque projet de réforme devra être accompagné d’un chiffrage et d’un calendrier précis. L'erreur faite en 2012 a été de lancer des augmentations d’impôts tous azimuts pour redresser les comptes publics sans avoir calculé ce que cela créerait comme mauvais chocs sur notre économie. Si le gouvernement a compris que le matraquage fiscal décidé était allé trop loin, le virage a été trop tardif pour en voir les fruits avant la fin du quinquennat. Si le prochain gouvernement ne veut pas travailler pour le suivant, il devra mettre à profit tout le temps imparti dès les premiers jours. La Fondation iFRAP propose dans cette étude une modélisation de la trajectoire des finances publiques pour 2017-2027 pour retrouver le plein-emploi et la croissance. Cette trajectoire consiste en : ❙ des économies de dépenses (100 milliards d’euros de baisse, dont 23 milliards de cessions d’immobilier de l’État ou des collectivités) concentrées sur la période 2017-2022 sauf pour ce qui concerne les retraites où les réformes durent jusqu’en 2027 ; ❙des baisses de prélèvements obligatoires (environ 90 milliards d’euros) étalées jusqu’en 2024 ; ❙des cessions d’actifs venant augmenter exceptionnellement les recettes publiques (20 milliards d’euros d’ici 2024) pour accélérer le désendettement et atteindre moins de 80 % de dette par rapport au PIB dès 2026. Nous proposons de fixer un maximum de 50 % de dépenses publiques par rapport au PIB en 2022. Dès les cinq premières années, la baisse des prélèvements obligatoires donnera la priorité à la baisse de la fiscalité sur le capital et à la diminution de la fiscalité sur les entreprises. Le plan de redressement modélisé par la Fondation iFRAP offre un motif d’espoir. Si nos pré- conisations sont appliquées, le PIB marchand de la France devrait remonter fortement d’ici à 2022 et atteindre, cette année-là, 1 723 milliards d’euros. C’est fondamental car la création de valeur ajoutée marchande permet la création d’emplois marchands : 739 000 d’ici 2022. Nous ne sommes pas condamnés au marasme
Comprendre simplement l'économie:
Voici un powerpoint pour tous ceux qui voudraient comprendre simplement comment l'économie marche, et pourquoi on est dans cette situation.
Y a juste l'essentiel...
La réduction des dotations de l'Etat aux collectivités locales est enclenchée, et le Premier Ministre a fait des annonces. Cette présentation est l'état des lieux de la situation et pointe les manques de précisions sur les annonces du Gouvernement
Cette étude, rédigée par la société d'Outsourcing IT Officience, vise à décrire et analyser les avancées économiques récentes du Vietnam, notamment dans le secteur des technologies de l'information. Ce pays s'est en effet engagé dans un véritable bond en avant depuis plus d'une décennie et continue d'observer une croissance soutenue ainsi qu'une affluence marquée de capitaux étrangers. L'étude pointe quelques spécificités macroéconomiques et sociales de la population vietnamienne, notamment en matière d'éducation.
La société Officience évoluant dans le domaines des technologies de l'information, cette étude analyse les différents leviers mis en place au Vietnam pour promouvoir et développer ce secteur économique. Le pays est en effet loin de l'image agricole que l'on peut parfois en avoir, et s'affirme progressivement comme l'une des destinations phares de l'Outsourcing mondial. Les perspectives sont très encourageantes : aussi les différents investissements et politiques en faveur de l'économie de la connaissance et des technologies devraient renforcer l'attractivité du Vietnam
Rapport - Stratégie d'Investissement Humain du Gabon
Com attouch qjsi vf 2009
1. Une approche multi-acteurs de
l’inclusion socioéconomique
Les Quatrièmes Journées Scientifiques Internationales du FEM
"Initiative privée, État et territoire dans le contexte de l’économie mondialisée"
Oujda, les 7 et 8 mai 2009
l’inclusion socioéconomique
au Maroc
Hicham ATTOUCH
FSJES Meknes
attouch@gmailcom
3. 1. Inclusion socioéconomique: c’est quoi?
2. Principaux facteurs d’exclusion au Maroc
Plan de traitement
2. Principaux facteurs d’exclusion au Maroc
3. Évaluation des solutions d’inclusion
socioéconomique
4. 1. Inclusion socioéconomique: c’est quoi?1. Inclusion socioéconomique: c’est quoi?
