Exposé le 29/07/2015 lors de la session A destinée à un public d'enseignants du secondaire de LISHEP 2015 à Manaus, à l'occasion de l'année internationale de la lumière
Examining the Contact Phenomena Using the Discrete Element MethodAlexanderABANOBI
The discrete element method is an alternate method to the finite element method, and it was used in this case to examine the effects of contact between structural members under different simulation and loading conditions
Épistemologie de la gravité quantique canonique - Gravité quantique à bouclesNicolae Sfetcu
Dans l'interprétation de la gravité quantique canonique, la gravité apparaît comme une pseudoforce géométrique, elle est réduite à la géométrie espace-temps et devient un simple effet de la courbure de l'espace-temps . Le formalisme canonique ne confirme pas cette interprétation. La relativité générale associe la gravité à l'espace-temps, mais le type d'association n'est pas fixé. La gravité quantique à boucles tente d'unifier la gravité avec les trois autres forces fondamentales en commençant par la relativité et en ajoutant des traits quantiques. Il est basé directement sur la formule géométrique d'Einstein.
DOI: 10.13140/RG.2.2.31502.18240
La gravité quantique a nécessité la prise en compte des questions épistémologiques fondamentales, qui peuvent être identifiées en philosophie avec le problème corps-esprit et le problème du libre arbitre . Ces questions ont influencé l'épistémologie de la mécanique quantique sous la forme du « parallélisme psycho-physique » de von Neumann et l'analyse ultérieure de la thèse de Wigner selon laquelle « l'effondrement du paquet d'ondes » se produit dans l'esprit de « l'observateur ». La gravité quantique en cosmologie pose le problème de la liberté de l'expérimentateur de changer les conditions physiques locales, un « observateur » passif. Dans toute théorie qui décrit un seul univers, des questions se posent sur la nature de la causalité au sens philosophique traditionnel.
DOI: 10.13140/RG.2.2.15932.87687
Introduction dans les théories de la relativitéNicolae Sfetcu
Selon la relativité générale, la force gravitationnelle est une manifestation de la géométrie de l'espace-temps local. RG est une théorie métrique de la gravité. Il est basé sur les équations d'Einstein, qui décrivent la relation entre la géométrie d'une variété pseudo-riemannienne à quatre dimensions, représentant l'espace-temps et l'énergie-impulsion contenu dans cet espace-temps. La gravité correspond aux modifications des propriétés spatiales et temporelles, qui à leur tour modifient les chemins des objets. La courbure est causée par l'énergie-impulsion de la matière. Selon John Archibald Wheeler, l'espace-temps indique à la matière comment se déplacer, et la matière indique à l'espace-temps comment se courber.
DOI: 10.13140/RG.2.2.23756.26249
Diapos du premier chapitre de Mécanique quantique " Introduction au monde quantique" pour les étudiants des classes préparatoires aux concours d'entrée aux cycles de formation d'ingénieurs
Le Big-Bang nous a livré son florilège de particules, découvrons :
- les constituants de la matière : molécules, atomes, noyau, électrons, protons, neutrons, quarks, bosons...
- les 4 forces fondamentales : faible, forte, gravitation, électromagnétique.
Exposé le 29/07/2015 lors de la session A destinée à un public d'enseignants du secondaire de LISHEP 2015 à Manaus, à l'occasion de l'année internationale de la lumière
Examining the Contact Phenomena Using the Discrete Element MethodAlexanderABANOBI
The discrete element method is an alternate method to the finite element method, and it was used in this case to examine the effects of contact between structural members under different simulation and loading conditions
Épistemologie de la gravité quantique canonique - Gravité quantique à bouclesNicolae Sfetcu
Dans l'interprétation de la gravité quantique canonique, la gravité apparaît comme une pseudoforce géométrique, elle est réduite à la géométrie espace-temps et devient un simple effet de la courbure de l'espace-temps . Le formalisme canonique ne confirme pas cette interprétation. La relativité générale associe la gravité à l'espace-temps, mais le type d'association n'est pas fixé. La gravité quantique à boucles tente d'unifier la gravité avec les trois autres forces fondamentales en commençant par la relativité et en ajoutant des traits quantiques. Il est basé directement sur la formule géométrique d'Einstein.
DOI: 10.13140/RG.2.2.31502.18240
La gravité quantique a nécessité la prise en compte des questions épistémologiques fondamentales, qui peuvent être identifiées en philosophie avec le problème corps-esprit et le problème du libre arbitre . Ces questions ont influencé l'épistémologie de la mécanique quantique sous la forme du « parallélisme psycho-physique » de von Neumann et l'analyse ultérieure de la thèse de Wigner selon laquelle « l'effondrement du paquet d'ondes » se produit dans l'esprit de « l'observateur ». La gravité quantique en cosmologie pose le problème de la liberté de l'expérimentateur de changer les conditions physiques locales, un « observateur » passif. Dans toute théorie qui décrit un seul univers, des questions se posent sur la nature de la causalité au sens philosophique traditionnel.
