1. dossier de presse / juillet 2018
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MATHIEU PERNOT
Les Gorgan (1995-2015)
Lors de ses études à l’École Nationale Supérieure de la Photographie d’Arles,
Mathieu Pernot rencontre des familles tsiganes, dont les Gorgan. Il entre peu à peu
dans l’intimité de cette famille et entreprend sur 20 ans un travail documentaire.
exposition du samedi 22 sept. au mercredi 14 nov. 2018
en entrée libre à La Filature, Scène nationale – Mulhouse
20 allée Nathan Katz – Mulhouse – T 03 89 36 28 28
Production Musée national de l’histoire de l’immigration ;
Les Rencontres d’Arles. Courtoisie Galerie Éric Dupont, Paris.
vernissage samedi 29 sept. 19h
en entrée libre et en présence de l’artiste
lors de l’inauguration de la saison 18-19
finissage : conférence mercredi 14 nov. 18h30
« Une traversée photographique, regards sur les mondes romani »
par Ilsen About, chargé de recherche au CNRS, et le photographe Mathieu Pernot
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EXPOSITION À LA FILATURE DU 22 SEPT. AU 14 NOV.
« les Gorgan », 1995-2015
Les Gorgan relate l’expérience du photographe Mathieu Pernot avec une famille
rom. Croisant ses photographies avec celles réalisées par la famille, l’auteur établit
la singularité du destin de chaque individu au-delà de l’appartenance
communautaire. À La Filature, Mathieu Pernot présente, sur 7 murs distincts, les
images de Johny et Ninaï (les parents) mais aussi de Rocky, Giovanni, Priscilla, Ana
et Doston (5 de leurs 8 enfants).
Créer un récit familial et individuel
« J’ai rencontré la famille Gorgan en 1995, lorsque je faisais mes études à l’École nationale supérieure de la
photographie d’Arles. Les parents, Johny et Ninaï, vivaient alors en caravane avec leurs sept enfants, sur un
terrain situé entre la gare de fret et le Rhône. Je ne savais rien de cette communauté et ignorais alors que
cette famille rom était installée en France depuis plus d’un siècle.
J’ai réalisé mes premières images en noir et blanc, m’inscrivant dans une tradition documentaire face à ceux
qui m’étaient encore étrangers. Je maintenais une distance et essayais de comprendre ce que ce médium
pouvait encore nous apprendre d’eux. La découverte des quelques archives qu’ils possédaient puis les prises
de vue réalisées dans le Photomaton de la gare avec les enfants m’ont rapidement fait comprendre que la
diversité des formes et des points de vue était nécessaire pour rendre compte de la densité de la vie qui
s’offrait à mon regard.
Mon déménagement à Paris en 2001 m’a éloigné des Gorgan pendant plusieurs années. C’est en 2013, plus de
dix ans après avoir réalisé ces photographies, que nous nous sommes retrouvés, comme si l’on s’était quitté la
veille. L’évidence que cette histoire devait continuer le plus longtemps possible m’est immédiatement
apparue. Ils m’ont alors confié leurs images de ces années passées sans se voir.
Vingt ans après cette rencontre fondatrice, le temps a fait son œuvre sur les corps et les visages des Gorgan.
Un temps différent de celui de notre monde gadjé. Johny et Ninaï sont désormais grands-parents et les
caravanes ont quelquefois été délaissées pour des appartements jugés plus confortables.
J’ai vécu en leur compagnie une expérience qui dépasse celle de la photographie. À leur côté, j’ai assisté,
pour la première fois, à la naissance d’un enfant ; j’ai aussi veillé le corps de celui que j’avais vu grandir : Rocky,
mort brutalement à l’âge de 30 ans.
