Une diffusion d'AMC France : http://amcmaisonbois.eu
Réglementation thermique « Grenelle Environnement 2012 »
L’élaboration de la RT 2012
Les objectifs de la RT 2012
Les exigences de la RT 2012
Les avancées de la RT 2012
Évaluation économique de la RT 2012
Les options sur le marché de l’immobilier
Les orientations retenues à l’issue des tables rondes du Grenelle de l’environnement à l’automne 2007 ont amorcé la mutation écologique de la France. La mise en œuvre des comités opérationnels a permis de définir les voies, moyens et conditions requis pour une entrée en vigueur des conclusions du Grenelle notamment le renforcement de la réglementation thermique dès 2012 pour tous les types de bâtiments neufs qui y sont soumis.
L‘ensemble de ce travail sur l’orientation énergétique de la France s’est traduit concrètement par le vote des lois Grenelle I et II. Ces deux lois servent désormais de socle pour l’élaboration de l’ensemble des mesures nécessaire à la mise en place de la politique énergétique de la France, et notamment les principes de la RT 2012.
"Le HIVE, l’amélioration énergétique d’un bâtiment neuf".
LE HIVE a fait l’objet d’un plan d’économies d’énergies ambitieux et… rentable, l’entreprise s’attachant maintenant à gagner sur l’économie de la fonctionnalité : la diminution des mètres carrés par la gestion des personnes et de besoins.
Dans le cadre de son Observatoire du confort dans l’habitat, l’association d’intérêt général Promotelec dresse pour la première fois, à travers son retour d’expérience du Label Promotelec Rénovation énergétique, son bilan national de la rénovation énergétique des bâtiments résidentiels existants : individuels et collectifs, sociaux et privés. A l’heure de l’application de la loi sur la transition énergétique pour la croissance verte et de l’objectif de 500 000 logements rénovés par an à l’horizon 2017, l’association Promotelec a analysé les données de plus de 17 000 logements ayant fait l’objet de travaux de rénovation énergétique.
http://www.promotelec.com/
Conférence smart grid du 5-12-12-Présentation BARBANELIFPEB
Contribution de Laurent BERNARD, directeur associé du cabinet BARBANEL présentée le 5 octobre à Paris, dans le cadre de la matinée débat organisée par Construction21, le Gimélec et j3e sur le thème Concevoir et gérer des bâtiments « smart grid compatibles ».
Demain, les réseaux électriques intelligents, ou smart grids, vont profondément bouleverser notre manière de produire et de consommer l’énergie. Cette mutation ne se fera pas sans le bâtiment qui va devenir une pièce maîtresse au cœur de la gestion des réseaux de distribution d’énergie. Pour s’intégrer dans ce maillage gigantesque, où toutes les sources d’énergie vont converger pour s’équilibrer, le bâtiment va devoir se connecter avec l’environnement extérieur. Cette évolution pose un nombre impressionnant de challenges techniques et humains.
C'est le grand défi qui attend les bureaux d'ingénierie : quels systèmes et quels équipements vont devoir être mis en place dans le bâtiment pour piloter la charge ? GTB, compteurs communicants, architecture réseaux... De quelles solutions dispose-t-on aujourd'hui ? Quelles sont celles à imaginer pour permettre l'interaction du bâtiment avec le smart grid.
A la différence des systèmes de chauffage individuels, un réseau de chaleur représente un investissement initial très important, mais des dépenses de fonctionnement plus faibles dans la durée. Afin d’en renforcer la viabilité économique, les acteurs locaux doivent ainsi intégrer les projets de réseaux dans une vision à long terme de l’évolution du territoire, et définir la solution qui permettra de desservir le maximum d’usagers pour une même somme investie. Une étude actualisée chaque année par l’association AMORCE montre que les réseaux de chaleur constituent en moyenne une solution de chauffage compétitive, au bénéfice des usagers. Afin de maintenir cette compétitivité tout en permettant aux maîtres d’ouvrage d’investir dans des réseaux modernisés faisant appel aux énergies renouvelables et de récupération, plusieurs dispositifs de soutien financier aux projets ont été mis en place, notamment le fonds chaleur.
Les orientations retenues à l’issue des tables rondes du Grenelle de l’environnement à l’automne 2007 ont amorcé la mutation écologique de la France. La mise en œuvre des comités opérationnels a permis de définir les voies, moyens et conditions requis pour une entrée en vigueur des conclusions du Grenelle notamment le renforcement de la réglementation thermique dès 2012 pour tous les types de bâtiments neufs qui y sont soumis.
L‘ensemble de ce travail sur l’orientation énergétique de la France s’est traduit concrètement par le vote des lois Grenelle I et II. Ces deux lois servent désormais de socle pour l’élaboration de l’ensemble des mesures nécessaire à la mise en place de la politique énergétique de la France, et notamment les principes de la RT 2012.
"Le HIVE, l’amélioration énergétique d’un bâtiment neuf".
LE HIVE a fait l’objet d’un plan d’économies d’énergies ambitieux et… rentable, l’entreprise s’attachant maintenant à gagner sur l’économie de la fonctionnalité : la diminution des mètres carrés par la gestion des personnes et de besoins.
Dans le cadre de son Observatoire du confort dans l’habitat, l’association d’intérêt général Promotelec dresse pour la première fois, à travers son retour d’expérience du Label Promotelec Rénovation énergétique, son bilan national de la rénovation énergétique des bâtiments résidentiels existants : individuels et collectifs, sociaux et privés. A l’heure de l’application de la loi sur la transition énergétique pour la croissance verte et de l’objectif de 500 000 logements rénovés par an à l’horizon 2017, l’association Promotelec a analysé les données de plus de 17 000 logements ayant fait l’objet de travaux de rénovation énergétique.
http://www.promotelec.com/
Conférence smart grid du 5-12-12-Présentation BARBANELIFPEB
Contribution de Laurent BERNARD, directeur associé du cabinet BARBANEL présentée le 5 octobre à Paris, dans le cadre de la matinée débat organisée par Construction21, le Gimélec et j3e sur le thème Concevoir et gérer des bâtiments « smart grid compatibles ».
Demain, les réseaux électriques intelligents, ou smart grids, vont profondément bouleverser notre manière de produire et de consommer l’énergie. Cette mutation ne se fera pas sans le bâtiment qui va devenir une pièce maîtresse au cœur de la gestion des réseaux de distribution d’énergie. Pour s’intégrer dans ce maillage gigantesque, où toutes les sources d’énergie vont converger pour s’équilibrer, le bâtiment va devoir se connecter avec l’environnement extérieur. Cette évolution pose un nombre impressionnant de challenges techniques et humains.
