Gestion de ses réseaux: Facebook, Instagram, You, Pinterest.... mode d'emploi de l'écriture et de l'animation
(formation EDEN - CAROLORAMA - REALIZ 2015)
4. Script
bodybuilding:
tous
en
salle!
• Un
acquis
des
«
experts
du
mélange
»:
VAKOG!
• UMliser
ces
canaux;
• Parler
pour
écrire
;
3
TIPS:
marcher,
s’enregistrer,
tester,
copier
et
être
soi!
5.
6. Une
intro
tout
en
PHILO
l’ABC
de
la
sociabilité
1. Rites:
se
laver
les
dents
a
son
secret
2. Symbole:
des
images
fortes
qui
protègent
3. NarraMon:
entrer
dans
une
histoire
7. 1°
Rites
• Créer
des
habitudes
• Faire
de
ses
posts
des
«
actes
»
• Faire
voir,
c’est
aussi
pousser
au
passage
à
l’acte
• Un
rite,
c’est
toujours
très
2.0
(à
plusieurs
;o)
• Axiome:
bon
post
au
bon
endroit
et
au
bon
moment
8. En
praMque
• Des
gimmick
• De
la
réciprocité
• Du
dialogue
et
donc
des
personnages
qui
apparaissent
• Choisir
les
textes,
les
«
actes
»,
et
les
moments
Il
me
faut
un
agenda
de
mes
posts
et
une
charte
d’écriture!
9. 2°
Symbole:
l’ancêtre
• UMliser
le
dogme
des
images
et
des
mots;
• Suivre
les
tendances:
sport,
actu,
société
….
• Pour
mieux
s’en
démarquer;
• Se
limiter
au
posiMf!!!!
Le
symbole
devient
ce
qu’il
remplace…
comme
un
gros
doudou
10.
11. 3°
NarraMon
• L’histoire
donne
corps
aux
rites
et
aux
symboles;
• On
a
besoin
d’un
mode
d’emploi
pour
nos
habitudes;
Expliquer,
c’est
raconter;
Etre
ensemble,
c’est
raconter;
Découvrir,
c’est
raconter;
S’émerveiller,
c’est
raconter;
12.
13. Se
fixer
des
objecMfs
• Fidéliser:
mes
amis
à
moi
• AffecMf:
plaire
et
séduire
• Informer:
générer,
citer
et
relayer
• Vendre:
persuader
et
favoriser
le
passage
à
l’acte
14.
15. En
théorie
Une
méthode
un
peu
différente
§ Axiome:
«
L’affecMf
se
mérite
».
Carrolorama
va
donc
aussi
caresser
la
main
qui
vous
nourrit
§ Un
ouMl:
le
triangle
de
Chetochine
qui
permet
de
générer
de
l’addicMon.
18. Cela
donne
sur
votre
mur:
-‐ Plaisir
:
Votre
présence
doit
toujours
être
synonyme
de
plaisir
Ni
wear
out
culturel,
ni
agressivité
gratuite
-‐ Afachement:
être
touchant,
faire
par>e
de
la
famille,
tout
cela
se
travaille.
AAen>on
de
ne
pas
tomber
dans
le
pathos
19. En
praMque
-‐ Anxiété:.
Plus
la
fréquence
est
stable
et
régulière,
plus
elle
sera
addictogène:
photo
du
jour,
comments
réguliers,
…
apprenez
à
faire
«
par>e
du
tableau
»
20. Les
Jolts
• On
déteste
mais
ça
foncMonne
– Les
5
les
plus
– Comment
réussir
– Des
chats
et
des
bébés
– Des
phrases-‐dictons-‐
citaMons
– Et
encore:
gratuit,
exemple,
télécharger…
21.
22. 8
TIPS
METHODO
1. Le
principe
d'amorce
2. Les
univers
et
leurs
interacMons
3. La
carte
d'un
monde
4. Les
figures
de
style
5. La
charte
linguisMque
6. Le
clioanger
social
7. Le
pieds
dans
la
porte
8. Les
récits
parallèles
23. 1.
Le
principe
d'amorce
• Le
langage
parlé
se
lit
comme
se
voit
une
image
• Relayer
des
images
et
des
photos
accrocheuses
1. Surprendre,
2. Amuser
et
3. Bousculer
• Ecrire
suivant
la
règle
de
3:
«
clair,
court
et
direct
»
24. 4
praMques
honteuses
des
CM
1. Les
Voici
et
Gala
2. Les
Incipit
3. Les
phrases
volées
(il
me
faut
un
carnet)
4. Le
plagiat
non
assumé
25.
