1. Connue depuis toujours pour son expérience, sa passion et son innovation, Lavazza est leader dans le café espresso. Ces qualités l’ont portée en 2003 à créer le projet Voix de la Terre, un programme à long terme 100% durable qui a démarré avec le soutien à trois communautés de cultivateurs de café au Honduras, au Pérou et en Colombie. Le projet s’appuie sur la certitude que le progrès social et le développement économique peuvent aller de pair avec la production d’une excellente qualité de café, la création de conditions de vie meilleures pour les agriculteurs et l’emploi de procédés de production attentifs à l’environnement. Les trois communautés de cultivateurs ont travaillé ensemble pour permettre aux plantations de répondre aux principes rigoureux de l’agriculture durable imposés par la Rainforest Alliance. Le projet Voix de la Terre est un excellent exemple d’initiative capable de revitaliser des communautés entières et de construire des perspectives pour l’avenir. Cette énergie se retrouve dans chaque tasse de café Lavazza Voix de la Terre, un mélange exceptionnel de cafés 100% Arabica, créé en utilisant des grains de café verts savamment torréfiés selon les standards de qualité Lavazza les plus élevés, contrôlés à chaque phase du processus de production. Le résultat est un délicieux café au corps généreux avec une exquise saveur douce et parfumée. Si vous voulez en savoir plus sur les méthodes utilisées par Lavazza pour améliorer les conditions de vie des communautés d’agriculteurs et pour obtenir un café aussi spécial.
4. Depuis 3 générations , la société Lavazza s’est investie dans de nombreuses opérations dites à responsabilité sociale . C’est de cette volonté qu’est né en 2003, « Voix de la Terre » , un projet de développement durable initié dans 3 pays d’Amérique du Sud : la Colombie, le Honduras et le Pérou. Au cours de ces dernières années, elle a collaboré avec différents partenaires à des projets de développement durable dans des pays producteurs de café, jusqu’à ce qu’elle ait pris conscience qu’elle était prête à réaliser son propre projet dans ce secteur .
5. Les 3 communautés ayant participé au projet rencontraient de grandes difficultés et avaient beaucoup de mal à vivre de leur production de café. Le projet « Voix de la Terre » tient compte de tous les aspects de leur vie quotidienne, leur a permis de développer leur activité et d’être plus indépendants dans les choix stratégiques et dans la gestion économique de la production. Les communautés concernées ont donc été mobilisées pour qu’elles puissent faire connaître leurs priorités et leurs besoins par l’intermédiaire de leurs représentants.
6. Le développement durable selon Lavazza Après avoir soutenu, durant plusieurs années, des organisations non gouvernementales reconnues et sérieuses, comme Save the Children , et après avoir participé à la création d’ International Coffee Partners , une association qui, depuis 2001, assure la promotion d ’ initiatives de développement durable dans le secteur du café, Lavazza a jugé que le moment était venu de mettre au point et en œuvre sa propre initiative de développement durable, le projet Voix de la Terre .
7. Le projet, entamé il y a 8 ans, prévoit pour chacun des 3 pays des interventions prenant en compte ces trois aspects du développement. Ce projet est né de la conviction que le développement social , le respect de l’environnement et la croissance économique sont étroitement liés et qu’il faut tenir compte de ces interdépendances pour organiser et planifier l’avenir d’une communauté. Mettre en place un projet économique viable
8. Donner une chance aux petits producteurs L’objectif de ce projet est de donner une chance à des petits producteurs du Honduras, de Colombie et du Pérou qui traversent actuellement des situations de crise, d’ accroître la qualité de leur café afin de devenir plus compétitifs sur le marché, tout en améliorant leurs conditions de vie . Le tout en préservant le tissu territorial .
9. Si Lavazza a engagé ses propres ressources pour la conception, l’organisation et le déroulement du projet, elle s’est également entourés de nombreux partenaires. Les partenaires… Rainforest Une ONG internationale qui a permis, en certifiant la production des cultivateurs, de commercialiser le café « Voix de la Terre ». Véritable label qualité, Rainforest garantit l’engagement durable de Lavazza auprès des communautés et des produits concernés sans aucune incidence de prix pour le consommateur. Rainforest Alliance
10. GTZ Une agence gouvernementale allemande dont la Fundacion Ecologidta Pastor Fasquelle a offert à Lavazza son savoir-faire lors de son intervention en Honduras. Si Lavazza a engagé ses propres ressources pour la conception, l’organisation et le déroulement du projet, elle s’est également entourés de nombreux partenaires. Les partenaires…
11. Si Lavazza a engagé ses propres ressources pour la conception, l’organisation et le déroulement du projet, elle s’est également entourés de nombreux partenaires. Les partenaires… Volcafé L’un des principaux exportateurs de café au monde, qui possède dans des filiales sur les territoires concernés par le projet.
