Théâtre - Tout public à partir de 9 ans
(...) à partir des grandes lignes de la vie de
Jeanne Barré, Eudes Labrusse a inventé
une nouvelle histoire, composée comme
une série d’instantanés photographiques.
Sur scène, deux comédiens alternent
épisodes narratifs et scènes de jeu,
dans un espace qui évoque la coque
d’un bateau. Peu à peu, le portrait et le
parcours passionnants d’une femme
s’y dessinent. Un spectacle fort sur la
quête d’un personnage et la question
de l’identité.
(Télérama )
(...) Deux comédiens et un violoncelliste
magnifiques, dans une mise en scène
inventive et poétique !
(Le Courrier de Mantes)
Diffusion : Anne-Lise Jacques
01 30 33 02 26 - coordination@theatredumantois.org
L’histoire d’une femme étonnante qui, au XVIIIe siècle,
participe au fameux “voyage de Bougainville”, déguisée en
homme, vivant avec son secret pendant deux ans au milieu
d’une centaine de marins. Une histoire bien réelle, où perce un
parfum de mystère : comment est-ce qu’une obscure paysanne
se retrouve au coeur d’une expédition légendaire avec les plus
grands savants du siècle ? Pourquoi prend-elle le risque insensé
de s’embarquer avec eux en se travestissant ? Comment résiste-
t-elle à une promiscuité permanente sans être découverte ?
Deux comédiens, accompagnés d’un violoncelliste, interrogent
et imaginent le parcours de cette femme. Les spectateurs
embarquent avec eux dans un bateau-théâtre pour une enquête
sur ce personnage qui reste en creux, et dont les mystères intérieurs
fascinent autant que l’épopée : un personnage qui permet de poser
les questions du genre et de l’identité, du travestissement, et de la
façon dont une femme peut trouver sa place dans la société.
Texte Eudes Labrusse
Mise en scène
Jérôme Imard
Eudes Labrusse
Interprétation
Claire Fretel, Philipp Weissert
Musique de scène
Karsten Hochapfel
Costumes et accessoires
Cécile Pelletier
Scénographie Nicolas Prigent,
Yannick Willeaume et
Maï Scremin
Lumières Laurent Bonacorsi
Production Théâtre du Mantois
Coproduction La Nacelle –
scène conventionnée
Avec le soutien du Conseil général
des Yvelines, de la Spedidam et de
l’Adami/Copie Privée
Extraits de presse
Née au milieu du 18e
siècle, fille d’un
métayer bourguignon, elle embarque
en 1766 dans l’un des navires de la
célèbre expédition de Bougainville. à
une époque où la présence d’une
femme est strictement interdite
à bord, elle voyage déguisée en
homme, sous le nom de Jean Barret,
en se faisant passer pour le valet du
botaniste Commerson, dont elle a été
la gouvernante avant de devenir la
compagne et l’assistante.
La supercherie n’est découverte
que deux ans plus tard, lors d’une
escale à Tahiti, par des indigènes.
Bougainville, impressionné par le
courage de la jeune femme, la laisse
continuer le voyage, mais la débarque
avec Commerson à l’Île Maurice.
Commerson y meurt en 1773. Jeanne
épouse l’année suivante un officier
de marine avec qui elle peut rentrer
en France sans risque de poursuites :
elle boucle ainsi son périple et peut
être considérée comme la première
femme de l’histoire à avoir fait le
tour du monde.
Elle rapporte dans trente caisses, le
trésor des récoltes de Commerson.
Louis XVI reconnaît ses mérites, la
désigne “femme extraordinaire” et
lui verse une rente. Elle meurt en
Dordogne en 1807.
Jeanne Barré,
une jeune femme étonnante
Deux comédiens,
pour une enquête théâtrale
L’histoire de Jeanne Barré dégage
des parfums d’aventures et laisse la
porte ouverte à tous les imaginaires.
Son parcours, on en connait que
les grandes lignes grâce à ce que
Bougainville et d’autres scientifiques
ont écrit.
Tout le reste, au fond, on ne le sait
pas.
