Comment les start-up françaises des cleantech évoluent-elles ? Des énergies renouvelables à l’écomobilité en passant par l’efficacité énergétique, dans quels secteurs sont-elles les plus nombreuses ? A quel stade de développement en sont-elles ? Combien d’emplois créent-elles ? Parviennent-elles à lever des fonds ? Comment innovent-elles ?…
C’est pour répondre à toutes ces questions que GreenUnivers, leader de l’information économique et financière sur le green business en France, a créé en 2011 l’Observatoire des start-up françaises des cleantech. D’année en année, il suit l’évolution de ces jeunes pousses de la croissance verte.
En 2016, l’Observatoire intègre 827 jeunes sociétés fondées depuis 2008 dont 689 en activité. 128 d’entre elles, présentées ici, ont répondu à notre questionnaire annuel, en septembre-octobre 2016. Les résultats ont été présentés le 18 octobre 2016.
Bpifrance Le Lab PME ETI et Reseaux sociaux Bpifrance
- Les 2 objectifs de cette étude :
o Comprendre où en sont les PME-ETI avec les réseaux sociaux aujourd’hui
o Eclairer les dirigeants de PME-ETI sur les principaux enjeux business des réseaux sociaux
- Une méthodologie fondée sur 2 volets :
o Quanti : lancement d’une enquête de grande ampleur en avril-mai 2018, envoi d’un questionnaire auprès de plus de 30 000 dirigeants de PME-ETI, plus de 1650 réponses récoltées
o Quali : entretiens face à face et téléphoniques avec 20 dirigeants et une quinzaine d’experts des réseaux sociaux
- Les grands enseignements de l’étude :
1. Les réseaux sociaux demeurent un territoire inexploré par les PME-ETI françaises : 70% y sont présentes mais 65% se disent peu actives et inactives. Et elles n’y consacrent pas de budget : 80% dépensent moins de 10 k€/an coûts de personnels inclus, dont la moitié ne dépensent rien du tout.
2. Les réseaux sociaux sont hors du champ de vision du dirigeant de PME et ETI. C’est un sujet « annexe ». Dans les freins évoqués, 85% disent manquer de temps et 70% disent que ce n’est pas un enjeu prioritaire.
3. Il existe un fort décalage entre la vision idéale et les usages des entreprises au quotidien. Peu d’actions sont aujourd’hui mises en place et ce sont des actions qui traduisent une présence encore peu rationnalisée autour d’objectifs déterminés et précis (beaucoup de relais d’informations et de publications de photos, sans logique très précise).
4. C’est l’appétence du dirigeant pour le sujet, soit une donnée personnelle, qui constitue le premier facteur d’engagement de l’entreprise sur les réseaux. Elle prime même devant le secteur d’activité, qui est également déterminant. Les entreprises en contact avec le consommateur final ont plus de facilité à s’emparer du sujet (comme les services, le commerce ou encore le tourisme).
5. L’étude met en lumière 4 comportements d’entreprises sur les réseaux sociaux : 44% forment la « masse silencieuse », 19% les « désinvoltes », 9% les « combatives » et 28% les « pionnières ».
6. Nous avons identifié quatre usages clés permettant de composer un premier plan d’actions compatible avec tous les types d’entreprises, de tous secteurs, de toute taille et de tout âge :
Prospecter / vendre
Améliorer la relation client
Augmenter sa visibilité (auprès des clients, des partenaires, des employés, etc.)
Faire de la veille sectorielle et concurrentielle
"Demain" c'est le projet de réflexion de Bpifrance, autour de grands besoins sociétaux économiques et environnementaux qui sont les fondements de la croissance de demain. De nombreux groupes d'échanges existent et permettent de les comprendre dans leur urgence mais aussi dans leur complexité et dans leurs dynamiques propres.
Au Lab, nous avons souhaité en présenter 6 et les confronter aux réalités du terrain avec des témoignages de dirigeants et d'experts et des cas d'entreprises sur ces thématiques :
Nourrir l’humanité
Vivre et vieillir en bonne santé
Mieux se protéger
Repenser la formation initiale et continue
Créer l’entreprise et le travail de demain
Réussir la transition écologique et énergétique
Cette étude permettra de nourrir la réflexion des dirigeants dont nous portons la parole depuis 5 ans, stimuler leur curiosité et chercher des clefs de compréhension des grandes dynamiques à l’œuvre.
A la tête de l’entreprise, c’est lui le capitaine du navire, celui qui fixe la cap pour naviguer dans des eaux troubles, celui qui définit les zones à explorer et offre un cadre propice à l’innovation et au changement, et celui qui partage sa vision pour donner du sens aux manœuvres.
Participer à la construction du Power Cloud, la centrale d'énergies renouvelables la plus grande au monde.
Un investissement de la diaspora centrafricaine pour la paix...
http://dabealvi.tumblr.com/post/123801031869/crowdfunding-centrafrique-from-andre-leopold
Bpifrance le lab Entreprendre dans les quartiers 2020Bpifrance
Rendre compte des réalités entrepreneuriales des quartiers prioritaires de la politique de la ville (QPV) : c’est l’objectif que s’est fixé Bpifrance Le Lab dans sa dernière étude « Entreprendre dans les quartiers : libérer tous les potentiels ».
Celle-ci met notamment en lumière qu’une entreprise des quartiers a autant de chance de passer le cap des 3 ans que toute autre entreprise, alors même qu’il existe une différence significative du taux de création d’entreprises entre les QPV et le reste du territoire français. Cette étude soutenue par Terra Nova et la fondation J.P. Morgan mobilise une approche aussi inédite que robuste, en croisant les méthodologies quantitatives (enquête SINE INSEE et données du Commissariat Général à l’Égalité des Territoires) et qualitatives (enquête par téléphone, entretiens et focus groups).
Bpifrance le Lab l Avenir de l industrie Bpifrance
Bpifrance Le Lab dévoile les résultats de sa grande enquête « Avenir de l’industrie », menée auprès des 17 000 PME et ETI industrielles françaises. Parmi les 2055 répondants, 70 % se disent optimistes pour l’avenir de l’industrie en France et six sur dix anticipent une croissance de leur propre activité dans les trois prochaines années. Pour les dirigeants, l’industrie du futur ne se réduit pas à sa seule dimension technologique.
Extrait Livre Blanc "L'Innovation au coeur des mutations de la gestion d'actifs"FINANCE INNOVATION
Cet ouvrage, le premier publié en France sur les leviers de l’innovation dans la gestion d’actifs, développe 8 axes stratégiques pour conforter la position internationale de l’industrie française de gestion : Développement de l’épargne longue, Promotion de l’investissement socialement responsable, Nouveaux canaux de Distribution des produits de gestion, Renforcement de la Gestion des risques, Renforcement de l’Analyse buy side, Valorisation complexe, Incubation des sociétés de gestion et promotion des nouveaux talents de la gestion, Impact du Digital.
