1. Activité de la platforme
Octobre 2012-Décembre 2013 :
Journée porte ouverte à l’IRB afin de présenter le projet INGESTEM et les services offerts par la
plateforme : Plus de 80 personnes présentes
Mise en place Administrative de la plateforme :
-Ecriture d’une chartre de fonctionnement et de contrats de reprogrammation, (définie le cadre
légal de la prestation apportée)
-Mise à disposition de la totalité du budget INGESTEM dédié à l’IRB-Montpellier via le CHU,
-Signature d’un d’accord de transfert de technologie entre DNAvec (Invitrogen) pour produire le
virus Sendai (OKSM facteurs) sur Montpellier (IRB) grâce aux infrastructures spécifiques de l’IRB
(P2/P3).
-Mise en place d’une collaboration technique avec Dr.Roux (Genève) spécialisés sur le virus sendai
afin d’exprimer de nouveaux facteurs (Lin28, …) et de conseils pour résoudre les potentiels
problèmes de production et d’expression
Mise en place Technique : Ecriture des protocoles de routine et de reprogrammation à partir de
Fibroblastes : Feeders SNL, production virus (Lentivirus, rétrovirus non intégratifs, virus sendai…)
Mise en place Pratique : Constitution de stock de feeders (SNL), plasmides, achats milieux, primers,
etc …
Mise en place Stratégique : Point de départ Lentivirus/Rétrovirus afin de qualifier le personnel et les
protocoles et les control qualités pour évoluer ensuite sur une stratégie non intégratives.
Mise en Place Organisationnelle : Réunion Comité de direction tous les semaines
2. Objectifs à court term (1-2 mois) : Objectifs
-Qualification de la platforme
-Détermination des meilleurs conditions de culture pour reprogrammer
-Création de « custom chips » afin d’analyser l’expression et les changements de
CNV/SNP :Sur les genes définissant l’état fibroblastique et iPS.
-Demande de financement via le CHU
Objectifs à moyen term (1 an) : Mise en place des méthodes de reprogrammation non
intégratives avec une maitrise totale des différents aspects de la production permettant
une transition potentielle clinique plus probable :
-Production du Virus Sendai (DNAvec) sur Montpellier et Production de beta-FGF sur
Montpellier: Permettant une diminution des coûts associes aux milieux -> plus
d’utilisateurs
-Production de proteines (oct4,KLF, Sox…) pour faire des iPS
-Optimisation des conditions de culture pour produires des iPS.
-Création d’un blog/site web (plus de flexibilité) et/ou en utilisant un system déjà
existant (INGESTEM), permettant un partage plus fluide des protocols et publications,
photo des cellules, questions associées à la culture des iPS….
-Collaboration avec ReproCell afin de créer des ateliers ou période d’apprentissage
sponsorise par ReproCell et Ozyme pour les milieux .
Objectifs à long term (3 ans):
- indépendance financière de la plateforme et identifications des facteurs
3. Contrôle de la qualitée des iPS :Test de
pluripotence
Qualité du contrôle
Test de pluripotence But pour démontrer la
pluripotence
Vérifier que les iPS ont une morphologie similaire au
Morphologie des colonies Faible
hES
Marquage de la pluripotence:Oct4, Tra-1-60,Sox2,
Immunostaining Moyen
Tra-1-80, Nanog et SSEA
Détecte le niveau et la qualité d'expression des
RT-PCR Moyen-Bon
genes :Oct4, Tra-1-60,Sox2, Tra-1-80, Nanog et SSEA
Capacité à se différencier dans les trois feuillets
Génération d'EB embryonnaires (ecto,endo, mésoderme et disparition Moyen-Bon
des marqueurs de la pluripotence)
Microarray ou RNA-seq Comparaison avec hES Moyen-Bon
Capacité à se différencier dans les trois feuillets
Teratoma formation Bon
embryonnaires (ecto,endo, mésoderme ) IN VIVO
4. Contrôle des Conditions de culture
Xvivo configuration :
-Incubateurs ne peuvent pas être
contaminés par les manipulateurs
ou l’air de la pièce.
-Les cellules ne subissent AUCUN
changements dans les paramètres
de culture contrôlé par le Xvivo
(atmosphère composition hypoxie,
température,…) qui s’ils ne sont pas
maitrisés participent à l’apparition
d’abérration chromosomique.
Notes de l'éditeur
The ability to differentiate into almost all tissue types is the hallmark of human pluripotent stem cells (hPSCs). However, as we study the biology of hPSCs for future clinical applications – whether they be under the influence of growth factors ( 1 – 4 ), pro-survival cocktails ( 5 , 6 ), genetic modification ( 7 –10), or other manipulations (1) – pluripotency testing remains a fundamental component of every research design. Assays generally used to test such “stemness” include genomic profiling for relative quantification of pluripotency genes, immunocytochemistry to detect pluripotency markers, embryoid body formation to test 3-germ-layer differentiation capability in vitro or in vivo , and teratoma formation to test 3-germ-layer differentiation capability in vivo (Table 1). Notwithstanding the in vitro assays, teratoma formation in vivo is considered the most stringent of pluripotency assays because it provides more reliable and comprehensive confirmation than does testing cells on a simplified, artificial petri dish. This in vivo assay, coupled with noninvasive, longitudinal imaging, have proven to be invaluable not only in the visualization of stem cell survival and migration post-delivery, but also have been crucial in studying the safety and viability of future stem cell applications (11–13).