En janvier 2021, un quart des diplômés Bac +5 de la promotion
2019 sont en recherche d’emploi
L’insertion des jeunes diplômé·e·s s’est très nettement dégradée en un an
Les jeunes diplômés toujours en recherche d’emploi apparaissent particulièrement pessimistes
Etude Apec - Panorama 2021 des mobilité des cadres, juillet 2021Apec
- La mobilité des cadres a baissé en 2020 dans un contexte de crise
- Le recul de la mobilité a été porté par les jeunes cadres
- Le rebond de la mobilité externe est attendu en 2021, porté par les jeunes cadres
Etude Apec - Pratiques de recrutement des cadres 2021, juillet 20211Apec
- Les entreprises ont connu moins de difficultés à recruter des cadres en 2020
- Elles ont adapté leurs pratiques de recrutement au contexte de crise tout en continuant à déployer une stratégie multicanale axée sur l’offre d’emploi et le réseau
- L’année 2021 pourrait être marquée par le retour de fortes tensions sur le marché de l’emploi cadre et le reflux des entretiens en visioconférence
Etude Apec - Prévisions 2021 : Un redémarrage progressif des recrutements de ...Apec
La dynamique de l’emploi cadre s’est brutalement retournée en 2020
Un redémarrage en 2021 porté par les grands moteurs de l’emploi cadre…
…mais insuffisant pour renouer avec les niveaux d’avant-crise
Etude Apec - Les recrutements de cadres en 2021 : prévisions par OPCOApec
Pour la première fois, l’Apec a cherché à mesurer le volume de recrutements de cadres prévus par les entreprises entrant dans le champ conventionnel de chaque Opco, ainsi que la répartition de ces recrutements (par région, taille d’entreprise, etc.).
Etude Apec / Datagora : Portrait statistique des cadres du secteur privéApec
Ce document, réalisé par l’Apec et Datagora, dresse un portrait inédit des cadres du secteur privé. Il présente une vision chiffrée de la réalité plurielle des cadres sous le prisme de 6 grandes thématiques : leur profil sociodémographique, leur répartition dans l’emploi, les questions liées à leur habitat et au transport, leur équilibre entre vie professionnelle et vie privée, et leurs préoccupations et aspirations.
Etude Apec - Mutations du marché de l'emploi cadre : enjeux pour 2019Apec
En 2019 et 2020, le nombre de recrutements de cadres devrait poursuivre sa progression et pourrait atteindre un niveau record. Au-delà des explications conjoncturelles, la dynamique de l’emploi cadre repose avant tout sur de profondes transformations du monde du travail. La mondialisation, la révolution numérique, la maîtrise des risques ou encore la transition énergétique induisent en effet des besoins grandissants en compétences à forte valeur ajoutée, des expertises renouvelées et un management adapté ; c’est-à-dire une évolution des marqueurs constitutifs de l’identité cadre. Ces grands enjeux invitent aussi cadres et entreprises à réfléchir à un nouveau rapport au travail et à de nouveaux modèles d’organisation.
Pour appréhender les changements à l’oeuvre et anticiper les nouveaux équilibres qui se dessinent, il est crucial d’approfondir la réflexion prospective sur les modalités de recrutement et de fidélisation, sur les processus de mobilité et sur l’évolution des métiers et des compétences. C’est précisément la vocation de l’Observatoire du marché de l’emploi cadre de l’Apec : éclairer le marché par le biais d’études pointues et réflexives, pour faciliter les parcours professionnels des cadres et les recrutements des entreprises dans un monde en mutation.
La dynamique des recrutements de cadres s’est maintenue au 3e trimestre 2021
Les intentions de recrutement pour le 4e trimestre 2021 progressent nettement pour les grandes entreprises et se maintiennent pour les PME
Côté cadres, le désir de mobilité ne progresse plus seulement chez les jeunes cadres mais aussi chez les cadres en milieu de carrière
Etude Apec - Crise sanitaire et offres d'emploi cadre en 2020 : secteur des a...Apec
- Dans l’informatique et les télécommunications, l’activité a subi un choc au printemps 2020 mais elle a vite rebondi
- Les impacts de la chute d’activité du 1er semestre sur les offres d’emploi cadre ont été conséquents et étaient toujours visibles fin 2020
- Les métiers du développement informatique sont restés les plus recherchés en 2020
Etude Apec - Panorama 2021 des mobilité des cadres, juillet 2021Apec
- La mobilité des cadres a baissé en 2020 dans un contexte de crise
- Le recul de la mobilité a été porté par les jeunes cadres
- Le rebond de la mobilité externe est attendu en 2021, porté par les jeunes cadres
Etude Apec - Pratiques de recrutement des cadres 2021, juillet 20211Apec
- Les entreprises ont connu moins de difficultés à recruter des cadres en 2020
- Elles ont adapté leurs pratiques de recrutement au contexte de crise tout en continuant à déployer une stratégie multicanale axée sur l’offre d’emploi et le réseau
- L’année 2021 pourrait être marquée par le retour de fortes tensions sur le marché de l’emploi cadre et le reflux des entretiens en visioconférence
Etude Apec - Prévisions 2021 : Un redémarrage progressif des recrutements de ...Apec
La dynamique de l’emploi cadre s’est brutalement retournée en 2020
Un redémarrage en 2021 porté par les grands moteurs de l’emploi cadre…
…mais insuffisant pour renouer avec les niveaux d’avant-crise
Etude Apec - Les recrutements de cadres en 2021 : prévisions par OPCOApec
Pour la première fois, l’Apec a cherché à mesurer le volume de recrutements de cadres prévus par les entreprises entrant dans le champ conventionnel de chaque Opco, ainsi que la répartition de ces recrutements (par région, taille d’entreprise, etc.).
Etude Apec / Datagora : Portrait statistique des cadres du secteur privéApec
Ce document, réalisé par l’Apec et Datagora, dresse un portrait inédit des cadres du secteur privé. Il présente une vision chiffrée de la réalité plurielle des cadres sous le prisme de 6 grandes thématiques : leur profil sociodémographique, leur répartition dans l’emploi, les questions liées à leur habitat et au transport, leur équilibre entre vie professionnelle et vie privée, et leurs préoccupations et aspirations.
Etude Apec - Mutations du marché de l'emploi cadre : enjeux pour 2019Apec
En 2019 et 2020, le nombre de recrutements de cadres devrait poursuivre sa progression et pourrait atteindre un niveau record. Au-delà des explications conjoncturelles, la dynamique de l’emploi cadre repose avant tout sur de profondes transformations du monde du travail. La mondialisation, la révolution numérique, la maîtrise des risques ou encore la transition énergétique induisent en effet des besoins grandissants en compétences à forte valeur ajoutée, des expertises renouvelées et un management adapté ; c’est-à-dire une évolution des marqueurs constitutifs de l’identité cadre. Ces grands enjeux invitent aussi cadres et entreprises à réfléchir à un nouveau rapport au travail et à de nouveaux modèles d’organisation.
Pour appréhender les changements à l’oeuvre et anticiper les nouveaux équilibres qui se dessinent, il est crucial d’approfondir la réflexion prospective sur les modalités de recrutement et de fidélisation, sur les processus de mobilité et sur l’évolution des métiers et des compétences. C’est précisément la vocation de l’Observatoire du marché de l’emploi cadre de l’Apec : éclairer le marché par le biais d’études pointues et réflexives, pour faciliter les parcours professionnels des cadres et les recrutements des entreprises dans un monde en mutation.
La dynamique des recrutements de cadres s’est maintenue au 3e trimestre 2021
Les intentions de recrutement pour le 4e trimestre 2021 progressent nettement pour les grandes entreprises et se maintiennent pour les PME
Côté cadres, le désir de mobilité ne progresse plus seulement chez les jeunes cadres mais aussi chez les cadres en milieu de carrière
Etude Apec - Crise sanitaire et offres d'emploi cadre en 2020 : secteur des a...Apec
- Dans l’informatique et les télécommunications, l’activité a subi un choc au printemps 2020 mais elle a vite rebondi
- Les impacts de la chute d’activité du 1er semestre sur les offres d’emploi cadre ont été conséquents et étaient toujours visibles fin 2020
- Les métiers du développement informatique sont restés les plus recherchés en 2020
Etude Apec - Crise sanitaire et offres d'emploi cadre en 2020 : secteur du co...Apec
- Dans le conseil et la gestion des entreprises, l’activité a chuté pendant le 1er confinement mais a retrouvé sa vitalité fin 2020
- Les effets du recul de l’activité au printemps sur les offres d’emploi cadre ont été considérables mais partiellement résorbés en fi n d’année
- Les métiers du développement et de la gestion de projets informatiques sont restés les plus recherchés en 2020
Etude Apec - Crise sanitaire et offres d'emploi cadre en 2020 : secteur de la...Apec
- Dans la banque et les assurances, l’activité a chuté en 2020 à la suite du 1er confinement et a été affectée de manière plus modérée par le second
- L'impact des pertes d’activité du 2e trimestre 2020 sur les offres d’emploi cadre a été conséquent et était toujours visible en fin d’année
- Les profils de cadres commerciaux sont restés les plus recherchés en 2020
Etude Apec - Baromètre de la rémunération des cadres, septembre 2021Apec
En 2020, les augmentations se sont faites plus rares et la rémunération des cadres est restée stable
La crise a ralenti la progression salariale des jeunes cadres
La rémunération des cadres restés dans leur entreprise a stagné
Les cadres qui ont changé d’entreprise ont pu tirer leur épingle du jeu malgré la crise
En 2021, les cadres ont ajusté leurs attentes en matière d’augmentation salariale, mais ils restent confiants pour la suite
Etude Apec/OEMA - Référentiel des métiers de l'assuranceApec
L’Apec et l’Observatoire de l’évolution des métiers de l’assurance (OEMA) publient un référentiel des métiers cadres afin de mieux appréhender l’évolution des compétences requises par le secteur dans les années à venir.