12. US-AID Une agence gouvernementale qui a couvert les coûts relatifs à l’assistance technique et environnementale pour former les petits producteurs péruviens. Si Lavazza a engagé ses propres ressources pour la conception, l’organisation et le déroulement du projet, elle s’est également entourés de nombreux partenaires. Les partenaires…
13. SLOW FOOD Une association engagée dans le projet de développement durable et qui a accompagné Lavazza dans le lancement de son projet. Si Lavazza a engagé ses propres ressources pour la conception, l’organisation et le déroulement du projet, elle s’est également entourés de nombreux partenaires. Les partenaires…
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17. COLOMBIE Dans la région de HUILA , où s’est développé le projet « Voix de la Terre », la terre est riche, on trouve de l’eau en quantité suffisante, mais l’économie stagne. Les petits producteurs de café vivaient dans des conditions extrêmement précaires. Ils n’avaient pas les moyens d’investir dans les plantations et encore moins dans la formation et l’éducation de leurs enfants. Le projet « Voix de la Terre », en développant les conditions de vie de cette communauté et en fournissant des équipements modernes pour le traitement du café leur a donné les moyens de vendre un café de meilleure qualité.
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19. Le traitement des résidus du café > la pulpe du café dans le compost COLOMBIE
20. Le traitement des résidus du café > la pulpe du café dans le compost COLOMBIE
24. HONDURAS ” La Fortuna” Cusuco National Park Le projet « Voix de la Terre » se déroule à La Fortuna, un petit village situé à la frontière du Guatemala et qui compte 64 habitations soit 64 familles.
25. HONDURAS ” La Fortuna” - Cusuco National Park Il y a 3 ans, ils ne possédaient pas d’équipement appropriés et recouraient à des méthodes très rudimentaires pour traiter le café. Ils utilisaient le patio ou des bâches à même le sol pour le faire sécher et jetaient les déchets dans les cours d’eau alors que la situation écologique était déjà très préoccupante en Hondùras. Dans cette communauté, la plupart des enfants n’était pas scolarisée et manquait de matériel.
30. Nouvelle école et salle polyvalente utilisée comme cafétéria scolaire et salle de réunion Ancienne école Nouvelle école
31.
32. Yanesha – Villa Rica PEROU Le projet « Voix de la Terre » s’adresse à 2 communautés indigènes de l’ethnie Yanesha dans la province Oxapampa à Villa Rica. Villa Rica est une région très pauvre située dans la selva, la partie la plus désertique du Pérou.
33. PEROU Les conditions de vie y sont particulièrement rudes et la population isolée n’a pas accès aux soins : il n’y a aucune structure médicale dans les environs. Ici, le café est de très bonne qualité , mais il est produit en quantité insuffisante pour subvenir aux besoins de tous. Lavazza a équipé ces 2 communautés de structures communes qui leur permettront de travailler ensemble et ainsi de réduire les coûts de production tout en respectant l’environnement . Lavazza a également développé les structures scolaires permettant ainsi aux enfants d’être scolarisés dans de meilleures conditions.
38. Nouveau moulin écologique humide Le nouveau moulin écologique humide prévient la pollution de l’eau et réduit la consommation d’eau pour le traitement du café à 5% (comparé à la méthode traditionnelle) 28 Yanesha – Villa Rica PEROU
39. Yanesha – Villa Rica PEROU Dispositif pour permettre le développement des espèces locales pour un reboisement futur 27.000 arbres d'espèces locales ont été plantés pour le reboisement
40.
