Association Anne-Marie Javouhey - Projet associatifsiteamj
Projet associatif de l'association Anne-Marie Javouhey approuvé par le conseil d’administration lors de sa séance du 22 octobre 2009.
Mise à jour : 11/03/2011
Association Anne-Marie Javouhey - Projet associatifsiteamj
Projet associatif de l'association Anne-Marie Javouhey approuvé par le conseil d’administration lors de sa séance du 22 octobre 2009.
Mise à jour : 11/03/2011
Si les exonérations de cotisations sociales sur la complémentaire santé collective venaient à être supprimées, 1 employeur sur 2 remettrait en cause le dispositif existant au sein de l’entreprise. Et 8 salariés sur 10 estiment que ces exonérations constituent une contrepartie légitime à l’implication financière de l’employeur.
Les résultats de la 9ème édition du baromètre réalisé par le CRÉDOC pour le Centre technique des institutions de prévoyance (CTIP) sur les attentes des salariés et des employeurs confirment que les exonérations sont une condition nécessaire à l’engagement des entreprises.
En 2011, 95% des employeurs interrogés ont mis en place au moins une garantie de prévoyance (décès, indemnités journalières en cas d’arrêt de travail, invalidité, épargne retraite) dans leur entreprise. Ils sont tout autant à être favorables à la mise en place de garanties de prévoyance par un accord de branche ou une convention collective. Pour les 3/4 des employeurs, le principal avantage de ces régimes obligatoires est d’instaurer une solidarité entre tous les salariés de la profession.
Pour les salariés, le contrat collectif d’entreprise est la meilleure solution en matière de complémentaire santé (85%).
Celui-ci bénéficie donc d’un certain capital confiance pour développer des services autres que la garantie seule. Près de la moitié des salariés accepteraient, en échange d’une baisse des cotisations, de consulter un réseau de professionnels de santé recommandés.
Plus de 8 salariés sur 10, et tout autant d’employeurs, estiment qu’il est important que l’organisme assureur de leur entreprise développe une action sociale, essentiellement dans le domaine de la prévention.
C’est principalement pour cette raison que 75% des salariés et 79% des employeurs ont une image positive de la gestion paritaire des institutions de prévoyance. Un tiers des salariés estime en effet que ces organismes peuvent les aider en cas de besoin.
À l’heure du débat national sur le financement de la dépendance, les salariés ont conscience des différents avantages que peuvent offrir les contrats collectifs d’entreprise. Plus de la moitié d’entre eux (55%) mentionnent dans ce cadre la prise en charge d’une partie des cotisations par l’employeur. 45% estiment que les représentants des employeurs et des salariés sont plus aptes à négocier une bonne garantie qu’un individu isolé. Enfin, 39% considèrent que le contrat collectif amène les salariés à cotiser tôt, ce qui réduit leur effort de cotisation.
Outre le versement d’une rente dépendance, salariés et employeurs s’accordent également sur l’importance de pouvoir bénéficier de services associés permettant le maintien à domicile, comme une aide financière pour les services à domicile (86% des employeurs et 77% des salariés) ou le financement de travaux d’aménagement (43% des sal
Bulletin RAC : Dans le cadre de la Semaine québécoise des adultes
en formation, le Service régional de reconnaissance
des acquis et des compétences du
Saguenay–Lac-Saint-Jean a remis le Prix reconnaissance
RAC 2011 au Centre de réadaptation en
déficience intellectuelle et en troubles envahissants
du développement du Saguenay-Lac-
Saint-Jean (CRDITED) à Alma. Ce prix est remis
chaque année à une entreprise s’étant impliquée
activement dans la reconnaissance des acquis et
des compétences de ses travailleurs.
Étant confrontée à une rareté d’éducatrices et
d’éducateurs spécialisés, tout particulièrement en
déficience intellectuelle, la direction du CRDITED
a initié une démarche de reconnaissance des
acquis et des compétences (RAC) en collaboration
avec la CSN, Emploi-Québec et Mastera – Formation
continue du Cégep de Jonquière. Cette initiative
a permis à 25 employés d’obtenir une attestation d’études collégiales en Techniques d’éducation spécialisée
en déficience intellectuelle grâce à leurs compétences acquises auprès de leur clientèle.
