Investir dans la Dette de PME dynamiques via les NOUVEAUX FCPR et visez un re...BFM Business
Decouvrez le support de notre Conférence en Ligne Webnaire :
Comment investir sur la dette de PME françaises et :
• viser un rendement net de 7% à 8%* (risque en capital),
• bénéficier d'une garantie partielle d'OSEO,
• profiter d'une fiscalité attractive Particuliers ou Entreprises
Pour ce premier webinaire, nous présentons les nouveaux FCPR assis sur des Obligations Convertibles de PME dynamiques.
(FCPR = Fonds Commun de Placement à Risque)
Intervenants :
Vincent Cudkowicz, Directeur Général, co-fondateur, bienprévoir.fr
Jérôme LIVRAN, Responsable Sélection OPCVM, Nortia
Jonathan LEVY, Président, co-fondateur, bienprévoir.fr
Investir dans la Dette de PME dynamiques via les NOUVEAUX FCPR et visez un re...BFM Business
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• viser un rendement net de 7% à 8%* (risque en capital),
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• profiter d'une fiscalité attractive Particuliers ou Entreprises
Pour ce premier webinaire, nous présentons les nouveaux FCPR assis sur des Obligations Convertibles de PME dynamiques.
(FCPR = Fonds Commun de Placement à Risque)
Intervenants :
Vincent Cudkowicz, Directeur Général, co-fondateur, bienprévoir.fr
Jérôme LIVRAN, Responsable Sélection OPCVM, Nortia
Jonathan LEVY, Président, co-fondateur, bienprévoir.fr
2ème Livre Blanc de l'innovation dans l'Assurance : Des secteurs porteurs identifiés pour les 10 prochaines années
Créé et labellisé par le ministre de l'Économie, de l'Industrie et de l'Emploi en juillet 2007, le Pôle de compétitivité mondial FINANCE INNOVATION a pour principale mission de faire émerger et de soutenir les projets innovants et/ou de recherche à forte valeur ajoutée, contribuant au développement de l'emploi et de la compétitivité de l'industrie financière française.
Dans le cadre de cette mission, le pôle FINANCE INNOVATION et les membres de sa filière Assurance publie le 2ème livre blanc de « L'INNOVATION DANS L'ASSURANCE », dont l'objectif est de sensibiliser les chefs d'entreprise, les professionnels et les académiques aux domaines d'innovation jugés prioritaires.
L'étude réalisée par CM Economics et AltaValue fait le point sur les PME françaises pouvant prétendre dès aujourd'hui à une cotation en Bourse. 60% d'entre-elles sont situées en région.
Les Annonceurs et l’Affiliation en France - Enquête CPA 2012Pierre Labousset
Les budgets alloués à l’affiliation sur les 2 ans passés ont augmenté pour 60% des répondants. Les secteurs Mode et Finance/Assurance sont ceux dont les budgets ont le plus augmenté. Ceux qui dépensent aujourd’hui le plus en affiliation, vont continuer à investir sur ce canal : 59% des répondants déclarent vouloir dépenser un budget plus important sur les 2 ans à venir.
Groupama banque - Stratégie Digitale point presse 22 mai 2014Antoine Wintrebert
- Un client équipé en bancassurance est 4 fois plus fidèle qu’un client équipé uniquement en assurance
- Des offres couplées banque et assurance qui couvrent de
larges univers de besoins et favorisent le multi-équipement
Dans 7 cas sur 10, un produit bancaire est vendu en complément d'un produit d'assurance
- Une approche d’épargne globale développée par tous les
réseaux commerciaux proposant une gamme complète de
produits
- intégration plus forte du métier bancaire dans les réflexes
de vente
- Une digitalisation avancée des back offices de la banque
- De nouvelles fonctionnalités pour l'appli mobile en octobre 2014
- En juin 2014, positionnement sur les réseaux sociaux
Comment disposer d’un modèle dynamique de gestion des risques clients ?Pénélope Cardera
Lors de cette web conférence des responsables du credit management, des analystes crédit et des consultants évoquent les outils, indicateurs et processus de gestion des risques clients.