C'est le grand défi qui attend les bureaux d'ingénierie : quels systèmes et quels équipements vont devoir être mis en place dans le bâtiment pour piloter la charge ? GTB, compteurs communicants, architecture réseaux... De quelles solutions dispose-t-on aujourd'hui ? Quelles sont celles à imaginer pour permettre l'interaction du bâtiment avec le smart grid.
A la différence des systèmes de chauffage individuels, un réseau de chaleur représente un investissement initial très important, mais des dépenses de fonctionnement plus faibles dans la durée. Afin d’en renforcer la viabilité économique, les acteurs locaux doivent ainsi intégrer les projets de réseaux dans une vision à long terme de l’évolution du territoire, et définir la solution qui permettra de desservir le maximum d’usagers pour une même somme investie. Une étude actualisée chaque année par l’association AMORCE montre que les réseaux de chaleur constituent en moyenne une solution de chauffage compétitive, au bénéfice des usagers. Afin de maintenir cette compétitivité tout en permettant aux maîtres d’ouvrage d’investir dans des réseaux modernisés faisant appel aux énergies renouvelables et de récupération, plusieurs dispositifs de soutien financier aux projets ont été mis en place, notamment le fonds chaleur.
Energie bois en maison individuelle - PoujoulatBuild Green
Le bois : l’énergie renouvelable de la maison individuelle
Le bois est une énergie économique et performante. Le bois énergie se positionne comme moyen de chauffage principal en maison individuelle. Avec son caractère renouvelable, le bois énergie est reconnu par la RT 2012 pour son effet neutre sur l’émission de gaz à effet de serre contrairement à toutes les énergies fossiles.
L’évolution des appareils et l’augmentation de leur rendement diminuent la consommation d’énergie et favorisent ainsi la ressource sans risque de pénurie.
Présentation d'Éric Le Couédic de l'AQME au Déjeuner du Gate de mars 2011Sherbrooke Innopole
Voici la présentation d'Éric Le Couédic de l'AQME offerte au Déjeuner du GATE, le 4 mars 2011 à l'Hôtel Le Président. Elle décrit plusieurs stratégies de réduction des coûts des projets de consommation d’énergie, dont les subventions provinciales et fédérales disponibles
"Mieux comprendre les notions de consommations réglementaires, prévisionnelles et réelles".
L’IFPEB et le CSTB souhaitent rappeler la définition et les fonctions des outils. Les uns servent le besoin des politiques publiques (calcul RT), d’autres la conception et l’optimisation des bâtiments avec ses usages.
Présentation de conclusions de travaux conjoints CSTB et IFPEB, l’utilisation de la simulation thermique dynamique en phase de conception, exécution et exploitation apparaît une voie prometteuse pour une meilleure maîtrise de la consommation des bâtiments.
Cette présentation s’introduit par un bref historique de l’utilisation de la biomasse et se poursuit par l’état actuel de celle-ci, soit la capacité de production au Canada, les projets et les organisations en place, les priorités ainsi que les marchés associés.
Veille et Web dans les entreprises non-technologiquesJeremy Viault
Cette présentation de Jeremy Viault lors du Barcamp de Lille traite de la place de la veille et du Web dans les entreprises non-technologiques. La fin de la présentation ouvre des pistes sur le recrutement via le Web.
Au début du 20e siècle, Joseph Schumpeter met en avant le rôle de l’entrepreneur, défini par Nietzsche comme « le capital de l’esprit et de la volonté humaine ». L’entrepreneur est celui qui développe une idée à partir des perfectionnements de la mécanique puis de de la science avec l’entrée dans la seconde révolution industrielle fondée sur la chimie et l’électricité, pour créer des produits qui créent leur marché. C’est le mode Schumpeter 1.0.
L’économie de la II° révolution industrielle voit naître la grande entreprise qui transforme l’innovation en routine. Le mode Schumpeter 2.0 voit disparaitre le rôle héroïque de l’innovateur et l’innovation est intégrée au processus de production de masse. L’innovation est représentée comme un processus linéaire qui va du département R&D des grandes entreprises au marché.
L’économie néoclassique va populariser le modèle de l’innovation par le progrès technique conçu comme exogène : L’intensité de l’innovation est celle de l’intensité des intrants technologiques.
La veille, ses techniques et ses outils permet d'alimenter votre réflexion et de favoriser l'innovation. Elle en est l'un des facteurs clé de succès. Sachez utiliser les fonctionnalités avancées des moteurs de recherche, automatisez les requêtes et surveillances sur les nombreuses bases de données, donnez la parole à vos clients, faites de la veille sur les startups qui montent, regardez de près les plateformes de crowdfunding, identifiez des partenaires potentiels sur des projets innovants via les plateformes d'open innovation. Bref, soyez à l'écoute de votre environnement, de ses acteurs ! Ne sous estimez pas l'importance de le faire en continu afin d'être réactif. L'économie va vite, celle de l'innovation encore plus.
The document describes a study that developed an inquiry-based approach for undergraduate students to isolate and characterize natural Vibrio fischeri symbionts from the Hawaiian bobtail squid. Each semester, students isolated multiple strains directly from the light organ of a wild-caught squid. Phenotypic assays found variation in bioluminescence responses and motility rates among strains. Genetic sequencing revealed diversity in the luxIR intergenic region. Phylogenetic analysis classified strains into genetically distinct groups. Colonization experiments showed all strains could colonize juvenile squid, though colonization efficiency varied. This inquiry-based approach effectively characterized the phenotypic and genetic diversity of natural V. fischeri symbionts.
This document provides information about bioluminescence. It begins with an acknowledgement and introduction defining bioluminescence. The document then discusses the history of bioluminescence research, how it evolved in different organisms, and how the bioluminescence reaction works on a chemical level. It lists several bioluminescent organisms and describes some uses of bioluminescence in nature for camouflage, attraction, defense, warning, and communication. The document also outlines several modern applications of bioluminescence in fields like biology, medicine, the environment, and industry. It distinguishes between bioluminescence and biofluorescence and briefly describes two recent research papers on biol
Historically architecture has likened the city as an organism and looked to nature for design inspiration. Until recently the tools that have enabled architects to engage with what R. Buckminster Fuller called the ‘drivers of biology’, have not been available and architects use biological systems in a symbolic way called biological ‘formalism’ where aesthetics are prioritized over function. Recent developments in Synthetic Biology, which were demonstrated at Artificial Life XI suggested it was possible to design and engineer materials that meet the requirements necessary for a new generation of smart materials.
