TITRE : Restructuration des banques publiques et stabilisation de la place financière de Tunis
PLAN
Partie 1 : Crise financière et transformations de la réglementation bancaire et financière internationale
Partie 2 : Stabilité de place de Tunis : Un benchmark par rapport aux meilleures pratiques
Partie 3 : Comment restructurer les banques publiques ? Une proposition de road-map
La surveillance multilatérale dans les Etats membres de l’UEMOA : bilan et pe...Abel Akara Ticha
L’expérience de l’Union Économique et Monétaire Ouest Africaine (l’UEMOA) sur la convergence macroéconomique, présentée à une réunion ad hoc d’experts en Afrique centrale organisée par que la Commission Economique des Nations Unies pour l’Afrique (CEA) du 02 au 3 mars 2015 à Brazzaville, Congo
Rapport de l'observatoire des tarifs bancairesFrance Inter
France Inter vous révèle en avant-première le rapport 2015 de l'Observatoire des tarifs bancaires. Alors que les études ont tendance à se multiplier et que certaines annoncent des explosions de tarifs, l'Observatoire lui étudie en détail dans 120 banques qui représentent 98% de comptes de particuliers les différents services standards proposés aux clients. Pour sa 4éme édition - c'est une première - le rapport révèle que les tarifs de ces services standards n'ont pas augmenté. Certains ont même… baissé.
TITRE : Restructuration des banques publiques et stabilisation de la place financière de Tunis
PLAN
Partie 1 : Crise financière et transformations de la réglementation bancaire et financière internationale
Partie 2 : Stabilité de place de Tunis : Un benchmark par rapport aux meilleures pratiques
Partie 3 : Comment restructurer les banques publiques ? Une proposition de road-map
La surveillance multilatérale dans les Etats membres de l’UEMOA : bilan et pe...Abel Akara Ticha
L’expérience de l’Union Économique et Monétaire Ouest Africaine (l’UEMOA) sur la convergence macroéconomique, présentée à une réunion ad hoc d’experts en Afrique centrale organisée par que la Commission Economique des Nations Unies pour l’Afrique (CEA) du 02 au 3 mars 2015 à Brazzaville, Congo
Rapport de l'observatoire des tarifs bancairesFrance Inter
France Inter vous révèle en avant-première le rapport 2015 de l'Observatoire des tarifs bancaires. Alors que les études ont tendance à se multiplier et que certaines annoncent des explosions de tarifs, l'Observatoire lui étudie en détail dans 120 banques qui représentent 98% de comptes de particuliers les différents services standards proposés aux clients. Pour sa 4éme édition - c'est une première - le rapport révèle que les tarifs de ces services standards n'ont pas augmenté. Certains ont même… baissé.
Audit de la gestion budgétaire et comptable région martinique 2009lafontaine
Nous savons que la politique économique menée par l’équipe qui nous a précédés ici, l’ancienne équipe, a abouti à un échec total, et nous en connaissons les raisons.
Le projet de la réforme fiscale a été déclenché en 2013. Dans l'attente de son approbation par le Conseil des Ministres, certaines propositions de réforme ont été concrétisées au niveau des lois de finances.
Réponse des Pays à la Crise Financière Kosovoicgfmconference
Behxhet Brajshori, Ministre Adjoint, Ministère de l’Économie et des Finances,
République du Kosovo
Lulzim Ismajli, Directeur de la Trésorerie, Ministère de l’Économie et des Finances,
République du Kosovo
Naomi Ngwira, Directrice, Département de la Dette et de l’Aide, Ministère des Finances, Malawi
Obadiah Mailafia, Président, Centre de Recherche Politique et Économique, Nigéria
Durant ce panel, les participants échangeront leurs observations sur les effets de la crise
sur leurs économies et leurs futurs projets. Ils discuteront également des instruments qu’ils
utilisent actuellement pour protéger leurs investissements. Cette séance inclut une discussion
sur la manière dont ils réduisent les impacts et comment ils espèrent couvrir les coûts. Il
sera demandé aux panélistes et à l’assistance d’aborder les questions suivantes:
Inscriptions
Lieu: Entrée Grand Ballroom
Actions Immédiates En Cours pour Gérer l’Impact
• La situation est-elle différente pour les pays à revenus moyens vs. les pays à faibles revenus?
• Comment la crise financière économique actuelle affecte-t-elle la capacité de prêt d’un pays?
• La situation est-elle différente pour les pays riches en ressources?
• Pouvons-nous apprendre quelque chose des crises financières précédentes (e.g. en Asie
et en Amérique Latine)?
• Comment les pays destinataires peuvent-ils gérer de manière plus efficace l’aide des
donateurs?