- Comment déployer un scoring sur ses clients ?
- Quels processus pour un recouvrement optimisé ?
- Comment gérer le plus finement possible ses encours clients ?
- Comment dimensionner et organiser ses équipes ? Comment mettre en place une gestion pro-active de ses risques clients?
À travers leurs expériences et des exemples concrets, nos interlocuteurs apportent des réponses précises sur les meilleures pratiques tant en France qu’à l’international.
www.au-group.fr
Présentation du Fonds de Garantie des Crédits aux PME (FGAR)OUADA Yazid
L'objectif principal du FGAR est de faciliter l'accès aux financements ... faveur des PME, le premier organisme Algérien de garantie des crédits aux PME
www.fgar.dz/
Comment réindustrialiser la France et « sauver l’humanité » grâce à un club c...Nicolas Meilhan
Huit ans après la COP21, la transition énergétique est en panne sèche. Malgré les bonnes volontés, des normes de plus en plus sévères et des investissements pharaoniques dans les énergies renouvelables, nous échouons à décarboner l’économie mondiale. Huit ans après Le Bourget, l’Humanité persiste dans sa schizophrénie climatique. Alors que le réchauffement s’accélère en rythmant notre quotidien, la consommation mondiale de combustibles fossiles bat des records d’année en année.
Et le ciel continue de s’assombrir. Tandis que les pays émergents, Chine et Inde en tête, continuent de privilégier légitimement leur développement en augmentant significativement leur consommation de fossiles, une « bulle verte » est en train d’exploser en Europe. Eoliennes, panneaux solaires, hydrogène, voitures électriques et même Pompes à Chaleur tous les indicateurs sont dans le rouge vif. La faute notamment au prix des matières premières et aux taux d’intérêts qui ont érodé un peu plus la rentabilité déjà faible de projets verts.
Les politiques publiques aujourd’hui engagées nous dirigent vers le scénario SSP4 du GIEC correspondant à un réchauffement de 2,7° à l’horizon 2100. Un scénario principalement dans les mains des pays émergents. Comptant aujourd’hui pour 82% de la population mondiale, ils représenteront 90% des émissions à l’horizon 2050.
Face à cette situation il est impératif de changer de logiciel s’attaquant en priorité à l’électricité charbonnière (27% des émissions mondiales) concentrée à 93% dans un « club » de 14 pays produisant plus de 100 TWh/an. Parallèlement il faudrait constituer un « fonds climat » permettant d’aider les pays les plus pauvres à s’adapter aux conséquences du réchauffement dont 90% des victimes se situent dans les pays émergents.
Pour conjuguer les deux objectifs, nous proposons d’instaurer une taxe à l’importation égale à un quart du pourcentage électrique charbonnier sur les biens en provenance du « club des 14 ». Collectés par un organisme international, les fonds seraient ensuite redistribués aux pays les plus pauvres pour qu’ils puissent à la fois assurer leur transition et surtout s’adapter au réchauffement.
La méthode est triplement vertueuse. Renchérissant le prix des produits exportés, elle encouragerait le « Club 14 » à déplacer rapidement son électricité charbonnière vers des sources décarbonées, elle inciterait le consommateur à réorienter ses achats vers
des produits à empreinte carbone plus faible, elle permettrait aux pays les plus pauvres de financer massivement leurs projets d’atténuation et surtout d’adaptation indispensables à leur survie face au réchauffement climatique. Elle ne pourrait toutefois s’appliquer qu’avec un assentiment mondial voté au niveau de la Conférence des Parties.
Dans un marché du travail tendu, les demandeurs d'emploi acquièrent un pouvoir de négociation qui leur permet d'améliorer la qualité de leurs emplois — c'est du moins ce que l'on croit généralement.
Michael Willcox, économiste, CIMT, a présenté des résultats qui révèlent un affaiblissement de la relation entre le resserrement du marché du travail et les indicateurs de qualité de l'emploi à la suite de la pandémie. Le resserrement du marché du travail a coïncidé avec la croissance des salaires réels pour une partie seulement des travailleurs : ceux qui occupent des emplois peu rémunérés nécessitant peu d'éducation. Plusieurs facteurs — notamment la composition du marché du travail, le comportement des travailleurs et des employeurs, et les pratiques du marché du travail — ont contribué à l'absence d'avantages pour les travailleurs. Ces facteurs feront l'objet d'une étude plus approfondie dans le cadre de travaux futurs.
