Lorsque l’équipe de projet a des ailes: Le Bioteaming au service de la gestio...Claude Emond
Conférence à deux (Charlotte Goudreault et Claude Emond) présentée à Lyon le 4 décembre pour le compte du PMI et du CESI (et présentée par la suite au CESI de Paris (Nanterre). Cette conférence explique la complémentarité entre la gestion de projet agile et les «lois» du bioteaming issues de l'observation des espèces vivantes «collaboratives»
Contributions empiriques sur l'offre et la demande de téléphonie mobileCadet Thomas
L’objectif de cette thèse empirique est de contribuer à une meilleure compréhension du marché de la téléphonie mobile en étudiant les stratégies d’offres (et notamment la tarification) des opérateurs, ainsi que les comportements des consommateurs en termes d'usages et de recommandation.
Nous montrons que la tarification des forfaits mobiles reste principalement fondée sur la quantité de minutes incluses malgré l’existence de nombreux autres services dans ces forfaits (SMS, data...). Toutefois depuis 2011, les opérateurs s’orientent vers un modèle de tarification fondé sur l'accès (c.-à-d. que la composante fixe du prix du forfait tend à augmenter). Enfin, notre analyse des prix hédoniques montre que les prix des services ont fortement baissé entre 2010 et 2011, suggérant que les opérateurs ont bien anticipé l'arrivée de Free Mobile.
Cette thèse met également en évidence qu’à caractéristiques identiques, les forfaits d'Orange et SFR sont plus chers de 5 euros par rapport à ceux proposés par Bouygues Télécom. Cette différence de prix pourrait s'expliquer par leur image de marque, leur qualité ou leur relation client qui s'avèrent être de puissants moteurs de promotion entre individus d'après nos estimations. Par ailleurs, nos résultats indiquent que les effets "club" n'influencent pas la recommandation d’un opérateur, suggérant que la concurrence entre acteurs de tailles différentes est tout à fait viable.
Cette thèse s'intéresse enfin aux usages des consommateurs via l'analyse des communications de plus de 2 millions d’abonnés d’un opérateur belge. Nous vérifions entre autres que les individus ne répartissent pas leurs appels de manière uniforme et que les types de contrat (prépayé, postpayé) conduisent à des profils de communication différents. Les consommateurs postpayés consomment principalement de la voix tandis que les clients prépayés consomment principalement des SMS.
Cette thèse modélise aussi les flux de communication entre individus et montre que les externalités d'appels jouent un rôle important dans l'explication des comportements de communication en influençant de manière significative les émissions de voix et de SMS. De plus selon la nature du contrat (prépayé, postpayé), la voix et le texte apparaissent comme complémentaires ou substituables dans les usages des abonnés.
Au final, cette thèse a des implications à la fois d'ordre stratégique et réglementaire. Elle montre quels sont les leviers que les opérateurs peuvent utiliser pour fidéliser leurs abonnés et encourager la recommandation de leurs services. Elle permet aussi de mieux appréhender les impacts de la réglementation en vigueur sur les stratégies tarifaires des opérateurs mobiles et les usages des abonnés (notamment en matière de voix, texte et data).
Voix VS SMS, Une analyse par les relations individuellesCadet Thomas
Des travaux ont montré que la nature du contrat influence le choix des consommateurs (Gerpott, 2009; Mitomo et al., 2009), nos estimations montrent qu’elle influence la relation entre la voix et le texte. Notamment, les SMS agiraient comme complément de la voix pour les postpayés alors qu’ils n’influenceraient pas ou alors négativement l’émission de voix des prépayés. Cette relation différente s’expliquerait en partie par les externalités d’appel qui sont plus importantes chez les postpayés. Ces résultats donnent une explication aux divergences observées dans la littérature et souligne l’importance de prendre en compte les externalités de communication dans la modélisation des usages sur ce type de marché.