Le secteur compte 146 000 collaborateurs dont la moitié de cadres. L’assurance est très féminisée : 6 collaborateurs sur 10 sont des femmes. Les recrutements concernent majoritairement la gestion des contrats/prestations et la distribution et le développement commercial. Les cadres constituent 30 % des embauches. 80 % des recrutements ont été réalisés à partir du bac+2.
Par ailleurs, par sa démographie et sa politique de recrutement (promotion interne, politique active pour l’alternance), le secteur offre de réelles opportunités pour les jeunes. 60 % des personnes recrutées en 2016 avaient moins de 30 ans et 1 embauche sur 4 s’est faite en alternance.
Ce référentiel présente les principaux acteurs du secteur, les enjeux et les évolutions marquantes, ainsi que 16 fiches métiers.
Les difficultés de recrutement depuis la reprise de l'activité en 2021France Travail
Après l’allègement des restrictions sanitaires, la reprise de l’activité s’est accompagnée mi 2021 de nombreux projets de recrutement et de difficultés de recrutement. 6 recruteurs sur 10 n’avaient pas achevé l’ensemble de leurs recrutements fin septembre, et les perspectives d’embauches pour la fin d’année 2021 restent élevées, notamment dans la santé et la construction.
Etude Apec - Baromètre des intentions de recrutement et de mobilité des cadre...Apec
Au 1er trimestre 2021, les entreprises sont légèrement plus nombreuses à avoir recruté des cadres qu'au trimestre précédent
Pour le 2e trimestre 2021, la perspective d’une sortie de crise ne suffit pas à stimuler les intentions de recrutement face à l’incertitude
Côté cadres, les projets de mobilité stagnent au global mais repartent à la hausse pour les plus jeunes
Etude Apec - 5 enjeux pour l'emploi cadre en 2022, février 2022Apec
Synthèse prospective réalisée à partir des résultats des études réalisées par l'Apec en 2021 ainsi que l'étude Pratiques et difficultés de recherche des cadres seniors demandeurs d’emploi, Apec-Pôle emploi, publiée en janvier 2022.
Les demandeurs d'emploi bénéficiaires d'une reconnaissance de handicap en 2020France Travail
En 2020, 41% des demandeurs d’emploi ayant une reconnaissance de handicap bénéficient d’un accompagnement spécialisé par Cap Emploi ou renforcé par Pôle emploi.
30% des demandeurs d’emploi ayant une reconnaissance administrative de handicap accèdent à l’emploi au cours de l’année qui suit leur inscription.
Etude Apec - Crise sanitaire et offres d'emploi cadre en 2020 : secteur de la...Apec
- En 2020, les offres d’emploi cadre dans la santé et l’action sociale ont été aussi nombreuses qu’en 2019, à l’inverse des autres secteurs qui ont connu une forte baisse
- Les métiers de la médecine et de l’encadrement médical, social et paramédical sont restés les plus recherchés en 2020
Etude Apec - La promotion interne de salariés au statut de cadre : une pratiq...Apec
Une étude de l'Apec réalisée à partir des promotions internes au statut de cadre de 2013.
La promotion interne peut intervenir à tout moment dans la carrière d’un salarié. Elle est néanmoins plus fréquente entre 30 et 45 ans (59 % des promotions internes), et peut être utilisée comme une reconnaissance d’expertise, comme c’est le cas dans le secteur de la construction, ou encore comme un moyen de fidélisation des salariés.
Pour les salariés âgés de moins de 30 ans, la promotion
interne au statut de cadre représente souvent une confirmation professionnelle après une période probatoire sur un poste. C’est une pratique répandue dans la distribution généraliste, les activités juridiques-comptables-conseil et dans la communication-médias.
En revanche, s’agissant des salariés âgés de 45 ans et plus, la promotion interne au statut de cadre intervient souvent pour reconnaître un parcours professionnel, notamment lorsque l’ancienneté est importante dans l’entreprise.
Les cadres seniors demandeurs d'emploi : pratiques et difficultés de recherch...France Travail
Fin janvier 2021 un peu plus de 100 000 demandeurs d’emploi seniors (55 ans ou plus) recherchaient un emploi cadre. La perte d’emploi est une épreuve pour ces cadres seniors qui présentent des parcours professionnels variés et plutôt linéaires pour la moitié d’entre eux. Cette privation d’emploi souvent mal vécue ne favorise pas le deuil de l’emploi perdu nécessaire à un repositionnement professionnel sur le marché de l’emploi cadre. Mais ils sont surtout confrontés à une discrimination à l’embauche ayant trait à leur âge.
À leur entrée au chômage le poste recherché est souvent en miroir de l’emploi perdu. Or un nombre important de cadres seniors sont amenés à revoir à la baisse leurs critères de recherche d’emploi avec l’allongement du chômage. Leurs pratiques variées de recherche d’emploi montre une diversité de comportements face au chômage et à l’horizon de la retraite.
Leurs démarches de recherche d’emploi sont le plus souvent diversifiées et intenses. Ils sont aussi nombreux à avoir recours aux prestations d’accompagnement.
Pour favoriser le retour à l’emploi des cadres seniors différents leviers sont ainsi identifiés.
Dans le prolongement du plan 1 jeune, 1 solution, le gouvernement entend proposer aux jeunes les plus éloignés de l’emploi, un accompagnement profondément renouvelé avec un objectif d’entrée plus rapide dans l’emploi.
L'accès à l'emploi des demandeurs d'emploi inscrits à Pôle emploi mesuré en s...France Travail
Au cours des 6 mois suivant leur inscription en mars 2021, 44 % des demandeurs d’emploi accèdent à un emploi d’un mois ou plus. Vingt-quatre mois après leur inscription en septembre 2019, 72% des demandeurs d’emploi accèdent à un emploi d’un mois ou plus.
Etude Apec - Baromètre Apec du 1er trimestre 2022, janvier 2022Apec
Au dernier trimestre 2021, de nombreux recrutements ont été engagés mais pas toujours finalisés
Au 1er trimestre 2022, les recrutements devraient encore progresser dans les grandes structures… sous réserve de surmonter les difficultés de recrutement
Côté cadres, les projets de mobilité à 12 mois restent élevés mais ne progressent pas, ce qui pourrait amplifier la tension sur le marché
Etude Apec - Femmes cadres et crise sanitaire, septembre 2021Apec
- Les femmes cadres évoluent dans des environnements familiaux et de travail qui ne favorisent pas toujours leur évolution professionnelle.
- L'écart de rémunération entre femmes et hommes cadres non seulement ne se réduit pas en 2020, mais au contraire s'est accru.
- Au-delà des questions de rémunération, la crise sanitaire, notamment avec l’extension du télétravail, a creusé certaines inégalités.
Etude Apec - Baromètre 2020 de la rémunération des cadresApec
Etude publiée en septembre 2020.
- La rémunération brute annuelle médiane des cadres (fixe + variable) s’est stabilisée à 50 000 euros fin 2019, après deux années consécutives d’augmentation.
- La crise de 2020 devrait avoir un impact sur les composantes variables de la rémunération
- Les changements de trajectoires auront aussi un effet en 2020 sur les rémunérations
Etude Apec - Baromètre Apec du 3e trimestre 2021Apec
- Le redémarrage des recrutements de cadres s’est confirmé au 2e trimestre 2021, alimenté par le rebond de l’activité
- L’horizon continue de se dégager et se traduit par une hausse des intentions de recrutement pour le 3e trimestre 2021 dans les services à forte valeur ajoutée, place forte de l’emploi cadre
- Côté cadres, les intentions de mobilité externe restent stables mais la perspective d’un changement d’entreprise redevient attractive
Etude Apec - Baromètre 2022 de l'insertion des jeunes diplômés, avril 2022Apec
Le taux d'emploi des jeunes diplômés ne retrouve pas totalement son niveau d'avant-crise.
Une qualité d’insertion en demi-teinte par rapport à l’avant-crise.
L’alternance devient une voie d’accès importante à l’emploi.
Pour les jeunes diplômés, le statut de cadre garde son sens.
Etude Apec - Baromètre 2019 de l'insertion professionnelle des jeunes diplômésApec
Au global, les jeunes diplômés 2017 (bac +5 et plus) se sont insérés encore plus rapidement et dans de meilleures conditions que les promotions précédentes :
- La part des jeunes diplômés en emploi 6 mois après leur diplôme progresse (76 %, +6 points).
- Le taux d’emploi à 12 mois reste élevé (85 %, +2 points).>
Les jeunes diplômés en poste 12 mois après l’obtention de leur diplôme sont plus souvent cadres (62 %, +3 points) et en CDI (68 %, +6 points) que les promotions précédentes.