2ème Livre Blanc de l'innovation dans l'Assurance : Des secteurs porteurs identifiés pour les 10 prochaines années
Créé et labellisé par le ministre de l'Économie, de l'Industrie et de l'Emploi en juillet 2007, le Pôle de compétitivité mondial FINANCE INNOVATION a pour principale mission de faire émerger et de soutenir les projets innovants et/ou de recherche à forte valeur ajoutée, contribuant au développement de l'emploi et de la compétitivité de l'industrie financière française.
Dans le cadre de cette mission, le pôle FINANCE INNOVATION et les membres de sa filière Assurance publie le 2ème livre blanc de « L'INNOVATION DANS L'ASSURANCE », dont l'objectif est de sensibiliser les chefs d'entreprise, les professionnels et les académiques aux domaines d'innovation jugés prioritaires.
L'étude réalisée par CM Economics et AltaValue fait le point sur les PME françaises pouvant prétendre dès aujourd'hui à une cotation en Bourse. 60% d'entre-elles sont situées en région.
Les Annonceurs et l’Affiliation en France - Enquête CPA 2012Pierre Labousset
Les budgets alloués à l’affiliation sur les 2 ans passés ont augmenté pour 60% des répondants. Les secteurs Mode et Finance/Assurance sont ceux dont les budgets ont le plus augmenté. Ceux qui dépensent aujourd’hui le plus en affiliation, vont continuer à investir sur ce canal : 59% des répondants déclarent vouloir dépenser un budget plus important sur les 2 ans à venir.
Groupama banque - Stratégie Digitale point presse 22 mai 2014Antoine Wintrebert
- Un client équipé en bancassurance est 4 fois plus fidèle qu’un client équipé uniquement en assurance
- Des offres couplées banque et assurance qui couvrent de
larges univers de besoins et favorisent le multi-équipement
Dans 7 cas sur 10, un produit bancaire est vendu en complément d'un produit d'assurance
- Une approche d’épargne globale développée par tous les
réseaux commerciaux proposant une gamme complète de
produits
- intégration plus forte du métier bancaire dans les réflexes
de vente
- Une digitalisation avancée des back offices de la banque
- De nouvelles fonctionnalités pour l'appli mobile en octobre 2014
- En juin 2014, positionnement sur les réseaux sociaux
Comment disposer d’un modèle dynamique de gestion des risques clients ?Pénélope Cardera
Lors de cette web conférence des responsables du credit management, des analystes crédit et des consultants évoquent les outils, indicateurs et processus de gestion des risques clients.
- Comment déployer un scoring sur ses clients ?
- Quels processus pour un recouvrement optimisé ?
- Comment gérer le plus finement possible ses encours clients ?
- Comment dimensionner et organiser ses équipes ? Comment mettre en place une gestion pro-active de ses risques clients?
À travers leurs expériences et des exemples concrets, nos interlocuteurs apportent des réponses précises sur les meilleures pratiques tant en France qu’à l’international.
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L'objectif principal du FGAR est de faciliter l'accès aux financements ... faveur des PME, le premier organisme Algérien de garantie des crédits aux PME
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Comment réindustrialiser la France et « sauver l’humanité » grâce à un club c...Nicolas Meilhan
Huit ans après la COP21, la transition énergétique est en panne sèche. Malgré les bonnes volontés, des normes de plus en plus sévères et des investissements pharaoniques dans les énergies renouvelables, nous échouons à décarboner l’économie mondiale. Huit ans après Le Bourget, l’Humanité persiste dans sa schizophrénie climatique. Alors que le réchauffement s’accélère en rythmant notre quotidien, la consommation mondiale de combustibles fossiles bat des records d’année en année.