Une définition du design en image.
Qu'est-ce que le design de service ?
Quels sont les pièges à éviter lorsqu'on parle de design?
Quelle méthodologie ?
Designer = Artiste ? - Créateur ? - Magicien ? - Concepteur ? - Architecte ? ...
DEISA est la Compagnie du Groupe COMSA-EMTE spécialisée dans le domaine du traitement et épuration des eaux.
Formée par une équipe de professionnels du plus haut niveau, ayant l’expérience la plus large, DEISA a fourni avec succès plus de 300 unités de traitement dans quelque 20 pays.
DEISA propose des solutions technologiquement très avancées, comprenant un service qui intègre la conception, la construction, la supervision ou l’exploitation des unités fournies.
Energie bois en maison individuelle - PoujoulatBuild Green
Le bois : l’énergie renouvelable de la maison individuelle
Le bois est une énergie économique et performante. Le bois énergie se positionne comme moyen de chauffage principal en maison individuelle. Avec son caractère renouvelable, le bois énergie est reconnu par la RT 2012 pour son effet neutre sur l’émission de gaz à effet de serre contrairement à toutes les énergies fossiles.
L’évolution des appareils et l’augmentation de leur rendement diminuent la consommation d’énergie et favorisent ainsi la ressource sans risque de pénurie.
Présentation d'Éric Le Couédic de l'AQME au Déjeuner du Gate de mars 2011Sherbrooke Innopole
Voici la présentation d'Éric Le Couédic de l'AQME offerte au Déjeuner du GATE, le 4 mars 2011 à l'Hôtel Le Président. Elle décrit plusieurs stratégies de réduction des coûts des projets de consommation d’énergie, dont les subventions provinciales et fédérales disponibles
"Mieux comprendre les notions de consommations réglementaires, prévisionnelles et réelles".
L’IFPEB et le CSTB souhaitent rappeler la définition et les fonctions des outils. Les uns servent le besoin des politiques publiques (calcul RT), d’autres la conception et l’optimisation des bâtiments avec ses usages.
Présentation de conclusions de travaux conjoints CSTB et IFPEB, l’utilisation de la simulation thermique dynamique en phase de conception, exécution et exploitation apparaît une voie prometteuse pour une meilleure maîtrise de la consommation des bâtiments.
Cette présentation s’introduit par un bref historique de l’utilisation de la biomasse et se poursuit par l’état actuel de celle-ci, soit la capacité de production au Canada, les projets et les organisations en place, les priorités ainsi que les marchés associés.
Veille et Web dans les entreprises non-technologiquesJeremy Viault
Cette présentation de Jeremy Viault lors du Barcamp de Lille traite de la place de la veille et du Web dans les entreprises non-technologiques. La fin de la présentation ouvre des pistes sur le recrutement via le Web.
Au début du 20e siècle, Joseph Schumpeter met en avant le rôle de l’entrepreneur, défini par Nietzsche comme « le capital de l’esprit et de la volonté humaine ». L’entrepreneur est celui qui développe une idée à partir des perfectionnements de la mécanique puis de de la science avec l’entrée dans la seconde révolution industrielle fondée sur la chimie et l’électricité, pour créer des produits qui créent leur marché. C’est le mode Schumpeter 1.0.
L’économie de la II° révolution industrielle voit naître la grande entreprise qui transforme l’innovation en routine. Le mode Schumpeter 2.0 voit disparaitre le rôle héroïque de l’innovateur et l’innovation est intégrée au processus de production de masse. L’innovation est représentée comme un processus linéaire qui va du département R&D des grandes entreprises au marché.
L’économie néoclassique va populariser le modèle de l’innovation par le progrès technique conçu comme exogène : L’intensité de l’innovation est celle de l’intensité des intrants technologiques.
La veille, ses techniques et ses outils permet d'alimenter votre réflexion et de favoriser l'innovation. Elle en est l'un des facteurs clé de succès. Sachez utiliser les fonctionnalités avancées des moteurs de recherche, automatisez les requêtes et surveillances sur les nombreuses bases de données, donnez la parole à vos clients, faites de la veille sur les startups qui montent, regardez de près les plateformes de crowdfunding, identifiez des partenaires potentiels sur des projets innovants via les plateformes d'open innovation. Bref, soyez à l'écoute de votre environnement, de ses acteurs ! Ne sous estimez pas l'importance de le faire en continu afin d'être réactif. L'économie va vite, celle de l'innovation encore plus.
The document describes a study that developed an inquiry-based approach for undergraduate students to isolate and characterize natural Vibrio fischeri symbionts from the Hawaiian bobtail squid. Each semester, students isolated multiple strains directly from the light organ of a wild-caught squid. Phenotypic assays found variation in bioluminescence responses and motility rates among strains. Genetic sequencing revealed diversity in the luxIR intergenic region. Phylogenetic analysis classified strains into genetically distinct groups. Colonization experiments showed all strains could colonize juvenile squid, though colonization efficiency varied. This inquiry-based approach effectively characterized the phenotypic and genetic diversity of natural V. fischeri symbionts.
This document provides information about bioluminescence. It begins with an acknowledgement and introduction defining bioluminescence. The document then discusses the history of bioluminescence research, how it evolved in different organisms, and how the bioluminescence reaction works on a chemical level. It lists several bioluminescent organisms and describes some uses of bioluminescence in nature for camouflage, attraction, defense, warning, and communication. The document also outlines several modern applications of bioluminescence in fields like biology, medicine, the environment, and industry. It distinguishes between bioluminescence and biofluorescence and briefly describes two recent research papers on biol
Historically architecture has likened the city as an organism and looked to nature for design inspiration. Until recently the tools that have enabled architects to engage with what R. Buckminster Fuller called the ‘drivers of biology’, have not been available and architects use biological systems in a symbolic way called biological ‘formalism’ where aesthetics are prioritized over function. Recent developments in Synthetic Biology, which were demonstrated at Artificial Life XI suggested it was possible to design and engineer materials that meet the requirements necessary for a new generation of smart materials.
Une définition du design en image.
Qu'est-ce que le design de service ?
Quels sont les pièges à éviter lorsqu'on parle de design?
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DEISA est la Compagnie du Groupe COMSA-EMTE spécialisée dans le domaine du traitement et épuration des eaux.
Formée par une équipe de professionnels du plus haut niveau, ayant l’expérience la plus large, DEISA a fourni avec succès plus de 300 unités de traitement dans quelque 20 pays.
