Le projet DEFI&Co (développer l’expertise future pour l’industrie et la construction), piloté par le CESI et soutenu par le Programme d’Investissements d’Avenir, vise à construire des contenus de formation adaptés aux transformations en cours dans l’industrie et la construction.
Dans le cadre de ce projet et sur une durée de cinq ans (2017-2021), l’Apec va réaliser chaque année une revue des tendances liées à l’usine du futur et au bâtiment du futur ayant un impact potentiel fort en matière d’évolution des compétences et des métiers pour les cadres.
Ce document consacré à l’Internet des objets (IoT) dans l’industrie s’inscrit dans la revue des tendances 2017. D’autres documents sont disponibles sur les thèmes du BIM (building information modeling, maquette numérique dans la construction), de la performance énergétique des bâtiments, de la fabrication additive, du big data dans l’industrie et du PLM (
product lifecycle management, gestion du cycle de vie des produits). Un dernier document est consacré aux compétences
transversales et de savoir-être (soft skills) nécessaires pour travailler avec ces nouvelles technologies.
Etude Apec - Le PLM - tendances métiers dans l'industrieApec
Le projet DEFI&Co (développer l’expertise future pour l’industrie et la construction), piloté par le CESI et soutenu par le Programme d’Investissements d’Avenir, vise à construire des contenus de formation adaptés aux transformations en cours dans l’industrie et la construction.
Dans le cadre de ce projet et sur une durée de cinq ans (2017-2021), l’Apec va réaliser chaque année une revue des tendances liées à l’usine du futur et au bâtiment du futur ayant un impact potentiel fort en matière d’évolution des compétences et des métiers pour les cadres.
Ce document consacré au PLM (product lifecycle management, gestion du cycle de vie des produits) s’inscrit dans la revue des tendances 2017. D’autres documents sont disponibles sur les thèmes du BIM (building information modeling, maquette numérique dans la construction), de la performance énergétique des bâtiments, de l’Internet des objets (IoT), du big data dans l’industrie et de la fabrication additive. Un dernier
document plus transversal est consacré aux compétences transversales et de savoir-être (soft skills) nécessaires pour travailler avec ces nouvelles technologies.
Etude Apec - Le big data - tendances métiers dans l'industrieApec
Le projet DEFI&Co (développer l’expertise future pour l’industrie et la construction), piloté par le CESI et soutenu par le Programme d’Investissements d’Avenir, vise à construire des contenus de formation adaptés aux transformations en cours dans l’industrie et la construction.
Dans le cadre de ce projet et sur une durée de cinq ans (2017-2021), l’Apec va réaliser chaque année une revue des tendances liées à l’usine du futur et au bâtiment du futur ayant un impact potentiel fort en matière d’évolution des compétences et des métiers pour les cadres.
Ce document consacré au big data dans l’industrie s’inscrit dans la revue des tendances 2017. D’autres documents sont disponibles sur les thèmes du BIM (building information modeling, maquette numérique dans la construction), de la performance énergétique des bâtiments, de l’Internet des objets (IoT), de la fabrication additive et du PLM (product lifecycle management, gestion du cycle de vie des produits). Un dernier document est consacré aux compétences transversales et de savoir-être (soft skills) nécessaires pour travailler avec ces nouvelles technologies.
Usine du futur bâtiment du futur quelles évolutions pour les métiers cadresApec
Les concepts d’usine et de bâtiment du futur reposent sur des évolutions technologiques majeures permises par le numérique. Les conséquences de ces transformations sur l’organisation du travail, les métiers et les compétences sont essentielles à étudier.
C’est le sens de cette première édition d’une revue des tendances marquantes pour l’industrie et le bâtiment ayant un impact potentiel fort pour les métiers cadres. 6 tendances métiers (BIM, performance énergétique, Internet des objets, big data, fabrication additive, PLM) et un zoom transversal sur les soft skills sont proposés. Cette revue de tendances sera éditée chaque année par l’Apec, en lien avec le projet DEFI&Co piloté par le CESI.
Etude Apec - L'importance des soft skills - tendances métiers dans l'industri...Apec
Le projet DEFI&Co (développer l’expertise future pour l’industrie et la construction), piloté par le CESI et soutenu par le Programme d’Investissements d’Avenir, vise à construire des contenus de formation adaptés aux transformations en cours dans l’industrie et la construction.
Dans le cadre de ce projet et sur une durée de cinq ans (2017-2021), l’Apec va réaliser chaque année une revue des tendances liées à l’usine du futur et au bâtiment du futur ayant un impact potentiel fort en matière d’évolution des compétences et des métiers pour les cadres.
Ce document consacré aux compétences transversales et de savoir-être (soft skills) s’inscrit dans la revue des tendances 2017. D’autres documents sont disponibles sur les thèmes du BIM (building information modeling, maquette numérique dans la construction), de la performance énergétique des bâtiments, du big data dans l’industrie, de l’Internet des objets (IoT), de la fabrication additive et du PLM (product lifecycle management, gestion du cycle de vie des produits).
Etude Apec - Usine du futur, bâtiment du futur : quelles évolutions pour les ...Apec
L’usine et le bâtiment du futur reposent sur des évolutions technologiques majeures permises par le numérique. Les conséquences de ces transformations se traduisent par :
• Une hausse des offres d’emploi en lien avec ces technologies ;
• La nécessité pour les entreprises d’accompagner leurs collaborateurs vers une meilleure appropriation des outils du numérique via des formations ;
• Une transformation des métiers dans leur contenu, avec un recentrage des cadres sur leur coeur d’activité que sont l’expertise et l’encadrement, et leur souhait d’être accompagnés pour devenir acteurs de cette mutation sociétale.
Cette synthèse intègre les résultats des travaux conduits dans six nouveaux domaines technologiques - l’intelligence artificielle, la cobotique, le bâtiment intelligent, la simulation numérique, la réalité virtuelle / augmentée, la cybersécurité industrielle – et une analyse de l’opinion des cadres en poste sur la transformation numérique qui accompagne la mutation des secteurs de l’industrie et de la construction.
Avec le concours du Programme d’Investissements d’Avenir
Une révolution technologique à nos portes ; nos organisations sont-elles prêtes?IRSST
Présentation au Colloque IRSST 2017 de Geneviève Lefebvre, directrice de projet, Innovation et Transfert au CEFRIO.
http://www.irsst.qc.ca/colloque-2017
Etude Apec - Le BIM - tendances métiers dans le bâtimentApec
Le projet DEFI&Co (développer l’expertise future pour l’industrie et la construction), piloté par le CESI et soutenu par le Programme d’Investissements d’Avenir, vise à construire des contenus de formation adaptés aux transformations en cours dans l’industrie et la construction.
Dans le cadre de ce projet et sur une durée de cinq ans (2017-2021), l’Apec va réaliser chaque année une revue des tendances liées à l’usine du futur et au bâtiment du futur ayant un impact potentiel fort en matière d’évolution des compétences et des métiers pour les cadres.
Ce document consacré au BIM (building information modeling, maquette numérique dans la construction) s’inscrit dans la revue des tendances 2017. D’autres documents sont disponibles sur les thèmes de la performance énergétique des bâtiments, du big data dans l’industrie, de l’Internet des objets (IoT), de la fabrication additive et du PLM (product lifecycle management, gestion du cycle de vie des produits). Un dernier document est consacré aux compétences transversales et de savoir-être nécessaires (soft skills) pour travailler avec ces nouvelles technologies.
SUPRATEC citée parmi les 15 experts de l'Industrie 4.0 et de la Performance Industrielle. Dossier complet à retrouver dans le magazine Usine Nouvelle n°3600 - Mars 2019
SUPRATEC : des robots intelligents et mobiles pour l’amélioration des performances.
Née en 1962, SUPRATEC, spécialisée initialement dans le négoce technique, s’est orientée depuis 2014 vers la conception de technologies de pointe pour des applications de préparation, de manipulation, d’assemblage et de contrôle non destructif de pièces principalement mécaniques et de sous-ensembles complexes.
Etude Apec - Le PLM - tendances métiers dans l'industrieApec
Le projet DEFI&Co (développer l’expertise future pour l’industrie et la construction), piloté par le CESI et soutenu par le Programme d’Investissements d’Avenir, vise à construire des contenus de formation adaptés aux transformations en cours dans l’industrie et la construction.
Dans le cadre de ce projet et sur une durée de cinq ans (2017-2021), l’Apec va réaliser chaque année une revue des tendances liées à l’usine du futur et au bâtiment du futur ayant un impact potentiel fort en matière d’évolution des compétences et des métiers pour les cadres.
Ce document consacré au PLM (product lifecycle management, gestion du cycle de vie des produits) s’inscrit dans la revue des tendances 2017. D’autres documents sont disponibles sur les thèmes du BIM (building information modeling, maquette numérique dans la construction), de la performance énergétique des bâtiments, de l’Internet des objets (IoT), du big data dans l’industrie et de la fabrication additive. Un dernier
document plus transversal est consacré aux compétences transversales et de savoir-être (soft skills) nécessaires pour travailler avec ces nouvelles technologies.
Etude Apec - Le big data - tendances métiers dans l'industrieApec
Le projet DEFI&Co (développer l’expertise future pour l’industrie et la construction), piloté par le CESI et soutenu par le Programme d’Investissements d’Avenir, vise à construire des contenus de formation adaptés aux transformations en cours dans l’industrie et la construction.
Dans le cadre de ce projet et sur une durée de cinq ans (2017-2021), l’Apec va réaliser chaque année une revue des tendances liées à l’usine du futur et au bâtiment du futur ayant un impact potentiel fort en matière d’évolution des compétences et des métiers pour les cadres.
Ce document consacré au big data dans l’industrie s’inscrit dans la revue des tendances 2017. D’autres documents sont disponibles sur les thèmes du BIM (building information modeling, maquette numérique dans la construction), de la performance énergétique des bâtiments, de l’Internet des objets (IoT), de la fabrication additive et du PLM (product lifecycle management, gestion du cycle de vie des produits). Un dernier document est consacré aux compétences transversales et de savoir-être (soft skills) nécessaires pour travailler avec ces nouvelles technologies.
