Conférence Internationale de l’Académie des
Industries Extractives de la CEMAC
Isabelle Ramdoo
Chef-adjoint au Programme,
Commerce et Transformation Economique
ECDPM
16 – 18 Juin 2015
Yaoundé, Caméroun
Publication - "L'entreprise, moteur de la croissance africaine"AFRICA CEO FORUM
En préambule au lancement du AFRICA CEO FORUM 2015, les organisateurs publient « L’entreprise, moteur de la croissance africaine ». Ce document inédit a pour objectif de faire partager au plus grand nombre l’essentiel des thèmes d’actualité débattus à l’occasion des précédentes éditions du AFRICA CEO FORUM. Il porte la parole des PDG africains sur les conditions du développement du capitalisme africain.
www.theafricaceoforum.com
François de Senneville, associé et head du Groupe Afrique de Fieldfisher Paris, analyse les opportunités d'investissements sur le continent africain pour le magazine mauricien Business Mag.
ADH ADDOHA LHM LAFARGEHOLCIM MAROC
GAZ AFRIQUIA GAZ LES LESIEUR CRISTAL
ADI ALLIANCES LYD LYDEC
ATL ATLANTA MNG MANAGEM
ATW ATTIJARIWAFA BANK IAM MAROC TELECOM
ATH AUTO HALL MSA MARSA MAROC
BCP BANQUE CENTRALE POPULAIRE CMT MINIERE DE TOUISSIT
BCE BMCE BANK OUL OULMES
BCI BMCI RDS RESIDENCES DAR SAADA
SBM SOCIETES DES BRASSERIES DU MAROC SAH SAHAM ASSURANCE
CDM CDM SMI SM IMITER
CIH CIH SID SONASID
CMA CIMENTS DU MAROC SOT SOTHEMA
CSR COSUMAR TQM TAQA MOROCCO
DHO DELTA HOLDING TMA TOTAL MAROC
HPS HPS WAA WAFA ASSURANCE
LBV LABEL’VIE
Conférence Internationale de l’Académie des
Industries Extractives de la CEMAC
Isabelle Ramdoo
Chef-adjoint au Programme,
Commerce et Transformation Economique
ECDPM
16 – 18 Juin 2015
Yaoundé, Caméroun
Publication - "L'entreprise, moteur de la croissance africaine"AFRICA CEO FORUM
En préambule au lancement du AFRICA CEO FORUM 2015, les organisateurs publient « L’entreprise, moteur de la croissance africaine ». Ce document inédit a pour objectif de faire partager au plus grand nombre l’essentiel des thèmes d’actualité débattus à l’occasion des précédentes éditions du AFRICA CEO FORUM. Il porte la parole des PDG africains sur les conditions du développement du capitalisme africain.
www.theafricaceoforum.com
François de Senneville, associé et head du Groupe Afrique de Fieldfisher Paris, analyse les opportunités d'investissements sur le continent africain pour le magazine mauricien Business Mag.
ADH ADDOHA LHM LAFARGEHOLCIM MAROC
GAZ AFRIQUIA GAZ LES LESIEUR CRISTAL
ADI ALLIANCES LYD LYDEC
ATL ATLANTA MNG MANAGEM
ATW ATTIJARIWAFA BANK IAM MAROC TELECOM
ATH AUTO HALL MSA MARSA MAROC
BCP BANQUE CENTRALE POPULAIRE CMT MINIERE DE TOUISSIT
BCE BMCE BANK OUL OULMES
BCI BMCI RDS RESIDENCES DAR SAADA
SBM SOCIETES DES BRASSERIES DU MAROC SAH SAHAM ASSURANCE
CDM CDM SMI SM IMITER
CIH CIH SID SONASID
CMA CIMENTS DU MAROC SOT SOTHEMA
CSR COSUMAR TQM TAQA MOROCCO
DHO DELTA HOLDING TMA TOTAL MAROC
HPS HPS WAA WAFA ASSURANCE
LBV LABEL’VIE
Ressources minières et industrialisation: Les liens et les politiques de cont...Isabelle Ramdoo
Cette présentation est particulièrement axée sur le lien entre les politiques minières et l'industrialisation. Elle traite essentiellement des liens qui peuvent être exploitées par le biais des politiques de contenu local. Les mécanismes et les instruments de politiques de contenu local y sont présentés ainsi que les conditions préalables qui doivent être mis en place pour que les politiques fonctionnent.
Extrait de la note
Revue et perspectives du marché - Le marché devrait poursuivre son trend haussier en 2018E
Après une forte progression de l’indice en 2016, le CFG 25 a poursuivi son trend haussier en 2017 avec une performance de +5,7%.
Cette appréciation des cours s’est également accompagnée d’une nette amélioration de la liquidité avec une augmentation de 25,8% du volume global échangé sur le marché.