Ce partenariat permet aujourd’hui d’augmenter la spécialisation des services offerts par le CRDITED à ses
usagers tout en permettant à ses employés actuels de profiter d’un avancement
professionnel. La solution RAC favorise, par le fait même, la rétention
d’une main-d’oeuvre qualifiée dans la région.
Le Service régional de reconnaissance des acquis et des compétences est
composé des quatre commissions scolaires, des quatre cégeps ainsi que
de l’Université du Québec à Chicoutimi. Le consortium s’est engagé à
développer et à mettre en place un modèle interordres de service régional
de RAC en vue d’améliorer les services à offrir à la population, en collaboration
avec la Direction régionale du ministère de l’Éducation, du Loisir
et du Sport (MELS).
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Watch the replay here: bit.ly/socialmedia-plan
http://inarocket.com
Learn BEM fundamentals as fast as possible. What is BEM (Block, element, modifier), BEM syntax, how it works with a real example, etc.
The document discusses how personalization and dynamic content are becoming increasingly important on websites. It notes that 52% of marketers see content personalization as critical and 75% of consumers like it when brands personalize their content. However, personalization can create issues for search engine optimization as dynamic URLs and content are more difficult for search engines to index than static pages. The document provides tips for SEOs to help address these personalization and SEO challenges, such as using static URLs when possible and submitting accurate sitemaps.
RSE : le Medef et EcoVadis publient un guide pratique pour accompagner les PMEAdm Medef
Les entreprises sont aujourd’hui face à de profondes transformations, à la fois dans leur environnement naturel, économique et financier, industriel et humain, sociétal et règlementaire. Elles ont pris acte de cette évolution qui, loin de traduire un effet de mode, ne cesse de s’accentuer. Face à ces bouleversements, la RSE est un des leviers que peut utiliser le chef d’entreprise pour développer des solutions à même d’y répondre.
Les TPE, PME et ETI sont directement concernées. Faire le choix de la RSE est, pour elles, le moyen de répondre à une demande croissante de leurs parties prenantes. S’engager dans la voie de la RSE est un pari gagnant puisqu’une étude de France Stratégie montre que l’écart de performance entre les entreprises qui introduisent des pratiques RSE et celles qui ne le font pas est en moyenne de 13 %.
Néanmoins, des efforts restent à faire pour favoriser le large déploiement des pratiques responsables. Pour cela, le Medef et EcoVadis se sont associés pour publier un guide pratique visant à aider concrètement les TPE-PME à mettre en place une démarche RSE.
Ce guide, composé de 10 témoignages de terrain détaillant chacun une bonne pratique, a été conçu pour donner à tous les chefs d’entreprise de TPE-PME de nouvelles idées d’actions à mettre en œuvre. Les exemples choisis sont autant de bonnes pratiques mises en œuvre dans des secteurs d’activité variés. Elles ne sont pas nécessairement transposables et généralisables en l’état à toutes les entreprises, mais doivent être prises comme des sources d’inspiration.
Si les exonérations de cotisations sociales sur la complémentaire santé collective venaient à être supprimées, 1 employeur sur 2 remettrait en cause le dispositif existant au sein de l’entreprise. Et 8 salariés sur 10 estiment que ces exonérations constituent une contrepartie légitime à l’implication financière de l’employeur.
Les résultats de la 9ème édition du baromètre réalisé par le CRÉDOC pour le Centre technique des institutions de prévoyance (CTIP) sur les attentes des salariés et des employeurs confirment que les exonérations sont une condition nécessaire à l’engagement des entreprises.
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Pour les salariés, le contrat collectif d’entreprise est la meilleure solution en matière de complémentaire santé (85%).