Usine du futur bâtiment du futur quelles évolutions pour les métiers cadresApec
Les concepts d’usine et de bâtiment du futur reposent sur des évolutions technologiques majeures permises par le numérique. Les conséquences de ces transformations sur l’organisation du travail, les métiers et les compétences sont essentielles à étudier.
C’est le sens de cette première édition d’une revue des tendances marquantes pour l’industrie et le bâtiment ayant un impact potentiel fort pour les métiers cadres. 6 tendances métiers (BIM, performance énergétique, Internet des objets, big data, fabrication additive, PLM) et un zoom transversal sur les soft skills sont proposés. Cette revue de tendances sera éditée chaque année par l’Apec, en lien avec le projet DEFI&Co piloté par le CESI.
Etude Apec - L'importance des soft skills - tendances métiers dans l'industri...Apec
Le projet DEFI&Co (développer l’expertise future pour l’industrie et la construction), piloté par le CESI et soutenu par le Programme d’Investissements d’Avenir, vise à construire des contenus de formation adaptés aux transformations en cours dans l’industrie et la construction.
Dans le cadre de ce projet et sur une durée de cinq ans (2017-2021), l’Apec va réaliser chaque année une revue des tendances liées à l’usine du futur et au bâtiment du futur ayant un impact potentiel fort en matière d’évolution des compétences et des métiers pour les cadres.
Ce document consacré aux compétences transversales et de savoir-être (soft skills) s’inscrit dans la revue des tendances 2017. D’autres documents sont disponibles sur les thèmes du BIM (building information modeling, maquette numérique dans la construction), de la performance énergétique des bâtiments, du big data dans l’industrie, de l’Internet des objets (IoT), de la fabrication additive et du PLM (product lifecycle management, gestion du cycle de vie des produits).
Etude Apec - Usine du futur, bâtiment du futur : quelles évolutions pour les ...Apec
L’usine et le bâtiment du futur reposent sur des évolutions technologiques majeures permises par le numérique. Les conséquences de ces transformations se traduisent par :
• Une hausse des offres d’emploi en lien avec ces technologies ;
• La nécessité pour les entreprises d’accompagner leurs collaborateurs vers une meilleure appropriation des outils du numérique via des formations ;
• Une transformation des métiers dans leur contenu, avec un recentrage des cadres sur leur coeur d’activité que sont l’expertise et l’encadrement, et leur souhait d’être accompagnés pour devenir acteurs de cette mutation sociétale.
Cette synthèse intègre les résultats des travaux conduits dans six nouveaux domaines technologiques - l’intelligence artificielle, la cobotique, le bâtiment intelligent, la simulation numérique, la réalité virtuelle / augmentée, la cybersécurité industrielle – et une analyse de l’opinion des cadres en poste sur la transformation numérique qui accompagne la mutation des secteurs de l’industrie et de la construction.
Avec le concours du Programme d’Investissements d’Avenir
Une révolution technologique à nos portes ; nos organisations sont-elles prêtes?IRSST
Présentation au Colloque IRSST 2017 de Geneviève Lefebvre, directrice de projet, Innovation et Transfert au CEFRIO.
http://www.irsst.qc.ca/colloque-2017
Etude Apec - Le BIM - tendances métiers dans le bâtimentApec
Le projet DEFI&Co (développer l’expertise future pour l’industrie et la construction), piloté par le CESI et soutenu par le Programme d’Investissements d’Avenir, vise à construire des contenus de formation adaptés aux transformations en cours dans l’industrie et la construction.
Dans le cadre de ce projet et sur une durée de cinq ans (2017-2021), l’Apec va réaliser chaque année une revue des tendances liées à l’usine du futur et au bâtiment du futur ayant un impact potentiel fort en matière d’évolution des compétences et des métiers pour les cadres.
Ce document consacré au BIM (building information modeling, maquette numérique dans la construction) s’inscrit dans la revue des tendances 2017. D’autres documents sont disponibles sur les thèmes de la performance énergétique des bâtiments, du big data dans l’industrie, de l’Internet des objets (IoT), de la fabrication additive et du PLM (product lifecycle management, gestion du cycle de vie des produits). Un dernier document est consacré aux compétences transversales et de savoir-être nécessaires (soft skills) pour travailler avec ces nouvelles technologies.
SUPRATEC citée parmi les 15 experts de l'Industrie 4.0 et de la Performance Industrielle. Dossier complet à retrouver dans le magazine Usine Nouvelle n°3600 - Mars 2019
SUPRATEC : des robots intelligents et mobiles pour l’amélioration des performances.
Née en 1962, SUPRATEC, spécialisée initialement dans le négoce technique, s’est orientée depuis 2014 vers la conception de technologies de pointe pour des applications de préparation, de manipulation, d’assemblage et de contrôle non destructif de pièces principalement mécaniques et de sous-ensembles complexes.
Etude Apec - La simulation numérique : tendances métiers dans l'industrieApec
Outil d’aide à la décision en matière de conception industrielle, la simulation numérique bénéficie d’un nouvel élan du fait de l’arrivée sur le marché d’ordinateurs superpuissants qui permettent des calculs plus intensifs et plus rapides. Dans le monde industriel comme dans les ESN ou chez les éditeurs, la simulation numérique mobilise des expertises croisées que ce soit en informatique scientifique et industrielle, en mathématiques appliquées ou en physique. Cette dernière compétence s’avère essentielle pour pouvoir simuler différents types de phénomènes et tester, par exemple, la résistance de certains matériaux face à différentes contraintes (phénomènes d’usure, de force, de pression…). Signe de besoins qui vont en augmentant, les offres d’emploi diffusées par l’Apec sur le champ de la simulation numérique dans l’industrie ont été multipliées par 1,3 entre 2016 et 2017.
Etude Apec/Cesi - Industrie du futur, bâtiment du futur : 12 métiers en émerg...Apec
En 2019, et toujours dans le cadre de sa contribution à DEFI&Co, l’Apec a choisi de constituer un référentiel de douze fiches métiers emblématiques des évolutions des compétences dans l’industrie et le bâtiment. Il s’agit de métiers caractéristiques des évolutions technologiques, réglementaires mais aussi sociétales (nouveaux comportements des utilisateurs).
Vers des compétences adaptées aux besoins d’une économie digitaliséeGroupe Alpha
Le digital prend une place croissante dans l’économie en
modifiant progressivement, et à des degrés divers, les modes
de consommation et les modes de production. Face à une économie fortement transformée par l’automatisation et le numérique, se posent plusieurs enjeux d’importance, en particulier en termes d’effets sur l’emploi. Ainsi, parmi les emplois impactés, certains seront supprimés, certains seront remplacés par d’autres, et certains seront transformés plus ou moins fortement.
Transformation digitale de l'industrie - CCI Bordeaux - 17 09 2014polenumerique33
Conférence "Transformation digitale de l'industrie" organisée par la CCI de Bordeaux le 17 septembre 2014
Le thème du Club Industrie du 17 septembre dernier sur la "Transformation digitale de l'industrie" est le second volet de manifestations organisées par la CCI de Bordeaux sur l’impact des technologies numériques sur le fonctionnement, l'organisation et l'innovation dans les entreprises industrielles.
Le 1er volet a porté sur "L’Industrie connectée : une (r)évolution en marche" avec la vision de l'usine du futur et la transformation des outils de production et processus de fabrication
Le 2ème volet portait sur l'utilisation des outils numériques au profit de l'adéquation offre/besoin client et l'évolution des business modèles associés.
M. Jean-Pierre GERAULT, Président du Comité Richelieu, a donné son point de vue sur ce que le numérique change pour une PME industrielle. Les trois révolutions qui ont marqué l’industrie, en quoi la révolution numérique actuellement en cours est unique : le pouvoir de la multitude, données numériques de masse, modifications du jeu concurrentiel, adaptabilité permanente des modèles économiques,
M. Frédéric SIMOTTEL, Directeur de la Rédaction de 01 Business
La transformation numérique des PME françaises : vers une industrie de services ?
Quel est le niveau d’adoption par les PME industrielles françaises des technologies numériques ? Etat des lieux du numérique dans les PME industrielles, facteurs d’adoptions des outils numériques ? Obstacles ? Quelles leçons en tirer dans les politiques de soutien aux entreprises industrielles en matière de numérique ?
Mme Céline CHOUSSY-BEDOUET, Directeur Marketing Automobile, Ameublement, Textiles Techniques et Matériaux Composites chez Lectra
Comment le numérique est au cœur de leur business ?
Nouvelles offres et nouvelles approches de la relation clients à l’ère du numérique.
Concept Lectra 3.0. Faire évoluer la technologie ou plutôt le Business Model ? Comment Lectra prend appui sur son avance technologique pour faire évoluer son business model, en relation étroite avec ses clients. Développement d’une offre de services (conseils) en complément des produits technologiques. Quelle est la place des outils numériques dans cette évolution.
M. Michel ROBOAM, Directeur de l'ingénierie de production chez Airbus, a présenté les (R)évolutions industrielles : l’usine du futur vue par Airbus, le rôle de la fabrication additive et de l'impression 3D
L’Usine du Futur chez Airbus repose sur les technologies numériques et les nouvelles méthodes de travail en milieu industriel et leur impact sur qualité du produit et la productivité. Quels changements cet environnement numérique induit-il pour les PME et ETI sous-traitantes?
Organisée en partenariat avec le Conseil Général de l'Armement et la CCI Paris Ile-de-France, la conférence-débat "Impression 3D, facteur de la révolution industrielle" s'est déroulée le 31 mars 2016 au siège de la CCI.
Cese - Rapport les nouveaux rapports industrie-services à l’ère du numérique ...polenumerique33
Cese - Rapport les nouveaux rapports industrie-services à l’ère du numérique - Avis voté le 13/10/2015
http://www.lecese.fr/travaux-publies/les-nouveaux-rapports-industrieservices-l-re-du-num-rique
Introduction à l'industrie 4.0 et ses défisAddi-Data
Quels sont les défis de l'Industrie 4.0 pour les systèmes de mesure industriels ? Après une brève introduction sur le thème de l'usine du futur, découvrez les exigences requises pour le développement de systèmes cyber-physiques.