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Complejos hexanucleares de zinc(II) usando piridina 2,6-dimetanolOmar Portilla Zuñiga
Este documento describe la síntesis y propiedades de complejos hexanucleares de zinc(II) usando piridina-2,6-dimetanol como ligando. Se presentan dos complejos con diferentes carboxilatos que exhiben propiedades de fotoluminiscencia. La actividad óptica de estos complejos depende del sustituyente del carboxilato y podrían usarse como sondas luminiscentes.
Presentación del evento #BIGTOURISM #WTC2014 @CIBBVA @SEGITTUR en BBVA Innovation Center, el día 13 de Noviembre 2014.
Su Streaming lo puedes ver en: https://www.centrodeinnovacionbbva.com/eventos/evento-big-tourism-we-are-all-tourists-1ajornada
This document summarizes information about the Fortissimo 2 project and its first open call for applications. Fortissimo 2 builds on the previous Fortissimo project to provide SMEs with access to advanced simulation services through an HPC cloud. It aims to establish a marketplace for HPC expertise and services. The first open call seeks new experiments involving modeling of coupled phenomena or high-performance data analytics to benefit manufacturing SMEs. Proposals are due by May 18, 2016 and selected experiments will receive up to €250,000 in funding to participate between November 2016 and April 2018. The call details funding models and evaluation criteria for the proposed experiments.
Présentation BNP PARIBAS REAL ESTATE matinée technique IFPEB-CSTBIFPEB
Prévoir les consommations d'énergie réelles : est-ce possible? Première expérience, premiers résultats.
Retour sur une opération réalisée et gérée par BNP Paribas Real Estate. Comparaison des consommations réelles et prévues sur un bâtiment RT2005.
Réglementation thermique RT 2005 : enjeux de l’isolation
La réglementation thermique RT 2005 repose essentiellement sur l’isolation des bâtiments. En effet, seule une bonne isolation thermique permet de réduire efficacement les pertes énergétiques liées au chauffage et à la climatisation. Rappelons que le chauffage et la climatisation représentent jusqu’à 60 % des besoins en énergie d’un bâtiment! C’est donc autour de l’isolation thermique que s’articule la RT 2005 dont les principaux objectifs sont :
la maîtrise de la consommation d'énergie
la limitation de l'émission des gaz à effet de serre
CEE précarité énergétique : de nouvelles opportunités de financementCTR Conseil
Entrés en vigueur depuis le 1er janvier 2016, les CEE visant à lutter contre la précarité énergétique, offrent des opportunités d’économies supplémentaires conséquentes pour les bailleurs sociaux dans le cadre de la troisième période.
- Comment profiter au maximum de cette nouvelle disposition ? - Quels sont les travaux éligibles ?
- Quelles sont les bonifications possibles ?
- Quels sont les premiers retours d’expériences de financement ?
- Est-il possible de réaliser des travaux gratuitement ?
- Quels sont les risques liés aux CEE ?
Concevoir et exploiter des BEPOS flexibles et connectés au réseau Gimélec
A l'occasion d'Interclima+Elec, intervention sur les bénéfices des bâtiments à énergie positive (BEPOS) - éléments de flexibilité du système électrique, réponse à la variabilité des EnR - et le rôle de la gestion active pour l'optimisation dynamique des consommations énergétiques.
Présentation sur l'impact de la loi NOME sur
l’immobilier d’entreprise lors de l'ICEB Café du 23 juin 2014 par Christian Gérard et Jean-Michel Lévy, experts énergie, responsables des relations partenaires chez EDF Ile-de-France
Le Bâtiment, l'empreinte environnementale et les énergies renouvelablesNovabuild
Lors d'une réunion organisée par le CINA (commission Immobilier d'Entreprise & Habitat), la problématique des énergies renouvelables a été élargie à l'empreinte environnementale des bâtiments, depuis la trajectoire 1,5 à 2 °C du GIEC jusqu'à la RE 2020.
L'IA connaît une croissance rapide et son intégration dans le domaine éducatif soulève de nombreuses questions. Aujourd'hui, nous explorerons comment les étudiants utilisent l'IA, les perceptions des enseignants à ce sujet, et les mesures possibles pour encadrer ces usages.
Constat Actuel
L'IA est de plus en plus présente dans notre quotidien, y compris dans l'éducation. Certaines universités, comme Science Po en janvier 2023, ont interdit l'utilisation de l'IA, tandis que d'autres, comme l'Université de Prague, la considèrent comme du plagiat. Cette diversité de positions souligne la nécessité urgente d'une réponse institutionnelle pour encadrer ces usages et prévenir les risques de triche et de plagiat.
Enquête Nationale
Pour mieux comprendre ces dynamiques, une enquête nationale intitulée "L'IA dans l'enseignement" a été réalisée. Les auteurs de cette enquête sont Le Sphynx (sondage) et Compilatio (fraude académique). Elle a été diffusée dans les universités de Lyon et d'Aix-Marseille entre le 21 juin et le 15 août 2023, touchant 1242 enseignants et 4443 étudiants. Les questionnaires, conçus pour étudier les usages de l'IA et les représentations de ces usages, abordaient des thèmes comme les craintes, les opportunités et l'acceptabilité.
Résultats de l'Enquête
Les résultats montrent que 55 % des étudiants utilisent l'IA de manière occasionnelle ou fréquente, contre 34 % des enseignants. Cependant, 88 % des enseignants pensent que leurs étudiants utilisent l'IA, ce qui pourrait indiquer une surestimation des usages. Les usages identifiés incluent la recherche d'informations et la rédaction de textes, bien que ces réponses ne puissent pas être cumulées dans les choix proposés.
Analyse Critique
Une analyse plus approfondie révèle que les enseignants peinent à percevoir les bénéfices de l'IA pour l'apprentissage, contrairement aux étudiants. La question de savoir si l'IA améliore les notes sans développer les compétences reste débattue. Est-ce un dopage académique ou une opportunité pour un apprentissage plus efficace ?
Acceptabilité et Éthique
L'enquête révèle que beaucoup d'étudiants jugent acceptable d'utiliser l'IA pour rédiger leurs devoirs, et même un quart des enseignants partagent cet avis. Cela pose des questions éthiques cruciales : copier-coller est-il tricher ? Utiliser l'IA sous supervision ou pour des traductions est-il acceptable ? La réponse n'est pas simple et nécessite un débat ouvert.