Satisfaction, effet de réseau et recommandation des consommateurs dans la tél...Cadet Thomas
Sur un marché de la téléphonie mobile proche de la saturation, l’objectif de chaque opérateur est de fidéliser ses abonnés tout en attirant les clients des opérateurs concurrents. Cet objectif est d’autant plus facilement atteint que les abonnés sont prêts à recommander leur opérateur mobile. Cet article s’attache à identifier les facteurs qui influencent la recommandation par les abonnés de leur opérateur de téléphonie mobile. À partir d’une enquête menée auprès de 10 926 abonnés des trois opérateurs mobiles français, nous montrons que le prix et la qualité des services, de la couverture réseau et de la relation client sont les principaux déterminants de la propension à recommander. En revanche, la variété des offres et la qualité du conseil sur celles-ci ainsi que les effets club ne semblent pas jouer un rôle significatif dans le processus de recommandation.
Documation
Le rendez-vous de la gestion de l'information et du document numérique en entreprise | ECM | GED | Management de l'Information Stratégique
http://www.documation.fr/
Recherche, collecte, création, organisation, diffusion, partage, évaluation
Rendez-vous les 21 et 22 mars 2012 au CNIT de Paris La Défense pour LE salon français de la gestion de l’information et des documents
Lorsque l’équipe de projet a des ailes: Le Bioteaming au service de la gestio...Claude Emond
Conférence à deux (Charlotte Goudreault et Claude Emond) présentée à Lyon le 4 décembre pour le compte du PMI et du CESI (et présentée par la suite au CESI de Paris (Nanterre). Cette conférence explique la complémentarité entre la gestion de projet agile et les «lois» du bioteaming issues de l'observation des espèces vivantes «collaboratives»
Contributions empiriques sur l'offre et la demande de téléphonie mobileCadet Thomas
L’objectif de cette thèse empirique est de contribuer à une meilleure compréhension du marché de la téléphonie mobile en étudiant les stratégies d’offres (et notamment la tarification) des opérateurs, ainsi que les comportements des consommateurs en termes d'usages et de recommandation.
Nous montrons que la tarification des forfaits mobiles reste principalement fondée sur la quantité de minutes incluses malgré l’existence de nombreux autres services dans ces forfaits (SMS, data...). Toutefois depuis 2011, les opérateurs s’orientent vers un modèle de tarification fondé sur l'accès (c.-à-d. que la composante fixe du prix du forfait tend à augmenter). Enfin, notre analyse des prix hédoniques montre que les prix des services ont fortement baissé entre 2010 et 2011, suggérant que les opérateurs ont bien anticipé l'arrivée de Free Mobile.
Cette thèse met également en évidence qu’à caractéristiques identiques, les forfaits d'Orange et SFR sont plus chers de 5 euros par rapport à ceux proposés par Bouygues Télécom. Cette différence de prix pourrait s'expliquer par leur image de marque, leur qualité ou leur relation client qui s'avèrent être de puissants moteurs de promotion entre individus d'après nos estimations. Par ailleurs, nos résultats indiquent que les effets "club" n'influencent pas la recommandation d’un opérateur, suggérant que la concurrence entre acteurs de tailles différentes est tout à fait viable.
Cette thèse s'intéresse enfin aux usages des consommateurs via l'analyse des communications de plus de 2 millions d’abonnés d’un opérateur belge. Nous vérifions entre autres que les individus ne répartissent pas leurs appels de manière uniforme et que les types de contrat (prépayé, postpayé) conduisent à des profils de communication différents. Les consommateurs postpayés consomment principalement de la voix tandis que les clients prépayés consomment principalement des SMS.
Cette thèse modélise aussi les flux de communication entre individus et montre que les externalités d'appels jouent un rôle important dans l'explication des comportements de communication en influençant de manière significative les émissions de voix et de SMS. De plus selon la nature du contrat (prépayé, postpayé), la voix et le texte apparaissent comme complémentaires ou substituables dans les usages des abonnés.