Contact : maximilien.nayaradou@finance-innovation.org
Bpifrance Le Lab PME ETI et Reseaux sociaux Bpifrance
- Les 2 objectifs de cette étude :
o Comprendre où en sont les PME-ETI avec les réseaux sociaux aujourd’hui
o Eclairer les dirigeants de PME-ETI sur les principaux enjeux business des réseaux sociaux
- Une méthodologie fondée sur 2 volets :
o Quanti : lancement d’une enquête de grande ampleur en avril-mai 2018, envoi d’un questionnaire auprès de plus de 30 000 dirigeants de PME-ETI, plus de 1650 réponses récoltées
o Quali : entretiens face à face et téléphoniques avec 20 dirigeants et une quinzaine d’experts des réseaux sociaux
- Les grands enseignements de l’étude :
1. Les réseaux sociaux demeurent un territoire inexploré par les PME-ETI françaises : 70% y sont présentes mais 65% se disent peu actives et inactives. Et elles n’y consacrent pas de budget : 80% dépensent moins de 10 k€/an coûts de personnels inclus, dont la moitié ne dépensent rien du tout.
2. Les réseaux sociaux sont hors du champ de vision du dirigeant de PME et ETI. C’est un sujet « annexe ». Dans les freins évoqués, 85% disent manquer de temps et 70% disent que ce n’est pas un enjeu prioritaire.
3. Il existe un fort décalage entre la vision idéale et les usages des entreprises au quotidien. Peu d’actions sont aujourd’hui mises en place et ce sont des actions qui traduisent une présence encore peu rationnalisée autour d’objectifs déterminés et précis (beaucoup de relais d’informations et de publications de photos, sans logique très précise).
4. C’est l’appétence du dirigeant pour le sujet, soit une donnée personnelle, qui constitue le premier facteur d’engagement de l’entreprise sur les réseaux. Elle prime même devant le secteur d’activité, qui est également déterminant. Les entreprises en contact avec le consommateur final ont plus de facilité à s’emparer du sujet (comme les services, le commerce ou encore le tourisme).
5. L’étude met en lumière 4 comportements d’entreprises sur les réseaux sociaux : 44% forment la « masse silencieuse », 19% les « désinvoltes », 9% les « combatives » et 28% les « pionnières ».
6. Nous avons identifié quatre usages clés permettant de composer un premier plan d’actions compatible avec tous les types d’entreprises, de tous secteurs, de toute taille et de tout âge :
Prospecter / vendre
Améliorer la relation client
Augmenter sa visibilité (auprès des clients, des partenaires, des employés, etc.)
Faire de la veille sectorielle et concurrentielle
"Demain" c'est le projet de réflexion de Bpifrance, autour de grands besoins sociétaux économiques et environnementaux qui sont les fondements de la croissance de demain. De nombreux groupes d'échanges existent et permettent de les comprendre dans leur urgence mais aussi dans leur complexité et dans leurs dynamiques propres.
Au Lab, nous avons souhaité en présenter 6 et les confronter aux réalités du terrain avec des témoignages de dirigeants et d'experts et des cas d'entreprises sur ces thématiques :
Nourrir l’humanité
Vivre et vieillir en bonne santé
Mieux se protéger
Repenser la formation initiale et continue
Créer l’entreprise et le travail de demain
Réussir la transition écologique et énergétique
Cette étude permettra de nourrir la réflexion des dirigeants dont nous portons la parole depuis 5 ans, stimuler leur curiosité et chercher des clefs de compréhension des grandes dynamiques à l’œuvre.
A la tête de l’entreprise, c’est lui le capitaine du navire, celui qui fixe la cap pour naviguer dans des eaux troubles, celui qui définit les zones à explorer et offre un cadre propice à l’innovation et au changement, et celui qui partage sa vision pour donner du sens aux manœuvres.
Participer à la construction du Power Cloud, la centrale d'énergies renouvelables la plus grande au monde.
Un investissement de la diaspora centrafricaine pour la paix...
http://dabealvi.tumblr.com/post/123801031869/crowdfunding-centrafrique-from-andre-leopold
Bpifrance le lab Entreprendre dans les quartiers 2020Bpifrance
Rendre compte des réalités entrepreneuriales des quartiers prioritaires de la politique de la ville (QPV) : c’est l’objectif que s’est fixé Bpifrance Le Lab dans sa dernière étude « Entreprendre dans les quartiers : libérer tous les potentiels ».
Celle-ci met notamment en lumière qu’une entreprise des quartiers a autant de chance de passer le cap des 3 ans que toute autre entreprise, alors même qu’il existe une différence significative du taux de création d’entreprises entre les QPV et le reste du territoire français. Cette étude soutenue par Terra Nova et la fondation J.P. Morgan mobilise une approche aussi inédite que robuste, en croisant les méthodologies quantitatives (enquête SINE INSEE et données du Commissariat Général à l’Égalité des Territoires) et qualitatives (enquête par téléphone, entretiens et focus groups).
Bpifrance le Lab l Avenir de l industrie Bpifrance
Bpifrance Le Lab dévoile les résultats de sa grande enquête « Avenir de l’industrie », menée auprès des 17 000 PME et ETI industrielles françaises. Parmi les 2055 répondants, 70 % se disent optimistes pour l’avenir de l’industrie en France et six sur dix anticipent une croissance de leur propre activité dans les trois prochaines années. Pour les dirigeants, l’industrie du futur ne se réduit pas à sa seule dimension technologique.
Extrait Livre Blanc "L'Innovation au coeur des mutations de la gestion d'actifs"FINANCE INNOVATION
Cet ouvrage, le premier publié en France sur les leviers de l’innovation dans la gestion d’actifs, développe 8 axes stratégiques pour conforter la position internationale de l’industrie française de gestion : Développement de l’épargne longue, Promotion de l’investissement socialement responsable, Nouveaux canaux de Distribution des produits de gestion, Renforcement de la Gestion des risques, Renforcement de l’Analyse buy side, Valorisation complexe, Incubation des sociétés de gestion et promotion des nouveaux talents de la gestion, Impact du Digital.