Propositions et Solutions
Pour encadrer ces usages, plusieurs solutions sont proposées. Plutôt que d'interdire l'IA, il est suggéré de fixer des règles pour une utilisation responsable. Des innovations pédagogiques peuvent également être explorées, comme la création de situations de concurrence professionnelle ou l'utilisation de détecteurs d'IA.
Conclusion
En conclusion, bien que l'étude présente des limites, elle souligne un besoin urgent de régulation. Une charte institutionnelle pourrait fournir un cadre pour une utilisation éthique.
MongoDB in a scale-up: how to get away from a monolithic hell — MongoDB Paris...Horgix
This is the slide deck of a talk by Alexis "Horgix" Chotard and Laurentiu Capatina presented at the MongoDB Paris User Group in June 2024 about the feedback on how PayFit move away from a monolithic hell of a self-hosted MongoDB cluster to managed alternatives. Pitch below.
March 15, 2023, 6:59 AM: a MongoDB cluster collapses. Tough luck, this cluster contains 95% of user data and is absolutely vital for even minimal operation of our application. To worsen matters, this cluster is 7 years behind on versions, is not scalable, and barely observable. Furthermore, even the data model would quickly raise eyebrows: applications communicating with each other by reading/writing in the same MongoDB documents, documents reaching the maximum limit of 16MiB with hundreds of levels of nesting, and so forth. The incident will last several days and result in the loss of many users. We've seen better scenarios.
Let's explore how PayFit found itself in this hellish situation and, more importantly, how we managed to overcome it!
On the agenda: technical stabilization, untangling data models, breaking apart a Single Point of Failure (SPOF) into several elements with a more restricted blast radius, transitioning to managed services, improving internal accesses, regaining control over risky operations, and ultimately, approaching a technical migration when it impacts all development teams.
Le Comptoir OCTO - Qu’apporte l’analyse de cycle de vie lors d’un audit d’éco...OCTO Technology
Par Nicolas Bordier (Consultant numérique responsable @OCTO Technology) et Alaric Rougnon-Glasson (Sustainable Tech Consultant @OCTO Technology)
Sur un exemple très concret d’audit d’éco-conception de l’outil de bilan carbone C’Bilan développé par ICDC (Caisse des dépôts et consignations) nous allons expliquer en quoi l’ACV (analyse de cycle de vie) a été déterminante pour identifier les pistes d’actions pour réduire jusqu'à 82% de l’empreinte environnementale du service.
Vidéo Youtube : https://www.youtube.com/watch?v=7R8oL2P_DkU
Compte-rendu :
Ouvrez la porte ou prenez un mur (Agile Tour Genève 2024)Laurent Speyser
(Conférence dessinée)
Vous êtes certainement à l’origine, ou impliqué, dans un changement au sein de votre organisation. Et peut être que cela ne se passe pas aussi bien qu’attendu…
Depuis plusieurs années, je fais régulièrement le constat de l’échec de l’adoption de l’Agilité, et plus globalement de grands changements, dans les organisations. Je vais tenter de vous expliquer pourquoi ils suscitent peu d'adhésion, peu d’engagement, et ils ne tiennent pas dans le temps.
Heureusement, il existe un autre chemin. Pour l'emprunter il s'agira de cultiver l'invitation, l'intelligence collective , la mécanique des jeux, les rites de passages, .... afin que l'agilité prenne racine.
Vous repartirez de cette conférence en ayant pris du recul sur le changement tel qu‘il est généralement opéré aujourd’hui, et en ayant découvert (ou redécouvert) le seul guide valable à suivre, à mon sens, pour un changement authentique, durable, et respectueux des individus! Et en bonus, 2 ou 3 trucs pratiques!
2. L’élaboration de la RT 2012
Une concertation large et structurée
2 ans de travaux depuis septembre 2008
13 groupes de travail thématiques :
20 à 25 experts thématiques représentant les professions,
En moyenne 6 réunions par groupe de travail depuis octobre 2008
Une consultation publique périodique quant aux avancées des orientations via
les conférences consultatives :
120 représentants des 5 collèges de la gouvernance du Grenelle
6 conférences consultatives
Plus de 500 contributions écrites
1 groupe de travail d’« applicateurs » experts de la réglementation thermique
40 des bureaux d’études thermiques et centres techniques les plus reconnus,
chargé de tester l’applicabilité des nouvelles règles sur des projets réels
représentatifs des différents secteurs de la construction
Des dizaines de milliers de tests réalisés
2
3. L’élaboration de la RT 2012
Le calendrier
Juin 2010 : Finalisation du décret et des arrêtés méthode de calcul et
exigences
Juillet 2010 : Notification à la Commission européenne
Novembre 2010 : Publication des textes réglementaires
Novembre 2010 : Logiciels d’application de la RT2012 disponibles
Puis :
1er juillet 2011 : Application de la réglementation aux bâtiments tertiaires
1er janvier 2013 : Application de la réglementation aux bâtiments résidentiels
3
4. Les objectifs de la RT 2012
Les objectifs fixés par la loi « Grenelle 1 »
Les objectifs de la réglementation thermique des bâtiments neufs inscrits à
l’article 4 de la loi Grenelle 1 :
Evolution technologique et industrielle significative dans la conception et
l’isolation des bâtiments et pour chacune des filières énergétiques
Un bouquet énergétique équilibré, faiblement émetteur de gaz à effet de serre et
contribuant à l’indépendance énergétique nationale
Pour la RT 2012 :
Consommation d’énergie primaire inférieure à 50 kWh/m²/an en moyenne
Modulation de l’exigence de consommation en fonction des émissions de gaz à
effet de serre des bâtiments
Modulation de l’exigence de critères techniques (localisation géographique, des
caractéristiques et de l’usage des bâtiments)
Afin de garantir la qualité de conception énergétique du bâti, définition
additionnelle d’un seuil ambitieux de besoin maximal en énergie de
chauffage des bâtiments
4
5. Les exigences de la RT 2012
Le cœur de la RT 2012 : trois exigences de
résultats
Exigence d’efficacité énergétique minimale du bâti : le besoin bioclimatique ou
« Bbiomax »
Exigence de limitation simultanée du besoin en énergie pour les composantes liées au bâti
(chauffage, refroidissement et éclairage)
Un indicateur qui rend compte de la qualité de la conception et de l’isolation du bâtiment,
indépendamment du système de chauffage.