Notes de l'éditeur
Le développement durable selon Lavazza Trois zones géographiques sont concernées par les interventions : la région de Huila, en Colombie, où ont été construites et restructurées 50 habitations destinées à des petits cultivateurs, où les conditions de vie en matière d’hébergement et d’hygiène ont été améliorées et où de nouvelles techniques de culture et de traitement du café vert ont été mises au point. La deuxième zone d’intervention est le Pérou, dans la communauté des indios Yanesha, où des infrastructures ont été créées pour le processus de traitement, où un programme de scolarisation des enfants a été lancé et où l’hôpital a été restructuré. La troisième initiative a lieu au Honduras, à La Fortuna, et aborde la question délicate de la préservation de l’environnement naturel par la construction d’un système de traitement des eaux destiné à protéger les ressources hydriques et la biodiversité. De plus, un hôpital, une école et une maison d’accueil ont été construits. Le développement durable selon Lavazza « Déjà dans les années 1930, Luigi Lavazza était convaincu que la production du café ne devait pas bouleverser le terroir et les modes de vie des populations locales. Il était donc conscient du concept de responsabilité sociale, et en ce sens était en avance sur son temps » , affirme Francesca Lavazza, qui fait partie de la quatrième génération de la famille Lavazza et est personnellement engagée dans cette initiative, « Voix de la Terre reprend le fil du discours commencé à cette époque, en l’adaptant cependant à la complexité d’un univers mondialisé : la nouvelle génération Lavazza a relevé de défi, défendant avec ferveur une philosophie qui s’est transformée en une action concrète » . Mario Cerutti, directeur du Coffee Buying Department de Lavazza et responsable du projet, explique : « Voix de la Terre ne se veut pas un nouveau modèle de développement durable, mais une expérience importante. Notre but est de coopérer avec les communautés locales afin de leur fournir les connaissances et les techniques qui permettront d’améliorer la qualité du produit ; les petits producteurs pourront ainsi être compétitifs sur le marché et commercialiser leur café à sa juste valeur. De plus , poursuit-il, l’aspect le plus important demeure l’introduction d’améliorations qui ne bouleversent pas la structure sociale et culturelle de l’environnement et exaltent les caractéristiques qualitatives des produits locaux. » Voix de la Terre n’est pas seulement un projet qui défend une idée de développement durable. Outre des considérations d’ordre social et économique, Lavazza apporte également sa contribution sur le plan culturel. Voix de la Terre possède, en effet, un « biographe » d’exception, bien que singulier : Steve McCurry, photographe de reportage parmi les plus célèbres et les plus influents, connu du grand public à travers, principalement, ses reportages sur la revue National Geographic. Steve a mis son talent au service du projet et il a guidé trois jeunes photographes de mérite (l’Italienne Guia Besana, le Colombien Carlos Alberto Zuluaga et le Péruvien Eduardo Hirose Maio) lors de la réalisation d’un reportage qui offre aux yeux du monde une documentation complète du projet, sous forme d’images d’une grande valeur artistique.
Le développement durable selon Lavazza Trois zones géographiques sont concernées par les interventions : la région de Huila, en Colombie, où ont été construites et restructurées 50 habitations destinées à des petits cultivateurs, où les conditions de vie en matière d’hébergement et d’hygiène ont été améliorées et où de nouvelles techniques de culture et de traitement du café vert ont été mises au point. La deuxième zone d’intervention est le Pérou, dans la communauté des indios Yanesha, où des infrastructures ont été créées pour le processus de traitement, où un programme de scolarisation des enfants a été lancé et où l’hôpital a été restructuré. La troisième initiative a lieu au Honduras, à La Fortuna, et aborde la question délicate de la préservation de l’environnement naturel par la construction d’un système de traitement des eaux destiné à protéger les ressources hydriques et la biodiversité. De plus, un hôpital, une école et une maison d’accueil ont été construits. Le développement durable selon Lavazza « Déjà dans les années 1930, Luigi Lavazza était convaincu que la production du café ne devait pas bouleverser le terroir et les modes de vie des populations locales. Il était donc conscient du concept de responsabilité sociale, et en ce sens était en avance sur son temps » , affirme Francesca Lavazza, qui fait partie de la quatrième génération de la famille Lavazza et est personnellement engagée dans cette initiative, « Voix de la Terre reprend le fil du discours commencé à cette époque, en l’adaptant cependant à la complexité d’un univers mondialisé : la nouvelle génération Lavazza a relevé de défi, défendant avec ferveur une philosophie qui s’est transformée en une action concrète » . Mario Cerutti, directeur du Coffee Buying Department de Lavazza et responsable du projet, explique : « Voix de la Terre ne se veut pas un nouveau modèle de développement durable, mais une expérience importante. Notre but est de coopérer avec les communautés locales afin de leur fournir les connaissances et les techniques qui permettront d’améliorer la qualité du produit ; les petits producteurs pourront ainsi être compétitifs sur le marché et commercialiser leur café à sa juste valeur. De plus , poursuit-il, l’aspect le plus important demeure l’introduction d’améliorations qui ne bouleversent pas la structure sociale et culturelle de l’environnement et exaltent les caractéristiques qualitatives des produits locaux. » Voix de la Terre n’est pas seulement un projet qui défend une idée de développement durable. Outre des considérations d’ordre social et économique, Lavazza apporte également sa contribution sur le plan culturel. Voix de la Terre possède, en effet, un « biographe » d’exception, bien que singulier : Steve McCurry, photographe de reportage parmi les plus célèbres et les plus influents, connu du grand public à travers, principalement, ses reportages sur la revue National Geographic. Steve a mis son talent au service du projet et il a guidé trois jeunes photographes de mérite (l’Italienne Guia Besana, le Colombien Carlos Alberto Zuluaga et le Péruvien Eduardo Hirose Maio) lors de la réalisation d’un reportage qui offre aux yeux du monde une documentation complète du projet, sous forme d’images d’une grande valeur artistique.