La nouvelle hausse du marché en 2017 s’inscrit selon nous dans un long cycle haussier entamé dès le T3 2013.
En 2018E, nous pronostiquons une poursuite du trend haussier sur le marché actions avec une hausse estimée dans une fourchette comprise entre +5% et +10%. La hausse des cours devrait selon nous être portée par les 2 principaux facteurs suivants :
Le maintien des taux à leurs niveaux bas actuels ;
La confirmation de la reprise de la masse bénéficiaire en 2017E avec une hausse attendue à 12%, et une nouvelle progression des bénéfices en 2018E estimée à 6%.
La poursuite de la tendance haussière sur les bénéfices devrait aussi permettre de contenir le gonflement des multiples de valorisation du marché. Le PER du marché a en effet connu une nette remontée depuis 2013 pour se situer à 20,2x à fin 2016 et 19,4x à fin 2017. Selon nous, le PER d’équilibre du marché se situe actuellement autour de 20x.
Après une excellente année 2017 pour nos principales recommandations à l’achat, nous abordons l’année 2018 avec une liste resserrée de Tops Picks : LBV, SBM, IAM, ATW & SMI
Excellents points de vue: secteur extractif - perspectives africaines, juille...Africa Cheetah Run
En Afrique, une transformation structurelle est nécessaire pour assurer la croissance économique et le développement, ce qui créera des emplois durables.
Livre blanc sur « La fintech accélérateur de la transformation de la finance et des investissements 2.0 »
Intervants et co-auteurs :
Majid Haitami - CEO Castorpay : 36 d’expérience dans les moyens de paiement.
Dr. SOUSSI HOUSSINE : Enseignant Chercheur à l'Ecole Nationale de Commerce et de Gestion de Dakhla.
Dr Youssef Agouirar - DG IPC Click & invest
Dakhla : Chercheur en Fintech et docteur en sciences de Gestion
Conclusions VIII Semaine Méditerranéenne des Leaders Economiques ASCAMEASCAME
• Plus de 1300 experts ont participé au Medaweek 2014, et à ses 10 forums thématiques incluant plus de 60 sessions et réunions d’affaire
• Un Pari a été fait pour une stratégie d’intelligence économique propre à la Méditerranée
• Un appel a été lancé pour une meilleure intégration économique du Maghreb
• La création d’une Agence de Tourisme Méditerranéenne a été proposée et le désir de créer une marque de la Méditerranée a été renouvelé
• Le soutien à l’économie verte a été perçu comme un instrument essentiel pour encourager le développement durable de la région
• Le lancement de programmes de soutien aux jeunes universitaires méditerranéens a été annoncé
Extrait de la note
Vendre Managem avec un objectif de cours de 1 124DH (-27% par rapport au cours actuel)
Acheter SMI avec un objectif de cours de 4 451DH (+24% par rapport au cours actuel)
Conserver CMT avec un objectif de cours de 1 487DH (-9% par rapport au cours actuel)
Les 3 sociétés minières cotées à la Bourse de Casablanca connaissent depuis quelques années d’importantes mutations susceptibles selon nous de modifier sensiblement leurs profils de rentabilité au cours des prochaines années.
L’ensemble de ces mutations se sont traduites par un intérêt boursier croissant pour ces 3 valeurs, Managem, SMI et CMT ayant vu leurs cours croître de 546%, 334% et 76% respectivement depuis fin 2009.
Nous recommandons Managem à la Vente considérant qu’il y a une surévaluation par le marché du potentiel intrinsèque de cette valeur. Cette surévaluation s’explique selon nous par (i) une évaluation du potentiel de la valeur sur la base des cours actuels des métaux précieux, qui sont actuellement à des niveaux historiquement hauts et non soutenables sur le long terme, (ii) une surévaluation de l’ampleur des projets de Managem dans d’autres pays africains et (iii) une sous-estimation de la part des intérêts minoritaires dans la valeur d’entreprise de la société.
Nous recommandons SMI à l’Achat considérant que (i) le cours actuel n’intègre pas pleinement le potentiel offert par l’extension des capacités de production de la société, et (ii) le cours actuel traduit un cours à long terme de l’Argent à 17$/oz vs. 20$/oz selon nous.
Nous recommandons de Conserver CMT. Les niveaux actuels de valorisation de CMT, de prime abord attractifs, se justifie selon nous par (i) la visibilité limitée offerte aujourd’hui par la société sur ses perspectives de développement (extension de la durée de vie de la mine actuelle/nouveaux projets miniers), et (ii) par les niveaux de cours de l’Argent exceptionnellement élevés sur 2012, 2013E et 2014E et non soutenables sur le long terme selon nous.