En revanche, les écarts se renforcent entre filières et certains profils connaissent plus de difficultés :
- Le taux d’emploi à 12 mois reste plus élevé dans les filières scientifiques et économiques et les écarts avec d’autres filières se creusent : par exemple, 88 % en droit, économie, gestion (+4 points) contre 81 % en sciences humaines et sociales (-7 points).
- Les jeunes à la recherche d’un emploi ne partagent pas le sentiment général d’amélioration : leur optimisme sur leurs perspectives est en baisse (61 %, -7 points).
Etude Apec - Crise sanitaire et offres d'emploi cadre en 2020 : secteur du co...Apec
- Dans le conseil et la gestion des entreprises, l’activité a chuté pendant le 1er confinement mais a retrouvé sa vitalité fin 2020
- Les effets du recul de l’activité au printemps sur les offres d’emploi cadre ont été considérables mais partiellement résorbés en fi n d’année
- Les métiers du développement et de la gestion de projets informatiques sont restés les plus recherchés en 2020
Etude Apec - Crise sanitaire et offres d'emploi cadre en 2020 : secteur de la...Apec
- Dans la banque et les assurances, l’activité a chuté en 2020 à la suite du 1er confinement et a été affectée de manière plus modérée par le second
- L'impact des pertes d’activité du 2e trimestre 2020 sur les offres d’emploi cadre a été conséquent et était toujours visible en fin d’année
- Les profils de cadres commerciaux sont restés les plus recherchés en 2020
Etude Apec - Baromètre de la rémunération des cadres, septembre 2021Apec
En 2020, les augmentations se sont faites plus rares et la rémunération des cadres est restée stable
La crise a ralenti la progression salariale des jeunes cadres
La rémunération des cadres restés dans leur entreprise a stagné
Les cadres qui ont changé d’entreprise ont pu tirer leur épingle du jeu malgré la crise
En 2021, les cadres ont ajusté leurs attentes en matière d’augmentation salariale, mais ils restent confiants pour la suite
Etude Apec/OEMA - Référentiel des métiers de l'assuranceApec
L’Apec et l’Observatoire de l’évolution des métiers de l’assurance (OEMA) publient un référentiel des métiers cadres afin de mieux appréhender l’évolution des compétences requises par le secteur dans les années à venir.
Le secteur compte 146 000 collaborateurs dont la moitié de cadres. L’assurance est très féminisée : 6 collaborateurs sur 10 sont des femmes. Les recrutements concernent majoritairement la gestion des contrats/prestations et la distribution et le développement commercial. Les cadres constituent 30 % des embauches. 80 % des recrutements ont été réalisés à partir du bac+2.
Par ailleurs, par sa démographie et sa politique de recrutement (promotion interne, politique active pour l’alternance), le secteur offre de réelles opportunités pour les jeunes. 60 % des personnes recrutées en 2016 avaient moins de 30 ans et 1 embauche sur 4 s’est faite en alternance.
Ce référentiel présente les principaux acteurs du secteur, les enjeux et les évolutions marquantes, ainsi que 16 fiches métiers.
Les difficultés de recrutement depuis la reprise de l'activité en 2021France Travail
Après l’allègement des restrictions sanitaires, la reprise de l’activité s’est accompagnée mi 2021 de nombreux projets de recrutement et de difficultés de recrutement. 6 recruteurs sur 10 n’avaient pas achevé l’ensemble de leurs recrutements fin septembre, et les perspectives d’embauches pour la fin d’année 2021 restent élevées, notamment dans la santé et la construction.
Etude Apec - Baromètre des intentions de recrutement et de mobilité des cadre...Apec
Au 1er trimestre 2021, les entreprises sont légèrement plus nombreuses à avoir recruté des cadres qu'au trimestre précédent
Pour le 2e trimestre 2021, la perspective d’une sortie de crise ne suffit pas à stimuler les intentions de recrutement face à l’incertitude
Côté cadres, les projets de mobilité stagnent au global mais repartent à la hausse pour les plus jeunes
Etude Apec - 5 enjeux pour l'emploi cadre en 2022, février 2022Apec
Synthèse prospective réalisée à partir des résultats des études réalisées par l'Apec en 2021 ainsi que l'étude Pratiques et difficultés de recherche des cadres seniors demandeurs d’emploi, Apec-Pôle emploi, publiée en janvier 2022.
Les demandeurs d'emploi bénéficiaires d'une reconnaissance de handicap en 2020France Travail
En 2020, 41% des demandeurs d’emploi ayant une reconnaissance de handicap bénéficient d’un accompagnement spécialisé par Cap Emploi ou renforcé par Pôle emploi.
30% des demandeurs d’emploi ayant une reconnaissance administrative de handicap accèdent à l’emploi au cours de l’année qui suit leur inscription.
Etude Apec - Crise sanitaire et offres d'emploi cadre en 2020 : secteur de la...Apec
- En 2020, les offres d’emploi cadre dans la santé et l’action sociale ont été aussi nombreuses qu’en 2019, à l’inverse des autres secteurs qui ont connu une forte baisse
- Les métiers de la médecine et de l’encadrement médical, social et paramédical sont restés les plus recherchés en 2020
Etude Apec - La promotion interne de salariés au statut de cadre : une pratiq...Apec
Une étude de l'Apec réalisée à partir des promotions internes au statut de cadre de 2013.
La promotion interne peut intervenir à tout moment dans la carrière d’un salarié. Elle est néanmoins plus fréquente entre 30 et 45 ans (59 % des promotions internes), et peut être utilisée comme une reconnaissance d’expertise, comme c’est le cas dans le secteur de la construction, ou encore comme un moyen de fidélisation des salariés.
Pour les salariés âgés de moins de 30 ans, la promotion
interne au statut de cadre représente souvent une confirmation professionnelle après une période probatoire sur un poste. C’est une pratique répandue dans la distribution généraliste, les activités juridiques-comptables-conseil et dans la communication-médias.
En revanche, s’agissant des salariés âgés de 45 ans et plus, la promotion interne au statut de cadre intervient souvent pour reconnaître un parcours professionnel, notamment lorsque l’ancienneté est importante dans l’entreprise.
Les cadres seniors demandeurs d'emploi : pratiques et difficultés de recherch...France Travail
Fin janvier 2021 un peu plus de 100 000 demandeurs d’emploi seniors (55 ans ou plus) recherchaient un emploi cadre. La perte d’emploi est une épreuve pour ces cadres seniors qui présentent des parcours professionnels variés et plutôt linéaires pour la moitié d’entre eux. Cette privation d’emploi souvent mal vécue ne favorise pas le deuil de l’emploi perdu nécessaire à un repositionnement professionnel sur le marché de l’emploi cadre. Mais ils sont surtout confrontés à une discrimination à l’embauche ayant trait à leur âge.
À leur entrée au chômage le poste recherché est souvent en miroir de l’emploi perdu. Or un nombre important de cadres seniors sont amenés à revoir à la baisse leurs critères de recherche d’emploi avec l’allongement du chômage. Leurs pratiques variées de recherche d’emploi montre une diversité de comportements face au chômage et à l’horizon de la retraite.
Leurs démarches de recherche d’emploi sont le plus souvent diversifiées et intenses. Ils sont aussi nombreux à avoir recours aux prestations d’accompagnement.
Pour favoriser le retour à l’emploi des cadres seniors différents leviers sont ainsi identifiés.
Dans le prolongement du plan 1 jeune, 1 solution, le gouvernement entend proposer aux jeunes les plus éloignés de l’emploi, un accompagnement profondément renouvelé avec un objectif d’entrée plus rapide dans l’emploi.
L'accès à l'emploi des demandeurs d'emploi inscrits à Pôle emploi mesuré en s...France Travail
Au cours des 6 mois suivant leur inscription en mars 2021, 44 % des demandeurs d’emploi accèdent à un emploi d’un mois ou plus. Vingt-quatre mois après leur inscription en septembre 2019, 72% des demandeurs d’emploi accèdent à un emploi d’un mois ou plus.
Etude Apec - Baromètre Apec du 1er trimestre 2022, janvier 2022Apec
Au dernier trimestre 2021, de nombreux recrutements ont été engagés mais pas toujours finalisés
Au 1er trimestre 2022, les recrutements devraient encore progresser dans les grandes structures… sous réserve de surmonter les difficultés de recrutement
Côté cadres, les projets de mobilité à 12 mois restent élevés mais ne progressent pas, ce qui pourrait amplifier la tension sur le marché
Etude Apec - Femmes cadres et crise sanitaire, septembre 2021Apec
- Les femmes cadres évoluent dans des environnements familiaux et de travail qui ne favorisent pas toujours leur évolution professionnelle.
- L'écart de rémunération entre femmes et hommes cadres non seulement ne se réduit pas en 2020, mais au contraire s'est accru.
- Au-delà des questions de rémunération, la crise sanitaire, notamment avec l’extension du télétravail, a creusé certaines inégalités.
Etude Apec - Baromètre 2020 de la rémunération des cadresApec
Etude publiée en septembre 2020.
- La rémunération brute annuelle médiane des cadres (fixe + variable) s’est stabilisée à 50 000 euros fin 2019, après deux années consécutives d’augmentation.