Le développement durable selon Lavazza Trois zones géographiques sont concernées par les interventions : la région de Huila, en Colombie, où ont été construites et restructurées 50 habitations destinées à des petits cultivateurs, où les conditions de vie en matière d’hébergement et d’hygiène ont été améliorées et où de nouvelles techniques de culture et de traitement du café vert ont été mises au point. La deuxième zone d’intervention est le Pérou, dans la communauté des indios Yanesha, où des infrastructures ont été créées pour le processus de traitement, où un programme de scolarisation des enfants a été lancé et où l’hôpital a été restructuré. La troisième initiative a lieu au Honduras, à La Fortuna, et aborde la question délicate de la préservation de l’environnement naturel par la construction d’un système de traitement des eaux destiné à protéger les ressources hydriques et la biodiversité. De plus, un hôpital, une école et une maison d’accueil ont été construits. Le développement durable selon Lavazza « Déjà dans les années 1930, Luigi Lavazza était convaincu que la production du café ne devait pas bouleverser le terroir et les modes de vie des populations locales. Il était donc conscient du concept de responsabilité sociale, et en ce sens était en avance sur son temps » , affirme Francesca Lavazza, qui fait partie de la quatrième génération de la famille Lavazza et est personnellement engagée dans cette initiative, « Voix de la Terre reprend le fil du discours commencé à cette époque, en l’adaptant cependant à la complexité d’un univers mondialisé : la nouvelle génération Lavazza a relevé de défi, défendant avec ferveur une philosophie qui s’est transformée en une action concrète » . Mario Cerutti, directeur du Coffee Buying Department de Lavazza et responsable du projet, explique : « Voix de la Terre ne se veut pas un nouveau modèle de développement durable, mais une expérience importante. Notre but est de coopérer avec les communautés locales afin de leur fournir les connaissances et les techniques qui permettront d’améliorer la qualité du produit ; les petits producteurs pourront ainsi être compétitifs sur le marché et commercialiser leur café à sa juste valeur. De plus , poursuit-il, l’aspect le plus important demeure l’introduction d’améliorations qui ne bouleversent pas la structure sociale et culturelle de l’environnement et exaltent les caractéristiques qualitatives des produits locaux. » Voix de la Terre n’est pas seulement un projet qui défend une idée de développement durable. Outre des considérations d’ordre social et économique, Lavazza apporte également sa contribution sur le plan culturel. Voix de la Terre possède, en effet, un « biographe » d’exception, bien que singulier : Steve McCurry, photographe de reportage parmi les plus célèbres et les plus influents, connu du grand public à travers, principalement, ses reportages sur la revue National Geographic. Steve a mis son talent au service du projet et il a guidé trois jeunes photographes de mérite (l’Italienne Guia Besana, le Colombien Carlos Alberto Zuluaga et le Péruvien Eduardo Hirose Maio) lors de la réalisation d’un reportage qui offre aux yeux du monde une documentation complète du projet, sous forme d’images d’une grande valeur artistique.
