1. Sensibilisation des publics aux usages
> Offrir l’accès à tous
L a mise en contact du public avec les outils
et les usages du réseau est le facteur essentiel
> S’approprier
de nouveaux outils
> Les TIC au service
de l’éducation
> Accompagner
d’une acculturation progressive des populations le monde agricole
aux nouvelles technologies de l’information et
de la communication. Découvrir, expérimenter, acquérir
des méthodes et des points de repères, se laisser guider
sur la Toile… autant de moyens privilégiés pour entrer
de plain-pied dans une modernité qui se fait chaque jour
plus présente. Jeunes et moins jeunes y découvrent
alors tous les bénéfices d’un monde d’échanges
et d’informations.
21
2. C’est essentiellement une opportunité financière – le programme euro-
péen « Leader II » – qui a permis de concrétiser les projets TIC du canton
du Guillestrois et, en premier lieu, la salle multimédia. Sa création avait
été motivée par les résultats d’une enquête démontrant le sous-équipe-
ment multimédia des foyers du canton. L’équipe en charge des différents
projets est constituée d’une directrice du développement, d’un ingénieur
géomaticien et d’un emploi jeune qui sera remplacé, en septembre, par
un animateur au poste pérenne. Pour le lancement du SIG, la collectivité
a fait appel à un prestataire de services. L’équipe s’appuie par ailleurs sur
l’association ERIC (Espace Régional Internet Citoyens), qui soutient, depuis
l’origine, l’intercommunalité dans ses projets TIC.
Dans le canton du Guillestrois, il existe une réelle dynamique des TIC.
Le public peut se familiariser dans une salle multimédia en libre
accès, « La Remise », à la bureautique, aux logiciels libres, à la
retouche d’images… Des sessions thématiques y sont aussi pro-
grammées, telles les matinées de l’emploi pour les travailleurs sai-
sonniers ou bien les matinées des téléprocédures, en collaboration
avec le service Espace rural emploi formation de la communauté de Outils d’insertion, de développement économique et d’aménagement du territoire,
communes. Par ailleurs, la communauté de communes a développé les TIC entrent dans le cadre des compétences et des actions prioritaires du can-
un Système d’Information Géographique (SIG), et d’autres projets com- ton du Guillestrois. L’importance de constituer un réseau de partenaires, de cibler
munaux sont lancés, comme les points culture/multimédia/libre accès le public pour répondre au mieux à ses attentes, de communiquer auprès des élus
Sensibilisation des publics aux usages Offrir l’accès à tous
Internet. et du public et l’intérêt à bien choisir ses animateurs constituent les principaux
enseignements tirés des premiers projets déployés.
À l’avenir, le nombre d’applications du SIG devrait augmenter progressivement et
les sessions thématiques de la salle multimédia devraient être renforcées, plus
LA MISE EN ŒUVRE
axées sur l’insertion et l’emploi. Dans le même temps, les accès libres à la salle mul-
timédia seront réduits, afin de développer les accès sur abonnement.
Communauté de communes du canton du Guillestrois
PETIT À PETIT,
LES TIC GAGNENT LE CŒUR DU CANTON
Les différents projets auxquels réfléchit la communauté de communes
du Guillestrois ont pour objectif de lutter contre la fracture numérique,
caractérisée par un enclavement du territoire, par un faible équipe-
ment informatique des foyers et par un accès encore limité aux nou-
velles technologies de l’information et de la communication par les
FICHE
habitants. L’intercommunalité s’interroge sur la façon de susciter
LE PROJET
l’intérêt de la population pour ces nouveaux outils et sur les moyens
D?IDENTITE
de les mettre à leur disposition. À ce jour, seul le chef-lieu, Guillestre,
est couvert en haut débit.
Statut de la collectivité :
Intercommunalité
créée en 2000
Localisation : BILAN ET PERSPECTIVES
Département des Hautes-
Alpes
Nombre d’habitants : 5 185
Contexte territorial :
Zone de montagne,
stations de ski pour
certaines communes
Contact :
communaute@guil.net
LES ENJEUX
Pierre Eyméoud
Maire de Vars, Président de la communauté de communes du canton du Guillestrois
“ Pour un territoire enclavé comme le nôtre et
dont l’économie repose sur le tourisme, l’utilisation des TIC
relève d’une logique de survie économique dans un contexte
de concurrence croissante. Tous les acteurs sont concernés.
