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Les Crêpes froides
Il était une nuit froide, les rues du petit et mignon village étaient
éclairés pour les réverbères que lui donna vie jusqu’au dernière
coin de cette lieu. Mais il avait un endroit que bien que soit
illuminée ce jour, verrait l’obscurité. Était dessous de la rue
Mariscal Leclerc, un arôme sucrée, douce, s’était cuisinant
mais, plus ou moins, se finirait dissipant. La fragrance des
crêpes aux champignons t’incitait à rentrer dedans de ce petit
pavillon que, petit à petit, se rendrait un cauchemar.
Antoine avait son regard fixe en les deux assiettes prêts, il
tenait déjà un verre de vin presque vide, pendant qu'il attendait
Anne-Marie. La mélodie du coucou indiquait les douze;
personne n’avait encore arrivée, Il aurait dû écouter la sonnette
des clés quand ouvrent la porte, les crêpes étaient froides, les
aiguilles de l’horloge avançaient pendant que la bouteille de vin
se vide.
Les murs semblaient se bouger, le battement du son cœur
s’intensifiait avec le tic-tac de l'horloge. Il va faire la tentative
de se lever, et le verre de vin lui a glissé des doigts et la
moquette a requis les dernières gouttes de cette verre que
justement venait de se précipiter.
Le bruit d’un autre bouchon a prévenu que la nuit non était finit
encore et que les coupes de vin se rempliaient et se
rempliaient, et elle n’arrivait pas. Elle s’était faite attendre plus,
il n’était pas conscient de celui qui supposait son absence et
pour cela, il buvait et buvait sans s’arrêter, sans penser, sans
voir que de peu en peu il était en train de se transformer en un
individu méprisable.
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Quand il allait aviné, lui plaisait se regarder aux miroirs, se
rappeler des vieux temps, croire que rien n'était passé, que tout
était comme avant, que n’avait été qu’un cauchemar, que lui
tournerait à le voir traîner sur les couloirs de chez-lui.
La réalité le bouleversait fortement. Cela ce qui restait de lui,
petit à petit, s’aillait dissipé, au même temps que la voix monté
d´intensité. Il n'était pas conscient de cela ce qui faisait. Ses
actions qu´étaient la plupart de fois involontaires, lui devenaient
tomber en disgrâce. On marchait envers là, il ne veut pas
penser en rien, seulement en la boîte, laquelle, il fait temps que
le criait. D'un moment à l'autre, il l'ouvrait et une sinistre odeur
à brûler inondé ses fosses nasales.
Plus de souvenirs on arrivait à sa tête, le plus récent était le
plus douloureux.
“Les crêpes étaient froides comme l'âme de l´Anne-Marie. Tout
était sa faute, je me rappelle de tout. Elle est allée à passer la
nuit avec cet homme et le nôtre petit chouchou paie le pots
cassés.
Elle ne l’a pas cherché pas, elle restait plus occupé en
partageant une coupe du vin avec un autre.
Notre Pascal, il portait trente minutes en attendant qu’Anne-
Marie le recueillait, après de tout, il avait seul quinze ans et
serait la première fois qu'il est venu plus tard.
J'étais très fatigué, je venais de rentrer du bureau. Je pensai
qu'ils seront là, les deux, en m’attendant avec anxiété.
Les chambres étaient vides, tout était obscur. Je ne me
rappelle pas de l'importance, je pensais qu’ils arriveraient d'un
moment à l'autre, mais jamais seraient de cette manière.
Se faisait plus tard, je les avais attendu longtemps, les yeux se
me fermaient, et je souhaitais à écouter le son de ses clés en
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ouvrant les portes de chez-moi. Je fus surpris d'écouter le bruit
de le ring, elle entraînait toujours les clés. Je pensai qu’elle les
avait oubliées.
Le chemin vers la porte se me faite éternel, le sommeil me
tuait. Je vais me pincer, non je n'étais pas en rêvant, c’était
vérité. A l´ouvrir la porte je me suis rencontré avec la chose
que moins j'attendais. La police était là, ils me crachent avec
délicatesse les nouvelles; je ne voulais pas de les entendre.
Bref, je ne les comprenais pas.
Le froid que j'avais noté aux pieds m’a pris le coeur, jamais j’ai
tourné à sentir la chaleur d’avant, jamais la tournerais à sentir.
Mais si que je sentirais son absence que encore me fais mal
quand je regarde Anne Marie avec une crêpe aux
champignons.’’
La boîte avec les cendreuses lui glissent de ses mains. Il
secoua la tête, il ne pouvait pas, il ne pouvait jamais surmonter.
Puisque la mort d’un enfant ne se surpasse jamais, s’apprend à
vivre avec elle. Il regardait le sol, c’était la goute que le
dépasse.
Décidément, sans regarder derrière, il marchait vers la cuisine
où il a pris le couteau plus effilé qu’ il pourrait trouver. Il voulait
finir avec tout d’une fois, il en avait d‘assez plus des nuits sans
dormir, de tant des souvenirs.
Soudain, tout retourne à la réalité pour lui. La porte de dessous
s’écoute et les clés carillonnent. L’Anne-Marie était déjà ici.
Il ne s’agit pas, il ne réagit pas. On semblait que le monde et
son entourage, s’eussent arrêté.
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Ses passes étaient chaque fois plus proches. Il était dans la
cuisine, encore avec le poignard dans la main. Il a décidé la
recevoir.
— Je suis ici -a dit son voix irritant. Il a attendu, il a caché
le poignard derrière son dos. Il s’est approché, il la serrait dans
ses bras, il l’a embrassé, il l’a écrasé. Il y a longtemps qu’ils ne
sont près l’un de l’autre. Il a abrité son présence, il a voulu
retourner au passé, il a voulu que rien eût changé, mais quand
il a ouvert les yeux, et il a vu la réalité, une rafale d'amertume
lui a frappé profondément. La lame avait été très aiguisée, elle
a glissé au travers de la chemise avec facilité et il l'a introduit
au milieu de ses côtes avant de le clouait huit centimètres dans
le cœur.
— Je t’aime —Il l’a dit pendant la regarder aux yeux et en
laissant que se glissait au sol lentement.
Qu’avait-il fait? il l’avait tué. Antoine sentait un soulagement
dans lui qu'il y a longtemps que cherchait avec anxiété.
Maintenant tout avait déjà fini, sans le prévoir, il s’est tombé au
sol et le tapis, doucement, est devenu rougeâtre. Les crêpes
aux champignons qu’ils attendent, restent froids...et jamais les
ferait.
Maintenant, Antoine s'est levé avec les yeux, les plus ouverts
que jamais il a eu, et il regardait Anne-Marie. Il a souri. Au fond
de son regard, il reflétait soulagement, uniquement
soulagement...