• Quel est le rôle du gouvernement dans la résolution des problèmes du secteur financier?
Audit de la gestion budgétaire et comptable région martinique 2009lafontaine
Nous savons que la politique économique menée par l’équipe qui nous a précédés ici, l’ancienne équipe, a abouti à un échec total, et nous en connaissons les raisons.
Le projet de la réforme fiscale a été déclenché en 2013. Dans l'attente de son approbation par le Conseil des Ministres, certaines propositions de réforme ont été concrétisées au niveau des lois de finances.
Réponse des Pays à la Crise Financière Kosovoicgfmconference
Behxhet Brajshori, Ministre Adjoint, Ministère de l’Économie et des Finances,
République du Kosovo
Lulzim Ismajli, Directeur de la Trésorerie, Ministère de l’Économie et des Finances,
République du Kosovo
Naomi Ngwira, Directrice, Département de la Dette et de l’Aide, Ministère des Finances, Malawi
Obadiah Mailafia, Président, Centre de Recherche Politique et Économique, Nigéria
Durant ce panel, les participants échangeront leurs observations sur les effets de la crise
sur leurs économies et leurs futurs projets. Ils discuteront également des instruments qu’ils
utilisent actuellement pour protéger leurs investissements. Cette séance inclut une discussion
sur la manière dont ils réduisent les impacts et comment ils espèrent couvrir les coûts. Il
sera demandé aux panélistes et à l’assistance d’aborder les questions suivantes:
Inscriptions
Lieu: Entrée Grand Ballroom
Actions Immédiates En Cours pour Gérer l’Impact
• La situation est-elle différente pour les pays à revenus moyens vs. les pays à faibles revenus?
• Comment la crise financière économique actuelle affecte-t-elle la capacité de prêt d’un pays?
• La situation est-elle différente pour les pays riches en ressources?
• Pouvons-nous apprendre quelque chose des crises financières précédentes (e.g. en Asie
et en Amérique Latine)?
• Comment les pays destinataires peuvent-ils gérer de manière plus efficace l’aide des
donateurs?
• Quel est le rôle du gouvernement dans la résolution des problèmes du secteur financier?
8. Problématique
« Quels impacts ont eu les
différentes réformes
entreprises au cours de la
dernière décennie sur le
paysage bancaire
tunisien/algérien? »
20. Sources
spécifiques
Sources de droit
commun
• Code de Obligations et des
Contrats
• Code de Commerce
• Loi sur les établissements
de crédit
• Réglementation de la BCT
• Lois spéciales
21. Loi 2001-65
•Notion de banque
Universelle
•Distinction entre
banques universelles
et établissements de
crédit
•Renforcement du
mécanisme de
contrôle
•Protection des
déposants
22. Amendement du 2 mai
2006
•Assurer les services
bancaires de base
•Conférer à
l’organisation les
attributs de qualité
•Etablir la convention de
la gestion de compte
•Désigner un ou
plusieurs médiateurs
•Renforcer le système
de contrôle interne
23. •Nouvelles règles
prudentielles:
oRatio de liquidité ≥
100%
oRatio de Cooke ≥ 8%
•Circulaire n° 2008-09:
Augmentation du taux
des réserves
obligatoires sur les
dépôts à vue, autres
sommes dues à la
clientèle et les
obligations dont la
maturité < 3 mois à 7%
Amendement du 2 mai
2006
•Assurer les services
bancaires de base
•Conférer à
l’organisation les
attributs de qualité
•Etablir la convention de
la gestion de compte
•Désigner un ou
plusieurs médiateurs
•Renforcer le système
de contrôle interne
26. 1
2
3
4
5
6
Produit net bancaire
Taux d’intermédiation
Coefficient d’exploitation
Taux de rentabilité
Ratio de liquidité
Taux de créances classées
PNB = Marge d’intermédiation
+ Commissions
Mesure la contribution spécifique des
banques à l’augmentation de la
richesse nationale
27. Produit net bancaire
Evolution et composition
du PNB
Augmentation de PNB
durant les 7 dernières
années soit un taux de
croissance annuel de
10,53%
28. Produit net bancaire
STB
BH
BNA
BT
BTE
Moyenne sectorielle
Amen Bank
ATB
Attejeri Bank
BIAT
UBCI
UIB
-008%
-002%
000%
004%
004%
005%
006%
007%
010%
011%
012%
015%
Croissance en termes de
PNB au 31/12/2011
En terme de croissance, l’UIB
a enregistré la croissance du
PNB la plus importante du
secteur soit 14,8%.