22
“ 23
3. Le projet Point Infos 14, lancé parallèlement au SIG du département, a été
soutenu dès l’origine par la Direction de l’Informatique et des Technologies
de l’Information du Conseil Général du Calvados. Une quinzaine de parte-
naires ont pris part à la réflexion amont, parmi lesquels l’ANPE, l’URSSAF,
les ASSEDIC, la CAF, la CPAM, France Télécom, EDF-GDF, la CCI, la Chambre
d’Agriculture, la Chambre des Métiers, la Cour d’Appel, le Syndicat Intercom-
munal d’Electrification et d’Equipement Collectif du Calvados et les Bus
Verts du Calvados. Sur le terrain, les porteurs du projet sont les collectivi-
tés, et notamment les intercommunalités. Un, voire deux agents sont affec-
tés par Point Infos 14 – huit emplois ont ainsi été créés –, et une subvention
forfaitaire annuelle de 10 600 euros a été attribuée par le Conseil Général à
Le « Point Infos 14 » est un Espace Public Numérique (EPN). Un agent chaque Espace Public Numérique.
accueille les citoyens afin de les accompagner dans leurs démarches de
toutes sortes, gratuitement et en toute confidentialité. Pour contacter le
service public concerné par la demande, l’agent dispose de plusieurs
outils multimédias. Globalement, il propose quatre types de prestations:
• aide à la rédaction de courriers et de CV, aide au règlement de pro-
blèmes de facturation, etc. ; Depuis l’ouverture du premier Point Infos 14 en 2001, pas moins de
• accompagnement dans la recherche d’un emploi, la création d’une 60 000 opérations ont été réalisées dans les 11 sites implantés sur le ter-
entreprise, etc. ; ritoire, fréquentés par tous types de publics, de tous âges. Cette réussite
• obtention de conseils pratiques, des coordonnées de personnes sus- semble provenir des nombreux partenariats et de la désignation d’un réfé-
ceptibles de fournir des renseignements, etc. ; rent par chaque administration partenaire. Plus largement, les points forts
Sensibilisation des publics aux usages Offrir l’accès à tous
• accès à la liste des offres de travail de l’ANPE, aux imprimés types du projet sont, pêle-mêle, le maillage du département, la qualité des infra-
disponibles sur Internet, aux horaires SNCF, etc. structures et de leur maintenance (assurée par un prestataire de services).
Face au succès rencontré par les Points Infos 14, trois nouveaux sites pour-
raient bientôt voir le jour, le Conseil Général ayant pour sa part renouvelé
LA MISE EN ŒUVRE
sa subvention annuelle forfaitaire.
Conseil Général du Calvados
DES DÉMARCHES TOUS AZIMUTS
Dans le Calvados, comme dans bon nombre de territoires ruraux où la
population est dispersée, le numérique apparaît comme une solution
pour réduire l’enclavement. Le Conseil Général considère les TIC
comme un vecteur de développement : il s’agit de doter le département
de moyens de télécommunications de pointe et de faciliter les conditions
FICHE LE PROJET
d’accueil des entreprises sur l’ensemble du territoire. En tant que ser-
vices aux particuliers et aux collectivités, les Points Infos 14 s’inscrivent
D?IDENTITE
dans cette démarche globale, côtoyant d’autres priorités, comme la cou-
verture en téléphonie mobile, l’accès haut débit (la couverture ADSL
Nombre de communes
sera finalisée en juin 2006), l’équipement des collèges et écoles
concernées : 7 communes
primaires, ou encore le Système d’Information Géographique (SIG).
et 4 communautés BILAN ET PERSPECTIVES
de communes
Contexte territorial :
Territoire rural (activité
agricole et tourisme rural
en développement) et
agglomération (Caen est la
ville-centre d’une agglomé-
ration de près de 250 000
habitants)
Contact :
n.ozenne@cg14.fr
Henri Girard
LES ENJEUX Maire d’Evrecy, premier Vice-Président de la communauté de communes
d’Evrecy-Orne-Odon, Vice-Président du Conseil Général du Calvados
“ Les Points Infos 14 facilitent les liens entre le public,
les collectivités et les partenaires. Le service primordial
rendu dans le cadre de ces structures est celui du
diagnostic simple, lequel nécessite, de la part de
l’agent d’accueil, beaucoup de disponibilité et d’écoute.
