LA MONTÉE DE L'ÉDUCATION DANS LE MONDE DE LA PRÉHISTOIRE À L'ÈRE CONTEMPORAIN...
Se retrouver
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Se retrouver…
Une journée pluvieuse dans l'un des quartiers plus peuplés de Paris, Thérèse intente
survivre en jouant à la guitare sur le carrefour des rues Feutrier et Paul Albert, devant du
café Belak.
‘’Quelqu’un m’a dit’’ est la chanson qui égrène avec sa mélodieuse voix, en essayant de ne
remarquer pas toute la douleur que l'étouffe son cœur. Sa voix se brise en se souvenir.
Cette chanson le dit et le dole au même temps que n’est pas capable de laisser de chanter.
Au but de la rue Paul Albert, une porte se ferme brusquement, derrière elle sort Eloy.
Furieux, abandonne son luxueux duplex et là, à son capricieuse épouse. Descend par la rue
en fumant une cigarette pendant que son esprit voyage au passé. Un passé qui l’arrive en
forme de chanson, de cette foutue chanson qui ne peut pas oublier. À fur et à mesure que
s'approche au café, à lequel dans sa barre habituellement prend un café, la mélodie devient
plus claire et plus douloureuse. Bientôt la voit- Ce n’est pas possible -dit-il - ne peux pas me
passer ça- Se répète ablette, mais au même temps, une sourire commencé à se dessiner
dans sa bouche. La surprise a été reflétée sur son visage. Était-elle, n’y avait aucun doute
qu’est la jeune fille de la boutique de fleurs, de laquelle avait été à la recherche, depuis la
sanglante journée. De ce terrible jour, la dernière fois qu’il la voit, le jour de l’expulsion de la
boutique.
Sa voix l’a attrapé, est magique et le fait se souvenir de tous les moments vécus avec elle.
Ne l’importe plus laisser pleine la tasse de café qu’on finit de le faire et que l’attendait sur la
table, pour se la prendre en un autre instant. Il traversa la rue sans regarder, sans penser.
il l’a vu de près, elle avait changé. Toute la douleur était écrite à sa figure. Il s’a approché
lentement avec la peur, ne sachant pas comment elle réagit. Il a peur. Un peur terrible de la
perdre à nouveau, à qu'elle l’ignore. Il est en face d’elle et regarde comme elle lève la tête
lentement, très lentement...
En levant les yeux, ne peux pas croire ce qu’elle a sentir déjà, l’odeur de bois de santal
toujours associée à l’élégance, toujours associé à lui, que la fait lever son visage avec
surprise et appréhension. Il est là! il est là! Son nez ne l’avait pas trompé.
-Bonjour- Il lui a dit- je ne sais pas si toi te souviens de moi-sourit-il timidement.
Elle avait fini de chanter brusquement et le regarde avec dégoût, avec douleur, avec
amour...
Elle ne répond pas et descend la face. Alors, il se décide à se la lever, à la parler
- Thérèse - dit-il après la caresse lentement - je suis désolé…- Alors, le silence est présent,
dur, lourde.
Elle semblait que de nouveaux ne va pas le pardonner, mais l’a regardé et sans penser le
sourire et change l'expression, et décide d'être heureuse.
Une semaine est passé. Elle est là, devant la boîte à lettres. En ses mains, elle tenait une
lettre, semble être d’une personne intéressé à la musicienne. La cite à un rendez-vous dans
un restaurant.
Elle ne peut pas laisser aller cette occasion. Cette après-midi, Thérèse est devant le
restaurant luxueux. Elle douté, mais à la fin, est entré. Un serveur s’a approché à elle.
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-Vous avez réservé table?- a demandé-t-il.
-Je cherche la table soixante-deux, s’il vous plait- a dit- elle avec la lettre en sa main.
Le serveur la regarde et la guide jusqu’à la table correspondante. De loin, elle peut voir le
dos de l’ l'homme qui était assis à la table, Il doit être celui qui veux l’embaucher, pense-t-
elle. Lentement, l’homme se lève de son siège et est sur le point de se retourner pour la
recevoir.
-N’ est pas possible...c’est lui--- que fait-il ici?- répète sa tête une et autre fois, sans
s’arrêter.
Une autre fois, la même histoire. Les souvenirs retournent, et retournent.
-N’est pas possible- se répète, têtue,, sans vouloir croire ça que ses yeux voient.
-Bonjour à nouveau, assied-toi- a dit-il soigneusement..
Elle abasourdie veux le quitter brusquement, mais décide de le donner l'occasion d’écouter
ses explications. Et ben voilà, elle a décidé de prendre un siège dans la chaise, et en
regardant son entourage a dû admettre que le restaurant soit le plus luxueux dans lequel
elle entrerait jamais.
Sans laisser de la regarder, il lui a dit nerveux :
-Je me souviens plus de toi… encore que tu as changé beaucoup- un demi-sourire amer
se le dessine
- Je ne peux pas dire la même chose à propos de toi - dit-elle sarcastiquement, Thérèse
veut rester sérieuse et le parler professionnellement, mais ne peux pas éviter de se perdre
dans ses yeux
- Ton allure n’a pas changé- a dit-il en gardant sa sourire.
Elle ne peut pas le regarder, tous ces moments qu’elle pense oubliés, retournent.
- Euh…bien ? Comment va tout?- a demandé-t-il avec intérêt, mais elle decidé
l’ignorer, et le répond avec une question :
- - Pourquoi avez-vous me faire venir ici?- cette question lui a piqué, il a vu le peu
d’intérêt d’elle.
Il ne répond pas. Et elle commence à lire la carte et en la fermant, demandé des crêpes aux
champignons, comme elle fait toujours, et lui, avec un sourire en son visage, demandé le
même.
Le dîner se déroule en silence, en fessant les deux, de tant en tant, des regards clandestins
et à la fin, ont passé un moment jolie, malgré que n’avaient pas oublié rien de son passé.
Au bout du dîner, s’ont séparés avec cordialité et en pensant de ne se tourner à retrouver.
Et les mois passent, el les jours coulent sans laisser de penser, sans s’oublier. Encore qu’ils
veuillent refaire son histoire, la petit amie d’Eloi, a marqué un point sans retour.
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Thérèse, suivi avec sa routine, chantant pour survivre, pour oublier. Eloi la cherche une
autre fois et décide de s’approcher de nouveau à elle, en l’invitant à prendre un café. Elle
accepte.
En ce moment, assises et calmés, ils commencent à se raconter ses nouvelles vies.
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Thérèse, veut nier ce qui son cœur sent pour Eloi, mais… elle ne peut plus, elle le regarde
aux yeux en le disant :
-Où est que nous sommes arrivés?
-Thérèse, tu sais que le passé, est le passé, notre histoire c’est fini- a dit-il avec une voix
douce et calme.
-Encore tu es avec elle?- lui demande, elle a envie de pleurer, mais ne le fait, le regarde
avec anxiété.
Il resté tu, en le confirmant avec un geste.
-Mais tu l’aimes? Tu te rappelles de tout ça qu’elle m’avait fait ? Elle est méchante !!!- dit-
elle en serrant ses mains avec force.
-Thérèse…- chouchoute-il
Thérèse se lève et parti en lui laissant seule, avec ses dernières mots à la bouche. Avant
de partir définitivement, parle avec le serveur et le laisse une note avec un objet ;
rapidement, le serveur lui porte en un plateau la note avec un poignard, une bouteille de
champagne…et la crêpe aux champignons.
Lui, ivre et aigri finisse pleurant au coin où la va connaître, au coin où jamais ils
retourneront.
Écrit par : Marta España et Sara Miranda