L’inclusion socioéconomique est décrite comme
l’offre des possibilités, des ressources et du
soutien nécessaires aux défavorisés pour qu’ils
puissent vivre avec dignité, s’épanouir et
participer à l’élaboration des politiques qui
affectent leur vie.affectent leur vie.
Elle se concrétise par les capacités d’accès à
l’éducation, au marché de travail, à un logement
acceptable, aux soins de santé et à d’autres
conditions qui permettent de vivre dans
l’aisance, de contribuer pleinement à la société
et de se sentir valorisées et respectées par la
communauté. (Malcolm Shookner, 2002)
5. Éléments
d’exclusion
Éléments
d’inclusion
Pauvreté,Pauvreté, chômage,chômage, emploiemploi
Revenu adéquat pour les
besoins fondamentaux et la
participation à la société,
élimination de la pauvreté,
Contrat
socioéconomique
ÉtatPauvreté,Pauvreté, chômage,chômage, emploiemploi
nonnon conventionnel,conventionnel, revenurevenu
insuffisantinsuffisant pourpour lesles besoinsbesoins
fondamentauxfondamentaux etet lala
participationparticipation àà lala société,société,
écartécart desdes revenus,revenus, privation,privation,
insécurité,insécurité, dépréciationdépréciation dede lala
prestationprestation dede soins,soins,
analphabétisme,analphabétisme, accèsaccès
impossibleimpossible àà l’éducationl’éducation..
élimination de la pauvreté,
emploi et employabilité,
développement durable,
réduction des écarts,
respect et soutien de la
prestation de soins.
État
Collectivités
locales
Entreprises
Acteurs ESS
7. Problèmes ciblage géo de la pauvreté!!! «Les
20% les plus aisés des ménages totalisent plus
de 40% des subventions alimentaires et plus de
50% des subventions à l’enseignement
secondaire et supérieur.»
HCP (2008)
«Le coût de l’objectif ‘pauvreté zéro’ est de
quelque 5,5% du PIB annuellement. Majoré par
les subventions alimentaires, ce coût représente
6,4% du PIB».
HCP (2006)
10. Evolution Consomation finale des ménages en millions DH (1990-2005)
307803
227436
182456200000
250000
300000
350000
2.4. Érosion du pouvoir d’achat
Répartition inéquitable!!!
146749
137149
153985
182456
0
50000
100000
150000
200000
1990 1991 1992 1993 1994 1995 1996 1997 1998 1999 2000 2001 2002 2003 2004 2005
CF ménages en MDH courants CF ménages en MDH constants (Base 1989)
Rétrécissement vers le bas de la
classe moyenne
11. Rendement externe de l’enseignement: 1/4 de
chômeurs diplômés sur un million de
chômeurs en 2006. Ces chômeurs diplômés ont
majoritairement (plus de 2/3) un diplôme
supérieur et sont sans emploi pour une durée
2.5. Et l’adéquation formation-emploi!
supérieur et sont sans emploi pour une durée
dépassant un an (HCP, 2008).
Selon le baromètre 2007 du CFCIM, 64% des
PME enquêtées ont déclaré avoir des
difficultés pour trouver les compétences
nécessaires au développement de leur activité
et 44% désapprouvent la formation dispensée.
13. 1. Inclusion socioéconomique: c’est quoi?
2. Principaux facteurs d’exclusion au Maroc
Plan de traitement
2. Principaux facteurs d’exclusion au Maroc
3. Évaluation des solutions d’inclusion
socioéconomique
14. 3.1. État et collectivités locales3.1. État et collectivités locales
►► Budget social avoisine 55% BGE 2008Budget social avoisine 55% BGE 2008--20092009
►► Subvention caisse de compensation a étéSubvention caisse de compensation a été
multiplié par 10 entre 2002 et 2008 passant de 4multiplié par 10 entre 2002 et 2008 passant de 4
milliards de dirhams à environ 40 milliards demilliards de dirhams à environ 40 milliards de
dirhams. Mais, uniquement 15% des subventionsdirhams. Mais, uniquement 15% des subventionsdirhams. Mais, uniquement 15% des subventionsdirhams. Mais, uniquement 15% des subventions
profitent aux couches cibles ;profitent aux couches cibles ;
►► Fondation Mohamed V pour la solidarité (tous!!!)Fondation Mohamed V pour la solidarité (tous!!!)
