Corrigé de l'activité de compréhension

1. CORRIGÉ. L’université française plus chère pour les étrangers ? 28/11/14
Dossier 419
Activité 1 :
1. La faculté - le département - l’université.
2. Les frais de scolarité - les frais de fournitures - les frais d’inscription.
3. L’amphithéâtre - la salle de cours - la bibliothèque universitaire.
4. Le stage - la licence - le master.
5. Le mémoire - l’examen - la thèse.
6. Augmenter - plafonner - payer plus cher.
7. Le technicien de surface - le lecteur - le professeur.
Activité 2 : Pistes de corrections:
1. C’est le prix Nobel français, Jean Tirole.
2. Ils ont parlé des frais de scolarité à l’université.
3. Les droits d’inscription varient de 190 à 300 euros par an en fonction du niveau.
4. Le directeur de la Toulouse School of Economics, Christian Gollier s’oppose à ce que le
contribuable français paie les études d’étudiants chinois.
5. Il a constaté qu’il y a énormément d’étudiants chinois qui payent 20, 30, 40, 50 000
dollars par an pour étudier dans ces universités.
6. Ce sont les étudiants issus de pays hors de l’Union européenne qui seraient touchés
par les augmentations.
7. Les étudiants disent qu’une telle augmentation aurait été un vrai problème, qu’ils
espèrent que les frais n’augmenteront pas. Le jeune homme interviewé souligne que c’est
là un des points positifs des universités françaises.
8. Rien n’est prévu dans le calendrier du gouvernement pour le moment.
Activité 3 : Pistes de corrections:
1. Lors d’un déjeuner, face à la ministre de l’Enseignement supérieur, l’économiste a
relancé le débat sur les frais de scolarité.
2. Aujourd’hui, les étudiants étrangers représentent 12 % de la population étudiante
totale.
3. J’étais la semaine dernière en Californie, à Berkerley et Stanford.
4. Pour l’heure, rien n’est prévu dans le calendrier du gouvernement sur le sujet.
Activité 4 :
NON
À LA DISCRIMINATION DES ÉTRANGERS À LA FAC !
La semaine dernière, lors d’un déjeuner, le prix Nobel français, Jean Tirole a lancé l’idée
d’augmenter les frais de scolarité des étudiants hors Union européenne, avec l’excuse que dans
les universités américaines, on accepte de payer des sommes astronomiques. C’est scandaleux !
Tout d’abord, si nous sommes ici, en France, c’est pour la qualité de l’enseignement académique,
mais c’est justement, parce qu’on ne peut pas payer les frais d’études appliqués aux États-Unis
ou au Royaume-Uni. Etc.
Venez nombreux soutenir notre action.
Rejoignez-nous lundi prochain, 15h00,
à la fac d’économie, devant l’amphi Pascal.