24
“ 25
4. L’ALPI compte 26 agents répartis dans 5 services : l’Extranet départe-
mental rassemblant 450 collectivités, la formation professionnelle,
l’assistance logicielle, l’assistance matérielle, la création de sites
Internet. Pour ses différents projets, l’ALPI a recours à des prestataires
de services afin de développer certains outils, tout en étant responsable
des choix technologiques et en favorisant le développement et la diffu-
sion de logiciels libres. Son budget annuel s’élève à 1,5 million d’euros,
dont 300 000 euros provenant des adhésions et de la participation des
collectivités, selon leur taille et les outils utilisés.
Menées auprès des collectivités du département, les actions de
l’Agence Landaise Pour l’Informatique, « ALPI », concernent 4 types
de services :
• les outils, les contenus et la formation grâce à un Extranet utilisé
par 6 000 agents et 4 000 élus ;
• des logiciels métiers, notamment pour les procédures administra- La création de l’Extranet a été une étape-clé dans l’existence de l’ALPI,
tives, bientôt développés en logiciels libres ; multipliant par deux le nombre de ses adhérents et favorisant le
• des logiciels libres pour la création de sites Internet ; déclenchement d’autres projets. Parmi les points forts de l’ALPI, la
• des formations pour les élus et les secrétaires de mairie. mutualisation des moyens permet à toutes les communes d’avoir accès
à des services performants. L’augmentation des compétences des
collectivités locales nécessite davantage de moyens en ingénierie et
Sensibilisation des publics aux usages S’approprier de nouveaux outils
rend pertinente la mutualisation des outils au travers de structures
telles que l’ALPI.
LA MISE EN ŒUVRE
L’ALPI, née en 1985, est devenue Syndicat mixte en 2004. Elle inter-
vient dans un département rural constitué de nombreuses petites
Agence Landaise Pour l’Informatique
communes où la dynamique intercommunale est particulièrement
développée. Mais, comme d’autres territoires ruraux, les Landes sont
LES LANDAIS PRATIQUENT LES TIC
menacées par la fermeture des services publics locaux. Afin de sou-
tenir les collectivités, le département a affiché, dès 1984, une réelle
DEPUIS 10 ANS
volonté politique d’avoir un service local dédié à l’informatique. Alors
qu’au niveau national le plan « Informatique pour tous » se déployait
dans les écoles, les Landes décidaient de distribuer deux fois plus
d’ordinateurs que les autres départements (deux par l’État et deux par
le Conseil Général). Depuis vingt ans, les actions de l’ALPI contribuent
FICHE LE PROJET
à faciliter l’accès de la population aux TIC : 22 Espaces Publics
Numériques (EPN) sont labellisés, 60 bibliothèques et 20 média-
D?IDENTITE
thèques sont informatisées et disposent d’un accès Internet, un cyber-
bus est mis à disposition des collectivités, 12 zones industrielles
Statut du porteur de projet :
auront l’accès au haut débit à la fin 2005 et 97 % des lignes télépho-
Syndicat mixte départemen- BILAN ET PERSPECTIVES
niques seront éligibles à l’ADSL d’ici fin 2006.
tal regroupant 450 collecti-
vités (Conseil Général,
communes, intercommuna-
lités, centres de gestion,
maisons de retraite,
collèges, etc.)
Contexte territorial :
Département rural
relativement enclavé LES ENJEUX
mais bénéficiant d’une
bonne conjoncture écono-
mique et démographique
Contact :
direction@alpi40.org
Jean Bourden
Maire de Mimizan, Président de la communauté de communes de Mimizan,
premier Vice-Président de l’Agence Landaise Pour l’Informatique (ALPI).