Au final, cette thèse a des implications à la fois d'ordre stratégique et réglementaire. Elle montre quels sont les leviers que les opérateurs peuvent utiliser pour fidéliser leurs abonnés et encourager la recommandation de leurs services. Elle permet aussi de mieux appréhender les impacts de la réglementation en vigueur sur les stratégies tarifaires des opérateurs mobiles et les usages des abonnés (notamment en matière de voix, texte et data).
Voix VS SMS, Une analyse par les relations individuellesCadet Thomas
Des travaux ont montré que la nature du contrat influence le choix des consommateurs (Gerpott, 2009; Mitomo et al., 2009), nos estimations montrent qu’elle influence la relation entre la voix et le texte. Notamment, les SMS agiraient comme complément de la voix pour les postpayés alors qu’ils n’influenceraient pas ou alors négativement l’émission de voix des prépayés. Cette relation différente s’expliquerait en partie par les externalités d’appel qui sont plus importantes chez les postpayés. Ces résultats donnent une explication aux divergences observées dans la littérature et souligne l’importance de prendre en compte les externalités de communication dans la modélisation des usages sur ce type de marché.
Satisfaction, effet de réseau et recommandation des consommateurs dans la tél...Cadet Thomas
Sur un marché de la téléphonie mobile proche de la saturation, l’objectif de chaque opérateur est de fidéliser ses abonnés tout en attirant les clients des opérateurs concurrents. Cet objectif est d’autant plus facilement atteint que les abonnés sont prêts à recommander leur opérateur mobile. Cet article s’attache à identifier les facteurs qui influencent la recommandation par les abonnés de leur opérateur de téléphonie mobile. À partir d’une enquête menée auprès de 10 926 abonnés des trois opérateurs mobiles français, nous montrons que le prix et la qualité des services, de la couverture réseau et de la relation client sont les principaux déterminants de la propension à recommander. En revanche, la variété des offres et la qualité du conseil sur celles-ci ainsi que les effets club ne semblent pas jouer un rôle significatif dans le processus de recommandation.
Documation
Le rendez-vous de la gestion de l'information et du document numérique en entreprise | ECM | GED | Management de l'Information Stratégique
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Recherche, collecte, création, organisation, diffusion, partage, évaluation
Rendez-vous les 21 et 22 mars 2012 au CNIT de Paris La Défense pour LE salon français de la gestion de l’information et des documents
Veille et intelligence économique - 3/4 veille strategiquePaulilh
La Veille stratégique implique des liens avec la stratégie de l’entreprise afin de pouvoir passer du pointillisme de la démarche à l’approche globale attendue par les managers. A la différence de la Veille opérationnelle (ou Veille métier) plutôt centrées sur les moyens, les tâches et les fonctions opérationnelles, la Veille stratégique est centrée sur la performance globale, une vision du futur et une approche transversale à l’organisation.
La spécification du besoin impose de clarifier le périmètre d’approche (DAS, projet), puis de formuler ou rappeler les objectifs stratégiques : des méthodes sont proposées. Les perturbations de l’environnement susceptibles d’affecter les objectifs sont passées en revue à partir d’un modèle des facteurs influents, puis sont hiérarchisés en vue d’identifier les Facteurs Clés de Succès. Ce sont les FCS qui vont constituer le champ de la Veille stratégique.
Pour exploiter et interpréter l’information recueillie, diverses méthodes sont proposées. Le rendu de la veille stratégique est précisé (types de livrables attendus par les managers).
Slides de référence, présentées dans de nombreuses conf cet automne : Toulouse Numérique (avec Neil Gershenfeld), HEC, grandes entreprises comme Prisma, Suez, Institut des Futurs Souhaitables...
Atelier technique de la technopôle de Rouen le 8 décembre 2015, Conférence de...Yvon Gervaise
En science, technologie, économie qu'en est-il des nouvelles capacités à se projeter dans l'avenir? Les scientifiques depuis peu nous ont dotés de machines ultra puissantes qui semblent à la veille de prédire le destin.
Des membres du Technopôle, des scientifiques et des responsables du laboratoire témoignent. Conférence Yvon Gervaise, SGS Multilab.