FIM - Guide pratique de l’Usine du Futur : enjeux et panorama de solutions - ...polenumerique33
La Fédération des Industries Mécaniques a publié le 19/11/2015 un référentiel "Guide pratique de l’Usine du Futur : enjeux et panorama de solutions" - 2015
Industrie 4.0 : la fusion d’internet et des usines Fabernovel
L'industrial IoT, ou comment les usines se dotent d'objets connectés, constitue aujourd'hui un véritable axe de travail pour FABERNOVEL OBJET, notre activité dédiée à l'IoT.
Certains l'appellent également Industrie 4.0 ou Usine 4.0 en faisant référence à une 4ème révolution industrielle à la croisée d'internet et des usines. Annoncé comme un véritable axe de travail par les gouvernements et entreprises allemands puis anglais et américains, l'industrial IoT est au coeur de très fortes transformations à venir. Tant sur le court terme que le long terme, avec notamment l'émergence de nouveaux modèles tels que l'économie de la performance ou l'économie autonome et dynamique.
Réel levier de croissance pour les entreprises industrielles, nous vous proposons ainsi un décryptage de ce phénomène fort.
Etude Apec - Le bâtiment intelligent : tendances métiers dans la constructionApec
Afin de communiquer et devenir « intelligent », le bâtiment utilise les technologies numériques. Les systèmes techniques du bâtiment intelligent peuvent ainsi émettre,stocker ou recevoir des données grâce aux objets connectés, aux technologies du big data, à l’intelligence artificielle et à la fibre optique. La domotique vient compléter ces systèmes techniques afin d’optimiser le confort des occupants ainsi que la gestion de l’énergie. Les entreprises du bâtiment intelligent recherchent alors des profils avec des expertises variées et ne concernant pas seulement le domaine du bâtiment. En outre, les opportunités d’emploi sont plus souvent portées par les entreprises de services du numérique (ESN) et les sociétés d’ingénierie-R&D spécialisées dans le bâtiment, la domotique, la rénovation énergétique ou l’automatisme. Signe du besoin croissant des entreprises du bâtiment intelligent, les offres d’emploi destinées aux cadres et confiées à l’Apec ont progressé en 2017 jusqu’à atteindre près de 900 offres, soit 1,3 fois plus qu’en 2016.
Rapport - Bpifrance - cabinet Kohler C&C - industrie 4.0 - quelles stratégies numériques - octobre 2015 - La numérisation de l’industrie dans les entreprises du Mittelstand allemand
Digit - Nouvelles technologies industrielles et numeriques industrie 4.0ElearningEditions
Plan :
1. Les nouvelles technologies industrielles
2. L’industrie numérique ou l’industrie 4.0
3. La French Tech à l’ère du numérique
4. Robotique et usines intelligentes
5. Les objets connectés en secteur industriel : l’IoT
6. Les industries connectées
7. Approche géopolitique de l’Industrie 4.0
Livre blanc Arcep : Préparer la révolution de l’internet des objets yann le gigan
>>[Livre Blanc] Préparer la révolution de l’internet des objets
[arcep.fr 07.11.16]
Document n° 1 – Une cartographie des enjeux
DGE - Cnil - ANFR - Ministère du Logement et de l’Habitat durable - ANSSI - France Stratégie
http://www.arcep.fr/uploads/tx_gspublication/livre_blanc_IoT-01-cartographie-071116.pdf
Compte-rendu conférence "Green Economy : Objets Connectés et Opportunités cré...IE-Club
L’IE-Club, en partenariat avec le Club Cleantech AFIC, Clean Tuesday et l'Echangeur PME, a tenu le 09/04/2014 la cinquième édition de son évènement : « Green Economy : Objets Connectés et Opportunités créées par les Cleantech »
L’objectif de cette 5ème édition est de mettre en avant la grande capacité d’ Innovation et d’ Exécution des sociétés en développement et matures de cet écosystème. A l’occasion de cet évènement nous ferons un focus sur les objets connectés et, de façon générale, les opportunités créées par les entreprises des
« cleantech
Etude Apec - La simulation numérique : tendances métiers dans l'industrieApec
Outil d’aide à la décision en matière de conception industrielle, la simulation numérique bénéficie d’un nouvel élan du fait de l’arrivée sur le marché d’ordinateurs superpuissants qui permettent des calculs plus intensifs et plus rapides. Dans le monde industriel comme dans les ESN ou chez les éditeurs, la simulation numérique mobilise des expertises croisées que ce soit en informatique scientifique et industrielle, en mathématiques appliquées ou en physique. Cette dernière compétence s’avère essentielle pour pouvoir simuler différents types de phénomènes et tester, par exemple, la résistance de certains matériaux face à différentes contraintes (phénomènes d’usure, de force, de pression…). Signe de besoins qui vont en augmentant, les offres d’emploi diffusées par l’Apec sur le champ de la simulation numérique dans l’industrie ont été multipliées par 1,3 entre 2016 et 2017.
Etude Apec/Cesi - Industrie du futur, bâtiment du futur : 12 métiers en émerg...Apec
En 2019, et toujours dans le cadre de sa contribution à DEFI&Co, l’Apec a choisi de constituer un référentiel de douze fiches métiers emblématiques des évolutions des compétences dans l’industrie et le bâtiment. Il s’agit de métiers caractéristiques des évolutions technologiques, réglementaires mais aussi sociétales (nouveaux comportements des utilisateurs).
Vers des compétences adaptées aux besoins d’une économie digitaliséeGroupe Alpha
Le digital prend une place croissante dans l’économie en
modifiant progressivement, et à des degrés divers, les modes
de consommation et les modes de production. Face à une économie fortement transformée par l’automatisation et le numérique, se posent plusieurs enjeux d’importance, en particulier en termes d’effets sur l’emploi. Ainsi, parmi les emplois impactés, certains seront supprimés, certains seront remplacés par d’autres, et certains seront transformés plus ou moins fortement.
Transformation digitale de l'industrie - CCI Bordeaux - 17 09 2014polenumerique33
Conférence "Transformation digitale de l'industrie" organisée par la CCI de Bordeaux le 17 septembre 2014
Le thème du Club Industrie du 17 septembre dernier sur la "Transformation digitale de l'industrie" est le second volet de manifestations organisées par la CCI de Bordeaux sur l’impact des technologies numériques sur le fonctionnement, l'organisation et l'innovation dans les entreprises industrielles.
Le 1er volet a porté sur "L’Industrie connectée : une (r)évolution en marche" avec la vision de l'usine du futur et la transformation des outils de production et processus de fabrication
Le 2ème volet portait sur l'utilisation des outils numériques au profit de l'adéquation offre/besoin client et l'évolution des business modèles associés.
M. Jean-Pierre GERAULT, Président du Comité Richelieu, a donné son point de vue sur ce que le numérique change pour une PME industrielle. Les trois révolutions qui ont marqué l’industrie, en quoi la révolution numérique actuellement en cours est unique : le pouvoir de la multitude, données numériques de masse, modifications du jeu concurrentiel, adaptabilité permanente des modèles économiques,
M. Frédéric SIMOTTEL, Directeur de la Rédaction de 01 Business
La transformation numérique des PME françaises : vers une industrie de services ?
Quel est le niveau d’adoption par les PME industrielles françaises des technologies numériques ? Etat des lieux du numérique dans les PME industrielles, facteurs d’adoptions des outils numériques ? Obstacles ? Quelles leçons en tirer dans les politiques de soutien aux entreprises industrielles en matière de numérique ?
Mme Céline CHOUSSY-BEDOUET, Directeur Marketing Automobile, Ameublement, Textiles Techniques et Matériaux Composites chez Lectra
Comment le numérique est au cœur de leur business ?
Nouvelles offres et nouvelles approches de la relation clients à l’ère du numérique.
Concept Lectra 3.0. Faire évoluer la technologie ou plutôt le Business Model ? Comment Lectra prend appui sur son avance technologique pour faire évoluer son business model, en relation étroite avec ses clients. Développement d’une offre de services (conseils) en complément des produits technologiques. Quelle est la place des outils numériques dans cette évolution.
M. Michel ROBOAM, Directeur de l'ingénierie de production chez Airbus, a présenté les (R)évolutions industrielles : l’usine du futur vue par Airbus, le rôle de la fabrication additive et de l'impression 3D
L’Usine du Futur chez Airbus repose sur les technologies numériques et les nouvelles méthodes de travail en milieu industriel et leur impact sur qualité du produit et la productivité. Quels changements cet environnement numérique induit-il pour les PME et ETI sous-traitantes?
Organisée en partenariat avec le Conseil Général de l'Armement et la CCI Paris Ile-de-France, la conférence-débat "Impression 3D, facteur de la révolution industrielle" s'est déroulée le 31 mars 2016 au siège de la CCI.
Cese - Rapport les nouveaux rapports industrie-services à l’ère du numérique ...polenumerique33
Cese - Rapport les nouveaux rapports industrie-services à l’ère du numérique - Avis voté le 13/10/2015
http://www.lecese.fr/travaux-publies/les-nouveaux-rapports-industrieservices-l-re-du-num-rique
Introduction à l'industrie 4.0 et ses défisAddi-Data
Quels sont les défis de l'Industrie 4.0 pour les systèmes de mesure industriels ? Après une brève introduction sur le thème de l'usine du futur, découvrez les exigences requises pour le développement de systèmes cyber-physiques.
FIM - Guide pratique de l’Usine du Futur : enjeux et panorama de solutions - ...polenumerique33
La Fédération des Industries Mécaniques a publié le 19/11/2015 un référentiel "Guide pratique de l’Usine du Futur : enjeux et panorama de solutions" - 2015
Industrie 4.0 : la fusion d’internet et des usines Fabernovel
L'industrial IoT, ou comment les usines se dotent d'objets connectés, constitue aujourd'hui un véritable axe de travail pour FABERNOVEL OBJET, notre activité dédiée à l'IoT.
Certains l'appellent également Industrie 4.0 ou Usine 4.0 en faisant référence à une 4ème révolution industrielle à la croisée d'internet et des usines. Annoncé comme un véritable axe de travail par les gouvernements et entreprises allemands puis anglais et américains, l'industrial IoT est au coeur de très fortes transformations à venir. Tant sur le court terme que le long terme, avec notamment l'émergence de nouveaux modèles tels que l'économie de la performance ou l'économie autonome et dynamique.