Overview of international best practices in mining, trends in the sector and development opportunities for Mauritania. Presented at Mauritania Petroleum and Minerals Conference in October 2014 by Nina Inamhoro.
Le dernier Briefing de Bruxelles sur le Développement sur le thème « Commerce régional en Afrique : moteurs de développement, tendances et opportunités » s’est tenu le vendredi 3 février 2017 (9h00-13h00) au sein du Secretariat ACP (451 Avenue Georges Henri, 1200 Bruxelles, salle C). Ce Briefing de Bruxelles a été organisé par le Centre technique de coopération agricole et rurale (CTA) en collaboration avec l’IFPRI, la DG Développement et Coopération de la Commission européenne (CE/DG DEVCO), le secrétariat ACP, et la Confédération européenne des ONG d’urgence et de développement (Concord).
Ressources minières et industrialisation: Les liens et les politiques de cont...Isabelle Ramdoo
Cette présentation est particulièrement axée sur le lien entre les politiques minières et l'industrialisation. Elle traite essentiellement des liens qui peuvent être exploitées par le biais des politiques de contenu local. Les mécanismes et les instruments de politiques de contenu local y sont présentés ainsi que les conditions préalables qui doivent être mis en place pour que les politiques fonctionnent.
Extrait de la note
Revue et perspectives du marché - Le marché devrait poursuivre son trend haussier en 2018E
Après une forte progression de l’indice en 2016, le CFG 25 a poursuivi son trend haussier en 2017 avec une performance de +5,7%.
Cette appréciation des cours s’est également accompagnée d’une nette amélioration de la liquidité avec une augmentation de 25,8% du volume global échangé sur le marché.
La nouvelle hausse du marché en 2017 s’inscrit selon nous dans un long cycle haussier entamé dès le T3 2013.
En 2018E, nous pronostiquons une poursuite du trend haussier sur le marché actions avec une hausse estimée dans une fourchette comprise entre +5% et +10%. La hausse des cours devrait selon nous être portée par les 2 principaux facteurs suivants :
Le maintien des taux à leurs niveaux bas actuels ;
La confirmation de la reprise de la masse bénéficiaire en 2017E avec une hausse attendue à 12%, et une nouvelle progression des bénéfices en 2018E estimée à 6%.
La poursuite de la tendance haussière sur les bénéfices devrait aussi permettre de contenir le gonflement des multiples de valorisation du marché. Le PER du marché a en effet connu une nette remontée depuis 2013 pour se situer à 20,2x à fin 2016 et 19,4x à fin 2017. Selon nous, le PER d’équilibre du marché se situe actuellement autour de 20x.
Après une excellente année 2017 pour nos principales recommandations à l’achat, nous abordons l’année 2018 avec une liste resserrée de Tops Picks : LBV, SBM, IAM, ATW & SMI
Excellents points de vue: secteur extractif - perspectives africaines, juille...Africa Cheetah Run
En Afrique, une transformation structurelle est nécessaire pour assurer la croissance économique et le développement, ce qui créera des emplois durables.
Livre blanc sur « La fintech accélérateur de la transformation de la finance et des investissements 2.0 »
Intervants et co-auteurs :
Majid Haitami - CEO Castorpay : 36 d’expérience dans les moyens de paiement.
Dr. SOUSSI HOUSSINE : Enseignant Chercheur à l'Ecole Nationale de Commerce et de Gestion de Dakhla.
Dr Youssef Agouirar - DG IPC Click & invest
Dakhla : Chercheur en Fintech et docteur en sciences de Gestion
Conclusions VIII Semaine Méditerranéenne des Leaders Economiques ASCAMEASCAME
• Plus de 1300 experts ont participé au Medaweek 2014, et à ses 10 forums thématiques incluant plus de 60 sessions et réunions d’affaire
• Un Pari a été fait pour une stratégie d’intelligence économique propre à la Méditerranée
• Un appel a été lancé pour une meilleure intégration économique du Maghreb
• La création d’une Agence de Tourisme Méditerranéenne a été proposée et le désir de créer une marque de la Méditerranée a été renouvelé
• Le soutien à l’économie verte a été perçu comme un instrument essentiel pour encourager le développement durable de la région
• Le lancement de programmes de soutien aux jeunes universitaires méditerranéens a été annoncé
Extrait de la note
Vendre Managem avec un objectif de cours de 1 124DH (-27% par rapport au cours actuel)
Acheter SMI avec un objectif de cours de 4 451DH (+24% par rapport au cours actuel)
Conserver CMT avec un objectif de cours de 1 487DH (-9% par rapport au cours actuel)
Les 3 sociétés minières cotées à la Bourse de Casablanca connaissent depuis quelques années d’importantes mutations susceptibles selon nous de modifier sensiblement leurs profils de rentabilité au cours des prochaines années.