Contact : maximilien.nayaradou@finance-innovation.org
La transition énergétique et écologique (TEE) est le plus souvent perçue comme une contrainte par les entreprises. Et pourtant, elle peut être un puissant levier de différenciation et d’innovation. Dans sa nouvelle étude, « Croître avec la révolution écologique », Bpifrance Le Lab a choisi de partir du point de vue de 1000 collaborateurs de PME et d’ETI, afin de mieux comprendre leurs attentes et leurs réactions face aux démarches « TEE » de leur entreprise. C’est donc un changement de regard sur la TEE qui est ici proposé et une mise en lumière des opportunités qu’elle offre pour les entreprises.
Découvrez également les enjeux de la transition énergétique et écologique en une infographie :
http://fr.slideshare.net/Bpifrance/infographie-la-transition-energetique-et-ecologique-vue-par-les-collaborateurs-de-pme-et-eti-francaises
Bpifrance Le Lab Le mittlestand allemand en France - La synthèse Bpifrance
Bpifrance poursuit son action en faveur du rapprochement des industries franco-allemandes et publie outre-Rhin un ouvrage sur les réussites des entreprises allemandes du Mittelstand implantées en France. A l’occasion de la Foire industrielle de Hanovre, Bpifrance donnera le coup d’envoi de ce “New Deal” franco-allemand et présentera une initiative originale : la parution d’un livre en allemand, publié aux éditions Springer Gabler, intitulé “Le Mittelstand allemand en France: Quand l’économie fait de la politique”. Cet ouvrage, dirigé par Dorothée Kohler et Jean-Daniel Weisz, spécialistes de l’industrie allemande, avec le soutien de Bpifrance Le Lab, s’intéresse aux investissements des entreprises du Mittelstand allemand en France, un aspect moteur de la concrétisation économique franco-allemande. En donnant la parole à douze dirigeants du Mittelstand allemand ayant repris avec succès des entreprises françaises, il met en lumière leur retour d’expérience et offre une vision globale des filières industrielles et des secteurs où les savoir-faire français et allemands sont complémentaires.
[Livre blanc] Investir dans la deeptech : paroles de VCs Bpifrance
Un an après le lancement du plan deeptech, Bpifrance publie les conclusions d'un livre blanc consacré à l'investissement en Deeptech. En association avec France Invest, réunissant les témoignages de 25 acteurs du capital risque, ce recueil d'entretiens vise à faire un état des lieux des principaux enjeux identifiés par les investisseurs et propose un ensemble de pistes de solutions pour favoriser une augmentation des financements à tous les stades, de l'amorçage jusqu'à la croissance.
Bpifrance Le Lab Les principaux resultats de l'enquete digital Bpifrance
Ce document est un complément à l’étude : Histoire d’incompréhension, Les dirigeants de PME et ETI face au digital (octobre 2017) https://www.bpifrance-lelab.fr/Analyses-Reflexions/Les-Travaux-du-Lab/Dirigeants-de-PME-et-ETI-face-au-digital
Nous y présentons une très grande partie des résultats issus de notre enquête, qu’il nous était difficile de tous faire apparaître dans l’étude.
Ces résultats de l’enquête s’organisent autour de cinq grandes parties :
• le détail de la méthodologie et de notre échantillon ;
• les résultats à plat avec trois focales : stratégie et projet de transformation digitale ;
• l’offre et la relation client ;
• la mise en œuvre technologique et l’exploitation des données ;
• les différences sectorielles parmi les six secteurs interrogés : BTP, Commerce, Industrie, Services, Tourisme et Transports ;
• le détail des trois profils de dirigeants que nous avons créés à partir des résultats de l’enquête : les Sceptiques, les Apprentis et les Conquérants ;
• les bonnes pratiques pour passer d’un profil à l’autre à partir d’une exploitation fine des données.
Le Flash Inno est une lettre bimestrielle consacrée à l'actualité de l'innovation chez Bpifrance. Pour la première édition de l'année 2020, focus sur : la deeptech, les lauréats du french tech 120 et les plus belles levées de fonds.
Impact économique des fonds de garantie de place opérés par BpifranceBpifrance
Cette étude vise à objectiver l’impact des dispositifs de garantie opérés par Bpifrance sur l’accès au crédit etsur la croissance des TPE et PME françaises
Se projeter à l'international : petit guide à l'usage des entrepreneurs par B...Bpifrance
Pourquoi ce guide ?
Pour casser les idées reçues qui peuvent gêner l’entrepreneur dans l’identification
des bonnes opportunités.
Pour accompagner l'entrepreneur dans la constitution de son « kit de survie » pour se lancer à l’international.
bpifrance le lab infographie pme eti et réseaux sociaux Bpifrance
Les messages essentiels de l'étude PME ETI et réseaux sociaux
Parce que les réseaux sociaux numériques occupent une place centrale dans les pratiques des clients et usagers, nous avons mené une étude sur l’utilisation effective des réseaux sociaux par les dirigeants de PME-ETI. Grâce à une enquête auprès de plus de 1650 dirigeants d'entreprises, nous pouvons révéler un premier constat : les PME-ETI françaises font leurs premiers pas sur les réseaux sociaux.
Panorama des candidats start-up de l'édition 2015 du Prix de l'Entrepreneur d...EY
L’édition 2015 du Prix de l’Entrepreneur de l’Année a rassemblé 182 candidats start-up, fers-de-lance de l’économie dans leur région ou jeunes pousses innovantes. Ce prix permet de mettre en lumière les parcours remarquables et l’envie d’entreprendre des hommes et des femmes qui innovent et créent de l’emploi en France et à l’étranger.
Hypercroissance, international, disruption : voici les principales caractéristiques des start-up qui brillent aujourd’hui.
Plus d'informations sur le Prix de l'Entrepreneur de l'Année : ey.com/FR/EOY
Baromètre EY / France Digitale 2016 - La performance économique et sociale de...France Digitale
La 5e édition du baromètre annuel, réalisé en partenariat avec EY, analyse la performance économique et sociale des startups numériques en France financées par des business angels, capital-risqueurs, IPO et follow-ons, etc.
Les entreprises de taille intermédiaire (ETI) espèrent une très bonne année 2018 en termes d’activité, d’emploi et d’investissement, malgré le ralentissement de la croissance observée au 1er trimestre et le repli des indicateurs conjoncturels au 2e trimestre,. Les indicateurs prévisionnels sont à leur meilleur niveau. Cet optimisme est tiré par une demande qui devrait continuer de se renforcer et une situation financière solide.