Réel levier de croissance pour les entreprises industrielles, nous vous proposons ainsi un décryptage de ce phénomène fort.
Etude Apec - Le bâtiment intelligent : tendances métiers dans la constructionApec
Afin de communiquer et devenir « intelligent », le bâtiment utilise les technologies numériques. Les systèmes techniques du bâtiment intelligent peuvent ainsi émettre,stocker ou recevoir des données grâce aux objets connectés, aux technologies du big data, à l’intelligence artificielle et à la fibre optique. La domotique vient compléter ces systèmes techniques afin d’optimiser le confort des occupants ainsi que la gestion de l’énergie. Les entreprises du bâtiment intelligent recherchent alors des profils avec des expertises variées et ne concernant pas seulement le domaine du bâtiment. En outre, les opportunités d’emploi sont plus souvent portées par les entreprises de services du numérique (ESN) et les sociétés d’ingénierie-R&D spécialisées dans le bâtiment, la domotique, la rénovation énergétique ou l’automatisme. Signe du besoin croissant des entreprises du bâtiment intelligent, les offres d’emploi destinées aux cadres et confiées à l’Apec ont progressé en 2017 jusqu’à atteindre près de 900 offres, soit 1,3 fois plus qu’en 2016.
Rapport - Bpifrance - cabinet Kohler C&C - industrie 4.0 - quelles stratégies numériques - octobre 2015 - La numérisation de l’industrie dans les entreprises du Mittelstand allemand
Digit - Nouvelles technologies industrielles et numeriques industrie 4.0ElearningEditions
Plan :
1. Les nouvelles technologies industrielles
2. L’industrie numérique ou l’industrie 4.0
3. La French Tech à l’ère du numérique
4. Robotique et usines intelligentes
5. Les objets connectés en secteur industriel : l’IoT
6. Les industries connectées
7. Approche géopolitique de l’Industrie 4.0
Livre blanc Arcep : Préparer la révolution de l’internet des objets yann le gigan
>>[Livre Blanc] Préparer la révolution de l’internet des objets
[arcep.fr 07.11.16]
Document n° 1 – Une cartographie des enjeux
DGE - Cnil - ANFR - Ministère du Logement et de l’Habitat durable - ANSSI - France Stratégie
http://www.arcep.fr/uploads/tx_gspublication/livre_blanc_IoT-01-cartographie-071116.pdf
Compte-rendu conférence "Green Economy : Objets Connectés et Opportunités cré...IE-Club
L’IE-Club, en partenariat avec le Club Cleantech AFIC, Clean Tuesday et l'Echangeur PME, a tenu le 09/04/2014 la cinquième édition de son évènement : « Green Economy : Objets Connectés et Opportunités créées par les Cleantech »
L’objectif de cette 5ème édition est de mettre en avant la grande capacité d’ Innovation et d’ Exécution des sociétés en développement et matures de cet écosystème. A l’occasion de cet évènement nous ferons un focus sur les objets connectés et, de façon générale, les opportunités créées par les entreprises des
« cleantech
A l’occasion du CES de Las Vegas, France Stratégie propose cinq actions pour assurer le développement d’un Internet des objets ouvert, interopérable et répondant aux besoins en matière de protection des données personnelles et de sécurité.
L'Internet des Objets : Les priorités des entreprises FrançaisesJean-Marc Hui Bon Hoa
L'intérêt actuel des médias pour le concept d'internet des objets (IoT) est à son paroxysme.
Cependant, à travers les discussions quotidiennes avec les entreprises, certaines nous confient
observer cette agitation médiatique avec une certaine perplexité. En effet, capteurs, actuateurs,
communications M2M, systèmes complexes, diffusion continue de flux de données et informatique
embarquée sont pratiques courantes dans certains secteurs d'activité depuis plusieurs années.
Malgré tout, les organisations admettent que les avancées technologiques ouvrent de nouvelles
opportunités permettant de créer de la valeur. Mais pourquoi maintenant ? Principalement parce
que plusieurs avancées technologiques déterminantes convergent pour créer l'Internet des Objets
et se diffusent progressivement dans tous les secteurs d'activités à savoir:
Nous sommes confrontés à la 4ème révolution industrielle combinée à la technologie cloud, avec l'utilisation de réseaux intelligents capables de programmer la maintenance des machines, de prédire les pannes de processus et de proposer des changements de production. Il existe une décentralisation du contrôle des processus productifs et de l'utilisation à grande échelle de dispositifs intelligents interconnectés que seulement tend à grandir.. Ces changements tout au long de la chaîne de production et de logistique sont profonds et ajoutent de l'efficacité à divers secteurs tels que la santé, l'énergie, le transport, la logistique, la vente au détail, la construction, l'agro-industrie et la fabrication.
Résumé Big Data et objets connectés. Faire de la France un champion de la r...Hortense Billot
La révolution du Big data et des objets connectés crée d’immenses perspectives de création de valeur mais suscite également des interrogations nouvelles sur la protection des droits des individus. Pour renforcer la confiance entre les acteurs et soutenir le développement de modèles économiques innovants, les différentes parties prenantes doivent saisir les opportunités offertes et travailler en confiance.
Keynote Valerie Cussac – IoT for Business n°2Orange Dev
Le mardi 27 novembre a eu lieu la 2ème édition des "Rencontres IoT for Business" au sein de la boutique Orange Opéra, à Paris. Près de 80 participants y ont pris part dans un esprit d’échange et d’animation de l’écosystème IoT.
Découvrez la Keynote de Valérie Cussac, Vice-Présidente Business Unit Mobile chez Orange Business Services, qui a ouvert l’événement avec une présentation de la stratégie qu’Orange définit avec ses partenaires sur le marché de l’IoT.
Bilan 2016 observatoire mondial investissement industrielTrendeo
Plusieurs conclusions peuvent en effet être retirées de l’analyse des données 2016 :
l’industrie mondiale est dynamique : dans plus de 140 pays, plus de 3600 projets entraîneront la création de 1 228 000 emplois, avec un investissement global de 2 400 milliards de dollars annoncés ;
par les montants investis, l’énergie s’impose comme le premier secteur de façon écrasante. Un indicateur parmi d’autres : neuf des dix plus gros projets par les montants investis sont dans le secteur énergétique (extraction de pétrole, liquéfaction de gaz naturel, nucléaire…) ;
pour les emplois créés, l’électronique grand public est le premier secteur. Sept des dix premiers projets par le nombre d’emplois créés sont dans ce secteur (téléphonie mobile, écrans LCD…) ;
parmi les critères de l’usine du futur, la numérisation est le plus fréquemment mis en avant dans les projets recensés, avec 17% du total des projets recensés ;
certains groupes sont des investisseurs en série, avec plus de 20 projets d’investissements recensés en 2016 (Amazon, Banas Dairy, Indian Oil, Cargill…)
Similaire à Etude Apec - L'internet des objets - tendances métiers dans l'industrie (20)
Etude Apec - Perception du télétravail par les cadres, décembre 2022Apec
Sous l’effet des confinements successifs liés au Covid-19, le télétravail des cadres s’est durablement imposé.
Aujourd’hui, deux tiers des cadres télétravaillent de manière régulière, au moins un jour par semaine.
Si les cadres sont très majoritairement satisfaits de pouvoir télétravailler, de nouveaux questionnements se font jour en matière de qualité de vie au travail. En effet, en dépit de ses nombreux impacts positifs, le télétravail ne répond pas à lui seul aux fortes aspirations des cadres sur ce sujet.
Etude Apec - Reconversion professionnelle des cadres, décembre 2022Apec
Des projets rarement radicaux
Des projets qui répondent à 6 grands moteurs :
- La reconnexion à une passion ;
- La quête de sens ;
- La nécessité de rebondir ;
- Le désir de promotion sociale ;
- La recherche de meilleures conditions de travail ou de vie ;
- L’envie d’un second souffle.
Des projets qui nécessitent un accompagnement spécifique
Etude Apec - Le rôle des managers dans les recrutements, décembre 2022Apec
Les difficultés de recrutement, de cadres comme de non-cadres, ont atteint en 2022 des niveaux d’intensité très élevés. Dans ce contexte, mieux comprendre comment les recrutements s’organisent concrètement dans les entreprises revêt un enjeu important.
À ce titre, le rôle des cadres managers est crucial : ils définissent leurs besoins de recrutement dans leur équipe, rencontrent les candidats et sont au coeur de la décision finale. Comprendre plus finement le rôle des managers dans les processus d’embauche et les interactions avec les RH peut ainsi permettre de définir des leviers afin d’optimiser les processus de recrutement.
Etude Apec- La relation des cadres à leur entreprise, novembre 2022Apec
- Les cadres sont globalement investis et attachés à leur entreprise et se sentent considérés en retour
- Les cadres s’interrogent toutefois sur leur degré d’investissement et aspirent à un meilleur équilibre
- Dans une optique de fidélisation, la relation gagne à être nourrie par des actions fortes en matière d’évolution professionnelle et des pratiques favorisant la qualité de vie au travail
Etude Apec - Bac + 6 et plus : quelles opportunités d'emploi cadre dans les e...Apec
Cette étude repose sur les offres d’emploi cadre publiées sur apec.fr par des entreprises du secteur privé entre le premier semestre 2019 et le premier semestre 2022. L’analyse de la répartition des offres par secteur, par région, par type de contrat, par fonction, par famille de métiers tient compte de celles publiées au 1e semestre 2022 uniquement.