L’ensemble de ces mutations se sont traduites par un intérêt boursier croissant pour ces 3 valeurs, Managem, SMI et CMT ayant vu leurs cours croître de 546%, 334% et 76% respectivement depuis fin 2009.
Nous recommandons Managem à la Vente considérant qu’il y a une surévaluation par le marché du potentiel intrinsèque de cette valeur. Cette surévaluation s’explique selon nous par (i) une évaluation du potentiel de la valeur sur la base des cours actuels des métaux précieux, qui sont actuellement à des niveaux historiquement hauts et non soutenables sur le long terme, (ii) une surévaluation de l’ampleur des projets de Managem dans d’autres pays africains et (iii) une sous-estimation de la part des intérêts minoritaires dans la valeur d’entreprise de la société.
Nous recommandons SMI à l’Achat considérant que (i) le cours actuel n’intègre pas pleinement le potentiel offert par l’extension des capacités de production de la société, et (ii) le cours actuel traduit un cours à long terme de l’Argent à 17$/oz vs. 20$/oz selon nous.
Nous recommandons de Conserver CMT. Les niveaux actuels de valorisation de CMT, de prime abord attractifs, se justifie selon nous par (i) la visibilité limitée offerte aujourd’hui par la société sur ses perspectives de développement (extension de la durée de vie de la mine actuelle/nouveaux projets miniers), et (ii) par les niveaux de cours de l’Argent exceptionnellement élevés sur 2012, 2013E et 2014E et non soutenables sur le long terme selon nous.
Overview of international best practices in mining, trends in the sector and development opportunities for Mauritania. Presented at Mauritania Petroleum and Minerals Conference in October 2014 by Nina Inamhoro.
Le dernier Briefing de Bruxelles sur le Développement sur le thème « Commerce régional en Afrique : moteurs de développement, tendances et opportunités » s’est tenu le vendredi 3 février 2017 (9h00-13h00) au sein du Secretariat ACP (451 Avenue Georges Henri, 1200 Bruxelles, salle C). Ce Briefing de Bruxelles a été organisé par le Centre technique de coopération agricole et rurale (CTA) en collaboration avec l’IFPRI, la DG Développement et Coopération de la Commission européenne (CE/DG DEVCO), le secrétariat ACP, et la Confédération européenne des ONG d’urgence et de développement (Concord).
Le dernier Briefing de Bruxelles sur le Développement sur le thème « Commerce régional en Afrique : moteurs de développement, tendances et opportunités » s’est tenu le vendredi 3 février 2017 (9h00-13h00) au sein du Secretariat ACP (451 Avenue Georges Henri, 1200 Bruxelles, salle C). Ce Briefing de Bruxelles a été organisé par le Centre technique de coopération agricole et rurale (CTA) en collaboration avec l’IFPRI, la DG Développement et Coopération de la Commission européenne (CE/DG DEVCO), le secrétariat ACP, et la Confédération européenne des ONG d’urgence et de développement (Concord).
Lors de la 2ème Edition du Forum Gabon Maroc, l'Agence Nationale de la Promotions des Investissements (ANPI) , ainsi que l'ANINF, la FGIS, AGASA, CAISTAB et d'autres agences nationales gabonaises, ont eu l'opportunité d'échanger avec leurs homologues marocains à Rabat autour de la thématique suivante : Promotion des investissements directs privés et dynamisation des échanges. Rôle des agences, fonds souverains et caisses des dépôts.
Cette présentation, sert de soutien à la compréhension sur les différents pôles de développement économiques de nos deux pays.
La participation de l'Agence Nationale de Promotion des Investissements (ANPI) au grand forum Gabon Maroc pour la 2ème édition.
Le thème de ce forum s'articulait autour de la promotion des investissements directs et la dynamisation des échanges.
Quelques agences nationales gabonaises dont l'ANPI, l'ANINF, le FGIS, AGASA et la CAISTAB ont participé à cet évènement, qui s'est tenu le 14 Septembre 2017 à Rabat.
La troisième journée des JEJ qu'organisaient la Synergie de la Jeunesse Camerounaise et le Groupement Interpatronal du Cameroun GICAM a été consacrée à l'entrepreneuriat agricole : AGROBIZ DAY. M. Christian FOSSO, DG de l'entreprise FIMEX a accordé une présentation sur les points suivants :
- Présentation de FIMEX INTERNATIONAL
- Agriculture : Levier d'accélération de la croissance
- Projet : Un patron, une plantation
- L'emploi dans le secteur agricole
Conférénce de Qanir Abderrahim, ingénieur civil - MBA et ex-député parlementaire du Maroc. Cette conférence a été présentée au sein du 10è NABDF ( le NORTH AFRICA BUSINESS AND DEVELOPMENT FORUM) qui a eu lieu à Barcelone au cours de la VII Semaine Méditerranéenne de leaders Économiques (MEDAWEEK)
Similaire à Vision inclusive du développement de l’Afrique à partir des industries extractives: La Vision Minière Africaine (13)
ECDPM operates as an independent European think tank established in 1986 with a mission to promote international cooperation to address global development challenges. It has a mandate to provide evidence-based research and analysis, facilitate knowledge sharing through dialogue and communications, and act as a non-partisan broker between partners in Europe, Africa, and globally. ECDPM has over 65 staff from European and African backgrounds working across 6 programs and 2 offices in Maastricht and Brussels. Its 2017-2021 strategy focuses on areas like European external affairs, African institutions, security and resilience, migration, and economic and agricultural transformation in Africa.