Un indicateur qui valorise la conception bioclimatique (accès à l’éclairage naturel, surfaces
vitrées orientées au Sud…) et l’isolation performante
Une innovation conceptuelle majeure, sans équivalent en Europe
Exigence de consommation maximale : « Cmax »
Exigence de consommations maximales d’énergie primaire (objectif de valeur moyenne de 50
kWh/m²/an)
5 usages pris en compte : chauffage, production d’eau chaude sanitaire, refroidissement,
éclairage, auxiliaires (ventilateurs, pompes)
Exigence de confort en été
Exigence sur la température intérieure atteinte au cours d’une séquence
de 5 jours chauds
5
6. Les exigences de la RT 2012
En complément : quelques exigences de moyens
Pour garantir la qualité de mise en œuvre :
Traitement des ponts thermiques
Traitement de l’étanchéité à l’air, avec test de la « porte soufflante » obligatoire dans le
collectif
Pour garantir le confort d’habitation :
Surface minimale de baies vitrées
Pour accélérer le développement des énergies renouvelables :
Généralisation en maison individuelle
Pour un bon usage du bâtiment :
Mesure ou estimation des consommations d’énergie par usage
Information de l’occupant
Pour une qualité énergétique globale :
Production locale d’énergie non prise en compte au-delà de l’autoconsommation
(12 kWhEP/m²/an, comme aujourd’hui dans le label « BBC-Effinergie »)
6
7. Les exigences de la RT 2012
Une plus grande liberté dans la conception des
bâtiments
Une réglementation « performantielle »
Les exigences se concentrent sur la performance globale du bâtiment
Les quelques exigences de moyens sont limitées au strict nécessaire, avec pour
objectif de faire pénétrer significativement une pratique (équipements d’énergie
renouvelable, affichage des consommations, …)
D’où une plus grande liberté dans la conception des bâtiments
Une réglementation plus simple et plus lisible
Expression des exigences en valeur absolue (et non plus en valeur relative, ce qui
nécessitait de comparer chaque bâtiment à un bâtiment de référence théorique)
Suppression des nombreux « garde-fous » techniques de la RT 2005
7
8. Les exigences de la RT 2012
Modulation selon la surface
Afin d’assurer l’équité de la réglementation, et notamment de ne pas pénaliser
les logements de petite surface, l’exigence est modulée en fonction de la surface
du logement.
En maison individuelle En immeuble collectif
Modulation de l'exigence de consommation maximale pour ne pas Modulation de l'exigence de consommation maximale pour ne pas
pénaliser les logements de petite surface pénaliser les logements de petite surface
70 85
80
Cons ommation max imale requise par la
Cmax en appartement
Consommation maximale requise par la
65
Cmax en maison Exemple de courbe iso-prestations techniques appartement
réglementation (k WhEP/m²/an)
75
réglementation (kWhEP/m²/an)
Exemple de courbe iso-prestations techniques maison
60 70
65
55
60
50
55
45 50
75% des maisons
45
40 75% des appartements
40
35 35
70 80 90 100 110 120 130 140 150 160 170 180 190 200 210 20 30 40 50 60 70 80 90 100 110 120 130
Surface hors oeuvre RT moyenne des logements du bâtiment (m²) Surface hors oeuvre RT moyenne des logements du bâtiment (m²)
8
9. Les exigences de la RT 2012
Le cas particulier du logement collectif
Nécessité de ne pas pénaliser le logement collectif par rapport à la maison
individuelle :
Densification, maîtrise de l’étalement urbain, transports collectifs, …
Constat :
Une équation investissement / économies d’énergie moins favorable dans le
logement collectif
Une filière industrielle qui doit s’adapter (notamment proposer des pompes à
chaleur adaptées au collectif, performantes et à coût maîtrisé)
Exigence de consommation augmentée temporairement (jusqu’au 1er
janvier 2015) de 7.5 kWhEP/m²/an
9
10. Les avancées de la RT 2012
Une consommation globale d’énergie
réduite d’un facteur 2 à 4
RT2005 (Cmax en logement) RT2012
Chauffage
Zones Chauffage par
électrique (dont Valeur
climatiques combustibles
pompes à moyenne *
fossiles
chaleur)
H1 130 250 60
H2 110 190 50
H3 80 130 40
*Cette valeur moyenne est modulée en fonction de la localisation
géographique, de l’altitude, du type d’usage du bâtiment, de sa
surface pour les logements, et des émissions de gaz à effet de
serre des bâtiments
10
11. Les avancées de la RT 2012
Exigences par zone climatique (résidentiel)
60
65
55
Cmax
50 60
50 45
40
Hors modulation du Mcsurf et Altitude<400m
11
12. Les avancées de la RT 2012
Exigences par zone climatique (bureaux)
66
72
66
Cmax
60 66
54 48
48
Altitude <400m
12
13. Les avancées de la RT 2012
Un besoin de chauffage divisé par 2 ou 3, par une
meilleure conception / isolation
1. Division par 2 à 2,5 entre les exigences réglementaires RT2005 et RT2012
2. Division par 2 entre les bonnes pratiques en 2010 et le bâti performant BBC
3. Division par 3 entre les bonnes pratiques en 2010 et les meilleures techniques disponibles
Réduction du besoin de chauffage (base 100) : de l'exigence minimale d'isolation
de la RT2005 aux meilleures techniques disponibles, par zone climatique
100
90
1
80
Exi gence mi ni mal e RT2005 (Ubat_max)
70
Bâti RT2005 bonne pr ati que 2010 hor s
60 BBC
50 2 Exi gence mi ni mal e RT2012 (Bbi omax)
40 Bâti per for mant BBC
30 3 Bâti mei l l eur es techni ques di sponi bl es
20
10
0
H1a H1b H1c H2a H2b H2c H2d H3
13
14. Les avancées de la RT 2012
Une généralisation des techniques performantes
Conception / isolation du bâti nettement améliorée (un besoin de chauffage
réduit par 2 à 3)
Amélioration des performances des systèmes de chauffage de 10 à 20 %
pour le chauffage par PAC, par gaz condensation et par chaudières bois
Généralisation du chauffe-eau thermodynamique ou de capteurs solaires
thermiques
Généralisation des énergies renouvelables en maison individuelle
Réduction de 30% de l’éclairage
Autres avancées induites : large diffusion du triple vitrage pour les maisons
chauffées par convecteur, et de la ventilation double-flux au Nord-Est de la
France, …
14
15. Les avancées de la RT 2012
Une réduction des consommations d’énergie et
des émissions de CO2
Réduction de la consommation d’énergie primaire de 150 milliards de kWh
entre 2013 et 2020
Réduction des émissions de CO2 entre 13 et 35 millions de tonnes de CO2
(selon la méthode) entre 2013 et 2020
15
16. Évaluation économique de la RT 2012
Maison individuelle
Étude de cas sur 2 maisons :
Cas n° : maison cœur de cible en primo-accession, dans la configuration la plus
1
pénalisante - limite basse de surface avant modulation des exigences (90m²SHAB),
orientation Est-Ouest, plain pied et garage intégré (mauvais facteur de forme).