►► Entraide Nationale (environ mille associationsEntraide Nationale (environ mille associations
sous sa tutelle au sens d’aide et suivi + journéessous sa tutelle au sens d’aide et suivi + journées
de travail assurées)de travail assurées)
►► ADS (projets locaux tutorés)ADS (projets locaux tutorés)
15. Les effets d’entraînementLes effets d’entraînement
Les 9 grands chantiers pour relancer l’emploiLes 9 grands chantiers pour relancer l’emploi
ProjetProjet Coût ou volumeCoût ou volume
d’I en MM Dhd’I en MM Dh
Emplois directs etEmplois directs et
indirectsindirects
Liquidation de SODEA et SOGETA et de la SociétéLiquidation de SODEA et SOGETA et de la Société
Nationale de Développement et d’Elevage du bétailNationale de Développement et d’Elevage du bétail
(1ere tranche)(1ere tranche)
4,74,7 17.00017.000
Plan EmergencePlan Emergence -- 240240..000000 horizonhorizon 20132013
Programme d’HabitatProgramme d’Habitat -- 1.165.7801.165.780 horizonhorizon20072007Programme d’HabitatProgramme d’Habitat -- 1.165.7801.165.780 horizonhorizon20072007
Tanger MedTanger Med 2929 145.000145.000 horizonhorizon20072007
Programme national des autoroutesProgramme national des autoroutes 1616 approx.approx. 6.0006.000 horizonhorizon20082008
Recade méditerranéenneRecade méditerranéenne 3,553,55 66.80566.805 horizonhorizon20092009
Projet Bouregrag (Rabat)Projet Bouregrag (Rabat) 2323 113.983113.983
"Plan AZUR""Plan AZUR" 46,6746,67 80.00080.000 horizonhorizon 20102010
Programme d’infrastructure ferroviaireProgramme d’infrastructure ferroviaire 66 6.4666.466 horizonhorizon 20092009
►► Plan Rawaj 2020, Maroc vert, Moukawalati, etc.Plan Rawaj 2020, Maroc vert, Moukawalati, etc.
►► Stratégie promotion de l’artisanat 2015Stratégie promotion de l’artisanat 2015
+
17. 3.2. Les acteurs de l’économie sociale3.2. Les acteurs de l’économie sociale
►► AMO et RAMED (dépasser les 24%)AMO et RAMED (dépasser les 24%)
►► 6000 coopératives mais!!!6000 coopératives mais!!!
►► De 30000 associations avant 2005 à 52000De 30000 associations avant 2005 à 52000
aujourd’hui mais (boites à élection)!!!aujourd’hui mais (boites à élection)!!!
Un développement dans
le sillage des politiques
3.3. Les entreprises privées et publiques3.3. Les entreprises privées et publiques
Le tout en RSE reste à faire
18. ► Une forte imbrication des différents acteurs dans
une véritable quête d’inclusion socioéconomique
via un contrat social;
► Elaboration de la politique de l’inclusion par l’Etat,
a qui incombe également le pilotage, le suivi et
Pistes de percée vers le développement
a qui incombe également le pilotage, le suivi et
l’incitation des acteurs socioéconomiques;
► Participation des entreprises via leur stratégies RSE;
► Donner raison aux dynamiques solidaires
spontanées des acteurs de l’ESS particulièrement les
coopératives qui constituent le véritable socle de
toute politique d’inclusion sociale.
20. 1. Inclusion socioéconomique: c’est quoi?1. Inclusion socioéconomique: c’est quoi?
L’inclusion socioéconomique est décrite comme
l’offre des possibilités, des ressources et du
soutien nécessaires aux défavorisés pour qu’ils
puissent vivre avec dignité, s’épanouir et
participer à l’élaboration des politiques qui
affectent leur vie.affectent leur vie.
Elle se concrétise par les capacités d’accès à
l’éducation, au marché de travail, à un logement
acceptable, aux soins de santé et à d’autres
conditions qui permettent de vivre dans
l’aisance, de contribuer pleinement à la société
et de se sentir valorisées et respectées par la
communauté. (Malcolm Shookner, 2002)
21. ELEMENTS D’EXCLUSIONELEMENTS D’EXCLUSION DIMENSIONDIMENSION ELEMENTS D’INCLUSIONELEMENTS D’INCLUSION
Marginalisation, réduction au silence,Marginalisation, réduction au silence,
barrières à la participation, dépendancebarrières à la participation, dépendance
envers les institutions, aucun choix, pas deenvers les institutions, aucun choix, pas de
participation à la prise de décisions.participation à la prise de décisions.