Jeske van Seters
Head of Programme Private Sector Engagement
European Centre for Development Policy Management (ECDPM)
Brussels, 23 November 2017 – EBCAM General Assembly
This document provides an overview and analysis of the EU-Africa partnership and the EU-SADC EPA trade agreement. It discusses the context surrounding the Post-Cotonou debate on the future of EU-ACP relations and examines different scenarios for the partnership. It notes doubts around maintaining the ACP umbrella structure due to limited evidence it adds political value or can effectively address global challenges. The document also analyzes challenges that have prevented the EU-Africa strategy from achieving political aspirations and provides recommendations for improving the partnership. Finally, it outlines the provisions of the EU-SADC EPA and discusses opportunities and challenges for supporting regional integration in Southern Africa.
1) Peacekeeping operations in Africa face ongoing issues that require discussion of approaches beyond just peacekeeping, such as conflict prevention under the African Peace and Security Architecture (APSA).
2) The APSA provides a comprehensive framework for conflict management in Africa, balancing continental and regional responsibilities. It relies on cooperation between the African Union (AU) and Regional Economic Communities/Regional Mechanisms (RECs/RMs) in two-thirds of conflict interventions.
3) Strategic partnerships will remain important to support African peace operations. Cooperation is needed between the AU, UN, EU, and other partners on funding, capabilities, and institutional reform while ensuring African leadership.
Informal CODEV/COHAFA meeting
24-25 July 2017, Tallinn, Estonia
Volker Hauck/ ECDPM
(with thanks to UN-OCHA and Cell for Coordination and Liaison (CCL) for sharing slides)
Addressing the hunger-poverty nexus:
what policy coherence means for the 2030 Agenda
James Mackie, ECDPM
UN HLPF 2017 – Side Event: Finland, Netherlands, Switzerland, ECDPM & CFS
New York, 12 July 2017
Policy Coherence & the 2030 Agenda
Building on the PCD experience
James Mackie, Martin Ronceray & Eunike Spierings
EU PCD Focal Points meeting – Brussels, 22 February 2017
1. The EU faces increasing calls to improve coherence between its humanitarian aid and development cooperation policies as crises become more prolonged and political.
2. While EU policy documents have embraced greater integration, separate institutions and silos remain between the humanitarian and development "communities" within the EU architecture.
3. Key questions for the EU include how to maintain principled humanitarian action while pursuing more political responses to fragility; determining the appropriate level of integration between humanitarian and development work; and ensuring financial instruments are adequate to address new challenges.
Dr. Hanne Knaepen presented on scaling up climate-smart agriculture in Africa. She discussed the challenges of knowledge, finance, and governance in scaling up CSA. Her proposed solution is an inclusive, bottom-up approach that engages stakeholders at multiple levels. She provided the example of the cassava value chain in Africa and how measuring climate impacts and applying climate-smart practices across production and post-production stages could help smallholder farmers adapt. Finally, she posed four questions for debate around ensuring smallholder access to climate funds, leveraging more African climate funds, implementing science at the local level, and innovative NDC implementation.
AU Permanent Mission in Brussels
Workshop - Assessing the Progress and Challenges in the Implementation of Addis Ababa Agenda for Action (AAAA)
Wednesday, 21 September, 2016
Luckystar Miyandazi & Faten Aggad
ECDPM
This document discusses three potential scenarios for future relations between the EU and the African, Caribbean and Pacific Group of States (ACP) after the Cotonou Agreement expires in 2020:
1. Keep the Cotonou framework with revisions (continuity scenario).
2. Maintain an overarching ACP-EU agreement while deepening regional partnerships (umbrella scenario).
3. Focus relations directly through regional frameworks without an overarching ACP structure (regionalization scenario).
It analyzes each scenario based on its assumptions and perceived interests of ACP and EU actors. It also considers the realism of the assumptions/interests and provides advantages, disadvantages and risks of each. The document aims
1) The document discusses a political economy framework called PERIA that can be used to analyze regional integration in Africa. It identifies 10 key observations from applying this framework.