Le développement durable selon Lavazza Trois zones géographiques sont concernées par les interventions : la région de Huila, en Colombie, où ont été construites et restructurées 50 habitations destinées à des petits cultivateurs, où les conditions de vie en matière d’hébergement et d’hygiène ont été améliorées et où de nouvelles techniques de culture et de traitement du café vert ont été mises au point. La deuxième zone d’intervention est le Pérou, dans la communauté des indios Yanesha, où des infrastructures ont été créées pour le processus de traitement, où un programme de scolarisation des enfants a été lancé et où l’hôpital a été restructuré. La troisième initiative a lieu au Honduras, à La Fortuna, et aborde la question délicate de la préservation de l’environnement naturel par la construction d’un système de traitement des eaux destiné à protéger les ressources hydriques et la biodiversité. De plus, un hôpital, une école et une maison d’accueil ont été construits. Le développement durable selon Lavazza « Déjà dans les années 1930, Luigi Lavazza était convaincu que la production du café ne devait pas bouleverser le terroir et les modes de vie des populations locales. Il était donc conscient du concept de responsabilité sociale, et en ce sens était en avance sur son temps » , affirme Francesca Lavazza, qui fait partie de la quatrième génération de la famille Lavazza et est personnellement engagée dans cette initiative, « Voix de la Terre reprend le fil du discours commencé à cette époque, en l’adaptant cependant à la complexité d’un univers mondialisé : la nouvelle génération Lavazza a relevé de défi, défendant avec ferveur une philosophie qui s’est transformée en une action concrète » . Mario Cerutti, directeur du Coffee Buying Department de Lavazza et responsable du projet, explique : « Voix de la Terre ne se veut pas un nouveau modèle de développement durable, mais une expérience importante. Notre but est de coopérer avec les communautés locales afin de leur fournir les connaissances et les techniques qui permettront d’améliorer la qualité du produit ; les petits producteurs pourront ainsi être compétitifs sur le marché et commercialiser leur café à sa juste valeur. De plus , poursuit-il, l’aspect le plus important demeure l’introduction d’améliorations qui ne bouleversent pas la structure sociale et culturelle de l’environnement et exaltent les caractéristiques qualitatives des produits locaux. » Voix de la Terre n’est pas seulement un projet qui défend une idée de développement durable. Outre des considérations d’ordre social et économique, Lavazza apporte également sa contribution sur le plan culturel. Voix de la Terre possède, en effet, un « biographe » d’exception, bien que singulier : Steve McCurry, photographe de reportage parmi les plus célèbres et les plus influents, connu du grand public à travers, principalement, ses reportages sur la revue National Geographic. Steve a mis son talent au service du projet et il a guidé trois jeunes photographes de mérite (l’Italienne Guia Besana, le Colombien Carlos Alberto Zuluaga et le Péruvien Eduardo Hirose Maio) lors de la réalisation d’un reportage qui offre aux yeux du monde une documentation complète du projet, sous forme d’images d’une grande valeur artistique.
Le développement durable selon Lavazza Trois zones géographiques sont concernées par les interventions : la région de Huila, en Colombie, où ont été construites et restructurées 50 habitations destinées à des petits cultivateurs, où les conditions de vie en matière d’hébergement et d’hygiène ont été améliorées et où de nouvelles techniques de culture et de traitement du café vert ont été mises au point. La deuxième zone d’intervention est le Pérou, dans la communauté des indios Yanesha, où des infrastructures ont été créées pour le processus de traitement, où un programme de scolarisation des enfants a été lancé et où l’hôpital a été restructuré. La troisième initiative a lieu au Honduras, à La Fortuna, et aborde la question délicate de la préservation de l’environnement naturel par la construction d’un système de traitement des eaux destiné à protéger les ressources hydriques et la biodiversité. De plus, un hôpital, une école et une maison d’accueil ont été construits. Le développement durable selon Lavazza « Déjà dans les années 1930, Luigi Lavazza était convaincu que la production du café ne devait pas bouleverser le terroir et les modes de vie des populations locales. Il était donc conscient du concept de responsabilité sociale, et en ce sens était en avance sur son temps » , affirme Francesca Lavazza, qui fait partie de la quatrième génération de la famille Lavazza et est personnellement engagée dans cette initiative, « Voix de la Terre reprend le fil du discours commencé à cette époque, en l’adaptant cependant à la complexité d’un univers mondialisé : la nouvelle génération Lavazza a relevé de défi, défendant avec ferveur une philosophie qui s’est transformée en une action concrète » . Mario Cerutti, directeur du Coffee Buying Department de Lavazza et responsable du projet, explique : « Voix de la Terre ne se veut pas un nouveau modèle de développement durable, mais une expérience importante. Notre but est de coopérer avec les communautés locales afin de leur fournir les connaissances et les techniques qui permettront d’améliorer la qualité du produit ; les petits producteurs pourront ainsi être compétitifs sur le marché et commercialiser leur café à sa juste valeur. De plus , poursuit-il, l’aspect le plus important demeure l’introduction d’améliorations qui ne bouleversent pas la structure sociale et culturelle de l’environnement et exaltent les caractéristiques qualitatives des produits locaux. » Voix de la Terre n’est pas seulement un projet qui défend une idée de développement durable. Outre des considérations d’ordre social et économique, Lavazza apporte également sa contribution sur le plan culturel. Voix de la Terre possède, en effet, un « biographe » d’exception, bien que singulier : Steve McCurry, photographe de reportage parmi les plus célèbres et les plus influents, connu du grand public à travers, principalement, ses reportages sur la revue National Geographic. Steve a mis son talent au service du projet et il a guidé trois jeunes photographes de mérite (l’Italienne Guia Besana, le Colombien Carlos Alberto Zuluaga et le Péruvien Eduardo Hirose Maio) lors de la réalisation d’un reportage qui offre aux yeux du monde une documentation complète du projet, sous forme d’images d’une grande valeur artistique.