Bpifrance le lab Guide pratique transformation digitale Bpifrance
En 2017, Bpifrance Le Lab avait interrogé 1800 de dirigeants de PME-ETI sur leurs pratiques en termes d’innovation, de transformation, de management, afin de déterminer leur niveau de maturité digitale . Cette étude concluait à une prise de conscience encore faible, pour ces dirigeants, des enjeux et des impacts de la transformation digitale (87% d’entre eux n’en faisaient pas une priorité stratégique pour leur entreprise). Le principal frein identifié portait sur la complexité du sujet tant dans sa compréhension globale que sur les actions concrètes à mener pour amorcer la transformation. Fort de ce constat, et afin d’inciter les dirigeants à passer à l’action, Bpifrance a prolongé sa démarche en les accompagnant via des outils offrant de la clarté, de la méthode et des solutions.
2ème Livre Blanc de l'innovation dans l'Assurance : Des secteurs porteurs identifiés pour les 10 prochaines années
Créé et labellisé par le ministre de l'Économie, de l'Industrie et de l'Emploi en juillet 2007, le Pôle de compétitivité mondial FINANCE INNOVATION a pour principale mission de faire émerger et de soutenir les projets innovants et/ou de recherche à forte valeur ajoutée, contribuant au développement de l'emploi et de la compétitivité de l'industrie financière française.
Dans le cadre de cette mission, le pôle FINANCE INNOVATION et les membres de sa filière Assurance publie le 2ème livre blanc de « L'INNOVATION DANS L'ASSURANCE », dont l'objectif est de sensibiliser les chefs d'entreprise, les professionnels et les académiques aux domaines d'innovation jugés prioritaires.
Le Flash Inno est une lettre bimestrielle consacrée à l'actualité de l'innovation chez Bpifrance. En décembre, lest hèmes abordés dans cette lettre sont : l'évolution du Pass French Tech en FT120, le lancement du 22e concours i-Lab et les plus belles levées de fonds de la fin d'année.
La transition énergétique et écologique (TEE) est le plus souvent perçue comme une contrainte par les entreprises. Et pourtant, elle peut être un puissant levier de différenciation et d’innovation. Dans sa nouvelle étude, « Croître avec la révolution écologique », Bpifrance Le Lab a choisi de partir du point de vue de 1000 collaborateurs de PME et d’ETI, afin de mieux comprendre leurs attentes et leurs réactions face aux démarches « TEE » de leur entreprise. C’est donc un changement de regard sur la TEE qui est ici proposé et une mise en lumière des opportunités qu’elle offre pour les entreprises.
Découvrez également les enjeux de la transition énergétique et écologique en une infographie :
http://fr.slideshare.net/Bpifrance/infographie-la-transition-energetique-et-ecologique-vue-par-les-collaborateurs-de-pme-et-eti-francaises
Bpifrance Le Lab Le mittlestand allemand en France - La synthèse Bpifrance
Bpifrance poursuit son action en faveur du rapprochement des industries franco-allemandes et publie outre-Rhin un ouvrage sur les réussites des entreprises allemandes du Mittelstand implantées en France. A l’occasion de la Foire industrielle de Hanovre, Bpifrance donnera le coup d’envoi de ce “New Deal” franco-allemand et présentera une initiative originale : la parution d’un livre en allemand, publié aux éditions Springer Gabler, intitulé “Le Mittelstand allemand en France: Quand l’économie fait de la politique”. Cet ouvrage, dirigé par Dorothée Kohler et Jean-Daniel Weisz, spécialistes de l’industrie allemande, avec le soutien de Bpifrance Le Lab, s’intéresse aux investissements des entreprises du Mittelstand allemand en France, un aspect moteur de la concrétisation économique franco-allemande. En donnant la parole à douze dirigeants du Mittelstand allemand ayant repris avec succès des entreprises françaises, il met en lumière leur retour d’expérience et offre une vision globale des filières industrielles et des secteurs où les savoir-faire français et allemands sont complémentaires.
[Livre blanc] Investir dans la deeptech : paroles de VCs Bpifrance
Un an après le lancement du plan deeptech, Bpifrance publie les conclusions d'un livre blanc consacré à l'investissement en Deeptech. En association avec France Invest, réunissant les témoignages de 25 acteurs du capital risque, ce recueil d'entretiens vise à faire un état des lieux des principaux enjeux identifiés par les investisseurs et propose un ensemble de pistes de solutions pour favoriser une augmentation des financements à tous les stades, de l'amorçage jusqu'à la croissance.
Bpifrance Le Lab Les principaux resultats de l'enquete digital Bpifrance
Ce document est un complément à l’étude : Histoire d’incompréhension, Les dirigeants de PME et ETI face au digital (octobre 2017) https://www.bpifrance-lelab.fr/Analyses-Reflexions/Les-Travaux-du-Lab/Dirigeants-de-PME-et-ETI-face-au-digital
Nous y présentons une très grande partie des résultats issus de notre enquête, qu’il nous était difficile de tous faire apparaître dans l’étude.
Ces résultats de l’enquête s’organisent autour de cinq grandes parties :
• le détail de la méthodologie et de notre échantillon ;
• les résultats à plat avec trois focales : stratégie et projet de transformation digitale ;
• l’offre et la relation client ;
• la mise en œuvre technologique et l’exploitation des données ;
• les différences sectorielles parmi les six secteurs interrogés : BTP, Commerce, Industrie, Services, Tourisme et Transports ;
• le détail des trois profils de dirigeants que nous avons créés à partir des résultats de l’enquête : les Sceptiques, les Apprentis et les Conquérants ;
• les bonnes pratiques pour passer d’un profil à l’autre à partir d’une exploitation fine des données.
Le Flash Inno est une lettre bimestrielle consacrée à l'actualité de l'innovation chez Bpifrance. Pour la première édition de l'année 2020, focus sur : la deeptech, les lauréats du french tech 120 et les plus belles levées de fonds.
Impact économique des fonds de garantie de place opérés par BpifranceBpifrance
Cette étude vise à objectiver l’impact des dispositifs de garantie opérés par Bpifrance sur l’accès au crédit etsur la croissance des TPE et PME françaises
Se projeter à l'international : petit guide à l'usage des entrepreneurs par B...Bpifrance
Pourquoi ce guide ?
Pour casser les idées reçues qui peuvent gêner l’entrepreneur dans l’identification
des bonnes opportunités.
Pour accompagner l'entrepreneur dans la constitution de son « kit de survie » pour se lancer à l’international.
bpifrance le lab infographie pme eti et réseaux sociaux Bpifrance
Les messages essentiels de l'étude PME ETI et réseaux sociaux
Parce que les réseaux sociaux numériques occupent une place centrale dans les pratiques des clients et usagers, nous avons mené une étude sur l’utilisation effective des réseaux sociaux par les dirigeants de PME-ETI. Grâce à une enquête auprès de plus de 1650 dirigeants d'entreprises, nous pouvons révéler un premier constat : les PME-ETI françaises font leurs premiers pas sur les réseaux sociaux.