Comment est-ce qu’une obscure
paysanne, destinée à passer sa vie
dans son village de Saône-et-Loire,
en arrive à se retrouver au cœur
d’une expédition légendaire avec
les plus grands savants du siècle ?
Est-ce par amour, par passion de
la science, par défi, qu’elle prend le
risque insensé de s’embarquer avec
eux en se travestissant ? Comment
réussit-elle à tromper pendant deux
ans tout un équipage en vivant jours
et nuits au milieu de cent trente
marins ? Comment résiste t-elle dans
son mensonge à cette permanente
promiscuité ?
Comme une partition rythmique, avec
des effets de relances, de réponses,
de reprises, deux comédiens
vont inventer ensemble les
scènes, avancer ensemble dans
la construction de “leur” Jeanne.
Le duo de comédiens ne retrace
pas la biographie exhaustive du
personnage mais raconte le parcours
du personnage en creux, par petites
touches, par courtes séquences, en
pointillés.
Ils vont interroger et imaginer le
parcours de cette femme, comme dans
une enquête sur ce personnage :
une enquête qui permet de poser les
questions du genre et de l’identité,
du travestissement, et de la façon dont
une femme peut trouver sa place dans
la société.
Entrez dans un bateau-théâtre...
Un dispositif qui suppose une grande
proximité : proximité qui renvoie à la
promiscuité avec laquelle Jeanne doit
composer pour masquer sa véritable
identité. Avec cette impossibilité
pour le comédien de se dérober
quand il est sur la scène, toujours
exposé. Comme pour une des ces
expérimentations qui fascinent tant
le 18e
siècle.
La bi-frontalité renvoie aussi au
déchirement identitaire de Jeanne
partagée entre masculin et
féminin. Bref, un jeu sur le double,
jeu de miroir, de cache-cache, entre
vérité et mensonge, sincérité et
dissimulation...
Un “bateau-théâtre” pour scénographie : un
gradin bi-frontal, comme une évocation
de carène ou de coque, et au centre,
une scène-pont tout en longueur et en
étroitesse.
Un dispositif scénique original, qui
embarque le spectateur, comme dans
un bateau, pour ce voyage théâtral.
Parce que c’est l’instrument qui se marie le mieux à la
voix humaine, qu’il sera un peu comme le troisième
“conteur”de l’histoire.
Parce que c’est au 18e
siècle, le siècle du voyage de
Bougainville, que cet instrument s’est imposé.
Parce qu’il est une scénographie de l’histoire à
lui tout seul : corps de femme et bois du bateau,
matière presque autant que musique.
Parce qu’il sera sans doute une découverte, assez
impressionnante, pour beaucoup des jeunes qui
assisteront au spectacle.
Le violoncelle de Karsten, avec des sonorités
insolites et contemporaines rythme la narration ;
il marque le passage entre les séquences, se glisse
dans les ellipses... L’instrument permet d’évoquer des athmosphères, suggérer
des bruitages : la mer, le vent, le cri des mouettes, les craquements du
bateau…
Un violoncelle, comme une évidence
L’équipe artistique
Mise en scène :
Jérôme Imard
Codirecteur du Théâtre du Mantois,
il met en scène avec Eudes Labrusse
les spectacles de la compagnie - à
l’intérieur desquels il joue parfois. Il
se consacre au théâtre depuis 1995
et poursuit conjointement un travail
de comédien et de metteur en scène.
Il joue avec Daniel Postal, Corinne
Guédet, participe de 1997 à 2004 à de
nombreuses créations d’Engrenage
Théâtre et aborde les répertoires
classique et contemporain.
Texte et mise en scène :
Eudes Labrusse
Directeur du Théâtre du Mantois et de
La Nacelle - scène conventionnée, il
est avant tout écrivain : une dizaine
de textes publiés à L’Avant Scène
Théâtre, dont Le Rêve d’Alvaro qui
a obtenu l’aide à la production de la
DMDTS. Certains sont mis en scène par
le Théâtre du Mantois mais aussi par
d’autres compagnies (L’Art Mobile ou
La Bouche d’Ombre).