En terme de volume, la BIAT a
affiché le meilleur PNB du
secteur en 2011 (338,7 MDT)
29. 1
2
3
4
5
6
Produit net bancaire
Taux d’intermédiation
Coefficient d’exploitation
Taux de rentabilité
Ratio de liquidité
Taux de créances classées
Taux d’intermédiation = Crédits
/ Dépôts
30. Taux d’intermédiation
Evolution du taux
d’intermédiation
Baisse de 102,13% en
2005 à 90,27% en 2007.
Stabilisation autour de
93% entre 2007 et 2008.
Augmentation de
11,03% sur 2009 et 2011.
31. Taux d’intermédiation
Part de marché des dépôts et
crédits 2010
BNA+BH+STB= 40,8% de
l’encours de crédits du secteur
BIAT: 1ère place avec 15,8% de
dépôts du secteur
BNA+BH+STAB= 37,2% de
dépôts du secteur
32. 1
2
3
4
5
6
Produit net bancaire
Taux d’intermédiation
Coefficient d’exploitation
Taux de rentabilité
Ratio de liquidité
Taux de créances classées
Coefficient d’exploitation = Charges
d ’exploitation/PNB
permet d’évaluer l’efficacité opérationnelle
des banques
34. 1
2
3
4
5
6
Produit net bancaire
Taux d’intermédiation
Coefficient d’exploitation
Ratios de rentabilité
Ratio de liquidité
Taux de créances classées
ROA = Résultat Net / Actif net mobilisé
ROE= Résultat Net / capitaux propres
36. 1
2
3
4
5
6
Produit net bancaire
Taux d’intermédiation
Coefficient d’exploitation
Ratios de rentabilité
Ratio de liquidité
Taux de créances classées
Ratio de liquidité = Actifs CT / Passifs CT
37. Ratio de liquidité
Classement des banques cotées selon le ratio de liquidité en
2009 et 2010
000%
020%
040%
060%
080%
100%
120%
140%
160%
180%
200%
2009 2010
122%
103%
38. 1
2
3
4
5
6
Produit net bancaire
Taux d’intermédiation
Coefficient d’exploitation
Ratios de rentabilité
Ratio de liquidité
Taux de créances classées
Taux de créances classées :
engagements dont la réalisation ou le
recouvrement parait compromis
39. Taux de créances classées
Taux de créances classées Tunisie – comparateurs de MENA
Source: banque mondiale
Egypte
Tunisie
Koweit
Jordanie
Liban
Maroc
Emirates
Arabes Unis
Oman
Arabie Saoudite
013%
013%
010%
007%
6%
006%
005%
004%
003%
Réussite de toutes les banques
privées à faire diminuer le taux de
créances non productives.
Situation délicate pour les
banques publiques: augmentation
du taux de créances classées de
13,96% en 2009 à 15,42% en 2010
Fin d’exercice
2010
45. - Mettre un terme
définitif à toute
ingérence
administrative dans le
secteur financier et
bancaire.
- Réhabiliter le rôle de
la Banque Centrale
dans la gestion de la
monnaie et du crédit.
Par la loi 90-10
46. - Aboutir à une
meilleure
bancarisation de
l'économie.
- Encourager les
investissements
extérieurs.
- Assainir la situation
financière du secteur
public.
Par la loi 90-10
47. - Clarifier les
missions dévolues
aux banques et aux
établissements
financiers.
- Diversifier les
sources de
financement des
agents économiques,
notamment les
entreprises, par la
création d'un marché
Par la loi 90-10
48. par la loi 90-10
relative à la
Monnaie et au
Crédit
- Clarifier les
missions dévolues
aux banques et aux
établissements
financiers.
- Diversifier les
sources de
financement des
agents économiques,
notamment les
entreprises, par la
création d'un marché
- Clarifier les
missions dévolues
aux banques et aux
établissements
financiers.
- Diversifier les
sources de
financement des
agents économiques,
notamment les
entreprises, par la
création d'un marché
- Secret
professionnel
-Changes et
mouvement des
capitaux
- Protection des
déposants
Par la loi 90-10 Par l’ordonnance n°
03-11 du 26 août
2003
49. par la loi 90-10
relative à la
Monnaie et au
Crédit
- Clarifier les
missions dévolues
aux banques et aux
établissements
financiers.
- Diversifier les
sources de
financement des
agents économiques,
notamment les
entreprises, par la
création d'un marché
par la loi 90-10
relative à la
Monnaie et au
Crédit
- Clarifier les
missions dévolues
aux banques et aux
établissements
financiers.
- Diversifier les
sources de
financement des
agents économiques,
notamment les
entreprises, par la
création d'un marché
Par l’ordonnance n° 03-11
du 26 août 2003 relative à
la monnaie et au crédit
- Secret
professionnel
-Changes et
mouvement des
capitaux
- Protection des
déposants
- Clarifier les
missions dévolues
aux banques et aux
établissements
financiers.