Cas n° : maison statistiquement moyenne représentant le marché 2009 de la
2
construction de maisons individuelles - 110m²SHAB, R+1, orientation est-ouest
Les maisons choisies : maisons en catalogue de grands constructeurs de maisons
individuelles
Partie technique : réalisée avec le moteur de la RT2012, par le groupe de BET
applicateurs de la RT2012, sur la base de fichiers vérifiés par le CSTB,
Partie économique : réalisée sur la base des chiffrages de 3 grands constructeurs de
maisons individuelles, avec des prix de vente 2010 en €TTC, vérifiés par le groupe de
BET applicateurs de la RT2012
16
17. Évaluation économique de la RT 2012
Cas n°1 – Maison individuelle 90 m² SHAB (coût
2010 : 95k€)
Maison cœur de cible en primo-accession
17
18. Évaluation économique de la RT 2012
Cas n°1 – Surcoûts d’investissement avec effet
d’apprentissage en 2013
Solution 1 : Effet Joule (convecteur) + ECS thermodynamique performant + Bâti meilleures techniques disponibles
Solution 2 : Pompe à chaleur + ECS thermodynamique + Bâti performant BBC
Solution 3 : Chaudière condensation gaz + ECS solaire avec appoint chaudière + Bâti performant BBC
Solution 4 : Chaudière bois granulé + ECS bois + Bâti performant BBC
Solution 5 : Réseau de chaleur urbain (RCU) + ECS RCU + Bâti performant BBC
12 000 12%
10,6%
10 000 10%
10 050
7,4% 7,4%
8 000 7,0% 8%
6,9%
7 050 7 050
6 000 6 650 6 550 6%
4 000 4%
2 000 2%
- 0%
1 2 3 4 5
18
19. Évaluation économique de la RT 2012
Cas n°1 – Écart de coût global sur 20 ans
Solution 1 : Effet Joule (convecteur) + ECS thermodynamique performant + Bâti meilleures techniques disponibles
Solution 2 : Pompe à chaleur + ECS thermodynamique + Bâti performant BBC
Solution 3 : Chaudière condensation gaz + ECS solaire avec appoint chaudière + Bâti performant BBC
Solution 4 : Chaudière bois granulé + ECS bois + Bâti performant BBC
Solution 5 : Réseau de chaleur urbain (RCU) + ECS RCU + Bâti performant BBC
Zone H1a
8 000
Zone H2b
5 971
6 000 Zone H3
4 000 3 105
2 246
2 000
306
-
-2 000
1 2 3 4 5
-1 551 -862 -1 782
-2 106
-4 000
-3 874
-6 000 -5 490
-5 145 -5 828
-8 000
-8 231
-10 000
-9 623 -10 349
-12 000
19
20. Évaluation économique de la RT 2012
Cas n°2 - maison individuelle 110 m² SHAB (coût
2010 : 125 k€)
Maison statistiquement moyenne représentant le marché 2009 de la construction
de maisons individuelles (source : base de données des PC autorisés en 2009 – SIT@DEL)
20
21. Évaluation économique de la RT 2012
Cas n°2 – Surcoûts d’investissement avec effet
d’apprentissage en 2013
Solution 1 : Effet Joule (convecteur) + ECS thermodynamique performant + Bâti meilleures techniques disponibles
Solution 2 : Pompe à chaleur + ECS thermodynamique + Bâti performant BBC
Solution 3 : Chaudière condensation gaz + ECS solaire avec appoint chaudière + Bâti performant BBC
8 000 7,0%
7 200 7 200
6 850
7 000 6,0%
6 000 5,8% 5,8%
5,5% 5,0%
5 000
4,0%
4 000
3,0%
3 000
2,0%
2 000
1 000 1,0%
- 0,0%
1 2 3
21
22. Évaluation économique de la RT 2012
Cas n°2 – Écart de coût global sur 20 ans
Solution 1 : Effet Joule (convecteur) + ECS thermodynamique performant + Bâti meilleures techniques disponibles
Solution 2 : Pompe à chaleur + ECS thermodynamique + Bâti performant BBC
Solution 3 : Chaudière condensation gaz + ECS solaire avec appoint chaudière + Bâti performant BBC
4 000
1 344
2 000
-
-2 000 1 2 3
-2 389
-4 000
-4 004
-4 690
-6 000
-8 000
-7 947
-10 000
-9 821 -9 655
-12 000
-14 000
-13 587
-16 000 Zone H1a
-15 178
Zone H2b
-18 000
Zone H3
22
23. Évaluation économique de la RT 2012
Immeuble collectif
Étude de cas sur 1 immeuble collectif :
Cas n° : Immeuble collectif d’architecture régulière, sans découpage, 1 213 m² de
3
surface habitable, 17 logements. Orientation est-ouest défavorable.