L’exposition reconstitue les destins individuels des membres de cette famille. Elle retrace l’histoire que nous
avons construite ensemble. Face à face. Et désormais, côte à côte. »
MATHIEU PERNOT
Johny est né en 1964. Passionné par les voitures, il ne s’est jamais séparé de sa BMW, malgré le retrait de son
permis. Il m’est souvent arrivé de le conduire avec sa famille dans ma Ford Fiesta, pour les emmener au foyer
dans lequel leur fille Ana a été placée quelques temps ou au cimetière, dans lequel est enterrée une partie de
leurs proches. En 2001, il est incarcéré quelques mois dans la maison d’arrêt d’Avignon. À son retour au foyer, il
est chaleureusement fêté. Aujourd’hui fragilisé par des problèmes de santé, il ne s’éloigne plus guère du terrain.
Ninaï s’est mariée avec Johny en 1982, à l’âge de 17 ans. Elle accouche de son premier fils Rocky, l’année
suivante. Sept autres enfants naissent après lui, dont Ana, qui voit le jour à l’hôpital d’Avignon le 1er octobre
1996. Son quotidien ressemble à celui des femmes de sa communauté : lignes de la main, courses et
préparation des repas. Elle a aujourd’hui vingt-deux petits-enfants et continue d’aller, aussi souvent qu’elle le
peut, au cimetière des neuf Collines pour se recueillir sur la tombe de Rocky.
Rocky est l’ainé de la fratrie. Il avait 12 ans lorsque nous avons fait connaissance. Deux ans après cette
rencontre, je l’accompagne à l’hôpital d’Avignon pour une courte hospitalisation. Quelques années plus tard, il
se marie avec Claire Vidale, une gadjie qui a grandi dans le sud de la France. Ensemble, ils ont quatre enfants,
élevés dans un logement social du quartier du Trébon, à Arles. Après le décès de son mari, Claire est repartie à
Sète avec ses enfants.
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Giovanni vit avec Cathy Reyes, membre de la communauté gitane d’origine espagnole. Ils vivent dans le
lotissement des platanes de Barriol construit pour reloger les familles qui vivaient en bidonville. Il a avec elle cinq
enfants, dont il s’est fait tatouer les prénoms sur l’épaule. Lorsqu’il avait une dizaine d’années, il allait souvent
jouer dans la gare de transports de marchandises, située juste à côté du terrain occupé par la caravane.
Priscilla est l’ainée des trois sœurs. Elle est aussi la plus timide d’entre elles et enfant, elle se cachait souvent le
visage quand je voulais la photographier. Elle vit avec Hervé et a fait le choix de revenir à la caravane après
avoir logé pendant quelques années dans un appartement. C’est enceinte de son cinquième enfant que je la
photographie au cours de l’été 2016.
Ana est ma filleule. Je l’ai surtout photographiée bébé en train de dormir et faisant ses premiers pas. Elle est
venue me voir à deux reprises à Paris au cours des dix années où je me suis éloigné d’Arles. Sa personnalité n’a
d’égal que sa force physique. Elle vit maintenant avec un Rom bosniaque, dans une caravane située sur le
terrain de la famille. Avec son compagnon, elle voyage de temps à autre en Europe et rêve de vivre à
l’étranger.
Doston est le cadet de la famille. Il est né en 2007 et vit encore avec Johny et Ninaï dans la caravane. Son
enfance ressemble trait pour trait à celle de ses aînés, tout comme son énergie, dont je tente de capter la
source depuis plus de vingt ans.