Et le ciel continue de s’assombrir. Tandis que les pays émergents, Chine et Inde en tête, continuent de privilégier légitimement leur développement en augmentant significativement leur consommation de fossiles, une « bulle verte » est en train d’exploser en Europe. Eoliennes, panneaux solaires, hydrogène, voitures électriques et même Pompes à Chaleur tous les indicateurs sont dans le rouge vif. La faute notamment au prix des matières premières et aux taux d’intérêts qui ont érodé un peu plus la rentabilité déjà faible de projets verts.
Les politiques publiques aujourd’hui engagées nous dirigent vers le scénario SSP4 du GIEC correspondant à un réchauffement de 2,7° à l’horizon 2100. Un scénario principalement dans les mains des pays émergents. Comptant aujourd’hui pour 82% de la population mondiale, ils représenteront 90% des émissions à l’horizon 2050.
Face à cette situation il est impératif de changer de logiciel s’attaquant en priorité à l’électricité charbonnière (27% des émissions mondiales) concentrée à 93% dans un « club » de 14 pays produisant plus de 100 TWh/an. Parallèlement il faudrait constituer un « fonds climat » permettant d’aider les pays les plus pauvres à s’adapter aux conséquences du réchauffement dont 90% des victimes se situent dans les pays émergents.
Pour conjuguer les deux objectifs, nous proposons d’instaurer une taxe à l’importation égale à un quart du pourcentage électrique charbonnier sur les biens en provenance du « club des 14 ». Collectés par un organisme international, les fonds seraient ensuite redistribués aux pays les plus pauvres pour qu’ils puissent à la fois assurer leur transition et surtout s’adapter au réchauffement.
La méthode est triplement vertueuse. Renchérissant le prix des produits exportés, elle encouragerait le « Club 14 » à déplacer rapidement son électricité charbonnière vers des sources décarbonées, elle inciterait le consommateur à réorienter ses achats vers
des produits à empreinte carbone plus faible, elle permettrait aux pays les plus pauvres de financer massivement leurs projets d’atténuation et surtout d’adaptation indispensables à leur survie face au réchauffement climatique. Elle ne pourrait toutefois s’appliquer qu’avec un assentiment mondial voté au niveau de la Conférence des Parties.
Dans un marché du travail tendu, les demandeurs d'emploi acquièrent un pouvoir de négociation qui leur permet d'améliorer la qualité de leurs emplois — c'est du moins ce que l'on croit généralement.
Michael Willcox, économiste, CIMT, a présenté des résultats qui révèlent un affaiblissement de la relation entre le resserrement du marché du travail et les indicateurs de qualité de l'emploi à la suite de la pandémie. Le resserrement du marché du travail a coïncidé avec la croissance des salaires réels pour une partie seulement des travailleurs : ceux qui occupent des emplois peu rémunérés nécessitant peu d'éducation. Plusieurs facteurs — notamment la composition du marché du travail, le comportement des travailleurs et des employeurs, et les pratiques du marché du travail — ont contribué à l'absence d'avantages pour les travailleurs. Ces facteurs feront l'objet d'une étude plus approfondie dans le cadre de travaux futurs.
Les données de Vicinity Jobs englobent plus de trois millions d'offres d'emploi en ligne pour 2023 ainsi que des milliers de compétences. La plupart des compétences apparaissent dans moins de 0,02 % des offres d'emploi, de sorte que la plupart des offres reposent sur un petit sous-ensemble de termes couramment utilisés, comme le travail en équipe.
Laura Adkins-Hackett, économiste, CIMT, et Sukriti Trehan, scientifique de données, CIMT, ont présenté leurs recherches sur les tendances relatives aux compétences répertoriées dans les offres d’emploi en ligne afin de mieux comprendre les compétences les plus en demande. Ce projet de recherche utilise l'information mutuelle spécifique et d'autres méthodes pour extraire davantage d'informations sur les compétences communes à partir des relations entre les compétences, les professions et les régions.