“ Les projets TIC procèdent d’une politique
globale d’aménagement du territoire,
en permettant le maintien des services,
le désenclavement, la gestion de l’état civil.
26
“ 27
5. L’Académie de Dijon et France Télécom ont collaboré dès
avril 2003 pour développer des solutions adaptées à
l’environnement des ENT de type « Ariane ». Ces dernières
ont été expérimentées avec succès au cours des années sco-
laires 2003-2004 et 2004-2005. En septembre 2003, 4 éta-
blissements bourguignons – soit environ 2 000 élèves – ont
utilisé ces services, et parmi eux, le collège Olivier de la
Marche de Saint-Martin-en-Bresse, l’un des plus grands uti-
lisateurs et promoteurs de ces innovations. L’Académie a
mobilisé un chef de projet, tout au long de l’expérimentation,
et deux développeurs, pour l’intégration des services. Quant
à France Télécom, il a eu recours à plusieurs chercheurs,
équivalant à deux hommes an. Les communications engen-
Le collège Olivier de la Marche, situé sur la commune de Saint-Martin- drées par les services ont été financées par l’Académie grâce
en-Bresse, a accès à « ArianeDijon », le portail Intranet/Extranet de au budget alloué par le ministère de l’Éducation Nationale.
l’Académie de Dijon. Cet Espace Numérique de Travail (ENT) propose dif-
férents services à l’ensemble de la communauté éducative, à savoir les
enseignants, les personnels des établissements, les élèves et les
parents d’élèves. On y gère l’absentéisme, l’organisation des réunions,
le pilotage des emplois du temps, l’information des parents lors des Les nouveaux services déployés dans les collèges permettent d’améliorer
voyages scolaires… ArianeDijon, avec le service Edudom, permet par la communication entre les établissements et les familles. Ils ont
exemple de faire de la multidiffusion de messages, en quelques clics et d’ailleurs été retenus par la Région Lorraine dans le cadre de son EPN,
Sensibilisation des publics aux usages Les TIC au service de l’éducation
depuis une interface web très simple. Il permet aussi de délivrer des « Prisme ». Sous l’impulsion du Gouvernement, tous les établissements
informations à l’attention des parents sur un serveur vocal interactif, scolaires, du secondaire comme du supérieur, devraient être bientôt dotés
véritable « vitrine vocale » de l’établissement scolaire. d’Intranets pédagogiques avec, s’ils le souhaitent, des fonctionnalités de
communication avancées.
LA MISE EN ŒUVRE
Commune de Saint-Martin-en-Bresse
ARIANEDIJON
TISSE UN FIL TECHNOLOGIQUE
ENTRE COLLÈGES ET PARENTS D’ÉLÈVES
Prise à l’initiative de l’Académie de Dijon, l’application déployée dans le
collège Olivier de la Marche vise à faciliter la communication et à ren-
forcer les liens entre l’école et le domicile. Elle concerne également une
dizaine d’autres établissements répartis sur l’ensemble des départe-
ments de la Région Bourgogne. Plus globalement, ArianeDijon fait par-
FICHE LE PROJET
tie des projets d’ENT retenus par le ministère de l’Éducation Nationale
D?IDENTITE
dans l’enseignement secondaire. Pour les territoires ruraux, l’enjeu est
de taille : il s’agit de lutter contre la fracture numérique et d’offrir à cha-
Statut du porteur de projet :
cun un accès à l’information éducative.
Collège
Localisation : BILAN ET PERSPECTIVES
Commune de Saint-Martin-
en-Bresse, Châlonnais,
Département de Saône-et-
Loire
Nombre d’habitants :
1 697 dans la région
du Châlonnais
Contexte territorial :
Milieu rural
Contact :
thierry.moreau@
francetelecom.com
Pascal Alliot
LES ENJEUX Principal du collège Olivier de la Marche, à Saint-Martin-en-Bresse
“ Avec le nouvel outil multimédia, nous avons
gagné en temps et en qualité de communication.