Veille et intelligence économique - 3/4 veille strategiquePaulilh
La Veille stratégique implique des liens avec la stratégie de l’entreprise afin de pouvoir passer du pointillisme de la démarche à l’approche globale attendue par les managers. A la différence de la Veille opérationnelle (ou Veille métier) plutôt centrées sur les moyens, les tâches et les fonctions opérationnelles, la Veille stratégique est centrée sur la performance globale, une vision du futur et une approche transversale à l’organisation.
La spécification du besoin impose de clarifier le périmètre d’approche (DAS, projet), puis de formuler ou rappeler les objectifs stratégiques : des méthodes sont proposées. Les perturbations de l’environnement susceptibles d’affecter les objectifs sont passées en revue à partir d’un modèle des facteurs influents, puis sont hiérarchisés en vue d’identifier les Facteurs Clés de Succès. Ce sont les FCS qui vont constituer le champ de la Veille stratégique.
Pour exploiter et interpréter l’information recueillie, diverses méthodes sont proposées. Le rendu de la veille stratégique est précisé (types de livrables attendus par les managers).
Slides de référence, présentées dans de nombreuses conf cet automne : Toulouse Numérique (avec Neil Gershenfeld), HEC, grandes entreprises comme Prisma, Suez, Institut des Futurs Souhaitables...
Atelier technique de la technopôle de Rouen le 8 décembre 2015, Conférence de...Yvon Gervaise
En science, technologie, économie qu'en est-il des nouvelles capacités à se projeter dans l'avenir? Les scientifiques depuis peu nous ont dotés de machines ultra puissantes qui semblent à la veille de prédire le destin.
Des membres du Technopôle, des scientifiques et des responsables du laboratoire témoignent. Conférence Yvon Gervaise, SGS Multilab.
1. Thèse en Sciences de Gestion
La communauté de pratique comme outil
d’accompagnement en entrepreneuriat:
le cas de la reprise d’entreprise
Présentée par Nahissatou UK
Le 15 décembre 2011
DIRECTEUR DE THESE: Pr. Mohamed BAYAD
1
2. PLAN DE LA PRÉSENTATION :
• Contexte, problématique et questions de recherche
• Démarche méthodologique et résultats obtenus
• Implications de la recherche et perspectives
3. PLAN DE LA PRÉSENTATION :
• Contexte, problématique et questions de recherche
• Démarche méthodologique et résultats obtenus
• Implications de la recherche et perspectives
4. CONTEXTE
DE LA THÈSE
▸ Thèse CIFRE (Convention Industrielle de Formation pour la Recherche)
▸ Laboratoire CEREFIGE: axe EMI (Entrepreneuriat – Manager - Innovation)
▸ Entreprise Syntec numérique:
Chambre syndicale professionnelle des sociétés de Services informatiques, des
Éditeurs de Logiciels et des sociétés de Conseil en Technologie
• Promotion du secteur
• Défense des intérêts
• Service aux adhérents
• Porte-parole institutionnel
4
5. GENÈSE DE LA
PROBLÉMATIQUE
Phénomène de la reprise Accompagnement des repreneurs
- Nombre important d’entreprises à - Nombreux organismes de soutien
reprendre dans les prochaines
pratique ( APCE, APCM…), forte concurrence,
années (INSEE, OSEO, 2005) offre globalisée => fragilisée
- Difficultés des repreneurs => - Marché opaque, système
problèmes de reprise effective puis de théorique d’informations et d’accompagnement
pérennité des entreprises reprises peu visible, manque de coordination
(Deschamps, 2002) des acteurs (Barès, 2009)
Communauté de pratique
- Développement d’une pratique émergente
- Échange d’idées d’expériences entre pairs (Wenger, 1998)
Comment est-ce que la communauté de pratique peut constituer une
démarche pertinente d’accompagnement des repreneurs?