2) One observation is that foundational factors like colonial history, geography and economic structures shape regional organizations and integration challenges. Institutions also often prioritize form over function.
3) Actors like national leaders, regional hegemons, private sectors influence regional agendas and implementation based on their interests. Certain sectors see more political will for integration depending on the costs and benefits to leaders.
4) External factors like foreign aid and trade deals also impact the incentive environment for integration. Critical events can open opportunities for progress or blockage. The
Francesco Rampa
Head of Food Security Programme, ECDPM
28 September 2016, Pre-conference workshop at the Annual German Agricultural Economics Conference (GEWISOLA) 2016.
This document discusses the political economy of regional integration in Africa. It analyzes the key drivers and constraints of regional organizations in promoting regional cooperation on the continent. It uses five lenses to examine these factors: foundational structures, institutions, actors and agencies, sectoral characteristics, and external factors. Some key observations are that member states may signal support for regional organizations even when implementation is low priority; implementation occurs when aligned with national interests; regional hegemons influence agendas; and donors have significant influence but provide fragmented support. It concludes by discussing options for regional organizations to consider ambitions realistically given path dependencies and political realities.
The EIB’s innovative role in the ACP under Cotonou: Options Beyond 2020
Vision inclusive du développement de l’Afrique à partir des industries extractives: La Vision Minière Africaine
1. La Vision Minière Africaine
16 - 18 Juin 2015
Yaoundé, Caméroun
Vision inclusive du développement de
l’Afrique à partir des industries extractives
Isabelle Ramdoo
Chef-adjoint au Programme,
Commerce et Transformation, ECDPM
Conférence Internationale de l’Académie des
Industries Extractives de la CEMAC
2. 1. Développement et secteur extractif en Afrique: Quel débat?
2. La Vision Africaine Minière : Schéma directeur
3. Perspectives Régionales: Où en sommes nous?
4. Quelle vision de l’entreprise?
5. Visions stratégiques: Quelle suite?
Structure de la présentation
Page 2ECDPM
3. De plus en plus inacceptable pour les pays riches en ressources
naturelles de se limiter à n’être que des exportateurs de
ressources brutes et de ne pas profiter des retombées de leurs
ressources;
Donc, de plus en plus de pression de la part la population pour
faire profiter de cette manne au plus grand nombre;
A cet effet, une vague de réformes au niveau national, régional
et continental qui vise à repenser l’exploitation, la gestion et
l’utilisation des ressources, de manière plus inclusive et plus
durable.
1. Bref aperçu des débats politiques
ECDPM Page 3
4. ECDPM Page 4
(re)negociatio
ns de contrats
Talents,
technologie,
R&D,
Innovation
Cadre légal
et
règlementair
e
Réformes
principales
Contenu local;
industrialis.;
liens et valeur
ajoutée
Connaissance
geologique
Amélioration
des
infrastructures
Réformes clés et principaux leviers de changement
5. • VMA (2009) est une initiative pan-africaine qui vise à replacer les
objectifs de développement du continent au centre de toutes
décisions politiques prises au niveau national, régional ou
continentale, relative à l’exploitation et la gestion des ressources
minières
Objectifs clés
• Permettre au continent d’exploiter au mieux ses richesses naturelles
dans le but de créer des économies fortes, compétitives, avec
comme objectif de réduire la pauvreté conformément aux OMD
• Préconise une transformation structurelle du secteur minier en
Afrique (i) par le renforcement des liens avec l’économie locale,
régionale et continentale; (ii) le développement de plus de valeur
ajoutée, (iii) la promotion du contenu local et de liens en amont et
en aval et (iv) par l’utilisation efficace des recettes (fiscales)
minières;
2. La VMA: Quelle stratégie et quelle ambition?
ECDPM Page 5
6. 1. Exploitation transparente, équitable et optimale des ressources minérales
pour appuyer une croissance et un développement socio-économique
durables.
2. Un secteur extractif fondé sur les connaissances qui contribue à la
croissance et au développement généralisés d’un marché unique africain
auquel il sera pleinement intégré, à travers :
Des contrats bien négociés;
Un secteur extractif transformé en élément central d’une économie
africaine qui favorise une industrialisation diversifiée, dynamique et
compétitive à l’échelle mondiale par la promotion:
Des liens en aval avec les activités d’enrichissement et de fabrication.
Des liens en amont avec les industries des biens d’équipements, des
consommables et des services pour l’industrie extractive.
Des liens latéraux avec l’infrastructure (électricité, logistique, communications
et eau) et le développement des compétences et de la technologie.