Celui-ci bénéficie donc d’un certain capital confiance pour développer des services autres que la garantie seule. Près de la moitié des salariés accepteraient, en échange d’une baisse des cotisations, de consulter un réseau de professionnels de santé recommandés.
Plus de 8 salariés sur 10, et tout autant d’employeurs, estiment qu’il est important que l’organisme assureur de leur entreprise développe une action sociale, essentiellement dans le domaine de la prévention.
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À l’heure du débat national sur le financement de la dépendance, les salariés ont conscience des différents avantages que peuvent offrir les contrats collectifs d’entreprise. Plus de la moitié d’entre eux (55%) mentionnent dans ce cadre la prise en charge d’une partie des cotisations par l’employeur. 45% estiment que les représentants des employeurs et des salariés sont plus aptes à négocier une bonne garantie qu’un individu isolé. Enfin, 39% considèrent que le contrat collectif amène les salariés à cotiser tôt, ce qui réduit leur effort de cotisation.
Outre le versement d’une rente dépendance, salariés et employeurs s’accordent également sur l’importance de pouvoir bénéficier de services associés permettant le maintien à domicile, comme une aide financière pour les services à domicile (86% des employeurs et 77% des salariés) ou le financement de travaux d’aménagement (43% des sal
Bulletin RAC : Dans le cadre de la Semaine québécoise des adultes
en formation, le Service régional de reconnaissance
des acquis et des compétences du
Saguenay–Lac-Saint-Jean a remis le Prix reconnaissance
RAC 2011 au Centre de réadaptation en
déficience intellectuelle et en troubles envahissants
du développement du Saguenay-Lac-
Saint-Jean (CRDITED) à Alma. Ce prix est remis
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activement dans la reconnaissance des acquis et
des compétences de ses travailleurs.
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a initié une démarche de reconnaissance des
acquis et des compétences (RAC) en collaboration
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usagers tout en permettant à ses employés actuels de profiter d’un avancement
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Le Service régional de reconnaissance des acquis et des compétences est
composé des quatre commissions scolaires, des quatre cégeps ainsi que
de l’Université du Québec à Chicoutimi. Le consortium s’est engagé à
développer et à mettre en place un modèle interordres de service régional
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RSE : le Medef et EcoVadis publient un guide pratique pour accompagner les PMEAdm Medef
Les entreprises sont aujourd’hui face à de profondes transformations, à la fois dans leur environnement naturel, économique et financier, industriel et humain, sociétal et règlementaire. Elles ont pris acte de cette évolution qui, loin de traduire un effet de mode, ne cesse de s’accentuer. Face à ces bouleversements, la RSE est un des leviers que peut utiliser le chef d’entreprise pour développer des solutions à même d’y répondre.
Les TPE, PME et ETI sont directement concernées. Faire le choix de la RSE est, pour elles, le moyen de répondre à une demande croissante de leurs parties prenantes. S’engager dans la voie de la RSE est un pari gagnant puisqu’une étude de France Stratégie montre que l’écart de performance entre les entreprises qui introduisent des pratiques RSE et celles qui ne le font pas est en moyenne de 13 %.
Néanmoins, des efforts restent à faire pour favoriser le large déploiement des pratiques responsables. Pour cela, le Medef et EcoVadis se sont associés pour publier un guide pratique visant à aider concrètement les TPE-PME à mettre en place une démarche RSE.
Ce guide, composé de 10 témoignages de terrain détaillant chacun une bonne pratique, a été conçu pour donner à tous les chefs d’entreprise de TPE-PME de nouvelles idées d’actions à mettre en œuvre. Les exemples choisis sont autant de bonnes pratiques mises en œuvre dans des secteurs d’activité variés. Elles ne sont pas nécessairement transposables et généralisables en l’état à toutes les entreprises, mais doivent être prises comme des sources d’inspiration.