Jérôme Imard et Eudes Labrusse signent ensemble depuis plus de dix ans les
mises en scène du Théâtre du Mantois : Madame de Didier Goupil, Le Bouc de
R.W. Fassbinder, Le Collier de Perles du Gouverneur Li Qing, Nalia, la nuit, Le
Rêve d’Alvaro, Elias Leister a disparu, Le Couperet…
Jeu : Philipp Weissert
Comédien, il achève sa formation
à l’Ecole Claude Mathieu en 1995.
S’ensuit un compagnonnage avec
Jérome Imard et Eudes Labrusse au
sein du Théâtre du Mantois. Il travaille
également avec Fabian Chappuis,
René Albold au Théâtre du Masque
d’Or, Francis Sourbié au vingtième
théâtre. Il fait partie de l’aventure de
La Guinguette a rouvert ses volets (3
nominations au Molières 2005, prix
Spedidam de la meilleure comédie
musicale).
Par ailleurs, il participe régulièrement
à des pièces radiophoniques pour
France Culture et France Inter. Il est
un des acteurs de la série Un village
français.
JEU : Claire Fretel
En 2000, elle fonde sa première
compagnie. Puis elle entre au Cours
Florent et intègre l’ESAD en 2004.
S’ensuit plusieurs collaborations en
tant qu’assistante metteur en scène
avec Nathalie Colladon et comédienne
avec Elodie Bensoussan. En 2006, elle
initie un partenariat entre ANETH et le
Collectif Mona pour travailler sur des
textes contemporains pour les mardis
midis du Théâtre du Rond Point. Tout en
poursuivant son travail de comédienne,
elle se tourne vers la mise en scène.
En 2008, elle est lauréate du prix Paris
Jeunes Talents. En 2012-2013 elle
assiste Pierre Notte pour la création du
diptyque Sortir de sa mère et La chair
des tristes culs.
Musique de scène :
KARTSEN HOCHAPFEL
Dès 18 ans, il tourne un peu partout
en Europe avec le groupe Embryo.
En 2001, il intègre le conservatoire
de Munich. En 2005 Il obtient un
diplôme d’enseignant. Il joue dans
de nombreuses formations de jazz et
musique et arrange et compose pour
plusieurs groupes de styles différents
(Djaïma, chanteuse-violiniste bulgare,
Michelangelo Pagnano, guitariste
brésilien, le trio acoustique Morgen
Naughties) mais aussi au sein de
son projet personnel Das Rote Gras,
un septet qui réunit des musiciens
allemands et français. Avec ce groupe,
il sort deux disques et joue dans le
cadre de festivals.
Il accompagne aussi régulièrement
des spectacles de danse et de
théâtre (Carolyn Carlson et Alejandro
Jorowski).
Costumes et accessoires :
Cécile pelletier
Formée aux Beaux-Arts d’Anvers, elle
est passionnée par la matière, ses
alliages, ses transformations : tissus,
métal, bois, plâtre, peinture. Son
travail de plasticienne lui a permis de
travailler dans les différents univers du
spectacle vivant : le théâtre, la danse,
le théâtre de rue, le cirque, la musique.
Après une période parisienne à
travailler pour des artistes aux univers
différents (Alain Sachs, Alfredo Arrias,
différents metteurs en scène flamands
à Anvers…), la vie a délocalisé ses
créations en Bretagne. L’univers de
l’art de la rue et de la danse occupe
désormais une large partie de son
travail : objets détournés, costumes-
sculptures qui ont élargi son expérience
dans un axe plus scénographique.
Lumières : LAURENT BONACORSI
Régisseur ou technicien lumière pour
des lieux comme le Théâtre de la
Commune (Aubervilliers), La Nacelle
(Aubergenville), Le Prisme (élancourt),
le Collectif 12 (Mantes-la-Jolie), il
travaille aussi régulièrement comme
régisseur pour des compagnies de
danse (Les Orpailleurs, Retouramont).