Les offres d’emploi en ligne deviennent une ressource essentielle pour les décideurs et les chercheurs qui étudient le marché du travail. Le CIMT continue de travailler avec les données de Vicinity Jobs tirées des offres d’emploi en ligne, qui peuvent être analysées dans notre
tableau de bord des tendances de l'emploi au Canada. Notre analyse des données provenant des offres d’emploi en ligne a permis d'obtenir des informations précieuses, notamment le
récent rapport
de Suzanne Spiteri sur l'amélioration de la qualité et de l'accessibilité des offres d'emploi afin de réduire les obstacles à l'emploi pour les personnes neurodivergentes.
Les données d’offres d’emplois en ligne d'entreprises telles que Vicinity Jobs servent de plus en plus de complément aux sources traditionnelles de données sur la demande de main-d'œuvre, telles que les enquêtes sur les postes vacants et les salaires (EPVS). Ibrahim Abuallail, candidat au Ph. D., Université d’Ottawa, a présenté la recherche relative aux biais dans les offres d’emploi en ligne et une approche proposée pour rajuster efficacement les données de ces offres d’emploi afin de compléter les données officielles existantes (telles que celles des EPVS) et d'améliorer la mesure de la demande de main-d'œuvre.
4. 4
Une nouvelle banque
Projet porteur d’une dynamique forte
de création de valeur
Wafabank
- 3ème banque privée
- Expertise dans les métiers
para bancaires
Banque Commerciale du Maroc
- 1ère banque privée
- Forte présence dans le corporate et
les métiers financiers
Attijariwafa bank
5. 5
Ambition stratégique
Encourager l’investissement
Contribuer au développement des
petites et moyennes entreprises
Favoriser l’affirmation de grands
groupes nationaux
Stimuler la bancarisation du pays
Performance
Ethique
Citoyenneté
Un projet porteur
de progrès
Développement
durable
6. ACTIONNARIAT
6
Flottant
14,9%
Al Wataniya
5,2%
CIMR
2,4%
Groupe ONA
(ONA, F3I*, SNI )
33,0%
Unicredito Italiano
2,1%
Wafa Corp.
4,7%
CDG
2,4%
Santusa Holding SA
(Grupo Santander)
14,5%
Corporacion
Financiera Caja
de Madrid
3,4%
Crédit Agricole Investors
1,4%
Axa Assurance Maroc
3,8%
Wafa Assurance
4,4%
Groupe MAMDA & MCMA
7,8%
7. POSITIONNEMENT
7
en millions de dirhams Attijariwafa bank
CREDITS A L'ECONOMIE 65 021
ENGAGEMENTS PAR SIGNATURE 21 888
DEPOTS DE LA CLIENTELE 97 726
TOTAL BILAN 117 958
FONDS PROPRES 11 270
EFFECTIF (groupe) 7 000
Nombre d’agences Maroc 515
LEASING (encours financier) 3 250
CREDIT A LA CONSOMMATION (encours brut)
10 299
GESTION D'ACTIFS ( encours ) 35 000
INTERMEDIATION BOURSIERE (volume de transactions) 33 034
Parts de
marché**
28.6%
29.0%
29.5%
28.8%
33.9%
19.0%
32.0%
43.0%
66.0%
Rang
1
1
2
1
1
1
1
1
1
Premier groupe bancaire et financier du Maghreb
8ème banque africaine
CREDIT IMMOBILIER (encours)
6 900
24.5% 2
8. LES MÉTIERS DU GROUPE
• 1 million de clients
• 515 agences au Maroc en cours de développement (600
agences à fin 2007)
• 263 guichets automatiques de banque
• e-banking
• Centre de Relation Clientèle
• 35 Points de vente en Europe
• Attijariwafa bank Sénégal : ouverture d’une dizaine d’agences
sur 3 ans
• Acquisition de la banque du Sud en Tunisie
8
Banque de Détail à
l’International
Banque Multicanal
Réseau Particuliers
Professionnels
Banque des Particuliers et des Professionnels
9. LES MÉTIERS DU GROUPE
• 26 points de ventes spécialisés: centres d’affaires,
agences entreprises
• Plus de MAD 50 milliards d’encours crédits
Approche sectorielle dans le financement
• Assistance et accompagnement des PME-PMI
• Restructuration et mise à niveau
• Approche globale des groupes et grandes
entreprises marocaines et internationales