5
6. BASES THÉORIQUES
DU QUESTIONNEMENT
Reprise Accompagnement Communauté
d’entreprise entrepreneurial de pratique
• Les enjeux; • Les caractéristiques • Construction de
• Les acteurs; de la pratique; connaissances
• Le processus • Les modes dans un lieu
repreneurial; d’accompagnement; d’apprentissage;
• Les freins à la • Les limites • Socialisation des
reprise individus dans une
communauté
Fillion, 1997; Verstraete, Albert et al.,1994; Sammut, Wenger et al., 2002;
2000; Deschamps, 2002; 2003; Fayolle et Cuzin, Argyris et Schön, 2002;
Duplat, 2007; Lamarque et 2004; Couteret et Audet, Beyou, 2003; Cohendet et
Story, 2008; Rollin, 2008 2008; Bayad et al., 2010 al., 2006; Vaast, 2007
6
7. QUESTIONS
DE RECHERCHE
Q1: Comment le repreneur est accompagné dans ses démarches?
(Deschamps, 2000; Paturel, 2008)
Q2: Est-ce que cet accompagnement répond à ses besoins?
(Sammut, 2003; Bayad et al., 2010)
Q3: Comment l’échange de connaissances et d’expériences répond au
besoin d’accompagnement du repreneur?
(Brown et Duguid, 1991; Cohendet et al., 2008)
Q4: Comment la communauté de pratique vient en aide au repreneur
dans la réussite de ses démarches?
(KNOWINGS, 2004; CEFRIO, 2005) 7
8. PLAN DE LA PRÉSENTATION :
• Contexte, problématique et questions de recherche
• Démarche méthodologique et résultats obtenus
• Implications de la recherche et perspectives
9. PRINCIPES
MÉTHODOLOGIQUES
Mode
• Recherche - exploratoire • Posture
action d’observateur
• (Lewin, 1951;
• Démarche • (Baumard et al.,
Dionne, 1998) abductive 1999; Groleau,
• (Miles et 2003)
Hubermann, 1991;
Démarche Koenig, 1993)
Participant
qualitative actif
Étude de cas Syntec numérique (Yin, 2009)
1100 entreprises adhérentes
80% du CA du secteur et des effectifs
9
25 grands groupes, 75 ETI, 750 PME, 250 « jeunes pousses »
10. CADRE
D’ANALYSE
T RECHERCHE‐ACTION : aller retour permanent entre terrain et design de recherche,
H Recherche de liens de causalités dans les régularités observées (Lavoie et al., 1996)
E
O
R bouclage théorique
I
Q
Axe du temps
U
E Reprise Accompagnement Communauté de
Reprise 1 2 pra4que 3
P Phase d’explora5on
Phase d’ac5on Phase de déploiement
Commission PME à
R Transforma5on du Développer la CoP
Syntec numérique
A (Giroux, 1998; groupe (Gongla et RizuTo, 2001;
(CEFRIO, 2005; Dameron et Josserand,
T Deschamps et Paturel,
2008) Stenuit‐Hautdidier, 2006) 2007)
I
Q
U
E Ou5l E.V.E.
10
12. COLLECTE / TRAITEMENT
DE DONNÉES (1)
Observa5ons
Nature des rela5ons
Intensité des échanges
Réunions
Espace de
Valorisa5on des
Expériences (E.V.E.)
Entre5ens Syntec numérique Documents
Explica5ons des Présenta5ons réalisées
mécanismes de partage Comptes‐rendus
(le ressen5…) Réponses aux
Par5es prenantes ques5onnaires
Analyse des comportements,
interac5ons entre les personnes
12
13. COLLECTE / TRAITEMENT
DE DONNÉES (2)
▸ Transformation du groupe de travail en communauté de pratique: 8 réunions
réparties sur 24 mois
▸ Notes d’observation et questionnaire pour juger de l’efficacité de la
communauté, sa santé, la vitalité (dynamique) des échanges
▸ Questionnaire de 15 questions sur une échelle de Likert à 5 points: 5
indicateurs de mesures de performance:
▸ Bénéfices (utilité) de la communauté (Q 1-2-3-4)
▸ Apprentissage (Q 5-6)
▸ Atteinte des objectifs (Q 7-8-9)
▸ Obstacles à la collaboration (Q 10-11-12-13-14)
▸ Satisfaction des membres (Q 15-16)
13
14. RÉSULTATS
DE LA RECHERCHE
Reprise d’entreprise Accompagnement
entrepreneurial
Q1: Comment le repreneur est accompagné dans ses
démarches?