Depuis 2004, il a créé les lumières de
plusieurs spectacles de danse ou de
théâtre : Accusé rêvez vous (LIBAP),
La machine à explorer les sons (Cie
Inouï), Peter, Pet.....er !!! (Cie Praxis),
Le noeud de la forme (Cie Geneviève
Mazin), Cyrano de Bergerac (école
de Création du Théâtre du Mantois),
Les Niaiseuses (Cie Praxis).
Scénographie : NICOLAS PRIGENT
Issu d’une formation musicale, il
intègre dès 1998 les fonctions de
régisseur son à La Merise (Trappes),
puis de régisseur général au Scarabée
(La Verrière). Depuis 2006, il exerce les
fonctions de régisseur général à La
Nacelle (Aubergenville) et la direction
technique du festival Les Francos
(festival jeune et tout public du Val de
Seine).
Il réalise des créations sonores depuis
2005 : Suite déglinguée pour perruques
et quatuor à grimaces, (Théâtre suivant),
La Fille de 18h32, (Liba Théâtre), La
Marche, Après la Tempête, La Capture
(Théâtre du Sable),...
> Dossier pédagogique (fourni sur demande)
> Ateliers / rencontres
Rencontre avec Eudes Labrusse ou Jérôme Imard
Atelier pratique avec Claire Fretel
(70 € TTC par heure d’intervention)
> Spectacle de petite forme en accompagnement
Histoires extraordinaires de trois (autres) femmes travesties
et aventurières au XVIIIe siècle
Au-delà de Jeanne Barré, le “Siècle des Lumières” semble avoir été riche
d’aventures de femmes qui, pour trouver une place dans une société qui leur est
fermée, se sont travesties et ont vécu des vies d’homme ; des vies aussi épiques
qu’extravagantes.
A travers un spectacle de petite forme, autonome, qui peut se jouer à domicile,
dans un foyer de théâtre, en bibliothèque, librairie,... et peut accompagner la
diffusion de Jeanne Barré, la Voyageuse invisible, c’est trois de ces autres parcours
fascinants de femmes aventurières que nous nous proposons de raconter :
- Madeleine Maupin, cantatrice, duelliste, et très experte dans les choses de
l’amour ;
- Mary Read, soldat puis pirate auprès de Rackam le Rouge dans les Caraïbes ;
- Marguerite-Julienne Le Pastour, bourreau émérite des hautes œuvres de sa
Majesté.
Trois femmes au caractère bien trempé, mais portées aussi par des passions
amoureuses dévorantes…
Spectacle sous forme de lecture musicale
Avec Philipp Weissert, Jérôme Imard, Karsten Hochapfel (violoncelle)
Durée 50 mn
Tarif : nous consulter
Action culturelle autour du spectacle
Conditions d’accueil
Jauge 110
Durée 1h10
Dispositif autonome.
Ce spectacle peut être accueilli
dans un théâtre (directement sur
le plateau) ou hors les murs.
Espace minimum 10m par 10m
Hauteur minimum 3,5m
Sol supportant 500 kg/m²
Prevoir une occultation totale de la salle.
Tour Samia pour l’implantation et le réglage lumière
Un praticable de 2m sur 2m à une hauteur de 1m
Montage en 3 services
Besoins en personnel :
- 4 personnes sur les deux premiers services
- 2 personnes sur le 3e
service
- 4 personnes pour le démontage (1 service).
Pour les lieux équipés :
Prévoir un déchargement pour un
camion de 20m3
le plus proche
possible de l’espace de jeux.
Son :
- 4 enceintes type PS8 sur 2 canaux
qui seront sous nos gradins
- 1 lecteur CD
- 1 console Son
- 1 liaison régie Plateau pour 2 canaux
Lumiere :
- voir le plan de feu. Des adaptations
sont possibles.
- 1 console type presto
Pour les lieux non équipés :
Prévoir un déchargement pour un
camion 12m3
et un 9m3
le plus proche
possible de l’espace de jeux.
Besoins électriques : 6 prises
domestiques de 16A arrivant au bord
de notre espace.
Pas de de groupe éléctrogène.
Son : autonome
Lumiere :
Nous avons nos projecteurs nos
gradateurs et notre jeux d’orgue.