(financement, gestion de flux, international…)
• Développement des produits à forte valeur ajoutée
et des ventes croisées
9
Réseau Entreprise
GE (Grandes Entreprises)
PME
Banque de l’Entreprise
11. LA COTATION D’UNE ENTREPRISE
• Objectif
Renforcer l’objectivité de la prise de décision sur les demandes de
crédit
Quantifier le risque effectif sur le portefeuille entreprise
Mettre en place une politique de tarification plus adaptée
• Principe
Attribuer une notation pour chaque critère retenu dans l’évaluation
de l’entreprise conforme aux normes de BAM,
11
12. Rating = Score financier + Score non financier + Facteurs spécifiques
Analyse statistique
Expertise
Score financier
Analyse quantitative
Ratios de Structure:
Capacité financière
Rentabilité
Liquidité
Taille
Score non financier
Analyse qualitative
Qualification Équipement
Références techniques
Qualité de la Relation Bancaire
13. LA COTATION D’UNE ENTREPRISE
• Score financier
Analyse quantitative
Ratios de Structure:
Capacité financière
Rentabilité
Liquidité
Taille
• Score non financier
Analyse qualitative
Qualification Équipement
Références techniques
Qualité de la Relation Bancaire
13
14. LA COTATION D’UNE ENTREPRISE
• L’appréciation du Risque d’un dossier de crédit sur un horizon à
court terme pour les crédits de fonctionnements (Max 3ans)
Critères d’évaluation
Environnement,selon l’activité et le positionnement
Capacité de Remboursement (Capacité à assurer le service de la
dette,rentabilité,structure financière…)
Qualité de management
Sources de financement
Accès et diversités
14
Attribution d’une note ou Rating
15. LA COTATION D’UNE ENTREPRISE
Environnement et secteur d’activité
Secteur porteur,en déclin ou saturé ?
Niveau de la sensibilité à la vie économique,réglementaire,fiscal ou
douanier?
Positionnement de l’entreprise
Rang par rapport à la concurrence en termes de produits,parts de
marché
Politique de prix et de marges
Capacité de remboursement
Capacité à gérer des cash flow pour faire face à l’endettement
Ratios de liquidité et de solvabilité
15
Attribution d’une note ou Rating
16. LA COTATION D’UNE ENTREPRISE
Sources de financement
Niveau de l’autonomie financière calculé sur la base des ratios des
structures propres au secteur
Management
Qualité de la gestion de l’équipe dirigeante locale ou
internationale
Qualité de l’actionnariat
16
Attribution d’une note ou Rating
17. LA COTATION D’UNE ENTREPRISE
A Très bon Risque
B Bon Risque
C Risque Standard
D Risque Moyen
E Risque Acceptable
F Risque Sensible
17
Modèle de Rating ou Scoring
18. LA COTATION D’UNE ENTREPRISE
Variables financières discriminantes
18
Liquidité
Rentabilité
Structure
Taille EEEvolution du CA,
Position par rapport à la concurrence
Niveau des FP,Poids de l’endettement
Bancaire,FDR
Évolution
Rendement des FP,CAF,Ratios RN/CA
Évolution
Trésorerie CT, BFR,Poste client,
20. NOTIONS FONDAMENTALES
20
Équilibre Fondamental Global
Fonds de Roulement doit être Positif et couvrir 2/3 du besoin fonds
de roulement
Capitaux permanents
_
Actif immobilisé
Diagnostic Financier
30. CONJONCTURE BANCAIRE
• Les Concours Bancaires
Les concours sur la clientèle des banques commerciales
Progression de 8,2% ( soit 13 Milliards en valeur )en 2004 et de 18% (+30,9MMdhs )en 2005.
Cette croissance est tirée par:
Prêts de Trésorerie :+21,5%
Crédits à l’équipements :+ 17,7%
Crédits immobiliers : 19,6%
Crédits à la consommation : 10,3%
30
MARCHE DE LA PME
31. EVOLUTION SYSTEME BANCAIRE
Cette croissance est tirée par les crédits accordés aux particuliers à hauteur
de 40 % contre 75% en 2004
Les concours aux entreprises ont contribué à hauteur de 45% dans cette
croissance.