Panorama des candidats start-up de l'édition 2015 du Prix de l'Entrepreneur d...EY
L’édition 2015 du Prix de l’Entrepreneur de l’Année a rassemblé 182 candidats start-up, fers-de-lance de l’économie dans leur région ou jeunes pousses innovantes. Ce prix permet de mettre en lumière les parcours remarquables et l’envie d’entreprendre des hommes et des femmes qui innovent et créent de l’emploi en France et à l’étranger.
Hypercroissance, international, disruption : voici les principales caractéristiques des start-up qui brillent aujourd’hui.
Plus d'informations sur le Prix de l'Entrepreneur de l'Année : ey.com/FR/EOY
Baromètre EY / France Digitale 2016 - La performance économique et sociale de...France Digitale
La 5e édition du baromètre annuel, réalisé en partenariat avec EY, analyse la performance économique et sociale des startups numériques en France financées par des business angels, capital-risqueurs, IPO et follow-ons, etc.
Les entreprises de taille intermédiaire (ETI) espèrent une très bonne année 2018 en termes d’activité, d’emploi et d’investissement, malgré le ralentissement de la croissance observée au 1er trimestre et le repli des indicateurs conjoncturels au 2e trimestre,. Les indicateurs prévisionnels sont à leur meilleur niveau. Cet optimisme est tiré par une demande qui devrait continuer de se renforcer et une situation financière solide.
Bpifrance le lab Guide pratique transformation digitale Bpifrance
En 2017, Bpifrance Le Lab avait interrogé 1800 de dirigeants de PME-ETI sur leurs pratiques en termes d’innovation, de transformation, de management, afin de déterminer leur niveau de maturité digitale . Cette étude concluait à une prise de conscience encore faible, pour ces dirigeants, des enjeux et des impacts de la transformation digitale (87% d’entre eux n’en faisaient pas une priorité stratégique pour leur entreprise). Le principal frein identifié portait sur la complexité du sujet tant dans sa compréhension globale que sur les actions concrètes à mener pour amorcer la transformation. Fort de ce constat, et afin d’inciter les dirigeants à passer à l’action, Bpifrance a prolongé sa démarche en les accompagnant via des outils offrant de la clarté, de la méthode et des solutions.
2ème Livre Blanc de l'innovation dans l'Assurance : Des secteurs porteurs identifiés pour les 10 prochaines années
Créé et labellisé par le ministre de l'Économie, de l'Industrie et de l'Emploi en juillet 2007, le Pôle de compétitivité mondial FINANCE INNOVATION a pour principale mission de faire émerger et de soutenir les projets innovants et/ou de recherche à forte valeur ajoutée, contribuant au développement de l'emploi et de la compétitivité de l'industrie financière française.
Dans le cadre de cette mission, le pôle FINANCE INNOVATION et les membres de sa filière Assurance publie le 2ème livre blanc de « L'INNOVATION DANS L'ASSURANCE », dont l'objectif est de sensibiliser les chefs d'entreprise, les professionnels et les académiques aux domaines d'innovation jugés prioritaires.
Le Flash Inno est une lettre bimestrielle consacrée à l'actualité de l'innovation chez Bpifrance. En décembre, lest hèmes abordés dans cette lettre sont : l'évolution du Pass French Tech en FT120, le lancement du 22e concours i-Lab et les plus belles levées de fonds de la fin d'année.
« Levées de fonds, mode d’emploi », pour tout savoir sur comment mener à bien un tour de table. Vous pourrez y retrouver notamment des témoignages de chefs d’entreprise qui vous livrent leurs précieux conseils …
Les différents modes de coopérations possible entre les grands groupes et les startups: d'investisseur, à partenaire et parrain. L'exemple du secteur de l'assurance.
Observatoire 2015 des start up des cleantech en France GreenUniversGreenUnivers.com
Comment les start-up françaises des cleantech évoluent-elles ? Des énergies renouvelables à l’écomobilité en passant par l’efficacité énergétique, dans quels secteurs sont-elles les plus nombreuses ? A quel stade de développement en sont-elles ? Combien d’emplois créent-elles ? Parviennent-elles à lever des fonds ?…C'est pour répondre à ces questions que GreenUnivers a créé l’Observatoire des start-up françaises des cleantech en 2011. Enrichi chaque année, il recense plus 700 sociétés dont 593 fondées depuis 2008 sur lesquelles a porté l’enquête 2015, réalisée en février dernier. Voici quelques-une des tendances 2015.
PME-ETI et Start Up...si éloignée que cela ?KPMG_Nord
Le constat est unanime : de plus en plus de projets R&D menés par les entreprises
sont basés sur l'innovation collaborative : « l'open innovation n’est donc plus un simple
effet de mode mais un des facteurs clés de votre développement ! ».
Si les PME s’ouvrent davantage aux grands groupes pour optimiser leur programme R&D,
les initiatives de co-innovation et de co-développement avec les Start-Up sont encore trop rares sur le territoire.
Comment l’expliquer : une méconnaissance des écosystèmes innovants et des organisations de chacun ? ; l’existence de réseaux et d’évènements distincts ?...
Débat animé dans le cadre de la matinale organisée par KPMG et Entreprises et Cités
Cycle 7 : Stratégie et marketing des jeunes entreprises innovantesVal'angels
L'Agence de Développement du Val-de-Marne et Val'angels ont collaboré pour organiser des Cycles de Matinales d'information sur des sujets d'actualité pour les entreprises.
Cette Matinale concernait la stratégie et marketing des jeunes entreprises innovantes.
Brief de la conférence NumNow 3 dont l'objectif est de définir ce qui permettrait à la France d'être en pointe dans le développement des startups du numérique à l'instar des pays comme les Etat-Unis et l'Angleterre.
La performance économique et sociale des startups numériques en France 2014EY
Ce 3ème baromètre annuel, réalisé en partenariat avec France Digitale analyse la performance économique et sociale des start-up numériques en France financées par le capital-risque dans le domaine du digital.
Pour en savoir plus : http://www.ey.com/FR/fr/Services/Strategic-Growth-Markets/barometre-EY-france-digitale
Baromètre EY_FD 2014: La performance économique et sociale des startups numé...France Digitale
Ce 3ème baromètre annuel, réalisé en partenariat avec EY analyse la performance économique et sociale des start-up numériques en France financées par le capital-risque dans le domaine du digital.
Dans le cadre de ce baromètre, EY a interrogé 116 start-up sur leurs données portant sur la période 2012 – 2013.