Plaidoyer pour une culture de responsabilité partagée Rachel Bocher
“Notre grande erreur est d'essayer d'obtenir de chacun en
particulier des vertus qu'il n'a pas et de négliger de cultiver
celles qu'il possède. ”
Marguerite Yourcenar
Extrait des Mémoires d'Hadrien
http://www.intersyndicat-des-praticiens-hospitaliers.com/
Lutte contre l'exclusion, égalité hommes-femmes, intégration des personnes en situation de handicap, ancrage territorial, participation des bénéficiaires... La RSE (Responsabilité sociétale des entreprises) touche de très nombreux domaines. Dans une publication récente, l'Observatoire de la RSE a recensé des initiatives de fédérations et têtes de réseaux de l'ESS qui visent à accompagner leurs adhérents dans de telles démarches (stratégies, référentiels, outils d'évaluation, formations, bonnes pratiques, modalités de dialogue avec les parties prenantes...). Ce premier état des lieux des pratiques de RSE dans l'ESS propose une dizaine de fiches pratiques qui détaillent ces initiatives, secteur par secteur.
Premier état des lieux de pratiques de RSE au sein de l’économie sociale et s...yann le gigan
>>[Etude] Premier état des lieux de pratiques de RSE au sein de l’économie sociale et solidaire en France
[Crédit Coopératif / Orse nov 2015]
Le Crédit Coopératif a proposé à l’ORSE de collaborer pour donner de la visibilité à des initiatives originales dans leur manière de traiter des enjeux comme dans le choix des outils. Ce document est un premier état des lieux des initiatives des fédérations et tête de réseaux de l’ESS pour accompagner leurs adhérents dans leurs démarches de RSE : stratégies, référentiels sectoriels, outils d’évaluation, formations, bonnes pratiques, modalités de dialogue avec les parties
prenantes..
Organismes présentés dans le guide :
Secteur de l’insertion sociale par l’économique :
- FEI Fédération des entreprises d’insertion
- Coorace (entreprises d’insertion)
Secteur du handicap :
- UNEA Union nationale des entreprises adaptées
Secteur agroalimentaire :
- Coop de France (coopératives agricoles)
Secteur du logement social:
- USH. Union sociale pour l’habitat : Fédération des ESH
Secteur du bâtiment :
- Fédération des Scop du BTP
Secteur sanitaire et social :
- FEHAP. Fédération des établissements hospitaliers et d’aide à la personne privés non lucratifs
Secteur des coopératives :
- CG Scop
http://www.miroirsocial.com/uploads/documents/ESS_et_RSE_orse-creditcooperatif_guide_ess_et_rse.pdf
Plaidoyer pour une culture de responsabilité partagéeRéseau Pro Santé
Revue "Le Mag de l'INPH" n°8 - INPH - Décembre 2016
“ Notre grande erreur est d'essayer d'obtenir de chacun en particulier des vertus qu'il n'a pas et de négliger de cultiver celles qu'il possède. ” Marguerite Yourcenar Extrait des Mémoires d'Hadrien.
L'hôpital est le cadre d'expression de différentes logiques professionnelles à concilier et à confronter avec une indiscutable nécessité de travail en équipe, à l’image des soins intrinsèquement coordonnés.
Garantir la cohérence de fonctionnement de l’hôpital au service de sa mission de soins ne se conçoit :
♦ Qu’en faisant se conjuguer les logiques opérationnelles du soin entre elles et avec les logiques
de gestion.
♦ Qu’en créant une synergie entre ceux qui conçoivent, arbitrent, décident et ceux qui opérationnellement mettent en œuvre.