Le développement durable selon Lavazza Trois zones géographiques sont concernées par les interventions : la région de Huila, en Colombie, où ont été construites et restructurées 50 habitations destinées à des petits cultivateurs, où les conditions de vie en matière d’hébergement et d’hygiène ont été améliorées et où de nouvelles techniques de culture et de traitement du café vert ont été mises au point. La deuxième zone d’intervention est le Pérou, dans la communauté des indios Yanesha, où des infrastructures ont été créées pour le processus de traitement, où un programme de scolarisation des enfants a été lancé et où l’hôpital a été restructuré. La troisième initiative a lieu au Honduras, à La Fortuna, et aborde la question délicate de la préservation de l’environnement naturel par la construction d’un système de traitement des eaux destiné à protéger les ressources hydriques et la biodiversité. De plus, un hôpital, une école et une maison d’accueil ont été construits. Le développement durable selon Lavazza « Déjà dans les années 1930, Luigi Lavazza était convaincu que la production du café ne devait pas bouleverser le terroir et les modes de vie des populations locales. Il était donc conscient du concept de responsabilité sociale, et en ce sens était en avance sur son temps » , affirme Francesca Lavazza, qui fait partie de la quatrième génération de la famille Lavazza et est personnellement engagée dans cette initiative, « Voix de la Terre reprend le fil du discours commencé à cette époque, en l’adaptant cependant à la complexité d’un univers mondialisé : la nouvelle génération Lavazza a relevé de défi, défendant avec ferveur une philosophie qui s’est transformée en une action concrète » . Mario Cerutti, directeur du Coffee Buying Department de Lavazza et responsable du projet, explique : « Voix de la Terre ne se veut pas un nouveau modèle de développement durable, mais une expérience importante. Notre but est de coopérer avec les communautés locales afin de leur fournir les connaissances et les techniques qui permettront d’améliorer la qualité du produit ; les petits producteurs pourront ainsi être compétitifs sur le marché et commercialiser leur café à sa juste valeur. De plus , poursuit-il, l’aspect le plus important demeure l’introduction d’améliorations qui ne bouleversent pas la structure sociale et culturelle de l’environnement et exaltent les caractéristiques qualitatives des produits locaux. » Voix de la Terre n’est pas seulement un projet qui défend une idée de développement durable. Outre des considérations d’ordre social et économique, Lavazza apporte également sa contribution sur le plan culturel. Voix de la Terre possède, en effet, un « biographe » d’exception, bien que singulier : Steve McCurry, photographe de reportage parmi les plus célèbres et les plus influents, connu du grand public à travers, principalement, ses reportages sur la revue National Geographic. Steve a mis son talent au service du projet et il a guidé trois jeunes photographes de mérite (l’Italienne Guia Besana, le Colombien Carlos Alberto Zuluaga et le Péruvien Eduardo Hirose Maio) lors de la réalisation d’un reportage qui offre aux yeux du monde une documentation complète du projet, sous forme d’images d’une grande valeur artistique.