Les start-up numériques sont en bonne santé
Dans un contexte toujours incertain, les sociétés interrogées dans le cadre du baromètre affichent une hypercroissance avec un chiffre d’affaires total en hausse de 43%.
La croissance des start-up est portée par un fort développement à l’international avec 39% de leur chiffre d’affaires réalisé en dehors de la France.
Par ailleurs, 24% des sociétés ont déjà des « capital risqueurs » étrangers à leur capital.
Découvrez le guide Bpifrance "Innovation Nouvelle Génération", un nouveau référentiel sur l'innovation.
Bpifrance élargit désormais son champ d'intervention à l'innovation "sous toutes ses formes" pour appréhender l'innovation d'aujourd'hui dans toute sa diversité et sa richesse.
Cet ouvrage incarne ce changement de regard et propose un référentiel nourri d'exemples concrets et porteur d'une approche multidimensionnelle de l'innovation.
BPIFrance Guide innovation nouvelle generationpolenumerique33
Guide Innovation Nouvelle Génération : un nouveau regard sur l’innovation de Bpifrance http://bit.ly/1KfgGIc
Innovation Nouvelle Génération : Bpifrance, en partenariat avec la FING, présente un nouveau référentiel de l'Innovation pour mieux accompagner les futures pépites françaises
Similaire à 5e observatoire des start up des cleantech green univers - Comment les start-up françaises des cleantech évoluent-elles ? (20)
2. Sommaire
•Résultats de l’Observatoire des start-up des cleantech 2016 › p 3 - 5
•Table ronde #1 - Comment lever des fonds en 2017 ? › p 6 - 8
Avec les témoignages de ›
› Nicolas Fraissé, business creation officer, InnoEnergy,
› Mathieu Goudot, directeur d’investissement, Demeter 3 Amorçage
› Jean-Michel Amaré, président, Atawey
› Ondine Suavet, directrice générale, MyLight Systems
•Table ronde #2 - Comment atteindre 1 M€ de chiffre d’affaires… et plus ? › p 9 - 10
Avec les témoignages de ›
› Eric Marty, membre du directoire, Emertec
› Vincent Bryant, cofondateur et président, Deepki
› Arnaud de Moissac, président, DCbrain
› Gilles David, cofondateur et président, Enertime
des start-up
françaises
des cleantech
5e
Observatoire
18octobre2016
3. 5e
Observatoire des start-up
des cleantech : en route vers
la croissance !
Où en sont les start-up de la transition
énergétique ? GreenUnivers a publié, en octobre
2016, la 5e
édition de son Observatoire des start-up
des cleantech, une étude menée grâce au soutien de
InnoEnergy et des fonds d’investissement Demeter
Partners et Emertec. Cette étude 2016 montre un
renforcement des jeunes sociétés, dont les chiffres
d’affaires et les effectifs s’accroissent.
L’Observatoire des start-up de GreenUnivers
recense actuellement 827 entreprises françaises des
cleantech fondées depuis 2008, dont 689 toujours
en activité. 60 % d’entre elles appartiennent à trois
secteurs : les énergies renouvelables, l’efficacité
énergétique et l’écomobilité. 64 % de ces jeunes
pousses sont concentrées dans trois régions :
Ile-de-France, Auvergne Rhône-Alpes et Occitanie.
3Résultats
de l’Observatoire
des start-up
des cleantech 2016
(Source : Observatoire des start-up des cleantech, GreenUnivers, 2016)
42%
20%
24%21%
15%
10%
3%
8%
7%
3%
2011 2016
Énergies
renouvelables
Efficacité
énergétique
Écomobilité
Agriculture
et Chimie verte
Services et Ingénierie
Trois secteurs principaux : EnR, efficacité énergétique et écomobilité
des start-up
françaises
des cleantech
5e
Observatoire
18octobre2016
4. Montée en puissance
du financement participatif
L’enquête 2016, à laquelle ont répondu 128 start-up de
l’Observatoire en septembre et octobre 2016, montre
que ces entreprises sont toujours autant capitalistiques :
33 % ont d’ailleurs réalisé une levée de fonds en 2015.
Parmi celles-ci, près de une sur deux a collecté moins
de 300 K€, mais 14 % ont levé plus de 2 M€. Les
fonds d’investissement restent les principaux bailleurs
de fonds des start-up, alors que seules 3 % envisagent
de s’introduire en Bourse.
Le plus spectaculaire dans les tours de table est bien
la montée en puissance du financement participatif
pour l’amorçage : 23 % des sociétés y ont eu recours
en 2016, contre 6 % seulement en 2015. Principal
avantage du crowdfunding, en général complémentaire
à une levée auprès d’investisseurs classiques ? Les
dirigeants y voient avant tout un moyen de se faire
connaître du plus grand nombre.
Pour grandir, les start-up s’appuient beaucoup sur
l’écosystème : 62 % d’entre elles appartiennent
à un pôle de compétitivité, 32 % à un incubateur.
L’accompagnement, un hébergement à moindre coût et
la possibilité d’être mise en relation avec des partenaires
extérieurs sont les principaux atouts de ces structures
d’accompagnement aux yeux des entrepreneurs.
4Résultats
de l’Observatoire
des start-up
des cleantech 2016
(Source : Observatoire des start-up des cleantech, GreenUnivers, 2016)
48%
300K€
300K€
1M€
1M€
2M€
2M€
2015
19%
19%14%
Montants levés par les start-up en 2015
des start-up
françaises
des cleantech
5e
Observatoire
18octobre2016
5. 5
UN OUTIL DE SUIVI UNIQUE
leader de l’information économique et financière sur
les marchés de la transition énergétique en France,
GreenUnivers a créé l’Observatoire des start-up des
cleantech en 2011. Il recense actuellement 827 sociétés
françaises créées depuis 2008. Une étude est réalisée
chaque année auprès de ces entreprises.
Résultats
de l’Observatoire
des start-up
des cleantech 2016
Plus de maturité
Le cru 2016 de l’Observatoire atteste d’un renforcement
des start-up : 13 % d’entre elles vont réaliser un
chiffre d’affaires de plus de 1 M€ en 2016 (contre
10 % en 2015), et 11 % entre 500 K€ et 1 M€ (contre
8 % en 2015). Alors que la moitié des 128 sociétés
interrogées ont moins de quatre ans d’existence, ces
résultats sont de bon augure pour une croissance plus
solide permettant de faire émerger une génération de
champions français des cleantech. De même sur le
volet des emplois : 29 % des sociétés ont désormais
plus de 11 salariés, contre 21 % en 2015.