Cet enjeu central revient à promouvoir le passage de la culture de la responsabilité individuelle à une culture de la responsabilité commune. C’est au directeur, au président de la CME, au directeur des soins qu’il incombe de créer ensemble un environnement propice à la coordination des différents métiers pour faire passer les acteurs, de la singularité professionnelle à la complémentarité et ainsi garantir les coopérations indispensables aux activités de soins et à leur développement. Dans ce cadre, tous les espaces favorisant la réflexion et l’expression sont à saisir afin d’articuler la responsabilité clinique et la responsabilité managériale. (...)
http://www.reseauprosante.fr
LEEM - Responsabilité sociale 2014 : les 10 engagements en actionsyann le gigan
LEEM - Responsabilité sociale 2014 : les 10 engagements en actions
Retrouvez le rapport RSE multimédia 2014 sur www.leem.org
http://fr.calameo.com/read/002049284512ca3139729
1. CLUB
MIS
LA DEFENSE
Compte rendu Session Septembre 2012
Construire des partenariats entre parties prenantes
INTRODUCTION
Le Club MIS organise la rencontre régulière de SOMMAIRE
professionnels de grandes entreprises (Société
Générale, Adecco, Sodexo, Lasergroup...) qui
interviennent pour développer la responsabilité 1- Carte d’identité
sociétale de leurs organisations. Le but du club: 2 à 3 - Les défis de
développer une culture commune et proposer un l’écosystème
cadre dynamisant leurs compétences et leurs 4 - La rencontre
activités. 5 à 7 – Les facteurs
Ce Club de septembre, dédié au partenariat avec les
de
parties prenantes, s’est construit sur la rencontre et rapprochements
les échanges entre managers de l’Innovation Sociale 8 – Perspectives
et un entrepreneur social, CoActis Santé. de partenariats
Le compte-rendu permet de mettre en perspective
les conditions du développement relationnel et
coopératif entre acteurs intra-entreprises de
l’Innovation Sociale et les acteurs extérieurs.
1
2. CLUB
MIS
Construire des partenariats
entre parties prenantes
LA DEFENSE
Session Septembre 2012
1 – Présentation
Co-Actis Santé
§ Un enjeu majeur : l’accès aux soins
pour tous
- P r o b l è m e s : la
démographie médicale et
sa répartition, les § Une équipe « experte » et
dépassements d’honoraires complémentaire composée de
et les inégalités sociales en médecins et de gestionnaires
santé - Une expertise sur le premier
- Solution : les centres de recours
santé à condition d un - Une expertise sur le modèle
renouveau de leur économique des centres de
o r g a n i s a t i o n / santé en collaboration avec
fonctionnement la Mutualité Française
§ Un projet associatif : développer § Une première étape démonstrative
des centres de santé polyvalents, à Saint-Denis
accessibles et pérennes dans un - Création d un centre de
esprit de bien commun s a n t é p i l o t e /
- Repenser le centre de santé expérimentation
pour garantir sa pérennité - Choix de la Plaine Saint-Denis
- Repenser le centre de santé - Ouverture prévue en janvier
pour qu’il soit accessible 2014
aux patients en situation de
handicap
2
3. Construire des partenariats
CLUB
MIS
entre parties prenantes
LA DEFENSE
Session Septembre 2012
2 - Quels défis ?
La contribution d’un
acteur à son écosystème
Parties prenantes Utilités
Carte des utilités Usagers Démocratie sanitaire
des parties
prenantes à Producteurs de soins Implication
Empowerment
participer des médecins vers
/ Personnel administratif professionnelle
Partage de valeurs
à l écosystème une animation
pédagogique et
CoActis Santé culturelle du lieu Autres producteurs de Partenariats, coopération
soins et médico-sociaux territoriale / offre de soins
graduée
Régulateurs / Vérification conformité
Institutionnels réglementaire et
Un acteur tire sa adéquation besoins de
Organisation d’un
légitimité de sa centre de savoirs (sur santé
contribution à son le modèle Intérêt pour
écosystème de d’université populaire expérimentations
de proximité)
parties prenantes.
L i s t e r s e s Financeurs Logique financière / suivi
principales utilités capacité de
pour chacun de remboursement
ces publics permet Logique solidaire /
d ’ a n a l y s e r, d e maintien offre de santé sur
Financement par
territoire
repositionner et un acteur santé
de la prise en
d’enrichir cet charge des
apport. Fournisseurs / prestataires Intérêt marchand
seniors
Amélioration des
pratiques professionnelles
En orange, la des clients
contribution des
intrapreneurs à la
carte des utilités.