- Prolongs electriques pour faire la lia-
son gradateurs - projecteurs.
(ce nombre est à definir suivant votre
implantation)
Plan de feu
Régisseur général : Nicolas Prigent
06 82 68 38 86 / nicolaspr@wanadoo.fr
Régisseur lumiere : Laurent Bonacorsi
06 18 42 01 15 / bonacorsi.laurent@neuf.fr
Calendrier de tournée 14/15
Vendredi 7 .................. horaire à définir
(Petite forme)
Salle polyvalente - DEUIL-LA-BARRE (95)
Samedi 22 ...................
Lundi 24 .......................
20h30 (Tout
Public)
10h et 14h
(Scolaires)
JANVIER
Centre culturel L’imprévu - SAINT-OUEN
L’AUMÔNE (95)
Mardi 20 .....................
Jeudi 21 ......................
14h30 (Scolaire)
et 21h (Tout
Public)
10h (Scolaire)
MARS
Théâtre du Cormier - CORMEILLES EN
PARISIS (95)
Lundi 9 ........................
Mardi 10 ......................
10h et 14h15
(Scolaires)
10h et 14h15
(Scolaires)
NOVEMBRE
Bibliothèque -DEUIL-LA-BARRE (95)
Théâtre Romain Rolland - VILLEJUIF (94)
Mercredi 26 ...............
Jeudi 27 .......................
Vendredi 28 ...............
Samedi 29...................
9h30 (Scolaire)
9h30 et 14h
(Scolaires)
9h30 et 14h
(Scolaires)
16h (Tout Public)
Vendredi 13 ...............
Samedi 14 ...................
9h45 et 14h15
(Scolaires)
18h (Tout Public)
Centre Dramatique National -
SARTROUVILLE (78)
Lundi 16 ......................
Mardi 17 ....................
Jeudi 19 .....................
Vendredi 20 ...............
Samedi 21 ..................
9h45 et 14h
(Scolaires)
14h et 19h30
(Tout Public)
9h45 et 14h
(Scolaires)
9h45 et 14h
(Scolaires)
16h (Tout Public)
MAI
Théâtre L’Onde - VELIZY-VILLACOBLAY
(78)
Lundi 11 .....................
Mardi 12 ....................
Mercredi 13 ...............
15h (Scolaires)
10 (Scolaire) et
20h (Tout Public)
10h (Scolaire)
Ferme de Bel Ébat - GUYANCOURT (78)
Salle Aznavour - ARNOUVILLE-LES-
GONESSES (95)
Mardi 18 ......................
Mercredi 19.................
Horaires à définir
(une Scolaire et
une Tout Public)
Le matin, horaire à
préciser (Scolaire)
Conditions financières
équipe artistique
2 comédiens
1 musicien
2 régisseurs
Loges à prévoir pour trois personnes
avec un léger catering : eau, thé, café,
chocolat, fruits secs...
Trois bouteilles d’eau par
représentation.
Coût de cession (en H.T.)
2 représentations minimums
les deux premières : 1 850 € l’une
la troisième : 1 750 €
la quatrième et plus : 1 600 €
Les frais annexes
Transport de l’équipe artistique
depuis Paris
Transport du décor : location d’un
camion 20m3
ou de deux camions :
un 12m3
et un 9m3
Repas et hébergement pour 5
personnes
Direction : Eudes Labrusse et Jérôme Imard
Administration : Anne Souty
Coordination, production & diffusion : Anne-Lise Jacques
Relations publiques : Constance Winckler
Secrétariat : Raphaëlle Jarry
Direction technique : Nicolas Prigent
Le Théâtre du Mantois est soutenu par la Communauté d’agglomération de Mantes-en-Yvelines, le
Conseil général des Yvelines, la région Île-de-France, la DRAC Île-de-France, le ministère délégué
à la Ville, le rectorat de Versailles.
Il assure la direction artistique de La Nacelle - Scène Conventionnée d'Aubergenville, et du festival
jeune et tout public Les Francos.
Le Théâtre du Mantois