10. -1ere rencontre des membres du groupe (Réunion)
-Toujours au stade de groupe
-Apprendre à se connaitre
-Mélange d’excitation et de prudence
Rôle du chef de projet dans cette phase :
-Niveau d’incertitude sur les rôles élevé :équipe est très
dépendante de son leader formel (le chef de projet) pour s’orienter.
- Adopter un mode de management « entraineur » + fédérer des
personnalités parfois très différentes.
11. -mettre en relation,
-créer un climat de confiance le plus tôt possible,
-Partager l’objectif projet commun visé par l’équipe, et favoriser
son appropriation.( recherche du nom du projet)
Management entraineur:
13. -Premières divergences de points de vu
-Chaque « expert » de l’équipe cherche à se faire entendre (de façon
plus ou moins diplomate), ce qui génère des confrontations, critiques…
voire des affrontements.
-Phase très délicate
mal négociée: balkanisation de l’équipe/changement de main
du leadership
Bien gérée: elle conduira à au renforcement de l’équipe.
14. Rôle du chef de projet dans cette phase :
-Partages d’idées des moments créatifs/productifs (innovation,
fertilisation)et non destructifs (conflit d’idées, luttes d’influence) ?
-libérer un espace de parole pour chacun
-régulation des conflits au plus tôt, afin d’éviter que les discussions
s’enveniment.
-reformuler l’objectif commun régulièrement, afin de maintenir la cohésion
dans le temps.
-mode de management très « participatif ».
16. -Mise en place d’une vraie structure de travail en équipe.
-Phase de consensus
-règles de fonctionnement exprimées et acceptées par tous.
-Les objectifs du groupe et les contributions de chaque membre sont
explicitement définis.
-Les attentes de chacun sont connus
17. Rôle du chef de projet dans cette phase :
-Permettre au groupe de trouver un cadre commun de travail.
-Mode de management plus « directif »,
-Clarifier et de légitimer les règles de fonctionnement et les rôles
-Chasser les dernières zones d’incertitude qui pourraient polluer le
travail collaboratif.
19. -Tous les groupes n’atteignent pas cette phase,
-Travail effectif du groupe, sur les bases de fonctionnement qui ont été
mises en place lors de la phase précédente.
-L’équipe existe, les outils sont en place, les règles de fonctionnement
partagées.
-Le travail collaboratif permet au groupe de réussir des performances
qui dépassent la simple juxtaposition collaborative : la création de
valeur est à son maximum, et le moral est bon !
20. »Le chef de projet doit coordonner, motiver, arbitrer, en adoptant le
juste degré de contrôle.
» Trop de contrôle, et il risque d’étouffer les initiatives.
»Trop peu, et le groupe risque de manquer de guidance lors de
certaines étapes.
»Il doit donc adopter un mode de management « délégatif », et se
rendre disponible selon les besoins de chacun.
22. Cette cinquième phase correspond à la dissolution du groupe, soit
parce que le projet est terminé, soit par usure, après des échecs ou des
déceptions, quand certains membres commencent à quitter l’équipe.
Dans les deux cas, la situation peut être difficile à vivre.
-Rôle du chef de projet dans cette phase :
-Tout d’abord, le chef de projet doit prendre le temps de reconnaître le
travail effectué par les membres du groupe, et de valoriser l’apport de
chacun à l’atteinte des objectifs.
23. »Il convient également de capitaliser sur les succès et les erreurs
rencontrés dans le projet, ainsi que sur les règles de fonctionnement
mises en place par l’équipe.
»Enfin, il faut aussi marquer de façon formelle et explicite la fin du
projet pour permettre aux équipiers de s’engager plus facilement dans
de nouveaux projets.