Etude Apec - Les salaires des cadres dans 111 familles de métiers - édition 2...Apec
Le salaire médian des cadres en poste (salaire fixe + part variable) s’établit à 51 k€ : la moitié des cadres perçoit un salaire annuel brut inférieur à ce montant et l’autre moitié un salaire supérieur
Les salaires des cadres varient fortement selon la famille de métiers
Le document propose pour 111 familles de métiers une fiche détaillée sur la rémunération
Etude Apec - Difficultés de recrutement de cadres par région et par fonction,...Apec
La dynamique du marché de l’emploi cadre devrait se poursuivre en 2022
Pour satisfaire leurs besoins en compétences cadres, les entreprises font face à des tensions très élevées
De leur côté, les cadres ont conscience que la dynamique du marché de l’emploi leur est particulièrement favorable et affichent leur confiance
Etude Apec - Pratiques managériales 2022, octobre 2022Apec
Les managers ont commencé à faire évoluer leurs pratiques pour répondre à de nouvelles attentes
Ces transformations peuvent mettre les managers face à des dilemmes et accentuer leur sentiment d’être débordés
Les managers souhaitent le rester et la fonction de manager reste une aspiration pour une majorité des jeunes cadres non-managers
Etude Apec - Démissions précoces de cadres, octobre 2022Apec
La majorité des cadres considèrent qu’une démission précoce peut être pénalisante
Pour autant, près d’un quart des cadres a déjà démissionné de façon précoce
Les cadres avancent deux motifs principaux aux démissions précoces : une opportunité dans une autre entreprise et un hiatus entre promesse employeur et réalité vécue du poste
Alimenter la promesse employeur au-delà de l’embauche : un enjeu clé pour la durabilité des recrutements
Etude Apec - Marché de l'emploi cadre dans l'informatique, septembre 2022Apec
En 2021, le marché de l’emploi cadre a retrouvé sa vitalité, ce qui a particulièrement profité aux cadres informaticiens
Les recrutements de cadres informaticiens sont fortement concentrés en Île-de-France et dans les activités informatiques
Pour 2022, la dynamique de fond devrait se poursuivre, notamment pour les métiers du développement informatique
- Selon les définitions de l’Observatoire national des emplois et métiers de l’économie verte, ce sont aujourd’hui 4,4 millions de personnes qui occupent des métiers dits « verts » ou « verdissants », dont près de 800 000 cadres du privé
- Sous l’effet de la transition écologique, le verdissement des emplois va s’amplifier dans de nombreuses activités et entreprises, notamment pour intégrer des modes de production et de consommation moins énergivores et plus durables
- Le développement de l’économie verte nécessite la maîtrise de compétences pointues dans les métiers « verts » et aussi la montée en compétences liée au verdissement
Etude Apec - Baromètre Apec 3e trimestre 2022.pdfApec
Au 2e trimestre 2022, les offres d’emploi sont restées dynamiques et les difficultés à recruter se sont encore intensifiées
Pour le 3e trimestre 2022, les entreprises tempèrent leurs intentions de recrutement de cadres face à l’incertitude économique
Côté cadres, les projets professionnels ne sont pas affectés à ce stade par les inquiétudes vis-à-vis de la situation économique
Etude Apec - Focus sur la rémunération des jeunes cadres, juin 2022Apec
En 2021, les jeunes cadres ont renoué avec des augmentations fréquentes
Ces augmentations font la part belle à la mobilité interne…
… mais n’ont pas permis de réduire les disparités en matière de salaire chez les jeunes cadres entre femmes et hommes
Dans un contexte de fortes tensions géopolitiques et inflationnistes, les perspectives 2022 pour la rémunération des jeunes cadres restent favorables, mais nourrissent une insatisfaction grandissante
Etude Apec - Baromètre 2022 de la rémunération des cadres, juin 2022Apec
La part des cadres ayant bénéficié d’une augmentation en 2021 retrouve presque le niveau d’avant-crise
Les inégalités salariales entre les femmes et les hommes cadres persistent
Dans un contexte de fortes tensions géopolitiques et inflationnistes, la part des cadres augmentés devrait croître en 2022, ainsi que celle des cadres insatisfaits en matière de salaire
En 2021, 7 000 offres d’emploi cadre ont été publiées sur apec.fr dans le champ de la cybersécurité
La cybersécurité en Bretagne : un écosystème riche et dynamique
Une grande diversité de profils sont recherchés par les entreprises
Ces profils sont difficiles à recruter
Etude Apec - Pratiques de recrutements des cadres 2022, juin 2022Apec
Avec le rebond en 2021 des volumes d’embauches de cadres, les difficultés de recrutement se sont intensifiées
Dans ce contexte de concurrence plus vive, les entreprises déploient des stratégies de sourcing plus proactives
Pour concrétiser leurs recrutements, les entreprises commencent à assouplir leurs critères de sélection et renforcent leur promesse employeur
Etude Apec - Recrutements de cadres en 2022 - prévisions Apec révisées, avril...Apec
Les prévisions de recrutements de cadres pour 2022, bien que légèrement minorées du fait des répercussions liées à la guerre en Ukraine, resteraient bien orientées.
Les prévisions 2022 des recrutements de cadres sont basées sur le déclaratif des 8000 entreprises interrogées dans le « panel » Apec, une enquête annuelle, et révisées par des éléments prenant en compte notamment les premiers impacts liés à la guerre en Ukraine.
Etude Apec - Baromètre Apec du 2e trimestre 2022, avril 2022Apec
Au 1er trimestre 2022, les entreprises ont été plus nombreuses à recruter des cadres malgré des difficultés de production (absences liées au Covid-19, difficultés d’approvisionnent) et de recrutement.
L’incertitude liée à la guerre en Ukraine et ses impacts affecte la confiance des entreprises et entraîne un fléchissement relatif des intentions de recrutement dans les PME et les grandes entreprises.
Côté cadres, le marché jugé plus favorable incite à être davantage à l’écoute des opportunités.
Etude Apec - Attractivité des entreprises et emplois cadres en Guadeloupe, no...Apec
Ce document revient sur les spécificités économiques en Guadeloupe. Il aborde les difficultés et les enjeux du recrutement de cadres sur ce territoire et propose des pistes d'action pour les entreprises.
Etude Apec - Attractivité des entreprises et emplois cadres en Guadeloupe, no...
Etude Apec - L'internet des objets - tendances métiers dans l'industrie
1. –
Le volume d’offres d’emploi publiées par l’Apec demandant des compétences dans
l’Internet des objets (IoT) pour l’industrie a progressé de 113 % entre 2015 et 2016.
Cette augmentation s’explique notamment par la diversification des domaines applicatifs
couverts par l’Internet des objets. De nombreux industriels de l’aéronautique, de la
plasturgie ou encore de l’énergie utilisent l’IoT pour améliorer les process de fabrication
et de maintenance. De surcroît, l’IoT révolutionne les services rendus aux consommateurs,
comme dans le domaine des industries de santé, où nombre d’appareils connectés se
développent pour établir des diagnostics et soigner. Dans de multiples secteurs, des
compétences sont donc recherchées pour concevoir, tester, mettre en place ces objets
connectés. Celles-ci mobilisent essentiellement des savoir-faire dans le champ de
l’informatique et de l’électronique embarquée.
–L’INTERNET
DES OBJETS–
TENDANCE MÉTIERS DANS L’INDUSTRIE
Avec le concours
du Programme d’Investissements d’Avenir
2. APEC – TENDANCE MÉTIERS DANS L’INDUSTRIE : L’INTERNET DES OBJETS2
–LES ENJEUX–
– Figure 1 –
Les deux principaux usages de l’IoT dans l’industrie
1. Fédération des industries
mécaniques, Guide de pratique de
l’usine du futur. Mai 2016.
2. Rapport d’information déposé par
la Commission des affaires
économiques du Sénat sur les objets
connectés, janvier 2017.
3. https://www.canal-de-provence.com/
LinkClickaspx?fileticket=4jGU5b8d
%2BUA%3Dtabid=82language
=fr-FR
4. http://www.journaldunet.com/
ebusiness/internet-mobile/
1189813-iot-mantra-airbus/
5. http://www.usinenouvelle.com/
article/la-plasturgie-se-dope-aux-
capteurs.N196133
6. Le cocktail IoT de Pernod-Ricard pour
se rapprocher de ses clients.
Le Journal du Net, 20/03/2017.
7. http://www.zoomdici.fr/actualite/
Des-semelles-connectees-
intelligentes-valorisees-par-
Thuasne-id144493.html
L’Internet des objets (IoT) consiste, grâce à une
technologie embarquée (capteurs, actionneurs, puces
RFID…), à identifier et à faire communiquer entre eux
tous les maillons des chaînes de valeur (machines,
produits en cours de fabrication, finis, en cours
d’utilisation, collaborateurs, fournisseurs,
infrastructure…) que l’on peut désigner comme des
objets. Ces objets, au travers de dispositifs
d’instrumentation, génèrent et reçoivent quantité
considérable de données qui sont alors véhiculées au
travers d’un réseau local ou d’Internet. Les données
issues de l’IoT pourront être traitées et exploitées en
temps réel1
, pour déclencher des opérations à
distance, réguler des flux, ou encore analyser et
prédire des comportements individuels ou collectifs.
La croissance de l’IoT est décrite comme exponentielle.
Différentes sources permettent d’estimer le nombre
d’objets connectés en 2020 dans une fourchette
allant de 30 à 80 milliards2
.
Le marché applicatif de l’IoT apparait d’ores et déjà
extrêmement varié : bâtiment, espaces publics, santé,
grande consommation… Le domaine industriel est
aussi concerné, avec de nombreuses applications dans
la conception et la fabrication (figure 1).
Source : Apec, 2017.
Quelques exemples en fabrication et maintenance :
Le Canal de Provence a installé des capteurs et des
appareils de mesure pour contrôler le débit de l’eau,
sa pression, son niveau, etc. et assurer en temps réel
depuis son centre de gestion une régulation
dynamique de l’infrastructure3
.
Dans l’aéronautique, les flottes sont désormais
équipées de capteurs pour assurer les opérations de
maintenance de chaque appareil. Certains
constructeurs comme Airbus peuvent aussi détecter
l’état d’usure des freins d’atterrissage, notamment en
fonction du nombre de vols enregistrés, ou vérifier
l’intégrité des gilets de sauvetage4
.
De grands plasturgistes se mettent aussi à
incorporer des capteurs pour créer les moules
instrumentés qui serviront de prototypes pour le
moulage de pièces en série. Servant entre autres de
détecteurs de pression et de température, ces
capteurs fonctionnent avec des régleurs et logiciels
de visualisation permettant de piloter les procédés5
.