« LES GORGAN » Éditions Xavier Barral, 2017
relié, 24 x 31 cm, 232 pages, environ 300 photographies et documents
textes de Mathieu Pernot, Clément Chéroux, Johanne Lindskog
Dans l’esprit d’un album photographique, cette monographie marque
l’aboutissement de ce travail retraçant 20 ans d’histoire de cette famille et
témoigne ainsi de la complexité de la culture tsigane à travers ce récit à plusieurs
voix. Au fil des pages, se mêlent différents types de photographies du polaroïd au
cliché N&B pris au Rolleiflex, des instantanés aux portraits posés, de joyeuses
réunions aux moments plus douloureux liés à l’incarcération, à la mort qui sont livrés
à nous sans filtre, tels qu’ils sont vécus. Prises par Mathieu Pernot ou les Gorgan eux-
mêmes, ces photographies forment un ensemble sans hiérarchie aucune, ni distinction entre leurs auteurs,
comme le souhaitait le photographe. Les Gorgan ne sont plus seulement sujets d’étude mais de véritables
acteurs impliqués à la fois dans la réalisation des images et le choix du contenu. L’essai de Clément Chéroux
recontextualise cet ensemble dans l’histoire de la photographie et des albums de famille. Celui de Johanne
Lindskog examine quant à lui la démarche à la fois artistique et ethnographique du photographe.
plus d’infos sur le site des Éditions Xavier Barral
« Photomatons », 1995-1997
Ces photomatons proviennent de l’archive familiale de Bietschika Gorgan, père de
Johny et ancien patriarche de la famille. Réalisées entre 1950 et 1995, ces images
montrent la transformation de l’esthétique de la photographie d’identité (noir et
blanc, présence du rideau, fond coloré) dans le temps et la réappropriation que
pouvaient en faire les membres d’une famille pour constituer une archive d’identité
familiale.
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« Les hurleurs », 2001-2004
Des individus à la pose théâtrale, tous cadrés à mi-corps, sont photographiés alors
qu’ils hurlent dans des décors urbains. Les images ont pour hors champ des prisons du
Sud de la France et de Barcelone. Leurs protagonistes sont des proches des détenus
avec lesquels ils tentent de communiquer par-delà les murs d’enceinte. La tension des
corps manifeste la contrainte invisible de la détention et la difficulté à communiquer
qu’elle implique. Nouvelle variation à partir du genre traditionnel du portrait, la série
forme un contrepoint aux espaces vides photographiés par Mathieu Pernot à
l’intérieur des prisons.
« Le feu », 2013
Les membres de la famille Gorgan sont photographiés à la tombée de la nuit, éclairés
par la lumière d’un feu autour duquel ils se tiennent. Absorbés dans leurs pensées,
silencieux, ils ont les yeux baissés, comme s’ils ne voulaient pas voir ce qui se trouve
devant eux. En contrechamp de ces photographies, une caravane leur ayant
appartenu se consume dans les flammes d’un incendie. Comme des photogrammes
extraits d’un film, les images laissent le spectateur tenter seul de comprendre le sens
de ce qui lui est montré.
MATHIEU PERNOT
Né en 1970 à Fréjus, Mathieu Pernot vit et travaille à Paris.
www.mathieupernot.com
Après des études d’histoire de l’art à la faculté de Grenoble, Mathieu Pernot entre à l’École nationale de la
photographie d’Arles, d’où il sort diplômé en 1996.
Son travail s’inscrit dans la tradition d’un art politique nourri d’histoire et de sociologie. L’artiste procède par
séries qui sont autant de points de vue analytiques et successifs sur les grandes questions politiques et sociales
de l’identité et de la mémoire, de l’aliénation et du progrès. Au cours des années 2000, il développe différents
projets consacrés à l’enfermement, à l’urbanisme et à la question migratoire. Son travail réalisé avec Philippe
Artières sur les archives de l’hôpital psychiatrique du Bon Sauveur a été récompensé par le prix Nadar en 2013.
Il a obtenu le prix Niépce en 2014, l’année où le Jeu de Paume lui a consacré une exposition, La traversée,
retraçant vingt ans de photographies.
L’exposition Les Gorgan, qui a fait l’objet d’une publication avec Xavier Barral, est présentée en 2017 aux
Rencontres Internationales de la Photographie d’Arles, puis du 13 mars au 26 août 2018 au Musée national de
l’histoire de l’immigration.
Mathieu Pernot est représenté par la galerie Éric Dupont, à Paris.