Si les subventions restent importantes (64 % ont
reçu un financement public français en 2015), les
commandes prennent peu à peu le relais des aides.
A noter, le dynamisme à l’international : 40 % des jeunes
pousses réalisent une partie de leur chiffre d’affaires à
l’étranger.
Les groupes sont de vrais leviers : 6 start-up sur 10 ont
établi une relation avec un grand groupe, et dans 30 %
des cas, il s’agit d’une relation client/fournisseur.
Des chiffres d’affaires en légère hausse
82%
8% 10%11% 13%
76%
2015 2016
2015 2016 2015 2016
500K€ 1M€500K€1M€
(Source : Observatoire des start-up des cleantech, GreenUnivers, 2016)
des start-up
françaises
des cleantech
5e
Observatoire
18octobre2016
6. 6
Comment
lever des fonds
en 2017 ?
Quelles clés pour séduire les investisseurs ?
82 % des start-up interrogées par GreenUnivers pour l’Observatoire 2016 ont réalisé au moins
une levée de fonds depuis leur création. Étape incontournable dans le développement d’une
jeune société, la recherche d’investisseurs n’en est pas moins complexe. « 50 % des start-up qui
indiquent vouloir collecter des fonds en 2017 n’y parviendront pas », indique Nicolas Fraissé,
business creation officer de la société européenne InnoEnergy. L’épreuve est délicate, d’une part,
parce que le processus prend du temps – neuf mois en moyenne, d’après Nicolas Fraissé -, et
d’autre part car il faut réussir à séduire les investisseurs.
Nicolas Fraissé égraine les ingrédients du succès :
• Être accompagné : le pays regorge d’incubateurs et d’accélérateurs qui se proposent d’épauler
les start-up. InnoEnergy dispose elle-même de plusieurs canaux d’accompagnement : Highway
pour les jeunes pousses, Boostway pour les PME, etc. « L’entreprise soutient 30 start-up en
France, pour 17 M€ levés », rappelle-t-il.
• Avoir une excellente équipe est évidement un atout majeur : « les start-up sont de plus en plus
conscientes que les équipes forment le cœur du projet », souligne Nicolas Fraissé, qui insiste
sur l’importance d’embaucher un ou plusieurs profils de business developer pour accélérer le
déploiement de l’entreprise. InnoEnergy accorde une importance majeure à cet aspect : outre
le recours à des consultants extérieurs pour tester la force et la complémentarité de l’équipe, elle
développe actuellement un logiciel pour systématiser le passage en revue des équipes.
• Avoir un bon réseau : « cela augmente de manière significative les portes d’accès aux
investisseurs », commente Nicolas Fraissé. En France, InnoEnergy a constitué un réseau
de 10 capital-risqueurs que la structure sollicite pour ses start-up.
• Proposer des options de sortie aux investisseurs : « la Bourse est aujourd’hui peu considérée »,
note Nicolas Fraissé qui évoque la cession à des industriels comme l’alternative la plus
séduisante à l’heure actuelle.
IMG2722.jpg
IMG2666.jpg Nicolas Fraissé InnoEnergy
Table ronde #1
des start-up
françaises
des cleantech
5e
Observatoire
18octobre2016
7. 7
Comment
lever des fonds
en 2017 ?
Se faire épauler par un incubateur
ou des industriels partenaires ?
Depuis sa création en 2012, Atawey, spécialisée dans les équipements de stockage d’énergie
(batteries et hydrogène) pour sites isolés, a largement bénéficié du soutien de différents
incubateurs. « Le technopole Savoie Technolac nous a accompagnés dans la maturation du
projet », explique Jean-Michel Amaré, son président. Avec son associé Pierre-Jean Bonnefond,
ils sont devenus entrepreneurs après des années de salariat : « la formation au savoir-être a été
essentielle. Il y avait des plafonds de verre à rompre », assure-t-il. De décembre 2012 à juin 2013,
Atawey a reçu un accompagnement technologique auprès de Grain (GRenoble-Alpes-INcubation)
avant d’intégrer l’accélérateur Highway de InnoEnergy. Le soutien de ces incubateurs est
également financier, ce qui aide pour les premiers pas, confie l’entrepreneur.
Ondine Suavet revendique un parcours totalement différent pour MyLight Systems, spécialiste
de l’autoconsommation solaire et de la gestion intelligente de l’énergie du foyer. Avant de fonder
l’entreprise en 2014 dans la région lyonnaise, elle et son frère avaient déjà eu une expérience
d’entrepreneur en France pour lui et de startupeuse en Californie pour elle. Par ailleurs issus
« d’une lignée d’entrepreneurs », ils ont préféré se tourner très tôt vers des industriels pour
crédibiliser leur jeune société et accéder aux réseaux de distribution pour leur solution : Enphase
Energy, Schneider Electric, SolarWorld, Panasonic… Ce n’est qu’après qu’ils se sont tournés
vers des investisseurs. D’un point de vue financier, MyLight Systems a bénéficié du soutien de
Bpifrance pour faire ses premiers pas.
IMG2690.jpg Ondine Suavet MyLight Systems IMG2674.jpg Ondine Suavet Jean-Michel Amaré Nicolas Fraissé Mathieu Goudot
IMG2679.jpg Jean-Michel Amaré Atawe
Table ronde #1
des start-up
françaises
des cleantech
5e
Observatoire
18octobre2016
8. 8
Comment
lever des fonds
en 2017 ?
Crowdfunding ou non ?
Jean-Michel Amaré et Ondine Suavet s’opposent également sur la question du financement
participatif. Selon l’Observatoire de GreenUnivers, 23 % des start-up interrogées cette année ont
eu recours à ce nouveau canal de financement (contre 6 % en 2015) et 45 % ne l’ont pas encore
utilisé mais l’envisagent. Atawey se classe parmi les start-up qui ont franchi le pas avec succès :
400 000 euros levés auprès de 450 Wiseeders. Jean-Michel Amaré vante la complémentarité
de cette démarche par rapport à une collecte auprès de fonds d’investissement et son intérêt en
termes de communication pour se faire connaître du plus grand nombre.
Plus modérée, Ondine Suavet souligne qu’en cas d’échec de l’opération de crowdfunding,
la publicité s’avère assez négative pour l’entreprise. MyLight Systems, qui a levé 2 M€ en
juin dernier auprès de la société de gestion Inter Invest Capital, n’a donc pas opté pour le
financement participatif.
Qui sont les startupers de 2017 ?