- La crise de 2020 devrait avoir un impact sur les composantes variables de la rémunération
- Les changements de trajectoires auront aussi un effet en 2020 sur les rémunérations
Etude Apec - Baromètre Apec du 3e trimestre 2021Apec
- Le redémarrage des recrutements de cadres s’est confirmé au 2e trimestre 2021, alimenté par le rebond de l’activité
- L’horizon continue de se dégager et se traduit par une hausse des intentions de recrutement pour le 3e trimestre 2021 dans les services à forte valeur ajoutée, place forte de l’emploi cadre
- Côté cadres, les intentions de mobilité externe restent stables mais la perspective d’un changement d’entreprise redevient attractive
Etude Apec - Baromètre 2022 de l'insertion des jeunes diplômés, avril 2022Apec
Le taux d'emploi des jeunes diplômés ne retrouve pas totalement son niveau d'avant-crise.
Une qualité d’insertion en demi-teinte par rapport à l’avant-crise.
L’alternance devient une voie d’accès importante à l’emploi.
Pour les jeunes diplômés, le statut de cadre garde son sens.
Etude Apec - Baromètre 2019 de l'insertion professionnelle des jeunes diplômésApec
Au global, les jeunes diplômés 2017 (bac +5 et plus) se sont insérés encore plus rapidement et dans de meilleures conditions que les promotions précédentes :
- La part des jeunes diplômés en emploi 6 mois après leur diplôme progresse (76 %, +6 points).
- Le taux d’emploi à 12 mois reste élevé (85 %, +2 points).>
Les jeunes diplômés en poste 12 mois après l’obtention de leur diplôme sont plus souvent cadres (62 %, +3 points) et en CDI (68 %, +6 points) que les promotions précédentes.
En revanche, les écarts se renforcent entre filières et certains profils connaissent plus de difficultés :
- Le taux d’emploi à 12 mois reste plus élevé dans les filières scientifiques et économiques et les écarts avec d’autres filières se creusent : par exemple, 88 % en droit, économie, gestion (+4 points) contre 81 % en sciences humaines et sociales (-7 points).
- Les jeunes à la recherche d’un emploi ne partagent pas le sentiment général d’amélioration : leur optimisme sur leurs perspectives est en baisse (61 %, -7 points).
Etude Apec - Baromètre 2020 de l'insertion des jeunes diplômésApec
Etude publiée en mai 2020.
- L’insertion des jeunes diplômés de niveau Bac +5 et plus de la promotion 2018 s’est bien réalisée, dans le contexte positif et stable antérieur au déclenchement de la crise sanitaire.
- Cependant, de nombreux points de fragilité persistent pour certains jeunes diplômés.
- Avec la crise sanitaire, les jeunes diplômés feront face à des difficultés accrues.
L'accès à l'emploi des demandeurs d'emploi inscrits à Pôle emploi mesuré en s...France Travail
Parmi les demandeurs d’emploi inscrits en mars 2020, 45,3% accèdent à un emploi d’un mois ou plus au cours des 6 mois suivant leur entrée sur les listes.
12 mois après avoir obtenu un diplôme Bac +3 ou plus, les jeunes diplômés de la promotion 2015 sont 82 % à être en emploi, et 92 % à avoir déjà occupé un premier emploi. Le niveau d’insertion des diplômés Bac +3 ou 4 par rapport aux Bac +5 et plus est proche, mais les conditions d’emploi de ces deux populations diffèrent sensiblement. Cette étude présente un bilan des conditions d’emploi de ces jeunes, de leurs évolutions depuis le premier emploi, ainsi que des éléments sur la recherche d’emploi.
Situation d’ensemble des diplômés de la promotion 2014 ; Les conditions d’emploi ; Le parcours des jeunes diplômés depuis leur entrée sur le marché de l’emploi.
La situation des jeunes diplômés deux ans après leur diplôme est stable. Cette année encore, ils sont 86 % à être en emploi, et 98 % à avoir déjà occupé un premier emploi.
Une certaine dégradation des conditions d’emploi se fait sentir, mais tous ne sont pas concernés au même niveau. Ce sont surtout les jeunes en CDD qui sont touchés par des rémunérations en baisse. L’étude du parcours de ces diplômés les montre souvent engagés dans un parcours professionnel peu stable et entrecoupé de périodes sans activité professionnelle, et ce depuis la fin de leurs études, tandis que les diplômés bénéficiant d’un CDI ont connu une trajectoire beaucoup moins chaotique.
La 2e édition du baromètre annuel Apec Jeunes diplômés montre clairement que les conditions d’emploi des diplômés de la promotion 2016 se sont améliorées par rapport aux diplômés de 2015 : CDI, statut cadre et rémunérations sont en hausse.
L'accès à l'emploi des demandeurs d'emploi inscrits à Pôle emploi mesuré en j...France Travail
Au cours des 6 mois suivant leur inscription en décembre 2019, 37,5 % des demandeurs d’emploi accèdent à un emploi d’un mois ou plus. Douze mois après leur inscription, en juin 2020, 53% ont accédé à un emploi d’un mois ou plus.
Une étude de l'Apec sur la situation professionnelles des diplômés de 2013, deux ans après l'obtention de leur diplôme.
- Situation d’ensemble des diplômés de la promotion 2013
- Les conditions d’emploi
- La recherche d’emploi
La majorité des jeunes diplômés de 2013 est en emploi, et presque tous ont déjà occupé un emploi depuis la fin des études.
Chez les jeunes diplômés en recherche d’emploi, un certain regain d’optimisme se manifeste.
L'accès à l'emploi des demandeurs d'emploi inscrits à Pôle emploi mesuré en j...France Travail
Parmi les demandeurs d’emploi inscrits en décembre 2020, 44% accèdent à un emploi d’un mois ou plus au cours des 6 mois suivant leur entrée sur les listes. Le taux d’accès à l’emploi durable six mois après l’inscription est de 30%.
- Situation professionnelle de la promotion 2015 "bac + 5 et plus", 2 ans après le diplôme
– Les conditions d’emploi (CDI, statut cadre, rémunération...)
– La recherche d’emploi
Similaire à Etude Apec - Baromètre 2021 de l'insertion des jeunes diplômés (20)
Etude Apec - Perception du télétravail par les cadres, décembre 2022Apec
Sous l’effet des confinements successifs liés au Covid-19, le télétravail des cadres s’est durablement imposé.
Aujourd’hui, deux tiers des cadres télétravaillent de manière régulière, au moins un jour par semaine.
Si les cadres sont très majoritairement satisfaits de pouvoir télétravailler, de nouveaux questionnements se font jour en matière de qualité de vie au travail. En effet, en dépit de ses nombreux impacts positifs, le télétravail ne répond pas à lui seul aux fortes aspirations des cadres sur ce sujet.
Etude Apec - Reconversion professionnelle des cadres, décembre 2022Apec
Des projets rarement radicaux
Des projets qui répondent à 6 grands moteurs :
- La reconnexion à une passion ;
- La quête de sens ;
- La nécessité de rebondir ;
- Le désir de promotion sociale ;
- La recherche de meilleures conditions de travail ou de vie ;
- L’envie d’un second souffle.
Des projets qui nécessitent un accompagnement spécifique
Etude Apec - Le rôle des managers dans les recrutements, décembre 2022Apec
Les difficultés de recrutement, de cadres comme de non-cadres, ont atteint en 2022 des niveaux d’intensité très élevés. Dans ce contexte, mieux comprendre comment les recrutements s’organisent concrètement dans les entreprises revêt un enjeu important.
À ce titre, le rôle des cadres managers est crucial : ils définissent leurs besoins de recrutement dans leur équipe, rencontrent les candidats et sont au coeur de la décision finale. Comprendre plus finement le rôle des managers dans les processus d’embauche et les interactions avec les RH peut ainsi permettre de définir des leviers afin d’optimiser les processus de recrutement.
Etude Apec- La relation des cadres à leur entreprise, novembre 2022Apec
- Les cadres sont globalement investis et attachés à leur entreprise et se sentent considérés en retour
- Les cadres s’interrogent toutefois sur leur degré d’investissement et aspirent à un meilleur équilibre
- Dans une optique de fidélisation, la relation gagne à être nourrie par des actions fortes en matière d’évolution professionnelle et des pratiques favorisant la qualité de vie au travail
Etude Apec - Bac + 6 et plus : quelles opportunités d'emploi cadre dans les e...Apec
Cette étude repose sur les offres d’emploi cadre publiées sur apec.fr par des entreprises du secteur privé entre le premier semestre 2019 et le premier semestre 2022. L’analyse de la répartition des offres par secteur, par région, par type de contrat, par fonction, par famille de métiers tient compte de celles publiées au 1e semestre 2022 uniquement.
