Principales dispositions fiscales de la loi de finance 2015
Sage simp ecv 2014
1. Contribution sociale de solidarité, télédéclaration fiscale obligatoire, loi 32-10 sur les délais de
paiement, autant de nouvelles réglementations qui ont suscité de nombreuses interrogations et
créer une confusion générale chez les chefs d’entreprises quant à leur application effective.
40% des PME marocaines s’alarment et sont déstabilisées au sujet de l’application des nouvelles
lois mises en place par le gouvernement en ce début d’année. C’est ce que Sage pourrait
extrapoler, sur la base de son parc installé au Maroc, par rapport à la mise en application des
nouvelles réglementations depuis le 1er janvier 2013.
En effet, Sage Maroc, leader de l’édition de logiciels de gestion au Maroc (comptabilité,
facturation, paie et RH, trésorerie, recouvrement, etc…), compte plus de 15 000 entreprises qui
utilisent ses solutions chaque jour. Sage a reçu, sur une période de deux mois, près de 5.750
appels téléphoniques de la part de ses clients, soit près de 40% de son parc installé et ce pour
interroger les responsables de Sage sur l’ensemble des règles et des applications des nouvelles
réglementations fiscales et juridiques et de leur implémentation dans leur logiciel.
Pourquoi ces entreprises se retournent vers Sage ?
Car le dispositif de communication a été insuffisant et mal adapté pour pallier à la confusion et au
mouvement de panique, provoqués par ces annonces.
D’après l’enquête menée par Sage auprès des entreprises qui ont contacté le centre de relation
client Sage, cellule dédiée et montée par Sage spécialement pour l’occasion (5 collaborateurs à
plein temps en réception d’appel, soit 26 appels par jour et par personne), il ressort que ces
entreprises ont demandé l’assistance, en premier lieu, de leurs experts-comptables, puis de leurs
revendeurs informatiques, et souvent sur recommandation des experts-comptables, elles ont fait
appel à Sage, reconnu comme un éditeur de confiance.
Les trois sujets d’actualités sur lesquels Sage a été fortement sollicité sont :
La mise en application de la contribution sociale de solidarité sur les revenus salariaux.
La télédéclaration fiscale en EDI pour les entreprises dont le chiffre d’affaires est supérieur à
50 MDH, conformément aux exigences de la Direction Générale des Impôts.
La mise en application de la loi 32-10 qui fixe les délais de paiement et le taux de la pénalité
de retard exigible, en cas de non règlement dans les délais.
« Il faut savoir qu’à travers les diverses formules de maintenance acquises par nos clients, Sage
leur apporte la garantie que leur solution sera toujours conforme aux nouvelles dispositions
légales. Et ce qui fait la différence entre Sage et tout autre éditeur, c’est la capacité des équipes
Sage à piloter ces évolutions réglementaires avec les administrations concernées, anticiper les
développements et ainsi offrir, dès leur exigibilité, les meilleurs logiciels à nos clients, et cela en
toute sérénité », précise Hicham MOUNSIF, Directeur de la R&D Sage au Maroc.
Ainsi, malgré le flou qui a entouré chacune de ces réglementations, Sage comble le vide crée par
la promulgation de ces nouvelles lois et reste fidèle à sa promesse d’accompagner les
entreprises marocaines notamment les PME, dans la mise en œuvre complexe de ces nouvelles
lois et ce en toute sérénité. Sage a ainsi lancé et vendu avec succès, depuis plusieurs mois déjà,
de nouvelles solutions pour répondre à chacune de ces nouvelles exigences, telles que :
Sage Simpl ECF (Etats Comptables et Fiscaux), logiciel de génération de la liasse fiscale,
sur tous les formats, notamment en XML pour la déclaration en EDI.
Sage 1000 Collect et Sage 100 Comptabilité Pack + Génération i7, qui permet la gestion
complète et automatisée du recouvrement et la génération et suivi des pénalités de retards.
Sage Paie version V20.50, qui bénéficie depuis le 1er décembre d’un patch pour établir
automatiquement la taxe de solidarité sur les hauts salaires et gérer la déclaration associée.
« Ce qui nous a inquiété, c’est le manque de connaissance et de maîtrise de ces nouveaux
dispositifs par les PME. Nous avons dû pallier, par nos propres moyens, à ce manque de
communication en réalisant des investissements importants, entre autres: un livre blanc, un road
2. show sur plusieurs villes, un grand séminaire à Casablanca, et une cellule de crise pour aider nos
clients à mieux cerner ces nouvelles lois. Heureusement, que nous avons un réseau
d’intégrateurs solide et compétent, ainsi qu’un partenariat fort avec l’Ordre des Experts-
Comptables (D’ailleurs Sage est actuellement, en volume, le premier fournisseur de solutions de
gestion comptable pour la profession) et que finalement nous sortons de cette période en ayant
su répondre à l’ensemble des attentes de nos clients grâce à la mobilisation de nos 60
collaborateurs impliqués chaque jour dans la satisfaction client » insiste Grégory DESMOT,
Directeur Général de Sage au Maroc.
Le gouvernement Marocain avait bien commencé l’année, en jouant parfaitement son rôle de
législateur dont l’ambition est de moderniser, voir sauver les PME marocaines. Mais le manque
de clarté et d’accompagnement des institutions ont mis ces mêmes entreprises au pied du mur,
et en grand danger!
Pourtant, ce n’est pas fini, à peine sorti de cette période fiscale et sociale, un nouveau challenge
nous attend: « A peine reposé de ces trois premières lois, nous travaillions déjà sur la prochaine
rupture que les PME vont connaitre à court terme dans leur environnement de travail. Le
protocole d’échange de données bancaires va certainement évoluer et donc toutes les
passerelles pour récupérer les comptes bancaires ou émettre des ordres vont évoluer. Nous
travaillons d’ores et déjà avec les plus grandes banques du marché pour nous assurer de la
compatibilité de nos solutions avec ce nouveau protocole (probablement EBICS) et seront prêt le
jour J pour permettre à nos clients de migrer de solution sans contrainte et en toute
sérénité » rassure Hicham MOUNSIF, Directeur de la R&D Sage au Maroc.