26. Maîtriser
nos
4
facefes
• Je
suis
mon
empreinte
• Je
suis
mon
lecteur
• Je
suis
ma
ville
• Je
suis
ce
que
je
promeus
27. En
théorie
Une
méthode
un
peu
différente
§ Axiome:
«
On
me
voit
au
travers
d’un
adjecMf
».
§ L’ouMl:
Le
markeMng
de
l’empreinte
Cefe
approche
repose
sur
le
choix
d’un
qualificaMf.
Il
doit
se
décliner
sur
tous
les
canaux:
votre
syntaxe,
le
ton
de
vos
posts,
votre
photo
de
profil,
les
photos
que
vous
publiez,
les
sujets
que
vous
retweetez
ou
que
vous
commentez…
28.
29. En
praMque
Cela
donne
sur
votre
mur:
-‐ Présenter:
le
premier
point
de
fixa>on-‐sociale
est
votre
photo.
Il
est
donc
essen>el
qu’elle
reflète
votre
riff.
-‐ Veiller:
être
un
nœud
per>nent
d’informa>ons.
Il
va
falloir
organiser
la
veille
d’infos
(flux
rss,
Google
Alerts),
leur
collecte
et
leur
diffusion.
-‐ S’abonner
et
collecMonner:
un
bon
Riff
se
cul>ve.
A
vos
>roirs!
-‐ Commenter:
Se
choisir
une
ligne
éditoriale
qui
respecte
(et
torde
le
cou)
à
notre
Riff.
30.
31. 2.
Les
univers
et
leurs
interacMons
• C’est
quoi
une
cible?
– Un
client?
– Un
shoppeur?
– Un
prescripteur?
– Un
prospect?
– Le
client
fantasmé?
– Un
consommateur?
– Une
ville,
un
futur,
une
société,
une
jeunesse,
un
état
d’esprit….
Qui
sait?
Qui
choisit?
32. Intro:
Paradigme
de
la
raMonalité
limitée
• L’individu
a
une
capacité
cogniMve
limitée
• Simplifions
notre
discours
d’accroche
• L’individu
ne
recherche
pas
toujours
le
meilleur
choix
• Eduquons
et
sensibilisons
• Le
comportement
humain
serait
le
fruit
de
l’interacMon
avec
son
environnement
• Intégrer
notre
siècle,
notre
ville,
notre
météo…
• Le
consommateur
déMent
des
préférences
stables
• Connaissons
notre
cible
• Les
préférences
seraient
dépendantes
du
contexte
• EmoMons,
humeurs,
faisons
d’une
pierre,
…
36. Partages,
commentaires
et
likes
les
types
d’implicaMon
WARNING:
Intérêt
et
plaisir
sont
les
deux
facteurs
d’implicaMon
• Typologies
– Minimale
– DifférenciaMon
– FoncMonnelle
– Risque
dédramaMsé
– PeMt
plaisir
– Partage
conformiste
– ImplicaMon
sans
risque
– ImplicaMon
foncMonnelle
– ImplicaMon
par
plaisir
– ImplicaMon
totale
37. 3.
Les
figures
de
style
• Oxymore:
des
soldes
pour
Hommes
• Zeugme:
Il
chante
en
anglais
et
en
gesMculant
• Pléonasme:
encore
toujours
• Chiasme:
PeMts
hommes,
crimes
gigantesques
40. 4.
La
charte
linguisMque
• Adapter
son
vocabulaire
• Choisir
une
charte
ou..
• Maîtriser
celle
que
l’on
uMlise
41. 5.
Le
clioanger
social
• Le
principe:
pendre
au
dessus
du
vide
• Mefre
en
haleine
• Susciter
la
curiosité
En
praMque:
effet
de
photo
ou
de
formule,
quesMonnement,
phrase
incomplète,
contenu
ouvert,
signaléMque,
…
42. 6.
Le
pied
dans
la
porte
• Un
peMt
oui
VS
un
non
futur
• Do
ut
Des
• Comment
allez-‐vous?