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ÉLÉMENTS BIOGRAPHIQUES
expositions personnelles
2018 La Filature, Scène nationale – Mulhouse (du 22 sept. au 14 nov.)
Musée national de l’histoire de l’immigration (du 13 mars au 26 août)
2017 Jimei festival, Xiamen
Rencontres Internationales de la Photographie d’Arles
Hôtel des Arts, Toulon
2016 Aichi préfectoral museum of art, Nagoya
International photography festival of Jaffa, Tel Aviv
Mémorial de Rivesaltes
2015 Fotomuseum, Anvers
Musée National Pablo Picasso, Vallauris
Galerie Senda, Barcelona
2014 Galerie Éric Dupont Paris
Jeu de Paume, Paris
Maison Rouge, Paris
2013 Fond Régional d’Art Contemporain, Rennes
Galerie HLM, Marseille Capitale Européenne de la Culture 2013, Marseille
Centre de la Photographie de Genève
Le point du Jour, Cherbourg
Centro Cultural, biennale d’architecture contemporaine, Sao Paulo
2012 Galerie Eric Dupont, Paris
Atelier de Visu, Marseille
2011 Centre d’art de Gwinzegal, Guingamp
Biennale d’art contemporain, Melle
2010 Musée Pierre André Benoît, Alès
Biennale Internationale de la photographie, Liège, Belgique
Galerie Vu, Paris
2009 Galerie d’art contemporain, Bibliothèque Part-Dieu, Lyon
Cité Nationale de l’histoire de L’immigration, Paris
2008 Centre photographique de méditerranée, Bastia
2007 Théâtre de l’Agora, Scène nationale d’Evry
Chapelle de l’école des Beaux-Arts, Cherbourg
Lab-labanque, centre de diffusion audiovisuelle, Béthunes
Le méjan, Rencontres Internationales de la Photographie d’Arles
Musée Niépce, Chalon sur Saône
Centre d’histoire de la Résistance et de la Déportation, Lyon
2006 Image au centre, Château de Tours
Musée national des prisons, Fontainebleau
2005 Galerie Vu, Paris
Institut français, Barcelone, Espagne
Galerie le bleu du ciel, Lyon
2004 Abbaye de Montmajour, Rencontres internationales de la Photographie, Arles
Galerie Vanguardia, Bilbao, Espagne
Galerie Senda 292, Barcelone, Espagne
Galerie 779, Paris
2003 Mois de la Photo, Cherbourg
Galerie Astarté, Madrid, Espagne
2002 Printemps de Septembre, Toulouse
Musée National des Arts et Traditions Populaires, Paris
Espace Van Gogh, Arles
Bibliothèque municipale de Caen
2001 Archives Départementales des Bouches du Rhône, Marseille
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2000 Galerie Vu, Paris
Chapelle du Méjan, Rencontres internationales de la Photographie, Arles
1998 Galerie Autrepart, Marseille
Espace Ecureuil, Marseille
1997 Centre National de la Photographie, Paris
Rencontres Internationales de la Photographie, Arles
collections publiques
Musée de l’Elysée, Lausanne, Suisse
Musée Carnavalet, Paris
Centre d’histoire de la résistance et déportation, Lyon
Centre photographique méditerranéen, Bastia
Cité Nationale de l’Histoire de l’Immigration, Paris
Fond municipal d’Art Contemporain, Paris
Maison européenne de la Photographie, Paris
Musée national d’art moderne (Centre Pompidou), Paris
Maison rouge, Fondation Antoine de Galbert, Paris
Fond national d’art contemporain (FNAC), Paris
Musée Nicéphore Niepce, Chalon-sur-Saône
Musée de la ville, Kawasaki, Japon
Casa de Velàzquez, Madrid, Espagne
Fondation Caixà, Barcelone, Espagne
Bibliothèque Nationale de France, Paris
Musée Arlaten, Arles
Rencontres Internationales de la Photographie d’Arles
monographies
2017 Les Gorgan (1995-2015), Éditions Xavier Barral
2014 La traversée, le point du jour éditeur
2013 L’asile des photographies, le Point du jour éditeur
Ligne de mire, GwinZegal édition
2012 Les migrants, GwinZegal édition
2007 Le grand ensemble, le point du jour éditeur
2004 L’état des lieux, texte de François Cheval, Editions 779, Société Française de Photographie
Hautes surveillances, Actes Sud
2001 Un camp pour les bohémiens, Actes sud
1999 Tsiganes, Actes-Sud
1998 Mathieu Pernot, L’atelier, Centre National de la Photographie
prix et bourses
2014 Prix Niepce
2013 Prix Nadar pour l’asile des photographies
Lauréat d’une bourse de la FNAGP pour le projet de film Jonathan G.