Quelques exemples en conception :
Dans l’agroalimentaire, des produits peuvent
contenir des puces permettant d’offrir aux clients de
nouveaux services. Par exemple, le groupe Pernod-
Ricard a fait de ses bouteilles de spiritueux des objets
connectés permettant aux clients d’accéder via leur
smartphone à des contenus produits par le groupe
(playlist musicale, recettes…)6
.
Dans la santé, le groupe Thuasne a mis au point
des semelles connectées pour avertir des patients
diabétiques de la présence de lésions aux pieds,
celles-ci pouvant donner lieu à une amputation7
pour
ces personnes à risque.
Les capteurs équipant les machines de
fabrication ou les produits finis permettent
de produire des mesures afin de contrôler la
fabrication, d’optimiser les process, d’anticiper
des pannes et de programmer la maintenance.
AMÉLIORER LES PROCESS
DE FABRICATION ET DE
MAINTENANCE
De nombreux objets sont déjà connectés,
ouvrant des possibilités d’interactions directes
avec les clients.
CONCEVOIR DE NOUVEAUX
PRODUITS ET SERVICES
POUR LES CLIENTS
3. APEC – TENDANCE MÉTIERS DANS L’INDUSTRIE : L’INTERNET DES OBJETS 3
–LES IMPACTS MÉTIERS–
8. http://www.usine-digitale.fr/
article/dans-sa-voiture-connectee-
bmw-mise-sur-le-potentiel-de-
samsung.N314576
Dans l’automobile, l’informatique et l’électronique
embarquées permettent déjà aux véhicules d’interagir
entre eux, de communiquer directement avec les
infrastructures et prestataires de services. L’IoT permet
d’aller encore plus loin. BMW a ainsi créé un véhicule
pouvant être contrôlé par une montre connectée8
, tandis
qued’autresconstructeursanticipentlevéhiculeautonome,
capable de se mouvoir sans intervention humaine.
Le périmètre de l’IoT est d’autant plus diversifié qu’il peut
englober celui, tout aussi vaste, du M2M (Machine-to-
Machine) qui désigne un autre mode de communication
inter-machine. La différence entre les deux modes de
connectivité est avant tout technique, même si elle est
dépendante de l’usage qui peut en être fait. L’IoT utilise
une technologie bas débit et moyenne voire longue
portée (type LPWA) pour permettre aux objets de
communiquer des données via le cloud avec une grande
flexibilité, là où le M2M repose sur l’utilisation de
réseaux mobiles à plus faible portée (réseaux cellulaires,
wifi…). Face au potentiel de développement de l’IoT, le
principal défi identifié par l’Arcep (Autorité de régulation
des communications électroniques et des postes) est de
s’assurer de la disponibilité de ressources rares (codes
réseaux, accès aux fréquences, etc.) pour assurer la
connectivité des objets de demain.
En France, le marché de l’IoT est partagé par plusieurs
types d’entreprises, à commencer par les opérateurs
L’Internet des objets a des impacts principaux sur deux
types de métiers :
L’ensemble des métiers de l’industrie qui vont utiliser
des objets connectés. C’est le cas en particulier pour
la plupart des métiers de la maintenance, de la
logistique ou de la production. L’IoT permet une
intégration verticale des systèmes de production : les
opérateurs, les machines, les équipements sont
connectés, ils communiquent entre eux et avec les
systèmes d’information. Ceci permet une
reconfiguration dynamique des systèmes de
production et de la chaîne logistique, de même qu’un
pilotage de la production au plus juste avec un suivi
en temps réel.
Les métiers qui vont implémenter les objets
connectés : informaticiens et spécialistes de
de télécommunication qui fournissent des solutions
bas débit pour les objets connectés et les modes de
consommation intelligents. Sigfox est parmi les plus
connues, la start-up française ayant acquis, depuis sa
fondation à l’aube des années 2010, une renommée
internationale. Sur le territoire français, ce réseau est
concurrencé par trois acteurs majeurs : le consortium
LoRa ainsi que les entreprises Qowisio et Matooma.
Parmi les acteurs du marché de l’IoT, on trouve aussi
les concepteurs d’objets connectés. La gamme est ici
très large. Elle inclut des sociétés d’ingénierie, à
l’instar de Maya Technologies, tournées vers
l’accompagnement d’utilisateurs grands-comptes
dans la conception et l’industrialisation de produits
à haute technologie comme les systèmes embarqués,
mais aussi une myriade de start-up parmi lesquelles
Withings (créatrice en 2014 de la première montre
connectée et rachetée en 2016 par Nokia) qui figure
dans le Top 100 de l’IoT établi par Forbes en 2015.
Le défi pour ces start-up est d’assurer leur pérennité
sur un marché où la rapidité des innovations
technologiques peut entraîner une obsolescence de
beaucoup d’objets connectés. La question du retour
sur investissement des solutions mises sur le marché
est également très importante pour ces structures : à
quels besoins répondent-elles ? Sont-elles rentables ?
Le marché de l’IoT est donc en pleine structuration
dans un contexte où le champ des domaines
applicatifs possibles ne cesse de croître.
l’électronique embarquée de la conception à la mise
en place. Ils impliquent de savoir programmer, de
savoir doter les systèmes de capacités de raisonnement,
de savoir développer et intégrer des solutions
complexes, de comprendre le mode de fonctionnement
des mécanismes de connectivité, de transmission de
données, des systèmes de communication sans fil... Ils
engagent aussi parfois des compétences en mécanique
pour être en capacité de résoudre des problèmes
technologiques rencontrés par un boitier électrique, un
capteur… Sur tous ces plans technologiques, des savoir-
être sont attendus, notamment dans le champ de
l’anticipation. En effet, les experts s’entendent sur le
fait que l’IoT ne fait pas forcément appel à des
compétences technologiques nouvelles, mais qu’il
implique de savoir faire cohabiter des solutions
4. APEC – TENDANCE MÉTIERS DANS L’INDUSTRIE : L’INTERNET DES OBJETS4
–LES OPPORTUNITÉS–
– Figure 2 –
Nombre d’offres demandant des compétences en IoT dans l’industrie publiées par l’Apec en 2015 et 2016
Source : Offres Apec diffusées en 2015 et 2016 demandant des compétences en IoT dans l’industrie.
En 2016, moins d’1 offre sur 10 a concerné des postes
enlienavecl’IoTmaisnedemandantpasnécessairement
de compétences indispensables en la matière. Une
appétence pour l’IoT peut toutefois apparaitre comme
un avantage ou un « plus ». C’est typiquement le cas de
cette entreprise d’électroménager spécialisée dans la
création de tables de cuisson et qui indique dans le profil
recherché : « Une connaissance de l’univers de la cuisine,
des biens d’équipement de la maison, de l’informatique
embarquée ou des objets connectés constitue un plus. »
En revanche, plus de la moitié des offres concernent des
postes qui demandent une réelle compétence en matière
d’IoT, d’objets connectés ou de systèmes embarqués, mais
sans exiger une expérience importante dans le domaine.
C’est le cas notamment de cette offre d’emploi pour un
ingénieur développement logiciel (encadré 1).
Dans presque 4 cas sur 10, une expertise est recherchée,
souvent dans le but de rejoindre des acteurs majeurs du
secteur. Celle-ci est déterminée par le nombre d’années
d’expérience exigé, les missions attachées au poste, la
multiplicité des compétences techniques spécifiques
recherchées… C’est ce que demande notamment cette
société de conseil à la recherche d’un profil d’architecte
IoT. Le niveau d’expertise souhaité est élevé : « Profil :
Ingénieur Epitech, UTBM, ESIEE. Vous bénéficiez d’au
moins 5 ans expérience sur les IoT. » Cette offre pour un
ingénieur développement en électronique embarquée en
constitue également un exemple marquant (encadré 2).
existantes ou en devenir pour répondre aux grands
enjeux de demain, d’où la nécessité de se montrer
curieux et réactifs. Pour les métiers liés à la conception,
l’IoT a également un impact majeur ; il permet d’avoir
un retour de l’expérience client plus juste et plus rapide
afin de permettre une conception conforme à
l’utilisation qui en est faite. De nouveaux services
peuventêtreproposésenconséquence.Lesconcepteurs
doivent également obligatoirement s’approprier les
besoins des utilisateurs métiers.
Au-delà de ces métiers et compétences, l’émergence de l’IoT
a des conséquences sur le développement d’autres métiers.
Les objets connectés ont cette capacité à rassembler sur le
cloud une très grosse masse de données qui sont exploitées
à distance, en temps réel. C’est pourquoi leur usage fait
intervenir des spécialistes de la « data » (du concepteur de
base de données à celui qui analyse les informations mises
encirculation…)etdelacybersécurité,étantentenduqu’une
cyberattaque peut altérer les capacités d’action des objets
connectés, voire les transformer en systèmes attaquants9
.
9. Apec, Cybersécurité en Bretagne :
l’enjeu des compétences, 2017.
En 2016, l’Apec a diffusé 340 offres d’emploi
demandant des compétences en IoT dans l’industrie,
contre 160 offres en 2015 (figure 2). Le nombre
d’offres a donc augmenté de 113 % en un an.
2015
2016
L’IoT comme compétence souhaitée L’IoT comme compétence exigée L’IoT comme expertise
10 160
340
93 57
25 186 129
5. APEC – TENDANCE MÉTIERS DANS L’INDUSTRIE : L’INTERNET DES OBJETS 5
– Encadré 1–
Extrait d’offre d’emploi diffusée sur le site de l’Apec
Source : Offre Apec diffusée en 2016.
–
INGÉNIEUR DÉVELOPPEMENT LOGICIEL H/F
Lieu de travail : Bretagne.
–
Au cœur de l’Internet des objets, rejoignez des projets innovants, précurseurs des transports de
demain ! Avec de grands partenaires industriels, nous allons mettre en place dès 2016, la première
infrastructure routière de services coopératifs. Au cœur de ce projet, nous concevons les produits
qui équiperont ou communiqueront avec ces nouveaux véhicules. Dans le cadre de projets
collaboratifs français ou européens, nous développons aussi tous les capteurs qui y seront raccordés.
Poste et missions : Nous renforçons actuellement notre équipe de développement sur ces projets. Rattaché au
Responsable Développement Produits, vous serez en charge de mener les études et les développements associés
aux différents protocoles de télécommunication, aux logiciels embarqués, aux algorithmes de détection, aux
logiciels de gestion.