• Qui
ne
peut
pas
le
plus,
peut
donc
le
moins
• EvocaMon
de
la
liberté:
vous
êtes
libres
mais…
• Besoin
de
comparer
44. 7.
Les
récits
parallèles
• Minimiser
l’effort
cogniMf;
Faire
simple,
drôle,
voire
«
con
»,
«
populaire
»
ou
«
réducteur
»
dans
l’amorce
• Minimiser
l’expérience
d’émoMons
négaMves
pendant
la
prise
de
décision;
Mon
mur
est
trop
court
pour
faire
triste
• Maximiser
la
facilité
de
jusMficaMon
de
la
décision;
Le
pourquoi
j’ai
partagé,
j’ai
lu
ou
j’ai
été
voir?
45. • Les
discours
parallèles
ne
doivent
pas
se
contredire
:
ils
doivent
globalement
rester
cohérents
;
• Il
faut
choisir
un
axe
principal
à
sa
communicaMon
;
• Cet
axe
est
généralement
l’axe
culturel
mais
ce
n’est
pas
toujours
le
cas
;
• Cefe
histoire
prend
le
pas
sur
les
autres;
• Les
autres
récits
sont
secondaires
:
il
ne
doivent
jamais
nuire
à
l’histoire
principale;
• Leur
objecMf
est
de
la
servir
de
façon
indirecte,
de
la
mefre
en
avant.
46. S’imposer
une
cadence
Etre
homogène
et
régulier
• Une
fréquence
:
je
publie
tous
les
jours,
toutes
les
semaines
ou
tous
les
mois?
• Savoir
s’adapter
en
foncMon
de
l’actu!
47. En
théorie
Une
méthode
un
peu
différente
§ Axiome:
«
l’actu
est
autour
de
nous
».
Il
va
donc
falloir
se
connecter
à
elle!
§ L’ouMl:
le
marronnier,
le
«
ce
qui
se
passe
aujourd’hui
».
§ A
vous
de
choisir
votre
fréquence,
le
quoMdien
lui
ne
s’arrête
pas
;o)
48. En
praMque
Cela
donne
sur
votre
mur:
-‐ Fêtes
&
culture
:
chaque
année
des
évènements
sociaux
ou
culturels
interviennent.
Ils
sont
comme
des
balises
qui
rassurent.
En
parler,
en
plaisanter
sur
votre
mur…
est
souvent
très
efficace.
-‐ Actu
sociale
&
poliMque:
pour
peu
que
l’on
sache
alterner
sérieux,
humour
et
prise
de
distance,
l’effet
est
également
garan>.
-‐ Evènements
culturels
&
professions:
Un
maître
mot:
être
actuel!
51. Un mode d’emploi
bien pratique
• On
ne
parle
pas
pendant
l’histoire!
• Le
miroir
est
cassé:
je
m’oublie
au
profit
du
narrateur
• Je
m’idenMfie
au
héros
(et
aux
méchants)
• Je
me
projefe:
je
ne
peux
rester
hors
de
cefe
histoire
52. plus
d'info?
infotamtam@skynet.be
C’est
donc
aussi
un
réflexe…
• La
maman,
le
livre
et
le
garçon
qui
refusait
de
dormir
• La
noMon
de
creuset
social
• L’explicaMon
épigénéMque
(l’éducaMon)
• L’explicaMon
symbolique
(la
recherche
de
sens)
53. Que des avantages
• On ne contredit pas, on
écoute (contrairement aux
arguments)
• On se place comme l’élève
devant la maîtresse: c’est
elle qui sait.
• La tension fournit l’attention
(contrairement à la liste)
54. Le
cousin
de…
• Chez
Freud
– Désir
du
superflu
– Désir
intarissable
(l’apprenMssage
de
la
frustraMon)
• L'exploitaMon
du
désir
par
Bernays
– Pousser
à
consommer
ce
dont
on
n'a
pas
besoin
– Pousser
à
consommer
toujours
plus
56. Briser
un
tabou
par
une
histoire
• L’idée:
– Cigarefe
=
pénis
– Fumer
est
donc
soumission
• L’histoire
– En
29,
la
libéraMon
de
la
femme
– La
statue
de
la
liberté
– Nous
pouvons
aussi
avoir
un
pénis
(et
donc
le
pouvoir)
– Fumer
est
donc
militant
57. Proctor
&
Gamble
Concours
de
sculpture
sur
barres
de
savon
Ivory
37
millions
de
barres
de
savons
écoulées
58. Mise
en
scène
• NoMon
de
stéréotypes
• Des
fiches
qui
s’addiMonnent
• Des
fiches
qui
se
complètent
• Des
fiches
que
Bernays
inventait!