PARTICIPATIVEPARTICIPATIVE
Autonomisation, liberté de choisir,Autonomisation, liberté de choisir,
contribution à la collectivité, accès auxcontribution à la collectivité, accès aux
programmes, ressources et soutien,programmes, ressources et soutien,
participation à la prise de décisions, actionparticipation à la prise de décisions, action
sociale.sociale.
Barrières aux déplacements, accès restreintBarrières aux déplacements, accès restreint
aux espaces publics, distanciation sociale,aux espaces publics, distanciation sociale,
environnements hostiles ou malsains, absenceenvironnements hostiles ou malsains, absence
de moyens de transport, environnements nonde moyens de transport, environnements non
viables.viables.
PHYSIQUEPHYSIQUE
Accès aux lieux publics et aux ressourcesAccès aux lieux publics et aux ressources
de la collectivité, proximité physique etde la collectivité, proximité physique et
possibilités d’interaction, environnementspossibilités d’interaction, environnements
sains, accès aux moyens de transport,sains, accès aux moyens de transport,
viabilité.viabilité.viables.viables. viabilité.viabilité.
Déni des droits de la personne,Déni des droits de la personne,
politiques et lois restrictives, blâme de lapolitiques et lois restrictives, blâme de la
victime, gestion à court terme, gestionvictime, gestion à court terme, gestion
unidimensionnelle, restriction deunidimensionnelle, restriction de
l’admissibilité aux programmes, manque del’admissibilité aux programmes, manque de
transparence dans la prise de décisions.transparence dans la prise de décisions.
POLITIQUEPOLITIQUE
Affirmation des droits de la personne, loisAffirmation des droits de la personne, lois
et politiques habilitantes, protection socialeet politiques habilitantes, protection sociale
des groupes vulnérables, suppression desdes groupes vulnérables, suppression des
barrières systémiques, volonté d’agir, gestionbarrières systémiques, volonté d’agir, gestion
à long terme, gestion multidimensionnelle,à long terme, gestion multidimensionnelle,
participation des citoyens, prise departicipation des citoyens, prise de
décisions transparente.décisions transparente.
22. ELEMENTS D’EXCLUSIONELEMENTS D’EXCLUSION DIMENSIONDIMENSION ELEMENTS D’INCLUSIONELEMENTS D’INCLUSION
Isolation, ségrégation, prise deIsolation, ségrégation, prise de
distance, compétitivité, violence etdistance, compétitivité, violence et
mauvais traitements, peur, honte.mauvais traitements, peur, honte.
RELATIONNELLERELATIONNELLE
Appartenance, proximité sociale,Appartenance, proximité sociale,
respect, reconnaissance, coopération,respect, reconnaissance, coopération,
solidarité, soutien familial, accès auxsolidarité, soutien familial, accès aux
ressources.ressources.
Discrimination, racisme, sexisme,Discrimination, racisme, sexisme,
homophobie, restriction dehomophobie, restriction de
l’admissibilité, aucun accès auxl’admissibilité, aucun accès aux
Admissibilité, accès aux programmes,Admissibilité, accès aux programmes,
voies d’accès transparentes, actionvoies d’accès transparentes, actionl’admissibilité, aucun accès auxl’admissibilité, aucun accès aux
programmes, barrières à l’accès,programmes, barrières à l’accès,
dissimulation de renseignements,dissimulation de renseignements,
ministères en vases clos,ministères en vases clos,
compétences des différentscompétences des différents
gouvernements, communicationsgouvernements, communications
secrètes ou restreintes, frontièressecrètes ou restreintes, frontières
rigides.rigides.
STRUCTURELLESTRUCTURELLE
voies d’accès transparentes, actionvoies d’accès transparentes, action
positive, renforcement des capacitéspositive, renforcement des capacités
de la collectivité, liens entre lesde la collectivité, liens entre les
ministères, liens entre lesministères, liens entre les
gouvernements, reddition de comptes,gouvernements, reddition de comptes,
voies de communication ouvertes,voies de communication ouvertes,
possibilités de changement, souplesse.possibilités de changement, souplesse.