Etude Apec - Les salaires des cadres dans 111 familles de métiers - édition 2...Apec
Le salaire médian des cadres en poste (salaire fixe + part variable) s’établit à 51 k€ : la moitié des cadres perçoit un salaire annuel brut inférieur à ce montant et l’autre moitié un salaire supérieur
Les salaires des cadres varient fortement selon la famille de métiers
Le document propose pour 111 familles de métiers une fiche détaillée sur la rémunération
Etude Apec - Difficultés de recrutement de cadres par région et par fonction,...Apec
La dynamique du marché de l’emploi cadre devrait se poursuivre en 2022
Pour satisfaire leurs besoins en compétences cadres, les entreprises font face à des tensions très élevées
De leur côté, les cadres ont conscience que la dynamique du marché de l’emploi leur est particulièrement favorable et affichent leur confiance
Etude Apec - Pratiques managériales 2022, octobre 2022Apec
Les managers ont commencé à faire évoluer leurs pratiques pour répondre à de nouvelles attentes
Ces transformations peuvent mettre les managers face à des dilemmes et accentuer leur sentiment d’être débordés
Les managers souhaitent le rester et la fonction de manager reste une aspiration pour une majorité des jeunes cadres non-managers
Etude Apec - Démissions précoces de cadres, octobre 2022Apec
La majorité des cadres considèrent qu’une démission précoce peut être pénalisante
Pour autant, près d’un quart des cadres a déjà démissionné de façon précoce
Les cadres avancent deux motifs principaux aux démissions précoces : une opportunité dans une autre entreprise et un hiatus entre promesse employeur et réalité vécue du poste
Alimenter la promesse employeur au-delà de l’embauche : un enjeu clé pour la durabilité des recrutements
Etude Apec - Marché de l'emploi cadre dans l'informatique, septembre 2022Apec
En 2021, le marché de l’emploi cadre a retrouvé sa vitalité, ce qui a particulièrement profité aux cadres informaticiens
Les recrutements de cadres informaticiens sont fortement concentrés en Île-de-France et dans les activités informatiques
Pour 2022, la dynamique de fond devrait se poursuivre, notamment pour les métiers du développement informatique
- Selon les définitions de l’Observatoire national des emplois et métiers de l’économie verte, ce sont aujourd’hui 4,4 millions de personnes qui occupent des métiers dits « verts » ou « verdissants », dont près de 800 000 cadres du privé
- Sous l’effet de la transition écologique, le verdissement des emplois va s’amplifier dans de nombreuses activités et entreprises, notamment pour intégrer des modes de production et de consommation moins énergivores et plus durables
- Le développement de l’économie verte nécessite la maîtrise de compétences pointues dans les métiers « verts » et aussi la montée en compétences liée au verdissement
Etude Apec - Baromètre Apec 3e trimestre 2022.pdfApec
Au 2e trimestre 2022, les offres d’emploi sont restées dynamiques et les difficultés à recruter se sont encore intensifiées
Pour le 3e trimestre 2022, les entreprises tempèrent leurs intentions de recrutement de cadres face à l’incertitude économique
Côté cadres, les projets professionnels ne sont pas affectés à ce stade par les inquiétudes vis-à-vis de la situation économique
Etude Apec - Focus sur la rémunération des jeunes cadres, juin 2022Apec
En 2021, les jeunes cadres ont renoué avec des augmentations fréquentes
Ces augmentations font la part belle à la mobilité interne…
… mais n’ont pas permis de réduire les disparités en matière de salaire chez les jeunes cadres entre femmes et hommes
Dans un contexte de fortes tensions géopolitiques et inflationnistes, les perspectives 2022 pour la rémunération des jeunes cadres restent favorables, mais nourrissent une insatisfaction grandissante
Etude Apec - Baromètre 2022 de la rémunération des cadres, juin 2022Apec
La part des cadres ayant bénéficié d’une augmentation en 2021 retrouve presque le niveau d’avant-crise
Les inégalités salariales entre les femmes et les hommes cadres persistent
Dans un contexte de fortes tensions géopolitiques et inflationnistes, la part des cadres augmentés devrait croître en 2022, ainsi que celle des cadres insatisfaits en matière de salaire
En 2021, 7 000 offres d’emploi cadre ont été publiées sur apec.fr dans le champ de la cybersécurité
La cybersécurité en Bretagne : un écosystème riche et dynamique
Une grande diversité de profils sont recherchés par les entreprises
Ces profils sont difficiles à recruter
Etude Apec - Pratiques de recrutements des cadres 2022, juin 2022Apec
Avec le rebond en 2021 des volumes d’embauches de cadres, les difficultés de recrutement se sont intensifiées
Dans ce contexte de concurrence plus vive, les entreprises déploient des stratégies de sourcing plus proactives
Pour concrétiser leurs recrutements, les entreprises commencent à assouplir leurs critères de sélection et renforcent leur promesse employeur
Etude Apec - Recrutements de cadres en 2022 - prévisions Apec révisées, avril...Apec
Les prévisions de recrutements de cadres pour 2022, bien que légèrement minorées du fait des répercussions liées à la guerre en Ukraine, resteraient bien orientées.
Les prévisions 2022 des recrutements de cadres sont basées sur le déclaratif des 8000 entreprises interrogées dans le « panel » Apec, une enquête annuelle, et révisées par des éléments prenant en compte notamment les premiers impacts liés à la guerre en Ukraine.
Etude Apec - Baromètre Apec du 2e trimestre 2022, avril 2022Apec
Au 1er trimestre 2022, les entreprises ont été plus nombreuses à recruter des cadres malgré des difficultés de production (absences liées au Covid-19, difficultés d’approvisionnent) et de recrutement.
L’incertitude liée à la guerre en Ukraine et ses impacts affecte la confiance des entreprises et entraîne un fléchissement relatif des intentions de recrutement dans les PME et les grandes entreprises.
Côté cadres, le marché jugé plus favorable incite à être davantage à l’écoute des opportunités.
Etude Apec - Attractivité des entreprises et emplois cadres en Guadeloupe, no...Apec
Ce document revient sur les spécificités économiques en Guadeloupe. Il aborde les difficultés et les enjeux du recrutement de cadres sur ce territoire et propose des pistes d'action pour les entreprises.
Etude Apec - Attractivité des entreprises et emplois cadres en Guadeloupe, no...
Etude Apec - Baromètre 2021 de l'insertion des jeunes diplômés
1. TRAJECTOIRES
PARCOURS & INÉGALITÉS
Baromètre 2021 de
l’insertion des jeunes
diplômé·e·s
La promotion 2019
frappée par la crise
En janvier 2021, un quart des diplômé·e·s Bac +5 de la promotion
2019 sont en recherche d’emploi
→ La recherche d’emploi des diplômé·e·s 2019 s’est complexifiée face à la dégradation du
marché de l’emploi sous l’effet de la crise sanitaire.
→ Dans un contexte incertain, certains jeunes toujours sans emploi se retrouveront en
concurrence avec les diplômé·e·s de la promotion 2020 qui arrivent sur le marché du
travail, et bientôt la promotion 2021.
L’insertion des jeunes diplômé·e·s s’est très nettement dégradée en
un an
→ 69 % des jeunes diplômé·e·s Bac +5 de la promotion 2019 étaient en emploi 12 mois
après l’obtention de leur diplôme contre 85 % de la promotion 2018, soit une chute de 16
points du taux d’emploi.
→ Les postes obtenus sont également plus précaires : 59 % des jeunes en emploi ont
obtenu un CDI, soit 10 points de moins en un an.
→ Les diplômé·e·s de fin d’année (d’octobre à décembre 2019) ont un parcours d’insertion
plus difficile que celles et ceux qui ont obtenu leur diplôme plus tôt.
→ Les disciplines de formation continuent de jouer un rôle clé dans l’insertion
professionnelle. L’écart d’insertion entre les diplômé·e·s de sciences technologiques et
les diplômé·e·s en lettre-langues-art atteint 21 points.
Les jeunes diplômé·e·s toujours en recherche d’emploi apparaissent
particulièrement pessimistes
→ Les jeunes diplômé·e·s acceptent davantage de concessions (contrats courts, baisse
de la rémunération…) qu’auparavant pour obtenir un emploi.
→ Les jeunes diplômé·e·s de la promotion 2019 toujours en recherche d’emploi
apparaissent très inquiets : 56 % sont pessimistes quant à leur recherche d’emploi, soit
une hausse de 15 points en un an, et le plus fort taux jamais enregistré sur cinq vagues
d’interrogation.
Mai 2021
2. 2 — Baromètre 2021 de l’insertion des jeunes diplômé·e·s
01 02
03 04
Début 2021, une part importante
des jeunes diplômé·e·s de la
promotion 2019 sont encore en
recherche d’emploi
La crise a également dégradé
la qualité de l’insertion des
jeunes diplômé·e·s
Principaux éléments
statistiques sur l’emploi
occupé
L’insertion des jeunes
diplômé·e·s s’est très
nettement dégradée en un an
Sommaire
Méthodologie
Cette 5e
vague du baromètre Apec de l’insertion
des jeunes diplômé·e·s repose sur l’interrogation de
1 000 jeunes diplômé·e·s de niveau Bac +5 ou plus
et de 500 jeunes diplômé·e·s de niveau Bac +3/4,
âgé·e·s de 20 à 30 ans au moment de l’enquête,
ayant obtenu leur diplôme en 2019 et résidant en
France métropolitaine. Seul·e·s les diplômé·e·s ayant
terminé leurs études supérieures et étant soit en
emploi, soit en recherche d’emploi 12 mois après
l’obtention de leur diplôme, étaient éligibles pour
l’interrogation.
Les deux échantillons (Bac +3/4 et Bac +5) sont
structurés selon des quotas par sexe, discipline de
formation1
et type d’établissement, et redressés sur
ces mêmes critères, afin d’être représentatifs de
la population de jeunes sortant de l’enseignement
supérieur. La structuration de l’échantillon est iden-
tique aux vagues précédentes.