59. des
œufs
et
du
bacon
• L’histoire
des
US
• Des
recefes
ancestrales
inventées
(par
Bernays)
• Et
par
des
médecins
60. Rassurez-‐nous!
• Le
moi
métal
• Bernays
a
été
le
premier
à
voir
dans
la
voiture
le
symbole
de
la
masculinité.
61. Le
Sens
en
commun
• Une
histoire,
c’est
un
truc
qu’on
invente
• Une
bonne
histoire,
c’est
quand
t’y
crois
• Une
super
histoire,
c’est
quand
tu
vibres
en
l’écoutant
• Une
histoire
de
folie,
c’est
le
dernier
truc
qui
m’est
arrivé
• La
meilleure
histoire,
c’est
le
jour
où
je
suis
devenu
un
héros
aux
yeux
de
tous
62. Aristote,
le
précurseur
• Ses
3
axes
du
récit:
1. Ethos
:
de
l’éthique
2. Pathos:
de
l’émoMonnel
3. Logos:
de
la
logique
63. l’Arc
de
la
narraMon
d’Aristote
1. Le
disposiMf
iniMal:
lieu,
personnage(s),
point
de
vue,
décor,
etc.
2. La
descripMon
des
personnages:
leurs
désirs/besoins/intenMons
sont
décrits
3. La
montée
de
l’acMon:
“des
choses
commencent
à
se
passer”
4. Le
retournement
de
la
situaMon:
“nœuds
de
l’intrigue”
ou
complicaMons
64. Suite
5. Reconnaissance:
les
changements
survenus
et
des
choix
doivent
être
faits
6. Le
point
culminant:
lorsque
le
statut-‐
quo
change
d’un
état
à
un
autre
7. La
chute
de
l’acMon:
alors
que
les
bouts
relâchés
sont
noués
8. Le
Dénouement:
la
résoluMon
mène
à
la
fin
65. La
pause
café:
Que
racontent
les
photos
sur
les
distributeurs?
La
fascina>on
qu'exerce
une
bonne
histoire
nous
pousse
à
la
répéter.
Salmon,
2007
66. L’autre
pari
de
Pascal:
Derrière
toute
histoire,
il
y
a
un
fond
de
vérité
67. 1. Raconter des histoires sans
raconter d'histoires
• Du vrai, « sans mentir ».
• une histoire est basée sur
un point de réalité tangible.
• Créer de la cohérence entre l'entreprise,
les marques, les produits et les gens.
– Une seule histoire qui s’impose si je veux
vendre.
– Une histoire qui s’ouvre si je veux stimuler.
68. plus d'info?
infotamtam@skynet.be
2.
Des
histoires
qui
font
avancer
l'histoire
• Des marques qui font avancer
la culture
• Des histoires et des produits qui
améliorent le quotidien des
gens
• Des mythes qui font avancer
collectivement, progresser.
70. 3. Des histoires dont
nous sommes le héros
• Le
héros
ce
n'est
la
marque
ou
l'entreprise
ou
le
produit...
• L'individu
au
centre.
• Comment
la
personne
s'empare
alors
de
l'histoire?
• Comment
le
magasin,
le
produit
sont
alors
des
moyens
de
vivre
l'histoire
?
72. 4.
Une
histoire
dont
je
choisis
la
fin
• Une histoire a un cycle et l'individu
également....
• Chacun entre quand il veut dans
l'histoire et en ressort....
• L'individu doit pouvoir s'impliquer
dans l'histoire à différents niveaux.
74. plus d'info?
infotamtam@skynet.be
5- Des histoires qui offrent
un autre vécu
• L‘histoire doit être
expérience
… imaginaire
• Elle est réussie, elle a été
vécue
• Tant pour l'individu que pour
la marque, le site....
• Alors on veut revivre
l'expérience, racheter les
produits....
77. plus d'info?
infotamtam@skynet.be
6.
Des
histoires
qu'on
partage
• On souhaite la partager.
• On devient alors le porte parole de
l'histoire,
• De la marque du site
• On devient un Story-Teller.
• Très 2.0!