Profil : Ce poste est ouvert aux débutants justifiant d’une compétence dans les télécoms réseaux et dans le
développement de logiciels. Votre naturel curieux et ouvert vous permettra d’évoluer dans des projets variés et
de partager votre travail avec des équipes internationales. L’anglais est indispensable. Compétences abordées
- WiFi, Bluetooth, IP, TCP - XML, Web services – Linux.
– Encadré 2–
Extrait d’offre d’emploi diffusée sur le site de l’Apec
Source : Offre Apec diffusée en 2016.
–
INGÉNIEUR DÉVELOPPEMENT ÉLECTRONIQUE EMBARQUÉE H/F
Lieu de travail : Midi-Pyrénées.
–
Société toulousaine experte en Télécoms travaillant dans l’Internet des objets pour le développement
de solutions innovantes et ultracompétitives incluant le développement d’objets connectés.
Poste et missions : Intégré(e) à l’équipe projet, vous apporterez vos compétences dans les domaines suivants :
Rédaction de spécification carte (I/O muxing, document d’interface) à partir de l’expression du besoin
fonctionnel. Conception et développement de carte numérique et/ou analogique. Validation matérielle.
Profil : De formation supérieure (école d’ingénieurs, université...), spécialisée en électronique embarquée. Vous
possédez une ou plusieurs expériences réussies dans le développement de cartes électroniques pour l’Internet
des objets, en incluant idéalement les aspects Software. Environnement : Internet des objets, systèmes
embarqués, Télécoms mobiles. Technique : Architecture / Schématique / CAO / Routage / Sélection de
composants. Suivi BOM (Bill of materials) et fabrication PCB (Printed circuit board). Choix / Dimensionnement
des composants. Gestion d’obsolescence. Plan de validation HW. Le développement d’outils de validation est
un plus. Étude des contraintes normatives / CEM. Rédaction d’ICD (Interface Control Document). Gestion de
projet Agile (Scrum, Kanban). Anglais courant : utilisation quotidienne, lecture de documents, mailing,
échanges.
6. APEC – TENDANCE MÉTIERS DANS L’INDUSTRIE : L’INTERNET DES OBJETS6
Extrait d’entretien auprès d’une entreprise recrutant un ingénieur électronique et logiciel embarqué.
« En IoT, il faut des compétences propres. Nous, on recrute des ingénieurs qui savent programmer en
hardware, tester, rédiger des rapports d’échecs mais aussi de réussites et récupérer les données
stockées sur le Web. Il s’agit avant tout de profils d’informaticiens, pas d’électroniciens, avec des
compétences techniques propres en C++, Javascript, Notes. Ce sont vraiment des compétences
particulières à l’univers embarqué et qui fait qu’un ingénieur logiciel, s’il n’a pas d’expérience dans ce
domaine, fera difficilement l’affaire. »
–LES COMPÉTENCES RECHERCHÉES–
La plupart des postes pour l’IoT dans l’industrie
s’adressent à des informaticiens et demandent des
bagages techniques particuliers. De manière
secondaire, on trouve également parmi les offres
publiées des propositions d’emplois davantage
orientés vers la conception des objets (avec un volet
RD) et l’encadrement ou le pilotage de projets IoT.
–
LES INFORMATICIENS AYANT UN
PROFIL TRÈS SPÉCIALISÉ SONT TRÈS
RECHERCHÉS
–
Les métiers de développeur, d’architecte, d’ingénieur
système sont les plus recherchés parmi les entreprises
recrutant en IoT dans l’industrie. Ils nécessitent des
compétences clés que ce soit en maîtrise des langages
de programmation (Javascript, Python, C++…) ou en
systèmes d’exploitation (iOS, Linux, Android…). Ces
technologies sont présentées comme spécifiques à
l’univers embarqué ou mobile.
Une entreprise spécialisée dans les systèmes de
transport intelligents, la mobilité et la santé indiquait
ainsi pour un poste d’ingénieur développement
télécom la nécessité pour le candidat de disposer,
entre autres, d’une « expérience en programmation
orientée objet avec Java bases de données
relationnelles et non relationnelles langages de
Pour ces postes, les recruteurs rencontrent parfois des
difficultés à recruter, ce qu’ils attribuent à la pénurie de
candidats adéquats, au manque de formations
technologiques existantes, au manque d’attractivité de
certaines filières mais aussi des entreprises françaises
comparées à des structures implantées à l’étranger.
balisage et de script tels que HTML, JavaScript, CSS ;
langages de modélisations tels qu’UML, OCL,
langages de tests tels que TTCN-3 et méthodes
associées si possible… » Cette même précision est
donnée pour un poste d’ingénieur Java IoT proposé
par un cabinet de recrutement nantais : « Vous
disposez surtout d’une bonne vision Objet et
idéalement d’une expérience sur les environnements
Java embarqués, mobile et/ou informatique
industrielle. »
Le socle de connaissances demandées concerne aussi
directement les domaines de l’électronique et/ou de
la télécommunication, notamment en ce qui concerne
les réseaux et périphériques de communication, les
modes de traitement des images ou des signaux, les
radiofréquences et protocoles de communication.
L’ensemble de ces compétences sont propres aux
informaticiens recherchés dans l’IoT. Elles les
distinguent des informaticiens travaillant dans
d’autres domaines d’activité. Ainsi, les passerelles
depuis d’autres métiers de l’informatique sont
difficiles à envisager, comme l’indique ce recruteur :
« Pour l’IoT, il faut un bagage. L’embarqué, c’est
vraiment un outil à part. C’est comme si moi qui suis
sur un poste de RH vous envisagiez de me passer à
l’univers de la finance… Nous, on recherche des
informaticiens qui puissent développer des logiciels
embarqués, avec des savoir-faire en Linux embarqué,
domaine applicatif, en architecture système et produit
IoT. »
Une entreprise cherchant à recruter depuis 2016 un
ingénieur expérimenté électronique et logiciel
embarqué expliquait n’avoir toujours pas réussi à
embaucher pour ce poste : « Il y a très peu d’écoles qui
forment aux technologies concernées par l’IoT. Ou
quand elles existent, les promotions sont trop récentes
7. APEC – TENDANCE MÉTIERS DANS L’INDUSTRIE : L’INTERNET DES OBJETS 7
et pas assez nombreuses. Nous on recherche des profils
spécifiques. Pas des informaticiens qui maîtrisent du
Java. On recherche des compétences en Javascript,
logiciel embarqué. » Une autre entreprise a mis
plusieurs mois à recruter un développeur Linux
embarqué : « Pour ce poste, nous n’avons reçu qu’une
quinzaine de candidatures. Le recrutement a duré plus
de 9 mois. Pendant tout ce temps d’attente, les projets
de développement ont été gelés. On manque d’écoles
en France dans ces champs-là. » Aussi, lorsqu’une
entreprise recherche un candidat très expérimenté,
elle doit considérer son parcours plus que sa
formation. L’impératif pour les recruteurs est alors de
trouver un candidat avec des compétences
informatiques associées à des connaissances en
capteurs de mouvement, en logiciels embarqués…
Ainsi, une autre entreprise du secteur de la santé a
recruté un ingénieur logiciel IoT avec 9 ans
d’expérience notamment dans l’univers des montres
connectées.
–
EN MINEUR, CHEFS DE PROJET IOT ET
CONCEPTEURS IOT SONT AUSSI
RECHERCHÉS
–
D’autres profils sont aussi recherchés par les
entreprises dans le domaine de l’IoT, mais en nombre
moindre. C’est le cas des chefs de projet IoT ou des
responsables innovation IoT dont les missions se
croisent parfois, selon que le chef de projet est à
l’origine ou pas de développement de solutions.
–Encadré 3–
Extrait d’offre d’emploi diffusée sur le site de l’Apec
Source : Offre Apec diffusée en 2016.
–
CHEF DE PROJET INNOVATION IOT H/F
Lieu de travail : Rhône-Alpes
–
Poste et missions : Vous participez à la création de nouveaux concepts dans le domaine de l’IoT. Vous
développez des solutions techniques et contribuez à la mise en place des plateformes technologiques dans le
domaine. Vous assurez également la qualité, l’efficacité et l’adéquation économique des prototypes présentés
en collaboration avec les équipes projets innovation ou développement de nos Business Units. Enfin, vous
mettez en place des observatoires technologiques en phase avec les road map du Pôle en vous assurant de la
liberté d’exploitation et en contribuant à la protection industrielle des innovations.
Profil : De formation supérieure technique et scientifique de type École d’Ingénieurs ou Docteur en systèmes
de télécommunications numériques avec une expérience significative de préférence dans la production grand
public. Vous disposez d’une capacité créative et d’initiative pour investiguer des idées nouvelles et mettre en
œuvre des solutions très diversifiées définies seulement dans leurs grandes lignes au départ. Vous maîtrisez les
langages informatiques du domaine : C, C++, Java, Javascript, HTML5 ainsi que les plateformes du domaine :
iOS, Android, Windows, Services Cloud. Vous avez une bonne vision d’ensemble autour de votre domaine :
électronique et software embarqué, multimédia, protocoles de communication. Vous avez fait vos preuves dans
la gestion de projet (management des ressources internes et externes, analyse des risques, pilotage de
réunions, coordination des différents acteurs). Votre leadership et votre capacité d’animation vous permettent
d’être un acteur incontournable et moteur dans les groupes projets pluridisciplinaires. L’anglais courant est
indispensable.
8. APEC – TENDANCE MÉTIERS DANS L’INDUSTRIE : L’INTERNET DES OBJETS8
Pour ces postes de management de projet, des
ingénieurs sont principalement recherchés pour leurs
compétences techniques dans le domaine de
l’informatique et de l’IoT, mais aussi pour leur
capacité à gérer des projets industriels de bout en
bout. C’est typiquement ce que recherchait cette
start-up lyonnaise, spécialisée dans le développement
mobile, lorsqu’elle a publié son offre pour un poste
de chef de projet IoT : « Vos missions seront : Assurer
la réflexion en amont du projet - Établir les cahiers des
charges complets, ainsi que l’analyse des risques, des
contraintes - Assurer le pilotage interne et externe
(bureau d’études, usines internationales, services
marketing, développement, design…) - Gérer
l’industrialisation des produits (aller-retour avec les
usines chinoises)... »
Ce type de poste implique aussi d’avoir une vision
systémique des solutions développées, c’est-à-dire la
capacité de comprendre l’architecture d’un projet et
–Encadré 4–
Extrait d’offre d’emploi diffusée sur le site de l’Apec
Source : Offre Apec diffusée en 2016.