DOI: 10.13140/RG.2.2.15932.87687
Introduction dans les théories de la relativitéNicolae Sfetcu
Selon la relativité générale, la force gravitationnelle est une manifestation de la géométrie de l'espace-temps local. RG est une théorie métrique de la gravité. Il est basé sur les équations d'Einstein, qui décrivent la relation entre la géométrie d'une variété pseudo-riemannienne à quatre dimensions, représentant l'espace-temps et l'énergie-impulsion contenu dans cet espace-temps. La gravité correspond aux modifications des propriétés spatiales et temporelles, qui à leur tour modifient les chemins des objets. La courbure est causée par l'énergie-impulsion de la matière. Selon John Archibald Wheeler, l'espace-temps indique à la matière comment se déplacer, et la matière indique à l'espace-temps comment se courber.
DOI: 10.13140/RG.2.2.23756.26249
Diapos du premier chapitre de Mécanique quantique " Introduction au monde quantique" pour les étudiants des classes préparatoires aux concours d'entrée aux cycles de formation d'ingénieurs
Le Big-Bang nous a livré son florilège de particules, découvrons :
- les constituants de la matière : molécules, atomes, noyau, électrons, protons, neutrons, quarks, bosons...
- les 4 forces fondamentales : faible, forte, gravitation, électromagnétique.
1. Cours de Mécanique 1
Présentation du programme
Chapitre 1: Interaction Fondamentale
Chapitre 2 Analyse dimensionnelle
Chapitre 3: Mécanique du point
Chapitre 4: Principes de la dynamique newtonienne
Chapitre 5 : Aspects énergétiques de la dynamique du point
Chapitre 6: Oscillateurs harmoniques et amortis par frottement fluide
2. Chapitre 1: Interaction fondamentale
A nos jours, la physique théorique affirme qu’il y a 4 types d’interactions (forces) dans
l’univers.
1. interaction gravitationnelle
2. interaction électromagnétique
3. interaction nucléaire forte
4. interaction nucléaire faible
Objectifs du cours:
Montrer que la nature est gouvernée par des interactions
Montrer l’importance de ses interaction dans la nature
3. 1-Interaction gravitationnelle
Elle est la plus faible des interaction;
Elle est de portée illimitée et seulement attractive;
C’est une interaction massique.
1-1-Importance de l’interaction gravitationnelle:
L’interaction gravitationnelle fait que tous les objets sur la surface de la Terre restent liés à la
planète.
Elle maintient la Terre sur son orbite autour du Soleil
Elle maintient le Soleil à l’intérieur de la Galaxie qui contient cent milliards d’étoiles et son action
s’étend sur quelques cent milliards de galaxies qui constituent l’Univers.
Remarque: Si l’interaction gravitationnelle était beaucoup plus intense, elle aurait empêché
l’expansion de l’Univers et
provoqué son anéantissement en faisant s’effondrer les galaxies les unes sur les autres.
5. 2-Interaction Electromagnétique
Elle est plus forte que l’interaction gravitationnelle et de portée illimitée
Elle peut être attractive ou répulsive selon le signe des charges ponctuelles
Elle agit à l’échelle microscopique et produit des effets macroscopiques
L'interaction électromagnétique est la force de liaison des objets plus petits tels que les
atomes, les molécules mais aussi les plantes et nous-mêmes.
Elle engendre par exemple les forces de frottement, produit l’étirement, l’adhérence et la
cohésion.
2-1-Définition et importance
8. 3-Interaction nucléaire forte
3-1-Definition et importance
a) Constitution des protons et neutrons
Comme beaucoup d'autres particules, les protons et les neutrons sont formés par des
particules élémentaires appelées quarks.
L’interaction nucléaire forte lie ces quarks à l'intérieur des neutrons et des protons mais lie
aussi les protons et les neutrons entre eux pour former les noyaux atomiques.
b) Importance de l’interaction nucléaire forte
C'est cette force qui permet d'expliquer la stabilité du noyau atomique malgré l'importante
force de répulsion électrique entre les protons.
9. 3-Interaction nucléaire forte
Elle est 1038 plus forte que l’interaction gravitationnelle et 100 fois plus forte que l’interaction
électromagnétique. Elle est de très courte portée car sa portée n’excède pas le rayon atomique qui
est de l’ordre de 10−14𝑚. Sa portée très courte l’ empêche de se manifester à l’échelle
macroscopique d’où sa découverte tardive (20 eme siècle)
4-Interaction nucléaire fable
4-1-Definition et importance
L’interaction faible (force faible) est environ un million de fois plus faible que la force
nucléaire forte et de portée environ cent fois plus courte.
Elle est 1032
plus forte que l’interaction gravitationnelle
10. 3-Interaction nucléaire forte
Elle est par exemple responsable de la désintégration radioactive 𝛽 en changeant un nucléon en un autre.
Illustration
a. Désintégration alpha
Le noyau expulse une particule alpha. La transformation s’écrit :
b. Désintégration β+ et capture électronique
Le noyau expulse un positron (particule de charge +e et de même masse que l’électron). Un proton
du noyau se transforme en neutron et l’émission du positron s’accompagne de l’émission d’un
neutrino (particule de masse nulle). La transformation s’écrit :
12. Une étoile comme le Soleil tire son énergie d’un four thermonucléaire interne. Il fait
fusionner l’hydrogène en hélium, un processus dû à la transformation graduelle des
protons par interaction faible.
4-1-Definition et importance
Fin du chapitre