Le questionnaire porte sur la situation profes-
sionnelle des jeunes diplômé·e·s telle qu’elle était,
exactement 6 et 12 mois après l’obtention de leur
diplôme, ainsi que sur leur situation début janvier
2021.
Le terrain en ligne a été mené entre le 18 janvier et
le 16 février 2021 par l’institut Potloc, le recrutement
des répondants ayant été mené sur les réseaux
sociaux.
1
Toutes les disciplines sont représentées dans l’échantillon, sauf le doctorat en médecine et les masters en ESPE (École supérieure
du professorat et de l’éducation) menant aux carrières d’enseignant dans l’Éducation nationale.
3. Baromètre 2021 de l’insertion des jeunes diplômé·e·s — 3
En janvier 2021, 72 % des jeunes diplômé·e·s
Bac +5 de la promotion 2019 occupent un
emploi (un emploi salarié pour 68 %). Un
quart d’entre eux sont sans emploi, en
recherche d’un emploi 1 .
La situation des jeunes diplômé·e·s de
2019 qui sont toujours en recherche
d’emploi début 2021 pourrait encore se
complexifier. Certains se retrouvent en
concurrence avec celles et ceux de la pro-
motion 2020, déjà arrivé·e·s sur le marché
de l’emploi, ou bientôt avec la promotion
2021. Cela pourrait compliquer leur situa-
tion, en particulier pour celles et ceux
recherchant leur premier emploi.
01. Début 2021, une part importante des
jeunes diplômé·e·s de la promotion 2019
sont encore en recherche d’emploi
1 Situation professionnelle début 2021
(au moment de l'interrogation) des jeunes
diplômé·e·s de la promotion 2019
Base : Ensemble des jeunes diplômé·e·s de niveau Bac+5 et plus
Source : Apec, 2021
Les diplômé·e·s Bac +3/4
Lors de l’enquête début 2021, 71 % des jeunes sortis en 2019 de l’enseignement supé-
rieur avec un diplôme de niveau Bac +3 ou 4 sont en emploi (69 % ont un emploi
salarié). Ils sont 19 % à ne pas être en emploi et à en rechercher un. 6 % ont repris
un parcours de formation et 4 % ne sont ni emploi, ni en recherche d’emploi, ni en
formation.
68%
72%
4%
2%
25%
1%
En emploi
En emploi salarié
En emploi
non salarié
Ont repris une
formation
Sans emploi
en recherche
d'emploi
Ne recherchent pas
d'emploi pour une
autre raison
4. 4 — Baromètre 2021 de l’insertion des jeunes diplômé·e·s
02. L’insertion des jeunes diplômé·e·s s’est
très nettement dégradée en un an
Une promotion qui s’est moins bien insérée en raison
de la crise sanitaire
En lien avec la situation difficile du mar-
ché de l’emploi depuis le début de la crise
sanitaire, l’accès à l’emploi des diplômé·e·s
2019 est en net recul, après plusieurs années
de stabilité. La part des jeunes diplômé·e·s
ayant déjà connu au moins une expérience
professionnelle dans l’année suivant l’obten-
tion de leur diplôme baisse de 94 % à 86 %
(-8 points) 2 . Ce taux d’insertion à 12 mois
de 86 % est le plus bas enregistré depuis
cinq ans.
Autrement dit, la part des jeunes diplômé·e·s
toujoursenrecherchedeleurpremieremploi
a progressé. Ils sont trois fois plus nombreux
en proportion par rapport à ceux de la pro-
motion précédente : 14 % contre 5 %.
Les jeunes diplômé·e·s de 2019 ont eu plus de
difficultés à trouver un emploi 6 mois après
l’obtention de leur diplôme que ceux de la
promotion précédente : 62 % sont en emploi
à cette échéance, contre 74 % de ceux de
2018 (- 12 points en un an). La part des jeunes
en emploi 12 mois après leur diplôme dimi-
nue également : seul·e·s 69 % des diplômé·e·s
de niveau Bac +5 et plus de la promotion
2019 sont en emploi à ce moment, versus
85 % pour celles et ceux de la promotion
précédente (-16 points).
Non seulement les taux d’emploi à 6 et à 12
mois baissent, mais l’écart entre les deux
se resserre. De 11 points pour la promotion
2018, il est de 7 points pour la promotion 2019.
Autrement dit, alors que 6 mois après leur
diplôme, 62 % des diplômé·e·s 2019 étaient
en emploi, cette part n’a progressé que de 7
points (à 69 %) 6 mois plus tard.
Au global, la baisse plus marquée du taux
d’emploi à 12 mois traduit le fait que celles
et ceux qui n’ont pas trouvé un emploi rapi-
dement (en moins de 6 mois) ont eu plus de
2 Taux d'insertion et d'emploi
Base : Ensemble des jeunes diplômé·e·s de niveau Bac+5 et plus.
Source : Apec, 2021.
TAUX D’INSERTION : part des jeunes diplômé·e·s
ayant déjà connu une expérience professionnelle au
cours des 12 mois suivant l’obtention de leur diplôme.
TAUX D’EMPLOI : part des jeunes diplômé·e·s
en emploi 6 ou 12 mois après l’obtention de
leur diplôme.
92%
81%
64%
70%
76%
74%
62%
83%
85% 85%
69%
94% 94% 94%
86%
Promotion 2015
interrogée
en 2017
Promotion 2016
interrogée
en 2018
Promotion 2017
interrogée
en 2019
Promotion 2018
interrogée
en 2020
Promotion 2019
interrogée
en 2021
Taux d'insertion à 12 mois Taux d'emploi à 12 mois Taux d'emploi à 6 mois
5. Baromètre 2021 de l’insertion des jeunes diplômé·e·s — 5
Les jeunes diplômé·e·s de fin d’année 2019 ont eu plus
de difficultés à s’insérer que les diplomé·e·s avant
septembre 2019
Les jeunes diplômé·e·s de la fin de l’année
2019 ont globalement eu un parcours d’in-
sertion plus difficile que celles et ceux qui ont
obtenuleurdiplômeplustôt.Cecontrasteest
fortementliéauxévénements(crisesanitaire,
conjoncture économique…) et au moment où
ils ont eu à les affronter. Avec une entrée sur
le marché du travail quelques mois avant le
débutdelacrise,lesjeunesayantobtenuleur
diplôme en septembre 2019 ou avant ont eu
plus d’opportunités d’accéder à un emploi
avant le déclenchement de la crise sanitaire
et ont donc connu une insertion moins diffi-
cile que ceux de fin d’année.
Ainsi, 6 mois après l’obtention de leur
diplôme, 66 % des diplômé·e·s de septembre
ou avant occupaient un emploi contre seu-
lement la moitié de celles et ceux de fin
d’année (49 %) 3 . Les diplômé·e·s de fin
d'année, qui représentent plus d’un diplô-
mé sur quatre (27 %) de la promotion 2019,
contribuent vraisemblablement à tirer un
peu vers le bas le taux d’emploi à 6 mois.
En comparant la proportion en emploi des
deux catégories de jeunes diplômé·e·s 12
mois après l’obtention de leur diplôme,
l’écart diminue à 11 points (vs. 17 points à
6 mois).
3 Situation des jeunes diplômé·e·s de niveau Bac
+5 et plus de la promotion 2019
Base : Ensemble des jeunes diplômé·e·s de niveau Bac+5 et plus
Source : Apec, 2021
Les diplômé·e·s Bac +3/4
L’accès à l’emploi à 12 mois est également en retrait pour les jeunes sortis en 2019
de l’enseignement supérieur avec un diplôme de niveau Bac +3 ou 4 : 71 % contre
82 % pour la promotion précédente, soit une baisse de 11 points. L’emploi à 6 mois
décroît aussi, mais dans une moindre mesure (68 % vs 70 %).
difficultés à s’insérer par la suite. Cela les a
pénalisés davantage que dans les promo-
tions précédentes, car les incertitudes liées
à la crise sanitaire ont rapidement limité les
opportunités d’embauche pour les jeunes, et
restreint leur accès à un emploi.
Ensemble
des jeunes
diplômé·e·s
2019
Mois d'obtention du
diplôme
de janvier à
septembre
2019
d'octobre à
décembre
2019
12 mois après
l'obtention
de leur
diplôme
En emploi 69% 72% 61%
Sans
emploi, en
recherche
31% 28% 39%
6 mois après
l'obtention
de leur
diplôme
En emploi 62% 66% 49%
Sans
emploi, en
recherche
30% 25% 44%
6. 6 — Baromètre 2021 de l’insertion des jeunes diplômé·e·s
Les disciplines de formation continuent de jouer un
rôle clé dans l’insertion professionnelle
Les jeunes diplômé·e·s de 2019 en sciences
technologiques (ST) sont les mieux insé-
ré·e·s : 70 % sont en emploi 6 mois après
l’obtention de leur diplôme, et 78 % 12 mois
après (61 % sont toujours dans leur premier
emploi à cette échéance) 4 . Pour ces deux
indicateurs, les taux d’emploi des diplo-
mé·e·s en sciences humaines et sociales
(SHS) et en droit-économie-gestion (DEG)
suivent la tendance générale. En revanche,
les jeunes issus de la filière lettres-langues-
arts (LLA) s’en sortent moins bien que leurs
homologues : à 6 mois, seulement 53 % sont
en emploi et à 12 mois, à peine 6 diplômé·e·s
sur 10 sont inséré·e·s.