Q2: Est-ce que cet accompagnement répond à ses
besoins?
LIMITES DE L’ACCOMPAGNEMENT REPÉRÉES:
- Besoin principal d’aspects pratiques et factuels des démarches, outils d’accompagnement
inadaptés aux secteurs concentrés
- Difficultés d’identification des cibles vendeuses, surtout de petites tailles, la reprise n’est
pas uniquement le fait de grandes sociétés
- Peu ou pas de réseaux professionnels qui encadrent le périmètre des services informatiques
- Paysage éclaté, difficultés de gestion des reprises, méthodes pas transparentes => double
apprentissage: travail d’introspection et sur le management en interne 14
15. RÉSULTATS DE L’ÉTUDE/
IMPLICATIONS
Q3: Comment l’échange de connaissances et d’expériences répond au besoin
d’accompagnement du repreneur?
Q4: Comment la communauté de pratique vient en aide au repreneur dans la
réussite de ses démarches?
▸ Idée d’échange de connaissances et d’expériences très appréciée et soutenue
▸ Reconnaissance par les autres de la valeur ajoutée potentielle de chaque membre
=> naissance d’un sentiment d’appartenance
▸ Avis tranché sur la certitude de tirer un bénéfice de l’expérience
=> 50% se prêtent au jeu sans réserve
▸ Frein au niveau de l’envie de partager ouvertement ses expériences
=> 50% craignent de collaborer avec les autres
• Relations de concurrence . . • Niveau d’apprentissage moyen
• Relations peu intimes • Incitation à l’échange faible
• Environnement de confiance calculée • Manque d’ouverture sur soi
. .
Élever le niveau de capitalisation du savoir
Professionnaliser l’animation du groupe
Élargir le profil des participants 15
Maintenir la logique réseau
16. PLAN DE LA PRÉSENTATION :
• Contexte, problématique et questions de recherche
• Démarche méthodologique et résultats obtenus
• Implications de la recherche et perspectives
17. APPORTS
DE LA RECHERCHE
C
O ▸ Pour l’entreprise ▸ Pour la recherche en gestion
N
C Mise en valeur d’une méthodologie de l’accompagnement axée sur l’apprentissage et
E
P l’échange de connaissances en affirmant le dialogue comme espace de transfert
T
U
E Recherche appliquée dans une logique d’échanges d’idées tacites pour en créer de
L nouvelles « utiles »
S
M Démarche de co-construction d’outils
A Méthode actionnable sur d’autres
N commissions pour répondre aux qui permet de réfléchir sur des
A besoins des adhérents situations problématiques et confronter
G les représentations des acteurs
É
R Mise en évidence d’un espace de travail
Modes de fonctionnement de
I intéressant pour la collaboration
l’organisation renforcés
A université/bases de connaissances et
U milieu professionnel
X
17
18. CONCLUSION
DE LA RECHERCHE
▸ Limites de la recherche ▸ Perspectives pour la
recherche
▸ Etude de cas contextuelle
▸ Appui pour développer la
▸ Temporelle (3 ans), stade logique réseau comme
de vie de la communauté méthode
prématuré, difficultés d’accompagnement
d’organisation sur le
terrain ▸ Recherches comparatives
avec d’autres communautés
▸ Pilotage de l’immatériel, de pratique pour maintenir
peu de cadres normatifs la collaboration avec
applicables à tous les l’université dans une
contextes pour effectuer logique de club d’échanges
une évaluation correcte
18
19. Merci pour votre attention
ECHANGES - QUESTIONS
Contact: Nahissa Uk
nahissat@hotmail.com
19