Les élèves, les professeurs, le collège et les parents
y voient, ensemble, un intérêt certain.
28
“ 29
6. Inforferme mobilise les agents de Technobel
selon ses besoins – il y en a 22 au total – et dis-
pose d’une douzaine d’ordinateurs mobiles. Pour
Technobel, le coût horaire de formation est
d’environ 16 euros, et le coût d’installation d’un
accès ADSL de 800 euros. La structure est finan-
cée par la Région wallonne et par des fonds euro-
péens (FEDER, FSE).
Le programme « Inforferme » a pour vocation d’aider les quelque 15 000 agri-
culteurs de la région wallonne à prendre conscience de l’importance et de
l’efficacité de l’outil informatique pour rentabiliser et moderniser leur exploi-
tation agricole. Il se décline en 3 étapes :
• la sensibilisation : recensement des besoins d’information et
d’accompagnement via les institutions professionnelles (Fédération Wallonne
de l’Agriculture, Agence Wallonne de l’Élevage), lancement de sessions
d’information itinérantes sur les TIC et sur l’offre de formation du Centre de
compétences Technobel ;
• la formation : programme d’initiation et de découverte de l’outil informa-
tique et de l’Internet, programme avancé de découverte des potentialités des Après 3 sessions de fonctionnement, 1 000 agricul-
Sensibilisation des publics aux usages Accompagner le monde agricole
différents logiciels agricoles de gestion. Les sessions sont conçues pour des teurs ont été formés, et 250 ont fait l’objet d’un
groupes de 6 personnes minimum. Elles se déroulent dans des salles com- accompagnement personnalisé. La diffusion des TIC
munales et s’adaptent au rythme des professionnels du monde agricole ; génère d’ores et déjà une dynamique économique et
• l’accompagnement : démarche d’accompagnement personnalisé afin de sou- une modernisation du secteur agricole régional,
LA MISE EN ŒUVRE
tenir la construction et la mise en œuvre du projet individuel (identification des même si le financement des heures de formation
opportunités, analyse des besoins/définition des priorités, structuration du reste insuffisant. À court terme, Inforferme souhaite
Technobel (Belgique)
projet, préparation du cahier des charges, analyse des offres de prestataires). améliorer le dispositif d’accompagnement des agri-
culteurs ; à ce titre, un animateur spécialisé dans le
LES AGRICULTEURS WALLONS
monde rural vient d’être recruté. Et le Centre de for-
mation et de compétences, l’organisme public
S’INITIENT AUX TIC
Technobel, a exprimé le souhait de réduire sa sphère
Dans le cadre de son programme régional d’action innovatrice, la Région wal- d’influence à un périmètre de 60 km autour de son
lonne a lancé en 2004 le programme « Prométhée II », visant à promouvoir siège, tout en développant des solutions de formation
l’utilisation des TIC auprès des citoyens et des entreprises. Dans ce cadre, le à distance.
Centre de formation et de compétences Technobel, organisme public wallon,
FICHE LE PROJET
a reçu la mission de mener des actions de sensibilisation à l’Internet et à ses
applications en milieu rural, en allant à la rencontre des demandeurs
D?IDENTITE
d’emploi et des travailleurs des zones rurales et semi-urbaines. Le pro-
gramme Inforferme s’inscrit dans cette démarche, en ciblant plus particu-
Statut du porteur de projet :
lièrement les agriculteurs et en leur présentant les TIC comme outils
Centre de compétences
d’optimisation et de modernisation de leurs activités économiques.
et de formation aux TIC
Localisation : Zones rurales
de la région wallonne
(Belgique), plus spécifique-
BILAN ET PERSPECTIVES
ment dans les provinces de
Namur et du Luxembourg
Nombre d’habitants :
15 000 environ (principale-
ment des agriculteurs)
Contexte territorial :
Territoire rural, avec
une forte représentation
du monde agricole
LES ENJEUX
30
“ La diffusion des TIC génère d’ores et déjà une dynamique
économique et une modernisation du secteur agricole régional.
“ 31