Logements de surface moyenne égale à la moyenne statistique issue de la base de
données SIT@DEL pour les PC autorisés en 2009
Partie technique : réalisée avec le moteur de la RT2012, par le groupe de BET
experts de l’application de la RT, sur la base de fichiers vérifiés par le CSTB,
Partie économique : réalisée sur la base des chiffrages de BET experts de
l’application de la RT2012
23
24. Évaluation économique de la RT 2012
Cas n°3 – Immeuble collectif d’architecture
régulière – 17 logements (coût 2010 : 84 k€/logt)
24
25. Évaluation économique de la RT 2012
Cas n°3 – Surcoûts d’investissement avec effet
apprentissage en 2013
Solution 1 : Effet Joule (convecteur) + ECS solaire avec appoint thermodynamique + Bâti très bonnes techniques
Solution 2 : Effet Joule (convecteur) + ECS thermodynamique individuelle performante + Bâti très bonnes techniques
Solution 3 : Pompe à chaleur collective + ECS thermodynamique collective + Bâti performant BBC
Solution 4 : Chaudière collective condensation gaz + ECS gaz + Bâti performant BBC
Solution 5 : Chaudière collective condensation gaz + ECS solaire avec appoint chaudière + Bâti performant BBC
Solution 6 : Chaudière individuelle + ECS instantanée + Bâti performant BBC
Solution 7 : Réseau de chaleur urbain (RCU) + ECS RCU + Bâti performant BBC
Solution 8 : Réseau de chaleur urbain (RCU) + ECS solaire avec appoint RCU + Bâti performant BBC
Solution 9 : Bois + ECS bois + Bâti performant BBC
7 000 8%
6,7% 7,0%
6,9% 6,7% 6,6%
6 000 7%
5,7% 5,5%
5 755 5 879
5 588 6%
5 000 5 588 5 570
4,8%
4,3% 4 807 4 617 5%
4 000
4 032
4%
3 595
3 000
3%
2 000
2%
1 000 1%
- 0%
1 2 3 4 5 6 7 8 9
25
26. Évaluation économique de la RT 2012
Cas n°3 – Écart de coût global sur 20 ans
Solution 1 : Effet Joule (convecteur) + ECS solaire avec appoint thermodynamique + Bâti très bonnes techniques
Solution 2 : Effet Joule (convecteur) + ECS thermodynamique individuelle performante + Bâti très bonnes techniques
Solution 3 : Pompe à chaleur collective + ECS thermodynamique collective + Bâti performant BBC
Solution 4 : Chaudière collective condensation gaz + ECS gaz + Bâti performant BBC
Solution 5 : Chaudière collective condensation gaz + ECS solaire avec appoint chaudière + Bâti performant BBC
Solution 6 : Chaudière individuelle + ECS instantanée + Bâti performant BBC
Solution 7 : Réseau de chaleur urbain (RCU) + ECS RCU + Bâti performant BBC
Solution 8 : Réseau de chaleur urbain (RCU) + ECS solaire avec appoint RCU + Bâti performant BBC
Solution 9 : Bois + ECS bois + Bâti performant BBC
Zone H2b
-
1 2 3 4 5 6 7 8 9
-1 000
-342
-2 000
-3 000
-2 805
-4 000
-4 159
-4 428 -4 402
-5 000
-4 732 -5 117
-6 000
-6 060 -5 676
-7 000
26
27. Les options sur le marché de l’immobilier
Le meilleur choix : acquérir un logement neuf
BBC, ou acheter et rénover un logement ancien
Durée du prêt principal (années) 20 240
Taux d'emprunt (annuel) 4,00% 0,33%
Durée du prêt à taux zéro (années) 10
Maison individuelle - zone H2b
Cas n° : 110m² SHAB en R+C
2
1 2 3 4
MI parc non MI parc rénovée
rénovée éco-PTZ MI RT2005 MI RT2012
Bâti années 80 +
isolation combles Bâti performant
Bâti années 80 + double vitrage Bâti années 2000 BBC
Convecteurs PAC électrique Convecteurs PAC électrique
ECS accu électrique ECS thermo ECS accu électrique ECS thermo
Coût de l'investissement initial en 2013 110 000 € 110 000 € 125 000 € 132 200 €
Coût du bouquet de travaux 26 000 €
Coût d'investissement total 110 000 € 136 000 € 125 000 € 132 200 €
Mensualité de remboursement de prêt
Prêt principal 662 € 662 € 753 € 796 €
Prêt à taux zéro 217 € 0€
Charge énergétique mensuelle 236 € 61 € 84 € 29 €
Mensualités sur les 10 premières années 898 € 940 € 837 € 825 €
Mensualités de 10 ans à la fin du prêt principal 898 € 724 € 837 € 825 €
Mensualités après la fin du prêt principal 236 € 61 € 84 € 29 €
Cumul des coûts sur 30 ans 243 906 € 206 986 € 210 906 € 201 512 € 27
28. Les avancées de la RT 2012
Une avancée majeure du Grenelle Environnement
Une forte amélioration de la performance énergétique des bâtiments neufs
Consommations d’énergie réduites d’un facteur 2 à 4, amélioration de la conception
bioclimatique et de l’isolation, généralisation des techniques les plus performantes, …
Un gain de pouvoir d’achat pour les Français
Un coût de construction maîtrisé : +5 à 7% en 2013
Un bouquet de solutions techniques disponibles (PAC, gaz/solaire, bois, convecteurs
…) à coûts très proches (ce qui favorisera la concurrence et la baisse des prix)
Un investissement rentable : des mensualités d’emprunt largement couvertes par les
économies d’énergie, et à l’issue un gain de pouvoir d’achat très important
Une économie sur 20 ans de 5 000 € (immeuble collectif) à 15 000 € (maison
individuelle)
150 milliards de kWh économisés et 13 à 35 millions tonnes de CO2
en moins dans l’atmosphère sur la période 2013-2020
28
29. Conclusion
La France devient le pays leader en Europe
La France est le seul pays en Europe avec ce niveau d’ambition et ce
calendrier de mise en œuvre.
Pays-Bas : à partir de 2011 renforcement de 33% des exigences sur trois usages (le chauffage,
le refroidissement et l’eau chaude sanitaire) par rapport aux exigences actuelles. Pas
d’exigences en valeur absolue mais les logements neufs consomment environ 130 kWhEP/m²
par an.
Belgique : d’ici 2020 (date non fixée) renforcement de 20% des exigences. Pas de valeur
absolue mais études et discussions ont démarré en février 2010 pour voir à quel niveau va
être placée la transposition nationale de l’exigence européenne de 2020 (« le plus près
possible de zéro énergie consommée ») en fonction de l’évaluation économique.
Royaume-Uni : à court terme, renforcement des exigences de 25 % prévu cette année et de
nouveau de 25% en 2013. Pas de valeur absolue.
Allemagne : le dernier renforcement date de 2008. Une exigence sur le besoin en énergie pour
le chauffage, l’eau chaude sanitaire et la ventilation établie à 100 kWhEP/m² par an,
ce qui peut être comparé à une consommation maximale de 110 kWhEP/m² par an
avec l’éclairage.
29
30. Conclusion
Le Grenelle Environnement a deux ans d’avance
45 000 demandes de certifications BBC
20 fois plus que prévu
Evolution annuelle du nombre de logements en
Doublement en 5 mois cours de certification avec label BBC - Effinergie
Des outils fiscaux puissants 50000
45000
PTZ, TEPA, Scellier, TFPB 40000
Nombre de logements
Un avantage au BBC dans le cadre de la 35000
30000
réforme de l’accession à la propriété 25000
20000
Le BBC devient le standard du 15000
10000
marché 5000
0
Les acteurs de la construction se 31/12/2008. 31/12/2009. 31/05/2010.
mobilisent et s’engagent
FPC, UMF, UCI, bailleurs sociaux
30