Le développement durable selon Lavazza Trois zones géographiques sont concernées par les interventions : la région de Huila, en Colombie, où ont été construites et restructurées 50 habitations destinées à des petits cultivateurs, où les conditions de vie en matière d’hébergement et d’hygiène ont été améliorées et où de nouvelles techniques de culture et de traitement du café vert ont été mises au point. La deuxième zone d’intervention est le Pérou, dans la communauté des indios Yanesha, où des infrastructures ont été créées pour le processus de traitement, où un programme de scolarisation des enfants a été lancé et où l’hôpital a été restructuré. La troisième initiative a lieu au Honduras, à La Fortuna, et aborde la question délicate de la préservation de l’environnement naturel par la construction d’un système de traitement des eaux destiné à protéger les ressources hydriques et la biodiversité. De plus, un hôpital, une école et une maison d’accueil ont été construits. Le développement durable selon Lavazza « Déjà dans les années 1930, Luigi Lavazza était convaincu que la production du café ne devait pas bouleverser le terroir et les modes de vie des populations locales. Il était donc conscient du concept de responsabilité sociale, et en ce sens était en avance sur son temps » , affirme Francesca Lavazza, qui fait partie de la quatrième génération de la famille Lavazza et est personnellement engagée dans cette initiative, « Voix de la Terre reprend le fil du discours commencé à cette époque, en l’adaptant cependant à la complexité d’un univers mondialisé : la nouvelle génération Lavazza a relevé de défi, défendant avec ferveur une philosophie qui s’est transformée en une action concrète » . Mario Cerutti, directeur du Coffee Buying Department de Lavazza et responsable du projet, explique : « Voix de la Terre ne se veut pas un nouveau modèle de développement durable, mais une expérience importante. Notre but est de coopérer avec les communautés locales afin de leur fournir les connaissances et les techniques qui permettront d’améliorer la qualité du produit ; les petits producteurs pourront ainsi être compétitifs sur le marché et commercialiser leur café à sa juste valeur. De plus , poursuit-il, l’aspect le plus important demeure l’introduction d’améliorations qui ne bouleversent pas la structure sociale et culturelle de l’environnement et exaltent les caractéristiques qualitatives des produits locaux. » Voix de la Terre n’est pas seulement un projet qui défend une idée de développement durable. Outre des considérations d’ordre social et économique, Lavazza apporte également sa contribution sur le plan culturel. Voix de la Terre possède, en effet, un « biographe » d’exception, bien que singulier : Steve McCurry, photographe de reportage parmi les plus célèbres et les plus influents, connu du grand public à travers, principalement, ses reportages sur la revue National Geographic. Steve a mis son talent au service du projet et il a guidé trois jeunes photographes de mérite (l’Italienne Guia Besana, le Colombien Carlos Alberto Zuluaga et le Péruvien Eduardo Hirose Maio) lors de la réalisation d’un reportage qui offre aux yeux du monde une documentation complète du projet, sous forme d’images d’une grande valeur artistique.
Le développement durable selon Lavazza Trois zones géographiques sont concernées par les interventions : la région de Huila, en Colombie, où ont été construites et restructurées 50 habitations destinées à des petits cultivateurs, où les conditions de vie en matière d’hébergement et d’hygiène ont été améliorées et où de nouvelles techniques de culture et de traitement du café vert ont été mises au point. La deuxième zone d’intervention est le Pérou, dans la communauté des indios Yanesha, où des infrastructures ont été créées pour le processus de traitement, où un programme de scolarisation des enfants a été lancé et où l’hôpital a été restructuré. La troisième initiative a lieu au Honduras, à La Fortuna, et aborde la question délicate de la préservation de l’environnement naturel par la construction d’un système de traitement des eaux destiné à protéger les ressources hydriques et la biodiversité. De plus, un hôpital, une école et une maison d’accueil ont été construits. Le développement durable selon Lavazza « Déjà dans les années 1930, Luigi Lavazza était convaincu que la production du café ne devait pas bouleverser le terroir et les modes de vie des populations locales. Il était donc conscient du concept de responsabilité sociale, et en ce sens était en avance sur son temps » , affirme Francesca Lavazza, qui fait partie de la quatrième génération de la famille Lavazza et est personnellement engagée dans cette initiative, « Voix de la Terre reprend le fil du discours commencé à cette époque, en l’adaptant cependant à la complexité d’un univers mondialisé : la nouvelle génération Lavazza a relevé de défi, défendant avec ferveur une philosophie qui s’est transformée en une action concrète » . Mario Cerutti, directeur du Coffee Buying Department de Lavazza et responsable du projet, explique : « Voix de la Terre ne se veut pas un nouveau modèle de développement durable, mais une expérience importante. Notre but est de coopérer avec les communautés locales afin de leur fournir les connaissances et les techniques qui permettront d’améliorer la qualité du produit ; les petits producteurs pourront ainsi être compétitifs sur le marché et commercialiser leur café à sa juste valeur. De plus , poursuit-il, l’aspect le plus important demeure l’introduction d’améliorations qui ne bouleversent pas la structure sociale et culturelle de l’environnement et exaltent les caractéristiques qualitatives des produits locaux. » Voix de la Terre n’est pas seulement un projet qui défend une idée de développement durable. Outre des considérations d’ordre social et économique, Lavazza apporte également sa contribution sur le plan culturel. Voix de la Terre possède, en effet, un « biographe » d’exception, bien que singulier : Steve McCurry, photographe de reportage parmi les plus célèbres et les plus influents, connu du grand public à travers, principalement, ses reportages sur la revue National Geographic. Steve a mis son talent au service du projet et il a guidé trois jeunes photographes de mérite (l’Italienne Guia Besana, le Colombien Carlos Alberto Zuluaga et le Péruvien Eduardo Hirose Maio) lors de la réalisation d’un reportage qui offre aux yeux du monde une documentation complète du projet, sous forme d’images d’une grande valeur artistique.