3
4. CLUB Animation de
MIS
Construire des partenariats
entre parties prenantes
l écosystème
LA DEFENSE
Session Septembre 2012
Actions en amont Outils concrets
3 - Quels défis ?
L’animation de son écosystème Co-construction du -rencontre des
projet de santé différents acteurs
(régulateurs,
collectivités,
financeurs…)
-étude des besoins
Propositions Plateforme des habitants à
d actions, d outils d’audit de
santé pour
proximité et des
salariés des entreprises
concrets à concevoir intérimaire
locales (questionnaire
pour animer son online)
écosystème
Etude sur Structuration juridique -création de collèges
population
intégrant l écosystème au sein de
clé pour
Un acteur mobilise ses mutuelle l association
parties prenantes et (seniors)
crée de l’adhésion par
son aptitude à créer du Actions en aval Outils concrets
mouvement et de
l’interaction autour de Sollicitation des -questionnaire de
ses apports. L’animation Micro-crédit /
usagers satisfaction
soins
d’écosystème permet -envoi de mails
importants
de stimuler ses publics, possible via le site
d’incarner ses apports (libre expression)
et de les faire vivre au
contact des situations. Management -staffs réguliers,
collaboratif des PS création d une CME
En orange, la
Club Intra-
contribution des entreprises / Entretien des -contact régulier avec
intrapreneurs à Accueil partenariats les partenaires, retours
l’animation. Médecins- d expériences
Conférenciers
4
5. Construire des partenariats
CLUB
MIS
entre parties prenantes
LA DEFENSE
Session Septembre 2012
4 – L’interconnexion
entre acteurs : quel levier ?
Toute implication de public repose sur un effet de levier
psychologique : l’insight. L’identification de ce levier permet de centrer
l’interaction entre les personnes sur un facteur d’intérêt commun. Et
d’impulser une action convergente.
L’insight de rencontre entre intrapreneurs et entrepreneurs sociaux :
LEGITIMITE COACTIS
Apporter une offre de
santé de proximité
Un centre de santé,
polyvalente
nouvelle génération :
accessible à tous
tout en un seul lieu
Etre un centre
régional pour des
spécialités plus
pointues
En orange, la Etre un centre
contribution des référent sur la prise
intrapreneurs
en charge du
handicap pour les
soins somatiques
Cré
Ouvert sur la ville, au renc ateurs d
ontre e
service de la santé de s
savo et de
toutes les familles irs
5
6. CLUB
MIS
Construire des partenariats
entre parties prenantes
LA DEFENSE
Session Septembre 2012 5 – La relation entre
intrapreneurs et entrepreneurs
Le contexte actuel de hausse des besoins
sociaux favorise la porosité des organisations
Le développement de coopération
sur les projets et le développement de
partenariats. Le besoin d’expertises croisées implique un biais particulier dans les
et diversifiées, la nécessité de préparer et relations entre acteurs, que le
construire des relais à son action amènent la chercheur Olivier Masclef a éclairé
nécessité de développer la relation avec des sous le concept d’altruisme
entrepreneurs sociaux. Le processus aborde managérial. Il structure cette notion
deux directions :
de la manière suivante :
§ L a m i s e e n c o n t a c t , l a
catégorisation et la désirabilité de
collaboration 1. Dons d’objets, d’informations,
§ L’amorçage de collaborations de signaux
2. Dons de temps, de ressources
QUE SE PASSE T-IL QUAND et d’énergie
IL Y A RENCONTRE ? 3. Pratiques managériales altruistes
( l a c o o p é r a t i o n ,
Dans cette perspective, il était intéressant de
l’empowerment, le team
questionner le regard que portent des building, le partage de
« i n t r a p r e n e u r s s o c i a u x » s u r l e s compétences, le mentorat)
« entrepreneurs sociaux ». Une présentation
du projet Co-Actis Santé a donc été
effectuée afin de stimuler un point de vue
des membres du Club et de leur engagement
possible.