Objectifs de la vision africaine des mines à l’horizon
2050 (adoptée en février 2009)
ECDPM Page 6
7. 3. Des partenariats mutuellement bénéfiques entre l’État, le secteur
privé, la société civile, les communautés locales et autres parties
intéressées
4. Une connaissance précise des réserves minérales (géologie).
5. Un secteur extractif durable et bien géré (pilier gouvernance) qui
mobilise et redistribue efficacement les revenus des ressources minérales
tout en étant sûr, sain, sans distinction de sexe ou d’ethnie, non nocif
pour l’environnement, socialement responsable et apprécié par les
communautés avoisinantes.
6. Un secteur extractif qui aura contribué à renforcer la coopération et
l’intégration régionale et continentale, notamment par le biais de partage
d’infrastructures et par la facilitation des échanges entre pays et régions.
ECDPM Page 7
8. La VMA:
Marque un tournant fondamental des modèles de
développement précédents: appuie de manière forte le retour des
‘états développementaux’;
Une étape importante pour passer du stade de dépendance
excessive sur l’exportation de produits bruts et encourager la
diversification et l’industrialisation;
Un schéma important, qui s’appuie sur la maitrise de la
connaissance du sous-sol, sur le développement des capacités
humaines tant en matière de négociation et de gestion; sur le
développement de liens et de chaines de valeur etc.
ECDPM Page 8
11. Région essentiellement connu pour ses
ressources et réserves en hydrocarbures
Compte dans ses rangs les plus importants
producteurs africains: Nigeria, Gabon,
Guinée, Congo, Cameroun, Tchad etc.
Nouveaux champs pétroliers et gaziers
offshores : la région maintiendra sa place
géostratégique
Mines: Producteurs importants: Ghana
(aurifère), Niger (uranium), Liberia (minerai
de fer), S. Leone, Guinée (Bauxite)
Région hétérogène, and traditionnellement
coopération régionale (éco and politique)
limitée dans le secteur extractif.
1. Afrique occidentale et centrale
Hydrocarbures: Ressource stratégique mais secteur minier
croissant
ECDPM Page 11
12. Pays producteurs de pétrole moins actifs en matière de coopération
régionale. Stratégies plutôt tournées vers les priorités nationales.
Deux principaux défis: infrastructures (et énergie) et capacité (ou
opportunité) du secteur privé de développer des liens (amont et
aval) avec le secteur extractif
Dynamique importante: changement de cap du Nigeria qui est
désormais la 1ere économie d’Afrique et aspire consolider son rôle
de puissance régionale;
Au niveau des régions (CER) – CEDEAO et UEMOA: cadre très
avancés pour harmoniser les régimes miniers et mettre en place
des régimes plus transparents pour améliorer le climat des affaires.
Ne semble pas s’appliquer toutefois au secteur des hydrocarbures.
ECDPM Page 12
13. Quelques exemples de réformes (nationales)
Nigeria: Politique de Contenu Local (2010): promouvoir VA, développer
les capacités locales et améliorer et appuyer les liens avec l’industrie
locale. 2014: Nouvelles directions stratégiques pour changer le
paysage industriel. Mise en place d’un ‘plan de révolution industriel’ et
un programme national pour le développement des entreprises
Réformes institutionnelles : Projet de loi sur le pétrole dans le but de
(a) promouvoir l’exploration & exploitation; (b) augmenter
l’approvisionnement local en gaz (c) créer un meilleur environnement
des affaires pour l’exploitation; (d) mettre en place un meilleur cadre
fiscal; (e) améliorer les performances de la compagnie nationale; (f)
promouvoir le contenu local;
Ghana: Réformes principales: nouvelles règles sur le contenu local pour
créer plus d’emplois er renforcer l’industrie local (pétrole); Dans le
secteur minier: Loi révisée (Minerals and mining act (703) pour
règlementer les droits de propriété des matières premières; les
redevances, et les règlements de différends entre les activités minières
artisanales et à petite échelle, entre autres
ECDPM Page 13
14. L’Afrique australe est la région la mieux dotée en minerais stratégiques à des
fins industrielles– platine (90% des réserves mondiales); cobalt (40%), chrome,
manganèse, uranium etc.
2. Afrique australe : Une position stratégique
ECDPM Page 14
Réformes pour mettre à jour les législations
minières afin de tirer davantage de profit et
de stimuler l’enrichissement des minerais
Au niveau régional: Malgré le riche sous-sol,
la coopération régionale en matière des
ressources minières reste limitée. Les
réformes ne sont pas très audacieuses. Le
protocole de la SADC sur les mines date de
2000 et ne compte aucune obligation légale.
Ce n’est qu’en 2015 qu’a été mis en place
une politique visant à promouvoir
l’industrialisation à partir des matières
premières et la promotion de la valeur
ajoutée.
15. Afrique du Sud: Economie la plus diversifiée mais secteur minier
en déclin. A amorcé un changement de cap important dans son
modèle minier.
Botswana: Un modèle pour le secteur diamantaire. Développement
de liens en aval.