Demeter Partners, l’un des pionniers des investisseurs cleantech en France, prépare
actuellement son deuxième fonds d’amorçage. Mathieu Goudot, directeur d’investissement de
Demeter 3 Amorçage, a vu le profil des entrepreneurs et les business models considérablement
évoluer au fil des ans : « nous avons plus de startupers assez jeunes, qui ne sont pas forcément
passés par des grands groupes. On constate également un accroissement des solutions BtoC et
des modèles d’économie collaborative qui permettent de casser la chaîne de valeur telle qu’on la
connaît aujourd’hui », analyse-t-il.
Parallèlement, l’investisseur note un rapprochement des sphères cleantech et finance, via le
crowdfunding notamment, mais aussi cleantech et data/numérique qui transforme le secteur.
Les frontières sont de plus en plus poreuses entre ces domaines, notamment dans les solutions
d’efficacité énergétique.
IMG2695.jpg Ondine Suavet Jean-Michel Amaré Nicolas Fraissé Mathieu Goudot
IMG2700.jpg Mathieu Goudot Demeter Partners
Table ronde #1
des start-up
françaises
des cleantech
5e
Observatoire
18octobre2016
9. 9
Comment
atteindre 1 M€
de chiffre d’affaires...
et plus ?
Privilégier la techno ou le client ?
Membre du directoire d’Emertec, fonds cleantech spécialisé dans l’amorçage, Eric Marty connaît
parfaitement le secteur et le délicat passage du laboratoire au marché. Pour lui, « la clé n°1 pour
réussir la commercialisation de son produit ou de sa solution est de connaître son client, se mettre
à sa place le plus possible. Une fois qu’on a fait ça, on est déjà à mi-parcours », assène-t-il.
L’investisseur est souvent confronté à des profils d’entrepreneurs issus de la recherche publique,
qui, trop centrés sur leur technologie, en oublient d’aller vers les clients. Or ces derniers vont
souvent faire évoluer la technologie ou le service pour mieux les adapter au marché.
Arnaud de Moissac, président fondateur de DCbrain, ne peut qu’abonder. Initialement
positionnée sur l’efficacité énergétique des data centers, l’entreprise francilienne fondée en 2014
utilise aujourd’hui le big data pour le pilotage et l’ingénierie des réseaux physiques (eau, électricité,
gaz, vapeur, logistique…). « Ne pas avoir de conviction, toujours se remettre en cause, c’est la
règle », estime-t-il.
Vincent Bryant, cofondateur et président de Deepki, reprend cette conclusion à son compte.
« Pendant les six premiers mois, nous avons fait de la prestation de services en efficacité
énergétique », se souvient-il. Depuis 12 mois, la société parisienne ne fait plus que vendre son
logiciel d’exploitation des datas : 80 entreprises sont clientes et la start-up créée en 2014 emploie
désormais 30 collaborateurs en CDI.
IMG2869.jpg Arnaud de Moissac DCbrain IMG2879.jpg Vincent Bryant Deepki
IMG2768.jpg Eric Marty Emertec
Table ronde #2
des start-up
françaises
des cleantech
5e
Observatoire
18octobre2016
10. 10
Comment
atteindre 1 M€
de chiffre d’affaires...
et plus ?
Après neuf ans d’existence, Enertime fait désormais partie des sociétés qui ont décollé.
Gilles David, son fondateur, en a tiré quelques enseignements : « soigner sa visibilité, y compris
sur internet car c’est une porte d’entrée vers l’international, bichonner les early adopters et les
appels entrants ». L’entreprise concède avoir mis beaucoup de temps à trouver les premiers
clients pour ses machines à cycle organique de Rankine (ORC), destinées à récupérer la chaleur
fatale des process industriels. « Les industriels avaient peur qu’on ne soit plus là quelques années
après pour garantir les pièces de rechange », plaisante-t-il. Enertime a finalement trouvé le salut
auprès des collectivités, d’abord à Montpellier puis à Caen : « elles sont plus souples, présentent
moins d’aversion au risque ». Les grands groupes, eux, ne sont venus que lorsque les machines
d’Enertime sont devenues « différentiantes » : « Quand le produit fait gagner le grand groupe face
à son concurrent, c’est là qu’on signe », conclut-il.
Subventions ou non ?
Gilles David ne s’en cache pas, Enertime a reçu beaucoup de subventions qui lui ont servi à
trouver son modèle et sa voie. A l’inverse, Deepki a choisi de ne pas en être dépendant et de
ne jamais en demander. « On a un système en France très généreux en subventions. Certaines
sociétés très techno peuvent vivre du crédit impôt recherche (CIR) et de subventions… C’est bien,
mais ça peut aussi masquer le fait que la proposition de valeur est insuffisante et que la société
ne parvient pas à trouver de clients. Il ne faut jamais perdre des yeux le rôle social de l’entreprise :
créer de la valeur pour toutes les parties prenantes (investisseurs, clients, collaborateurs, etc) »,
conclut Eric Marty.
IMG2722.jpg
IMG2798.jpg Gilles David Enertime
Table ronde #2
des start-up
françaises
des cleantech
5e
Observatoire
18octobre2016
11. 11
INNOENERGY
Société européenne qui soutient la création d’entreprise, l’innovation et la formation dans
les énergies durables. Elle investit dans des start-up innovantes à fort potentiel et accélère la
mise sur le marché de leurs solutions à travers une offre d’accompagnement sur-mesure et l’accès
à son réseau de partenaires. InnoEnergy est soutenue financièrement par l’Institut européen
d’innovation et de technologie.
www.innoenergy.com/bcs/
EMERTEC
Spécialisée dans l’amorçage, Emertec est une société de capital-risque indépendante
gérant 150 M€. Basée à Paris, Grenoble et Metz, elle apporte un financement en fonds propres,
compris entre 0,5 et quelques millions d’euros, aux jeunes entreprises innovantes positionnées
dans les domaines des écotechnologies et des matériaux innovants.
www.emertec.fr
DEMETER PARTNERS
Société de gestion spécialisée dans le capital investissement pour les éco-industries
et éco-énergies. Avec près de 600 M€ sous gestion, elle se positionne comme une des
plus importantes équipes de capital investissement indépendantes en Europe dédiée aux
investissements «verts». Elle intervient de l’amorçage à l’infrastructure, pour des montants unitaires
de 0,5 à 10 M€.
www.demeter-partners.com
Regard sur nos partenaires
IMG3015.jpg Nicolas Fraissé InnoEnergy
IMG2992.jpg Eric Marty Emertec
IMG2604.jpg Mathieu Goudot Demeter Partners
Production : GreenUnivers - Création réalisation photos (droits réservés) : Olivier Crenon - ocrenon.com - Novembre 2016
des start-up
françaises
des cleantech
5e
Observatoire
18octobre2016