–
EXPERT EN SOLUTIONS D’OUTILS INTELLIGENTS H/F
Lieu de travail : Midi-Pyrénées
–
Poste et missions : Démontrer une connaissance et une expérience de l’analyse des outils intelligents •
Identifier les opportunités et créer la valeur commerciale via les solutions d’outils intelligents • Définir le bon
équilibre entre « la meilleure innovation » et les « solutions durables et exploitables » • Développer et maintenir
un haut niveau de connaissance de l’évolution des technologies.
Profil : Titulaire d’un diplôme Bac +5 (ou équivalent) dans un domaine technique • Expérience pertinente
d’au moins 5 ans dans le domaine de l’Internet des objets industriels (IoT) • Expérience en tant que
responsable de projet dans un environnement complexe • Sens du leadership • Capacité à gérer les
changements de priorités • Capacité à diriger une équipe dans un cadre transnational • Niveau avancé
d’anglais.
de travailler en mode transverse. Pour un poste de
chefdeprojettechnique,cespécialistedel’équipement
électroménager recherchait ainsi un candidat ayant
une « capacité à structurer, à interagir, à faire adopter
de nouvelles méthodes de travail et à travailler en
transversal. Vous savez à la fois interagir avec des
interlocuteurs très technologiques et travailler en
bonne synergie des interlocuteurs métiers (marketing,
RD, design, qualité...). » Dès lors, un sens de la
communication, de l’argumentation, de l’écoute est
très souvent attendu.
Une vision marketing peut aussi être appréciée pour
ces postes. Anticiper les besoins du marché, les décliner
en offre produit, réussir à la modéliser en approche
commerciale sont des axes stratégiques pour les
entreprises. Car, si les recruteurs de l’IoT aiment les
profils d’autodidactes, de « bidouilleurs », ils ont des
impératifs financiers forts qui limitent le champ de
l’innovation.
Extrait d’entretien auprès d’une entreprise spécialisée dans les dispositifs médicaux
« On veut développer des nouveaux produits, pas des gadgets. On est là pour soigner et soulager des
pathologies. Et on fait de la production en masse. Donc il ne faut pas partir dans des innovations
qui vont être impossibles à produire en grande quantité. Il faut cette prise de recul : je ne cherche pas
juste une innovation, je cherche quelque chose qui va pouvoir être efficace, pouvoir être produit en
grande quantité, et vendu à un prix suffisamment raisonnable pour qu’il puisse être vendu. »
9. APEC – TENDANCE MÉTIERS DANS L’INDUSTRIE : L’INTERNET DES OBJETS 9
–LE MARCHÉ–
–
LE SECTEUR DE L’INGÉNIERIE RD
EST LE PREMIER DIFFUSEUR D’OFFRES
DANS L’IOT
–
Près de 6 offres sur 10 demandant une compétence
ou une expertise IoT dans l’industrie émanent de
sociétés d’ingénierie RD. Le deuxième secteur le plus
représenté est celui des entreprises spécialisées en
équipement électronique. Celles-ci représentent près
d’un cinquième des offres publiées. Le reste des offres
est publié par d’autres secteurs, relevant de domaines
d’activité très hétérogènes (automobile, aéronautique,
mécanique…). 16 % proviennent de cabinets de
recrutement ou de sociétés de conseil aux entreprises
pour lesquels le client final est difficilement
identifiable (figure 3).
–Figure 3–
Les principaux secteurs d’activité qui recrutent des postes en IoT
Source : Offres Apec diffusées en 2016 demandant des compétences en IoT dans l’industrie.
Ingénierie
RD
Équipement
électrique
Intermédiaires du
recrutement, sociétés
de conseil et gestion
des entreprises
Autres
57 %
17 %
16 %
10 %
Ainsi, dans de nombreux cas, les entreprises qui
recrutent en IoT agissent pour le compte de clients
relevant de domaines diversifiés (le médical, la
fabrication de matériel de transport, l’hydraulique...).
C’est le cas de cette entreprise qui se décrit à travers
son offre de « Lead developer embarqué » comme une
« Jeune start-up dans le domaine de l’Internet des
objets (IoT) appliqué à la médecine, notre client est
actuellement en fin de qualification et mise en place
de l’industrialisation de son premier produit. »
Prestataires de premier ou deuxième rang, certaines
entreprises placent leurs recrues directement chez leur
client final, tandis que d’autres assurent l’intégralité
de la production de solutions IoT en interne. Par
exemple, ce bureau d’études industriel positionné sur
le champ des solutions électroniques et informatiques
embarquées recherche des ingénieurs et de chefs de
projet développement hardware pouvant intervenir :
« dans des secteurs tels que le multimédia, les
télécommunications, la télématique, l’industriel, le
médical, l’Internet des objets… Nous développons pour
nos clients des produits électroniques, depuis les
spécifications et le design jusqu’à l’industrialisation et
la mise en production. »
Par ailleurs, il faut préciser qu’à côté de jeunes pousses
industrielles aux effectifs salariés faibles, certains
diffuseurs d’offres IoT ont un rayonnement qui dépasse
la sphère nationale et sont de taille conséquente. C’est
le cas de ce groupe qui se présente comme l’un des
« leaders mondiaux du conseil, des services
informatiques et de l’infogérance présent dans 40
pays. »
10. APEC – TENDANCE MÉTIERS DANS L’INDUSTRIE : L’INTERNET DES OBJETS10
–
L’ÎLE-DE-FRANCE DRAINE 40 %
DES OFFRES D’EMPLOI
–
En matière de distribution géographique, l’Île-de-
France est la plus représentée parmi les annonceurs,
avec près de 40 % des offres d’emploi demandant une
compétence ou une expertise dans l’IoT industriel
(carte). Elle est suivie par deux territoires locomotives
sur des industries de pointe : l’Occitanie et la région
Auvergne-Rhône-Alpes. Ainsi, beaucoup d’offres en IoT
de la région Occitanie sont en lien avec la spécificité
de la région, et particulièrement de l’agglomération
toulousaine, dans l’aéronautique. Une start-up
toulousaine a par exemple publié une offre d’ingénieur
expérimenté électronique et logiciel embarqué.
Spécialisée dans la fabrication de matériel de
géolocalisation destiné à assurer la sécurité des biens
et des personnes, cette entreprise explique intervenir
« sur des véhicules qui transportent les bagages au sein
des aéroports, qui font le plein de carburants des avions
ou qui les déplacent. Les ingénieurs y ont installé des
GPS et des capteurs de choc pour surveiller la conduite
des engins. » Autre exemple, en région Auvergne-
Rhône-Alpes, où Grenoble se démarque par sa
spécificité dans l’électronique, un leader mondial des
hautes technologies a publié une offre de concepteur
IoT junior chargé de développer des solutions
industrielles en IoT.
– Carte –
Répartition des offres IoT dans l’industrie par régions en France métropolitaine
1 %
1 %
2 %
1 %
2 %
2 %
3 %
3 %
10 %
22 %
38 %
16 %
Source : Offres Apec diffusées en 2016 demandant des compétences en IoT dans l’industrie.
0 %
11. APEC – TENDANCE MÉTIERS DANS L’INDUSTRIE : L’INTERNET DES OBJETS 11
– Figure 4–
Expérience demandée dans les offres
Débutant Toute expérience Expérimenté
6 % 31 % 63 %
Source : Offres Apec diffusées en 2016 demandant des compétences en IoT dans l’industrie.
L’objectif de l’étude était de repérer, parmi les offres d’emploi publiées par l’Apec, celles pour des postes de cadres
demandant des compétences en IoT pour l’industrie. Ont ainsi été extraites les offres publiées par l’Apec en 2015
et en 2016 comprenant les mots-clefs « IoT » et « Internet des objets ». Seules les offres mentionnant explicitement
que le poste nécessitait des compétences, même sommaires, en IoT ont été conservées. Les autres secteurs qui
ne sont pas en lien avec l’industrie (construction, grande consommation, médias…) ne sont pas couverts ici. De
plus, les nombreuses offres provenant d’entreprises des activités informatiques n’ont pas été retenues. Ces offres
peuvent en effet concerner potentiellement un nombre très important de secteurs applicatifs et il est difficile
d’isolerlesoffresquiconcernentdirectementlesecteurindustriel.Encomplémentdecetteanalyse,desentreprises
ou cabinets de recrutement ayant publié des offres en 2016 ont été interrogés. Ces entretiens, associés à une
recherche documentaire, ont permis d’apporter un éclairage complémentaire sur le sujet.
MÉTHODOLOGIE
–
LES CANDIDATS EXPÉRIMENTÉS SONT
PRIVILÉGIÉS MAIS LES ENTREPRISES
RESTENT OUVERTES AUX DÉBUTANTS
–
En 2016, 63 % des offres demandant des compétences
ou une expertise dans le champ de l’IoT s’adressaient à
des candidats expérimentés (figure 4). La durée
d’expérience requise peut parfois atteindre les 10 ans,
notamment dans le domaine des logiciels embarqués.
Typiquement, un fournisseur de modules cellulaires
pour objets connectés, localisé en Île-de-France, a publié
un poste d’ingénieur architecte logiciel pour lequel
étaient demandés « plus de 10 ans d’expérience dans
le développement logiciel embarqué en langage C ».
À l’inverse, 6 % des offres étaient ouvertes à des profils
débutants même si une première expérience, comme les
stages, est toujours attendue. C’est le cas de ce
spécialiste en conception de systèmes électroniques qui
arecherchéuningénieurconceptioncartesélectroniques.
Le poste était adapté à des diplômés de type ingénieur
Bac +5 en électronique ayant « acquis des connaissances
dans la conception de cartes électroniques mixtes au
cours de projets d’études, de vos stages, ou d’une
première expérience professionnelle réussie ».