Zambie: Expérience en dents de scie. Plusieurs réformes,
notamment fiscales. Veut promouvoir davantage de valeur ajoutée.
Vision stratégique devrait être plus cohérente.
Angola: Le pétrole a été le moteur clé. Réformes, notamment sur le
contenu local (‘angolanisation’). Met l’accent sur les autres minerais.
Mais encore basé sur un modèle “extractif”, i.e. pas suffisamment de
valeur ajoutée (plutôt angolarisation).
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16. Est longtemps restée à l’ombre des
autres régions africaines.
Des gisements (gaziers) importants
récemment découverts dans la région
des grands lacs et offshore ont
changé la donne
Est devenu un partenaire stratégique
et privilégié en particulier pour l’Asie.
CER (i.e CEA) développe en ce
moment sa stratégie régionale,
notamment en matière de
coopération en infrastructure et
d’utilisation pour la fourniture
d’énergie.
3. Afrique orientale: La nouvelle frontière des hydrocarbures
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17. Mozambique: Nouveau cadre légal (minier et pétrolier) et
amélioration du climat des affaires pour encourager l’exploitation de
gaz à des fins domestiques et industriels. Modèle encourageant
l’exportation. A une VMP
Ouganda: La mise en place d’une raffinerie est une des conditions
préalables l’exploitation de pétrole. Priorité pour l’usage domesrique;
Tanzanie: Une longue expérience minière, hydorcarbures nouveau
dans le paysage.
Kenya: Economie traditionnellement non-minière, relativement plus
développée que ses voisins. Hydrocarbure nouveau. A des facilités
d’infrastructures
La coopération en matière minière et d’hydrocarbure est bien
enclenchée (malgré que la “stratégie régionale” n’est pas très
avancée).
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18. Les gouvernements sont déterminés à changer de modèle
économique. Mais qu’en est-il des entreprises? Est-ce qu’elles
changent aussi leurs modèles d’opération?
Ceci est nécessaire: Si les entreprises n’accordent pas leurs “business
model” sur les priorités des états, les ambitions risquent de rester des
voeux pieux.
Certains cas de succès: Botswana et DeBeers. Partenariats
stratégiques, avec un rôle moteur de DeBeers qui en a fait un point
central de ses considérations stratégiques. Travail de concert avec le
Gouv. 16 investisseurs dans la coupe et le polissage de diamants;
3,000 emplois directs créés.
En Af. Du Sud, certaines entreprises en ont fait un avantage
comparatif.
Mais encore trop peu nombreux.
4. Le secteur privé: quelles initiatives?
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19. Ouganda: L’Etat voulait développer la raffinerie en même temps
que l’extraction pétrolière. Les entreprises ont résisté au début,
l’Etat a insisté, ça a pris deux ans de plus. Maintenant c’est presque
chose faite.
Mais parfois, ce n’est pas rentable, ou bien les entreprises sont déjà
bien intégrées verticalement (soit en approvisionnement soit en
terme de marché);
Le plus important est toutefois de s’assurer que les politiques de
l’Etat et des entreprises soient cohérentes et alignées et qu’il y ait
une balance entre les aspirations de l’Etat et la capacité des
entreprises à prendre en charge ces nouvelles activités.
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20. 1. Résoudre les défis contextuels et structurels:
Fournir des mesures incitatives; améliorer le climat des affaires;
réduire les coûts opérationnels des entreprises; améliorer la
compétitivité; améliorer la qualité des produits et leurs
disponibilités; fournir des infrastructures efficaces; facilité l’accès
au financement; améliorer l’offre des compétences etc
2. La consultation et la coordination sont essentielles:
Au sein du gouv, entre les départements;
Entre le gouv et les entreprises;
Au niveau régional: l’intégration régional est primordial pour
développer les économies of d’échelle, en particulier dans l’usage
des infrastructures et de la logistique;
Entre les régions: la CUA a lancé un projet d’intégration
continental et de tripartite;
Au niveau international: il est nécessaire de promouvoir la
transparence et la gouvernance
5. Visions stratégiques: Quelle suite?
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21. 3. Il faut être clair sur les objectifs à atteindre et mettre en
place les politiques en fonction. Par ex les politiques soutenant le
développement de contenu local ne sont pas les mêmes que que
celles qui appuieront les stratégies de valeur ajoutée/
développement des liens. L’un ne mène pas forcément à l’autre..
4. Le secteur extractif est hétérogène et requiert des capacités
(techniques, talents etc.) différentes et le recalibrage devrait être
constant.
5. Les entreprises sont essentiellement dirigées par leurs
chiffres d’affaire. Si elles pensent que le développement de liens et
l’approvisionnement local sont bons pour les affaires, alors elles le
feront. Il faut donc impérativement rendre ces activités attractifs et
appuyer leurs efforts.
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