Si, dans toutes les disciplines, les taux
d’emploi à 6 mois et à 12 mois des jeunes
diplômé·e·s 2019 marquent un recul par
rapport à la promotion précédente, elles
n’ont pas été touchées au même degré. Les
baisses ont été relativement moins fortes
en ST (-6 points pour le taux à 6 mois et -13
points pour celui à 12 mois) et en SHS (res-
pectivement -10 points et -12 points).
La discipline LLA est celle où les taux d’em-
ploi ont le plus régressé : -20 points pour
celui à 6 mois et -26 points pour celui à
12 mois. Alors que pour la vague précé-
dente, cette filière connaissait une insertion
similaire aux disciplines DEG et SHS, les
diplômé·e·s de 2019 en LLA ont rencontré
plus de difficultés à s’insérer sur le marché
du travail. Ce sont eux qui ont le plus pâti
de la crise.
4 Évolution des taux d'emploi à 12 mois
selon la discipline de formation
Base : Ensemble des jeunes diplômé·e·s de niveau Bac+5 et plus
Source : Apec, 2021
Promotion 2018
interrogée en 2020
Promotion 2019
interrogée en 2021
Ensemble Sciences
fondamentales
(SF)
Sciences tech-
nologiques
(ST)
Droit,
économie,
gestion
(DEG)
Sciences
humaines et
sociales
(SHS)
Lettres,
langues et
arts
(LLA)
85% 86%
91%
84% 84% 84%
57%
72%
69%
78%
67%
69%
7. Baromètre 2021 de l’insertion des jeunes diplômé·e·s — 7
5 Moyen ayant permis d'accéder à l'emploi occupé
Base : Jeunes diplômé·e·s de niveau Bac +5 et plus en emploi 12 mois après l’obtention du diplôme
Source : Apec, 2021
Par rapport à la promotion précédente,
les démarches actives ont davantage permis l’accès
à l’emploi
La réponse à une offre d’emploi reste le
principal canal : elle a permis à plus d’un
tiers des jeunes en emploi de trouver leur
poste, en augmentation de 9 points en un
an 5 .
En revanche, d’autres canaux voient
leur poids s’éroder, notamment ceux qui
impliquent une démarche des entreprises
pour exploiter les CVthèques (14 % vs 6 %,
-8 points), leur vivier de candidatures spon-
tanées (14 % vs 10 %, -4 points) ou encore
les réseaux sociaux sur Internet (7 % vs 4 %,
-3 points).
Les entreprises ont par ailleurs, plus sou-
vent recruté, en proportion, les jeunes
diplômé·e·s déjà présent·e·s dans leur struc-
ture que dans la promotion précédente.
C’est maintenant 25 % des diplômé·e·s qui
indiquent avoir obtenu leur poste suite à
un stage ou un contrat d’alternance, soit
une augmentation de 8 points en un an.
Les entreprises, pour celles qui en ont eu la
possibilité, ont préféré limiter les risques, et
recruter des candidat·e·s qu’elles connais-
saient et qu’elles avaient déjà formé·e·s,
plutôt que de réaliser des embauches en
externe.
Offre
d'emploi
Suite à
un stage
Réseau hors
internet
Candidature
spontanée
Suite à une
alternance
Dépôt de CV
sur internet
Réseaux sociaux
sur internet
Cabinet de
recrutement
Prise de
contact directe :
salon, forum
Concours
Création
d'entreprise
26%
11%
10%
14%
6%
14%
7%
5%
3%
2%
3%
35%
16%
12%
10%
9%
6%
4%
4%
2%
2%
-
Promotion 2018
interrogée en 2020
Promotion 2019
interrogée en 2021
8. 8 — Baromètre 2021 de l’insertion des jeunes diplômé·e·s
03. La crise a également dégradé la qualité
de l’insertion des jeunes diplômé·e·s
Les jeunes diplômé·e·s de 2019 en poste sont
moins souvent en CDI mais l’accès au statut
de cadre reste stable
La dégradation générale de l’insertion et
de l’accès à l’emploi pour la promotion
2019 s’accompagne d’une détérioration
des conditions d’emploi. En effet, sur un
marché de l’emploi peu porteur, les jeunes
diplômé·e·s ont fait le choix, pour être en
poste, d’accepter des conditions d’emploi
qui n’étaient pas toujours conformes à leurs
attentes initiales.
En premier lieu, l’accès à un emploi pérenne
se restreint pour les jeunes diplômé·e·s 2019.
Davantage de contrats précaires ont été
proposés par les entreprises par rapport
aux années précédentes. La part des jeunes
insérés de la promotion 2019 titulaires d’un
contrat à durée déterminée s’élève à 37 %,
soit +12 points par rapport à la précédente
promotion et le niveau le plus élevé depuis
cinq ans 6 .
En conséquence, la proportion des jeunes
en CDI diminue de 10 points, après deux
années de stabilité : 59 % des diplômé·e·s
2019 en emploi ont un contrat pérenne,
contre 69 % l’année dernière.
L’accès au statut de cadre reste lui stable :
57 % des diplômé·e·s 2019 en emploi 12 mois
après l’obtention de leur diplôme occupent
un poste de cadre. La proportion était iden-
tique l'an dernier. Toutefois, en lien avec la
nette baisse du taux d’emploi, seuls 38 % de
l’ensemble des diplômé·e·s de la promotion
2019 (en emploi ou sans emploi) occupent
un poste cadre, soit 8 points de moins que
la promotion 2018 et le taux le plus bas enre-
gistré depuis cinq ans.
L’autre signe de conditions d’emploi moins
avantageuses est la baisse des salaires per-
çus. Ainsi, la rémunération brute annuelle
médiane s’élève à 31 000 euros brut par an,
contre 32 000 euros l’année dernière (-3 %) 7 .
La rémunération des jeunes femmes est tou-
jours inférieure à celle des jeunes hommes2
et a baissé plus fortement en un an : -2 000
euros (-7 %) contre -300 euros (-1 %).
6 Évolution du type de contrat
*Contrats aidés ou d’insertion ou intermittents
Base : Jeunes diplômé·e·s de niveau Bac +5 et plus en emploi 12 mois après l’obtention du diplôme
Source : Apec, 2021
CDI / titularisé CDD / contractuel Intérim et autres*
Promotion 2015 interrogée en 2017
Promotion 2016 interrogée en 2018
Promotion 2017 interrogée en 2019
Promotion 2018 interrogée en 2020
Promotion 2019 interrogée en 2021
52%
40%
8%
63%
31%
6%
68%
28%
6%
69%
25%
4%
59%
37%
4%
2
Inégalités en
début de carrière,
Apec, collection
« Trajectoires,
parcours et
inégalités », mars
2019.
9. Baromètre 2021 de l’insertion des jeunes diplômé·e·s — 9
7 Rémunération brute annuelle médiane (en euros)
Base : Jeunes diplômé·e·s de niveau Bac +5 et plus en emploi 12 mois après l’obtention de leur diplôme
Source : Apec, 2021
Les diplômé·e·s Bac +3/4
Comme les jeunes diplômé·e·s de niveau Bac +5 et plus, ceux de niveau Bac +3 ou
4 en poste connaissent une détérioration significative de leurs conditions d’emploi
et une forme de déclassement. 54 % seulement d’entre eux bénéficient d’un CDI,
contre 63 % l’an dernier. Le statut de cadre ne concerne plus que 8 % des jeunes de
niveau Bac +3 ou 4 en emploi de la promotion 2019, versus 17 % pour les Bac +3 ou 4
de la promotion 2018 en emploi. Le salaire brut annuel médian décroît légèrement,
de 23 000 euros pour la promotion 2018 à 22 200 euros pour celle de 2019.
Afin d’accéder à un emploi, les jeunes
diplômé·e·s de 2019 ont également fait
preuve d’une plus grande flexibilité quant
à certains aspects du poste. Au global, sur
l’ensemble des critères, l’adéquation de
l’emploi occupé par rapport aux souhaits
est en recul.
26 % des jeunes diplômé·e·s en emploi
déclarent occuper un poste qui ne corres-
pond pas à leur niveau de qualification
(contre 18 % pour la promotion précédente,
+8 points) et 19 % un emploi qui ne corres-
pond pas à leur discipline de formation
(contre 15 %, +4 points) 8 . Par ailleurs, 26 %
desjeunesdiplômé·e·senemploidisentavoir
mis de côté leurs aspirations personnelles
(+5 points par rapport à l’année dernière).
La proportion de celles et ceux qui quali-
fient leur emploi de job alimentaire (défini
comme « une activité exercée par nécessité,
en attendant d’en trouver une qui corres-
pond vraiment à vos attentes ») diminue
légèrement (-2 points). Il est possible que
ce soit un effet de la définition elle-même :
dans une période de crise grave, les jeunes
ne considèrent plus un emploi, quel qu’il
soit, comme une solution d’attente, car
ils ne pensent plus avoir beaucoup de
chances d’obtenir le poste correspondant
à leurs souhaits. Quoi qu’il en soit, cette
part demeure non négligeable et concerne
toujours près d’un.e jeune diplômé.e en
emploi sur cinq.