2009 Nominé par le jeu de Paume pour le prix « Albert renger Patzsch »
2003-2004 Lauréat de la bourse de la « casa de velazquez » pour un projet en Espagne
2001 Lauréat du prix international « Romanes » pour le livre Un camp pour les bohémiens
1999 Lauréat de la bourse de la « villa médicis hors les murs » pour un travail sur les roms de Roumanie
1998 Aide à la création de la DRAC PACA
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RENDEZ-VOUS EN ENTRÉE LIBRE AUTOUR DE L’EXPOSITION
visite guidée « club sandwich »
jeudi 4 oct. 12h30 (entrée libre, réservation conseillée T 03 89 36 28 28)
Une visite guidée de l’exposition le temps d’un pique-nique tiré du sac.
L’occasion de partager son casse-croûte autant que son ressenti. Passionnant et hautement convivial !
rencontre « apéro photo »
mercredi 7 nov. 19h15 (entrée libre, réservation conseillée T 03 89 36 28 28)
Observation et réflexion autour d’une photographie le temps d’un apéritif, avant un spectacle.
conférence par Ilsen About* et Mathieu Pernot
« Une traversée photographique, regards sur les mondes romani »
mercredi 14 nov. 18h30 (entrée libre)
La fabrique des stéréotypes montre le rôle central de la photographie dans la construction d’une identité
tsigane présentée depuis toujours comme différente et étrangère. Mais au-delà de l’exposé des clichés, le fil
des images compose des récits inédits qui imposent et révèlent, à travers la photographie, une autre présence
sociale et historique.
* historien, chargé de recherche au CNRS / Centre Georg Simmel, École des Hautes Études en Sciences Sociales
LA GALERIE DE LA FILATURE, SCÈNE NATIONALE – MULHOUSE
6 expositions de la saison 18-19 à découvrir sur www.lafilature.org :
Mathieu Pernot 22/09 > 14/11/2018
Régionale 19 22/11 > 21/12/2018
Newsha Tavakolian 09/01 > 17/03/2019 (festival les Vagamondes)
40 ans après. La photographie au Cambodge aujourd’hui. 27/02 > 18/04/2019 (commissariat Christian Caujolle)
Josef Nadj 26/04 > 10/05/2019 (+ performance Mnémosyne 26 et 27/04/2019)
Maria Malmberg 21/05 > 07/07/2019 (mulhouse 019, biennale de la jeune création contemporaine)
Galerie en entrée libre du mardi au samedi de 11h à 18h30,
les dimanches (excepté le 23 sept.) de 14h à 18h et les soirs de spectacles
20 allée Nathan Katz – 68090 Mulhouse cedex – T +33 (0)3 89 36 28 28 – www.lafilature.org
La Filature, Scène nationale – Mulhouse
est membre de Versant Est Réseau art contemporain Alsace http://versantest.org
et de La Regionale Art contemporain de la région tri-rhénane www.regionale.org
et est subventionnée par la ville de Mulhouse, le ministère de la Culture – DRAC Grand Est, la région Grand Est
et le conseil départemental du Haut-Rhin.
Numéros de licences d’entrepreneur de spectacles 1-1055735 / 2-1055736 / 3-1055737