- Diversifier les
sources de
financement des
agents économiques,
notamment les
entreprises, par la
création d'un marché
Par l’ordonnance n°
03-11 du 26 août 2003
- Secret
professionnel
-Changes et
mouvement des
capitaux
- Protection des
déposants
Par l’ordonnance
n°10-04 aout 2010
- Instauration du
principe 51% - 49%
- Participation de
l’Etat dans les
capitaux privés
- Droit de préemption
de l’Etat sur toute
cession d’action ou
titre
Par la loi 90-10
50. par la loi 90-10
relative à la
Monnaie et au
Crédit
- Clarifier les
missions dévolues
aux banques et aux
établissements
financiers.
- Diversifier les
sources de
financement des
agents économiques,
notamment les
entreprises, par la
création d'un marché
par la loi 90-10
relative à la
Monnaie et au
Crédit
- Clarifier les
missions dévolues
aux banques et aux
établissements
financiers.
- Diversifier les
sources de
financement des
agents économiques,
notamment les
entreprises, par la
création d'un marché
Par l’ordonnance n° 03-11
du 26 août 2003 relative à
la monnaie et au crédit
- Secret
professionnel
-Changes et
mouvement des
capitaux
- Protection des
déposants
- Clarifier les
missions dévolues
aux banques et aux
établissements
financiers.
- Diversifier les
sources de
financement des
agents économiques,
notamment les
entreprises, par la
création d'un marché
Par l’ordonnance n°
03-11 du 26 août 2003
- Secret
professionnel
-Changes et
mouvement des
capitaux
- Protection des
déposants
Par l’ordonnance
n°10-04 aout 2010
- Autorisation
préalable du
gouverneur de la
Banque d’Algérie sur
toute cession d’action
- Stabilité des prix,
établissement de la
balance des
paiements et
présentation la
position financière
extérieure de
Par la loi 90-10
51. par la loi 90-10
relative à la
Monnaie et au
Crédit
- Clarifier les
missions dévolues
aux banques et aux
établissements
financiers.
- Diversifier les
sources de
financement des
agents économiques,
notamment les
entreprises, par la
création d'un marché
par la loi 90-10
relative à la
Monnaie et au
Crédit
- Clarifier les
missions dévolues
aux banques et aux
établissements
financiers.
- Diversifier les
sources de
financement des
agents économiques,
notamment les
entreprises, par la
création d'un marché
Par l’ordonnance n° 03-11
du 26 août 2003 relative à
la monnaie et au crédit
- Secret
professionnel
-Changes et
mouvement des
capitaux
- Protection des
déposants
par la loi 90-10
- Clarifier les
missions dévolues
aux banques et aux
établissements
financiers.
- Diversifier les
sources de
financement des
agents économiques,
notamment les
entreprises, par la
création d'un marché
Par l’ordonnance n°
03-11 du 26 août 2003
- Secret
professionnel
-Changes et
mouvement des
capitaux
- Protection des
déposants
Par l’ordonnance
n°10-04 aout 2010
- Mise en place d’un
dispositif de contrôle
interne et de contrôle
de conformité
53. •Secteur fragmenté
•Produits peu diversifiés
•Système d’information obsolète
•Mauvaise gestion des compétences
•Mauvaise évaluation du risque
•Coûts très élevés
•Saturation du coefficient d’emploi
•Détérioration de la qualité d’actif
•Faible taux de bancarisation
Conclusion : Limites
54. Conclusion : Perspectives
•Remédier à la fragmentation du secteur ban
•Diversification des produits offerts
•Modernisation du système d’information
•Meilleure gestion des compétences
•Meilleure évaluation du risque
•Meilleurs gestion des couts
•Meilleure gestion des ressources
•Consolidation des actifs
•Accroissement du taux de bancarisation
•Internationalisation
55. •Réformes inachevées
•Surliquidités sous employées
•Secteur à la traine en matière de
nouvelles technologies d’information et
de communication
•Un faible taux de bancarisation
•Prédominance des banques publiques
•Secteur peu concurrencé
•Secteur peu contrôlé
•Système très peu ouvert sur l’étranger
Conclusion : Limites
56. Conclusion : Perspectives
•Modernisation du secteur bancaire
- Système de règlements bruts en
temps réel de gros montants et
paiements urgents
- Système de télé-compensation des
paiements de masse
- Développement de la monétique
•Réglementation prudentielle et
transparence financière
- Normes prudentielles et financières
- Lutte anti-blanchiment
- Centrale des risques
- Commissaires aux comptes
•Contrôle des établissements de
crédits
- Contrôle sur pièces