Ensemble des jeunes
diplômé·e·s
Femmes Hommes
Promotion 2018
interrogée en 2020
Promotion 2019
interrogée en 2021
32 000
31 000
30 000
34 800
28 000
34 500
10. 10 — Baromètre 2021 de l’insertion des jeunes diplômé·e·s
Dans ce contexte, les jeunes de la pro-
motion 2019 ont moins cherché à quitter
leur premier emploi que les promotions
précédentes. Pour les jeunes diplômé·e·s
en emploi qui ont déjà occupé un emploi,
les départs de l’emploi précédent à leur
initiative ont reculé par rapport à l’année
dernière. Ces départs, qu’ils aient pris la
forme d’une démission ou d’une interrup-
tion de la période d’essai, sont en baisse de
11 points, de 26 % à 15 %. Les fins de CDD
restent la principale raison du départ de
la précédente entreprise (68 %, + 7 points).
8 Adéquation de l'emploi avec la qualification,
la formation et les aspirations
Base : Jeunes diplômé·e·s de niveau Bac +5 et plus en emploi 12 mois après l’obtention du diplôme
Source : Apec, 2021
Les jeunes en recherche d’emploi sont prêts à faire de
nombreuses concessions pour accéder à l’emploi
12 mois après l’obtention de leur diplôme, 3
jeunes diplômé·e·s de la promotion 2019 sur
10 étaient en recherche d’emploi. Dans le
contexte actuel de crise, ces jeunes diplô-
mé·e·s affichent un niveau de pessimisme
particulièrement élevé par rapport à la
vague précédente : 56 % sont pessimistes
par rapport à leur recherche d’emploi
contre 41 % pour la promotion précédente,
soit une hausse de 15 points 9 . C’est le plus
fort taux enregistré depuis cinq ans, pour
la première fois, la part des jeunes diplô-
mé·e·s sans emploi pessimistes pour leur
recherche d’emploi devient majoritaire.
Dans ce contexte particulièrement incer-
tain, les diplômé·e·s 2019 sans emploi
apparaissent prêt·e·s à davantage de
concessions pour trouver un emploi que
celles et ceux des promotions précédentes.
En particulier, 83 % sont prêts à accepter un
contrat qui ne soit pas un CDI, soit une pro-
gression de 6 points par rapport à la vague
précédente 10. C’est le premier critère sur
lequel les jeunes diplômé·e·s s’accordent à
faire un compromis. Ils sont aussi 7 sur 10 à
envisager d’accepter un salaire inférieur à
celui envisagé.
Enfin, le fait d’occuper un emploi qui ne cor-
respondrait pas à leur niveau de diplôme,
évoquant le concept de déclassement
social, progresse dans les esprits : plus de
la moitié des jeunes en recherche se disent
prêts à l’accepter, soit une progression de
10 points par rapport à la promotion pré-
cédente.
Promotion 2017
interrogée en 2019
Promotion 2018
interrogée en 2020
Promotion 2019
interrogée en 2021
L'emploi ne
correspond pas
à la discipline de
formation
L'emploi ne
correspond pas
au niveau de
qualification
L'emploi ne
correspond pas
aux aspirations
personnelles
L'emploi est
qualifié de job
alimentaire
16%
22% 22%
24%
15%
18%
21%
20%
19%
26% 26%
18%
11. Baromètre 2021 de l’insertion des jeunes diplômé·e·s — 11
9
10
Optimisme quant à la recherche d'emploi
Concessions que les jeunes diplômé·e·s en recherche
d'emploi seraient susceptibles d'accepter
pour trouver un emploi
Base : Jeunes diplômé·e·s de niveau Bac +5 et plus en recherche d’emploi 12 mois après l’obtention du diplôme
Source : Apec, 2021
Base : Jeunes diplômé·e·s de niveau Bac +5 et plus en recherche d’emploi 12 mois après l’obtention du diplôme
Source : Apec, 2021
À noter que si les concessions sur ces dif-
férents critères progressent par rapport à
la vague d’interrogation 2020, des niveaux
aussi élevés voire plus élevés ont déjà été
enregistrés lors des vagues d’interrogation
précédentes.
Très optimiste
Plutôt optimiste
Plutôt pessimiste
Plutôt pessimiste
Promotion 2015
interrogée en 2017
Promotion 2016
interrogée en 2018
Promotion 2017
interrogée en 2019
Promotion 2018
interrogée en 2020
Promotion 2019
interrogée en 2021
16% 48% 26% 10%
13%
15%
15%
9%
55%
46%
44%
36%
56%
41%
39%
32%
36%
27%
27%
28%
38%
5%
12%
13%
18%
Promotion 2018
interrogée en 2020
Promotion 2019
interrogée en 2021
Aucune
concession
acceptée
3% 4%
Emploi hors
spécialité de
formation
50%
46%
Emploi sous
le niveau de
diplôme
43%
53%
Déménager
57%
52%
Salaire
inférieur
à celui
souhaité
70% 71%
Contrat
autre qu'un
CDI
77%
83%
12. 12 — Baromètre 2021 de l’insertion des jeunes diplômé·e·s
occupent un
emploi
69%
sont en emploi
dans le secteur
privé
52%
sont cadres
(du privé ou
du public)
38%
ont déjà occupé
au moins un
emploi
86%
ont un contrat
à durée
indéterminée
39%
sont cadres
et en CDI
26%
04. Principaux éléments statistiques
sur l’emploi occupé
Base : Ensemble des jeunes diplômé·e·s (en emploi ou non)
Source : Apec, 2021
Sur 100 jeunes diplômé·e·s
de niveau Bac +5 ou plus sortis de
l’enseignement supérieur en 2019 (qu’ils
soient ou non en emploi), 12 mois après
l’obtention de leur diplôme :
13. Baromètre 2021 de l’insertion des jeunes diplômé·e·s — 13
Base : Jeunes diplômé·e·s en emploi 12 mois après
l'obtention du diplôme
Source : Apec, 2021
Base : Jeunes diplômé·e·s en emploi 12 mois après
l'obtention du diplôme
Source : Apec, 2021
Base : Jeunes diplômé·e·s en emploi 12 mois après l'obtention du diplôme
Source : Apec, 2021
Profil de l’entreprise employeuse
Secteur juridique
de l'entreprise
Taille salariale
de l'entreprise
Secteur d'activité de l'entreprise
Secteur privé Secteur public
25%
75%
70%
30%
Bac +5 et plus Bac +3/4
Bac +5 et plus Bac +3/4
5 000
salarié·e·s
ou plus
23% 24%
1 000
à 4 999
salarié·e·s
16%
9%
250 à 999
salarié·e·s
16%
12%
10 à 249
salarié·e·s
35%
46%
10%
Moins de 10
salarié·e·s
9%
17%
17%
60%
3%
20%
66%
6%
11%
Construction
Commerce
Industrie mécanique, métallurgie 6% 5%
Industrie chimique, pharmaceutique, cosmétique 3% 4%
Industrie agroalimentaire 2% 2%
Énergie, eau, industries extractives 2% 2%
Industrie électrique et électronique 1% 1%
Autres industries 3% 3%
Ingénierie, RD, recherche 10% 1%
Santé, action sociale 10% 22%
Activités juridiques, comptables 9% 5%
Administration publique, activités associatives 8% 4%
Activités informatiques 7% 3%
Education, formation 6% 5%
Banque, assurance, immobilier 5% 7%
Hôtellerie, restauration, loisirs, spectacles, culture 4% 6%
Communication, médias, études de marché 3% 1%
Transports, logistique 1% 3%
Autres services 3% 3%
Industrie
Services
14. 14 — Baromètre 2021 de l’insertion des jeunes diplômé·e·s
Caractéristiques du poste
Type d'emploi
Fonction occupée
Temps de travail
Base : Jeunes diplômé·e·s en emploi 12 mois après
l'obtention du diplôme
Source : Apec, 2021
Base : Jeunes diplômé·e·s en emploi 12 mois après l'obtention du diplôme
Source : Apec, 2021
Base : Jeunes diplômé·e·s en emploi 12 mois après
l'obtention du diplôme
Source : Apec, 2021
Bac +5 et plus Bac +3/4
94%
6%
5%
95%
5%
95%
94%
6%
85%
94%
6%
15%
Emploi salarié
Emploi indépendant, non salarié Temps partiel
Temps complet
Bac +5 et plus Bac +3/4
Gestion, finance, administration
Études, recherche, développement
Commercial, marketing
Santé, social, culture
Ressources humaines, enseignement
Communication, création
Informatique
Services techniques*
Production industrielle, travaux, chantier
Direction d'entreprise, conseil
21%
17%
11%
10%
9%
8%
7%
7%
6%
4%
18%
7%
15%
29%
3%
4%
4%
8%
10%
2%
*
Services techniques : achats, qualité,
maintenance, logistique...
15. Baromètre 2021 de l’insertion des jeunes diplômé·e·s — 15
Rémunération brute annuelle médiane
Base : Jeunes diplômé·e·s en emploi 12 mois après l'obtention du diplôme
Source : Apec, 2021
La médiane est la valeur telle que la moitié des répondants
se situent en dessous, et l'autre moitié au-dessus.
Bac +5 et plus Bac +3/4
31 000 €
22 000 €