L’initiative étant particulièrement complexe, Lavazza a 1. engagé ses propres ressources humaines pour : la conception, l’organisation le déroulement du projet 2. mis sur pied tout un réseau de partenaires au niveau international et local. Le projet a été mis au point à l’aide des précieux conseils de Volcafé , l’un des principaux groupes exportateurs de café au monde, à travers ses entreprises ancrées dans le territoire (Molino de Honduras, Carcadè en Colombie et Prodelsur au Pérou), sans oublier l’apport de GTZ et US-Aid , les agences gouvernementales allemandes et américaines qui s’occupent de promouvoir la coopération avec les pays en développement, favorisant ainsi l’engagement direct des communautés locales.
L’initiative étant particulièrement complexe, Lavazza a 1. engagé ses propres ressources humaines pour : la conception, l’organisation le déroulement du projet 2. mis sur pied tout un réseau de partenaires au niveau international et local. Le projet a été mis au point à l’aide des précieux conseils de Volcafé , l’un des principaux groupes exportateurs de café au monde, à travers ses entreprises ancrées dans le territoire (Molino de Honduras, Carcadè en Colombie et Prodelsur au Pérou), sans oublier l’apport de GTZ et US-Aid , les agences gouvernementales allemandes et américaines qui s’occupent de promouvoir la coopération avec les pays en développement, favorisant ainsi l’engagement direct des communautés locales.
L’initiative étant particulièrement complexe, Lavazza a 1. engagé ses propres ressources humaines pour : la conception, l’organisation le déroulement du projet 2. mis sur pied tout un réseau de partenaires au niveau international et local. Le projet a été mis au point à l’aide des précieux conseils de Volcafé , l’un des principaux groupes exportateurs de café au monde, à travers ses entreprises ancrées dans le territoire (Molino de Honduras, Carcadè en Colombie et Prodelsur au Pérou), sans oublier l’apport de GTZ et US-Aid , les agences gouvernementales allemandes et américaines qui s’occupent de promouvoir la coopération avec les pays en développement, favorisant ainsi l’engagement direct des communautés locales.
L’initiative étant particulièrement complexe, Lavazza a 1. engagé ses propres ressources humaines pour : la conception, l’organisation le déroulement du projet 2. mis sur pied tout un réseau de partenaires au niveau international et local. Le projet a été mis au point à l’aide des précieux conseils de Volcafé , l’un des principaux groupes exportateurs de café au monde, à travers ses entreprises ancrées dans le territoire (Molino de Honduras, Carcadè en Colombie et Prodelsur au Pérou), sans oublier l’apport de GTZ et US-Aid , les agences gouvernementales allemandes et américaines qui s’occupent de promouvoir la coopération avec les pays en développement, favorisant ainsi l’engagement direct des communautés locales.
L’initiative étant particulièrement complexe, Lavazza a 1. engagé ses propres ressources humaines pour : la conception, l’organisation le déroulement du projet 2. mis sur pied tout un réseau de partenaires au niveau international et local. Le projet a été mis au point à l’aide des précieux conseils de Volcafé , l’un des principaux groupes exportateurs de café au monde, à travers ses entreprises ancrées dans le territoire (Molino de Honduras, Carcadè en Colombie et Prodelsur au Pérou), sans oublier l’apport de GTZ et US-Aid , les agences gouvernementales allemandes et américaines qui s’occupent de promouvoir la coopération avec les pays en développement, favorisant ainsi l’engagement direct des communautés locales.