2. Sommaire
Le patrimoine religieux
Les langues
La danse
La gastronomie
Un lieu une histoire
3. Patrimoine religieux
• Le patrimoine religieux de la Bretagne,
particulièrement présent et original, constitue une des
sources de "l'enchantement breton".
• Il n'est guère de paysage maritime ou de paysage de
l'intérieur qui ne soit marqué, ici ou là, par une croix de
pierre, une statue, le clocher d'une église ou d'une
chapelle, expression de la ferveur religieuse du peuple
breton pendant des siècles et aujourd'hui encore
merveilles architecturales et artistiques pour tous les
visiteurs qui se donnent le temps de les découvrir au
détour des chemins.
4. Les langues
• Le breton à l'Ouest, le gallo à l'Est.
• 92 % des Bretons souhaitent voir conserver le breton; ils étaient 76
% en 1991.
• 82 % des Bretons se reconnaissent dans l'expression "Le breton est
notre langue régionale". Cette proportion est très élevée, même en
Loire-Atlantique.
• Le gallo est la langue romane parlée dans la grande moitié orientale
de la Bretagne.
• Riche de sa tradition orale, le gallo investit peu à peu la littérature
écrite depuis la fin du XXe
siècle : poésie, traduction de bandes
dessinées, nouvelles... Des enseignements du gallo existent ici et là,
de la maternelle à l’université.
5. La danse• Liée à des fêtes de famille ou de village, la danse est toujours aussi prisée
par les Bretons. On forme alors de grandes chaînes où tout le monde
trouve sa place. En Bretagne, autrefois, on dansait pour les noces et pour
les fêtes de village.
• Les fest-noz (fête de la nuit) ou les fest-deiz (fête du jour) qui fleurissent en
Bretagne ces dernières années séduisent des milliers de danseurs, dont
beaucoup de jeunes, réunis en un même élan dans une grande farandole
aux pas bien distincts.
• La gavotte est la danse admettant le plus de variantes d'un terroir à l'autre;
le déplacement majeur des danseurs se fait sur un plan horizontal : en
d'autres termes, en dansant la gavotte, on fait du chemin. L'interprétation
d'une gavotte doit donc inciter les danseurs à avancer, le chant doit les
tirer.
• Plinn et fisel : les deux danses se rejoignent souvent. Le déplacement des
danseurs durant ces danses s'effectue sur un plan vertical. Contrairement à
la gavotte, la progression des danseurs durant un plinn ou un fisel est
minime. Pour inciter les danseurs à sauter, le chant doit être plus nerveux
et marqué. Le texte sera plus articulé, plus scandé. La note finale est tenue
moins longtemps que pour la gavotte.
6. La gastronomie
• La bière bretonne: La Bretagne a su faire des bières locales sa
grande spécialité. Stout, brune, ambrée, blonde, blanche, à
l'eau de mer ou bio, le palmarès est assez large pour que tout
le monde en trouve une à son goût. Fiers de leurs valeurs, les
brasseurs bretons ne sont pas avares de leur expérience et
vous comptent avec passion le brassage de leurs breuvages.
Bienvenue dans les Brasseries Bretonnes !
• Des recettes classiques : kouign amann, gâteau breton, far,
kig ha farz… mais aussi des plats plus insolites tels le far frit, la
tarte au lait ribot, le carpaccio d’artichaut et chair de
tourteau, et bien d’autres à découvrir
7. Un lieu une histoire• Belle-Ile-en-Mer : Notre série sur les demeures qui ont conservé leur âme
nous mène, aujourd'hui, à Belle-Ile-en-Mer. Quand elle découvre
l'endroit, en 1894, Sarah Bernhardt y achète un ancien petit fort militaire.
Quelques années plus tard, elle est à la tête d'un domaine de 46 ha. Son
paradis. Elle y passera tous ses étés pendant 30 ans.
• Fort-La-Latte: Notre série d'été sur ces demeures bretonnes qui ont une
âme se poursuit. Direction Fort-La-Latte, à Plévenon (22), dont la fière et
massive silhouette domine la mer, face au Cap Fréhel. Depuis 33 ans,
Isabelle Joüon des Longrais préside à la destinée du fort.
• Saint-Brieuc: Au paradis des écrivains, Louis Guilloux est heureux : 33 ans
après sa mort, sa résidence de Saint-Brieuc est devenue la « Maison du
peuple » dont il avait rêvé. Achetée il y a vingt ans par la ville, l'habitation
n'a pas tourné la page de la littérature : ateliers d'écriture et résidences
d'artistes accueillent auteurs, chercheurs, écoliers