1. « Micromégas » : Voltaire<br />Newton : Relativisme, modération (tolérance)<br />Voyages : (Candide) besoin philosophique du moment<br />Micro [infiniment petit] + mégas [infiniment grand] - disproportion<br />• Apprendre à prendre les différents points de vue<br />I. La Relativité du Conte<br />Plusieurs parties : - Initiale : thèse de l’insatisfaction éternelle<br /> Sagesse : acceptation modérée, souriante<br />- Plaisante et sérieuse, porte sur la durée de vie ; variable selon les mondes (extrêmes)<br />- Tout est perçu comme éphémère, quelque soit la durée.<br />• Théorie de la relativité<br />II. Opposition entre un instant et une éternité<br />- (l.21) « … avoir vécu une éternité ou avoir vécu un jour, c’est précisément la même chose. »<br />- (l. 23 – 24) ‘prendre parti’ : application aux terriens<br />- Notion du temps qui passe – très philosophique, à caractère subjective et objective<br />- Voltaire fixe une réflexion antérieure, pas comme les conclusions de Pascal : « se conformer à l’ordre naturel des choses »<br />- Argumentation préparée (l. 12 – 13) : tout est un point<br />Il est vain, inutile de se montrer insatisfait<br />III. Les Intentions Morales et Philosophiques du texte<br />Le thème de la mort : rôle déterminant dans ce passage<br />Empêche la comparaison entre la vie et l’infini<br />Métamorphose, processus universel, fait spécifique<br />(l. 19) « rendre son corps aux éléments … »<br />La mort n’est pas une fin, mais fait parti de l’ordre naturel des choses<br />La mort n’existe pas en soi : il s’agit d’un changement d’état seulement (cycle)<br />Cette conception s’inscrit dans celle des lumières<br />Conclusion<br />Il y a un ‘auteur de la nature’ – il s’agit d’un Dieu : illustration de la foi de Voltaire.<br />Débat entre nature et l’âme : Voltaire se fait disciple de John Locke, et rejette toute spéculation métaphysique à cette conception.<br />