31
32. CONJONCTURE BANCAIRE
• Interventions de la banque Centrale sur les banques
commerciales :
Objectif :
Faire bénéficier les PME de la tendance baissière des taux par :
Une plus grande transparence
L’amélioration de la qualité de l’information financière .
Le renforcement de leur dispositif d’évaluation de risques de crédit
Conséquence sur les banques:
Baisse des marges d’intermédiation du fait de l’intensification de
la concurrence et de la baisse des taux d’intérêts .
Amélioration des revenus hors intermédiation et baisse du coût
du risque .
32
MARCHE DE LA PME
33. CRÉDITS PAR CAISSE
Répartition sectorielle de l'encours de crédits par
caisse fin 2004 ( hors particuliers )
Secteur Primaire
13%
Indus de Transfor
25%
BTP
10%
Hotellerie
5%
Transport et Com
5%
Commerce, répar
d'auto et divers
11%
Activités
Financières
15%
Autres services
16%
33
ANALYSE SECTORIELLE
34. CRÉANCES EN SOUFFRANCES
Répartition sectorielle des créances en
souffrance en 2005
Indus alimentaires
10% Indus Textiles, hab
et cuir
14%
IM M EE
5%
Industries
manufacturières
6%
BTP
9%
Commerce, répar
d'auto et divers
21%
Autres industries
7%
Hotellerie
4%
Autres Secteurs
24%
34
ANALYSE SECTORIELLE
35. EVOLUTION DES RESSOURCES ET EMPLOIS
DE LA BANQUE
35
Décembre 2004
MAD million
Crédits par
signature
Ressources
Crédits par
décaissement
83 845
97 526
+16,3%
55 097
65 021
+18%
16 994
+28,8%
Décembre 2005
MAD million
21 888
36. POIDS DE LA PME
Part de la PME dans la B.E
34.3%
17.6%
29.1% 28.3%
0.0%
5.0%
10.0%
15.0%
20.0%
25.0%
30.0%
35.0%
40.0%
Crédits par
décaissements
Crédits Moyen et Long
terme
Engagements par
signature
Total Engagements
Part de la PME au sein Attijariwafa bank
19.1%
11.5%
25.4%
18.6%
0.0%
5.0%
10.0%
15.0%
20.0%
25.0%
30.0%
Crédits par
décaissements
Crédits Moyen et
Long terme
Engagements par
signature
Total
Engagements
36
37. NATURE PRODUIT % UTILISATION
CONSOLIDATION & CONTENTIEUX 23.76%
CAISSE,DECOUVERT & CREDIT IMMEDIAT 22.31%
CREDITS A L'IMPORT 13.63%
CREDITS A L'EXPORT 9.59%
ESCOMPTE PAPIER COMMERCIAL 9.13%
CMT & IMMOBILIER 8.83%
CAUTION DOUANIERE 8.57%
ASM MARCHANDISES 2.84%
CAUTIONS DIVERSES 1.06%
CAUTIONS ADMINSITRATIVES 0.27%
TOTAL ENGAGEMENTS 100.00%
37
Répartition par Nature de Crédit
Analyse des Engagements
Textile & Habillement
38. ANALYSE DES ENGAGEMENTS B.T.P
38
Ventilation des Engagements Globaux
NATURE PRODUIT
U
T
UTILISATION
EN %
DECAISSEMENT COURT TERME 29.19%
DECAISSEMENT MOYEN TERME 8.44%
DECAISSEMENT SAINS 37.63%
CONSOLIDATION & CONTENTIEUX 5.66%
TOTAL DECAISSEMENT 43.29%
CAUTION ADMINISTRATIVES 51.52%
CAUTIONS DOUANIERES 0.69%
CAUTIONS DIVERSES 2.98%
OPERATIONS DE L'INTERNATIONAL 1.52%
TOTAL CREDITS PAR SIGNATURE 56.71%
ENGAGEMENTS GLOBAUX 100.00%