6
7. Construire des partenariats
CLUB
MIS
entre parties prenantes
LA DEFENSE
Session Septembre 2012
6 - Qu’est ce qui rapproche des
intrapreneurs sociaux
d’entrepreneurs sociaux ?
PREMIERE APPROCHE
UNE
SENSIBILITÉ
AUX PUBLICS
« B TO B »
CARTOGRAPHIE DES PARTIES PRENANTES
è Créateurs de valeur (médecins)
Angle culturel : discours en direction des médecins à formaliser sur l’implication dans
le processus d’animation et l’ouverture vers la pédagogie
è Partenaires institutionnels / business
Angle partenarial : Offre de services vers des collaborateurs de l’entreprise (publics
précaires en recherche de services et d’inclusion)
Angle partenarial : Recherche d’ouverture via club inter-entreprises et université
populaire
7
8. CLUB
MIS
Construire des partenariats
entre parties prenantes
LA DEFENSE
Session Septembre 2012
6 - Qu’est ce qui rapproche
des intrapreneurs
DEUXIEME APPROCHE d’entrepreneurs sociaux ?
Le développement collaboratif entre intrapreneurs et entrepreneurs sociaux inclue trois points
d’appui:
• La proximité culturelle entre acteurs
• Les objectifs convergents entre entités
• Les opportunités contextuelles en fonction des évolutions environnementales
TROISIEME APPROCHE
La démarche collaborative est facilitée en positionnant l’activité comme un Hub :
Soins
accessibles
(tarifs, Proximité
temps) Conseils
hygiène, Gain de temps
bien-être
Renforcement de la
Services
Carrefour communauté
pluriels
de territoriale
territoire
Impulsion de projets
communautaires
Info de
Lien social, territoire
confiance Info diversifiée
Inputs Interface CoActis Outputs
8
9. Construire des partenariats
CLUB
MIS
entre parties prenantes
LA DEFENSE
Session Septembre 2012
7 - Collaboration : les facteurs
culturels et productifs
Analyse :
Top intérêts collaboratifs : Parmi les facteurs de collaboration
entre intrapreneurs et entrepreneurs
sociaux, on recense plusieurs facteurs :
Acteur de territoire :
Recherche d’ouverture > club
inter et « université populaire » • La sensibilité à une culture de
l’inclusion, de la mixité et de la
diversité via des mécanismes
d’interaction et une recherche de
C o n n e c t e u r, c a r r e f o u r : création de valeur par cette mixité
Recherche de mixité et (solidarité et relais de soin pour
d’inclusion publics particuliers précaires)
• L’organisation d’une capillarité sur
Facilitateur du quotidien : Tout un territoire, à travers la création
en un seul lieu de passerelles et l’optimisation
des services essentiels par des
relais de proximité
Importance de la rencontre,
de la construction humaine • L’ouverture et l’innovation d’offre
par le lien et la discussion et la via une logique de mix-services :
connaissance, rapport à l’offre ici propose une
l’actualité interconnexion entre info santé,
discussion, soin, sensibilisation,
création/expression
dédramatisation
9
10. CLUB
MIS
Construire des partenariats
entre parties prenantes
LA DEFENSE
Session Septembre 2012 8 – Perspectives de partenariats
Trois facteurs de
Trois étapes de construction rapprochement entre
de la relation collaborative acteurs
Echanges informels, • La proximité culturelle entre
acteurs
connexions humaines – Adéquation aux valeurs de
l’entreprise
– Connexion à la sensibilité
des acteurs
• Les objectifs convergents entre
acteurs
conseils/échange ressources/ – Cohérence avec l’activité et
adéquation avec la stratégie de l’entreprise
problématiques/identification – Corrélation aux objectifs
de partenaires possibles dédiés de l’entité
• Les opportunités contextuelles
en fonction des évolutions
environnementales
– Mouvements sociaux,
crises
coopérations/définition de la – Réorganisation favorable
mission commune, des rôles des parties prenantes
et des apports
10